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Tristan Zilbermlan

Photographie © Tristan Zilberman

 

 

 

 

La Fabrique de l'image est un espace dédié à la photographie :

- Labo et atelier numérique : retouche et optimisation d'images, tirages d'art, tirages grands formats avec grand choix de supports et de formats, contre-collages alu-dibond.

- Lieu d'exposition.

Actuellement, l'exposition "Bleu rivage" de Tristan Zilberman

Ouverture de 15h à 19h du mercredi au samedi ou sur rendez-vous. ENTRÉE LIBRE.

Fermeture exceptionnelle le 21 et 22 juin

La fabrique de l'image
2 rue de l'Oratoire
07400 Meysse
Tel : 06 63 25 17 95 / 09 81 20 46 88
contact@fabrique-image.fr

Ci-dessous des expos à voir.
Vous trouverez ici les événements encore d'actualité.

 

WWW.FABRIQUE-IMAGE.FR

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Rip Hopkins

Photographie © Rip Hopkins

Martin Parr

Photographie © Martin Parr

 

 

« Rip Hopkins et Martin Parr photographies»

Du 13 juin au 4 novembre 2012
Vernissage le 13 juin à partir de 19h en présence de Rip Hopkins
Du lundi au vendredi de 14h à 18h
Samedi et dimanche de 14h à 19h
Fermeture à 18h le samedi et dimanche pour les mois de novembre à février Fermé le mardi

Musée Géo Charles
1, rue Géo Charles
38 Echirolles

Rip Hopkins « Another country, les Britanniques en France »
Né en 1972 à Sheffield
Membre de l'Agence Vu à Paris depuis 1996
Représenté par la galerie le Réverbère, Lyon

Rip Hopkins propose, à travers 68 portraits de familles, un travail personnel et documentaire sur la réalité et les fantasmes des Britanniques expatriés en France. Exilé du Royaume-Uni, Rip Hopkins se confronte à ses propres origines et à son rapport intime avec la France. Un témoignage qui évoque la question de l’identité et de l’appartenance à un pays, réel ou imaginaire, dans le contexte d’une société subissant l’effet de la mondialisation.
Troublantes et oniriques, les images de Rip Hopkins pénètrent les couches les plus profondes de notre for intérieur. Another Country a pris forme lors d’une résidence d’artiste à Ribérac en 2009.

Martin Parr « Think of England »
Né en 1952 à Bristol Rejoint Magnum en 1988
Devient membre en 1994

Martin Parr est l'œil redouté dont les photos sont des raccourcis justes, drôles et souvent cruels de notre monde contemporain. Couleurs voyantes, motifs bizarres et narrations sont les caractéristiques de la photographie de Martin Parr. Parfois excessives dans leur propos, ses images sont toujours étonnamment inventives et pleines d'humour. Pendant plus de trente ans, il a réalisé un vaste travail documentaire sur la société occidentale, principalement en Grande-Bretagne, son pays d'origine. Il s'est aussi intéressé aux phénomènes de la mondialisation tels que le tourisme de masse, les comportements consuméristes et le soi-disant temps libre, un travail démasquant le grotesque dans le banal comme satire de la vie contemporaine.

Exposition réalisée à l'occasion des Jeux Olympiques 2012 de Londres, en collaboration avec La Galerie Le Réverbère, Lyon et Magnum Photos, Paris

 

http://ville-echirolles.fr/sortir/geocharles/geocharles.html

 

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René Groebli

Photographie © René Groebli

 

 

 

 

«René Groebli »

Photographies de René Groebli

Du 7 juin au 31 juillet 2012
Vernissage le 6 juin à partir de 18h30
Ouvert du Lundi au samedi de 9h à 12h et de 14h à 18h30
Sauf le mardi matin et le samedi après midi

Galerie Fotografika
10 rue du Borgeaud
1196 Gland (Suisse)

Le flyer est ici

 

www.fotografika-gallery.com

 

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Anna Puig Rosado

Photographie © Anna Puig Rosado

 

 

 

 

 

«Le ventre de Marseilles»

Photographies de Anna Puig Rosado

Du 31 mai au 23 juin 2012.

A la libraire Apostilles
104 Cours Julien
13000 Marseille

Pour ce début de printemps, venez découvrir le nouveau livre de Marie D'hombre et Blandine Scherrer (textes) et Anna Puig Rosado (photographies) "Le ventre de Marseille" aux éditions Gaussen.

Noailles est un voyage. Il commence dans la rue et se poursuit bien loin chez Ali, Noor, Blaise, Murat, Empereur ou Tamky. Chaque boutique vous plonge dans des histoires ancestrales ou des lieux exotiques, à la rencontre de soins du corps, de plaisirs de bouche ou d'instruments domestiques.
Carnet dans une main, stylo dans l'autre et appareil photo en bandoulière, Marie d'Hombres, Blandine Scherer et Anna Puig-Rosado sont entrées dans les commerces pour regarder, parler et découvrir. Au fil des rencontres, la rue s'est animée de voix, de mots et de choses, révélant à chaque fois un monde inédit.

www.annapuigrosado.net - www.recitsdevie.fr - www.editionsgaussen.com

 

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Eric Pijnaken

Photographie © Eric Pijnaken

 

 

 

 

 

«BLACK - Noir comme expression»

Photographies de Eric Pijnaken

Du 16 juin au 2 septembre 2012
Ouverture le week-end de 15h à 19h
En semaine sur rendez-vous au 04 75 94 50 96 ou 04 75 94 59 38
Vernissage et fête le 16 juin 2012 à partir de 18H (participation libre)

Association quartier sud
Salle associative du libonès
07600 Juvinas

Que c'est l'essentiel des choses? Est-ce la couleur? Est-ce la forme? Est-ce la lumiere?
BLACK  (noir) est un jeu pour voir ce qu'il reste quand on enlève la couleur et la plupart de la lumière. Le noir devient prépondérant pour dévoiler le cœur des choses, de ce qui reste si l'on élimine toutes autres qualités, même une partie de la forme.
Mon démarche se situe dans l'approche de ce que j'appelle la "Photo Brut", inspiré par l'Arte Povera, né en Italie dans les années 60 du 20-ème siècle. C'est Germano Celant qui intitule une exposition à Gênes comme ça. Son art est un retour vers les matières primaires (terre, sable, bois, fer) pour laisser exprimer leur existence le plus pur possible. Dans les années 80 en France un collectif Foto Povera voit le jour (e. a. Yannick Vigouroux).  Derrière l'Arte Povera il y a un refus des valeurs industriels et économiques et dans son sillon la société de consommation, en faveur d'un geste créateur au détriment de l'objet fini.
Cette recherche à l'essentiel m'inspire dans mon travail photographique. Dans un premier album (mars 2012) j'ai intitulé ce chemin comme "Photo Brute", pour exprimer les choses dans leur état le plus naturel possible. BLACK suit cette veine. Il ne s'agit pas à dénaturer les choses, mais d'entrer dans leur for intérieur, de dévoiler leurs forces créatrices.

Eric Pijnaken
avril 2012

 

 

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Bernard Plossu

Jardin vu de la chambre de Claude Monet, Giverny, hiver 2010 © Bernard Plossu

 

 

 

 

 

«Monet intime»

Photographies de Bernard Plossu

Du 8 juin au 31 octobre 2012
Musée des impressionnismes Giverny
99, rue Claude Monet
27620 Giverny
tél : 02 32 51 94 65
fax : 02 32 51 94 67
email : contact@mdig.fr

Musée ouvert du 1er avril au 31 octobre 2012 Tous les jours de 10h à 18h (dernière admission : 17h30) Ouvert les jours fériés

L’exposition réunit un ensemble de 60 photographies réalisées lors de visites à Giverny de Bernard Plossu à deux saisons différentes – à l’hiver 2010 puis au printemps 2011 – et à des heures différentes. Ces photographies représentent la Maison de Monet ainsi que les jardins pris depuis la Maison. Les photographies en couleur sont des tirages mats au charbon de Fresson, et les tirages en noir et blanc sont de Guillaume Geneste. 

www.mdig.fr

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Fabienne FOREL

Photographie © Sylvie Garraud

 

 

 

 

 

«L’image inversée»

Photographies de Sylvie Garraud

Du 2 au 17 juin 2012,
Dans le cadre du festival "l'art et la matière"
Itinéraire culturel et historique en Drôme des Collines

Sylvie Garraud est plasticienne, Elle utilise le procédé photographique comme un moyen lui permettant de réaliser des dessins en prise direct sur le corps et dans l'espace réel. Plutôt que de produire un instantané photographique, il s'agit ici d’enregistrer une durée correspondant au temps de l'exécution d'un dessin tracé avec un outil lumineux dans la pénombre. Et, de manière surprenante, cela aboutit dans l'image à une sorte d'inversion du visible où le corps disparaît et où un tracé invisible apparaît, intimement lié à l’architecture qui en est la scène.

Sylvie Garraud a séjourné plusieurs nuits au Prieuré de Charrière comme dans une chambre obscure. L'exposition qui en résulte s'origine dans le lieu et l'habite. Elle se prolonge le samedi 9 juin lors d'une soirée « concert-exposition » avec André Stocchetti (voix, percussions corpo- relles, flûtes transfigurées, machines, enregistrements en direct, collages). Entrent alors en conversation : un univers musical, des voix de visiteurs enregistrés en plein jour, des images projetées en diaporama sur les murs, comme des partitions.

Télécharger le programme

 

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Fabienne FOREL

Photographie © Fabienne FOREL

 

 

 

 

 

«À quoi rêvent les femmes et les hommes du Caire?»

Photographies de Fabienne FOREL

Du lundi 11 au vendredi 29 juin 2012,
vernissage le vendredi 15 juin à 18h30.
T : 04 66 36 82 43

Maison de la Région,
3 place des Arènes,
30000 Nîmes

Je passe 8 jours à photographier les différents quartiers du Caire.
J’y retrouve des odeurs de mon enfance, du hall d’entrée de l’appartement de mon arrière-grand-mère, calle vistalegre, 17, à Barcelone.
La même odeur de renfermé, de sucré et de saleté.
Ce mélange odorant me ramène à l’image de ce hall et d’un rêve,
le rêve des mes grands-parents immigrés en France
de revenir dans leur pays d’origine.
Je retrouve ici la même effervescence d’une ville en plein développement
et de la pauvreté aussi. J’aime le centre ville Down Town, Talab Harb street. Cette rue me rappelle Calle Hospital à Barcelone.
J’ai passé 8 jours à rencontrer des Cairotes dans la rue
et à me laisser aller à l’intérieur de quartiers populaires.
Je sonde la ville par une suite de fragments épars, par des détours,
pour une visite en discontinu, comme dans un rêve...
Partout la cohue, la chaleur, la promiscuité, la nonchalance,
des hommes et des femmes...
Dans mon journal de voyage, j’écris “ A quoi rêvent-ils ici ?”

Plus d'infos

 

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Vanessa Chambard

Photographie © Vanessa Chambard

 

 

 

 

 

«La nature comme spectacle»

Photographies de Vanessa Chambard

Du 1er au 30 juin 2012

l'Espinoa
impasse des halles
16360 BAIGNES

La protection de l’environnement est aujourd’hui une préoccupation affichée par quasiment tous les citoyens et l’ensemble de la classe politique. On parle désormais de croissance verte et de développement durable.
De tous temps, la nature a été célébrée et mythifiée (parfois assez naïvement)  par les artistes, que ce soit  à travers la peinture, la poésie, la littérature…
Aujourd’hui, cette Nature fantasmée  est utilisée par le marketing et  la publicité. On invente une nature qui oscille entre un décor discret pour nos vies, à l’instar des parterres de fleurs sur les ronds point, et  une « Nature-Spectacle » que l’on viendrait admirer en famille le dimanche après-midi. Une Nature sans mauvais temps, sans boue, sans mouches ni moustiques et sans odeur… Une Mère Nature qui serait (à l’image de la Femme, autre mythe contemporain) belle, douce, silencieuse, pacifiée et bienveillante…

Dans le même temps, 13 millions d’hectares de forêts disparaissent chaque année, l'équivalent de la surface d’un terrain de football toutes les quinze secondes.
En France, se pose le problème de l’artificialisation des terres ; tous les sept ans, c’est l’équivalent d’un département qui disparait sous le béton des lotissements, zones industrielles, lignes TGV et autres projets d’aéroport.

Une séparation de plus en plus nette semble s’opérer entre ce qui relève du naturel et de l’humain.

Ainsi se développent des parcs nationaux où il faut payer pour venir observer ce doux spectacle de Dame Nature… Et dont l’entrée se transforme parfois en immense fête à Neuneu où l’on peut acheter des porte-clefs en forme d’écureuil ventripotent… La nature y devient un objet de consommation comme un autre.
D’un autre côté la généralisation des préoccupations écologiques et leur utilisation prennent des airs de grande mascarade ! Ainsi, à Notre Dame des Landes, on nous vend un projet d’aéroport à Haute Qualité Environnementale ; les voyageurs pourraient y acheter des carottes bios à de gentils producteurs locaux…Bien sur, on ne mentionne pas  les 1650 hectares de terres agricoles qui disparaitraient sous le béton. On ne s’interroge pas sur le sens de la création d’un nouvel aéroport à l’heure où les ressources en pétrole diminuent comme peau de chagrin…
                                                
L’idée des autoportraits m’est venue lors d’un séjour en Corée du Sud ; à l’entrée d’un parc national, il y avait des grands panneaux de bois sur lesquels étaient peints des ours noirs d’Asie. Un trou était découpé à l’emplacement de la tête pour que les visiteurs puissent y mettre leur visage et se faire photographier ainsi, avec un corps d’ours.

Cela m’a paru très symbolique de l’absurdité de cette forme de rapport à la nature : on passe deux heures dans la forêt,  on fait des photos, on repart avec son portrait en ours et son écureuil ventripotent… Sans remettre en question son propre mode de vie et surtout le système économique, politique et social dans lequel il s’inscrit.

Alors, me peindre des taches léopards sur le visage et me photographier dans un bout de forêt, c’est choisir de mettre en lumière ce rapport à la nature et d’en montrer toute l’absurdité ! Et d’inviter à réfléchir à l’absurdité de la « logique » consumériste, fondement de nos sociétés capitalistes.
D’une part, je veux montrer que la nature, telle qu’elle est représentée à travers la publicité, la communication mais aussi, bien souvent, au travers des arts, est une nature fantasmée à tel point qu’elle en est inventée ! A partir de là, pourquoi ne pas assumer complètement et aller jusqu’à la créer de toute pièce !
D’autre part, c’est une critique de l’usage qui est fait de la nature et de la problématique écologique. Plus qu’une hypocrisie, cette instrumentalisation du naturel est une vaste mascarade à laquelle j’ai choisi de donner corps avec mon masque de gentil canard. Ces costumes, faits de papier mâché, de draps peints ou de bouts de parapluie donnent des photographies absurdement drôles au premier abord. Mais finalement, elles sont à l’image de nos sociétés ; désespérément ridicules, absurdes jusqu’au tragique.

www.vanessachambard.com - www.espinoa.com

 

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Jean-Pascal Medurio

Photographie © Jean-Pascal Medurio

 

 

 

 

« La photo fait son cinéma dans le Voironnais»

Du 1er juin au 1er juillet 2012

En ces temps difficiles où la culture doit apprendre à se battre pour continuer à exister, notre manifestation, qui fêtera cette année sa 24è édition, doit beaucoup à votre présence, à votre fidélité et à votre enthousiasme.

La photo fait son cinéma dans le Voironnais c'est tout d'abord le moyen de sortir quelques instants de son quotidien pour une formidable évasion en images. Grâce aux 35 expositions dans 14 communes du Pays Voironnais, l'imaginaire, le rêve, le voyage, la beauté, le partage, la rencontre, l'échange seront au rendez-vous de ce mois de juin. Dans de nombreux lieux aussi divers qu'une médiathèque, une banque, un restaurant, un opticien, une mairie etc... L'image sera reine, elle vous entrainera dans l'intimité de l'univers d'un artiste, à la découverte d'un autre monde.

Et au Cinéma Pass'R'L, grâce au soutien de toute l'équipe de Pierre Ambrosioni, le festival du film court de Voiron vous proposera des films d'une grande intensité dramatique ou humoristique. Et tout cela gratuitement, grâce au soutien de nos partenaires fidèles que sont le Conseil Général de l'Isère, la Mairie de Voiron, le Conseil Régional Rhône-Alpes et nos partenaires privés.

Au nom de toute l'équipe de Reflex Image Création qui travaille tout au long de l'année pour vous concocter ce moment d'évasion et de poésie, je vous souhaite un excellent mois de juin au contact de l'image sous toutes ses formes.

Philippe Bourreau, président de Reflex Image Création, et le Comité d'organisation du 24è festival vous souhaitent une excellente manifestation.

www.laphotofaitsoncinema.net

 

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Les chiens écrasés

 

 

 

 

 

« Les chiens écrasés »

Atelier photographie collège Gérard Gaud

Juin 2012 - Vernissage le 24 mai à 18h

Collège Gérard GAUD 17 rue Jacques Brel 26500 BOURG LES VALENCE

Tous les ans, dans le cadre de ses actions éducatives,
le Conseil Général de la Drôme propose à des classes de collégiens
 la rencontre avec un écrivain.

Cette année, c'est Guillaume Guéraud qui a été choisi, auteur
 dont l'écriture très cinématographique permettait
 d'ajouter à la simple rencontre
toute une réflexion préparatoire des élèves autour de l'image.

Les 26 élèves de la classe de 3ème3
du Collège Gérard Gaud de Bourg-lès-Valence,
encadrés par leur professeur de lettres, Marie Voinet,
 leur professeur d'arts plastiques, Hélène Beyrie,
et la documentaliste du collège, Valérie Piguet,
ont ainsi lu la plupart des romans de Guillaume Guéraud
et se sont lancés dans l'adaptation de l'un d'entre eux,
Les chiens écrasés, sous la forme d'un « roman-photo ».

C'est Emmanuel Georges, photographe indépendant,
qui leur a donné les outils pour réaliser ce « roman-photo » 
Les élèves ont ainsi pu s'initier au langage photographique :
 réfléchir aux notions de plans, de cadrages, de décors,
de séquences et de traitement informatique de l'image.
 Et aussi d’utiliser du matériel professionnel
pour se transformer à leur tour en photographes !

www.georgesemmanuel.com

 

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A nous New York

Photographie © Bastien Oliveri

 

 

 

Le Lycée Jeanne D'Arc du Péage de Roussillon
Et MC Lycéens Voyageurs présentent

« A NOUS NEW YORK »

MEDIATHEQUE DE ST  MAURICE  L’EXIL
 Du 29 mai  /  22 juin  2012
Mardi : 15h - 19h // Mercredi : 9h - 12h / 14h - 19h // Vendredi : 15h - 19h // Samedi : 9h - 12h

Un lycée, des classes de terminale, un voyage de fin de cycle pour une destination d'exception : New York ! Au Lycée Jeanne d'Arc à Péage de Roussillon (38), le projet* prend vie. Dès leur année de première, les élèves imaginent des actions pour financer ce voyage. Rapidement la photographie prend également une place dans le projet : un atelier d'initiation est mis en oeuvre. Sollicité pour l'animer, Emmanuel Georges, au cours de différentes séquences, éveille les lycéens à l'image avec patience et passion. 14 février 2009, retour de New York. 50 jeunes lycéens sont rentrés avec des tas d'images dans la tête. Certaines d'entre elles ont pris forme sur papier glacé. Il s'agit des images aujourd'hui exposées. Des points de vue multiples, appliqués et heureux, parfois juste cadrés sur la cité qu'ils ont perçue comme une ville unique au monde.

http://mc-lyceens-voyageurs.blogspot.com

www.georgesemmanuel.com

 

WWW.FABRIQUE-IMAGE.FR

 

 

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