|
© Marit Beer
|
|
« Expolaroid (Meysse) »
Photographies de Marit Beer
Du 5 au 29 mars La Fabrique de l'image
2 rue de l'Oratoire
07400 Meysse
Exposition dedans le cadre du festival Expolaroid.
Ouverture du mercredi au samedi de 16h à 19h et sur rendez vous. Appelez au 0663251795 avant de venir pour être sur de trouver quelqu'un.
Vernissage dimanche 9 avril à partir de 10h Exposition dans le cadre du festival Expolaroid
Expolaroid
L'association Expolaroid a pour objet de développer, de promouvoir et de favoriser des activités et manifestations en lien avec la pratique, la démonstration, l'exposition du film photographique instantané sous toutes ses formes et de toutes les marques existantes à ce jour, obsolètes ou à venir. Les moyens d'action de l'association sont notamment : l'organisation d'un événement récurrent et au moins annuel, dénommé « Expolaroid : le mois du Polaroid et du film instantané ». Un événement qui se veut rassembler les initiatives et les forces vives de la communauté Polaroid autour du plus célèbre support de création photographique.
Marit Beer
surrealistic, poetic, feminist, narrative, quiet, dark photographer from berlin. film & polaroid only.
www.maritbeer.de www.expolaroid.com www.facebook.com/expolaroid.mtl
|
|
La Fabrique de l'image est un espace dédié à la photographie
Atelier d'impression numérique :
retouche et optimisation d'images, impressions d'art, grands formats avec grand choix de supports, contre-collages alu-dibond.
la Fabrique de l'image - 2 rue de l'oratoire - 07400 Meysse - tel : 0981204688 mobil : 0663251795
|
|
©Marine Lanier, Vaisseau-Fantôme, Patras, 2014
|
|
« Dire la bonne aventure »
Exposition de photographies et textes de Marine Lanier
Signature du livre Nos feux nous appartiennent de Marine Lanier
Du 13 avril 2017 au 31 juillet 2017 LUX scène Nationale
36 bd du Général de Gaulle
26000 Valence
Vernissage le 13 avril à partir de 18 h
Signature du livre Nos Feux nous appartiennent, le 13 avril à partir de 18 h
Mar 14h>20h30 / Mer 14h/19h / Jeu et Ven 14 h >20h30 / Sam 14h>20h - Lundi : groupes sur réservation
Marine Lanier est née à Valence en 1981, elle vit et travaille à Crest et Lyon. Après des études de géographie, lettres et cinéma, elle est diplômée de l'Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d'Arles en 2007. Son travail est régulièrement exposé et primé en France et à l'étranger.
Son univers se situe à la lisière du familier, de l'exotisme ; du prosaïque, de l'étrange ; du clan, de l'aventure. Il est le support de fantasmes fictionnels où se rencontrent pays oubliés, climats perdus, civilisations disparues. Comme deux fils qui se croisent, Marine Lanier ranime des souvenirs familiaux sur le mode sensoriel à travers l'image et l'écriture. Elle se situe dans cet interstice, à la frontière du passé, du présent, de l'anticipation - les apparitions résiduelles d'époques anciennes reviennent à la surface de son continent intérieur. Par le prisme de la réminiscence ou de la prémonition, le territoire se décuple, sa vision est diffractée, multipliée. Les récits s'enracinent dans des sols archaïques. Ils se déplacent pour nommer l'Ouest américain, l'Océan Atlantique, la Grèce Antique, le cours du fleuve Congo. Ils interrogent la césure géographique, la façon dont l'être se trouve morcelé dans cette oscillation - tiraillé en somme par ces questions du dedans et les appels du dehors.
L'ensemble Le Capitaine de Vaisseau, est le premier volet d'une trilogie familiale où généalogie, légende, s'entrecroisent en écho à la chute des Empires. Un monde englouti où les résurgences tactiles et sensorielles sont comme les éclosions de l'histoire coloniale. Par une approche à la fois documentaire et fictionnelle, elle interroge ainsi la mémoire des expéditions, la fièvre des tropiques, leurs conséquences contemporaines, leurs rémanences dans l'imaginaire collectif et l'inconscient occidental. Cette simultanéité dont nous faisons sans cesse l'expérience dans le monde, où rien ne se produit de manière isolée, où toute chose traîne dans son sillage ce qui se passe ailleurs, dans le passé comme dans le présent. Un monde où l'on retrouve les vivants, les morts et les marins.
www.marinelanier.com www.lux-valence.com
|
|
|
|
|
« Expolaroid (Montélimar) »
Photographies de Stephan Vendran
Du 7 au 30 avril 2017 Le Quai
17 boulevard du Fust
26200 Montélimar
Après avoir accueilli LiliRose l'année dernière pour Expolaroid? 2016, le mois du polaroid revient au Quai !
Pour cette nouvelle édition nous avons le plaisir d'accueillir le travail de Stephane Vendran?, un photographe montilien qui a fait de la photo instantané son "arme" de prédilection.
L'exposition sera présentée au Quai du 07 au 29 avril, ne manquez surtout pas le vernissage le Vendredi 07 avril à partir de 18h
www.facebook.com/stephane.vendran www.facebook.com/lequaimontelimar www.expolaroid.com
|
|
|
|
|
« Expolaroid Montélimar »
Des projections au cinéma des Templier
Tout le mois d'avril Cinéma les Templiers
Place du temple
26200 Montélimar
Cette année il y a 9 artistes / Photographes dont les portfolios seront diffusés en avant séance au Cinéma Les Templiers tout le mois d'avril !
Cinzia Aze / Marit Beer - film photography / Barbara Cole / Sandie Carol Dougnac / Stephen Dupont / John Reuter / RRRDiaz (Jetboy Grafix) / Lambis Stratoudakis (Extracting Souls) / Stéphane Vendran
Pour voir l'ensemble des portfolios, rendez-vous ven. 7 avril à 20h30 pour une séance Gratuite avec les 9 portfolios !
www.facebook.com/expolaroid.mtl www.facebook.com/Cinéma-Les-Templiers www.expolaroid.com
|
|
|
© Jean-Michel Loubry
|
|
« Minimes »
Photographies de Jean-Michel Loubry
Du 24 mars au 9 avril Galerie 64
64 grand rue
26800 Etoile sur Rhône
Le temps est un artiste. Le métal, le bois, la pierre, même le plastique sont des supports où le temps dessine, colore et structure la matière. L'imagination de chacun peut y voir toutes sortes d'images.
Au hasard des rues de nos villes et villages, des portes, des volets, des clôtures, des murs crépis, des mobiliers urbains et bien d'autres choses sont décorés par les « affres » du temps. Un détail attire l'œil. On prend du recul. Parfois on ne voit rien et pourtant quelque chose est là qu'on ne verra que sur l'écran de l'ordinateur. Bien souvent l'image est nette, étonnante. Le tableau est là. Le personnage danse. L'animal fait sa grimace. La peinture écaillée est comme un puzzle dont on a perdu des morceaux. Le nœud dans le bois est une plume.
« Minimes » est une fresque des effets du temps sur des coques de bateaux. Couches de peinture successives, corrosion, végétaux et autres bestioles composent des tableaux abstraits aux couleurs improbables. Au milieu de dizaines de coques de voiliers ou de « pêche-promenades » parquées, le hasard fait rencontrer celles qui, on le sent, donneront des images étonnantes. Alors on tourne autour. Il faut parfois enjamber un tas de planches, pousser un grillage, se glisser sous les bers et là le cadrage est bon, l'éclairage idéal. C'est dans la boite. L'imaginaire peut s'en emparer.
www.galerie64.free.fr
|
|
|
© Nicolas Joriot
|
|
« Nature et urbanité »
A. PUIG ROSADO, K.DILTHEY, S.GUILLE, N.JORIOT, T.STREICHER, P.BRIANÇON , B.PIERRE
Du 18 mars au 23 avril CRAFT espace GALERIE
50 rue du bourg
26220 DIEULEFIT
Samedi 08 Avril un rendez vous avec les photographes (Karin Dilthey, Anna Puig Rosado, Nicolas Joriot, Philippe Briançon, Samuel Guille) dont on peut voir en ce moment les photographies à la galerie
Avec petit apéritif à partir de 16h30, nous serions tous ravis de vous accueillir à la galerie.
Un deuxième rendez vous avec les artistes de la galerie est prévu le vendredi 14 avril pour le vernissage du salon organisé par le centre d'art Yvon Morin.
C'est la première édition de ce salon autour des oeuvres sur papier. Les artistes invités par les galeries de Dieulefit (Galerie Artenostrum, Emiliani et Craft) seront heureux de vous rencontrer pendant le vernissage le vendredi 14 avril à partir de 16h30 à Le poet Laval au centre d'art Yvon Morin.
Oeuvres sur papier de Jean Noel Bachès, Pierre Boncompain, Marie-France Chevalier, Benoit Pierre, Anne Slacik, Kiki Smith, Thibaut Streicher avec un hommage fait par le centre d'art à Raoul Dufy .
www.craftespace.com
|
|
|
|
|
« EXTRAIT »
Bruno Fontana / Margaret Dearing / Maxime Touratier
Du 18 mars au 8 avril 2017 Résidence 87
87, Av. Secretan
75019 Paris
Ouvert du samedi au dimanche de 11h00 à 19h00
Sur RDV du mardi au vendredi
Informations: +33 7 81 96 62 84 // +33 6 10 29 17 75
mazharfarah@interviewart.com / maxtouratier@free.fr
EXTRAIT se définit comme la partie visible d'une d'exposition en trio, qui traite de la question de l'extraction de l'image par l'acte photographique: ce qui motive l'appropriation, même la plus modeste, par la capture d'un environnement.
Par la coupe dans l'espace et temps, qui participe au processus d'inventaire par l'image multiple, Bruno Fontana, Margaret Dearing et Maxime Touratier donnent des clés de lecture sur le regard photographique qu'ils portent sur ce qui les entoure.
Margaret Dearing procède par saisie de matériaux et textures sur des parcelles.
De paysages semi-naturels, pour reconstituer un calligramme visuel jouant sur des rapport d'échelles, suggérant d'infimes mouvements.
Bruno Fontana s'attache à enregistrer les constructions, avec la rigueur typologique d'un entomologiste, classant inlassablement les espèces capturées dans une encadrement ordonné, jusqu'à l'extraction et la mise hors contexte d'une architecture.
Maxime Touratier tente à travers l'image instantanée de s'approprier des lieux intermédiaires, à la frontière du devenir ou de la disparition, des villes aux campagnes ordonnées ou désordonnées, regroupées par le bric-à-brac des aménagements : modestes compromis entre gestion décoratives publiques et privées.
On perçoit dans ses images des micro-événements privés, débordant dans la sphère publique, et les ratages permanents ou éphémères d'une organisation humaine.
Tentatives de captures, ou extractions du réel ?
On est ici confronté à des tentatives d'organisation de fragments:
une agrégation d'images, une sédimentation au long court d'un univers visuel toujours en pleine expansion à rassembler en mondes cohérents, rendus disponibles au regard du spectateur. Extrait est peut-être un simple reflet photographique, qui rassemble pour donner à voir des bribes d'expériences visuelles, perpétuelles reconstitutions et reconditionnements, qui se réinventent en actes photographiques décidés.
|
|
|
|