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© Anna Puig-Rosado |
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Actuellement
à la Fabrique de l'image.
« Désorienté »
Photographies d'Anna Puig Rosado
Du 10 janvier au 19 avril 2014
Visite du mercredi au samedi de 16h à 19h
" Quinze années à errer dans la solitude de contrées éreintées, Ormoz, Wadi Alfa, Quetta, bercée par le son velouté de l'obturateur du Leica. Photographier des silences, presque en secret, en attendant le prochain bac, le bus d'après".
L'artiste :
Grande voyageuse, Anna Puig Rosado explore l'envers du décors dans des lieux atypiques, Sibérie orientale, Yémen, Soudan, Mer Noire, Comores, Erythrée et des mégapoles comme Dubaï, Shanghai, Pékin. Elle a d'abord travaillé pour la presse magazine parisienne et a développé son travail d'auteur en réalisant des expositions présentées en France et dans le monde – Angleterre, Allemagne, Yémen, Japon – Ses travaux photographiques sont souvent accompagnés de textes ou poèmes écrits par son compagnon de route Nicolas Joriot.
Pour plus d'information c'est ici
www.annapuigrosado.net
La Fabrique de l'image est un espace dédié à la photographie
Atelier d'impression numérique : retouche et optimisation d'images, impressions d'art, grands formats avec grand choix de supports, contre-collages alu-dibond.
la Fabrique de l'image
2 rue de l'oratoire
07400 Meysse
0663251795
0981204688
La Fabrique sera exeptionellement fermé samedi 1er Mars du jeudi 20 au 24 Mars.
WWW.FABRIQUE-IMAGE.FR
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Photographie © Tristan Zilberman
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« Un pont c'est tout »
Photographies de Tristan Zilberman
Du 28 février au 30 mars 2014 Maison de la tour
1 rue des écoles
26230 Valaurie
04 75 96 01 29
Vernissage vendredi 28 février à partir de 18h
Ouvert de 14h à 18h
du mercredi au dimanche
Cette série de photographies est issue d'un reportage photo réalisé à l'occasion de la réhabilitation d'un ancien pont sur le Rhône dans la commune de Rochemaure en Ardèche.Le vieux pont suspendu de Rochemaure, hors d'usage depuis des années, a été transformé en passerelle himalayenne et se trouvera sur le parcours de la Viarhona, la piste cyclable qui relie le Lac Léman à la Méditerranée. Le suivi photographique effectué sur 6 mois, a vu toutes les phases de la transformation de l'ouvrage et les étapes du chantier qui s'est parfois déroulé dans des conditions extrêmes.
Ce projet a également fait l'objet d'un ouvrage édité par la commune de Rochemaure et intitulé “Renaissance himalayenne".
Tristan Zilberman est né en 1969 à Valence dans la Drôme. Il débute la photo en 1995 et cela devient rapidement pour lui, une passion. Il acquiert quelques rudiments par le biais d'un club photo et se lance dans l'aventure. En tant que photographe amateur, il va présenter ses travaux dès 1997, en organisant des expositions. Le plus souvent des photos de voyage, ou des reportages sur différents thèmes au gré des opportunités, la photo humaniste constituant son registre de prédilection.
En 2011, il crée la “Fabrique de l'Image", un espace dédié à la photographie, un atelier d'impression qui est aussi un lieu d'expo.
www.tristanzilberman.com www.maison-de-la-tour.fr
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Photographie © Philippe Estienne
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« Blackground »
Photographies de Philippe Estienne
Du 28 février au 30 mars 2014 Maison de la tour
1 rue des écoles
26230 Valaurie
04 75 96 01 29
Vernissage vendredi 28 février à partir de 18h
Ouvert de 14h à 18h
du mercredi au dimanche
À la prise de vue, je ne vois que la lumière qui se dessine dans le paysage urbain et je la saisis. Au moment du tirage je ne vois que la géométrie des ombres que je révèle. Apparaissent alors, les petits détails qui donnent toute la profondeur à la photographie. Ce qui donne une lecture frontale de loin et une perception spatiale de près.
Philippe Estienne est né en 1964 à Lyon. Après des études de physique, il entre à l'Ecole Supérieure des Arts et Design de Valence. Après son diplôme en 1988, ses productions artistiques sont exploratoires entre l'art et la science avec l'aide d'ordinateur comme interface et support.
Certains travaux sont développés avec le CNRS. En 1989 et 1991, il réalise 2 courts-métrages entièrement infographiques “Mémoires d'image, mémoire de mouvements" et “N7" présentés à la semaine d'art contemporain de Montélimar en 1991.
En 1994, il travaille à l'Institut de l'Art et Technologie (le IAT) à Moscou en collaboration avec des artistes russes, Youri Leiderman, et Sergeï Shutov. Ils réalisent ensemble des recherches sur la création informatique dans le cadre de happening.
En 2000, dans le cadre d'une mission polaire, il met au point le webmasting dans les lieux extrêmes à Resolute Bay (Territoire du Nunavut – Canada).
En 2006, il participe au vidéo-clip “Le souvenir" du groupe de rock Matmatah comme designer vidéo et coréalisateur ; ensuite au documentaire sur leur dernière tournée “Bande à Par".
En 2007, il réalise des interventions de Vjing dans le cadre de concerts électro et de commandes de villes (Valence, entre autres) jusqu'en 2012.
De 2007 à 2012, il met au point un drone professionnel de prise de vues et participe en tant que cadreur pilote à l'expédition au Groenland, sur le film “Le Piège Blanc" diffusé dans l'émission Thalassa sur France 3.
Parallèlement, il enseigne à l'Ecole Supérieure des Arts et Design de Grenoble-Valence en tant que professeur en infographie et multimédia depuis 1991. Il a, par ailleurs, enseigné à EURINSA (département européen de l'INSA de Lyon) sur les hyper médias de 1998 à 2008.
Tout au long de son parcours, Philippe Estienne a toujours eu la photographie comme compagne. Qu'elle soit argentique ou numérique. La seule chose qui l'intéresse, c'est de poser un regard différent sur l'espace qui l'entoure.
www.maison-de-la-tour.fr
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Photographie © Patrice Thomas
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« Green Impact »
Photographies de Patrice Thomas
Du 28 février au 30 mars 2014 Maison de la tour
1 rue des écoles
26230 Valaurie
04 75 96 01 29
Vernissage vendredi 28 février à partir de 18h
Ouvert de 14h à 18h
du mercredi au dimanche
Que voir ? Pourquoi voir ceci et non cela ? Comment le donner à voir ? Autant de questions qui, peu à peu, l'accompagnent vers un désir d'abstraction. L'abstraction c'est aussi un réel capturé et interprété ; sa question est de savoir si l'abstraction n'est pas simplement de ne plus rien voir... !
Patrice Thomas est né en 1954, il vit dans la Drôme. La photo fut d'abord pour lui la photo publicitaire. Comme pour beaucoup de jeunes photographes à la fin des années 70, l'assistanat auprès d'un professionnel s'avérait être une possible voie pour entrer en photographie.
En créant son propre studio à Paris, il travaille pour des campagnes publicitaires ; pris dans le défilé de directeurs artistiques, il manque de temps pour mettre en avant son travail personnel.
La publicité, avec un déménagement vers le Sud, s'échappe alors de son univers.
Les reportages pour l'agence Explorer la remplacent bien avantageusement. De nombreux voyages suivis de publications le confirment dans ce choix du reportage, mais aussi le souhait de montrer un travail personnel. Après une mission photographique mandatée par le ministère de la Culture sur le projet de la Pyramide du Louvre durant deux ans, la publication de plusieurs ouvrages, notamment sur le Nord de la France (éditions Punch), la participation à la création d'un magazine sur le vin (Cépages Magazine) et d'un autre sur les régions du Nord (Pays du Nord), le photo- journalisme devient une nouvelle voie où le texte s'ajoute à la photo.
Depuis, c'est cette activité qu'il pratique pour plusieurs publications, ponctuée d'expositions présentant une orientation d'un travail très personnel.
Publications personnelles :
Editions Punch
“Le Boulonnais entre ciel terre et mer"- 1991
“La Côte d'Opale"- 1992
“Voyage en Pays Boulonnais"- 1993
“Les Flobarts"- 1998
Editions Tallandier
“Les fromages du Nord", texte de Philippe Olivier – 1998
Expositions personnelles :
WC publics de Vaison-la-Romaine -1985
Ferme des Arts à Vaison-la-Romaine - 1990, 2013
Piscine de Vaison-la-Romaine - 2004
Expositions collectives :
Palais de Tokyo (Paris) -1978
Dieppe (80) - 1998
Mirabel-aux-Baronnies (26)- 2009 et 2010
www.maison-de-la-tour.fr
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Développement des fichiers Raw, avant et après - Stage "Le Raw" 2013
© Photos (de haut en bas) de : Clara Charpail, Jean-Marc Sohier et Jean Cardo
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« Développement des fichiers RAW de la prise de vue au tirage d'art »
Stage organisé par la Balance des blancs et la Fabrique de l'image
Renseignements sur le programme au 06 74 55 20 12
Samedi 1er mars 2014 de 10h à 18h TARIF : 122,50 €
La Fabrique de l'image
2, rue de l'Oratoire
07400 Meysse
POUR INITIÉS
Avec le photographe Tristan Zilberman
Nombre de participant : 4 à 6 personnes
Venez faire une expérience unique, en un même stage vous passerez de la prise de vue au développement de l'image jusqu'à son tirage sur papier "Fine Art", dans les conditions d'un atelier photographique professionnel.
Ce stage vous propose de découvrir toute la chaine graphique du traitement de l'image et en particulier la chaine de développement des fichiers RAW*. En petit groupe, vous expérimenterez une méthode qui vous permettra d'améliorer la qualité de vos images dès la prise de vue et jusqu'à l'impression sur papier "Fine Art".
* Le fichier RAW est l'équivalent en argentique du négatif ; c'est un fichier qui conserve toutes les données brutes de l'image et toutes ses nuances. Il permet de réaliser de très beaux agrandissements.
Pour plus d'information c'est ici
www.labalancedesblancs.net www.fabrique-image.fr
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« Sur la route – voyage itin'errant, comme envie d'ailleurs ou cheminement perpétuel »
La Maison de l'Image lance un appel aux photographes et vidéastes contemporains
Date limite le 14 mars Contact et renseignements
La Maison de l'Image
97 Galerie de l'Arlequin
38100 Grenoble
04.76.40.48.35
contact@maison-image.fr
Dans le cadre de la 2ème édition de ses rencontres photographiques en mai prochain, La Maison de l'Image exposera à l'Ancien Musée de Peinture de Grenoble une série de photographies de Dorothea Lange, intitulée Migrant Farmers.
A cette occasion, La Maison de l'Image lance un appel aux artistes (photographes, vidéastes contemporains) professionnels et amateurs, portant sur le thème « Sur la route – voyage itin'errant, comme envie d'ailleurs ou cheminement perpétuel ».
Figure emblématique du photojournalisme de l'entre-deux guerres et de la Grande Dépression aux Etats-Unis, Dorothea Lange s'illustre par son engagement civique à travers des photos qui dépeignent la misère de la population agricole américaine. Migrant Farmers est le résultat d'un travail commandité par la Farm Security Administration en 1935, pour témoigner des conditions de vie et de travail des fermiers américains qui, poussés à l'exode rural sont dès lors surnommés les « migrants ».
Quatre-vingt ans plus tard, ces images documentaires font toujours écho à l'actualité. Les thèmes abordés par Dorothea Lange constituent de véritables sujets de société (migration, pauvreté, crise...) qui résonnent auprès de chaque citoyen.
En parallèle de Migrant Farmers, une exposition rassemblant le travail de photographes et de vidéastes confirmés qui offriront une variation contemporaine des sujets traités par Dorothea Lange, sera présentée dans la salle Matisse de l'Ancien Musée de Peinture du 7 au 25 mai 2014.
A ce titre la Maison de l'Image lance un appel aux photographes et aux vidéastes de la région qui apporteront un regard nouveau sur la migration autour du thème: Sur la route - voyage itin'errant, comme envie d'ailleurs ou cheminement perpétuel
Les œuvres sélectionnées seront exposée dans la Salle Matisse de l'Ancien Musée de Peinture du 7 au 25 mai 2014, en parallèle de l'exposition Migrant Farmers.
www.dromeardeche-solidaires.org appel_a_photographies_2014_siteweb.pdf
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©Marine Lanier, Fougères, Espagnac, France, 2012, série La Vie dangereuse, 2013
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« La Vie dangereuse »
Photographies de Marine Lanier
Du 8 mars au 27 mars 2014
Vernissage le samedi 8 mars à partir de 17 h Le Lac de Saint Etienne / Artothèque Idéograf, 62bis rue Henri Déchaud, 42100 St Etienne
Du lundi au vendredi en téléphonant au 06 20 51 81 00
Ce projet a reçu le soutien de la DRAC Rhône-Alpes dans le cadre de l'Aide Individuelle à la Création.
Le titre "La Vie dangereuse" est emprunté à l'oeuvre éponyme de Blaise Cendrars. La série poursuit de manière arbitraire le rythme même du parcours d'aventurier de l'écrivain - l'espace littéraire ici lié aux césures géographiques, la déliquescence du sauvage tenue aux soubresauts de la mémoire.
Le propos n'est pas d'illustrer la nouvelle "J'ai saigné", mais de faire se rencontrer la fiction et l'autobiographie.
Ces close-up sont comme les fulgurances d'un homme en proie aux délires provoqués par la fièvre. La course folle que j'invente, celle d'un soldat blessé de 1915, est confrontée à la rémanence de mes souvenirs lacunaires. Le récit d'errances impossibles intriqué aux éclats d'une généalogie morcelée.
Marine Lanier, Crest, décembre 2012
Marine Lanier vit et travaille dans une région dont elle est originaire et qu'elle connaît bien. Ces photographies sont ancrées dans ce territoire et dans ce sol-là, et c'est ainsi qu'elles peuvent en partir et évoquer d'autres espaces, l' Ouest américain, l' Océan Atlantique ou la Grèce Antique.
Le lieu de la prise de vue est toujours précisé dans les titres des images. Ses photographies de lichens, de mousse, de bois calciné et de brasiers évoquent une nature sauvage et primitive, intemporelle. Les quelques hommes qui surgissent de temps à autres sont des êtres-animaux, des bêtes, au corps épais et à l'odeur âcre. Ils sont comme des arbres ; de l'écorce et des racines. Ils sont beaux comme la nature est belle : c'est-à-dire coriace, indépendante et vibrante.
A chacune des séries de photographies, Marine Lanier associe un texte littéraire. Plus qu'un accompagnement ou qu'une citation, ce texte est à chaque fois comme une autre image qui viendrait s'ajouter à la série. On ne sait si c'est le texte qui a suscité les images, ou si ce sont les images qui ont conduit au texte. Ce qu'on devine, c'est qu'il y a derrière ces rapprochements, ces frottements de la littérature avec la photographie, une intention de lectrice.
Les extraits que Marine Lanier choisit et place dans ses séries photographiques sont empruntés à Joseph Conrad, Jack London, Blaise Cendrars, Calamity Jane, mais aussi Gilles Deleuze, Virginia Woolf ou Denis Diderot. Ce sont des mots qu'on lit, mais ce sont des images qu'on voit. Des paysages amples, des chevaux lancés au grand galop dans de poussiéreux déserts, des craquements et des souffles de bêtes. Il y est question de survie et d'extrême, de monstres marins, de glace, de forêt, de guerre. Souvent, ce sont des histoires lointaines. Des auteurs datés dans des lieux éloignés, ramenés au plus près, ici, dans un morceau de buisson vert sombre de la Drôme. Marine Lanier parle de "césure". Césure géographique, césure temporelle. Encore une fois, c'est un déplacement : déplacement des mots vers l'image, déplacement d'un récit qui se passe en pleine mer, dans le Far West ou en Alaska, dans les paysages drômois ou arméniens. Surtout, par cette césure, c'est une confusion qui est provoquée : tout comme un gros plan nous laisse libre d'imaginer le hors-champs, l'association d'un texte à une série photographique brouille l'époque et le lieu de la prise de vue, brouille la lecture qu'on fait d'une image. Elle élargit l'espace dans lequel on la situe.
Plus qu'une association de la littérature et de la photographie, Marine Lanier met en évidence l'évidente porosité qui existe entre les deux ; ils se frottent et se ressemblent.
Touchant à la littérature, les photographies touchent à la fiction, et touchant aux lieux et aux temps, elles touchent aussi à l'Histoire et à la Géographie.
Le travail de Marine Lanier réside donc dans les interstices créées par les déplacements et les césures. Déplacement du titre vers l'image, du détail vers l'ensemble, de la littérature vers le photographique, d'une époque vers une autre, d'un espace vers un autre. Ces mouvements forment des espaces intermédiaires, innommables et secrets, dans lesquels celui qui regarde – celui qui lit – peut se glisser pour s'approprier l'image. C'est sa place, son point de vue pour pouvoir projeter ce qu'il veut. C'est là que naissent les histoires. Ce sont des portes.
Les déplacements permettent les résonances : elles permettent de nous faire sentinelle et de nous placer à un poste d'observation où l'on peut avoir la vue la plus large. Où l'on peut regarder de façon aiguisée, contempler les ensembles faits de détails, de séries, de textes et d'images. C'est dans ces espaces que les échos se font ; qu'on envoie les choses au plus loin et qu'elles nous reviennent réverbérées, multipliées, associées à d'autres.
Nina Ferrer-Gleize, Des échos, Étival-Strasbourg-Paris, décembre 2013
www.marinelanier.com www.artotheque-ideograf.com
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Photographie © Anna Puig Rosado
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« Explorer le portrait »
Stage photo numérique animée par Anna Puig Rosado
Week-end du 22 et 23 mars 2013 Atelier Bildo Photo
400 chemin du Rastelet
26770 Roche Saint Secret
Inscriptions sur bildo@netcourrier.com
180 euros le week-end - repas du dimanche midi et collations inclus
de 9h-18 h avec pause à midi
TEl 04 75 53 69 21
En Drôme provençale dans le charmant village de la Roche saint Secret (à 10 minutes de Dieulefit et Grignan)
Venez passer un week-end 100 % photo pour explorer le portrait accompagnée par Anna Puig Rosado photographe reporter passionnée (plus de 15 d'expérience).
Voici un avant gout du planning du week-end «explorer le portrait» :
- Alternance entre prises de vue et vidéoprojection commentée tout au long du week-end. - Prises de vue de portrait au naturel, ou mise en scène en intérieur et/ou extérieur. - Prises de vue en groupe et par deux (photographe et sujet en alternance). - Iconographie sur la photographie de portrait avec une sélection de livres.
Le programme détaillé vous sera envoyé par mail 10 jours avant le stage.
www.annapuigrosado.net
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« De la naissance de l'image à sa disparition »
Conférence menée par Georges Didi-Huberman
Jeudi 13 mars 2014 à 18 h
Lux scène nationale
36 av. Général De Gaulle
26000 Valence
Georges Didi-Huberman philosophe et historien d'art, s'intéresse tout particulièrement à la théorie des images de la Renaissance à aujourd'hui, thème sur lequel il a publié plus d'une trentaine d'ouvrages.
Né à Saint-Etienne en 1953, il a été pensionnaire à la Villa Medicis et enseigne depuis 1990 à L'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales à Paris.
Entretien avec Anne Favier (enseignante en Histoire de l'art à l'Université de St-Etienne) et Philippe Roux (enseignant à l'Ecole des Beaux-Arts de St-Etienne)l
Jeudi 13 mars 2014 à 20 h un film proposé et présenté par Georges Didi-Huberman “La Pierre triste“ (Agelastos petra) Réalisation, scénario, image, production : Filippos Koutsaftis. Grèce, 2000
Pourquoi ce film ? Parce qu'il est assez rare que le cinéma s'attache ainsi aux profondeurs de la terre. Assez rare qu'il s'attache avec autant de tendresse et d'opiniâtreté ? douze années de tournages erratiques mais obstinés dans le site d'Éleusis ? à saisir ce qui survit de mystères passés, de villes enfouies, de vies enfuies. Filippos Koutsaftis a pensé le cinéma comme un art des survivances, une archéologie au sens plein du terme. Mais l'archéologie est un champ de batailles, et pas seulement de fouilles. Le cinéaste a bien vu que les choses survivantes se faisaient la guerre à chaque moment : choses survivantes pour tuer la mémoire (les usines pétrochimiques, l'asphalte par-dessus la Voie sacrée), contre lesquelles des êtres survivants luttent pour redonner naissance à quelque chose, comme chez cet homme qui erre parmi les pierres et en prend soin comme d'enfants blessés. Tout cela guidé par un phrasé d'images si simples et de mots si profonds qui font de ce film un seul et grand poème.
Georges Didi-Huberman.
Dans le cadre du cycle de conférences, proposé par les Amis du musée de Valence (en partenariat avec le Lux scène nationale)
www.lux-valence.com http://amis-musee-valence.fr www.louvre.fr
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Le bruit m'arrivait comme les vagues de la mer ©Stéphanie Lehu
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« La Belle indifférence »
Photographies de Stéphanie Lehu
Du 10/03 au 15/03/14 ICM - Hôpital de la Pitié Salpêtrière
47 bd de l'Hôpital
75013 Paris
Entrée libre
A l'occasion de la Semaine du Cerveau, l'Institut du Cerveau et de la Moelle Epinière et la Bibliothèque Universitaire Pierre et Marie Curie invitent l'artiste photographe Stéphanie Lehu à présenter l'exposition photographique « La Belle Indifférence », inspirée de l'Iconographie de la Salpêtrière. Plusieurs ouvrages issus de la bibliothèque personnelle de Jean-Martin Charcot seront exposés en parallèle dans la bibliothèque Charcot (BUPMC).
Rencontre avec l'artiste le mercredi 12 mars à 17h.
www.stephanielehu.com www.icm-institute.org
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« Mensonge#5 : les Ralentis »
Images Béatrice Darnal
Février 2014 Edition FluxTendu
Son nom est Roberte. Dans son monde la chair a été recouverte. Dans son monde l'abstraction n'a plus cours. Son nom est Léon. Inextinguible, chimérique, il s'offre à ceux qui passent. N'est visible qu'aux pareils. Son nom est Pipistrelle. Elle est l'ange du dessous du jour, une région du sommeil. C'est un endroit la tête en bas.
www.darnal.com www.edition-fluxtendu.fr
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Olivier Crouzel à la Place Puits Baussenque : Prix de La Nuit de l'Instant 2011
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« La nuit de l'instant »
Soutenez la manifestation
La Nuit de l'Instant est un moment festif et gratuit dans le plus vieux quartier de Marseille, fait de rencontres avec des œuvres, des lieux, des artistes. Pour sa cinquième édition, La Nuit de l'Instant présentera des œuvres innovantes (installation, vidéo, performances, diaporama ... ) dans des lieux patrimoniaux ou spécialement ouverts pour l'occasion : théâtre, galeries, caves, restaurants, salons de thé, centres sociaux...
QUI ?
Depuis 1996, Les Ateliers de l'Image réalisent des actions artistiques et pédagogiques dans le domaine de la photographie, et développent un projet cohérent en reliant de manière honnête la pensée, la parole et l'action et un engagement avec un territoire et ses habitants.
Ce projet est une approche collective, sensible et réfléchie, des questions liées à la production, à la lecture et à l'utilisation des images photographiques aujourd'hui.
Aujourd'hui la photographie est en question. Le numérique a révolutionné ses pratiques et ses supports, multiplié ses utilisateurs, bouleversé notre manière de regarder les images. Dans ce contexte, nous avons voulu créer La Nuit de l'Instant, une manifestation qui veut accompagner et stimuler une réflexion sur les nouvelles frontières de la photographie. Ce projet de territoire affirme aussi notre volonté de diffuser l'image la plus contemporaine pour un public le plus large possible, en accompagnant des groupes scolaires, des habitants du quartier et les visiteurs dans la compréhension du travail des photographes.
QUOI ?
Sous forme d'un parcours artistique La Nuit de l'Instant réunit différentes propositions artistiques autour de la photographie, mais sous d'autres formes que la photographie papier.
Comme une manière de montrer la photographie sans photographie, à travers différents dispositifs et formes artistiques. Une question centrale nous sert de guide : à partir de l'idée d'image fixe, comment la photographie peut-elle être abordée de manière transversale par d'autres médiums ?
Vidéos, installations multimédia, créations numériques, projections, diaporamas, films, peintures, dessins... vont questionner le regard à travers la présentation de plus de cinquante artistes qui abordent la photographie de manière expérimentale, originale et novatrice.
COMMENT ?
Un autre aspect à souligner c'est notre engagement pour réaffirmer et revaloriser les liens de sociabilité et de solidarité, créés depuis 17 ans avec différents partenaires dans le quartier du Panier à Marseille. Partenaires historiques ou plus récents, institutions reconnues ou bien structures culturelles et associatives de quartier, l'intérêt mutuel nous fédère et nous implique vers un idéal démocratique : la mise en commun des moyens et du savoir faire, la libération des énergies et des initiatives, et l'engagement dans notre vie culturelle.
C'est le lien entre des structures et des lieux très différents qui fait toute la particularité de la manifestation. C'est aussi grâce au soutien et à l'aide des membres et des bénévoles des Ateliers de l'Image qu'elle est rendue possible.
POURQUOI ?
Après avoir organisé la manifestation pendant quatre ans avec le strict minimum de financements, et devant la baisse des aides publiques ou privées, nous avons aujourd'hui besoin de trouver de nouveaux moyens pour organiser la manifestation La Nuit de l'Instant qui depuis deux ans connaît un très grand succès populaire. L'appel à contribution est notamment lancé suite au refus de soutenir la venue et l'accueil des artistes africains à Marseille pour l'édition 2014, et, compte tenu de la baisse générale des financements, pour laisser libre et gratuite l'accès à la manifestation pour les visiteurs comme pour les artistes.
À QUOI SERVIRA LA COLLECTE ?
Inviter quatre artistes africains (originaires de Bamako) dont le travail sera présenté pendant La Nuit de l'Instant 2014, les loger les nourrir. Cout estimé : 3000 euros.
Garder la gratuite d'inscription des artistes pour l'appel à participation (la plupart des festivals demandent en effet aux artistes une PAF lors des appels à participation). Cout estimé : 2000 euros.
Pouvoir maintenir la manifestation sur deux jours. Cout supplémentaire estimé : 2000 euros. Permettre de conserver la gratuité de la manifestation pour qu'elle puisse être partagé par le plus grand nombre. Coût inestimable.
www.kisskissbankbank.com/soutenez-la-nuit-de-l-instant-2014 www.ateliers-image.fr
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Autoportrait © Frédéric-Vartan Terzian
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« À vartan »
Photographies de Frédéric-Vartan Terzian
Exposition du 27 février au 24 avril 2014 Bibliothèque du 1er
La Condition des Soies
7, rue Saint-Polycarpe
69001 Lyon
Voir les horaires
EUDI 27 FÉVRIER À 18H30 / VERNISSAGE DE L'EXPOSITION
1994... Vingt ans se sont écoulés depuis la disparition de Frédéric-Vartan Terzian. De cette longue absence est née l'idée d'une nouvelle exposition. En effet, déjà en décembre 1988, la bibliothèque de la Part-Dieu organisait une importante manifestation autour des photographies de Frédéric.
2014... ses proches, fidèles à sa mémoire, font don à la Bibliothèque municipale de Lyon de l'intégralité de ses photographies (négatifs, planches-contacts et tirages). Cette démarche nous permet d'explorer à nouveau son univers, de nous plonger dans ses archives pour y découvrir de nouvelles images.
L'exposition présentée se compose d'une cinquantaine de photographies et objets personnels, reflets de ses recherches existentielles Elle témoigne des sujets de prédilection de Frédéric-Vartan Terzian : images de l'enfance, autoportraits, travail de mémoire auprès des rescapés du premier génocide du 20e siècle.
Elle nous offre en partage des images où l'argentique ; le jeu subtil du noir et du blanc deviennent les témoins d'une vie d'artiste trop vite arrêtée.
Sylvie Aznavourian, responsable des collections photographiques Bm Lyon
Le livre À Vartan, Filigranes Editions accompagne l'exposition.
www.php.bm-lyon.fr www.numelyo.bm-lyon.fr
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Photographie © Dorothea Lange
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« Migrants farmers »
Photographies de Dorothea Lange
Du mardi 11 février au samedi 8 mars 2014 Médiathèque du Trente
30 avenue du Général Leclerc
38 200 Vienne
Mardi : 13h / 18h Mercredi : 10h / 18h Jeudi : Fermeture Vendredi : 13h / 18h Samedi : 10h / 18h
Les photographies poignantes des sans-abris réalisées par D. Lange attirent l'attention de la Resettlement Administration (cet organisme fédéral gère l'installation des familles en difficultés dans des communautés prévues pour leur accueil).
L'agence recrute la photographe en 1935 et publie dans les journaux de tout le pays ses clichés de la pauvreté et de la détresse qui touchent alors violemment les Etats-Unis.
Les photographies étant propriété de l'Etat, elles sont publiées sans demande de paiement, ce qui contribue à leur propagation rapide et à faire des personnes photographiées des icônes de l'entre-deux-guerres américaine.
www.culture.vienne.fr
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Photographie © Fabienne Forel
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« Poétique de l'espace dans un monde fini »
Photographies de Fabienne Forel
Du 8 mars au 13 avril 2014 Galerie le NEUF
9 place de la halle DARDE
34700 Lodève
Vernissage 7 mars à 18h30
Parcourant les limites extrêmes de l'Europe, Fabienne Forel propose une vision poétique du monde en soulignant la spécificité d'un territoire tant au niveau de la lumière que du relief.
Sensible aux atmosphères climatiques, l'artiste essaye de rendre compte de la "géographie universelle" dont parle Elisée Reclus.
Après de nombreuses expériences dans le domaine de l'art de l'écriture, l'artiste travaille aujourd'hui à la conception d'un langage photographique à travers ses recherches sur le voyage et sur l'espace initiatique et créatif.
Elle a réalisé plusieurs expositions sur les thèmes de l'identité et du voyage.
C'est cette volonté que traduit cette exposition, projet photographique sur les limites physiques et symboliques de l'Europe, où se mêlent voyage et poésie.
Venez découvrir cette exposition qui ne manquera pas de vous faire voyager aussi bien dans la beauté de la nature que dans la réflexion sur des problématiques actuelles, grâce à des paysages sublimes et chargé de sens, notamment en Islande où la toute puissance de la nature interroge sur les limites humaines.
Photographe-voyageuse, Fabienne Forel poursuit une approche exploratoire et sensitive du monde qui favorise le rapprochement avec la dimension humaine et avec la sensation d'unité au-delà de la diversité.
Une captation photographique d'une errance où le monde reste ouvert et créateur...
www.fabienneforel.com www.galerieleneuf.org
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« Prix de l'Élysée »
Le Musée de l'Elysée lance un nouveau prix photographique
Date limite de dépot des candidature le 25 avril 2014 Musée de l'Elysée
18 Avenue de l'Elysée
1014 Lausanne
Switzerland
A travers ses expositions et son événement majeur en été, la Nuit des images, le Musée de l'Elysée soutient les photographes dans la production de leurs œuvres. Un prix photographique est une autre manière pour cette institution de remplir cette mission fondamentale. Dans un engagement commun pour encourager la créativité et la réalisation de nouvelles œuvres, le Musée de l'Elysée et Parmigiani Fleurier s'associent pour lancer le Prix Elysée.
Qui peut poser sa candidature ?
Le Prix Elysée est ouvert à des photographes ou des artistes prometteurs utilisant la photographie, quelle que soit leur nationalité, dont le travail a fait l'objet de premières expositions et publications. Ils sont recommandés par un professionnel reconnu dans le domaine de la photographie, de l'art contemporain, du cinéma, de la mode, du journalisme ou de l'édition. Tous les genres et techniques photographiques sont bienvenus. Le prix n'a pas de thème.
Comment ça marche ?
Le Musée de l'Elysée sélectionne huit nominés sur la base de leur dossier de candidature. Ils reçoivent une contribution de 5'000 CHF en vue d'une première présentation d'un projet inédit dans le livre des nominés, publié pour l'occasion. Ce livre ainsi que le dossier complet des nominés sont examinés par un jury d'experts pour désigner le lauréat, qui reçoit 80'000 CHF. Cette somme est attribuée pour moitié à la production du projet et pour moitié à la publication du livre de ce projet. Le lauréat doit mener son travail à terme en une année, au cours de laquelle il est suivi par un conservateur du Musée de l'Elysée. Le projet et le livre du lauréat sont présentés à la Nuit des images. Le livre des nominés et celui du lauréat sont réalisés par l'une des imprimeries de la Fondation de Famille Sandoz.
Comment poser sa candidature ?
Si vous êtes un photographe, ou si vous connaissez un photographe qui devrait poser sa candidature, toutes les informations utiles se trouvent sur www.prixelysee.ch
www.prixelysee.ch www.elysee.ch
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