Bannière

 

 

BBB+TZ

© BBB+TZ

 

 

 

 

 

L'exposition : "LA FIN DU PETROLE" s'est terminée à la Fabrique de l'image ce samedi et a été réinstallée dans deux lieux distincts :

Espace Envol
Bd de la Chaumette
07000 Privas
Visites du lundi au vendredi 9H > 12H - 14H > 18H

Association " Un jour, un lieu"
Ancienne usine
Quartier Trëguel
07000 Flaviac
Visites le 26 et 27.01 10H > 13H ou sur RDV au 06.07.61.85.26

Elle est visible du 14 janvier au 17 février 2013

Vernissage mer 16.01 >18H à l'Espace Envol
Suivi de la présentation du projet du film documentaire «No Gazaran» sur l’exploitation industrielle du gaz de schiste, en présence d’un membre du collectif «Les Brasseurs de Cages». Invitation aux citoyens, aux élus et aux collectifs ardéchois concernés par la question énergétique.

Soirée rencontre à l'association "Un jour, un lieu" le Ven 18.01 à partir de 19h en présence de producteurs locaux ainsi que le photographe.

Pour ces nouveaux lieux l'exposition s'est enrichie de nouvelles compositions fraichement imprimées et de quelques sculptures de Hettie Goverts à l'espace envole.

Plusieurs textes accompagnent l’expo : Julie Sauter, Max Jacot, Francis Traunig, Christian Hivert, Michèle Soullier et Guillaume Goumat ont joué de la plume et évoqué à leur façon la « fin du pétrole ».

Si le thème vous inspire, ne vous privez pas d’en faire autant. Envoyez vos textes par mail. Ils seront mis à disposition dans l’expo ainsi que sur un espace dédié sur le site de la Fabrique.

 

La Fabrique de l'image est un espace dédié à la photographie :

- Atelier d'impression numérique : retouche et optimisation d'images, impressions d'art, grands formats avec grand choix de supports, contre-collages alu-dibond.


Vous trouverez ici les événements encore d'actualité et annoncés précédemment.

 

WWW.FABRIQUE-IMAGE.FR

Haut de page

 

Le RAW de la prise de vue au tirage

Avant / Après - Photographie © Tristan Zilberman

 

 

 

« Le RAW de la prise de vue au tirage »

STAGE proposé par "La Balance des Blancs"
et "La Fabrique de l'Image"

DIMANCHE 20 JANVIER 2013 de 09:00 à 17:00
Ce stage aura lieu à
La Fabrique de L'image
2 rue de l'Oratoire
07400 Meysse

Pour initiés
Nombre de participant : 4 à 8 personnes
Avec les photographes : Tristan Zilberman et Aude Lavenant

TARIFS
Adhérents à La Balance des Blancs : 110 euros
Non adhérents : 120 euros + 15 euros d'adhésion annuelle

RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTIONS
Aude Lavenant - 06 74 55 20 12
Association La balance des Blancs
18 rue Saint-François - 26400 Crest

Ce stage vous propose de découvrir toute la chaine graphique du traitement de l'image et en particulier la chaine de développement des fichiers RAW*. Par petit groupe, vous expérimenterez une méthode pour optimiser la qualité de vos images dès la prise de vue et jusqu'à l'impression sur papier photo.

UN TIRAGE VOUS SERA OFFERT À LA FIN STAGE

* Le fichier RAW est l'équivalent en argentique du négatif ; c'est un fichier qui conserve toutes les données brutes de l'image et toutes ses nuances. Il permet de réaliser de très beaux agrandissements.

Toutes les infos sur le site de l'association la Balance des Blancs

 

www.labalancedesblancs.net

 

 

 

Haut de page

 

Le bleu de la mer

Photographie © Aurore de Sousa

 

 

 

« Le bleu de la mer »

Photographies de Aurore de Sousa

Exposition du 15 janvier au 8 mars 2013
Hall d'exposition de la Cité des arts
Jardin du Verney
73000 Chambéry
Tél. 04 79 60 23 70 Fax. 04 79 60 21 88

Rencontre avec Aurore de Sousa : lundi 18 février de 18h30 à 20h à l'auditorium de la Cité des arts. Entrée libre
Vernissage mardi 22 janvier 2013 à 18h30

«Il n'est pas de mémoire sans temps ; la mémoire permet de faire le lien avec le monde. Comme dans mes autres travaux, c'est la vision intérieure qui s'impose d'abord dans mon travail. Le bleu de la mer et l'Aurore de Murnau, film sublime : un des plus beaux de l'histoire du cinéma, sont la source d'inspiration de ce travail qui vient aussi du désir de célébrer l'infinitude du temps...».

Aurore de Sousa.

L'exposition «Le bleu de la mer» constitue le troisième et dernier volet d'un projet artistique et pédagogique autour de la photographie et du portrait avec Aurore de Sousa, artiste invitée par la Cité des arts. Une première sensibilisation au travail de l'artiste a été menée en 2011 avec les élèves de l'Ecole municipale d'art et de l'école primaire du Haut Maché en partenariat avec la galerie de l'Antichambre, autour de l'exposition « Corps et jardins» présentée du 28 octobre au 17 décembre 2011 à la galerie de l'Antichambre à Chambéry. Dans un deuxième temps, des ateliers de pratique avec Aurore de Sousa pour ces mêmes élèves ont donné lieu à l'exposition collective «J'ai la tête ailleurs» présentée du 15 mai au 3 juin 2012 à la Cité des arts.

Aujourd'hui nous vous invitons à découvrir de nouvelles oeuvres imaginées et réalisées par l'artiste .

 

www.auroredesousa.com
www.citedesarts.chambery.fr

 

 

 

Haut de page

 

Ciné-Poésies

 

 

 

« Ciné-Poésies »

Vidéos de Romain Descours

Du 8 janvier au 30 mars 2013
Ad Libitum
salon de curiosités
valérie rambaud & sébastien verger
29 rue de la république
07000 Privas

Entrée libre
mardi au samedi 11h-19h

Romain Descours
Artiste vidéaste
Né le 9 mars 1980 à Valence (26)
Vit et travaille à Cambrai

Diplômé de l'Ecole d'Art et de Design de St Etienne en 2004, assistant d'enseignement vidéo/son à l'Esa Cambrai depuis 2009. Romain Descours travaille la vidéo, fabrique des ciné-poésies, des documents. Il a notamment présenté des films d'animation sur une improvisation de Louis Sclavis lors du Festival de Jazz de Vaux en Velin en 2005, des documentaires au Festival nouvelles images au GAC d' Annonay en 2007, ou encore son travail de poésies vidéo au LUX de Valence.

Des réalisations qui procèdent par emprunts, prélèvements, fabrications, assemblages de fragments, bribes d'écritures, montages.

« Les trois volets de mon travail d'expérimentation en matière d'images en mouvement sont liés à la pratique de la vidéo : actes de performances, dispositifs d'installa- tions, films. Le travail de réalisation filmique prend la forme de très courts métrages, des cinépoésies. Une recherche qui procède par collectes de fragments (images animées, sons et matière narrative sonore).

L'écriture de ces films aide au montage, la matière "narrative" devient fil conducteur. Ce travail s'articule autour (...) de la notion de collage (et de) la question du mon- tage (collage, écriture), du cut up, de l'emprunt et de la collecte (found footage), de la citation ou du palimpseste.

Glaner des images, des sons et constituer des archives qui deviennent la matière première de mes films. Dans une sorte d'errance, c'est-à-dire sans préméditer, j'emmagasine, je capte des instants, filme des présences, des ambiances, mets en scène quel- que fois.

A l'image d'un archéologue, je prélève des échantillons, je m'approprie aussi des éléments empruntés. Je recadre, apporte une distance, détourne, dans la continuité du Found Footage voir même du cut up fluxus, de l'emprunt situ. (...). »

 

www.r.descours.free.fr
www.ad-libitum-ardeche.fr

 

 

 

Haut de page

 

Habiter / Déshabiter

Photo haut © Stéphanie Lehu
Photo bas © Marine Lanier

 

 

 

« Habiter / Déshabiter »

Photographies de Marine Lanier et Stéphanie Lehu

Exposition du 25 janvier au 5 mars 2013
Espace Aragon
19bis bd. Jules ferry
38190 Villard-Bonnot
Tél. 04 76 71 22 51

Souvent empreintes de références littéraires, mes photographies donnent à voir le monde dans sa fragilité matérielle par une dimension contemplative évidente. Les univers traversés sont à la fois âpres et abrupts. La nature n'a d'autre état que celui de l'éternelle métamorphose. La sous-exposition puis l'éblouissement instillent un mystère latent, une violence tue, une beauté grave. Ainsi, l'étrange et le sauvage se cotôient constamment dans un univers de fin du monde ou de commencement. Les séries L'Ubac et Construire un feu sont une mise en abyme de notre rapport au temps. Ici, l'homme se confronte à sa condition humaine et à sa finitude. La nature, sauvage et belle, y occupe une place prépondérante. Et de cet univers impitoyable naît cet appel, comme une invitation à ressentir l'homme des origines, celui-là même qui sommeille en chacun de nous, au sein duquel se trouve logé le pur instinct, le souffle premier.

Marine Lanier, décembre 2012

L'humain est nécessairement représenté dans mes photographies, pourtant les visages sont la plupart du temps méconnaissables. Qu'elles soient mises en scène ou prises sur le vif, on y trouve toujours une sensation d'inquiétante étrangeté suscitant à la fois horreur et fascination. D'un côté, une série de portraits capturant l'intimité d'individus solitaires dans un ascenseur de verre. Les images sont sans artifices, elles montrent

les gens tels qu'ils sont, ne jouant pas de rôle. Leur attitude rêveuse, voire soucieuse, n'est pas sans rappeler les portraits du peintre Hans Memling au XVème siècle.

La vitre terne de l'ascenseur, support de reflets et de souillures, confère aux personnes enfermées un aspect fantomatique. Les individus ne paraissent plus de chair, mais se fondent dans le décor. On ne sait s'ils apparaissent à nos yeux ou s'en échappent. De l'autre, des photographies du corps torturé d'une hystérique. Ici pas d'images prises sur le vif, l'hystérie est feinte. J'ai incarné ce rôle comme s'il s'agissait d'une performance montrant un corps féminin, théâtral, abandonné, désirant et séducteur, qui semble chorégraphié. Il enchaîne une série de mouvements extravagants jusqu'à atteindre la spectaculaire pose de l'arc hystérique. Les contractures transforment le corps en de véritables moments sculpturaux. Etrangement la contracture peut paraître esthétique : charme de la pose, chair blanche dénudée et drapé savant font oublier ce moment de crise. Cabine d'ascenseur ou chambre d'internement, enfermement volontaire ou contraint, le corps est ici mais l'esprit est absent. La fenêtre reste la seule échappatoire.

Stéphanie Lehu, décembre 2012

 

www.marinelanier.com
www.stephanielehu.com
www.espace-aragon.net

 

 

 

Haut de page

 

Marseille - Provence 2013

 

 

 

« Marseille - Provence 2013 »

Capitale européenne de la culture

Entre Europe et Méditerranée, les deux millions d'habitants de Marseille Provence se sont mobilisés pour vous offrir, tout au long de l'année 2013, le meilleur de leur créativité, de leur savoir-faire et de leurs rêves. Une offrande collective que nous vous proposons de partager en toute ambition et en toute simplicité, tout au long de l'année 2013, sur l'ensemble du territoire Marseille Provence.

Les 12 et 13 janvier prochains, nous célèbrerons avec vous le lancement de la Capitale européenne de la culture 2013 : Parcours d'art contemporain, Parade des Lumières, Grande Clameur, Chasse au 13'or, Révélations sur le Rhône... un programme riche en manifestations et en surprises nous fera entrer dans cette année exceptionnelle.

Autour du projet que vous allez découvrir à travers ces pages et tout au long de l'année, nous avons mobilisé toutes les forces vives de notre territoire et transformé notre mosaïque en un tableau cohérent.

Marseille-Provence 2013, vous êtes ici chez vous !

 

www.mp2013.fr

 

 

 

Haut de page

 

Série 53.77 Anaglyph

Anaglyph © Mireille Loup

 

 

 

« Série 53.77 Anaglyph »

Photographies 3D de Mireille Loup

Du 8 au 31 janvier
Fontaine Obscure
24 av Henri Poncet
13090 Aix-en-Provence

Du mardi au vendredi de 14h à 18h, samedi de 10h à 12h

53.77 est une oeuvre anaglyphe. Le port de lunettes spécifiques permet une lecture en réalité virtuelle, où les différents plans de l'image se détachent et suivent l'oeil du spectateur. Ici, Loup restitue six prises de vues assemblées en une seule image anaglyphe. Sans lunettes, hors tridimensionnalité, la contribution remarquable à ses recherches anaglyphes propose une esthétique du flou singulière. Elle renvoie à l'univers de ses oeuvres Mem (2009) et Les Autres (2011), où se côtoyaient images mortuaires et lumières spectrales.

 

www.mireilleloup.com
www.fontaine-obscure.com

 

 

 

Haut de page

 

Trois séries : I love Böras / Office / Vinter

Photographie © Lars Tunbjörk

 

 

 

« Trois séries : I love Böras / Office / Vinter »

Photographie de Lars Tunbjörk

16 janvier - 10 mars 2013
Le Château d'Eau
1, place Laganne
31300 Toulouse

Inauguration le mercredi 16 janvier à 18h en présence du photographe

Considéré comme un maître européen de la couleur, Lars Tunbörg observe la société depuis une quinzaine d'années sous forme de critique sociale et avec un humour grinçant. Se laissant porter par ce qu'il voit, il veut être un témoin et susciter une réflexion sur cette société obsédée par la consommation.

Le Château d'Eau a choisi de déployer sur ses cimaises trois ensembles qui marquent l'?uvre de ce photographe : I love Böras (1989/1996), Office (1997/1999) et Vinter (années 2000). Des ensembles de propositions plastiques et de modes de présentations variés, qui, du plus ancien au plus récent, sou- lignent l'engagement politique et la cohérence esthétique d'un auteur ayant mis la couleur au c?ur de son processus créatif.

«I love Böras», est constitué d'images choisies dans un corpus principalement réalisé dans sa ville natale. Böras, une ville moyenne au Sud-Est de la Suède qui survit au milieu de la forêt. On tue son ennui en luttant dans la boue à la fête du quartier, en remplissant son caddy au supermarché, en cul- tivant son embonpoint au fast-food du coin ou en draguant au coin d'un aqualand en déshérence. Dans des décors banals Tunbörg nous entraîne dans sa perception du monde, caméra au point et flash au point il déclenche comme dans un grand éclat de rire. Sans pour autant se départir d'une certaine empathie envers ses concitoyens, avec ses cadrages bancals et chargés, ses couleurs écla- tantes, il décrit un monde désenchanté où le ridicule rivalise avec un consumérisme galopant. La mise en vue elle-même, qu'il a voulu comme jetée, mur d'images punaisées, renforce l'idée qu'il met un coup de pied dans la fourmilière.

Avec «Office», il explore l'univers du travail contemporain dans les bureaux en Suède, Etats - Unis et Japon. Le flash est toujours son allié et il alterne détails et plans larges mais son écriture visuelle se dépouille, la couleur s'apaise. Il adopte un point de vue généralement central comme dans une forme de neutralité, mais dénonçant, l'air de rien des situations de travail aussi absurdes que cau- chemardesques.

«Vinter» est son plus récent opus, il a parcouru la Suède pendant trois ans, en hiver où son regard conditionné par sa perception de la solitude s'est davantage tourné vers les déprimes hiver- nales scandinaves. Il nous entraîne loin des clichés de paysages de neige immaculée, d'intérieurs « cosy » et propres de gens qu'on imaginait rompus à cet exercice annuel de saison noire et longue, enferrés dans une attente passive et tranquille. Le kitch et l'incongru des situations, l'attente et la lutte pour repousser la lassitude, restent ses motifs de prédilection, mais des images aux tons tristes et sales cotoient désormais celles aux teintes acidulées, il traduit ainsi la lenteur d'un hiver qui n'en peut plus de ne pas finir.

C'est donc avec un sens profond de la couleur et toute l'ironie mordante qui caractérise son regard que Lars Tunbjörk construit une ?uvre singulière et qu'il dresse le portrait de ses contemporains en

mettant en forme les cohérences et les incohérences de la société dans laquelle nous vivons.

 

www.agencevu.com
www.galeriechateaudeau.org

 

 

 

Haut de page

 

6èmes Rencontres Photo Art'gentik

 

 

 

« 6èmes Rencontres Photo Art'gentik »

Art'gentik73

19-27 Janvier 2013
La Ravoire ? Espace Culturel Jean Blanc
Rue de la concorde,
73491 La Ravoire

Créé en 2006, ART'gentik73 est un collectif de 24photographes régi par la loi 1901 dont le but est de perpétuer la photographie argentique et de remettre au goût du jour les procédés anciens. Les Rencontres Photo Art'gentik proposées par ce collectif, en partenariat avec la municipalité de La Ravoire, sont l'occasion de découvrir la diversité artistique des auteurs de la région. Une preuve que le grain d'argent, voire de palladium ou de platine, produisent toujours autant d'émotions.

 

www.artgentik73.fr/Rencontres

 

 

 

Haut de page

 

Hai Zhang<br />
Don't Follow Me, I'm Lost

Photographie de Hai Zhang

 

 

 

« Hai Zhang
Don't Follow Me, I'm Lost »

RESTER PARTIR, LE VOYAGE IMPOSSIBLE
EXPOSITION INAUGURALE DE LA PROGRAMMATION COPRODUITE PAR MARSEILLE-PROVENCE 2013.

Exposition du 13 janvier au 3 mars 2013
Voies Off :: Galerie
L'alternative photographique
Galerie Voies Off :: 26 ter, rue Raspail, 13200 Arles (France)

Hai Zhang est né en Chine et vit depuis une dizaine d'année à New-York. Il a étudié et pratiqué l'architecture en Chine et aux Etats-unis. La photographie ayant toujours été essentielle dans sa vie, il décide de s'y consacrer pleinement en 2008, s'attachant à présenter la constante et tentaculaire évolution du paysage urbain chinois.

"Aujourd'hui, se promener dans les villes chinoises est magique..."

A travers sa série Don't Follow Me, I'm Lost, l'artiste tente de saisir le sens de la réalité chinoise contemporaine et ses contrastes, cataloguant les portraits de sa propre société.

La Galerie Voies Off accueille Hai Zhang en résidence pendant 7 jours pour la conception de cette exposition, premier évènement de la programmation "Rester Partir, le voyage impossible".

 

http://www.voies-off.com

 

 

 

Haut de page

 

Incertitudes, 2010-2013

Photographie © Arièle Bonzon

 

 

 

« Incertitudes, 2010-2013 »

Photographies de Arièle Bonzon

Du 19 janvier au 27 avril 2013,
Galerie le réverbère
Catherine Dérioz
JaCques Damez
38, rue BurDeau
69001 Lyon

Du mercredi au samedi de 14h à 19h et sur rendez-vous en dehors de ces horaires. Vernissage le samedi 19 janvier de 14 h à 20 h

Même si je ne photographie qu'une infime partie de ce que je vois, la photographie est en moi comme une épine, la part visible de ce qui n'est pas certain.

L'adjectif certain, certaine est apparu il y a dix siècles environ. Bien avant la photographie, il faut le souligner. Dans le latin populaire certanus et l'ancien provençal certan, quelque chose se montrait qui était sûr, sincère. De même le latin classique certus, issu de cernere (pour discerner), offrait sans tergiverser le pouvoir de décider ce qui était sûr et fixé. Nous étions alors face au convaincu, à l'assuré, à l'indéniable, au bien établi. Notons qu'il fallut un siècle à l'adjectif incertain, de incertus et incertum, pour faire état de ce qui n'était ni précis, ni sûr, ni fixé... Ce dont le résultat est douteux, dont la nature n'est pas nette, d'un siècle à l'autre va se répandre et s'appliquer à ceux qui se trouvent dans l'ignorance au sujet de quelque chose, ou qui, par tempérament, manquent de détermination.

Il faut en convenir, du certain naquit l'incertain.

La certitude, du latin certitudo, a très naturellement le caractère de ce qui est sûr et, nageant dans les eaux claires de la conviction, elle apparaît comme objective puis devient subjective pour former, en toute fin de XVe siècle, l'incertitude... Nous voici désormais confrontés à ce qui n'est pas assuré, à ce qui est imprévisible, à mille choses incertaines et mal connues.

Car l'incertitude est grande lorsqu'elle désigne l'état d'une personne qui doute. Ainsi allons-nous de la certitude vers l'incertitude.

Mais il fallut encore attendre quatre siècles pour que certitude et incertitude soient réunies par l'invention de la photographie ! Véritable tour de passe-passe ou acte de pure magie, on n'eut pas le temps de l'établir. Un siècle encore et le monde devint quantique. Un certain Heisenberg énonçait en physique un principe dit d'incertitude ou d'indétermination, et c'est toute notre compréhension du monde, issue de la logique d'Aristote, qui volait en éclats.

Maintenant (mot fait pour durer plus que l'instant, comme une photographie...), où regardons-nous, que comprenons-nous de ce qui arrive et de ce qui disparaît ? Maintenant, que maintenir ?

La photographie, ce que je vois du monde et le monde lui-même ont ceci en commun, l'incertitude et ses nombreux états.

Arièle Bonzon, octobre 2012

 

www.galerielereverbere.com

 

 

 

Haut de page

 

Figures déliées sur un fond sans fond, 2002-2010

Photographie © Yves Rozet

 

 

 

« Figures déliées sur un fond sans fond, 2002-2010 »

Photographies de Yves Rozet

Du 19 janvier au 27 avril 2013,
Galerie le Réverbère
Catherine Dérioz
Jacques Damez
38, rue BurDeau
69001 Lyon

Du mercredi au samedi de 14h à 19h et sur rendez-vous en dehors de ces horaires. Vernissage le samedi 19 janvier de 14 h à 20 h

Les ensembles présentés ici font partie de la série «Figures déliées sur un fond sans fond», élaborée depuis 2002. Aujourd'hui, ces images inédites finalisent le projet.

Comment ne pas se référer au dispositif du labyrinthe composé de trajectoires complexes lorsque l'on se promène parmi les multiples fragments de réel, vestiges d'une mémoire, témoignages d'une culture, strates de temps divers formant la matière des propositions apparemment hétéroclites des "Figures déliées..."

Réel et fiction, en se mêlant, "conspirent" à nous égarer, à perdre notre regard, à éclater nos repères spatio-temporels en créant des fictions suspendues, des prétextes d'histoires à inventer, des sources de songerie.

Ces images en noir et blanc et en couleur s'organisent en constellation : une écriture en mosaïque qui peut désorienter.

Le "blanc" de l'intervalle entre les images agit comme lieu de passage entre ces fragments qui ne se complètent pas, entre ces puzzles impossibles où rien ne semble s'imbriquer, avec la volonté de ne pas livrer une image unique qui serait censée contenir la totalité d'une expérience.

Au contraire, les images "lancent le désir au-delà de ce qu'elles donnent à voir?, et ainsi prennent en compte et jouent avec ce que la logique de l'image unique exclut.

La présentation des 26 " Figures déliées sur un fond sans fond" en maquette (30 x 40 cm) montre que l'ensemble des agencements d'images propose de nouveaux détours à son tracé et laisse apparaître un propos intime, secret et fragile qui peut s'estomper à tout moment.

 

www.galerielereverbere.com

 

 

 

Haut de page

 

Lumiéres et regards

Photographie © Alain Borjon

 

 

 

« Lumiéres et regards »

Luminescence Art Portrait

Du 28 janvier au 9 février 2013
Office du tourisme
1 place Carnot
38 Bourgoin-Jailleu

Vernissage le 29 janvier à 18h30
Entrée libre du lundi au vendredi de 10 à 12h et de 14 à 19h, et le samedi dimanche de 10 à 19h.

 

www.luminescence-portrait-art.book.fr

 

 

 

Haut de page

 

La photographie_Maison Blanche #2 (SUITE)

Photographie © Valérie Gaillard - La Résidence 2011

 

 

 

« La photographie_Maison Blanche #2 (SUITE) »

Exposition des lauréats : Sylvain Couzinet-Jacques (premier prix) / Andrés Donadio / Valérie Gaillard / Lola Hakimian / Maude Grübel

Du 10 janvier au 2 février 2013
Galerie MAD
Galerie de l'Ecole Supérieure d'Art et de Design Marseille-Méditerranée
30 bis boulevard Chave
13005 Marseille

 

 

www.laphotographie-maisonblanche.org

 

 

 

Haut de page

 

Natures de l'eau

Photographie © Patrick Boit

 

 

 

« Natures de l'eau »

Photographies de Patrick Boit

Du 02 au 30 janvier
Office de Tourisme d'Etoile sur Rhône

Du mardi au samedi midi de 9h à 12h et de 14h à 17h

L'eau impose à la pierre sa forme, la pierre impose à l'eau son mouvement, dialogue intemporel des éléments, alchimie des interactions.

L'eau, élément essentiel à la vie, est de plus en plus menacée, par une utilisation intensive et des pollutions multiples.

Ma propre réflexion par rapport à l'évolution de nos sociétés qui s'emballent, m'a poussé à porter un autre regard sur des phénomènes naturels comme l'eau qui ruisselle ou le mouvement de la houle.

Amoureux de la nature j'aime en capter les expressions les plus secrètes grâce à un rapport au temps différent. Cela m'impose parfois des temps de prise de vue très longs.

A ces vitesses d'obturation, la houle se transforme en brume et nous plonge dans l'univers voilé d'une réalité que nous pourrions observer si notre vision était ralentie.

Ce ralentissement nous invite à percevoir l'harmonie des éléments, même au plus fort de leur déchaînement.

Tumultueuse ou paisible l'eau porte en son sein les mystères de nos origines et si l'eau a été notre premier miroir, nous pouvons également y voir le reflet de notre propre destin.

Patrick Boit

 

www.boit-a-images.net

 

 

 

Haut de page

 

Le miroir traversé

Photographie © Pierre De Fenoÿl

 

 

 

« Le miroir traversé »

Photographies Pierre De Fenoÿl

exposition 10 jan-14 mars
Espace Malraux
67 place François Mitterrand - Carré Curial
73001 Chambéry

Chez Pierre de Fenoÿl, il y avait une culture savante de l'espace, une dialectique du concret et de l'abstrait, une intelligence des plans et du point de vue, un regard acéré et confiant dans la puissance de l'acte photographique. Rares sont ceux qui mettent la lumière au diapason de leur vision. Ici, l'imbrication de l'espace, de la surface, des profondeurs, est en permanence interrogée, de sujets en sujets, pour finalement construire et nous offrir son monde de croyance

magique. Cette exposition propose une plongée dans le monde vu par Pierre de Fenoÿl, photographe visionnaire disparu en 1987 ; un miroir traversé en sa compagnie, où l'artiste nous offre le passage au pays des merveilles grâce au Leica - anagramme de Alice - cet appareil qui arrête le temps pour lui permettre de passer au-delà du tain...

 

www.pierredefenoyl.fr
www.espacemalraux-chambery.fr

 

 

 

Haut de page

 

RENCONTRES IMAGES et VILLE 2012

Photographie © Jacques Damez

 

 

 

« RENCONTRES IMAGES et VILLE 2012 »

8ème édition

Du 23 novembre 2012 au 15 février 2013
NEGPOS - FOTOLOFT
1, cours Némausus B301
30000 Nîmes

La ville, la ruine

N'allons pas voir derrière ce paradigme l'éloge d'une quelconque volonté d'en finir avec la ville. La ville et la ruine se côtoient depuis la nuit des temps. Dans un dialogue perpétuel, l'une après l'autre, l'une sur l'autre... et l'on ne saurait presque savoir qui de la première engendra la suivante. ?C'est ce que la programmation des Rencontres Images et Ville 2012 à travers la diversité de ses propositions, tente de signifier. ?De la Havane en état d'« après guerre » des années 1990 de Patrice Loubon et Carlos Garaicoa à la ville en « fusion » numérique de Jean-Baptiste Perrot, en passant par la vision « troublée » de Marcus Kaiser, fixée sténopéïquement à travers les percées dans le béton épais du mur de Berlin, comme si en abîme surgissait la ville détruite par la guerre et magistralement mis en scène par Roberto Rossellini dans « Allemagne Année Zéro », de cette ville fantôme et anonyme où nous fait circuler angoissés Guillaume Chamahian au chantier des subsistances à Lyon photographié par Jacques Damez s'inscrivant dans la lignée de Charles Marville, des vidéos d'artistes présentés par le label LOWAVE renvoyant à des réalités pas tellement artistiques telles que la guerre (n'en déplaise aux Futuristes...) aux regards croisés d'un groupe de recherche sur la ville qui cherche à débusquer, sans dénoncer, ce qui fait « ruine » aujourd'hui à Nîmes et comment la ville n'en finit pas de se réinventer sur des strates de siècles et de « sédiments » humains, la ville élabore ainsi au fil du temps sa propre relation à la ruine, et vice versa...

 

www.negpos.fr/negposphoto

 

 

 

WWW.FABRIQUE-IMAGE.FR

 

 

Bas

Désinscription de la lettre d'actualité