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Suzanne

Photographie © Christine Smilovici

 

Nouvelle expo à la Fabrique de l'image.

« Suzanne »

Photographies de Christine Smilovici

Du 30 avril au 26 juillet

Du mercredi au samedi
De 16h à 19h
Vernissage le 24 mai à partir de 17h30

« en dessous, quelque chose comme une sérénité secrète liée à l'ancrage dans l'espace, à l'encrage sur la croix, de cette mort qui cessait enfin d'être abstraite »

Georges Perec, W ou le souvenir d'enfance.

Quand, fille de ma mère, je reçus d'elle, il y a quelques années, la maison de Villaines-les-Rochers, je savais que j'héritais de beaucoup.

Cette petite maison aux toits bleus et aux volets blancs, sertie de tuffeau dans le modeste creux d'un val, avait observé, en d'autres temps, une autre vie. Elle avait vu naître ma grand-mère, et l'avait vue mourir.

Dans la petitesse de ses murs, une vie s'était tenue, et l'avait empreinte.

Il en restait encore des traces, d'ailleurs : quelques derniers vêtements, un mobilier pauvre, des objets simples.

Et jamais l'absence ne me semblait aussi tangible.

Depuis cette disparition, je séjourne régulièrement dans cette maison, accompagnée de ma mère et de ma fille.

 

www.chsmiloc.wix.com

Pour plus d'information c'est ici

 


La Fabrique de l'image est un espace dédié à la photographie

Atelier d'impression numérique : retouche et optimisation d'images, impressions d'art, grands formats avec grand choix de supports, contre-collages alu-dibond.

la Fabrique de l'image
2 rue de l'oratoire
07400 Meysse
0663251795
0981204688


NOUVEAU : " LA FABRIQUE DE L'IMAGE "

s'associe avec

Le collectif UNEPARJOUR

pour diffuser les évènements autour de l'image, vous pouvez donc retrouver aussi toutes ces infos ICI


 

WWW.FABRIQUE-IMAGE.FR

 

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Festival Présence(s) photographie

Photographie © Bernard Descamps

 

 

 

« Festival Présence(s) photographie »

Appel à auteurs

Date limite des dépôts des candidatures le 15 juin 2014
PRÉSENCE(S) PHOTOGRAPHIE
2, montée du Bouton d'Or
26200 MONTÉLIMAR

PRÉSENCE(S) PHOTOGRAPHIE est une association créée en avril 2013 pour organiser différents évènements autour de la photographie, sur le thème de l'être humain dans sa vie quotidienne et son environnement.

Il s'agit de proposer au public une exposition principale autour d'un photographe reconnu qui invite d'autres photographes à croiser leurs regards

En 2013 Hans SILVESTER a invité Alain GUALINA, Henri KARTMANN et Stéphane LECAILLE à présenter leurs réflexions sur le thème de l'eau.

Cette année Bernard DESCAMPS prend le relais avec Christine LEFEBVRE et Pierrot MEN.

Ils exposeront du 14 au 30 novembre 2014 à dans une très belle Chapelle du XVIII ème, l'Espace Culturel Chabrillan.

Cette exposition, à la Chapelle Chabrillan, est accompagnée d'expositions satellites qui se tiendront en plusieurs lieux dans la ville.

A travers cette manifestation conviviale, notre ambition est de promouvoir une photographie d'auteur, porteuse d'humanisme, de professionnalisme et de qualité; de tradition revisitée par un ancrage dans l'art contemporain, d'ouverture au monde et à ses différentes cultures.

APPEL À AUTEURS POUR EXPOSER DANS LES LIEUX SATELLITES DE L'ÉDITION 2014

Vous êtes photographe, vous souhaitez présenter vos travaux et participer à la prochaine édition du festival.

Envoyez un portfolio d'une série photographique assortie d'une courte biographie, d'un texte de présentation de vos travaux et de vos coordonnées – postales et digitales.

Vous ferez peut être partie des lauréats 2014 pour être exposé pendant le festival dans les lieux satellites.

 

Pour participer à l'édition 2014 c'est par ici
www.presences-photographie.fr

 

 

 

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Regarde où tu mets les pieds

Photographie © Pierre Gaudu

 

 

 

« Regarde où tu mets les pieds »

Photographies et dessins de Pierre Gaudu

Du 20 mai au 28 juin
Bibliothèque Kateb Yacine
Centre Commercial GrandPlace
38100 Grenoble

Horaires d'ouverture
12h – 18h30 du mardi au samedi de septembre à juin.
Vacances scolaires : du mardi au samedi de 13h à 18h

Pierre Gaudu, marcheur et arpenteur de sentiers, nous invite à avancer dans ses pas sur ses territoires privilégiés, entre photographies et dessins.?Boue, humus et feuilles, pierres et terres, empreintes, flaques, miroitements... projettent notre regard vers le sol au plus près de la matière, des couleurs et de la lumière.

Dans une correspondance poétique et plastique avec les photographies, les dessins à?à la plume et encre de Chine, descente dans les méandres de l'imaginaire, métamorphosent le réel et inscrivent en noir et blanc une vision toute à la fois vibrante et tourmentée.

Pierre Gaudu vit et travaille à Grenoble. Il se revendique peintre et photographe, loin des étiquettes, avec une nécessité vitale pour les deux pratiques. Au fil du temps, son travail de photographe a pris de l'ampleur, sans qu'il cesse pour autant de peindre et dessiner.?Depuis les années 70, il expose régulièrement dans des musées, galeries et centres d'art. Présentées pour la première fois à l'artothèque de Grenoble en 1979, ses œuvres sont dans des collections privées et publiques.

La peinture, le dessin c'est ma vie, la photographie ma passion...

Je sais bien qu'il est habituel de coller des étiquettes, mais quand même... ces quelques mots pour rassurer ceux qui me demandent sans cesse si je ne fais plus que de la photo... Est-il si difficile d'admettre qu'on puisse être tout à la fois peintre et photographe ? La peinture, le dessin c'est toute ma vie, la photographie ma passion... une passion certes qui prend de plus en plus de place, mais je n'imagine pas un instant lui céder tout le terrain.

La photographie à ce pouvoir magique de maintenir active et vivante ma part d'enfance... elle impose un déplacement, une sortie de l'atelier, le regard tourné, vers d'autres espaces, l'espace de l'autre, une respiration à ciel ouvert.

Je photographie pour fusionner avec la nature divine, je marche pour me retrouver, sans soucis de dénivelés. Le boitier est comme mon enfance qui me tire par la manche pour me dire : "regarde" Je photographie pour répondre à une urgence toujours plus grande: celle d'honnorer mes rendez-vous avec mes lieux de lumières devenus sacrés...

Le dessin lui est plutôt une descente dans les méandres plus ombrageux de l'imaginaire, de tout ce qui échappe au conscient (pour moi en tout cas) une sorte de carottage dans l'inconscient.

 

www.pierre-gaudu.wix.com
www.bm-grenoble.fr

 

 

 

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Blackground

Photographie © Philippe Estienne

 

 

 

« Blackground »

Photographies de Philippe Estienne

Du 20 mai au 1er Juin 2014
La maison du gardien
Parc Jouvet
26000 Valence

Du mardi au dimanche de 14 à 19h

À la prise de vue, je ne vois que la lumière qui se dessine dans le paysage urbain et je la saisis. Au moment du tirage je ne vois que la géométrie des ombres que je révèle. Apparaissent alors, les petits détails qui donnent toute la profondeur à la photographie. Ce qui donne une lecture frontale de loin et une perception spatiale de près.

Philippe Estienne est né en 1964 à Lyon. Après des études de physique, il entre à l'Ecole Supérieure des Arts et Design de Valence. Après son diplôme en 1988, ses productions artistiques sont exploratoires entre l'art et la science avec l'aide d'ordinateur comme interface et support.

Certains travaux sont développés avec le CNRS. En 1989 et 1991, il réalise 2 courts-métrages entièrement infographiques “Mémoires d'image, mémoire de mouvements" et “N7" présentés à la semaine d'art contemporain de Montélimar en 1991.

En 1994, il travaille à l'Institut de l'Art et Technologie (le IAT) à Moscou en collaboration avec des artistes russes, Youri Leiderman, et Sergeï Shutov. Ils réalisent ensemble des recherches sur la création informatique dans le cadre de happening.

En 2000, dans le cadre d'une mission polaire, il met au point le webmasting dans les lieux extrêmes à Resolute Bay (Territoire du Nunavut – Canada).

En 2006, il participe au vidéo-clip “Le souvenir" du groupe de rock Matmatah comme designer vidéo et coréalisateur ; ensuite au documentaire sur leur dernière tournée “Bande à Par".

En 2007, il réalise des interventions de Vjing dans le cadre de concerts électro et de commandes de villes (Valence, entre autres) jusqu'en 2012.

De 2007 à 2012, il met au point un drone professionnel de prise de vues et participe en tant que cadreur pilote à l'expédition au Groenland, sur le film “Le Piège Blanc" diffusé dans l'émission Thalassa sur France 3.

Parallèlement, il enseigne à l'Ecole Supérieure des Arts et Design de Grenoble-Valence en tant que professeur en infographie et multimédia depuis 1991. Il a, par ailleurs, enseigné à EURINSA (département européen de l'INSA de Lyon) sur les hyper médias de 1998 à 2008.

Tout au long de son parcours, Philippe Estienne a toujours eu la photographie comme compagne. Qu'elle soit argentique ou numérique. La seule chose qui l'intéresse, c'est de poser un regard différent sur l'espace qui l'entoure.

 

 

 

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30 explorations photographiques

 

 

 

« 30 explorations photographiques »

Exposition

Du 12 mai au 5 septembre 2014
Archives départementales
Place André Malraux
07000 Privas

Vernissage le 13 mai à partir de 17h30

Entrée libre
Ouvert du Lundi au vendredi
de 8h15 à 12h et de 13h15 à 17h

 

 

 

 

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Récoltes d'automne

Photographie © Bernard Plossu

 

 

 

« Récoltes d'automne »

Exposition de Bernard Plossu, Marcelo Fuentes, Daniel Michiels et Sam Scott

Du 3 mai au 22 juin 2014. Vernissage samedi 3 mai à partir de 17 h
La Fabrique du Pont d'Aleyrac
07190 Saint Pierreville
04 75 66 65 25

Exposition ouverte du vendredi au dimanche de 15h à 19h

La Fabrique du pont d'Aleyrac à St Pierreville en Ardèche présente l'exposition “Récolte d'automne".

Deux photographes, Bernard PLOSSU et Daniel MICHIELS (Belgique) et deux peintres, Marcelo FUENTES (Espagne) et Sam SCOTT (USA), suite à une résidence, exposent leurs travaux qui traduisent les paysages des environs de la Fabrique en tirages argentiques noir et blanc ou en tirages couleurs Fresson, en aquarelles ou en gravures...

Bernard Plossu

Vit actuellement en France. Photographe marcheur et voyageur il aime revenir en Ardèche. Il la compare à l'Ecosse qu'il imagine et au Nouveau Mexique (USA) où il a vécu et rencontré le peintre Sam Scott. Auteur de nombreux livres dont Le Pays des petites routes, en Ardèche, en 2007. Quand il photographie en couleurs, il choisit les tirages Fresson qu'il affectionne (Couleurs Plossu, Montpellier, été 2013) pour la densité et la poésie palpable que ces tirages au charbon insufflent aux matières photographiées, à l'égal de ses célèbres ambiances en noir et blanc.

Marcelo Fuentes

Peintre et graveur, vit à Valence en Espagne.?Marcelo Fuentes et Bernard Plossu ont exposé ensemble en 2006, au MuVim, musée renommé de Valence. Dans un livre commun (Ciudades y paisajes : couleur pour le peintre, noir et blanc pour le photographe) les jeux de la lumière et des formes, l'architecture des collines ou des bâtiments, se répondent d'une œuvre à l'autre. Une proximité qui continue en Ardèche en automne 2011, enrichie de la présence de deux autres compagnons d'atelier. Les dessins au crayon, les lavis et les aquarelles de Marcelo Fuentes jouent avec le flou, le net. Les grisés et les blancs, les bleus, les verts et les bruns cadrent les échamps, les châtaigniers, les collines vers le Rhône. Format paysage. Le “motif" en somme, toujours recommencé, toujours neuf.

Daniel Michiels

Photographe, né à Bruxelles, vit et travaille en Ardenne. Plusieurs expositions en Belgique et en France, deux albums photographiques parus Thiérache et Ardenne restante. Bois, haies, arbres en noir et blanc. Profondeur des forêts anciennes qui pourraient bien se refermer sur nous comme dans un conte de fées. Ordonnancement des branchages à l'intérieur du format carré de la prise de vue. Rudesse et beauté de cet arrière pays que Daniel Michiels, comme chaque artiste, emporte à ses semelles.?En Ardèche il a aimé les dentelles d'herbes dorées des bords de chemin, les profonds moutonnements des vallons et restitué, par ses gris travaillés, la nudité des paysages.

Sam Scott

Peintre, vit et travaille au Nouveau Mexique (USA) où de nombreux artistes sont installés. Il a vécu chez les indiens Sioux, a été pêcheur en Alaska, professeur d'art, délégué pour la mission de réconciliation entre les USA et le Vietnam... Plusieurs langages visuels traversent sa peinture où cohabitent abstraction et figuration. Une confiance profonde en notre "mère-nature", héritée de son intime connaissance du monde indien, une mise en scène des paysages, un usage des couleurs audacieusement rapprochées caractérisent les espaces intérieurs qu'il nous transmet. En Ardèche, il a emporté, dans l'atelier de plein air, une petite boîte d'aquarelle...

 

www.plossu.com

 

 

 

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DÉVELOPPEMENT DES FICHIERS RAW

 

 

 

« DÉVELOPPEMENT DES FICHIERS RAW »

De la prise de vue au tirage d'art

stage le 25 mai 2014
La Fabrique de l'image
2 rue de l'Oratoire
07400 Meysse

de 10h à 18h

Venez faire une expérience unique, en un même stage vous passerez de la prise de vue au développement de l'image jusqu'à son tirage sur papier "Fine Art", dans les conditions exceptionnelles d'un atelier photographique professionnel.

UN TIRAGE VOUS SERA OFFERT EN FIN DE STAGE

Ce stage vous propose de découvrir toute la chaine graphique du traitement de l'image et en particulier la chaine de développement des fichiers RAW*. En petit groupe, vous expérimenterez une méthode qui vous permettra d'améliorer la qualité de vos images dès la prise de vue et jusqu'à l'impression sur papier "Fine Art".

TARIF d'un stage

100 € + 15 € d'adhésion annuelle

DÉJEUNER

sur place, nous vous proposons une base saucissonnade :

pain tradition, Picodon, fromages, saucisson, et le café, thé...

 

www.labalancedesblancs.net
www.fabrique-image.fr

 

 

 

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Focales en Vercors

Photographie © Francois Xavier Emery

 

 

 

« Focales en Vercors »

5 émes rencontres photographiques

Du 1 au 4 mai 2014
38 Villard de Lans

Cette années les rencontres seront autour du thème du Travail.

Depuis 4 ans, l'organisation a le souhait et l'envie de monter un événement de qualité autour de la photographie accessible à tout public. C'est chose faite. L'édition “Focales en Vercors? 2014, de même que celles à venir, se présentent comme l'événement culturel photographique du plateau Vercors et ouvrent désormais les saisons estivales de Villard de Lans.

Parrain de l'édition 2014 : François Xavier Emery

Né à Meknès au Maroc en 1955, il vit depuis 1967 dans les Alpes de Haute Provence. Lycéen, il découvre la photographie à la Maison des Jeunes de Manosque en 1972. Jeune photographe, il travaille en 1978 avec Alpes de Lumière, association de patrimoine et d'ethnologie rural et oriente alors son travail sur le portrait, le geste et le paysage et devient photographe indépendant en 1982.

Du noir et blanc à la couleur, de la prise de vue studio au reportage, la confiance de ses commanditaires lui offre une liberté qu'il exerce à travers des sujets et des univers différents.

Influencé par les photographes du XXème siècle, d'Auguste Sander à Richard Avedon en passant par Diane Arbus et Nan Goldin, l'homme est présent dans son travail. Empruntant sur la réalité, la photo qu'il aime, c'est celle qui témoigne de ce que nous sommes. C'est ce qui l'anime et lui permet de mettre en œuvre son regard sur le monde, sûrement pour répondre à ses propres doutes.

C'est dans cet esprit que l'exposition proposée, présente une collection d'images noir et blanc argentiques. Comme des trophées, sans chronologie, elles jalonnent, par touche, 40 ans de photographie...

Les autres invités

- Philippe Colignon
- Alain Gualina
- Stéphane Lecaille
- Gérard Beullac
- Stéphane Gemmani
- Meloquez
- Alain Sauvan

 

www.focales-en-vercors.org

 

 

 

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Seuil

Photographie © Bernadette Tintaud

 

 

 

« Seuil »

Photographies de Bernadette Tintaud

Du 14 au 31 Mai 2014
Galerie UNIVER/Colette Colla,
6 cité de l'Ameublement
75011 Paris

Vernissage le 14 mai à partir de 19h

Du mercredi au Samedi de 14 à 19h

« Il y a dans l'œuvre photographique de Bernadette Tintaud, cette présence toujours imprévisible du sursaut, d'une ressaisie imperceptible du sujet qui ne voit rien venir mais semble en pressentir l'imminence. Quelque chose qui viendrait se placer au revers des choses vues. Ce revers ? Une lutte de plans, un vertige plat, des nuances de bruns ou de bleus...

La photographie serait alors le dévers de cette nouvelle matière, de ces plans singuliers et plus menacés que menaçants qui viennent doubler le pas du temps... »

Daniel DOBBELS What, 1993 (extraits)

L'ensemble de mon projet artistique met en perspective les notions de Passage et de Seuil, symboliques des relations en mouvement de l'homme à ses différents milieux de vie.

Plasticienne, j'utilise les techniques photographiques en travaillant matière et lumière pour faire advenir une image dans le temps. Lente métamorphose où plusieurs états photographiques du réel sont mis en relation afin de faire émerger de l'espace fluide la figure humaine en mouvement

Dans l'espace urbain, les séries Anonymes, Passer le pont, Ici Là-bas, Labyrinthe, réalisées à Paris, New York et Berlin revisitent et dégagent des cheminements pour l'homme arpenteur, passant ou sentinelle aux prises avec son environnement.

Ma confrontation aux édifices de Mario Botta ( Maison du Livre, de l'image et du son de Villeurbanne) et Dominique Perrault (Bibliothèque Nationale de France) m'a permis de réaliser deux ensembles Seuil 1995 et Seuils 1998 .

La transparence, les reflets des surfaces vitrées omniprésentes, la vision à 360° qu'elles permettent sont comme des plaques photographiques sur lesquelles les silhouettes humaines poreuses à la lumière se déplacent dans un espace aux repères vacillants. Les effets de dédoublement des corps photographiés donnent une épaisseur à ce seuil aérien et fluide. Ils figurent les possibles de l'être.

Bernadette Tintaud 1998

 

www.bernadettetintaud.com
www.uni-ver.com

 

 

 

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Voyages, voyages

 

 

 

« Voyages, voyages »

Photographies de Alma, Alain Gualina et Henri Kartmann

Du 23 mai au 09 juin
Galerie Passère,
04300 Forcalquier
Contact : 06 85 10 93 38

Vernissage le 30 mai à 18h
De 10h à 12h et de 15h à 19h

A chacun son voyage : Islande et Méditerranée pour Alain Gualina ; Inde, Guatemala, Cuba pour Henri Kartmann, portraits et créations graphiques tirées suivant les techniques anciennes dans sa chambre noire pour Alma. Amis et partageant leurs expositions régulièrement depuis de nombreuses années, leurs chemins se croiseront de nouveau au mois de mai à Forcalquier.

 

www.alaingualina.fr
www.henrikartmann.com
Galerie Passére

 

 

 

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Régénération

Photographie © Simon Bugnon

 

 

 

« Régénération »

Photographies de Simon Bugnon et Jessica Bukzec

Du 8 au 27 mai
70 tirages d'art grands formats, à découvrir à la salle d'exposition de la mairie de Lablachère (07230)

Ouvert aux heures de la mairie (du lundi au vendredi de 8h30 à 16h), permanences de Simon Bugnon jeudi et vendredi de 16h à 19h, le week-end de 10h à 19h. Entrée libre. Infos au 06 34 38 80 45

Qu'il s'agisse de gorges, de tourbières ou de montagnes, il est des lieux qui semblent hors du temps, hors de portée des désastres humains, des sanctuaires sauvages où l'on ne peux se sentir accepté qu'avec le respect qui s'impose, où l'on craindrait de rompre l'enchantement en déplacant un caillou ou en écartant une ronce. On se fait alors le confident des éléments, le témoin émerveillé de miracles oubliés, l'élève du réel devant les cycles de vie et de mort...

Pour cette exposition, Simon Bugnon et Jessica Buczek ont associé leurs images, glanées autour de chez eux, en Ardèche et dans le Pilat, mais aussi lors d'excursions dans le Vercors, le Jura, le Verdon et les Hautes-Alpes.

 

www.simonbugnon.com
www.jessicabuczek.com

 

 

 

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Paysages d'absence

Photographie © Magali Ballet

 

 

 

« Paysages d'absence »

Photographies de Magali Ballet

Du 8 avril au 17 mai 2014
Grand Angle
Centre commercial Intermarché
La Rotonde 2 éme étage
10 avenue de Royat
63122 Ceyrat

Ouvert du mardi au samedi de 10h à 19h

Si parfois certaines choses ne veulent pas se séparer de nous, c'est que nous ne voulons pas nous séparer d'elles. L'acte de voir et de les mettre en images est une manière par laquelle elles pénètrent encore plus longtemps en nous. Comme pour toujours.

Une chose est sure, les paysages d'absence de Magali Ballet ouvrent un chemin qui ne mène pas vers l'oubli.

La langue des forêts, des arbres et des sentiers, qu'elle connait bien, nous conduisent à ces lisières, à ces frontières incertaines au milieu du ciel, à ces limites illimitées. À ces lumières qui ne ressemblent ni au jour ni à la nuit.

Il suffit de contempler ces images pour déchiffrer les traces laissées par la mémoire d'une présence sans cesse pressentie et toujours absente. Elles contiennent toutes les lueurs ombreuses des matins ou des soirs traversées de murmures, de tremblements... Il y a des voix songeuses et des yeux qui volent en elles : la légèreté d'une brume, un voile qui semble se déchirer en de furtives aiguillées d'ombres. Presque dessins ou peinture, elles gravent une sorte de mouvement, de gestes, on pourrait dire d'odeurs... qui défilent à toute vitesse jusqu'à leur point d'effacement, en fusion avec nous-mêmes.

On rejoint en quelques pas les trouées les plus secrètes vers l'infini, l'inconnu qui nous attend avant qu'ils ne disparaissent.

Tout est là silence, attente, vol immobile. Tout était déjà là pour nous retenir au bord avec les fils presque invisibles de l'imaginaire et de la poésie.

Les images de Magali Ballet, presque sans le vouloir, franchissent le seuil. Elles nous traversent en même temps que nous sommes à l'intérieur. Elles se dérobent aussi parce qu'il n'y a rien à comprendre, mais à sentir ce qui se passe et vient tout d'un coup libérer le présage d'une beauté éphémère.

Rien de plus simple et de plus difficile dans la matière du regard. Ne soyons pas absents. L'ère de la beauté est en fuite, la grâce et le mystère sont sur le point de disparaitre, tout ce à quoi Magali Ballet ne renonce jamais.

Erwann Rougé

 

www.magaliballet.com
www.galerie-grandangle.fr

 

 

 

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La Photographie de l'année 2014 à Corentin Fohlen

Port-au-Prince, Haïti - 15 janvier 2013. Approvisionnement d'eau dans le bidonville de Cité Soleil, un quartier de Port-au-Prince réputé pour sa dangerosité. © Corentin Fohlen

 

 

 

« La Photographie de l'année 2014 à Corentin Fohlen »


Vendredi 11 avril, à l'abbaye de l'Épau au Mans, lors d'une soirée très conviviale qui a réuni 120 personnes dont beaucoup de photographes et de personnalités de la photographie professionnelle, Corentin Fohlen a reçu le trophée de la Photographie de l'année grâce à une photo extraite d'un travail sur Haïti. Cette photo avait remporté la catégorie humaniste. Il a également remporté la catégorie portrait.

Treize autres lauréats ont reçu un trophée et Hans Silvester a reçu le trophée d'honneur de la SAIF pour l'ensemble de sa carrière des mains de Pierre Ciot le président et de Marc Garanger l'un des fondateurs de la SAIF.

 

www.photographiesdelannee.com

 

 

 

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Limites extrêmes - Paysages aux confins de l'Europe

9 juillet 2013,Dalvik, Islande.

 

 

 

" Limites extrêmes " et " Mon Havre "

Photographies de Fabienne Forel et de Jean-Baptiste Perrot

Du 26 avril au 22 mai 2014
Galerie Negpos Fotoloft
1, cours Nemausus
30000 Nîmes

Vernissage le samedi 26 avril à 18h30

Limites extrêmes - Paysages aux confins de l'Europe de Fabienne Forel

« Prendre la route, c'est réunifier un peu la dispersion et l'éclatement du monde. »

Frédéric Khan

Parcourant les limites extrêmes de l'Europe, je propose une vision poétique du monde en soulignant la spécificité d'un territoire tant au niveau de la lumière que celui du relief. Sensible aux atmosphères climatiques, j'essaye de rendre compte de la « géographie universelle » dont parle Elisée Reclus. Fabienne Forel

BIO

Photographe voyageuse, Fabienne Forel poursuit une approche exploratoire et sensitive du monde qui favorise le rapprochement avec la dimension humaine et avec la sensation d'unité au-delà de la diversité. Une captation photographique d'une errance où le monde reste ouvert et créateur...

 

Mon Havre de Jean-Baptiste Perrot

« Série de photographies, sur les différentes facettes représentatives de son Havre : la vie, l'architecture, l'industrie, où le médium photographique devient ici un révélateur de mouvement et non plus le fixateur d'un temps donné.

“Ma vie s'enrichit toujours de sentir au cœur d'une affirmation, le contradictoire du doute, afin de mieux m'imprégner de la poétique d'une œuvre, inspirée par l'ordre et le désordre, intimement confrontés. Une gigantesque grue, devant moi, semble se déplacer lentement, tout en fonctionnant en mouvance traversière au service de navires à quai, mais en partance.?

Tout dans « Mon Havre », grâce aux traces de ce regard artistique, s'affirme comme autonome par la matité de sa matière, et se plante durablement dans l'espace, tout en glissant au rythme ralenti mais puissant des navires quittant leurs amarres.»

Bernard Point

BIO

Photographe français né en 1972 au Havre (Normandie). Vit et travaille à Paris. Après des études en sciences sociales (Licence de sociologie en 1995) et en économie (Master 2 d'économie en 1996), suivies d'une période d'activité professionnelle dans ces domaines, il se consacre complètement à l'activité artistique en 2007. Chacun de ses projets cherche à décrypter un peu plus en avant les tenants d'une prise de décision. Agit-on selon notre propre libre arbitre ? Où commence le déterminisme ? Sommes-nous les sujets de contraintes inaliénables ?

 

www.fabienneforel.com
www.jbperrot.net
www.negpos.fr

 

 

 

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Dans la forêt

© guillaume Chaplot - 2014 - "Dans la forêt."

 

 

 

« Dans la forêt »

Photographies de Guillaume Chaplot

du 24 mai au 15 juin 2014
Galerie Open Space
8 rue Garenne
34200 Sète

Vernissage le samedi 24 mai à 12h30

(...) Guillaume Chaplot développe avec les « tableaux » de Dans la forêt, une métaphore ouverte, partagée entre le nomadisme et la retraite, répartie entre l'inquiétude de se perdre, et la quiétude de se réfugier, de se retrouver. Obscurité et clarté cohabitent dans les sous-bois, les antonymes se retrouvent logiquement réunis dans ces images qui figurent une pérégrination singulière commune à chacun, celle de la vie et ses vicissitudes. (...) Pas seulement des photographies, pas simplement des « tableaux » non plus, pas uniquement des métaphores de l'égarement, ces images ressemblent à d'anciennes verdures qui auraient été matériellement revisitées, métaphysiquement réactualisées, d'authentiques tapisseries réalisées pour l'occurrence avec des fils de lumière tissés sur du temps arrêté à l'aide d'une trame ontologique.

(Extract du texte de David Brunel "Les verdures tissées de lumière")

Cette exposition aura lieu à Sète en résonance du festival Image Singulière.

 

www.guillaume.chaplot.fr
Dossier de presse

 

 

 

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Privas en Arménie

Photographie © Christophe Kaprélian

 

 

 

« Privas en Arménie »

Photographies de Christophe Kaprélian

Du 15 avril au 10 mai 2014
Médiathèque municipale Jacques Dupin
3 rue Elie Reynier
07000 Privas

Impressions d'Arménie

Lumières de voyage, voyage en mémoire

“ À l'été 2012, mon voyage en Arménie fut un lent cheminement, sans quête précise. J'y ai glané des moments de vie, à l'instinct, à l'émotion, comme on arpente les flancs d'une mémoire impérissable. J'ai promené un regard amoureux sur les beautés jaillies de l'ordinaire, sur des visages et une terre familière qui contenaient l'évidence d'une autre vie possible : et si, en 1920, mes grands-parents n'avaient pas entrepris leur long périple vers la France ? De jour et de nuit, des étals des marchés aux autels des églises, mon objectif s'est nourri des lumières d'un pays où je puise pour moitié ma culture et mon histoire.?

Christophe Kaprélian

Sous ses chapeaux colorés, Christophe Kaprélian abrite une nature généreuse et passionnée, un créatif sans frontières qui carbure à l'émotion, aux rêves et à la liberté.

En cuisine comme en photographie, pour lui tout est histoire de regard. Un regard curieux et nomade, grand amateur de peintures impressionnistes, son enfance de l'art. Un point de vue sensuel et gourmand porté sur le monde.

Un monde authentique, en bon et en beau, qu'il cultive aussi bien à la tête de son entreprise 'Madame est servie' – enseigne rose bien connue des plateaux de cinéma – que dans ses images capturées sur l'instant, n'ayant pour tout guide que les grâces fugitives de la lumière.

Son travail 'Impressions d'Arménie', peinture vivante de l'Arménie d'aujourd'hui, s'est exposé plusieurs fois à Paris et s'installe au printemps 2014 dans la commune de Privas.

 

www.christophekaprelian.com
www.bm-privas.fr

 

 

 

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Beatrix von Conta

Le Grand écart - La Martre, Gaspésie, Québec, 2011
© Beatrix von Conta - Courtesy Galerie Le Réverbère, Lyon

 

 

 

« Le Grand écart / L'Eau barrée »

Beatrix von Conta

Du 25/04/2014 au 26/07/2014
Galerie Le Réverbère
38 rue Burdeau
69001 LYON

Du mercredi au samedi de 14h à 19h
Entrée gratuite

Les images prolifèrent aujourd'hui à une vitesse inouïe sur des supports sans cesse nouveaux. La photographie, pourtant, reste une énigme. Inlassablement et avec bonheur, je reviens vers sa simplicité trompeuse, sa mince surface silencieuse et l'évidence de sa complexité. Regarder le paysage me demande du temps. Sous quelle forme re-présenter autrement ce qui s'offre à la vue sous une effarante banalité ? Dans le kaléidoscope des possibles, le moindre clignement des paupières, une ombre qui passe, fait voler en éclats ce qui semblait provisoirement stable dans un cadrage choisi. Rien ne s'impose d'emblée, mais tout pourrait se révéler.

Mon attention se porte davantage vers ce qui exprime, aujourd'hui, le difficile rapport de l'homme à la nature, cette cohabitation parfois durement négociée avec ses incohérences et maladresses. D'où vient mon émotion face à des espaces dont l'hétérogénéité, l'incohérence, les failles visibles, peuvent inspirer plutôt le refus que l'adhésion ? Comment cela se fait-il que j'y décèle une beauté particulière ? Mais peut-être pourrais-je tout simplement dire que j'aime ces paysages-là, que leurs défauts sont les stigmates d'une histoire, du temps présent, et que cette histoire est aussi la mienne. Un miroir à double lecture. J'ai la sensation que le réel est recouvert d'une peau d' « images » d'une fragilité incroyable. Et qu'en photographiant ces lambeaux-là, je constitue une impossible « collection » d'instants uniques et précieux que je tente d'extraire de l'oubli à venir. L'homme semble avoir déserté ces paysages-là, pourtant, comme disait Cézanne, « L'homme est absent, mais tout entier dans le paysage ». Au fond, c'est cela le paysage pour moi et c?est pour cette raison que je trouve la confrontation avec lui absolument passionnante.

 

http://www.galerielereverbere.com

 

 

 

 


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