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© BBB+TZ
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L'exposition : "LA FIN DU PETROLE" est visible dans deux lieux jusqu'au 17 février :
Espace Envol
Bd de la Chaumette
07000 Privas
Visites du lundi au vendredi 9H > 12H - 14H > 18H
Association " Un jour, un lieu"
Ancienne usine
Quartier Trëguel
07000 Flaviac
Visites sur RDV au 06.07.61.85.26
Visible jusqu'au 17 février 2013
Pour ces nouveaux lieux l'exposition s'est enrichie de nouvelles compositions fraichement imprimées et de quelques sculptures de Hettie Goverts à l'espace envol.
Plusieurs textes accompagnent l’expo : Julie Sauter, Max Jacot, Francis Traunig, Christian Hivert, Michèle Soullier et Guillaume Goumat ont joué de la plume et évoqué à leur façon la « fin du pétrole ».
Si le thème vous inspire, ne vous privez pas d’en faire autant. Envoyez vos textes par mail. Ils seront mis à disposition dans l’expo ainsi que sur un espace dédié sur le site de la Fabrique.
La Fabrique de l'image est un espace dédié à la photographie :
- Atelier d'impression numérique : retouche et optimisation d'images, impressions d'art, grands formats avec grand choix de supports, contre-collages alu-dibond.
Vous trouverez ici les événements encore d'actualité et annoncés précédemment.
WWW.FABRIQUE-IMAGE.FR
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Photographie © Lorette Fabre
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« Des hommes et des femmes de chez nous »
Photographies de Lorette Fabre
Du 1er février au 23 mars 2013 MAISON DU TOURISME,
Place Max Aubert,
84290 STE CECILE LES VIGNES
Du lundi au vendredi, de 9h à 12h et de 14h à 17h,
et le samedi de 9h à 12h.
Le vernissage aura lieu le vendredi 1er février à 18h30.
De sa passion, elle a fait de la Photographie son métier. Sur ce travail personnel, elle met en avant, simplement, des personnes dans leur quotidien, à leur domicile ou dans leur environnement.
Le sujet avait été en partie traité en 2003, à l'occasion de la Journée Mondiale de la Femme : opération commandée, à l'époque, par la Mairie de STE CECILE LES VIGNES pour cette manifestation. Dix ans plus tard, elle choisit d'honorer également les hommes... et les femmes de chez nous !
N'étant pas « ultra-féministe », il était important pour elle d'approfondir ce sujet « social ». Elle nous présente donc 31 nouvelles images de portraits individuels, en couple, de fratrie et de générations ! Le tout en noir & blanc, pour une parfaite harmonie. Les tirages sont imprimés par des procédés les plus performants existants à l'heure actuelle, avec des encres à pigment. Ils sont présentés sur Dibond®. Pour cela, elle a travaillé, « main dans la main » avec le laboratoire professionnel « LA FABRIQUE DE l'IMAGE » à MEYSSE, dans l'Ardèche.
Dés à présent, toute personne désireuse de passer devant son objectif à ce sujet ou un autre, peut la contacter. Son but est d'agrandir cette collection par des céciliens, mais aussi par des villageois de communes alentours, de villages de Provence. Cette galerie se veut être un véritable patrimoine pour les familles, mais aussi pour les communes.
www.lorette-photographe.com www.sainte-cecile.org
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Photographie © François Xavier Prévot
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« Les Savoir Faire dans 11 Pays du Monde »
Photographies de François Xavier Prévot
Du 25 février au 2 mars 2013
Expo photos dans la salle "Les Écuries" de la Mairie d'Aurillac
Exposition de Photos, Artisanats et Ateliers sur le thème des Savoir Faire dans 11 Pays du Monde, par François-Xavier PRÉVOT, Marcheur-Photographe, et Kaori PRÉVOT, artiste japonaise, dans le cadre de la 12 ° Semaine Interculturelle de la Ville d'Aurillac, du lundi 25 février au samedi 2 mars 2013.
Photos d'Algérie, de France, du Japon, du Mali, du Maroc, de Mauritanie, de Roumanie, du Tibet, de Tunisie, de Turquie et du Népal :
Des tanneurs de la Médina de Fès au Maroc aux tapis des femmes maures à Chinguetti en plein Sahara mauritanien, des potiers du souk de Tataouine en Tunisie aux derniers fabricants d'encriers au monde pour la calligraphie au sud du Japon, des croix Touareg en argent de Tamanrasset en Algérie aux marchands ambulants de chapeaux Peulh sur le port de Mopti au Mali :
Qui que l'on soit et où que l'on soit, que notre Travail soit une ?uvre d'Amour.
www.photographe-marseille.eu
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« Trois ans d'art : »
une exposition à emporter !
Du 12 février au 9 mars BIBLIOTHÈQUE KATEB YACINE
CENTRE COMMERCIAL GRAND'PLACE
38000 Grenoble
Vous avez rêvé d'une exposition où vous pourriez décrocher votre ?uvre préférée pour l'emporter chez vous ? L'artothèque municipale de Grenoble vous offre cette possibilité en vous invitant à choisir parmi les ?uvres des photographes et artistes qui ont enrichi sa collection au cours des trois dernières années .
Vous pourrez ainsi, pendant la durée de l'exposition, choisir une photographie ou une estampe et l'emprunter pour 3 mois. Pendant 4 semaines, cette exposition va évoluer au gré des emprunts de chacun... jusqu'à épuisement du stock !
Pour qu'un grand nombre de personnes puissent en profiter, une seule ?uvre pourra être décrochée.
Les artistes exposés : Nicolas Aiello, Jean-Michel Alberola, Odette Ancion, Stéphane Bertrand, Jean-Pierre Bonfort, Stéphane Bordarier, Daniel Challe, Didier Cholodnick, Jacques Clauzel, Marie-Claire Corbel, Philippe Cogné, Olivier Culmann, Mathilde Darel, Hamid Debarrah, Marc Desgrandchamps, Damien Deroubaix, Valie Export, Beranrd Fontanel, Valérie Gaillard, Michel Gasarian, Gilgian Gelzer, Rip Hopkins, Martine Lafon, Frédérique Loutz, Anne-Marie Louvet, Jean-François Maurige, Michel Mazzoni, Agathe May, Dominique Mérigard, Fabrice Nesta, Philippe Poncet, Françoise Pétrovitch, Hervé Robillard, Olivier de Sépibus, Aurore de Sousa, Patrick Taberna, Marc Trivie,r Claude Viallat, William Wegman et Géraldine Lay.
www.bm-grenoble.fr
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« La bourse et la vie »
Photographies de Michel Girardin
Du premier au 30 mars 2013 Fnac-Genève (Rive)
Dans le présent ouvrage, le banquier-photographe genevois part à la rencontre de ces mystérieux gérants de hedge funds qui ont construit leur empire sans autre publicité que le « bouche à oreille », ou de ces présidents de banque centrale et grands financiers peu enclins à sortir de leur réserve.
De George Soros à Warren Buffett, en passant par Alan Greenspan, Marc Faber, Edgar de Picciotto et John Paulson entre autres: l'auteur nous montre la face cachée de ces icônes de la finance et nous livre quelques-uns de leurs secrets dans une double chronique, l'une portant sur leur vie privée et l'autre sur leur vie professionnelle.
Avec ces 25 portraits, parfois surprenants, toujours vivants, ce livre nous aide à débusquer la vie dans le monde de la Bourse. Pour mieux la comprendre.
www.michelgirardin.com
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Photographie © Myriam Voreppe
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« Méditerranée »
Photographies de Myriam Voreppe
25 janvier - 20 fevrier 2013 Maison Pignal�
rue du DR L'Hermier�
26250 Livron / Drôme�
04 75 40 41 37
Vernissage & inauguration de la nouvelle salle d'exposition
vendredi 25 janvier a partir de 19H
Dalles de béton, rochers, lieux escarpés, aménagements sommaires : bien que ces territoires des bords de Méditerranée ne soit pas des plus accueillants, l'homme éprouve l'envie de se rapprocher de l'eau.
Loin des plages de sable, des endroits insolites deviennent des lieux prisés dès lors qu'ils bordent les vagues.
J'aime observer comme les gens s'installent, comme les corps se tiennent, comment chacun profite de cet espace qu'il s'approprie...
www.livron-sur-drome.fr
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Photographie © Bernard Duffour
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« Moi mon foulard »
Photos de Bernard Duffour - Textes de Monique Domergue
22 Janvier au 23 Février 2013 Médiathèque de la Monnaie
Rue Ninon Vallin
26100 ROMANS
04-75-70-33-58
Vernissage et lecture par l'auteur : Mercredi 23 Janvier à 18h30
Médiathèque de la Monnaie ROMANS
Le Festival International 2012 Romans-sur-Isère a eu pour thème « Modes et Identités »
...en m'habillant, je définis qui je suis: dans le monde, dans mon pays, dans ma ville, dans mon quartier, mais aussi dans mon époque, mon genre, ma fonction...
Eléments de confort de notre quotidien, les voiles, foulards, étoles, fichus... sont aussi des vecteurs de nos identités culturelles, religieuses, ethniques....
Avec le concours de la Maison de Quartier Coluche, Monique Domergue, et Bernard Duffour, ont reçu les témoignages d'habitants d'origines et de cultures diverses sur la manière dont ils portent ce morceau de tissu et ce qu'il représente pour eux.
Dix textes, dix photos, dix fragments de vie qui rendent compte de la diversité et de la richesse des habitants du quartier et ont été restitués sous la forme d'une exposition itinérante.
Les éditions du Hanneton publient un livre de ce travail sous le titre « moi mon foulard »
Un grand merci à tous ceux qui nous ont aidé, soutenus et conseillés dans la réalisation de cette exposition, de l'accueil à la photographie et de l'écriture à la présentation.
... avec un bout d'étoffe, certains se couvrent, moi je me découvre.
www.bernard-duffour.book.fr
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Photographie © Gilles Caron
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« Gilles Caron, Le conflit intérieur »
Photographies de Gilles Caron
30.01.2013 au 12.05.2013 Musée de l'Elysée
18, avenue de l'Elysée
1014 Lausanne - Switzerland
Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h.
Entrée : CHF 8
AVS : CHF 6
AI, étudiants, apprentis, chômeurs : CHF 4
Entrée libre le premier samedi du mois.
Si l'oeuvre de Gilles Caron (1939-1970) s'inscrit dans la grande tradition du photojournalisme, elle en annonce aussi la crise naissante. Cette crise s'exprime sous la forme d'une conscience malheureuse, laquelle constitue une critique en acte du métier. Le "conflit intérieur" de Caron est celui de toute une génération qui s'interroge sur la portée du témoignage en images et plus généralement sur le sens de l'action. Chez Caron, la guerre est devant l'objectif, mais aussi au coeur de la conscience.
L'exposition Gilles Caron, Le conflit intérieur présente en 250 images et documents, provenant de la Fondation Gilles Caron, du Musée de l'Elysée et de collections publiques et privées, l'oeuvre d'un photoreporter qui n'a cessé de questionner la finalité de son engagement. A partir des archives ? tirages d'époque, négatifs, planches contact, documents anciens ?, l'exposition permet de redécouvrir l'une des plus importantes figures du photojournalisme de la seconde moitié du XXe siècle.
L'exposition est réalisée en partenariat avec la Fondation Gilles Caron qui reçoit le soutien de la Fondation Bru.
www.fondationgillescaron.org
www.elysee.ch
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Photographie © Phill Niblock
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« Nothin' but Working Phill Niblock, une rétrospective »
Photographies de Phill Niblock
30.01.2013 au 12.05.2013 Musée de l'Elysée
18, avenue de l'Elysée
1014 Lausanne - Switzerland
Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h.
Entrée : CHF 8
AVS : CHF 6
AI, étudiants, apprentis, chômeurs : CHF 4
Entrée libre le premier samedi du mois.
Né en 1933, Phill Niblock propose depuis plus d'une cinquantaine d'années une oeuvre pluridisciplinaire. Son «Art Intermedia» associe musique minimaliste, art conceptuel, cinéma structurel, art systématique ou encore politique; et s'active à transformer notre perception et notre expérience du temps. Cette rétrospective est présentée simultanément au Musée de l'Elysée et au centre d'art contemporain Circuit. Le commissariat de l'exposition est assuré par Mathieu Copeland, et pour le Musée de l'Elysée, par Anne Lacoste, conservatrice.
Reconnu comme l'un des grands compositeurs expérimentaux de notre époque, Phill Niblock débute sa carrière artistique comme photographe et cinéaste. Originaire d'Indianapolis, passionné de jazz, il s'installe à New York en 1958. Niblock débute la photographie en 1960 et se spécialise dans les portraits des musiciens de jazz (Duke Ellington, Charles Mingus, Billy Strayhorn...). Au milieu des années 1960, il réalise ses premiers films pour les danseurs et chorégraphes du Judson Church Theater. A partir de 1968, Phill Niblock se consacre à la musique et compose ses premières pièces qui doivent ?comme le précise l'artiste? être écoutées à fort volume pour en explorer les sur-harmoniques (the overtones). Il poursuit indépendamment ses projets cinématographiques dont The Movement of People Working (le mouvement des gens qui travaillent), une série de films de plus de 25 heures réalisée entre 1973 et 1991 où la gestuelle répétitive du travail s'offre en écho direct à ses compositions musicales.
Depuis le milieu des années 1960, son oeuvre photographique réalisée en argentique dépeint l'architecture et l'urbanisme new-yorkais. La séquence et l'agencement des vues proposent une cartographie du lieu et de l'objet photographié, tels que le quartier désaffecté au sud du Bronx en 1979 ou les façades du district de SoHo Broadway en 1988. Phill Niblock s'intéresse plus particulièrement à la projection d'images en mouvement films et suites de diapositives. Produit entre 1966 et 1969, Six Films, une suite de courts-métrages sonores réalisés en film 16 mm, annonce sa démarche expérimentale au travers de portraits d'artistes et musiciens dont Sun Ra et Max Neuhaus.
A partir de 1968, l'artiste expérimente l'association de ses productions visuelles à son oeuvre musicale pour créer des compositions architecturales et environnementales. La série des Environments, recréé par l'artiste pour la première fois depuis sa dernière présentation en 1972, extrait, par l'image, la réalité de plusieurs environnements, tout en créant un environnement temporaire dense et intense d'images projetées, de musique et de mouvements dans l'espace du musée.
www.phillniblock.com www.elysee.ch
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© Gaël Peltier, extrait Sans titre, photographie argentique, 120 x 80 cm, 2006
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« Die-Casting »
Photographies de Gaël Peltier
EXPOSITION du 19 janvier au 23 février 2013 à La Traverse Les Ateliers de l'Image?
28-38, rue Henri Tasso?
13002 Marseille
Tél. 04 91 90 46 76
Vernissage le samedi 19 janvier à 18h00. Rencontre avec l'artiste le samedi 19 janvier à 16h30.
Un art d'attitude vraiment à part
« Ainsi Peltier s'entraîne-t-il régulièrement à la boxe, ce sport aux significations sociales complexes. Ou encore apparaît-il comme héros ? plutôt comme anti-héros ? du film vidéo qui est le centre de gravité de l'exposition. Ici, entre la fiction de l'?uvre et la vie matérielle de l'artiste, les différences se brouillent : ainsi Peltier est bel et bien parti à New York en 2010, dans l'ombre d'un acteur que son rôle aurait condamné à prendre du poids, se glissant entre Robert De Niro, Jake LaMotta et Travis Bickle (le personnage), entre le champion, le prolétaire et le mauvais garçon. Au prix d'une trentaine de kilos de surpoids pris comme un conditionnement sculptural, il a opéré sur son propre corps une transformation plastique forte dont le film rend compte, non sans dérision : s'adressant à la webcaméra de son ordinateur, le personnage qu'il incarne littéralement raconte une vie banale, grotesque, carnavalesque, de loser velléitaire, vaguement artiste, souvent crétin, pathétique mais sans pathos, corrosif et attachant.
Il y a vraiment un ton singulier dans cette autofiction au seuil incertain, mais où se tient très clairement un artiste qui dessine là une posture résistante et conflictuelle. Il y affirme un art d'attitude vraiment à part, d'une verve qui touche à celle du John O'Toole, l'auteur de La Conjuration des imbéciles (1980, Louisiana State University Press) ».
Une mise au poing (extrait), Le Journal des Arts ? Christophe Domino
lezat50.tumblr.com www.ateliers-image.fr
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