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Tristan Zilberman

Photographie © Tristan Zilberman

 

 

 

 

La Fabrique de l'image est un espace dédié à la photographie :

- Atelier d'impression numérique : retouche et optimisation d'images, impressions d'art, grands formats avec grand choix de supports, contre-collages alu-dibond.

« Prochainement stage : Le RAW de la prise de vue au tirage »

Proposé par "La Balance des Blancs" et "La Fabrique de l'Image"

Samedi 23 mars 2013 de 09:00 à 17:00
Ce stage aura lieu à
La Fabrique de L'image
2 rue de l'Oratoire
07400 Meysse

Pour initiés
Nombre de participant : 4 à 8 personnes
Avec les photographes : Tristan Zilberman et Aude Lavenant

TARIFS
Adhérents à La Balance des Blancs : 110 euros
Non adhérents : 120 euros + 15 euros d'adhésion annuelle

RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTIONS
Aude Lavenant - 06 74 55 20 12
Association La balance des Blancs
18 rue Saint-François - 26400 Crest

Ce stage vous propose de découvrir toute la chaine graphique du traitement de l'image et en particulier la chaine de développement des fichiers RAW*. Par petit groupe, vous expérimenterez une méthode pour optimiser la qualité de vos images dès la prise de vue et jusqu'à l'impression sur papier photo.

* Le fichier RAW est l'équivalent en argentique du négatif ; c'est un fichier qui conserve toutes les données brutes de l'image et toutes ses nuances. Il permet de réaliser de très beaux agrandissements.

Toutes les infos sur le site de l'association la Balance des Blancs

www.labalancedesblancs.net

WWW.FABRIQUE-IMAGE.FR

 

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Eldorado

Photographie © Marine Lanier

 

 

 

« Eldorado »

Photographies de Marine Lanier

Du 15 mars au 30 mars 2013
Centre d'art Espace Chabrillan
127 rue Pierre Julien
26200 Montélimar

résidence (décembre 2012/mars 2013)
Vernissage vendredi 15 mars à 18h00
Exposition du samedi 16 au 30 mars
Rencontre avec l'artiste : vendredi 29 mars à 18 h 30 - Centre d'Art Espace Chabrillan

Marine Lanier vit et travaille entre la Drôme et Lyon. Après des études de géographie, lettres et cinéma, elle est diplômée de l'Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d'Arles en 2007. Elle partage son activité entre commandes publiques, enseignement et recherches personnelles.

La série Eldorado est le résultat d'une résidence d'artiste (hiver 2012-2013) proposée par la Médiathèque de Montélimar dans le cadre du festival Itinérance(s). Elle continue ici d'explorer ses questionnements autour du sauvage, de l'hostile et du spontané, cette fois, à travers le prisme de l'imaginaire de l'île. Des monochromes où se côtoient la luxuriance de serres à l'abandon aux remous bleus et or d'un barrage.

L'élan de l'homme qui l'entraîne vers les îles reprend le double mouvement qui produit les îles en elles-mêmes. Rêver des îles, avec angoisse ou joie peu importe, c'est rêver qu'on se sépare, qu'on est déjà séparé, loin des continents, qu'on est seul et perdu - ou bien c'est rêver qu'on repart à zéro, qu'on recrée, qu'on recommence. Il y avait des îles dérivées, mais l'île, c'est aussi ce vers quoi l'on dérive, et il y avait des îles originaires, mais l'île, c'est aussi l'origine, l'origine radicale et absolue. (...)

L'île est ce que la mer entoure, et ce dont on fait le tour, elle est comme un oeuf. Oeuf de la mer, elle est ronde. Tout se passe comme si, son désert elle l'avait mis autour d'elle, hors d'elle. Ce qui est désert c'est l'océan tout autour. C'est en vertu des circonstances, pour d'autres raisons que le principe dont elle dépend, que les navires passent au loin et ne s'arrêtent pas. Elle est désertée plus qu'elle n'est un désert. Si bien qu'en elle-même elle peut contenir les plus vives sources, la faune la plus agile, la flore la plus coloriée, les nourritures les plus étonnantes, les sauvages les plus vivants, et le naufragé comme son fruit son fruit le plus précieux, enfin pour un instant le bateau qui vient le chercher, malgré tout cela, elle n'en est pas moins l'île déserte.

Causes et raisons des îles désertes - Gilles Deleuze

 

www.marinelanier.com
www.montelimar-sesame.com

 

 

 

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Epidermiques #2

Photographie © Francis Traunig

 

 

 

« Epidermiques #2 »

Art et tatouage

Du 8 mars au 12 mai 2013
Maison Folie Wazemmes
70 rue des Sarrazins
59000 Lille

Mercredi > samedi 14h-19h
Dimanche 10h-19h
Entrée libre

Provocateur, dénonciateur, consumériste, biographique, esthétique ou engagé, le tatouage peut revêtir toutes les peaux et toutes les idées. Omniprésent, il fait aujourd'hui partie des codes, expressions plastiques et références visuelles contemporaines.

Depuis 20 ans, le tatouage est devenu un phénomène de société dans la plupart des pays industrialisés. Il est désormais évident que le tatouage n'est plus l'apanage des marginaux, ni l'attribut des voyous et des prostituées, pas plus qu'il ne correspond à un signe de reconnaissance inter-clan ou inter-classe. À cette expansion de fonction et d'usage, s'est ajoutée une évolution fulgurante en termes de contenus, de styles, de techniques. Les registres du tatouage ne cessent de s'élargir, niant ainsi les images d'Épinal qui lui collaient à la peau.

Le tatoueur s'est peu à peu élevé au rang d'artiste (ou de tattoo-artist). Certains ont développé leurs motifs, leurs styles, leurs messages et ont exploré de toutes autres techniques (peinture, sculpture, installation). Parallèlement, des artistes se sont intéressés aux nouveaux symboles, incarnations et représentations du phénomène. Ils ont intégré le tatouage sur divers supports, dans un esprit critique, et certains d'entre eux ont fini par épouser temporairement les écoles graphiques du tatouage, ont adopté les dermographes ou ont dessiné des tatouages, selon les demandes d'admirateurs ou pour eux-mêmes.

Dans le cadre de cette exposition des artistes photographes exposent

FRANCIS TRAUNIG (SUISSE)

Né en 1954, vit et travaille à Genève Il réalise des reportages photographiques depuis le début des années 80. S'il a choisi ce médium, c'est qu'il aime être au contact du monde, en ressentir la tangibilité, en capturer la lu- mière. En 2009, à l'occasion des 60 ans d'Etienne Dumont (un ami intime de l'artiste), il initie un projet pour la Galerie Krisal de Genève : 12 photographes tireront le portrait du critique d'art et journaliste suisse, une personnalité haute en couleurs ayant transformé son corps en ?uvre d'art totale. Dans l'exposition seront présentées des détails de peau d'Etienne Dumont, ainsi qu'un portrait mettant en abîme l'apparence du modèle de son enfance à aujourd'hui.

SERGEÏ VASSILIEV / DANZIG BALDAEV (RUSSIE)

Né en 1936, vit et travaille à chelyabinsk Dans la série russian crimial Tattoo, le photographe Sergei Vas- siliev met en valeur le folklore et l'exploitation de la forme ar- tistique, symbolique et contestataire du tatouage au sein des milieux carcéraux dans la société répressive russe. Ces marqua- ges consistent généralement en une critique des autorités, ou représentent les crimes des prisonniers selon des codes très précis. Celles-ci accompagnent les dessins de tatouages réali- sés par Danzig Baldaev entre 1948 et 1986, alors qu'il était gar- dien de prison. Il s'agissait pour lui d'une façon d'enregistrer les rituels d'une société fermée, à la manière d'un ethnographe. Les icones et les langages tribaux de ses dessins sont astucieux, déplaisants, sexuellement explicites et provocateurs, reflétant la vie et les traditions des criminels. Ils décrivent aussi les positions politiques des prisonniers, contre le régime Soviétique.

 

Dossier de presse
www.mfwazemmes.mairie-lille.fr

 

 

 

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La fin du pétrole

Tristan Zilberman - Brest Brest Brest ©

 

 

 

« La fin du pétrole »

Photographies : Tristan zilberman - Graphismes : Brest Brest Brest

Du 20 février au 30 mars 2013
Médiathèque municipale Jacques Dupin
3 rue Elie Reynier
07000 Privas

Mardi : 12 > 18 h
Mercredi: 10 > 12 h et 14 > 19 h
Vendredi : 14 > 18 h
Samedi : 10 > 12 h et 14 > 17 h

Rencontre avec le photographe le ven 15.03 > 18H

Ce travail photo + graphisme a été réalisé par Brest Brest Brest à partir de clichés de Tristan Zilberman :

10 ans de photo sur le massif du Coiron pour raconter la vie des gens, la ruralité, les traditions, les paysages, 10 ans de reportages et de rencontres, présentés à travers des expos, des albums, des diaporamas.

Le désir de partager ces images, conduit aujourd'hui Tristan Zilberman à en proposer une nouvelle lecture : ainsi, a-t-il sollicité un regard de graphiste : celui de Brest Brest Brest.

Confiant quant à leur créativité, il leur a laissé carte blanche pour intervenir à partir de ses clichés... Demeurant néanmoins curieux de savoir ce que tout ça allait leur inspirer !

Résultat : LA FIN DU PETROLE.

C'est un regard neuf, décalé qui n'est pas celui du photographe ayant parcouru le territoire en totale immersion. C'est une vision inédite : les images de la vie rurale ardéchoise évoquant un basculement de civilisation ! Non pas passéiste, mais d'avenir : quand il n'y aura plus de pétrole, il y aura peut-être encore la terre et des hommes pour la travailler, des animaux à élever ?

Cette vision des lendemain sans pétrole est finalement assez rassurante ! Berçons-nous en...

Car en réalité, qui sait de quoi demain sera fait ?

Va-t-on avancer vers un monde où l'énergie sera captée au grès des vents et des marées, vers une énergie libre et accessible à tous, rendant de ce fait, toute velléité guerrière inutile ? Ou va-t-on poursuivre dans la logique d'une exploitation outrancière, déraisonnée, au profit d'une minorité possédante, réduisant par la même le reste de l'humanité à la servitude ? À moins qu'un monde apocalyptique ne se profile : Fukushima étendant sa lèpre au planétaire, des humains contaminés en errance, même pas imaginé par la SF la plus glauque.

«Il y avait un jardin qu'on appelait la terre...», chantait Moustaki ! Cette phrase doit-elle sonner comme une épitaphe ?

Plusieurs textes accompagnent l’expo : Julie Sauter, Max Jacot, Francis Traunig, Christian Hivert, Michèle Soullier, Mireille Cluzet et Guillaume Goumat ont joué de la plume et évoqué à leur façon la « fin du pétrole ».

Si le thème vous inspire, ne vous privez pas d’en faire autant. Envoyez vos textes par mail. Ils seront mis à disposition dans l’expo ainsi que sur un espace dédié sur le site de la Fabrique.

* Brest Brest Brest est un atelier de création graphique basé sur crest, piloté par Arnaud Jarsaillon, Rémy Poncet & François Gaillard

www.tristanzilbrerman.com
www.brestbrestbrest.fr
www.bm-privas.fr

 

 

 

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Rêve d'immaculé / la fin d'une blanchisseuse

 

 

 

« Rêve d'immaculé / la fin d'une blanchisseuse »

Nouveauté Flux Tendu par Béatrice Darnal

En Allemagne au siècle dernier,
pour que le fil du linge, devînt blanc,
il fallait que les femmes qui assistaient à l'opération
disent des mensonges.

Paul Sébillot

« Les éditions FluxTendu (collectif informel ) »

FluxTendu est un site « d'éditions photographiques » qui présente le travail de « photographes » ayant une création singulière.

En attendant que chaque publication soit un jour imprimée, FluxTendu diffuse sous forme de livres virtuels leur production photographique ...

(Le principe de réalité nous rattrapant très vite, l'économie de moyens du virtuel arrange bien notre envie compulsive de montrer ou de nous montrer...en utilisant le potentiel démultiplicateur du ?réseau?).

Depuis peu, plusieurs publications sont disponibles sur un support papier à la demande.

 

www.darnal.com
www.edition-fluxtendu.fr

 

 

 

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Au bord des eaux mêlées

Photographie © Béatrix von Conta

 

 

 

« Au bord des eaux mêlées »

Photographies de Béatrix von Conta

Du 15 mars au 20 avril 2013
Galerie d'exposition du théâtre
Rue de la Recluse
07000 Privas

Du mercredi au samedi de 15h à 18h et les soirs de spectacle
Entrée Libre

Vernissage le jeudi 14 mars à partir de 18h.

« Après la réalisation d'AQUA, consacrée à la problématique de l'eau dans le département de la Drôme, cette nouvelle résidence photographique, commencée en 2011, m'a amenée en terres ardéchoises. Le Rhône, à la fois lien et séparation entre ces deux départements si proches et pourtant si différents, s'est naturellement imposé comme ancrage principal de mon travail.

AU BORD DES EAUX MÊLÉES est une exploration photographique de cinq territoires de confluences, choisis entre le nord et le sud de la zone concernée, en grande partie, par le Contrat de Développement Rhône-Alpes Valence Drôme Ardèche Centre (CDRA VALDAC). Ces espaces de rencontre entre deux eaux sont porteurs de problématiques paysagères et urbaines variées. Aux apparences à la fois sauvages et domestiquées, ils incarnent aussi une poésie lumineuse, dégagée par la beauté discrète de ce qui semble sans importance.

(...) Attentive aux incohérences et voisinages inattendus, à l'importance des détails et à leur stratification inextricable, je m'interroge sur l'indéniable pouvoir de l'image de nous tendre un miroir, et même de nous le faire traverser. Chaque image est ainsi un point de vue, un prélèvement cadré dans l'infini des possibilités que le paysage offre au regard. »

Beatrix von Conta, 2012

AQUA

« (...) Sans exhaustivité, ni inventaire à charge, je suis les méandres aquatiques, leurs apparences et transformations multiples, ce qui les borde et accompagne, consciente de voir apparaître dans le reflet trouble de la transparence de l'eau l'écho d'une société confrontée à la gestion impérative de sa rareté, ou son abondance à venir. »

Beatrix von Conta, 2011

 

www.galerielereverbere.com
www.theatredeprivas.com

 

 

 

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Noirs Portraits

Photographie © David Molina

 

 

 

« Noirs Portraits »

Photographies de David Molina

Du 1er au 30 mars 2013
Médiathèque du Pays des Vans
Route de Païolive
07140 Les Vans
Tél. 04 75 37 84 45

Mardi : 16h-18h
Mercredi : 9h30-12h30 / 14h-18h
Jeudi : 16h-18h
Vendredi : 15h-18h
Samedi : 9h30-12h30

« Il m'est difficile d'évoquer ma démarche car j'essaie justement de ne pas avoir d'intention particulière quand je fais une photo. C'est ensuite qu'une direction s'impose à moi. Dans cette série, je souhaitais simplement faire miroiter des visages dans l'ombre. Les thèmes de la douleur et de l'isolement sont apparus après coup.

De même que le format carré. Un format qui, combiné au fond noir, renforce l'impression de confinement. Les visages, les corps sont rognés par l'obscurité. Certains affleurent à peine à la surface de l'ombre et demandent un effort pour les distinguer. Je ne me suis pas soucié du confort de l'?il. Au contraire même, si l'on plisse les yeux pour voir, c'est qu'on y cherche vraiment quelque chose, peut-être quelque chose de soi. »

D. M.

www.davidmolina.fr

 

 

 

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INA BANDY  1903-1973  la vie à fleur d'objectif

Photographie © Ina Bandy

 

 

 

« INA BANDY 1903-1973 la vie à fleur d'objectif »

Photographies Ina Bandy

Du 11 mars au 6 juin
Galerie de l'Alliance française de Bruxelles Europe
Avenue des Arts 46
B-1000 BRUXELLES

Entrée libre : lundi au jeudi 8h30 à 18h30
et vendredi 8h30 à 12h30

Vernissage le 8 mars 2013 à partir de 16h30

Comme plusieurs femmes de sa génération, Ina Bandy a choisi la photographie pour rendre compte de sa vision du monde. Née Ida Gurevitsch à Tallin (Russie), en 1903, Ina Bandy a arpenté l'Europe secouée par les soubresauts de l'Histoire qui ébranlèrent le XXe siècle. Elle s'installe finalement en France, où dès les années 1930, elle se fait connaître sous le nom d'Ina Bandy. Elle travaille en indépendante pour la presse, pour l'édition, pour des organismes et des institutions : l'Unesco, le Commissariat général au tourisme, les Archives nationales. Elle réalise des reportages en noir et blanc, mais aussi en couleur, sur la vie quotidienne et plus particulièrement celle des gens modestes dont elle saisit la soif de vivre après les années de privation de l'Occupation.

Si ses photographies documentent la vie sociale et sont un témoignage de première importance, Ina Bandy, en artiste, à l'image de Robert Doisneau, de Willy Ronis et de Sabine Weiss, porte un regard emprunt d'une sensibilité à fleur d'objectif. D'un naturel solitaire, elle meurt presque oubliée et son ?uvre est dispersée.

Aujourd'hui, sa famille, avec l'aide d'historiens et de personnes qui l'ont connue effectuent des recherches sur son histoire personnelle et son oeuvre photographique.

 

 

 

 

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Flower Power

photographie © Eric Meylan

 

 

 

« Flower Power »

Photographies de Eric Meylan

Du 8 mars au 20 avril
A la galerie Fotografika
10 rue du Borgeaud
1196 Gland

Du lundi au samedi: 09:00 - 12:00 / 14:00 - 18:30
Fermé le mardi matin et le samedi après midi
Vernissage le 8 mars à 18h30

« Si Dieu n'avait fait la femme, il n'aurait pas fait la fleur » (Victor Hugo).

Ces photos parlent des femmes et des fleurs, de la beauté des détails, du rapport entre les détails et le tout, du lien entre les femmes et les fleurs... Cette recherche nous emmène sur les chemins de la beauté, de la fragilité, de la sensualité, de l'érotisme mais aussi de l'innocence. Peut-être est-ce l'amour de ma mère pour les fleurs qui a suscité cette quête ?

Plus concrètement: j'ai photographié des détails de l'anatomie féminine, toujours entourés, enlacés, superposés à des fleurs souvent modestes, fragiles, trouvées au bord des chemins, dans les prés, dans les champs. Détails parce que je pense qu'il y a toujours de la beauté à découvrir en n'importe quelle personne, même si celle-ci ne correspond pas aux canons esthétiques imposés par l'époque. Autrement dit la beauté est dans le détail et le détail est révélateur du tout.

De même qu'il y a tout l'univers dans une cellule, on découvre tout l'univers dans une seule fleur, ou dans un ?il, une oreille ou la bouche d'une femme !

Eric Meylan

« La fleur est en même temps sein, bouche et sexe, femme au complet, sexe-trinité dans l'unité » (Malcolm de Chazal).

Les vies parallèles d'Eric Meylan

Depuis des décennies, Eric Meylan vit, un appareil photographique à portée de main, l'oeil obsédé par l'image à cadrer dans la nature, parmi les humains qui l'entourent, dans les villes. Après, il s'enferme dans l'obscurité de sa chambre noire pour révéler ses prises de vue.

Puis la couleur est arrivée, Eric Meylan s'en est enthousiasmé, jouant du plus terne au plus exubérant. Sa récente série, Flower Power, est un joyeux délire de fleurs et de féminité, la sensualité de la peau rencontre la fraîcheur des pétales.

Quand il ne photographiait pas, Eric Meylan enseignait, notamment la pédagogie de l'image et bien sûr, la photographie.?? "D'une façon générale, je me suis focalisé sur des thèmes traitant de la nature, de l'empreinte de l'homme sur son environnement (naturel ou construit), des activités des êtres humains (vaste programme !), du portrait, également.

Mais cette liste n'est pas exhaustive!?Ma démarche est thématique et les sujets très variés car mes intérêts sont multiples. Le sujet choisi détermine la façon de le traiter : format, argentique (de moins en moins...), numérique, noir et blanc, couleur (de plus en plus !) ? Que de choix possibles et intéressants!"

Eric Meylan a montré son travail dans de nombreuses et régulières expositions collectives mais aussi personnelles, en Suisse romande et à Montpellier.

(Claire-Annette Mussard)

 

www.fotografika-gallery.com

 

 

 

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Les Alpes de Doisneau

Photographie © Robert Doineau

 

 

 

« Les Alpes de Doisneau »

Photographies de Robert Doineau

Du 16 novembre 2012 au 14 avril 2013
Musée de l'Ancien Évêché
2 Rue Très Cloîtres
38000 Grenoble
04 76 03 15 25

Lundi, mardi, jeudi,
vendredi de 9h à 18h
Mercredi de 13h à 18h
Samedi, dimanche de 11h à 18h

L'année 2012 marque le centenaire de la naissance du photographe Robert Doisneau. Bien souvent, on retient de lui son travail sur le Paris d'après-guerre, mais son activité de photoreporter l'a aussi entrainé dans les Alpes. Travaux de commande pour des campagnes de publicité (la mode, l'automobile), reportage sur les Alpes pittoresques (le Queyras, la transhumance) ou le développement de la montagne comme espace de loisirs et de jeunesse (les sports d'hiver, les vacances)... mais aussi photos de vacances familiales à Laffrey, Les Alpes de Doisneau sont empreintes d'humour, tendresse et facétie, et traduisent le courant de la photographie humaniste dont l'artiste lui-même était l'un des principaux représentants.

Présentation de 120 images (tirages modernes et vintages) piochées dans le fond de l'Atelier Doisneau à Montrouge, près de Paris, et d'une sélection de documents divers (magazines, presse, publicités) qui reproduisent les clichés du photographe.

 

www.robert-doisneau.com
www.ancien-eveche-isere.fr

 

 

 

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Esprit du lieu

 

 

 

« Esprit du lieu »

872 OEUVRES EXPOSEÉES

Exposition du 10 mars au 23 avril 2013
L'antichambre
Corinne et Bruno Bret
15 rue de Boigne
73000 Chambéry

[mercredi, jeudi, vendredi et samedi de 14h à 19h] et sur rendez-vous.
Vernissage vendredi 9 mars 2013 à 18h en présence d'artistes.

1 ACCONCI 825 ARDITO 3 BURRET 6 CARBONNE 1 COUTURIER 2 CROIBIER 3 CROZAT 1 DANESH 6 DOURENN 1 DUBOIS-DAUPHIN 5 MATTER 2 DE SOUSA 4 TROTIGNON 1 VIGNY 2 WATTS 9 WUTHRICH

 

www.galerie-antichambre.com

 

 

 

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​​​​​Censure du livre photographique de Christian Lutz, In Jesus' Name

Christian Lutz, extraits de la sérieTropical Gift, 2010 © Christian Lutz
Dossier de presse, pdf

 

 

 

« Censure du livre photographique de Christian Lutz, In Jesus' Name »

Le photographe et son éditeur ont comparu devant le
tribunal civil de Zurich, le 24 janvier dernier. La censure est provisoirement
confirmée par voie juridique.
Un comité de soutien réunit de nombreuses personnalités du monde de la photographie.


Association de soutien
christianlutz.soutien@gmail.com

En 2003, le photographe suisse Christian Lutz (1973) entamait une enquête photographique sur le thème du pouvoir. Ce travail se décline en trois volets, dont chacun a abouti à un livre publié par Lars Müller Publishers : Protokoll (2007), sur le pouvoir politique ; Tropical Gift (2010), sur l'économique ; et finalement, In Jesus' Name (2012), sur le pouvoir religieux.

Le premier ouvrage de la Trilogie lance la carrière du photographe à l'échelle nationale et internationale, en plus de lui valoir de nombreuses distinctions. Cette reconnaissance sera confirmée par la série suivante. A ce titre, le Musée de l'Elysée a prévu d'exposer la Trilogie dans sa globalité de juin à septembre 2013.

Or, à peine sorti, le livre In Jesus' Name est interdit par une procédure judiciaire. Vingt et une plaintes individuelles, issues de personnes apparaissant dans l'ouvrage, sont portées contre Christian Lutz et son éditeur, sous le motif d'enfreindre le droit à l'image. Le photographe et son éditeur ont comparu devant le tribunal civil de Zurich, le 24 janvier dernier. La censure est provisoirement confirmée par voie juridique.

 

www.agencevu.com

 

 

 

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Corps célestes

Photographie © Claude Corbier

 

 

 

« Corps célestes »

Images de Claude Corbier

Du 22 février au 17 mars vernissage à partir de 18h30
Chapelle galerie de la Salamandre
3 place de la Salamandre
30000 Nîmes

Du mardi au samedi, de 15h00 à 19h00.
L'artiste sera présent chaque samedi.

L'exposition Corps céleste est un sacré carambolage.

Sacré parce qu'on y croise des Vierge Marie et des Christ, le menhir de Courbessac, un ange, un nu et une Joconde travestie en star interstellaire, mais aussi un ?trou d'air? rempli d'avions, et des engins spatiaux perdus dans un espace fantasmagorique.

Carambolage par la diversité des pièces présentées, que ce soit dans le format ou les supports : bois, papier, tissus, bâche, canevas, boules à neige, totems, de 23x18 cm à 267x133 cm... On y trouve des images mais aussi des sculptures, mais aussi une vidéo, mais aussi du son, mais aussi des parfums.

Claude Corbier joue là avec plusieurs de ses fantasmes sur fond iconique. La religion qui a bercé sous la contrainte son enfance, une vision sublimée de ses premiers émois sexués et des fantasmes plus tardifs, des avions, symboles lointains de rêve, quand on photographiait les stars sur les tarmacs.

Haut en couleur, teinté de coups de griffe, d'humour et de gravité, ce travail est un collage spirituel audacieux qui n'a rien d'un chemin de croix.

Claude Corbier

Après plusieurs années d'expériences musicales, Claude Corbier est entré en photographie avec la culture iconoclaste des artistes barcelonais de la Movida : colle, peinture et ciseaux sont aussi importants que l'image elle-même. Il a exposé en France mais aussi en Espagne, Allemagne et Maroc. Il vient de terminer une résidence d'artiste aux Archives départementales du Gard.

 

www.claudecorbier.com

 

 

 

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Et si ce n'était pas la mélancolie

Myette Fauchère, Portrait Caméléon, 2010 © Myette Fauchère

 

 

 

« Et si ce n'était pas la mélancolie »

Exposition collective

Exposition du 15 février au 19 mai 2013
Musée Géo-Charles
1,rueGéo-Charles
38130 Échirolles
Tél. 04 76 22 58 63

Du lundi au vendredi
de 14h à 18h
Samedi et dimanche
de 14h à 19h

PHOTOGRAPHIES de :

ARIÈLE BONZON / ÉRIC BOURRET / PIERRE CANAGUIER / SERGE CLÉMENT / BEATRIX VON CONTA / JACQUES DAMEZ / MYETTE FAUCHÈRE / PIERRE DE FENO?L / LIONEL FOURNEAUX / PIERRE GAUDU / WILLIAM KLEIN / MARIO PISELLI / DENIS ROCHE / YVES ROZET /

L'exposition se propose d'aborder ce sujet par l'autoportrait, le portrait, le nu, le paysage et non pas uniquement par l'histoire ou la critique, mais au gré des questions telles que : qu'est-ce qu'une photographie ? Que fait-elle qu'un autre art ne réussit pas ? À partir du titre du livre de Denis Roche : « Le Boîtier de mélancolie », l'idée était de le prendre à revers « sans proposer ce qu'il appelle une réponse, car il n'y a jamais qu'une seule réponse en art ». Jouant avec ce titre : Et si ce n'était pas la mélancolie interroger les possibles lectures. Le suivant au pied de la lettre, avec lui se poser la question du titre : avec un point d'interrogation, que se passe-t-il ? Dans ce cas là, c'est une proposition qu'on avance ou qu'on soutient comme vraie. Avec un point d'exclamation, on est plus dans l'affirmation le « c'est dit » ou « c'est entendu ». L'usage veut qu'un titre ne soit pas suivi par un élément de ponctuation, ce qui le laisse alors « flottant ».

Denis Roche écrit « que le bonheur photographique implique ou suggère quantité de sous-entendus, ne serait-ce que le penchant qui nous porte à enregistrer les moments heureux plus que les autres (...) Pour lui, il y a « des bonheurs de l'image comme il y a des bonheurs d'écriture ». Il affirme que « le joli n'exclut pas le chef d'?uvre, et que la photographie est « un art du silence, le silence qui a une surface, le silence comme « un cependant » de la photographie qui s'ajoute à la grâce du moment donné, il est sa grâce seconde, son aura dédoublée ».

À travers « ce bonheur photographique » tenir à distance le funèbre passage du temps pour suggérer bien plus : le bruissement d'une conversation des photographies entre elles, où la grâce, l'inattendu se tiennent sur un point de volupté minuscule, mais intense. « L'habitude de mélancolie » selon E. Poe, cité par Denis Roche, sera battue en brèche par cette légèreté et par la beauté simple et touchante du réel. L'exposition tentera de l'approcher avec délicatesse sans chercher à résoudre cette énigme fascinante de « tuer le présent en beauté ».

Élisabeth Chambon, conservateur du musée Géo-Charles

 

www.ville-echirolles.fr

 

 

 

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Printemps de l'image et de la photo

 

 

 

« Printemps de l'image et de la photo »

7éme édition

Le 16 et 17 mars 2013 Le 14 et 15 pour les écoles.
Centre ville d'Annonay
Ardèche

L'objectif de ce festival non marchand, dédié à l'image et à la photographie, est de permettre à tous, amateurs ou professionnels, de vivre des moments de rencontre, de partage et de découvertes enrichissantes autour de l'image, de la création et des métiers de la photographie.

Face aux images envahissantes, surtout publicitaires, dont la finalité est de nous vendre quelque chose ou quelqu'un, nous opposons une image sensible dont l'ambition, loin du commerce, est de nous emmener aux confins de l'imaginaire, à la découverte de notre nature sensible. Que les photos soient belles, étonnantes, qu'elles nous interrogent sur notre époque ou notre vie, elles restent un moyen d'expression démocratique et populaire.

Pour cette nouvelle édition, le Printemps de l'image et de la Photo renouvelle donc l'expérience du centre-ville. En inscrivant l'image au c?ur de la cité, nous créons des parcours photographiques et amenons le visiteur à découvrir des univers artistiques singuliers.

 

www.printempsimagephoto.eklablog.fr

 

 

 

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Elstir - Passerelle pour l'art

 

 

 

« Elstir - Passerelle pour l'art »

29e Rendez-vous des jeunes plasticiens

Exposition du 17 mai au 8 juin 2013 - salle raphaël - saint-raphaël (var)

Appel à candidature

Prix Passerelle 1000€
Prix Louise Baron 1000€
Prix Artimômes 800€
Prix ville de Saint-Raphaël
Prix du public

concours ouvert à toutes formes d'expressions plastiques peinture - photo - sculpture - installation - vidéo date limite de dépôt des dossiers 30 mars 2013

 

www.elstir.fr

 

 

 

WWW.FABRIQUE-IMAGE.FR

 

 

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