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Tristan Zilbermlan

Photographie © Tristan Zilberman

 

 

 

 

La Fabrique de l'image est un espace dédié à la photographie :

- Labo et atelier numérique : retouche et optimisation d'images, tirages d'art, tirages grands formats avec grand choix de supports et de formats, contre-collages alu-dibond.

- Lieu d'exposition.

Actuellement, l'exposition "Bleu rivage" de Tristan Zilberman

Ouverture de 15h à 19h du mercredi au samedi ou sur rendez-vous. ENTRÉE LIBRE.

 

La fabrique de l'image
2 rue de l'Oratoire
07400 Meysse
Tel : 06 63 25 17 95 / 09 81 20 46 88
contact@fabrique-image.fr

Ci-dessous des expos à voir.
Vous trouverez ici les événements encore d'actualité.

 

WWW.FABRIQUE-IMAGE.FR

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Rousseau 13

Photographie © Rousseau13

 

 

 

ROUSSEAU 13 - Les impostures

Portraits déviés de Rousseau,
installations et performances photographiques avec les jeunes du quartier des Grottes

Du 1er mai jusqu'au 16 juillet 2012
Apparition progressive des "Impostures" dans les cours de l'îlot 13 accès aux cours de l'îlot par le 24 rue Montbrillant, 1201 Genève(Genève)

samedi 19 et dimanche 20 mai Impostures: La Paresse de Rousseau prises de vues "Rousseau au lac des Grottes" à "Jours de fête", cour Corderie aux Grottes

23 mai au 20 juin 2012 Impostures: Rousseau au quotidien installationà Milkshake (24 Montbrillant - 1201 Genève) vernissage le mercredi 23 mai à 17h

vendredi 8 juin 2012 à 18h Entre cours et jardin: Rousseau explosé Double vernissage: photographies à la Pinacothèque et sérigraphies à la Buvette des Cropettes Suivi de « Karaorchestre » ( orchestre live de Karaoké) et Discoluminux avec les Dj des lumières à l'îlot 13-Montbrillant

du 8 juin au 1er juillet Impostures: Rousseau dévisagé exposition à la Pinacothèque (28 Montbrillant - 1201 Genève) vernissage à 18h le vendredi 8 juin

mercredi 20 juin 2012 à 21h Illuminations: Rousseau en feu Feux de la St-Jean-Jacques - installations, grillade républicaine Les impostures dans les cours de l'îlot 13, à la Pinacothèque et à Milkshake Cours de l'îlot 13

Télécharger le Flyer

Les "impostures" seront présentes à la buvette des Cropettes durant les spectacles "Fermez les théâtres" + "Le Trip Rousseau"

www.rousseau13.org

 

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Nils Udo

Photographie © Nils-Udo

 

 

 

NILS-UDO & FERDINAND CHEVAL,

Un hymne commun à la nature

Nils-Udo est un plasticien photographe
qui réalise des installations végétales poétiques
en pleine nature aux quatre coins du monde.
Amoureux de la nature comme Ferdinand Cheval,
il expose ses œuvres photographiques à Hauterives /  Drôme,
à l’occasion du centenaire du Palais idéal.

Parallèlement à cette exposition Nils-Udo
a choisi de rendre hommage au Palais en érigeant
un « Temple de la nature végétal »
au cœur de la nature hauterivoise, en écho
au « Temple de la Nature minéral » de Ferdinand Cheval.
Cette installation végétale sera réalisée courant mai 2012.
Le tirage photographique de l’œuvre  viendra rejoindre l’exposition en place.

Exposition au Château de Hauterives (à 200 m du Palais idéal)
Du 15 avril au 31 aout 2012 de 12H à 18H.
Exposition gratuite.
Informations : 04 75 68 81 19

www.facteurcheval.com

 

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Vincent Balay

Photographie © Vincent Balay

 

 

 

«RENCONTRES »

Photographies de Vincent Balay

Angle hors les murs - Collège Jean Perrin du 14 novembre au 15 décembre 2011

Vincent BALAŸ présente au collège des photographies réalisées lors des spectacles de fin de résidence à La Cascade, Maison des arts du clown & du cirque à Bourg-Saint-Andéol en Ardèche.

ANGLE HORS LES MURS - Collège Jean Perrin - Quartier Piéjoux - 26130 Saint-Paul-Trois-Châteaux -

Visite aux horaires du collège (8h - 17h) sur rdv contactez le 04 75 04 74 69

 

Plus d'infos

 

 

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Pierre Carnaguier

Photographie © Pierre Carnaguier

 

 

 

 

«Juste un avion dans le ciel»

Photographies de Pierre Carnaguier

Juste un avion dans le ciel

Je vois encore ma grand-mère Maria en train de coudre sur mes recommandations un coupon de serge noire pour me confectionner un manchon étanche à la lumière. Il me permettrait de développer mes films n'importe où, même en plein jour et sans chambre noire. « Toi, tu seras photographe », m'avait-elle dit et j'avais éclaté de rire. C'était au tout début des années 70. Je m'amusais beaucoup et sans prétention avec le développement, le tirage, les produits, les expériences. Et puis j'ai appris le métier, les techniques et même une certaine rigueur. En noir et blanc, pas en couleur. La couleur était restée pour moi comme un terrain de jeu autour des questions «photographier en couleur ou la couleur?», «représenter ou interpréter?»... Jusqu'à ce que les technologies du numérique réussissent à me plonger dans le grand bain chromogène.

Le risque de la beauté

Et aussi...
Me voilà donc depuis quatre ans avec un appareil plus petit et plus léger que mes habituels reflex 6 x 6. Et, qui plus est, doté d'un viseur rectangulaire et à hauteur d'œil. Ces nouvelles pratiques m'ont-elles fait changer? J'ai le sentiment qu'elles m'ont d'abord déstabilisé, ce qui est une excellente chose, et en conséquence régénéré. Le terrain de jeu reste le même : les espaces naturels ou habités où le hasard m'emporte. L'intérêt que je manifeste pour ces lieux n'a lui non plus guère bougé : rien de particulier ne s'y passe, ils sont sans grande originalité, familiers... juste un avion dans le ciel peut à la rigueur attirer l'œil! Plus encore qu'avec le noir et blanc et le format carré, je prends le risque de m'aventurer sur les franges de ce que l'on appelle un "cliché". La couleur me donne envie de frôler de plus près le danger de l'image facile et belle, colorée, déjà vue. Et au dernier moment, quand la banalité de la beauté s'affiche plein cadre dans le collimateur, chercher s'il est possible d'infléchir la visée pour toucher à la beauté de la banalité. Merci Maria de m'avoir montré la voie.

Pierre Canaguier, 5 mars 2012

 

 

Thomas Chable

Photographie © Thomas Chable

 

 


«Site de Lucy»

Photographies de Thomas Chable

L'Afrique de l'est n'est ni charmante ni accueillante, au sens où on l'entend communément. C'est un paysage brut et puissant qui s'étend autour de la vallée du Rift, une terre volcanique, ce n'est pas non plus l'éden et encore moins le paradis. (Il fût un temps...) Les gens qui habitent cette terre ne font qu'un avec elle. Il n'y a pas très longtemps, cette Afrique vivait en équilibre, en harmonie avec tous les éléments qui la constituait. Depuis, elle s'est fortement urbanisée, les hommes ont quitté la forêt, la savane, les plaines, leurs cultures pour se cloisonner en ville. L'équilibre n'est plus.
Lucy : 3,2 millions d'années et des poussières d'Hommes. Notre symbolique grand- mère à nous tous. En Amharique, se dit Dingnês : surprise, étonnement. Une merveille. Redécouverte en 1974 dans la dépression de la rivière Awahs, C'est le point de départ de ce travail, ce n'est pas tant le lieu mais plutôt les personnes qui vivent sur et autour de ce site qui m'interpellent. Après autant d'années, il me semble évident de prendre du temps pour faire des rencontres et de la patience pour faire des photos. D'ailleurs en Afrique le temps n'a pas la même consistance qu'en Europe ou plutôt, en Afrique le temps a de la consistance, il est palpable, pas la peine de courir après lui, il est bien là et ne se fait pas oublier. Voyages, plusieurs voyages pour voir et revoir ces territoires, ces gens qui m'impressionnent avec des séjours d'une durée de un à deux mois. Il me faut connaître ce monde, le quitter, puis revenir encore. A chaque fois que je pose le pied sur la terre Africaine, j'ai l'impression de revenir «chez moi» mais aussi l'impression ou la certitude d'être toujours un apprenti en quête. La photographie est donc le témoin, le résultat de ces différents passages, d'où je reviens à chaque fois étonné de ce que je découvre sur les planches contacts et donc de ce que j'ai vécu sur place. Ce que je montre n'a ni début ni fin. Les projets bougent à chaque voyage, à chaque accrochage. Ce sont des moments de l'itinéraire des gens et un peu du mien. A chaque fois ils sont donc partiellement différents.

Thomas, Chable, Poulseur, le 9 mars 2012

 

Du 4 mai au 21 juillet 2012 du mercredi au samedi de 14 h à 19 h et sur rendez-vous en dehors de ces horaires. Vernissage le jeudi 3 mai de 19h à 21h, en présence des photographes. Ce même soir vernissage rue Burdeau, galerie Pom Turbil et rue René Leynaud, galerie Henri Chartier.

Galerie le Réverbère
38, rue Burdeau
69001 Lyon

www.galerielereverbere.com

 

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Jean-Louis Gonterre

Photographie © Jean-Louis Gonterre

 

 

 

 

«Portrait de pommes de terre»

Photographies de Jean Louis Gonterre

À l'Espace Culturel André Malraux (06270 Villeneuve Loubet)
du 12 mai au 20 juillet 2012*
Exposition en plein air sur les Fêtes Gourmandes, les 20, 21 et 22 juillet au village

L'extrême banalité de la pomme de terre a séduit Jean-Louis GONTERRE un jour d'automne 1994.

Photographe professionnel, son idée est de la traiter comme une sculpture, un objet d'art. Supprimant tout aspect anecdotique, toute référence à la terre, il part à la découverte de ce tubercule, de la sensualité de ses courbes, du mystère des ses creux, de la lumière caressant une peau lisse, tendue, tachetée, fripée ou salie.
Sa première série, les variétés, proposait une débauche de formes et de couleurs. Puis les pommes de terre ont pris leur autonomie qu'il a mise en scène : les surréalistes, les couples, les enfermements, les ludiques... Tout en faisant des photos, il fait de nombreuses rencontres avec des producteurs, aux marchés ou dans les fermes. Et se pose des questions, car la pomme de terre est avant tout un aliment, c'est même le 4ème aliment de base pour l'humanité, après le riz, le mais et le mil. Pour l'année internationale de la pomme de terre en 2008, les organisateurs ont pensé à lui et à sa sensibilité pour illustrer le travail des scientifiques, cuisiniers et agriculteurs en vue de développer la production de ce tubercule si humble, peu reconnu mais cependant très important pour la sécurité alimentaire et la lutte contre la faim et la pauvreté dans le monde.

L'exposition Portraits de Pommes de Terre est organisée dans le cadre des 20èmes Fêtes Gourmandes et de l'année « Villeneuve Gourmet » en l'honneur d'Auguste Escoffier. Ce cuisinier des rois et rois des cuisiniers, né à Villeneuve-Loubet, s'est penché sur ces questions du « bien manger » avec des aliments peu coûteux comme le riz ou la morue. Et son Guide Culinaire (1904) contient plus de 60 recettes de garnitures de pommes de terre !

*Ouverture lundi, mardi, jeudi et vendredi de 9h à 15h et les dimanches 3 juin et 15 juillet de 14h30 à 17h
Informations complémentaires sur www.villeneuveloubet.fr



www.gonterre.com

 

 

 

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