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© BBB
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« Bingo »
Une exposition de Brest Brest Brest
Du 17 février au 18 avril 2015 La fabrique de l'image
2 rue de l'oratoire
07400 Meysse
Vernissage le 19 février à partir de 18h30
Du mercredi au samedi de 16h à 19h
Les travaux de Brest Brest Brest opèrent par glissement, ils s'emploient à déplacer le regard, à nous prendre par la main pour faire le trajet d'un point identifié vers un autre. Parfois ce glissement se fait en ski, à pied, en mobylette, mais toujours vers une forme d'inconnu où la part d'accident est importante. Brest Brest Brest désarticule, démonte des échantillons d'imageries populaires pour leur offrir une nouvelle logique. Quelle que soit la nature de leurs travaux, il est toujours question de rencontre entre évidence et bizarrerie. L'exposition fera état d'une partie de leurs réalisations, mélangeant joyeusement commandes et recherches.
Brest Brest Brest n'est pas de Brest mais de Crest. On saute du B au C comme on saute du coq à l'âne, avec décontraction mais savoir-faire et intelligence, dans un pêle-mêle organisé, une logique spontanée, potache et déridante. Le duo drômois traduit, en particulier dans ses travaux de recherche, son espiègle impertinence par une pertinence graphique désinvolte mais assumée, maîtrisée, appuyée par un esprit d'autodérision qui leur permet de tout se permettre.
www.brestbrestbrest.fr www.fabrique-image.fr
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La Fabrique de l'image est un espace dédié à la photographie
Atelier d'impression numérique :
retouche et optimisation d'images, impressions d'art, grands formats avec grand choix de supports, contre-collages alu-dibond.
la Fabrique de l'image - 2 rue de l'oratoire - 07400 Meysse - tel : 0663251795 mobil : 0981204688
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© Hans Sylvester
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« Retour des projections »
Pierrevert 2014
Du 13 au 15 février 2014 Cinéma les Varietés
37 rue vincent scotto,
13001 Marseille
Pour bien commencer l'année, les nuits photographique de Pierrevert organise un retour des projections 2014 à la galerie La Jetée à Marseille du 13 au 15 février.
Le vendredi 13 février à 18h aura lieu le vernissage de l'évènement. Ce sera l'occasion pour le public de (re)découvrir les travaux et d'annoncer le futur parrain du festival, Hans Silvester.
www.pierrevert-nuitsphotographiques.com www.facebook.com/LA.JETEE
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© Anne Joudiou
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« Voyages imaginaires »
Photographies de Anne Joudiou
3 mars 2015 au 13 mars 2015 Mairie du 5éme
21, place du Panthéon
75005 Paris
du lundi au vendredi de 11h00 à 18h00
le jeudi de 11h00 à 19h30
le samedi de 10h00 à 13h00
Entrée libre
Dessins ou photographies ? À bien regarder ces vues de Venise ou d'Amsterdam, l'oeil doute. S'emparant, dans ses derniers travaux, de vues prises dans ces villes de tous les clichés, Anne Joudiou les met à nu, travaille ses épreuves numériques en superposant des filtres, corrige la colorimétrie, contraste les couleurs, brouille les lignes. Les photographies sont ensuite tirées par ses soins, de un à vingt exemplaires, sur un papier dessin de très grande qualité (Fine Art Hahnemühler), ce qui renforce l'impression de contempler une oeuvre gravée ou dessinée, un décor de théâtre dont a surgi une nouvelle poésie. De son père, Philippe Joudiou, dessinateur et photographe, Anne Joudiou a hérité de cette double passion qu'elle a fait sienne en construisant son propre parcours, influencée par les artistes de la Renaissance italienne, la peinture flamande, Dürer... mais aussi les photographes humanistes (Riboud, Ronis, Salgado...) et poussée par l'envie de faire rêver, de suggérer le réel plutôt que de l'imposer.
Une grande sensibilité et un goût pour faire naître des images sous-tend également la série des Photographismes, des clichés traditionnels en noir et blanc qui eux privilégient non pas les architectures, mais le vivant, les personnages féminins et les oiseaux de manière récurrente.
Des photographies auxquelles Anne Joudiou applique là aussi diverses transformations graphiques, livrant in fine des formes épurées, minimalistes, poétiques, qui laissent libre cours à l'imaginaire du spectateur. Un travail que plusieurs expositions à Paris lui ont permis de faire connaître et qui a été très remarqué par le Département des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque nationale de France qui a acquis plusieurs de ses Photographismes pour enrichir ses collections. C'est encore le même esprit que l'on retrouve dans la collection d'images consacrées à la mer, dans lesquelles la photographe joue avec les ombres et les reflets selon les caprices du temps et des vents. Véritable source d'inspiration, Belle-Ile en Mer réunit tous les paysages à la fois : tantôt crique des Seychelles, tantôt tempête au Cap Horn, elle se pare d'écume, d'embruns et de lumière et se transforme ainsi au gré des saisons. Dans ces clichés, la couleur nous sert de guide à travers la nature sauvage. L'association des teintes autorise le rapprochement d'un champ de blé et d'une mer de sable, d'une volée d'oiseaux et d'herbes folles balancées par le vent.
ANNE JOUDIOU
Anne Joudiou a commencé sa carrière comme photographe d'illustration et de reportage, travaillant pour la presse, les magazines, les maisons d'éditions et diverses institutions. Au fil des années, elle a ainsi constitué une photothèque de plus de 60 000 clichés, dont une partie est en dépôt dans plusieurs agences, et qui couvre des thèmes aussi variés que l'architecture, la sculpture, les paysages naturels et urbains, la vie quotidienne. Elle a travaillé également pour des particuliers pour lesquels elle a réalisé des portraits ou des reproductions de tableaux. Progressivement, elle a consacrée une part croissante de son travail à la photographie artistique, à laquelle elle se consacre exclusivement depuis dix ans.
www.anne.joudiou.fre.fr www.mairie5.paris.fr
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© Pascal Preti
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« Circus ! »
Photographies de Pascal Preti
Du 26 février au 20 mars 2015 Mairie de Guilherand-Granges
1 place des cinqs continents
07500 Guilherand
Entrée libre
Circus !
Il y a quelques années, j'ai débuté une série de diptyques-portraits pour pouvoir travailler plusieurs facettes du portrait photographique.
Le mélange de deux types d'images opposées par le cadrage (horizontal et vertical), par le spectre chromatique (couleur et le noir et blanc), par le portrait (d'ambiance et « close up »), abouti à la réalisation de deux photographies qui se suffisent à elles-mêmes, mais qui une fois réunies apportent une vision plus complète des personnages.
J'ai toujours été fasciné par la féerie du cirque, ses mystères, ses lumières, ses personnages mythiques et éblouissants, par leur courage et leur habilité, leur force et leur poésie. Alors, lorsque j'ai aperçu le chapiteau rouge et jaune, j'ai tout de suite eu l'envie de rencontrer ces artistes, de les photographier pour réaliser une série de diptyques sur le cirque.
Le cirque Caplot est un cirque traditionnel et familial.Trois générations sont représentées sous ce chapiteau. Camille le directeur et Lucienne son épouse veillent sur le bon fonctionnement de cette mini entreprise. Ils ont laissé la piste à leur fils Rodh, Gipsy (son épouse ), Maélis (leur petite fille de 7 ans) et à leurs trois autres fils, Wesley, Logan et Floyd, sans oublier Florian le Monsieur Loyal, ami de très longue date et faisant partie intégrante de la famille.
Ce sont tous des « enfants de la balle » qui ont tout appris de leurs aînés.
Ils ont de nombreux talents : Rodh est dresseur de fauves, jongleur, musicien et clown blanc sous le nom de Rico. Miss Gipsy et Maélis excellent dans leurs numéros de trapéze. Floyd, équilibriste, dirige la cavalerie et les animaux exotiques. Logan, l'Ange Blanc, se dévoile à travers son numéro de sangle aérienne, il est le clown Georgio avec les Caploletti et cascadeur avec Wesley dans le numéro de la roue de la mort. Wesley étant lui-même le clown Kékino et également jongleur.
Je vous présente le cirque Caplot : poésie, émotions et sensations fortes sont au rendez-vous.
Pascal Preti
www.pascalpreti.com
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© Pierre Abensur
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« Trophées subjectifs »
Photographies de Pierre Abensur
Du 24 février au 15 juin 2015 Musée de la chasse
62, rue des Archives
75003 Paris
Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h (dernier accès 17h30). Nocturnes les mercredis jusqu'à 21h30 (dernier accès 21h). Fermé le lundi et les jours fériés.
Tarif plein : 8€
Tarif réduit : 6€
Pierre Abensur, photographe et reporter, poursuit depuis plusieurs années sa série de Trophées subjectifs. Pour cela, il parcourt le monde (Suisse, Mongolie, Argentine ou Finlande) à la rencontre de chasseurs qu'il photographie selon le même procédé de composition : le modèle est figuré en pleine nature avec l'un de ses trophées de chasse.
À première vue, la photographie semble résumer l'action de chasse en réunissant le prédateur, la proie et le territoire. Mais, le caractère étudié de la pose, l'aspect artificiel de l'animal naturalisé, introduisent une singulière distance. Ils confèrent à l'image une dimension fictionnelle.
Ces photographies révèlent la nature ambigu?e de la relation entre le chasseur et son trophée. L'homme tuerait-il pour s'assurer la possession d'un être que seule la mort peut transformer en avoir ? Drame intemporel où seuls changent les acteurs et le décor. Est-ce-que toute l'action de chasse ne se déroulerait pas dans un théâtre intérieur où le gibier, la lande ou la forêt viendraient jouer le rôle du sauvage ? Où la poursuite de l'animal se substituerait à une sorte de quête amoureuse ?
Pierre Abensur est né en 1962. Il vit et travaille à Genève.
www.pierreabensur.com www.chassenature.org
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© Steeve Iuncker
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« Nuit de la Photo - La Chaux-de-Fonds, Suisse »
4e édition
Le 14 février 2015
Arpenter la ville de La Chaux-de-Fonds, passer de lieu en lieu et découvrir sur grand écran les œuvres de photographes prestigieux ou moins connus, telle est l'expérience à laquelle convie chaque année, depuis 2012, la Nuit de la Photo. Le programme de cette 4e réunit une trentaine de séries issues des courants les plus divers de la photographie contemporaine, avec une prédilection pour les travaux abordant des sujets d'actualité sensibles, des thématiques sociales ou des problématiques identitaires.
www.nuitdelaphoto.ch
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© Guache
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« Rêves Amazoniens »
Peinture de l'école d'art Nyi (Pérou)
Du 6 au 28 février Office du tourisme
Espace St Martin
26200 Montélimar
L'exposition présente les œuvres des élèves et enseignants de l'école d'art Nyi au Pérou : Casilda Pinche Sanchez, Samy Padla Ruiz Macuyama, Luis Beltran, Nelvis Manuel, Jaiver Cabreraet Steve Melendez.
À travers leur regard, nous vous invitons à découvrir une autre culture, une autre vision de la Nature et de l'Homme, celle des indiens Cocama, peuples du fleuve Yarapa et de la Forêt (« Selva ») au Pérou. Une Nature
animée de conscience et peuplée d'Esprits avec lesquels les guérisseurs se connectent pour apprendre et guérir, une vision de l'Homme où les rêves et la création sont des éléments essentiels de la connaissance de Soi.
Rêver, créer et guérir, tels sont les fils de l'exposition, ou, plus exactement, rêver, puis, créer, pour guérir. Car c'est à partir de leurs rêves que les élèves de l'école Nyi peignent et, ce faisant, recontactent des savoirs oubliés, leur mémoire,leg de leurs ancêtres. En réinterrogeant leur culture, leur identité, les Cocama retrouvent la conscience et la fierté d'appartenir aux Peuples de la Forêt. Ils se relient à ce qu'ils sont. La création artistique devient alors guérison. L'art qui fleurit dans la nature et chez l'enfant soigne.
www.streetartamazonia.com
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© Jean Pierre Revel
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« On dirait que... »
Photographie de Jean Pierre Revel
Du 1é février au 28 mars 2015 Fotografika
10 rue du Borgeaud
CH 1196 Gland
Ouvert du lundi au samedi de 9h à 12h et de 14h à 18h30. Fermé mardi matin et samedi après-midi
On dirait que... je suis grand comme toi!
On dirait que... j'irai toujours à l'école avec mes amies.
On dirait que... c'est moi qui a attrapé le poisson.
On dirait que... je vole avec mon cerf-volant.
On dirait que... c'est à moi l'avion.
On dirait que... ma Kalach' tire des vraies balles, pour tuer.
On dirait que... je veux rester un petit enfant, toujours.
On dirait que... la bombe n'est pas tombée et la terre n'a pas tremblé.
On dirait que... on serait des pirates et des infirmières!
On dirait que... je suis gros comme un éléphant et toi fin comme un papillon.
On dirait que... on va prendre le train avec toi.
On dirait que... je suis une princesse et toi, le roi.
On dirait que... maman n'est pas morte.
On dirait que...
Mots d'enfants, paroles d'enfance, à propos de leur monde. Un monde qui n'existe que dans leurs jeux et dans leurs rêves. On dirait que... On sait que ce n'est pas vrai, mais on fait comme si c'était vrai, pour un moment ou pour une fois. C'est tellement agréable de rester encore un moment dans son rêve... Après, on verra. Il n'y aura peut-être pas d'après.
Il y a quarante ans, thèse de doctorat en poche, je suis parti. J'ai voyagé. Un tour du monde. On dirait que... je ne voulais pas être un médecin tout à fait comme les autres. Des années plus tard, j'avais choisi la pratique qui me convenait alors qu'on en parlait à peine: médecin en situations d'urgence.
Là, j'ai beaucoup observé les enfants dans leurs activités quotidiennes.
Même dans le dénuement le plus complet, ils préservent une aptitude essentielle: jouer sérieusement, inventer des jeux, avec tout, avec rien. Quand ils ne jouent plus, il faut s'inquiéter: la situation est vraiment très grave.
Par passion autant que par nécessité, j'avais un appareil photo dans mon sac. Quand je pouvais, j'ai donc pris des photos dans certains de ces contextes. A la longue, cela a fait beaucoup de photos. Très peu ont été tirées immédiatement; les négatifs sont restés archivés, bien à l'abri, pendant des années. Faute de temps et de moyens, c'était tout ce que je pouvais faire. Maintenant, quand une occasion se présente, je les sors, je les montre, comme ici. Certaines peuvent être intéressantes, on dirait que... Toutes ont une histoire et même plus, la leur, la vraie, celle que je crois avoir perçue, et celles que, en les regardant, vous leur inventerez.
On dira que...
www.fotografika-gallery.com
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© Stéphane Lecaille
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« Une briqueterie - Bhaktapur »
Photographies de Stéphane Lecaille et Alain Gualina
Du 3 au 19 février 2015 Université Lyon 3 - Jean Moulin
Salle d'exposition - Bibliothèque de la Manu
6, rue Rollet – Lyon 8ème
Horaire de la Bibliothèque
Stéphane Lecaille et Alain Gualina, photographes, rendent hommage aux hommes et à leurs ressources ; ils restituent la fragilité des êtres et des lieux où ils vivent ; et par la beauté de leurs images ils témoignent de la dignité native du travail humain et de sa nécessité mystérieuse.
L'exposition présente des photographies réalisées dans une briqueterie à Bhaktapur, Népal, en mars 2011. La plupart des employés de cette briqueterie font un travail harassant, pour tout juste un à deux dollars par jour.
www.stephanelecaille.fr www.alaingualina.fr
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© Fabien Pio
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« Souscription livre "En écho de lumière" »
Photographies de Fabien Pio
Jusqu'au 23 février 2015 GLC Editions
35 euros
C'est avec un immense plaisir que Fabien Pio vous annonce la parution de son livre "En écho de lumière" aux éditions GLC.
Le livre reprend l'ensemble de son travail en photographie noir et blanc mené depuis 2008, et est composé de 67 photographies. Les images sont accompagnées de dix poèmes inédits de Salah Al Hamdani, écrits à l'occasion d'une collaboration autour de mes images.
Une souscription permettra au livre de voir le jour. Pendant la celle-ci les frais de port (5e) sont offerts. Règlement possible par Paypal ou par chèque.
Détails sur le livre :
24x16,5 cm, 96 pages, 67 photographies en bichromie, couverture cartonnée, relié cousu.
300 exemplaires - 20 en édition limité avec tirage. Livre seul : 35 €
Édition limitée à 15 ex. avec un tirage numéroté & signé par l'auteur 13x18cm : 90 €
Poème extrait :
"Âme mystérieuse enneigée de la forêt
Je deviens soudain frémissement sous un ciel décomposé
Basculer dans le rêve
Trahir les yeux de l'hiver
et la liberté comme un corps en équilibre au bord du vide
Longtemps, l'attente a effacé les lignes
et les mots et les paysages creusent dans la chair de l'imaginaire"
www.fabienpio.com souscription
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« Nuits photographiques de Pierrevert 2015 »
Appel à canditature
Date limite le 31 mars 2015
Appel à candidature pour les projections du festival Pierrevert - Nuits Photographiques
Le festival Pierrevert - Nuits Photographiques se caractérise en deux mots : « Qualité, Convivialité ». Qualité par l'exigence de sa sélection, Convivialité par l'accueil des pierreverdants.
Il offre l'opportunité à des auteurs-photographes encore peu reconnus de projeter leur travail au côté de grands noms de la photographie.
La 7ème édition du festival se déroulera durant 3 jours du 31 juillet au 2 août 2015.
Chaque soir a lieu le vernissage d'une exposition, suivi à la tombée de la nuit d'une projection en plein air d'une quinzaine de photographes devant un large public.
Chaque photographe sélectionné est invité à Pierrevert, accueilli bénévolement chez les villageois pendant toute la durée du festival.
Dossier de candidature pour les projections :
Un projet photographique cohérent de 15 à 25 photos ou d'une durée de projection n'excédant pas 3 minutes avec un bref texte explicatif (5 lignes).
Aucune thématique n'est imposée mais la série présentée doit en cohérence avec la démarche de l'auteur. En cas de sélection, vous aurez la possibilité de monter la vidéo de projection suivant nos directives techniques, sinon nous vous aiderons à la réaliser. De même, si vous pouvez créer une bande sonore originale afin d'accompagner votre projection c'est un plus.
Date limite de l'envoi de dossier : 31 mars 2015
www.pierrevert-nuitsphotographiques.com Appel à canditature
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© Farida.hamak
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« Mineurs, ici. »
Photographies de Farida Hamak
Exposition du 23 janvier au 28 février 2015 Galerie des douches du Grand Lavabo de Couriot.
Parc-Musée de la Mine?3,
bd Franchet d'Esperey,
42000 Saint-Etienne
Parc-musée de la mine, Saint-Etienne en partenariat avec la galerie Regard Sud
Ce projet veut faire entendre des voix. Celles de familles d'origine française, espagnole, italienne, polonaise, grecque, algérienne, installées dans cette région pour vivre, travailler et mourir.
Dans les entretiens, l'importance du groupe, du corps, du collectif, efface celle de l'individu.
Avec ces portraits, ce ne sont plus les gueules noires anonymes qui remontent au jour, mais des femmes et des hommes qui se laissent photographier par Farida Hamak – une femme dont la famille a connu, elle aussi, l'exil – chez eux, dans leur intimité.
C'est en suivant la première ligne de chemin de fer français construite dès 1826 pour relier les sites miniers et industriels du bassin stéphanois, qui dessert les gares de Rive-de-Gier, de Saint-Chamond, de Saint-Etienne, de La Ricamarie, du Chambon-Feugerolles et de Firminy, que la photographe va à la rencontre de vieux mineurs et sidérurgistes, de leurs femmes, filles et fils. Autant de stations qui rythment cette exposition où sont rassemblés vingt-quatre témoins, sur trois générations.
Avec une sobriété et un cadrage précis, elle propose de restaurer une vision “dépaysée? du paysage contemporain, vision ni idyllique, ni trop crue, peut-être tout simplement réaliste. Pour cela, elle choisit un point de vue frontal où le motif minéral occupe largement le cadre. Si le sujet reste identifiable, il peut aussi se présenter comme une abstraction, une forme chargée d'intensité dont la fonction est de ranimer la mémoire. Les plans larges ne sont là que pour attester que l'on n'y voit rien ou presque rien. Seul un mineur peut dire : ici se tenait droit le chevale-ment, ici le puits des Combes et, là, le remblai, etc. Dans le flux des représentations de la mine tout au long de son histoire, où se situe le lieu de la mémoire ? La chose photographiée, placée devant l'objectif “a été là?. Oui. Et, Roland Barthes d'ajouter : “Les photos sont des signes qui ne prennent pas bien, qui tournent comme du lait. Quoi qu'elle donne à voir et quelle que soit sa manière, une photo est toujours invisible : ce n'est pas elle que l'on voit.?
(Extrait de l'ouvrage Mineurs, ici, édition Ville de Saint-Etienne 2014). Texte de Frédérique Chapuis.
www.facebook.com/farida.hamak www.saint-etienne.fr/culture/puits-couriot-parc-musee-mine
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© Michael Michlmayr
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« Passé composé »
Photographies de Michael Michlmayr
Jusqu'au 21 février 2015 GALERIE VRAIS R�VES
6 RUE DUMENGE
69004 - LYON (France)
Texte de Rémy MATHIEU extrait de la plaquette "Passé composé"
Au premier regard, si celui-ci est un peu distrait, les photographies de Michael Michlmayr peuvent paraître plutôt « ordinaires ». Mais si l'on s'attarde un peu, une multitude de petits indices viennent titiller notre rétine, comme pour nous rappeler que si la photographie est liée au réel, elle n'en est pas une représentation absolue mais bien une interprétation, comme pour nous rappeler aussi que la photographie est liée au temps, celui de l'auteur et celui du spectateur.??Sur ce qui nous apparaît comme une façade d'immeuble, on constate d'étranges similitudes, des détails récurrents qui reviennent comme des motifs de papier peint, comme si le réel était pris en flagrant délit de soubresauts. En fait, le travail de Michael Michlmayr est fortement lié à la notion de séquence photographique, ensemble d'images généralement narratif. Mais au lieu de présenter ses images de façon linéaire et distincte comme a pu le faire Duane Michals par exemple dans les années '70, Michael, lui, les rassemble en une seule. Ainsi, l'image de la façade d'immeuble composée de plusieurs fenêtres présente en fait plusieurs fois la même fenêtre vue à des moments différents, et accolées les unes à coté des autres afin de créer l'illusion d'une façade d'immeuble. Michael agit donc comme un bâtisseur en empilant soigneusement ses images, comme le maçon empile des briques pour former un mur. Pour cela il utilise les outils que l'évolution du médium permet aujourd'hui plus aisément.??La série des « fenêtres » est basée sur la frontalité, sans doute pour des raisons pratiques. Et cette frontalité rapproche ce travail, d'un point de vue formel, de celui de « l'école de Düsseldorf ». Mais, petit à petit, il s'en éloigne de ce nouveau réalisme allemand . Tout en conservant la même procédure, il insère des éléments de perspective improbable, insidieusement dans la série des escaliers et escalators, mais de façon plus affirmée dans les séries « Skyline » et dans les paysages nocturnes. ??Le travail de Michael Michlmayr n'a donc pas la rigidité de l'objectivité que l'on pourrait lui prêter. C'est aussi un travail plein de nuances et de subjectivité dans lequel l'auteur s'implique physiquement de plus en plus souvent, donnant ainsi une dimension auto biographique ou plutôt auto fictionnelle. Il se met lui-même en scène, discrètement, comme Alfred Hitchcock dans ses films, en se fondant dans une foule ou en apparaissant simplement à une fenêtre, apportant ainsi un peu plus d'humanité.??En constante évolution, dans une recherche de nouvelles visions, de nouvelles interprétations du réel, par petites touches, Michael Michlmayr chemine et évolue dans sa création, dans une contemporanéité réelle et assumée.
www.michaelmichlmayr.at www.vraisreves.preprod.aceituna.fr
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© Elsa Leydier, Esgotados (Épuisés), 2014
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« La double vie des images »
Artistes : Pauline Bastard, Lionel Fourneaux, Emmanuelle Fructus, Elsa Leydier, Loriot-Mélia, William Nefussi, Philippe Pétremant, Joachim Schmid
du 30 janvier 2015 au 28 mars 2015
vernissage le 29 janvier à 18h Galerie le Réverbère
38 rue Burdeau
69001 Lyon
Du mercredi au samedi de 14h à 19h
Cette exposition interroge l'importance de l'anonyme et du vernaculaire dans la production photographique. Les auteurs travaillent ici par prélèvement, par sauvegarde, ils ne trouvent pas de nécessité à produire de nouvelles images au vu du nombre laissé pour compte. Ils se mettent alors en quête de la double vie des images. Par la sélection, le découpage, le montage, l'oblitération, ils desquament le sens.
artistes : Pauline Bastard, Lionel Fourneaux, Emmanuelle Fructus, Elsa Leydier, Loriot-Mélia, William Nefussi, Philippe Pétremant, Joachim Schmid
www.galerielereverbere.com
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© Fabienne Forel
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« Appel à Candidature
Marché photo à Castries (34) »
date de limite > 21 février 2015
8, 9 et 10 mai 2015 Château de Castries (34)
participation > 100 € pour 3 jours.
Bonjour,
La 5ème édition du Marché Photo pose ses valises au superbe Château de Castries (Hérault) les 8, 9 et 10 mai 2015.
Organisé par une équipe sympathique Delphine et Marie de La Barak, Fabienne Forel de la Chambre Jaune, Arnaud Laroche de Grain d'image et Claude Corbier, le Marché Photographique est ouvert à une sélection de photographes,de collectifs et de galeries, il est dédié à la vente de tirages photographiques signés, d'auteurs contemporains.
Vous trouverez en pièce jointe le dossier d'inscription avec le règlement.
DATE LIMITE : 21 Février 2015 !
marche-photo@gmail.com - Tel : 04 66 88 46 80 / 04 67 86 98 21
www.le-marche-photographique.fr www.facebook.com/lemarchephoto
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© JP BOS
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« Vendredi : 15h »
Photographies de Jean-Pierre Bos
Du 21 Decembre 2014 au 30 juin 2015 Lux Scene nationale de Valence
36 Bld General de Gaulle
26000 Valence
LUX 2.0 marque une scène nationale renouvelée, enrichie d'un plateau scénique innovant.
La métamorphose de lux s'est concrétisée par un chantier de 6 mois, que lux a souhaité mémoriser, confiant une création au photographe Jean-Pierre Bos.
“La transformation d'une partie de Lux (salle de spectacle) a donné à ce lieu une activité de chantier en mouvement permanent, invisible de l'extérieur, ou se sont côtoyé les ouvriers de tous corps de métiers. C'est dans l'intention de garder une trace de cet « évenement »... que le projet photographique a « vu le jour » pour faire émerger le collectif à partir d'un corps singulier. Toutes les personnes de passage sur ce chantier ont posé et été photographié dans un « studio bricolé“ in situ. Le modèle s'installe, fignole son apparence, le photographe ne cherche pas à le surprendre, cadrage de face, sans artifice...»
www.jpbos.fr www.lux-valence.com
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