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© Anna Puig-Rosado |
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La fabrique de l'image vous souhaite une bonne année 2014 et vous invite vendredi 10 janvier à partir de 18h30 au vernissage la nouvelle exposition :
« Désorienté »
Photographies d'Anna Puig Rosado
Du 10 janvier au 19 avril 2014
Visite du mercredi au samedi de 16h à 19h
" Quinze années à errer dans la solitude de contrées éreintées, Ormoz, Wadi Alfa, Quetta, bercée par le son velouté de l'obturateur du Leica.
Photographier des silences, presque en secret, en attendant le prochain bac, le bus d'après".
L'artiste :
Grande voyageuse, Anna Puig Rosado explore l'envers du décors dans des lieux atypiques, Sibérie orientale, Yémen, Soudan, Mer Noire, Comores, Erythrée et des mégapoles comme Dubaï, Shanghai, Pékin. Elle a d'abord travaillé pour la presse magazine parisienne et a développé son travail d'auteur en réalisant des expositions présentées en France et dans le monde – Angleterre, Allemagne, Yémen, Japon – Ses travaux photographiques sont souvent accompagnés de textes ou poèmes écrits par son compagnon de route Nicolas Joriot.
Pour plus d'information c'est ici
www.annapuigrosado.net
La Fabrique de l'image est un espace dédié à la photographie
Atelier d'impression numérique : retouche et optimisation d'images, impressions d'art, grands formats avec grand choix de supports, contre-collages alu-dibond.
la Fabrique de l'image
2 rue de l'oratoire
07400 Meysse
0663251795
0981204688
La fabrique de l'image sera fermée du 17 au 26 janvier
WWW.FABRIQUE-IMAGE.FR
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© Stephane Lallemand, La grande Odalisque, 163 x 120 cm, Tirage lambda sous diasec, 2007
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« Délectation morose »
Dessins, photo de Stéphane Lallemand
Du 18 janvier au 1er mars 2014
Galerie d'exposition du théâtre
Rue de la Recluse
07000 Privas
Entrée libre du mercredi au samedi de 15h à 18h et les soirs de spectacle. Sur réservation pour les groupes scolaires Renseignements : 09 70 65 01 15
Stéphane Lallemand né en 1958 à Strasbourg. « L'objet de ma démonstration, c'est ce principe général que la vie imite l'art bien plus que l'art n'imite la vie. (...) à qui donc, sinon aux impressionnistes, devons-nous ces admirables brouillards fauves qui se glissent dans nos rues, estompent les becs de gaz et transforment les maisons en ombres monstrueuses ? (...) Qu'est-ce, en effet, que la nature ? Ce n'est pas une mère féconde qui nous a enfantés, mais bien une création de notre cerveau ; c'est notre intelligence qui lui donne la vie. Les choses sont parce que nous les voyons, et la réceptivité aussi bien que la forme de notre vision dépendent des arts qui nous ont influencés. (...)» Oscar Wilde. Le théâtre a probablement inventé la photographie à moins que ce ne soit le contraire... Il ne manquait que deux ou trois trucs pour conserver les images mais l'essentiel était là. Une scène, des cadres, des tableaux vivants, un rideau (d'obturateur), un opérateur... La photographie serait donc une forme de théâtre réservée aux sourds, comme un film mis sur pause. Des poses, des modèles, déposés là dans des scènes pour quelques représentations qui empruntent aux maîtres anciens leurs compositions. La construction patiente de mon musée imaginaire...
Stéphane Lallemand, mai 2013
Stéphane Lallemand possède cette conscience du rôle important qu'entretiennent ses œuvres photographiques avec l'histoire de l'art convoquée à chaque regard, jamais dans un souci d'imitation mais plutôt de création de nouvelles distances, de recréation d'un nouveau désir érotisé et emprunté. Sur l'aspect technique, mais aussi sur les ambiances finement observées, réappropriées par un souffle comme pour célébrer le corps féminin dans une nudité au cœur et parvenir à s'infiltrer dans des scènes ainsi décortiquées avec détachement.
Jean-Luc Gerhardt, mai 2013
www.stephanelallemand.net www.theatredeprivas.com
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Photographie © Vanden Eeckhoudt
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« Doux-Amer »
Photographies de Vanden Eeckhoudt
Du 5 décembre au 25 janvier 2014 Galerie Camera Obscura
268, boulevard Raspail
75014 Paris
Du mardi au samedi, de 13h à 19h
Doux-Amer : c'est bien le «goût» des photographies de Vanden Eeckhoudt, un regard partagé entre l'humour et la gravité, une façon unique d'allier la légèreté au tragique.
Ses images sont peuplées d'animaux, et on sourit souvent à voir les situations incongrues dans lesquelles ils sont saisis, mais le monde qu'il montre est souvent sombre, ses sujets choisis dans les marges : lieux, objets, personnages délaissés, un peu perdus.
Cependant on sent toujours dans ses photographies un désir d'apercevoir la lumière, de rendre hommage à ses sujets, de montrer la beauté et la vie qui se dégage de situations difficiles. Ainsi ce simple sac plastique qui flotte, danse, miraculeusement lumineux
dans une cour d'immeuble sinistre. Il faut dire aussi l'incroyable virtuosité de cette photographie qui découpe dans le réel des scènes improbables, comme ces trois ratons laveurs au parloir, mains passées sous le grillage, ou ce cheval noir au galop dans les rues du Caire. Le tout dans un noir et gris élégant, dans des tirages d'une qualité remarquable, réalisés par Michel Vanden Eeckhoudt lui-même.
«S'il fallait un verbe pour caractériser le geste photographique de Michel Vanden Eeckhoudt, alors ce serait le verbe ramasser, avec ce qu'il indique de lenteur mais aussi d'égards : on ne ramasse que ce qui est tombé. Et là je vois le geste de celui qui, ayant vu quelque chose au sol, se baisse, le prend dans sa main et le contemple... Ce qui veut dire qu'ainsi conçue la photographie n'est pas seulement une pratique ou son résultat, mais qu'elle est une attitude, une conduite, une certaine façon de se disposer envers le réel.»
www.agencevu.com www.galeriecameraobscura.fr
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Les Nénettes, 2013 © Stéphanie Lehu
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« Mémoire[S] »
Photographies de Stéphanie Lehu
Du 29 janvier au 8 mars 2014 Angle art contemporain
Place des arts
26130 Saint-Paul-Trois-Châteaux
Et du 27 janvier au 3 février dans les commerces de Saint-Paul-Trois-Châteaux
Du mercredi au samedi de 14h à 18h
Dans le cadre des 30 ans de la Fête du livre de jeunesse, la photographe Stéphanie Lehu a été invitée à mener un projet en collaboration avec des familles du Tricastin. Les familles ont partagé avec l'artiste un ensemble d'ouvrages jeunesse (albums, BD, romans...) qui ont été marquants pour elles. Ensuite, Stéphanie Lehu s'est basée sur les illustrations et les textes pour réaliser une série de photographies, humoristiques et poétiques, mettant en scène la famille.
www.stephanielehu.com www.angle-art.fr www.slj26.fr
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Photographie © Aldo Soares
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« Carnac - Autour de Guillevic »
Photographies de Aldo Soares
Du 09 janvier au 15 mars 2014 Regard Sud galerie
1-3, rue des Pierres Plantées
69001 LYON
Inauguration le jeudi 09 janvier 2014 à 18h00
La galerie est ouverte du mardi au samedi de 14h à 19h et sur rendez-vous au +33 04 78 27 44 67
Est un travail personnel du photographe Aldo Soares en hommage au grand poète breton Eugène Guillevic disparu en 1997.
"Carnac" (Éd. Gallimard, 1961) est une oeuvre poétique dépouillée et incisive qui interroge la présence mystérieuse des objets et des êtres qui nous entourent. Une poésie comme un rocher libre disait un critique littéraire.
Cette exposition originale présente une série d'images en noir et blanc, aux accents oniriques, réalisées en 2008 à Carnac, ville natale du poète.
Une modeste contribution avec cette libre interprétation en images de la poésie de Guillevic, dans un univers où le monde est toujours extérieur et dérobé à l'homme.
Aldo Soares Né près de Porto, il vit et travaille à Paris. Sa famille quitte le Portugal en 1965 pour s'installer dans le Nord de la France. Après des études scientifiques, il rejoint la capitale à la faveur d'un emploi dans l'administration dont il demissionne en 1987 pour se consacrer la photographie.
La publication d'un portfolio de portraits dans le magazine Zoom l'année suivante lui ouvre les portes du monde professionnel. Ses premières commandes de portraits et de reportages sont ainsi publiées dans Globe et Libération en 1988. Quelques mois plus tard, l'agence de communication RSCG lui confie sa première campagne publicitaire.
Son travail personnel ou de commande, s'articule autour de son thème de prédilection : Les Gens.
www.aldosoares.com www.regardsud.com
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©Marine Lanier, Les Epines, Lorca, Espagne, extrait de la série La Vie dangereuse, 2013
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« Prix La Photographie_Maison Blanche # 3 (suite) »
Exposition des Lauréats : Marie Sommer / Anke Schüttler/ Lisa Sudhibhasilp / Marine Lanier / Randa Mirza
Du 9 janvier au 8 février 2014 Galerie MAD
Galerie de l'Ecole Supérieure d'Art et de Design Marseille-Méditerrannée
30 bis Boulevard Chave
13005 Marseille
Tel : 04 91 82 83 45
Du mardi au samedi, de 15 h à 19 h.
Vernissage le jeudi 9 janvier à 18 h30
Le Festival dévoile au public à travers plusieurs expositions les lauréats du Prix La Photographie_Maison Blanche #3, le travail de Robert Frank à travers l'ouvrage "Les Américians" édité par Delpire dont l'influence sur la photographie contemporaine est majeure et le travail actuel d'un des photographes de l'édition précédente.
www.mp2013.fr
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© Myriam Richard (prix nuit de l'instant 2013)
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« Nuit de l'Instant - 5 ème édition »
Appel à Participation
Date limite : 31 janvier 2014 Les Ateliers de l'Image / La Traverse
La Nuit de l'Instant
28-38, rue Henri Tasso
13002 Marseille
Dans le cadre de La Nuit de l'Instant 2014, Les Ateliers de l'Image -pôle de création et d'éducation à l'image photographique à Marseille- lancent un appel à participation international ouvert à des artistes plasticiens dont sa production tisse des liens avec l'image fixe.
Programme Artistique
La Nuit de l'Instant réunit différentes propositions artistiques autour de l'image et de la photographie, mais sous des formes autres que la photographie papier. Une manière de montrer la photographie à travers différents dispositifs (diaporama, vidéo, installation, film mais aussi théâtre, poésie, son, performance...)
Différents parcours et formes artistiques autour d'une question centrale : à partir de l'idée d'image fixe, comment la photographie peut-elle être abordée de manière transversale ?
La proposition de La Nuit de l'Instant autour de la photographie est un projet de territoire qui affirme une volonté de diffuser l'image la plus contemporaine, pour un public le plus large possible. Les travaux sélectionnés sont montrés dans des lieux très divers (théâtres, salles de concert, centres d'animation, associations, vitrines, institutions culturelles, souterrains, monuments historiques, écoles... ), ouverts spécialement pour l'occasion.
La Nuit de l'Instant est donc un moment de découvertes et de rencontres avec des œuvres et des lieux, via des parcours à la fois libres et organisés.
Dates de la manifestation : 18 et 19 avril 2014
www.lanuitdelinstant.tumblr.com
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Photographie © JPBos
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« Témoins ordinaires »
Photographies JP Bos
27 janvier au 15 février 2014
CDI Collège de l'Europe-Jean Monnet
12, avenue Antonin Vallon
26300 Bourg-de-Péage
tél : 04 75 70 36 11
fax : 04 75 70 72 31
Visible aux Heures de bureaux
Qui témoigne de l'histoire ?
Quels souvenirs conservent ces témoins qui sont loin de tout héroïsme ? Quels objets ont–ils conservés de cette époque ? De quels lieux se souviennent-ils ? Questions posées à travers ces photographies qui associent et mémorisent portraits, paroles de témoins "ordinaires".
...
Des citoyens qui ont vécu une partie de leur jeunesse entre 1940 et 1945.
Aujourd'hui des portraits de femmes et d'hommes âgés posant devant un décor familier (ou circonstancié)
La plupart d'entre eux ont retracé leur parcours avec passion....
www.jpbos.fr www.edition-fluxtendu.fr
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© Elisabeth Legras
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« ... »
Exposition collective Master Pro
Du 08 au 31 janvier 2014 La Fontaine Obscure - Espace Photographique Galerie,
24 av. Henri Poncet,
13090 Aix-en-Provence
Vernissage samedi 8 janvier à 18h30
La Galerie la Fontaine Obscure accueille les étudiants du Master Professionnel Création Numérique d'Aix-Marseille Université et présente une exposition collective de leurs travaux photographiques.
Le numérique est en développement et évolution constants et propose un large panel d'outils de création avec lesquels il est possible de jouer. Ces outils permettent, entre autre, ledétournement de pratiques dites « traditionnelles ».
Dans le cadre de leurs études les étudiants en master professionnel « création numérique » ont eu l'occasion d'expérimenter ces outils de diverses manières. Et c'est dans la continuité de leurs pratiques personnelles et universitaires qu'ils souhaitent exposer une partie de leurs créations, à la frontière entre photographie et art numérique.
Chacun de ces neufs jeunes créateurs, avec son regard et sa sensibilité, présente une série d'oeuvres originales, poétiques ou philosophiques questionnant des thématiques aux perspectives très diverses, allant de la relation entre l'homme et la terre, la représentation du cyberspace, les questions sur la fin de la vie, le rapport à l'identité, le détournement publicitaire, le visible et l'invisible, en passant par la désincarnation humaine et l'hybridation corporelle.
www.fontaine-obscure.com
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© Nicolas Clauss
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« Videographies »
Tableaux numériques de Nicolas Clauss
Du 22 janvier au 18 février Lux Scène nationale
36 bd du général de Gaulle
26000 Valence
Vernissage le 21 janvier à 18h30
Les tableaux numériques de Nicolas Clauss, visuels et sonores et ses installations génératives ou interactives constituent un univers fait de superpositions de textures et de timbres, où se mêlent peinture, photographie, vidéo, son et algorithmes. Nicolas Clauss propose à lux Vidéographies et une installation créée avec Sylvain Kassap, Antscape.
Vidéographies constitue le prolongement des recherches menées par l'artiste depuis ces dix dernières années autour de l'image filmée et de l'aléatoire. Elle propose sept pièces dont trois créations. Vidéographie parce que le matériau filmé est exploré tant dans sa dimension temporelle que dans sa dimension spatiale (comme une carte ou un paysage). Aléatoire parce que les modes d'exploration de ces vidéographies s'appuient sur des écritures qui intègrent le hasard algorithmique. Dans ces sept pièces la vidéo devient un paysage en mouvement, pictural ou non, sans début ni fin et où la durée est dilatée. Ses recherches croisent celles du compositeur clarinettiste Sylvain Kassap dans l'installation Antscape : une œuvre picturale et musicale pour plusieurs écrans où partitions sonore et visuelles dialoguent entre elles, laissant une place importante à la dimension aléatoire.
www.nicolasclauss.com www.lux-valence.com
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Photographie © Anne Loubet
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« Konverzacie »
Photographies de Suzanne Hetzel, Anne Loubet, Flore Gaulmier, Pascal Grimaud et Gilles Pourtier
Du 15 janvier au 15 février 2014 Les ateliers de l'images / La Traverse
28 - 38 rue Henri Tasso
13002 Marseille
Vernissage le mardi 14 janvier à partir de 18h00
Retour sur résidences, photographies de Suzanne Hetzel, Anne Loubet, Flore Gaulmier, Pascal Grimaud et Gilles Pourtier réalisées dans la ville slovaque de Kosice, dans le cadre du programme de résidences d'artistes proposées par Les Ateliers de l'Image et Photo Art Centrum.
Lorsque Kosice et Marseille ont été désignées toutes deux capitales européennes de la culture pour l'année 2013, Photo Art Centrum à Kosice et Les Ateliers de l'Image à Marseille se sont rapprochés et ont convenu de travailler ensemble. Pour le centre photographique slovaque, cet accord s'inscrivait dans le prolongement de Second Cities, un projet d'échanges photographiques entre secondes villes européennes. Côté français, ce projet de résidences a été baptisé Regards Croisés.
Dès 2010, français et slovaques sont accueillis et posent leur regard sur les deux villes. Au-delà de leurs manifestes différences géo climatiques et historiques, ce qui rapproche ces villes foisonne. Ainsi, les photographes de Kosice découvrent avec étonnement les cités marseillaises. A Kosice, la majorité des habitants logent dans de tels grands ensembles qui s'étendent à la périphérie d'un centre-ville circonscrit. Ce modèle urbain résidentiel leur paraît à même de confronter des particularités fondamentales de Marseille et de Kosice. En 2011, des photographes slovaques reviennent arpenter différentes cités de Marseille, tandis que les photographes français, eux, continuent leur exploration personnelle, voire intimiste, de Kosice et de ses abords.
L'exposition à La Traverse vous présente un dialogue entre cinq séries photographiques, dialogue de cinq artistes avec un territoire. Elle est le fruit du travail des photographes français pendant leurs séjours à Kosice. Outre leur dimension documentaire, ces images sont intéressantes par la différence de traitement qu'elles réservent à l'étude photographique de lieux citadins ou périurbains. C'est qu'à travers son point de vue, sa sensibilité, son style, ses obsessions, chacun a fait sienne la ville des autres.
www.ateliers-image.fr
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