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Suzanne

Photographie © Christine Smilovici

 

« Suzanne »

Photographies de Christine Smilovici

Du 30 avril au 23 juillet

Du mercredi au samedi
De 16h à 19h

« en dessous, quelque chose comme une sérénité secrète liée à l'ancrage dans l'espace, à l'encrage sur la croix, de cette mort qui cessait enfin d'être abstraite »

Georges Perec, W ou le souvenir d'enfance.

Quand, fille de ma mère, je reçus d'elle, il y a quelques années, la maison de Villaines-les-Rochers, je savais que j'héritais de beaucoup.

Cette petite maison aux toits bleus et aux volets blancs, sertie de tuffeau dans le modeste creux d'un val, avait observé, en d'autres temps, une autre vie. Elle avait vu naître ma grand-mère, et l'avait vue mourir.

Dans la petitesse de ses murs, une vie s'était tenue, et l'avait empreinte.

Il en restait encore des traces, d'ailleurs : quelques derniers vêtements, un mobilier pauvre, des objets simples.

Et jamais l'absence ne me semblait aussi tangible.

Depuis cette disparition, je séjourne régulièrement dans cette maison, accompagnée de ma mère et de ma fille.

 

www.chsmiloc.wix.com

Pour plus d'information c'est ici

 


La Fabrique de l'image est un espace dédié à la photographie

Atelier d'impression numérique : retouche et optimisation d'images, impressions d'art, grands formats avec grand choix de supports, contre-collages alu-dibond.

la Fabrique de l'image
2 rue de l'oratoire
07400 Meysse
0663251795
0981204688


pour diffuser les évènements autour de l'image, vous pouvez donc retrouver aussi toutes ces infos ICI


 

WWW.FABRIQUE-IMAGE.FR

 

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Un pont c'est tout

photographie © Tristan zilberman

 

 

 

« Un pont c'est tout »

Photographies de Tristan Zilberman

Du 4 juillet au 6 septembre 2014
Médiathèque Jacques Dupin
3 rue Elie Reynier
07000 Privas

Vernissage le vendredi 4 juillet à partir de 18h

Mardi 12h > 18h
Mercredi 10h > 12h et 14h > 19h Vendredi 14 h > 18 h
Samedi 10 h > 12 h et 14 h > 17 h

Cette série de photographies est issue d'un reportage photo à l'occasion de la réhabilitation d'un ancien pont sur le Rhône dans la commune de Rochemaure en Ardèche. Le vieux pont suspendu de Rochemaure, hors d'usage depuis des années, a été transformé en passerelle himalayenne et se trouvera sur le parcours de la Viarhona, la piste cyclable qui relie le Lac Léman à la Méditerranée. Le suivi photographique effectué sur 6 mois, a vu toutes les phases de la transformation de l'ouvrage et les étapes du chantier qui s'est parfois déroulé dans des conditions extrêmes.Ce projet a également fait l'objet d'un ouvrage édité par la commune de Rochemaure et intitulé “Renaissance himalayenne?.

 

www.tristanzilberman.com
www.bm-privas.fr

 

 

 

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Suzanne - saison 1 & 2

 

 

 

« Suzanne - saison 1 & 2 »

Photographies de Christine Smilovici

Parution :mai 2014
Edition FluxTendu

Format 9 cm x 13,5 cm
16 pages
Impression sur papier mat,
couverture souple avec rabats
Réalisation La fabrique de l'image
Prix de vente 15 euros la saison

Se souvenir de Suzanne.

Nous installer chez elle, manger à sa table puis dormir dans son lit
Porter son vieux pull puis sa blouse bleue
Refaire ses promenades, mettre nos pas dans les siens.
Lui prêter nos corps pour qu'ils réinventent sa vie.

 

www.chsmiloc.wix.com/christine-smilovici
www.edition-fluxtendu.fr

 

 

 

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L'appui du vent

photographie © Magali Ballet - sleeping trees 2014

 

 

 

« L'appui du vent »

photographies de Magali Ballet - Oeuvres sur papier d'Odile fix

Du 19 juillet au 21 Août
L'archipel sur le lac.
Les charrières
71110 Marcigny

Tous les jours de 10 heures à 18 heures, et sur RDV.

Les images de Magali Ballet sont inspirées d'une mémoire naturelle de territoires et paysages de temps où se manifestent la matière organique et cosmique.

La langue des forêts, des eaux et des sentiers nous conduit à ces lisières, frontières incertaines au milieu du ciel, à des lumières qui ne ressemblent ni au jour, ni à la nuit.

Il s'agit ici d'entrer en contemplation pour déchiffrer les traces laissées par la mémoire d'une présence sans cesse pressentie et toujours absente. Ces images contiennent toutes les lueurs ombreuses des matins ou des soirs traversées de murmures, de tremblements.

Les photographies s'organisent en séries d'images et unités de préoccupations. Ici trois extraits de séries seront présentés pour s'accorder aux papiers d'Odile Fix :

« d'autres nuits », « au delà du violet » et « sleeping trees ».

A l'occasion de cette exposition un livre d'artistes sera présenté, avec des œuvres sur papier d'Odile Fix, des images tirées sur papier japon de Magali Ballet et un poème inédit d'Erwann Rougé.

 

www.magaliballetphotographies.blogspot.fr
www.monarchipel.free.fr

 

 

 

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Nègre comme neige

Fabrice Mouyon © wwww.fabricemouyon.com

 

 

 

« Nègre comme neige »

Exposition de Fabrice Mouyon

Du 11 juillet 2014 au 03 août 2014
Dans différents lieux du village
Vieux village
quartier Les Pérouses
26400 Cobonne

Expositions gratuites

Nègre comme Neige est un spectacle dansé de Lionel Frédoc et mis en texte par David Tacita. J'ai suivi de près ce spectacle et je l'ai vu à plusieurs reprises. Ce fut, dès la première fois, une expérience qui m'a étonné par la force du texte, des mouvements de danse et les enjeux du spectacle. A partir de ce spectacle, j'ai réalisé une série photographique que je vous propose de découvrir au village de Cobonne.

Cette exposition se déroule dans le cadre de l'événement « Les Alters'Natifs à Cobonne » du 11 juillet au 3 août.

 

wwww.fabricemouyon.com
www.collectif-made.wix.com/les-alters-natifs
http://collectif-made.wix.com/les-alters-natifs#!les-altersnatifs--cobonne/c17fe

 

 

 

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Noirs Portraits

Photographie © David Molina

 

 

 

« Noirs Portraits »

Photographies de David Molina

Du 31 mai au 01 novembre 2014
Château du Pin
07380 Fabras

Du 31/05 au 18/07, sur rendez-vous
Du 20/07 au 31/08, du jeudi au dimanche de 15h à 19h
Du 01/09 au 01/11, sur rendez-vous

Vernissage, samedi 19 juillet à 17h30

Renseignements / Prise de rendez-vous : 04 75 38 05 26

Il m'est difficile d'évoquer ma démarche car j'essaie justement de ne pas avoir d'intention quand je prends une photo. C'est ensuite qu'une direction s'impose à moi. Dans cette série, je souhaitais simplement faire miroiter des visages dans l'ombre. Les thèmes de la douleur et de l'isolement sont apparus après coup.

De même que le format carré. Un format qui, combiné au fond noir, renforce l'impression de confinement. Les visages, les corps sont rognés par l'obscurité. Certains affleurent à peine à la surface de l'ombre et demandent un effort pour les distinguer. Je ne me suis pas préoccupé du confort de l'œil. Au contraire même, si on plisse les yeux pour voir, c'est qu'on y cherche vraiment quelque chose, peut-être quelque chose de soi.

D. M.

 

www.davidmolina.fr
www.chateaudupin.org

 

 

 

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Nuits photographiques de Pierrevert

Photographie © Sacha

 

 

 

« Nuits photographiques de Pierrevert »

6 émes édition

Du 25 au 27 juillet 2014

Créé en 2008 par une bande de passionnées, le festival des Nuits Photographiques de Pierrevert a pour objectif de provoquer des rencontres entre des photographes de renommée internationale et de jeunes talents prometteurs auxquels le festival souhaite apporter confiance et visibilité. Basé sur le double signe convivialité-qualité, il permet d'accéder à une sélection talentueuse tout en offrant une grande proximité entre le public, les artistes et les habitants de Pierrevert.

Chaque année, l'évènement est parrainé par un grand nom de la photographie (Les 4 premières éditions furent ainsi successivement parrainées par Peter Knapp, Oliviero Toscani, Steve Hiett, Hans Feurer et Jean Daniel Lorieux)

Pour l'édition 2014, nous aurons donc le plaisir d'accueillir la photographe Sacha Van Dorssen qui nous fait l'honneur d'être notre marraine.

 

www.pierrevert-nuitsphotographiques.com

 

 

 

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Alger, climat de France

Photographie © Stéphane Couturier

 

 

 

« Alger, climat de France »

Photographies de Stéphane Couturier

Du 12 juillet au 28 septembre 2014
Hotel des Arts
236 bd Maréchal Leclerc
83000 Toulon

Ouvert tous les jours sauf lundi de 10h à 18h
Entrée libre

L'exposition présentée est une commande de l'Hôtel des Arts passée auprès de l'artiste Stéphane Couturier sur la cité emblématique Climat de France réalisée par Fernand Pouillon à Alger entre 1954 et 1957.

A travers son regard de photographe et de vidéaste, Stéphane Couturier interroge la puissance de cette architecture à la modernité étonnante et dévoile une part intime de ces murs. Une forme d'hommage à travers un projet inédit dans lequel l'expérimentation du territoire sera partout à l'œuvre : dans l'univers clos des cités, mais aussi dans la confrontation avec la ville, le port, la mer, l'infini.

 

www.stephanecouturier.fr
www.hdatoulon.fr

 

 

 

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Les rencontres d'Arles

Photographie © David Bailey

 

 

 

« Les rencontres d'Arles »

45émes édition

Du 7 juillet au 21 septembre 2014

Le sillon sans relâche

par Jean-Noël Jeanneney, président des Rencontres d'Arles.

Les Rencontres d'Arles s'apprêtent à offrir cette année leur 45e édition. Manifestation sans pareille parmi la photographie mondiale, elles font notre fierté et celle d'une ville où convergent chaque année des dizaines de milliers de professionnels et d'amateurs férus d'images, de découvertes, d'échanges de toute nature.

Placée sous le signe du noir et blanc, l'édition 2013 s'est achevée sur des chiffres record: 96 000 visiteurs, soit 11 000 de plus qu'en 2012. Un total inégalé par le passé, témoin d'un engouement qui ne cesse de croître, et dont la presse française et internationale s'est généreusement fait l'écho en saluant une programmation à la fois riche, ambitieuse et fédératrice. Nous en tirons –pourquoi le cacherai-je ?– une vive satisfaction. Non seulement le festival s'est attaché désormais un nombre élevé de fidèles, pour lesquels il est devenu une étape précieuse durant l'été, mais il attire chaque année 30 % de nouveaux visiteurs, dont on peut gager qu'à leur tour ils reviendront à l'avenir, séduits par l'expérience arlésienne.

François Hébel, en plein accord avec moi, a décidé de placer cette édition 2014, la cinquième qu'il me revient de présenter, sous le signe de l'amitié et de la fidélité. Lui, dont cette réalisation sera la dernière, a noué au fil des ans des liens puissants avec nombre d'artistes. Il a souhaité en associer plusieurs à ce dernier rendez-vous, afin de mettre en lumière et en mémoire le chemin parcouru de conserve.

On retrouvera donc plusieurs proches de longue date du festival, à commencer par Raymond Depardon, déjà commissaire invité de l'année 2006, qui est restée vivante dans notre souvenir. Je me réjouis de le savoir voué à parrainer la grande exposition que nous allons consacrer aux 40 000 monuments aux morts édifiés sur le sol de notre pays après la Première Guerre mondiale, ce cataclysme dont 2014 marque avec éclat le centenaire. Il n'est guère besoin que je vous dise le prix que j'attache personnellement, comme historien et comme citoyen, à cette commémoration et l'émotion que j'éprouve d'avance à l'idée que nous y contriburons de la sorte, en y associant, selon un protocole de prises de vue établi par Raymond Depardon lui-même, les habitants de nombreuses communes de notre pays – cela grâce au précieux appui de la Mission du Centenaire et de la fondation Carac.

Au titre des grandes retrouvailles, nous aurons également la joie de compter parmi nous Lucien Clergue, fondateur des Rencontres avec Jean-Maurice Rouquette et Michel Tournier, qu'a rejoints Maryse Cordesse. Nous fêterons ses 80 ans.

À cette occasion, il reviendra, à travers une série d'entretiens, de vidéos et de photographies, sur les hommes et les femmes qui ont marqué sa vie et jalonné son parcours.

Christian Lacroix, qui fut le commissaire invité de l'édition 2008, sera également des nôtres, avec un projet inédit d'hommage à l'Arlésienne, dans un lieu qui n'avait jamais encore été occupé par les Rencontres, la chapelle de l'hôtel Jules César.

On retrouvera d'autre part l'un des grands noms de la photographie contemporaine, qui fut lui aussi de longue main notre compagnon de route, commissaire invité en 2004 : Martin Parr présentera sa collection de livres de photographies chinois, évoquant ainsi précieusement l'histoire de ce pays, qu'éclairera également la collection de photographies de groupes rassemblée par Claude Hudelot.

Je me félicite également que la National Portrait Gallery ait souhaité nous associer à une rétrospective de l'uvre de David Bailey que nous sommes heureux de présenter. Je tiens à remercier et à saluer ici les divers collectionneurs pour la confiance qu'ils nous portent en réservant à Arles la primeur de certaines parties de leurs richesses.

Enfin, Erik Kessels comptera semblablement parmi les commissaires invités et il nous offrira une sélection de points de vue contemporains en provenance des Pays-Bas – parmi bien d'autres expositions dont je laisse à François Hébel, comme il convient, le soin de présenter la force et la diversité.

Fidèles à notre volonté de favoriser l'accès aux pratiques photographiques et de contribuer à aiguiser les regards dans un monde où l'image est omniprésente, nous poursuivons la politique qui a vu naître depuis des années de très nombreuses initiatives à succès : lectures de portfolios, stages organisés du printemps à l'automne, colloques thématiques, visites d'expositions avec les photographes et les commissaires, conférences et débats gratuits tous les jours de la semaine d'ouverture, interventions et ateliers en milieu scolaire.

L'année 2013 a été marquée par les dix ans d'une manifestation qui nous est chère et qui est devenue un symbole de la politique pédagogique inventive des Rencontres : la Rentrée en Images. Le succès de cette manifestation est tel (10 750 élèves en 2013) que, faute de place, nous n'avons pu accueillir toutes les classes qui auraient souhaité y participer. Cette fois-ci, nous aurons le plaisir d'organiser en même temps un séminaire pédagogique qui accueillera, pendant deux jours, 300 enseignants et professionnels de la culture autour d'un thème spécifique, le plus stimulant possible: «Image, texte et récit: comment se racontent les histoires aujourd'hui ? » J'aime à rappeler qu'en 2004, lors de sa première édition, la Rentrée en Images ne concernait qu'une seule académie et une centaine d'élèves, et à mettre en lumière le chemin parcouru.

Fort de ce succès, le service pédagogique a développé, depuis quelques années, un outil d'aide et d'initiation à la lecture de l'image. Cet outil pédagogique, le jeu Pause-Photo-Prose, nous avons été contents de le présenter en 2012.

Il a déjà servi efficacement et suscité des réactions chaleureuses dans de nombreux lycées professionnels, écoles, centres sociaux, médiathèques. Ce travail d'essaimage va se poursuivre au cours des deux prochaines années auprès de médiateurs, d'éducateurs et d'enseignants de toute la France, grâce à l'appui conjoint de la fondation Total, du ministère de la Culture et du ministère de l'Éducation Nationale. Ce dispositif devrait toucher plus de 260 communes et former 800 enseignants et médiateurs.

Je n'oublierai pas non plus un projet qui me tient à cur : la médiathèque numérique des Rencontres d'Arles, accessible sur notre site Internet depuis 2013, avec le soutien du ministère de la Culture. L'Ina, qui m'est cher, nous accompagne dans cette mission, et je tiens à l'en remercier, en numérisant et en indexant l'ensemble des archives sonores et audiovisuelles des Rencontres.

Ces succès ne doivent pas empêcher d'évoquer l'avenir. Alors que les Rencontres atteignent une audience sans égale et que leur renommée universelle est désormais installée, elles s'apprêtent à vivre un tournant périlleux. Une ère s'achève avec le départ de François Hébel, leur valeureux directeur, qui, en douze ans de mandat, aura non seulement sauvé le festival d'une mort annoncée mais décuplé son public.

Notre tristesse est grande de voir partir une personnalité avec laquelle les équipes du festival ont cheminé durant tant d'années dans la complicité et la confiance, dont nous n'avons cessé d'apprécier le talent hors de pair, avec lequel j'avais personnellement tissé, au fil des années – pourquoi ne pas le dire ? – des liens d'amitié profonde. Il sait que j'ai compris les motifs de sa décision, en parfaite solidarité avec lui.

Qu'il me soit permis de lui souhaiter le meilleur pour la suite, et pour les nouveaux défis qu'il relèvera, j'en suis sûr, n'étant pas homme à se reposer longtemps sur ses lauriers : je ne doute pas qu'il se lance promptement dans de nouvelles entreprises dont je suis convaincu que l'avenir nous permettra d'admirer les fruits.

Quels que soient nos regrets face à ce départ, j'ai veillé, comme bien vous pensez, et selon mon devoir, à assurer au mieux l'avenir des Rencontres en désignant, en concertation avec les tutelles publiques et les membres du conseil d'administration, le futur directeur, Sam Stourdzé, à la tête du musée de l'Élysée de Lausanne depuis 2010. Sa brillante carrière passée, définitivement liée à la photographie, augure le meilleur pour l'avenir des Rencontres.

Sam Stourdzé aura à affronter de nouveaux obstacles, à inventer de nouvelles formules. Une aventure telle que celle-ci est vouée à ne jamais se figer. Il s'agira de construire un avenir solide tout en se confrontant à la question, rendue plus aiguë, des futurs lieux d'exposition et, si possible –pouvons-nous rêver?– d'en finir avec la fragilité budgétaire de l'association.

Enfin, et ce n'est pas le moindre de mes vux, il s'agira de continuer d'insuffler aux Rencontres l'énergie nécessaire à leur rayonnement dans une ville qui est en passe de prendre un nouveau visage, accueillant désormais la fondation Van Gogh et la fondation LUMA, fidèle mécène du festival, et s'apprêtant à voir notre amie de toujours, la nouvelle École nationale de la photographie, portée vers des ambitions plus brillantes encore que jamais.

Dans ces temps parfois chaotiques, j'ai à cur d'exprimer nos remerciements vifs aux partenaires privés qui nous soutiennent depuis si longtemps. Au premier chef, SFR, qui a renouvelé son soutien pour un contrat triennal, L'Occitane en Provence qui nous avait aidés l'année dernière pour la première fois et qui est présent à nouveau cette année, Olympus toujours précieusement fidèle, la fondation Luma qui nous appuie, je viens de le dire, depuis si longtemps, BMW dont nous sommes fiers de présenter le « rendu de résidence » au musée Nicéphore Niepce, la banque Pictet qui nous fait le plaisir d'être une fois de plus à nos côtés, sans compter tous ceux que je ne peux citer nommément mais qui savent combien nous leur sommes reconnaissants.

Il me revient enfin de remercier les collectivités locales, le Conseil régional, le Conseil général des Bouches-du-Rhône, la ville d'Arles, sans le soutien durable desquels le festival ne pourrait, comme chacun sait, survivre. Et, au premier rang, de dire notre pleine gratitude à Aurélie Filippetti, ministre de la Culture, qui a bien voulu se montrer attentive aux difficultés que nous venons d'affronter et qui, consciente des nouveaux défis qu'il va revenir aux Rencontres de surmonter, voudra et saura, j'en suis convaincu, les accompagner à la hauteur de leurs ambitions.

 

www.rencontres-arles.com

 

 

 

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Intermission

Photographie © Fabien Bruno Dupont

 

 

 

« Intermission »

Photographies de Fabien Bruno Dupont


Galerie Grand Angle
10 avenue de Royat
63122 Ceyrat

Ouvert du mardi au samedi de 10h à 19h

Mettre en abîme un sujet, le transporter dans un autre contexte que celui d'un espace réel. Provoquer un regard sur ce que l'on ne veut pas voir et percevoir. Cachées pendant plusieurs années, ces façades échappent à la vue. Le temps éphémère d'une destruction et d'une reconstruction, d'un intérieur et d'un extérieur, elles déplient les espaces et les remodèlent dans l'architecture du cadre photographique. Les empreintes, les traces, les écorchures, forment une écriture qui dépasse le plan et le volume et nous raconte des histoires qui se couvrent, se recouvrent, se découvrent. La photographie immortalise des temps théoriquement éphémère.

 

www.fabiendupont.fr
www.facebook.com/pages/Grand-angle

 

 

 

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Holy creatures

Photographie © Robert Ramser

 

 

 

« Holy creatures »

Photographies de Robert Ramser

Du 5 juin au 26 juillet 2014
Galerie Fotografika
10 rue Borgeaud 1196 Gland Suisse

Ouvert du lundi au samedi de 9h à 12h et de 14h à 18h30 sauf mardi matin et samedi après midi.
Fermé du 7 au 12 juillet (Rencontres d'Arles)

Depuis ma première visite en 1978, je voyage régulièrement dans le sous-continent indien, m'efforçant de traduire en images mes émotions ainsi que mon profond intérêt pour cette région et ses habitants.

En novembre 2012, je découvris dans la chaleur d'un musée de Mumbai, une série de miniatures illustrant les anciennes fables du Panchatantra, peuplées d'animaux aux comportements anthropomorphes dans des décors de palais mogols et de végétation tropicale.

Inspirée de l'exquise façon dont ces artistes peignaient les animaux ainsi que de la parfaite composition des miniatures, cette série d'images témoigne de la relation particulière que les indiens entretiennent avec les bêtes qu'ils nourrissent et cajolent chaque jour. Car dans la philosophie hindouiste, chaque être vivant, qu'il soit animal, arbre ou plante, est une âme incarnée dans un corps matériel, une créature des dieux.

Tirages réalisés par l'auteur sur papier argentique baryté, virés sélénium/sépia garantissant ainsi des conditions d'archivage optimales.

Série limitée à 12 exemplaires.

 

www.robertramser.com
www.fotografika-gallery.com

 

 

 

 


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