Bannière

 

 

Le Spleen de Chongqing

Photographie © Nicolas Joriot

 

 

 

 

 

La Fabrique de l'image est un espace dédié à la photographie :

- Atelier d'impression numérique : retouche et optimisation d'images, impressions d'art, grands formats avec grand choix de supports, contre-collages alu-dibond.

la Fabrique de l'image
2 rue de l'oratoire
07400 Meysse
0663251795
0981204688

La Fabrique de l'image sera fermée du 28 juin au au 6 juillet inclus. Elle réouvrira le dimanche 7 juillet pour une journée portes ouvertes.

10H : Finissage de l'exposition " La vie dangereuse " en présence de Marine Lanier.

13H : Installation de l'exposition "Le Spleen de Chongquing"

17H : Vernissage de la nouvelle exposition en présence de Nicolas Joriot.

« Le Spleen de Chongqing »

Photographies de Nicolas Joriot

Du 7 juillet au 5 octobre 2013

Du mercredi au samedi
De 16h à 19h et sur rendez-vous

17 ans après un premier voyage je suis retourné en mars 2013 dans cette ville de Chongqing à la poésie âpre et au spleen Rimbaldien, à la recherche de silence gris.

Plus d'infos sur cette exposition

 

 

WWW.FABRIQUE-IMAGE.FR

 

 

Haut de page

 

Exposition Guillaume BIJL

 

 

 

« Exposition Guillaume BIJL »

Du 6 juillet au 6 octobre 2013
Château des Adhémars
26200 Montélimar

Visites de 10h à 18h en juillet et août
Et de 10h à 12h30 et de 14h à 18h en septembre et octobre
TARIFS
plein tarif 3,50 € / tarif réduit 2,50 €
Groupes scolaires selon projet
(Gratuité pour moins de 18 ans, étudiants, titulaires de la Carte 3 Châteaux).

Guillaume Bijl est une figure majeure de l'art contemporain de la seconde moitié du 20e s. : créateur d'installations spectaculaires qui dénoncent de manière sarcastique le monde de l'art et son économie, il a développé un propos engagé autour de l'absurde, du tragicomique, via l'appropriation de sites artistiques qu'il détourne à des fins utilitaires. Questionnant la rentabilité de l'art nécessaire à sa survie, il investit depuis la fin des années 1970 les lieux d'exposition (centres d'art, musées, galeries..) où il reconstitue minutieusement des espaces sociaux et commerciaux de la société marchande (clinique psychiatrique, casino, gymnase, magasins de vêtements ou de luminaires, plateau de télévision, laverie automatique, salon de coiffure).

Sa première installation est une auto-école mise dans la galerie Ruimte Z à Anvers, inaugurée le 20 avril 1979 et accompagnée d'un manifeste demandant l'abolition des centres d'art contemporain qu'il considère inutiles économiquement parlant, et leur transformation en espaces utilitaires. Guillaume Bijl installera également une friterie dans le Centre culturel de Berchem (1983), un supermarché dans la galerie Littmann (1990), puis un abri antiatomique, une salle de billard, une présentation d'un nouveau parti politique...

S'adaptant à l'aire dans laquelle il intervient, il crée ces simulacres qu'il conçoit comme le décor de son temps et explore les limites entre l'art et la réalité ociale en puisant son inspiration dans le quotidien proche. Les éléments banals, souvent triviaux, constituent un point de départ pour son oeuvre. Dans la continuité de Marcel Duchamp, il réalise aussi des "compositions rouvées", fragments de réel sortis de leur contexte interrogeant la notion de décoratif. A Montélimar, dans ce site historique à vocation culturelle, le créateur « plantera le décor ». Théâtralisant le réel, Guillaume Bijl dévoilera chaque espace avec des mises en scène révélatrices d'un fonctionnalisme poussé à son paroxysme. Inoculant de l'irréel avec des images trompeuses, des personnages téléportés, des histoires inventées, il proposera des saynettes à l'échelle du lieu. "The Concise History of Prehistoric Man", "Lederhosen museum" ou "Dino Eggs" offriront une immersion dans des moments historiques : de la découverte du feu à la sacralisation du folklore autrichien, de l'ère des dinosaures à celle du kitsch et de la sculpture antique. Introduisant des objets réels dans des situations créées de toutes pièces, Guillaume Bijl mènera en bateau le visiteur dans une dimension nouvelle mais ancrée dans une temporalité résolument contemporaine : celle d'un discours fort car à la fois critique et comique. « Guillaume Bijl ne crée pas l'illusion d'une réalité, mais rend manifeste le caractère illusoire de la réalité ».

Collaborations S.M.A.K, Gand ; MUHKA Anvers ; Galerie Guy Pieters, Knokke.

Eléments biographiques

Né à Anvers en 1946, Guillaume Bijl est un artiste belge reconnu sur la scène internationale. Il a exposé dans les plus grands lieux. En Rhône-Alpes, il a présenté « les Nonnes de Bruges » à la Biennale d'art contemporain de Lyon en 2011. Sa dernière exposition monographique en France remonte à 1995, au château d'Oiron. En 2013, il participera à la Biennale d'Istanbul et à de grands évènements à Pékin et Cologne. Ses oeuvres font partie des plus grandes collections publiques et notamment : le CNAC Georges Pompidou à Paris ; le Musée d'Art Contemporain de Lyon ; le château d'Oiron ; le Fnac à Paris ; le Musée d'Art Contemporain de Montréal ; le S.M.A.K de Gand ; le Vlaams Parlement de Bruxelles ; le MUKHA d'Anvers ; le Goldberg Collection de New-York ; le Ludwig Museum de Cologne ; le MOCA, de Los Angeles.?Il est représenté par deux galeries: Gabrielle Maubrie (Paris), Guy Pieters (Knokke et Saint-Paul-de-Vence

 

www.guillaumebijl.be
www.ladrome.fr/fr/le-tourisme/les-chateaux-de-la-drome

 

 

 

Haut de page

 

Souviens toi de ta noblesse

 

 

 

« Souviens toi de ta noblesse »

Photographies Sylvie-Constance De Pasquale et Jean-Noël Lanthiez

Du 2 au 30 juillet 2013
La fontaine obscure,
24, avenue Henri Poncet,
13090 Aix-en-Provence
04 42 27 82 41

Entrée gratuite
Tous les jours sauf lundi, dimanche et jours fériés de 15h à 19h et le samedi de 10h-12h
VERNISSAGE le mercredi 3 juillet à 18h30

Diptyques photographiques.

Portraits et dons des compagnons d'Emmaüs

des communautés de Cabriès et de Pointe Rouge.

Pour le compagnon, la question du don est primordiale, elle conditionne sa participation au projet photographique.

Il doit s'interroger : donner ? quoi ? Pourquoi moi ? Que puis-je donner ? Quoi partager ?

Eux à qui nous donnons les objets dont nous ne voulons plus, nous souhaitons au travers du processus créatif leur offrir la possibilité de donner en retour, Leur permettant de renouer avec leur dignité.

Chacun des participants se trouve obligé avant la séance de plonger à l'intérieur de lui-même, renouant avec ce qui est cher pour lui, ce qui l'anime, sa part de noblesse en quelque sorte.

 

www.arcadiffusion.com
www.fontaine-obscure.com

 

 

 

Haut de page

 

Rencontres d'Arles 2013

 

 

 

« Rencontres d'Arles 2013 »

Arles in Black

Du premier juillet au 22 septembre 2013

Arles in Black

par François Hébel, directeur des Rencontres d'Arles.

Cela peut paraître un paradoxe : c'est dans un esprit de découverte que les Rencontres d'Arles proposent en 2013 un parcours radicalement noir et blanc.

Jusque dans les années 1980 la couleur est regardée avec mépris, tandis que le noir et blanc est la photographie d'art par essence.

Le lent déclin du noir et blanc débute dans les années 1990 lorsque la couleur s'installe avec son lot de progrès techniques (films et tirages argentiques) et que le marché de l'art porte un intérêt soudain à la photographie, numérotant les tirages et starifiant de jeunes photographes.

Le noir disparaît presque totalement après 2000, la couleur installant sa suprématie dans toutes les pratiques de la photographie avec l'essor du numérique.

L'effacement du noir et blanc a entraîné avec lui l'abandon de l'album de famille et de la photo peinte. Avec la couleur sont apparus des tirages plus grands, des installations, des diffusions numériques.

Le statut du photographe, qu'il soit artiste, amateur ou professionnel, sa relation au sujet, au modèle ou tout simplement à la création, sont transformés par la disparition du mystère du révélateur et de l'artisanat de la chambre noire.

Quelle place le noir et blanc occupe-t-il aujourd'hui ? Réalisme ou fiction, poésie, abstraction ou pure nostalgie ?

En décidant de consacrer radicalement l'édition à cette forme esthétique, de vraies perles se sont alors offertes à nous, des découvertes bien sûr, des créations inédites d'artistes consacrés, et des trésors du passé. Beaucoup de ces expositions sont de véritables événements, sous la forme d'installations conceptuelles, d'albums, de tirages classiques et bien sûr des exceptions en couleur.

Ceux qui ont connu l'époque de la suprématie des gris verront peut-être que la libération des genres, souvent prônée à Arles, permet un programme noir et blanc différent de ce qu'il aurait été il y a vingt ans. La réaction des jeunes générations qui n'ont pas connu ce prisme est intéressante.

La nuit de l'année 2013 permet de mieux appréhender le territoire d'Arles, la commune la plus étendue de France, en se déplaçant dans le village de Salin-de-Giraud au milieu de la Camargue. C'est un territoire au croisement de beaucoup d'enjeux sociaux, productifs, écologiques, infrastructurels, politiques et touristiques.

De territoire, il est question aussi avec l'exceptionnelle commande, passée par les Rencontres et le Market Photo Workshop (créé par David Goldblatt), à douze photographes pour photographier les traces sociales dans le paysage d'Afrique du Sud, à la demande des Saisons France-Afrique du Sud 2012 & 2013.

L'édition et le succès du jeu des Rencontres Pause Photo Prose prolonge l'extraordinaire travail réalisé par le service éducatif depuis depuis quarante-quatre ans avec les stages, depuis dix ans à travers la Rentrée en images et de nombreux autres programmes.

Les trois colloques et les nombreux débats sont l'occasion d'approfondir les différents thèmes qui traversent cette édition particulière, qui sera complétée par les initiatives de l'association du Méjan, de l'abbaye de Montmajour avec Christian Lacroix, et de la fondation Luma.

L'expérience de cette édition radicalement noire et blanche, le talent et la générosité des artistes et des commissaires, le dynamisme de l'équipe des Rencontres et le soutien des partenaires publics et privés, rendent Arles incontournable en cette année où la Provence est capitale européenne de la culture.

 

www.rencontres-arles.com

 

 

 

Haut de page

 

La fin du pétrole

Tristan Zilberman - Brest Brest Brest ©

 

 

 

« La fin du pétrole »

Photographies : Tristan zilberman - Graphismes : Brest Brest Brest

Du 13 juillet au 8 septembre
Association Quartier Sud
Le Libones
07600 Juvinas

Le Week-end de 15h à 19h ou sur RDV au 04 75 94 59 38

Ce travail photo + graphisme a été réalisé par BBB à partir de clichés de Tristan Zilberman :

10 ans de photo sur le massif du Coiron pour raconter la vie des gens, la ruralité, les traditions, les paysages, 10 ans de reportages et de rencontres, présentés à travers des expos, des albums, des diaporamas.

Le désir de partager ces images, conduit aujourd'hui Tristan Zilberman à en proposer une nouvelle lecture : ainsi, a-t-il sollicité un regard de graphiste : celui de Brest Brest Brest.

Confiant quant à leur créativité, il leur a laissé carte blanche pour intervenir à partir de ses clichés... Demeurant néanmoins curieux de savoir ce que tout ça allait leur inspirer !

Résultat : LA FIN DU PETROLE.

C'est un regard neuf, décalé qui n'est pas celui du photographe ayant parcouru le territoire en totale immersion. C'est une vision inédite : les images de la vie rurale ardéchoise évoquant un basculement de civilisation ! Non pas passéiste, mais d'avenir : quand il n'y aura plus de pétrole, il y aura peut-être encore la terre et des hommes pour la travailler, des animaux à élever ?

Cette vision des lendemain sans pétrole est finalement assez rassurante ! Berçons-nous en...

Car en réalité, qui sait de quoi demain sera fait ?

Va-t-on avancer vers un monde où l'énergie sera captée au grès des vents et des marées, vers une énergie libre et accessible à tous, rendant de ce fait, toute velléité guerrière inutile ? Ou va-t-on poursuivre dans la logique d'une exploitation outrancière, déraisonnée, au profit d'une minorité possédante, réduisant par la même le reste de l'humanité à la servitude ? À moins qu'un monde apocalyptique ne se profile : Fukushima étendant sa lèpre au planétaire, des humains contaminés en errance, même pas imaginé par la SF la plus glauque.

«Il y avait un jardin qu'on appelait la terre...», chantait Moustaki ! Cette phrase doit-elle sonner comme une épitaphe ?

* Brest Brest Brest est un atelier de création graphique basé sur crest, piloté par Arnaud Jarsaillon, Rémy Poncet & François Gaillard

 

www.tristanzilbrerman.com
www.brestbrestbrest.fr

 

 

 

Haut de page

 

La nuit des images

 

 

 

« La nuit des images »

Édition 2013

Le 27 et le 28 juin 2013 en soirée.
Jardin du Musée de l'Élysée
18, avenue de l'Elysée
1014 Lausanne - Switzerland

Nouvelle formule pour la Nuit des images : deux soirées événements dans les jardins de l'Elysée !

Jeudi 27 juin 2013, dès 21h?Ciné-concert du musicien Rodolphe Burger et de l'écrivain Pierre Alferi?

Vendredi 28 juin 2013, dès 18h?Les coups de coeur du Musée de l'Elysée : 40 projections, le salon du livre On Print, des animations photographiques pour petits et grands, l'anniversaire de René Burri, le voyage à Cuba de Andres Serrano, la présence envoûtante d'Anouk Aimée...

LA FABRIQUE DE L'IMAGE sera présente avec son Labo Mobile le 28 juin pour accompagner l'animation de Francis Traunig " VENEZ VOIR UN VERRE" et faites-vous photographier dès 18h. C'est sous une plaque de verre que le photographe installera son appareil pour vous proposer des portraits inoubliables.

 

www.elysee.ch/la-nuit-des-images

 

 

 

Haut de page

 

Stéphanie Bade Zolotareff

Photographie © Stéphanie Bade Zolotareff

 

 

 

« Stéphanie Bade Zolotareff »

Photographies de Stéphanie Bade Zolotareff

Du 1 juin au 31 juillet 2013
Galerie les Z'Arts-D...eurs
5 rue Bir Hakeim
07000 Privas

Du mardi au Samedi
De 10h à 13h
Et le vendredi de 14h30 à 17h30

Le travail photographique de Stéphanie Bade Zolotareff se trament autour d'une certaine esthétique parfois kitche, mêlant humour et sensualité, où la femme occupe le rôle principal. Une représentation de la femme et de sa beauté aux multiples facettes. Des femmes qui se la jouent parfois fatales sans pour autant se prendre au sérieux, qui s'assument, telles parfois des héroïnes décalées et drôles...

 

www.sbadezolotareff.com
www.leszartsdeurs.blogspot.fr

 

 

 

Haut de page

 

Paysage et Macro

Photographie © Aude Lavenant

 

 

 

« Paysage et Macro »

Stage prises de vues

Dimanche 29 juin 2013 - 9h à 18h
SERRE CHAUVIÈRE
Au dessus de Montmaur-en-Diois (26150)

Panorama sur la haute vallée de la Drôme et les montagnes du Diois

Encadré par Aude Lavenant

La Balance des Blancs vous propose une journée de prise de vue pour vous immerger en pleine nature et photographier les magnifiques paysages du Diois. Selon votre niveau en photo, vous pourrez soit vous initier, soit vous exercer à la macrophoto et à la photo de paysage.

Toute la journée, vous serez guidé par Aude Lavenant qui vous aidera à améliorer vos compositions, à régler votre appareil, à développer votre regard et à réaliser des images de plus en plus maîtrisées et créatives.

 

www.labalancedesblancs.net

 

 

 

Haut de page

 

Pierre Coulibeuf

Photographie © Pierre Coulibeuf

 

 

 

« Pierre Coulibeuf »

Installation photo et vidéo

Du 2 mai au 11 juillet
lux Scène nationale
36 bd du général de Gaulle
26000 Valence

mardi de 13h à 20h30
mercredi, jeudi, vendredi de 14h à 20h30
samedi de 16h à 20h30
dimanche de 16h à 19h30
(de septembre à mars)
Fermé le lundi et les jours fériés, les expositions sont ouvertes les soirs de programmation.

Pierre Coulibeuf réalise des fictions et des films-installations qui jouent avec la photographie, le cinéma, la video.

La création contemporaine est le matériau de son travail. Ses ?uvres, aujourd'hui présentées dans le monde entier, bousculent les codes cinématographiques et les modes de représentation de l'image. Elles inventent un lieu et un langage à la frontière des disciplines, critiquent les formes établies, questionnent le corps et son langage, et les modes de représentation de la réalité. Depuis 1987, il développe un projet interdisciplinaire. Il réalise des fictions expérimentales qui investissent savamment le champ de l'art, et dans lesquelles les changements d'identité affectent les univers et les artistes qui inspirent ses oeuvres comme Pierre Klossowski, Michelangelo Pistoletto, Marina Abramovic, Michel Butor, Jan Fabre, Benoît Lachambre, Angelin Preljocaj, Maurice Blanchot. Sans relâche, Pierre Coulibeuf interroge son rapport au monde et invente son propre langage hors des sentiers battus.

 

www.lux-valence.com

 

 

 

 

WWW.FABRIQUE-IMAGE.FR

Retrouvez ici les infos des expositions précédemment annoncées et encore d'actualités

 

Bas

Désinscription de la lettre d'actualité