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Événements - Archives 2013

 

Mensonge#4

 

 

 

« Mensonge#4 »

Images Béatrice Darnal, textes François Quet

Novembre 2013
Edition FluxTendu

Parution fin novembre

Croyez-vous aux fantômes, me demanda M. Stein, en me tendant une photographie aux bords dentelés, une photo d'avant. Il n'attendit pas ma réponse. Le jeune homme à gauche, c'est moi. Bien sûr, lui dis-je, qui ne vous reconnaitrait pas ? Vous avez à peine changé. Le vieillard me regarda attentivement. Voyez-vous, dit-il les désignant du doigt, il y a là ma mère, mon père, un couple de leurs amis avec Esther, leur fille. Mais au centre de l'image, que voyez-vous ?

Fallait-il lui dire qu'il n'y avait rien au centre de l'image ?

 

www.darnal.com
www.edition-fluxtendu.fr

 

 

 

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La colline

 

 

 

« La colline »

Photographies de Christine Smilovici

Novembre 2013
Edition FluxTendu

Parution 20 novembre 2013

Tournon-sur-Rhône, colline de Pierres, 18 juin 2011.

Une jeune voisine est sauvagement assassinée lors de sa course quotidienne.

La Colline raconte le difficile parcours d'un deuil individuel et collectif et de la nécessaire résilience. Comment poursuivre la vie dans un lieu dévasté par un drame humain de cette espèce ?Combien de fois ne pas imaginer voir l'enfant apparaître à nouveau, comme si rien n'avait été, dans ce paysage qui avait été le sien et qui devait encore être le nôtre ?

Publication imprimée : format 18 cm x 18 cm, 36 pages, impression sur papier mat, couverture souple

 

www.chsmilovici.unblog.fr
www.edition-fluxtendu.fr

 

 

 

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Une vie à l'hôtel

 

 

 

« Une vie à l'hôtel »

Photographies Aurelie Lamour

Novembre 2013
Edition FluxTendu

Parution le 10 novembre 2013

Le paradoxe de la chambre d'hôtel, lieu à la fois si impersonnel et si rempli de vie.

...se devant d'être vierge, à chaque rencontre, de tous vestiges d'une présence antérieure, accueillant ses passagers comme s'ils étaient à chaque fois les premiers

Publication imprimée : format 28 cm x 35 cm, 56 pages, impression sur papier mat, couverture rigide

 

www.lesyeuxouverts.com
www.edition-fluxtendu.fr

 

 

 

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Le portrait, tout un art !

Photographie © Anne-Claire Broc'h

 

 

 

« Le portrait, tout un art ! »

Stage photographique d'initiation au portrait

19 octobre, 9 novembre et 7 décembre 2013 ainsi que les 11 janvier et 8 février 2014
MUSEE DES CIVILISATIONS DE L'EUROPE ET DE LA MEDITERRANEE
1, esplanade du J4
13002 Marseille

De 9h à 17h les samedis

Dans la Galerie de la Méditerranée, des portraits de différentes époques, de l'Antiquité à nos jours, sont présentés dans la section « Citoyennetés et droits de l'homme ». Ils rappellent le caractère très ancien de cette pratique et illustrent chacun de manière différente la place de l'individu dans la société. En vous faisant devenir tour à tour artiste et modèle, ce stage d'une journée aux côtés d'un photographe professionnel vous propose, à partir des œuvres de la Galerie de la Méditerranée, de vous essayer à cette technique ancienne : les notions de composition, cadrage et lumière vous permettront d'aiguiser votre regard, que vous soyez débutant ou non.

Tarif : 40 €

Réservation obligatoire par téléphone au 04 84 35 13 13, tous les jours de 9h à 18h, ou par mail au reservation@mucem.org

 

www.ateliers-image.fr
www.mucem.org

 

 

 

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LA PHOTOGRAPHIE MAISON BLANCHE #3

©Marine Lanier, Trépané, Allan, France, 2013

 

 

 

« LA PHOTOGRAPHIE MAISON BLANCHE #3 »

4 expositions / 4 lieux

Du 17 septembre 2013 au 8 février 2013

PRIX LA PHOTOGRAPHIE_MAISON BLANCHE #3

Exposition des lauréats : Marie Sommer (premier prix) / Anke Schüttler / Lisa Sudhibhasilp / Marine Lanier / Randa Mirza

Maison Blanche,
Mairie des 9°&10° arrondissements de Marseille
150 boulevard Paul Claudel
13009 Marseille
Tel. 04 91 14 63 50
Du lundi au samedi, de 10h à 18h.

VERNISSAGE le jeudi 17 octobre 2013 à 18h30.
EXPOSITION du 17 octobre au 8 novembre 2013

ROBERT FRANK / LES AMÉRICAINS Collection du FRAC Aquitaine

Présentation de l'ouvrage culte, publié en 1958 par Robert Delpire. «Robert Frank, the Beat Photography», Conférence par Jean-Louis Connan, Directeur artistique et pédagogique de l'ESADMM le jeudi 24 octobre à 18h.

Espaceculture_Marseille
42 La Canebière
13001 Marseille
Tel. 04 96 11 04 61
Du lundi au samedi, de 10h à 18h45.

VERNISSAGE le vendredi 11 octobre 2013 à 18h.
EXPOSITION du 11 octobre au 4 novembre 2013

ANDRÉS DONADIO / PAYSAGES AUGMENTÉS

Lauréat en 2012, Andrés Donadio présente une série inédite. Une production Leica Store Marseille.

Straat galerie
17 rue des Bergers
13006 Marseille
Tel. 06 98 22 10 85
Du mercredi au samedi, de 16h à 19h ou sur rdv.

VERNISSAGE le jeudi 21 novembre 2013 à 19h.
EXPOSITION du 21 novembre au 21 décembre 2013

PRIX LA PHOTOGRAPHIE_MAISON BLANCHE #3 (SUITE)

Exposition des lauréats : Marie Sommer (premier prix) / Anke Schüttler / Lisa Sudhibhasilp / Marine Lanier / Randa Mirza

Galerie MAD Galerie de l'Ecole Supérieure d'Art et de Design Marseille-Méditerranée
30 bis boulevard Chave
13005 Marseille
Tel. 04 91 82 83 46
Du mardi au samedi, de 15h à 19h.

VERNISSAGE le jeudi 9 janvier 2014 à 18h30.
EXPOSITION du 9 janvier au 8 février 2014

 

www.mp2013.fr/evenements/2013/10/la-photographie-maison-blanche-3

 

 

 

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Les choses de ce côté du monde

Photographie © André Mérian

 

 

 

« Les choses de ce côté du monde »

Photographies et vidéos

De juin 2013 à Janvier 2014
Mucem
1 esplanade du J4
13002 Marseille
04 84 35 13 13

Tous les jours sauf le mardi de 11 à 19h en été (de mai à octobre), et de 11h à 18h en hiver (de novembre à avril).

L'exposition collective "Les choses de ce côté du monde" rassemble photographies et vidéos. Études architecturales et topographiques, points de vue politique et poétique constituent un ensemble de visions de la Méditerranée livrées par huit artistes contemporains : Claire Chevrier, Stéphane Couturier, Servet Kocyigit, Ange Leccia, André Mérian, Jean-Luc Moulène, Wael Shawky et Patrick Tosani.

LES MOTS DU COMMISSAIRE

" Les choses de ce côté du monde n'existent que par l'aveuglement et l'ombre. Face à la mer, l'écume blanchit et les sons se perdent dans les montagnes. On ne peut se faire une idée de la Méditerranée sans se rattacher à notre propre mémoire, si ce n'est à nos propres impressions. Pour tous ceux qui vivent loin de ses bords, la Méditerranée est un assortiment d'images, de poncifs et d'effets qui s'accordent mal mais qu'on visite les yeux fermés, à l'affût des souvenirs. Trop de choses se bousculent quand on emporte avec soi les images de ce Grand Tour.

Nous ne sommes pas obligés de comprendre. Depuis la chute de l'Empire Ottoman, la Méditerranée semble fuir la modernité. Y vivre, c'est renoncer à l'emballement de l'Occident, y contempler la machine avec amusement et gouverner le temps. On y a gardé le goût de l'échange et du jardin. Et, un peu à l'écart, là-haut dans la montagne, les villageois s'interpellent en sifflant par-dessus la vallée, surveillant les villes et les ports à l'attrait engageant et sournois. Rien ne différencie Alexandrie de Thessalonique quand tout les sépare de l'arrière-pays des transhumances. Tout oppose le cosmopolitisme à la simplicité pastorale. Mais l'air a le même goût en Toscane et à Alep. Les odeurs jaillissent, puanteur de la pauvreté urbaine, de la pourriture bureaucratique, effluves des pins gris et des chênes. Les vents portent cette mixtion, ensablent et troublent, réchauffent et refroidissent cette vieille terre de pierrailles qui vit depuis si longtemps à son rythme.

Nous pesons si peu sur elle. Ses côtes ne sont que des plaies où Médée, faite d'une sève rouge, livre ses enfants à l'amour violent et primitif. Anges de Palestine, ils nous regardent, inquisiteurs, inconsolables.

Finalement, on ne s'égare pas dans la mer intérieure ; on y voyage par sauts de puces. A chaque arrêt, on croise les ombres de Laurence Durrel, on reconnaît les figures de Mahfouz. Le son du oud vous pénètre et les chants soufis vous rappellent, mécréants, que Dieu, l'unique, est né ici. Cette famille se plaît dans la plainte, les pleurs et la louange. Ce peuple, en apparence désuni, sait que les grandes forces se sont données rendez-vous quelque-part entre Tanger et Istanbul, Beyrouth et Marseille, dans ce pays jamais conquis, plus fort que tout, où subsistera toujours l'amour du vin et du miel, où jamais ne disparaîtra la famille et le clan.

Comment mettre un nom à cette histoire qui, tout compte-fait, change si peu, alliant sans logique superstitions et raison, pratiques magiques et monothéisme, cosmopolitisme et carnage, domination et résistance. "

François Cheval, commissaire de l'exposition

 

www.mucem.org

 

 

 

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Doux-Amer

Photographie © Vanden Eeckhoudt

 

 

 

« Doux-Amer »

Photographies de Vanden Eeckhoudt

Du 5 décembre au 25 janvier 2014
Galerie Camera Obscura
268, boulevard Raspail
75014 Paris

Du mardi au samedi, de 13h à 19h

Doux-Amer : c'est bien le «goût» des photographies de Vanden Eeckhoudt, un regard partagé entre l'humour et la gravité, une façon unique d'allier la légèreté au tragique.

Ses images sont peuplées d'animaux, et on sourit souvent à voir les situations incongrues dans lesquelles ils sont saisis, mais le monde qu'il montre est souvent sombre, ses sujets choisis dans les marges : lieux, objets, personnages délaissés, un peu perdus.

Cependant on sent toujours dans ses photographies un désir d'apercevoir la lumière, de rendre hommage à ses sujets, de montrer la beauté et la vie qui se dégage de situations difficiles. Ainsi ce simple sac plastique qui flotte, danse, miraculeusement lumineux

dans une cour d'immeuble sinistre. Il faut dire aussi l'incroyable virtuosité de cette photographie qui découpe dans le réel des scènes improbables, comme ces trois ratons laveurs au parloir, mains passées sous le grillage, ou ce cheval noir au galop dans les rues du Caire. Le tout dans un noir et gris élégant, dans des tirages d'une qualité remarquable, réalisés par Michel Vanden Eeckhoudt lui-même.

«S'il fallait un verbe pour caractériser le geste photographique de Michel Vanden Eeckhoudt, alors ce serait le verbe ramasser, avec ce qu'il indique de lenteur mais aussi d'égards : on ne ramasse que ce qui est tombé. Et là je vois le geste de celui qui, ayant vu quelque chose au sol, se baisse, le prend dans sa main et le contemple... Ce qui veut dire qu'ainsi conçue la photographie n'est pas seulement une pratique ou son résultat, mais qu'elle est une attitude, une conduite, une certaine façon de se disposer envers le réel.»

 

www.agencevu.com
www.galeriecameraobscura.fr

 

 

 

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<h3>«  NO MORE COMMEMORATIONS »</h3><h4>... mais le futur !</h4>

© Max Jacot

 

 

 

« NO MORE COMMEMORATIONS »

... mais le futur !

Exposition des Impostures photographiques ainsi que de nouvelles Fictions photographiques de Max Jacot
Photographies lumineuses d'Andreas Kressig
Autres photographies de Sergio Marchetti
Scénographie de Max Jacot

du 4 décembre au 19 janvier 2014
Théâtre St-Gervais - salle d'exposition du 1er étage
rue du Temple 5 - 1201 Genève

ma-di 12h-18h

En 2012, L'ilôt Rousseau a conduit une série de projets, musicaux, théâtraux, photographiques et urbains dans le cadre de l'ilôt 13, sous le titre "Rousseau 13". Le "13" était une glissade vers le numéro de l'ilôt bien sûr, mais aussi une façon de déborder la commémoration en jetant des idées vers le futur.

Nous avons regardé et écouté une Fanfare dans la ville, des Impromptus, des Déjeuners sur l'herbe, des Impostures, un Fermez les théâtres, des Gouttières en lumière, nous avons tourné en car dans St Jean, nous avons tricoté en vitrine et nous nous sommes jetés dans un Trip Rousseau avant de finir en Bal populaire !

Il y a eu de l'hommage passionné à l'écrivain, au musicien, il y avait de la réflexion politique et philosophique. Mais il y avait aussi, chez certains qui se salissent chaque jour les mains ou dont la jeunesse est un peu rebelle, une résistance à la commémoration organisée. Comme chez Rousseau une résistance à une tour d'ivoire du théâtre.

Aujourd'hui le "13" est arrivé, et avec lui l'occasion de montrer ce que l'aventure a jeté vers demain et de fêter avec tous ceux qui ont participé, habitants, acteurs, musiciens, spectateurs.

L'ilôt était le lieu mais aussi l'hégérie de Rousseau 13, l'ilôt qui aujourd'hui se redresse sous les vents contraires et se bat dans une belle épopée de pirates-flibustiers ferroviaires...

Le futur et le réel sont revenus au centre du quotidien et réclament de mettre en pratique les idées.

Le projet photographique des Impostures se poursuit ainsi à SGG avec de nouvelles créations issues des événements, tout particulièrement du Bal populaire et du Car touristique.

PROGRAMME:

- exposition photographique des traces, des rêves, des manques et des rires abandonnés par le reflux des événements Rousseau 13

- où les théâtres joueront à se fermer, les enfants seront Rousseau, les spectateurs seront à dévisager plutôt que tranquilles dans l'ombre de leurs fauteuils et où le fantôme de Rousseau flottera dans l'air

- et grande fête au SGG avec tous les acteurs, spectateurs et participants des multiples Rousseaux 13...

ENTRE AUTRES:

Fanfare !

Trip et car touristique

Déjeuners sur l'herbe: où est passé Manet

Imposteurs sans prétention: portraits des nouveaux Rousseaux

Et la paresse alors ? délicieuse et nécessaire

Dans notre théâtre, jouez avec nous à "Fermez les théâtres !"

Offrons-lui sa dernière mort !

Vitrine: journal intime, sommeil et tricot

Les images saintes: pour méditer dans votre intimité

Gouttières de lumière

 

http://www.rousseau13.org/
http://www.saintgervais.ch/programme/detail/no-more-commemorations

 

 

 

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Blanc 77 et autres galéjades

Photographie © Pierre Canaguier

 

 

 

« Blanc 77 et autres galéjades »

Photographies de Pierre Canaguier

Du 10 décembre 2013 au 25 janvier 2014
Bibliothèque Kateb Yacine,
Artothèque municipale
202 Grand Place
38100 Grenoble

12h – 18h30 du mardi au samedi
Vernissage jeudi 12 décembre à 18h30

Photographier m'amuse, je l'avoue. Photographier, repérer une forme, une brillance, un contraste, bref un de ces signes qui prennent plus ou moins la tangente du réel pour le rendre différent, inattendu. C'est souvent de cette façon que je me suis régalé – en parallèle à des travaux plus structurés, plus réfléchis – à engranger des instantanés "simples et plaisants". C'est le cas de cette vue "Blanc 77" au rayon linge d'un grand magasin, ou tout récemment de ces portraits de sapins & flocons. La présente exposition regroupe trois séries réalisées sur ce mode léger. Ce sont mes plaisanteries photographiques, mes galéjades pour faire référence à mes racines méditerranéennes !

Blanc 77 : instantanés en noir & blanc de 1972 à 1983, réalisés entre la maison de la culture de Grenoble et le centre commercial Grand Place, et donc essentiellement à Villeneuve où j'ai habité et travaillé pendant près de 20 ans... et photographié quotidiennement.

Juste un avion dans le ciel : la couleur m'intéresse depuis mes débuts en photographie, mais je ne me suis résolu à m'y plonger pour de bon qu'avec l'avènement du numérique qui me l'a rendue plus maîtrisable. Ces images, extraites d'une exposition présentée en 2012 à la galerie Le Réverbère, Lyon, jouent sur la frontière fragile entre la banalité de la beauté et la beauté de la banalité.

Bleu 2013 : mes dernières galéjades. Se laisser emmener par une note bleue, à la mer ou à la montagne, s'abandonner dans une sorte de douce abstraction comme on se jette dans les hautes pousses d'un champ de blé, n'est-ce pas là un rêve d'enfant ? Autre envie qui relève du jeu : isoler des formes simples, presque évidentes, mais les isoler à tel point que l'on en perd plus ou moins le sens pour ne garder que la matière picturale. C'est ce que j'ai tenté avec mes "sapins & flocons".

Joyeux Noël !

Pierre Canaguier

Une exposition présentée par l'Artothèque municipale de Grenoble, en partenariat avec la Galerie Le Réverbère.

 

www.galerielereverbere.com
www.bm-grenoble.fr

 

 

 

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Traversées

photographie © Christiane Sintes

 

 

 

« Traversées »

Photographies de Christianne Sintès

Du 29 novembre 2013 au 8 janvier 2014
MEDIATHEQUE JEAN FERRAT
1 rond-point des écoles
07200 Aubenas

Mardi : 12h30 - 18h30
Mercredi : 10h00 - 12h00 / 14h00 - 18h00
Vendredi : 12h30 - 18h30
Samedi : 9h00 - 12h30 / 14h00 - 17h00

Atelier Sténopé avec Christiane Sintès: samedi 14 décembre de 14h à 16h30
Rencontre avec la photographe: samedi 14 décembre à 17h

Vous aviez pu découvrir les images énigmatiques de Christiane Sintés à Lagorce dans une exposition La Disparition proposée par la galerie Mirabilia et l'association "Pas d'panique", en 2008, lors du Festival l'Art des corps. Cet automne, quelques images "sténopé" de La Note bleue et Espaces fragiles étaient présentées à l'occasion de l'exposition "La galerie Mirabilia sort de sa réserve...".

A la médiathèque d'Aubenas, nous vous invitons à entrer dans les images de Christiane Sintès des séries les plus récentes : Traversées, Batillages, Silence, qui interrogent son rapport sensible au monde, à la recherche de lieux de peu, d'instants fragiles ou de lumières de fin du jour.

 

www.christianesintes.com
www.bm-aubenas.fr
www.galeriemirabilia.fr

 

 

 

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Enregistrements photographiques

Prieuré de Charrière © Sylvie Garraud

 

 

 

« Enregistrements photographiques »

Photographies de Sylvie Garraud

Du 24 novembre 2013 au 10 janvier 2014
Espace Aragon
19bis boulevard Jules Ferry
38190 VILLARD-BONNOT

Ouvert tous les jours de 16h30 à 20h ainsi qu'en soirée et week-ends lors des séances cinéma

Les enregistrements photographiques sont nés d'une fascination pour l'apparition de l'image qu'il s'agisse du dessin (un tracé d'ombres et de lignes) ou de la photographie (l'empreinte d'un phénomène de lumière). J'ai voulu les interroger simultanément l'un et l'autre dans les relations qu'ils entretiennent avec le réel. La première démarche a été d'utiliser le procédé photographique pour y traiter un problème de dessin: comment déterminer la ligne de contour d'un corps? J'ai tenté de la prélever directement sur un corps réel avec une lampe de poche en guise de crayon et d'enregistrer photographiquement ce geste grâce à un temps de pose long (...) L'image obtenue est en quelque sorte «trouée». Elle se structure par alternance d'empreintes, de tracés et de zones aveugles. Les conséquenses de ces premières expériences m'ont ouvert un champ à explorer que je développe encore en relation à des lieux où j'ai l'occasion de pouvoir résider de nuit. Les images peuvent faire l'objet de tirages ou sont restituées sous forme de projections, permettant ainsi de les réinvestir comme phénomène de lumière en relation à l'espace et à la présence physique des spectateurs qui les traversent.

 

www.espace-aragon.net
Dossier pédagogique

 

 

 

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Les photographies de l'année

Photographie © Pierre Gleizes

 

 

 

« Les photographies de l'année »

Concours de photographies pour les professionnels de l'image

Dates limite d'envoi des dossiers le 15 janvier 2014
Le Dossier complet est à envoyer à :
"L'APPPF"
Les Photographies de l'Année
13 rue Lionel Royer
72000 Le Mans

Pourquoi ce concours ?

La photographie professionnelle a largement évolué ces vingt dernières années. La révolution numérique est passée par là et les mentalités ont évolué.

D'abord, d'un point de vue technique. Bien entendu, le plus marquant est la prise de vue devenue majoritairement numérique chez les professionnels. A la fin des années 80, il y avait déjà eu une première étape avec l'arrivée des autofocus. Les contraintes techniques imposées pour une juste prise de vue, comme la mise au point, l'exposition, n'ont cessé d'être gommées par des appareils toujours plus sophistiqués, améliorant sans cesse la qualité des images.

Du point de vue sociologique aussi. La photographie est banalisée par l'abondance de l'image, la facilité des modes de communication, l'instantanéité du moment lié au déclenchement facile du numérique, l'actualité toujours plus brûlante faisant que les passables images issues des téléphones portables deviennent négociables en agences... sans oublier les photos dites “ libres de droits ?, fiction juridique au regard du droit français.

Le concours des photographies de l'année se veut le témoin d'une photographie réfléchie, créative, fruit de l'imagination, de la sensibilité et du travail d'auteurs photographes. Preuve s'il en est que le talent est là. L'imagination et la créativité des photographes professionnels prouvent que la photographie est toujours bien vivante.

Le principe

La sixième édition du concours photographique des Photographies de l'année est destinée à promouvoir le savoir-faire des photographes professionnels. La participation à ce concours est réservée aux professionnels.

Toutes les informations ici

www.photographiesdelannee.com

 

 

 

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Quotidien d'une année

"Eclairage nocturne" © Anesofie

 

 

 

« Quotidien d'une année »

Photographies de Anesofie

Du 20 novembre 2013 au 18 janvier 2014
Les Z'Arts-D...eurs
5 rue Bir Hakeim
07000 Privas

Ouvert du mercredi au samedi de 10h à 12h30 et le vendredi de 14h30 à 17h30

Travail photographique effectuait durant une année (03/2012-03/2013) de vie en caravane en Ardèche.

Année que j'ai voulu immortalisé grâce à la photographie.Des moments simples mais très représentatif de ce quotidien si peu commun.

Des instants qui nous invitent à contempler la beauté d'une fleur effleurant une autre, une tasse oublié, d'un couché de soleil, des amis qui rient ...Tous ces instants qui peuvent être si anodin, ont pris cette année là une importance capitale.

 

www.anesofie-creations.blogspot.fr
www.leszartsdeurs.blogspot.fr

 

 

 

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Après l'obscurité

Klavdij Sluban Lettonie, 2002 82 x 62 cm © Klavdij Sluban

 

 

 

« Après l'obscurité »

Photographies de Klavdij Sluban, une rétrospective [1992-2012]

12 octobre 2013 ... 12 janvier 2014
Musée Nicéphore Niépce
28 quai des messageries
71100 Chalon-sur-Saône

Ouvert tous les jours sauf le mardi et les jours fériés 9 h 30 ... 11 h 45 14h ...17h45
Entrée libre

Pour Klavdij Sluban, la photographie est prétexte au voyage, favorisant l'expérience et la rencontre, une meilleure compréhension de la réalité de chacun. Le photographe, d'origine slovène, rend compte de ce qu'il voit, non de ce qu'il aurait fallu voir. Fuyant l'anecdote, il ne relate aucun événement, se tient en dehors de l'actualité, n'hésitant pas à capter des temps faibles où rien ne se passe. Aux quatre coins du monde, il photographie l'atmosphère d'une ville, la noirceur d'une geôle, la solitude d'une île. Un monde souvent chaotique où l'homme n'est jamais loin. Les images de Klavdij Sluban semblent volontairement hors du temps. L'usage unique du noir et blanc, l'aspect charbonneux et le grain marqué des tirages en font toute la beauté. La sensibilité du photographe fait corps avec la réalité du monde. Cette exposition est la première rétrospective de vingt ans de travail de ce photographe, présent dans les collections internationales les plus prestigieuses.

Un compartiment de train, une prison et une île, c'est dans ces lieux clos que Klavdij Sluban rencontre le destin des hommes. Ces espaces prodiguent les sentiments de solitude, d'ennuiet parfois de terreur. Dans une continuité sans écarts ni manquements à une certaine morale, Klavdij Sluban poursuit un chemin vers des régions que Dieu a abandonnées. Le voyage pour lui-même n'a pas d'intérêt. Il n'y a pas, non plus, de temps. Il n'y a que des portraits d'hommes et de femmes atteints du même mal que lui. Hagard devant l'Histoire, chaque visage est une interrogation, une question posée à sa destinée. La photographie se veut radicalement hors du temps, pourtant, elle se pose dans la matière même, grasse et charbonneuse, des faits. Elle constate et pressent. Pas une image qui ne nous fait entrevoir la catastrophe. À travers les vitres du wagon, derrière la glace de sécurité, on n'aperçoit que la grisaille et l'impossibilité de vivre. Simplement.

Parfois, à Cuba, en Haïti, les corps se révoltent et refusent le diagnostic. La beauté, car il y en a dans ce malheur, reste une nécessité. Beauté cadavérique d'un jeune détenu, d'un profil aperçu en Sibérie, d'une vieille dans un autocar, cette forme est celle de la mélancolie. Le photographe n'est ni documentariste, ni auteur. Il ne participe en rien aux débatsqui agitent la photographie. Les seuls bruits dont résonnent les images évoquent les vents froids ou la houle marine. Car ici, on se tait. On parle peu. Et il y a encore moins de confidences à livrer. Dans ce monde sans plaintes et sans récriminations, dans cet état obscur, le récit se fait court. C'est ainsi et on n'y peut rien.

Mais ce récit n'a jamais un caractère direct. Entre le réel et le photographe s'interposent une vitre, une fenêtre, une larme, et toujours une optique. Avant de s'embarquer pour une traversée, Klavdij Sluban sait déjà ce qu'il va trouver et ressentir. Retour à la case départ, aussitôt la frontière traversée, la porte de prison franchie, il se trouve plongé dans un monde connu, sans contrastes. La vie n'est pas ce puzzle que l'on présente, confus et contradictoire. Elle prend les formes tragiques et littéraires d'un animal à l'agonie, de vies prédestinées.

Il a trop vu de gens condamnés, entendu prononcer trop de sentences pour que la photographie soit un objet de controverses. On peut dire cependant de la photographie, telle que la pratique Klavdij Sluban, qu'elle est faite paradoxa- lement de sensualité, de tristesse et de sévérité.

Mais jamais l'envie de fuir ces images ne nous prend. Comme si la vision de notre conscience nous était offerte. Quelque chose qui nous saisit à la gorge ; un face à face avec ces enfants détenus, la grisaille de la ville, le dénuement de je ne sais quel pays de l'Europe de l'Est. Et pourtant, cela reste beau ! Nous ne voyons pas d'autre qualificatif pour ces images. Nous ne parlons pas d'une beauté qui enjolive la douleur du monde ! Non ! D'une extrême beauté qui reflète la noblesse des attitudes et nous révèle le tragique de notre existence.

Il faut alors voir les trois séquences, le train, la prison et l'île, comme le même film qui se déroule et offre le récit d'une Passion sans Dieu, d'un monde livré à des forces supérieures. Il ne reste que l'image globale, stoïque, d'une interrogation sans réponse et surtout un attachement obstiné à relier beauté et mélancolie.

Cette œuvre patiemment construite depuis plus de vingt ans se montre sans illusions. Il est loin le temps où un seul cliché ouvrait les yeux et les consciences. D'ailleurs ce temps n'a jamais été.

Mais ce qui fait la force de ces images, si peu nombreuses finalement, c'est cette impuissance qui n'est en rien de la résignation. Cette immobilité est un monument dressé, excusez du peu, à notre condition.

François Cheval

 

www.sluban.com
www.museeniepce.com

 

 

 

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Phot'Aix 2013

© Chaza CHARAFEDDINE - Dame aux fruits

 

 

 

« Phot'Aix 2013 »

Regards Croisés Méditerranée et Les Parcours

Du 14 novembre au 31 décembre

REGARDS CROISÉS "MÉDITERRANÉE" est une exposition qui croise le travail photographique de photographes étrangers d'un ou de plusieurs pays invités et différents tous les ans, avec des photographes français dont le travail porte sur le même thème ou dialogue dans une même sensibilité.

A cette occasion Regards Croisés investit, pendant plusieurs semaines, un des hauts lieux de l'art à Aix-en-Provence, le Musée des Tapisseries installé dans les appartements d'apparat du palais de l'Ancien Archevêché.

C'est également l'occasion de rencontres et d'échanges avec chaque photographe venu présenter ses œuvres.

Roger ANIS (Egypte) en regard avec Bruno ARBESU
Ali CHRAIBI (Maroc) en regard avec Christian RAMADE
Ahikam SERI (Israeél) en regard avec Françoise SAUR
Wadi MHIRI (Tunisie) en regard avec Sandrine ELBERG
Yusuf SEVINCLI (Turquie) en regard avec Christophe NIEL
Chaza CHARAFEDDINE (Liban) en regard avec Philippe LEJAILLE

LES PARCOURS en 2013 (47 photographes - 28 lieux d'exposition)

Les Parcours sont nés du désir d'amener les œuvres au plus près du public, de tous les publics, en exposant des photographes amateurs comme professionnels dans des lieux atypiques ou convenus d'Aix-en-Provence.

Cette deuxième édition des parcours a été conçue de manière collective par la Fontaine Obscure et se veut cette année plus ambitieuse. Travail d'équipe au départ, chaque responsable s'est ensuite approprié son parcours ou son exposition, pour exprimer sa sensibilité et assumer ses choix artistiques.

Cette mosaïque de thèmes montre bien la diversité que propose la photographie aujourd'hui. Et c'est bien la vocation de notre manifestation : rendre accessible au public l'Art photographique, montrer par la qualité et la diversité de leurs œuvres tout le talent des 47 photographes exposants dans 28 lieux et permettre à des artistes d'exposer bien souvent pour la première fois. Les expositions prennent place dans des lieux divers déjà dédiés ou non à l'art, comme des établissements publics, des galeries d'art, mais également des cinémas, des commerces, des restaurants, des librairies et même des hôtels ou des agences de voyages...

Outre les vernissages prévus sur chaque lieu et des projections de photos, des déambulations commentées sont prévues pour les 4 parcours principaux. Lectures de portfolios et rassemblements impromptus festifs s'établiront en différents lieux de la ville.

Diversité de points de vues et des représentations, originalité de la démarche conjuguée au pluriel, les organisateurs de ces Parcours 2013 se sont investis totalement avec cet esprit de convivialité que la Fontaine Obscure a toujours revendiqué et perpétué depuis 15 ans maintenant.

 

Phot'Aix 2013
www.fontaine-obscure.com

 

 

 

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Quel paysage est-il

Photographie © Jean-Bernard Lassara

 

 

 

« Quel paysage est-il »

Photographies Jean-Bernard Lassara - Texte Sylvain Dubois

Du 07 novembre 2013 au 22 décembre 2013 Vernissage 8 novembre à 18h30 Lecture le 7 décembre à 18 h
Galerie la baume des arts
20,rue Pasteur
26260 Saint Donat

ouvert du jeudi au dimanche et jours fériés de 15 h à 19 h et sur rendez-vous
Vernissage 8 novembre à 18h30

QUEL PAYSAGE EST-IL

Pleine nature des forêts! Vous qui tressez des soifs
comme des crins de cheveux, des chevaux de fontaine
quand viennent se désaltérer tous les accents du monde
au badinage arc-en-ciel, faites escale comme des hôtes
flamboyants, enlevez vos masques et dévisagez au
crépuscule les voies d'outre-ciel et leur kaléidoscope d'étoiles
concassées qui gît au fond de chaque coeur dispersé dans l'univers

Sylvain Dubois

 

www.ginko-photo.com

 

 

 

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Images, plasticité du temps

© Alain Fleischer

 

 

 

« Images, plasticité du temps »

Exposition d'Alain Fleischer

Du mercredi 20 novembre au lundi 6 janvier
LUX Valence
36 Boulevard Général de Gaulle
26000 Valence
04 75 82 44 15

Vernissage mardi 19 novembre à 18h30 en présence de l'artiste suivi de l'avant-première de son film Brancusi en 3D (coproduction Arte/Artline) puis à 20h15 de la projection de son film Du côté de Vitebsk (production Le Fresnoy).

La performance d'Écran sensible aura lieu mercredi 18 décembre à 20h (projection en direct d'un court-métrage sur papier photo-sensible réalisée par Alain Fleischer).

Cinéaste, photographe, écrivain, Alain Fleischer est un infatigable faiseur d'images, capable d'en proposer de multiples raccords : entre la photographie et le cinéma, entre l'image fixe et animée, entre le papier et la pellicule, entre le répertoire des images du monde et celui, étourdissant, qui cherche à franchir les limites de l'imaginaire.

« À travers des œuvres de différentes séries, avec des techniques et sur des supports divers - photographies, caissons lumineux, vidéos, flip books - cette exposition déclinera les riches relations entre images fixes et images animées, entre photographie et cinéma. Sera réalisée en public la performance Écran sensible où les spectateurs pourront assister en temps réel à la projection d'un court métrage sur l'écran - en papier photographique - qui en deviendra la mémoire à la fois soustractive et additive. Révélée avec les produits chimiques de la photographie argentique, l'image géante, fixe et unique, reste la trace, objective et pourtant menteuse, des milliers d'images animées d'un film de cinéma ». Alain Fleischer

« Alain Fleischer, auteur prolifique d'ouvrages littéraires et réalisateur de 350 films environ, signe une œuvre magistrale qui alterne du cinéma à l'écriture en passant par la photo. Du 16mm au 35mm et à la vidéo, du fragment au roman et à l'essai, son œuvre manifeste une quête incessante du souvenir, de l'oubli et de la mémoire (...) À l'occasion de l'exposition intitulée RACCORDS, bien que personnages et formes demeurent sujets et objets de captation, c'est peut-être davantage l'interrogation des médias qui nous frappe, de leur interpénétration et de leur réversibilité. On assiste au déploiement des innombrables possibilités et limites qu'offrent film, vidéo, photo, mais aussi à leur « dépliement ». Fleischer dévoile et accentue les procédés du processus photographique et filmique qu'il se plaît à entremêler. Ainsi le filmogramme devient contenu d'une photo, l'écran vidéo diffuse le négatif d'un film et le recadrage d'un film explore le grain jusqu'à déstabiliser la vision, le trouble sensoriel subsumant le récit (...) Quand Fleischer, tel un magicien, joue avec les médias cinéma-photo-vidéo-graphie, il joue avec le temps : son temps, celui de ses contemporains, celui de ses ancêtres, entre autres victimes de l'Holocauste, mais aussi le nôtre, temps contemporain des techniques d'enregistrement numériques et temps singulier de nos mémoires agglutinées (...) ».

Louise Boisclair, Raccords d'Alain Fleischer ou la magie de l'art transmédial, à retrouver sur le site Archee.

Article écrit à l'occasion de son exposition à la galerie UQAM à Montréal.

 

www.lux-valence.com
www.galerielereverbere.com

 

 

 

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Quatre Instants de Nudité

Photographies © Alain Borjon

 

 

 

« Quatre Instants de Nudité »

Photographies d'Alain Borjon

Du 13 novembre 2013 au 9 janvier 2014
Restaurant le 21 sur vin
21 boulevard Eugène Deruelle
69003 Lyon

Ouvert du lundi au vendredi de 9 h à 20 h

Pour cette expo sur le nu féminin, j'ai voulu mettre en évidence le corps, tenter de sublimer les courbes, les lignes et la beauté des formes.

Pour éviter le risque de monotonie ou de répétition j'ai joué avec les lumières, la tonalité des fonds et les oppositions

A cela vient s'ajouter des changements de tons et de rythmes, ainsi que des photos qui se parlent entre elles

Cette exposition qui comprends 20 photos permet une vision globale, cohérente avec ma démarche sur le regard que je porte sur la féminité.

 

www.linstantphoto.com

 

 

 

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ON THE GROUND - Rencontres au niveau du sol

Photographie © François-Xavier PRÉVOT

 

 

 

« On the ground - Rencontres au niveau du sol »

Photographies de François-Xavier PRÉVOT

Du jeudi 14 novembre au mardi 31 décembre 2013
SAMU SOCIAL de la Ville de Marseille,
10 Bd Ferdinand de Lesseps
13003 Marseille

Vernissage le jeudi 14 novembre 2013 à 11h, suivi d'un buffet, en présence des Partenaires institutionnels et associatifs, dans le cadre de la Journée Mondiale du Refus de la Misère

Cette exposition sera itinérante du 1er janvier au 31 mai 2014 dans les établissements scolaires, structures d'accueil et hébergements partenaires.

Ces établissements scolaires (Lycée Ampère, Brochier, la Viste, Marie-Gasquet , Léau et Epide) et Partenaires associatifs viendront également exposer une sélection de photos réalisées sur le thème de la Solidarité et de la Précarité, avec l'accompagnement et les conseils de François-Xavier PRÉVOT.

"Entre l'Enfer de la rue et le "Paradis" d'un logement à soi, il y a le "Purgatoire" et la promiscuité des Centres d'Hébergements d'Urgence. Une "cellule dortoir" comme abri fragile contre l'indifférence.

Revenir au Niveau du Sol, à la rencontre des "petits". Retourner à la terre, à l'Humilité, de cet humus d'où nous venons à peine et où nous retournerons bientôt."

 

http://www.photographe-marseille.eu

 

 

 

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La paix bordel !

Photographie © Patrick Chauvel

 

 

 

« La paix bordel ! »

Photographies de Patrick Chauvel

Du 9 septembre au 4 janvier 2014
Lithos - Centre d'art contemporain
3 passage de la Cure
26130 Saint Restitut

Ouvert tous les jours sauf le lundi de 14h30 à 17h30 et sur RDV
Vernissage lundi 9 septembre à 18h30 précédé d'une conférence de Patrick Chauvel à 18h00

Comme chaque automne, le CAC de St Restitut propose dans le cadre de sa programmation « Parenthèse » de découvrir l’univers du photojournalisme. L’invité de cette année, Patrick Chauvel, Patrick Chauvel est l’un des rares reporters à avoir couvert les conflits majeurs de ces quarante dernières années. Comme lui, ses images ont fait le tour du monde : du Vietnam à l’Irak en passant par la Thaïlande, le Pakistan, Israël, la Palestine, l’Irak, le Kosovo, la Tchétchénie, l’Afghanistan, la Yougoslavie, le Panama, le Salvador, le Liban, la Colombie, l’Angola, mais encore le Cambodge ou l’Irlande du Nord... L'exposition se décline en deux parties.Tout d'abord une sélections de reportages de 1970 à 2012 , puis une série de photomontages qui se veulent une alerte. Il s’agit des guerres qui se passent loin de chez nous, rendues abstraites par la distance mais qui nous concernent. Dans cette exposition, Patrick Chauvel installe les guerres d’aujourd’hui devant les plus beaux monuments de la capitale.

Présentation à la maison de la cure du film « Rapporteurs de guerre » réalisé par Patrick Chauvel et Antoine Novat.

 

 

 

 

 

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Mort à crédit et en stéréo

Photographie © Philippe Pétremant.
La photographie n'est pas responsable Vlan ! 2013

 

 

 

« Mort à crédit et en stéréo »

Photographies de Philippe Pétremant

Du 10/09/2013 au 28/12/2013
Galerie Le Réverbère
38 rue Burdeau
69001 Lyon

Du mercredi au samedi de 14h à 19h
Entrée libre et gratuite

Mort à crédit et en stéréo est une exposition imaginée comme un film qui pourrait avoir comme teaser cette déclaration d'Edward Steichen : «L'exposition est un film dans lequel c'est vous qui bougez et où se sont les images qui restent immobiles», ce principe reposant bien entendu sur la conviction que le rapport de l'image au récit est davantage subordonné aux possibles imaginaires du spectateur plutôt qu'à une stricte qualité -performative- de la photographie. Lasse de se superposer au récit, la narration implose aussitôt que la photographie disjoint le temps de celui-ci et confond le point de vue de l'image avec le point de vue du spectateur. Le devenir de l'arborescence narrative se projette alors au cours de la déambulation dans l'espace de l'exposition.

Mort à crédit et en stéréo se présente sous la forme de différents projets photographiques qui, chacun, jouent pour l'occasion une partie du film : Partenaires, en gros ouvre le film en guise de générique. De l'inconvénient d'être néassume les dialogues ou plus précisément les intertitres, le casting des rôles a été réalisé dans Les Contrées nulles et la bande originale est issue de Les Bobines. Avec un brin de facilité qui associe bien souvent concupiscence et audience, Planète interditese charge des scènes dites «de cul», improbité modérée par un script signé Paul Valéry : Fin de Monsieur Teste. Que les spectateurs les plus rétifs à la chose méditative ne s'alarment pas pour autant, ils pourront compter sur leur lot d'actions - effets très spéciaux et autres scènes haletantes que n'aurait pas désavoués Bruce Willis - extraits du projet en cours : La Photographie n'est pas responsable. Puisqu'on vous le dit.

Philippe Pétremant

 

http://www.galerielereverbere.com

 

 

 

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Photographs from the War in Afghanistan

"General Roberts inspecting captured Afghan artillery" © Edmund Burke, Courtesy of The Wilson Centre for Photography, London.

 

 

 

« Photographs from the War in Afghanistan »

Photographies de Simon Norfolk et John Burke

Du 4 octobre au 5 janvier 2014
Stimultania Pôle de photographie
33, rue Kageneck
67000 Strasbourg
France
+33 (0)3 88 23 63 11

Vernissage le 4 octobre à partir de 19h
Le samedi 5 octobre de 11 h à 17 h 30 "Journée publique " ( voir plus bas )

« Haven't we been here before ? » The Guardian, avril 2011

Deux regards de photographes sur ce pays en guerre presque éternelle se répondent à un siècle de distance. Il y a d'abord celui de l'Irlandais John Burke, qui a sillonné le pays pendant les guerres Anglo-Afghanes à la fin du 19e siècle et puis il y a celui de l'Anglais Simon Norfolk, qui a saisi le pays de nos jours, comme une réponse ou un écho au travail de son prédécesseur. Un écho qui dit que les ruines d'hier et la douleur d'aujourd'hui sont les mêmes.

John Burke fut le premier à ramener des images d'Afghanistan, prises lors de la seconde guerre anglo-afghane, entre 1878 et 1880. à l'aide de négatifs au collodion humide, difficiles à transporter, et d'immenses appareils photo en bois, il a pris des paysages, des champs de bataille, des sites archéologiques, des scènes de rue, des portraits d'officiers britanniques et de groupes ethniques d'Afghans.

Plus d'un siècle plus tard, en 2010, Simon Norfolk a marché dans les pas de John Burke, chez qui il a perçu un regard humain et critique sur le système colonial britannique. Pour réaliser ce qu'il appelle une « collaboration avec son précurseur victorien », Simon Norfolk s'est engagé dans une sorte de re-photographie. Cependant, au lieu de reproduire de façon exacte et artificielle ses compositions, il a identifié des équivalents contemporains en recherchant et en travaillant sur les perspectives de Burke. Tout comme l'indique le simple mot « war » (guerre) du titre de l'exposition, le projet de Norfolk est en partie une accusation de l'impact inexorable du conflit et de l'impérialisme sur le paysage et les habitants d'Afghanistan durant ces 130 dernières années.

Journée publique du 5 octobre en présence de l'artiste, Simon Norfolk

Cette journée s'organise autour de tables-rondes thématiques et sera ponctuée de moments conviviaux.

Les mutations technologiques, les divers supports d'images, les nouvelles formes de création et de diffusions photographiques offrent à la photographie de nombreuses possibilités. Ils lui imposent d'autres fonctions et entraînent un déferlement d'images qui nourrit notre regard et nous met en prise directe avec des réalités. Dans ce flux surabondant d'images, les enjeux de la photographie se posent.

Quel est le sens de la photographie aujourd'hui ? Quel impact a-t-elle auprès du public et comment arrive-t-elle jusqu'à lui ? Comment interpeller son regard pour lui faire prendre conscience face à cette masse d'images ?

Certains échanges se feront en anglais.

Traduction : Audrey Canalès.

11 h : Face à Face « regards de photographes »
12 h 30 : Apéro et déjeuner (Paf : 7 euros - réservations conseillées)
14 h : Discours
14 h 30 : Table-ronde « le sens, l'impact et la réception de la photographie auj ourd'hui »
17 h : Projection « Dusty night» d'ali hazara à Vidéo les Beaux Jours.

 

www.simonnorfolk.com/burkenorfolk
www.stimultania.org

 

 

 

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Un plus un égale un ?

 

 

 

« Un plus un égale un ? »

3 couples - artistes

Du 29 septembre au 5 janvier 2014
Espace d'art François-Auguste Ducros
Place du jeu de ballon
26230 Grignan

Ouvert du mercredi au dimanche de 14h à 19h.
Entrée libre.

Cet automne, l'association « Les enfants du Facteur », pour son exposition annelle, propose de rassembler à l'Espace d'Art François-Auguste Ducros à Grignan 3 couples - artistes

C'est une exposition de couples d'artistes qui n'ont en commun que leur affect et l'art comme principal souci. Il est une production de travail - lui-même source de leurs revenus - plus ou moins bien rémunéré.

Dans ce choix de couples, les personnalités sont autonomes et ne travaillent pas en «tandem», ils ne se réunissent pas pour oeuvrer en commun ou ensemble sur une oeuvre. Mais chaque artiste ici, au contraire, montre son univers. Ils se sont pris au jeu et ont décidé une confrontation affirmée et amusée, faite soit d'affinités, de différences, d'échos, d'oppositions, de liens, de composition, de clins d'oeil ou autre...

Il est toujours risqué de monter une exposition de groupe sans thème ou fil conducteur qui unifie l'ensemble de la présentation. Toutefois la configuration de l'espace en 3 salles diminue l'échec d'une confrontation directe de 7 artistes aux personnalités très différentes.

Nous avons donc choisi d'attribuer une salle par couple et de lui donner l'entière liberté quant à son montage, son accrochage et son choix d'oeuvres.

Le plus souvent, les artistes unis par les liens du couple ont pour convention tacite ou usage de faire carrière solo afin d'éviter tout risque de parasitage ; cette fois, ils sont invités à investir et « habiter » une salle d'exposition professionnellement ensemble. Et chaque couple est responsable de la coexistence des personnes qu'il rassemble.

Il y a surtout de la sculpture, peu de peinture, des objets, des dessins... Une installation particulière pour cette manifestation est accompagnée d'une composition musicale.

Un livre d'artistes est édité à l'occasion de cette exposition.

Il est entièrement conçu par les artistes, avec la participation de Nadeije Laneyrie-Dagen et Philippe Dagen, et imprimé par l'atelier du Musée de la typographie, Maison du Bailli à Grignan, ainsi que par l'imprimerie Graphot à Saint-Paul-Trois-Châteaux.

 

www.espace-ducros.blogspot.fr

 

 

 

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Exposition Mehdi Meddaci

© Mehdi Meddaci

 

 

 

« Exposition Mehdi Meddaci »

Installation de vidéos et photographies

19 octobre au 29 décembre 2013
Château des Adhémars
26200 Montélimar

Visites de 10h à 12h30 et de 14h à 18h en octobre.
De 14h à 18h en novembre et décembre. Fermeture le mardi.
TARIFS
plein tarif 3,50 € / tarif réduit 2,50 €
Groupes scolaires selon projet
(Gratuité pour moins de 18 ans, étudiants, titulaires de la Carte 3 Châteaux).

Mehdi Meddaci, jeune artiste d'origine algérienne né en 1980, produit des vidéos en installation et des films concernant sa double culture. Sublimant le thème de l'exil, grâce à des tech- niques modernes, il capte les moments, les sentiments et les ressentis d'une personne ayant quitté le lieu où par essence elle aspirait à vivre. A travers photographies, installations et vidéos il nous montre la Méditerranée, sa mixité culturelle qui est une source permanente d'inspiration pour lui, observateur de cet interstice. Ses images montrent de manière littérale ou métaphorique un corps immergé entre deux rivages. Des personnes cadrées frontalement, mais absentes, ancrées dans un décor et un contexte socio politique fort, mais en errance profonde.

Filmant des images de la vie quotidienne, il donne à voir un monde qui, entre poétique et politique, nous raconte une histoire et nous immerge dans une double dimension établie autour de la stupéfiante beauté d'installations d'envergure et l'intensité dramatique et universelle de motifs. Mehdi Meddaci développe un travail plastique

construit par strates successives sous forme de dispositifs ou de modules - « Lancer une pierre », (2008), « Alger la blanche » (2009), ou « Tenir les murs » (2011) - qui font dialoguer photographie, vidéo et cinéma. A l'image d'une « mer au milieu des terres », tout réside dans le déplacement, entre le son et l'image, le document et l'artifice, entre le vacillement des corps et la prégnance des paysages. Le montage en- tretient chez le spectateur un certain élan à déconstruire pour recréer et valoriser la présence de mondes possibles. « Le visible est porté par l'étrange sensation d'un manque, celui d'une Histoire, peut-être ».

L'artiste

Né en 1980 à Montpellier (France) dans une famille émigrée algérienne, il développe une pratique em- preinte de ses origines et pose sa réflexion sur des territoires kabyles, syriens, sur la notion d'étranger, d'éloignement, de distance.

RENDEZ-VOUS AUTOUR DE L'EXPOSITION

CONFÉRENCE « APARTÉS »

A 14h30 le samedi 19 octobre avec David Gauthier, responsable des affaires culturelles et chargé de mission « Images » à l'ENS (Ecole Nationale Supérieure) de Lyon. Collaboration Université populaire de Montélimar,

RÉSIDENCE ARTISTIQUE au Collège Europa (Montélimar) - classe de 4 A l'automne, production d'un film par l'artiste et une classe de collégiens avec comme point de départ un vers du poète palestinien Mahmoud Darwich : « Ils accomplissaient leur légende selon leur volonté et pour les cailloux composaient l'éclat des oiseaux. » (extrait de Et la terre se transmet comme la langue, du recueil Au dernier soir sur cette terre).

 

www.galerieouizeman.com
Château des Adhémar

 

 

 

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Genesis

Les Nenetes, Peninsule de Yamal, Siberie, Russie 2011 © Sebastião SALGADO / Amazonas images

 

 

 

« Genesis »

Photographies de Sebastião Salgado

Du 20.09.2013 au 05.01.2014
Musée de l'Elysée
Avenue de l'Elysée 18
1014 Lausanne
Switzerland

Genesis est une quête photographique à l'échelle de la planète, dans laquelle le photographe brésilien Sebastião Salgado redécouvre des lieux et des peuples qui ont échappé, jusqu'ici, à l'empreinte des sociétés modernes. Depuis 2004, il a entrepris plus de trente voyages, jusqu'aux confins du monde. Il parcourt la planète pour construire un projet photographique à long terme sur la question de l'environnement, photographiant toujours en noir et blanc. Il a navigué sur des océans, gravi des montagnes, traversé des déserts, observé des animaux et approché des peuples indigènes, dans l'idée de faire connaître leurs environnements et leurs cultures. Voyageant dans les coins les plus reculés, dans des conditions souvent difficiles, Salgado restitue la beauté de faces inconnues du monde. Il montre aussi la nécessité de préserver la planète et sa beauté, qui sont aujourd'hui en péril.

«Dans Genesis, j'ai suivi le rêve romantique de vouloir retrouver – et partager – un monde primitif trop souvent invisible et hors d'atteinte. (...) Je voulais simplement montrer la nature dans sa splendeur partout où je pouvais la trouver. Je l'ai découverte dans des espaces infinis d'une diversité biologique immense qui, il faut le savoir, recouvrent pratiquement la moitié de la surface de la Terre, dans de vastes déserts en grande partie inexplorés, dans d'immenses forêts tropicales ou tempérées, et dans des chaînes de montagnes d'une beauté impressionnante. Découvrir ce monde encore intact a été l'une des expériences les plus enrichissantes de ma vie. »

Genesis est aussi un travail sur le rapport de l'homme à la nature, des grands déserts aux vastes océans. Après La Main de l'homme (1993) et Exodes (2000), formes de bilan humain des changements économiques et sociaux intervenus à l'échelle planétaire, Genesis est le troisième volet de l'exploration à long terme de Salgado sur les enjeux mondiaux et la troisième exposition du photographe présentée au Musée de l'Elysée après Autres Amériques / Sahel, l'homme en détresse en 1987 et La Main de l'homme en 1994.

L'exposition, composée de près de 240 photographies, est divisée en cinq sections géographiques, formes de miroirs du fonctionnement de la nature : le Sud de la planète, les sanctuaires naturels, l'Afrique, le Nord de la planète et l'Amazonie. Ces images parcourent également le monde et sont présentées en parallèle au Musée de l'Elysée à Paris et à São Paulo, après avoir fait escale à Londres, Toronto, Rome et Rio de Janeiro.

Lélia Wanick Salgado assure le commissariat et la scénographie de l'exposition Genesis, projet soutenu par Vale. Pour l'exposition, le Musée de l'Elysée reçoit le soutien de Ferring Pharmaceuticals, Holdigaz SA, la Loterie Romande et PKB Privatbank.

 

www.amazonasimages.com
www.elysee.ch

 

 

 

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State

Radio Men Kontre, 95.5 FM, Soeur Mélianise Gabreus, Les Cayes. 2013 © Paolo Woods / Institute

 

 

 

« State »

Photographies de Paolo Woods

Du 20.09.2013 au 05.01.2014
Musée de l'Elysée
Avenue de l'Elysée 18
1014 Lausanne
Switzerland

En novembre 2010, Paolo Woods s'installe dans une ville du sud d'Haïti : Les Cayes. STATE est l'exposition qui relate cette expérience insulaire. Par son ambition, poétique autant que journalistique, elle tire la part universelle d'une aventure nationale qui nous concerne davantage qu'on ne le pense.

Le photographe canado-hollandais a travaillé sur le temps long, sur des thèmes qui s'étendent de l'industrie locale aux atermoiements des ONG, du monde foisonnant de la radio à la conquête du protestantisme américain. Au fil de ces recherches, la fragilité de l'Etat-nation haïtien est devenue le fil rouge d'une future exposition.

Haïti est une contradiction. Une nation particulièrement fière de son histoire unique, de sa langue, de sa culture singulière. Mais un Etat qui demeure souvent absent et presque toujours dysfonctionnel. STATE explore ces questions fondamentales : que se passe-t-il dans une société dont le gouvernement est inefficace et dont l'Etat échoue à fournir des services de base à sa population ? Comment un peuple se construit-il en dépit de cet échec reconduit ?

STATE rompt avec l'iconographie du désastre qui sert en général à illustrer Haïti. L'exposition part d'images qui disent l'ordre plutôt que le chaos, la comédie plutôt que la tragédie : les riches Haïtiens, l'émergence lente d'une classe moyenne, l'élaboration de corps alternatifs. Avec le journaliste et écrivain suisse Arnaud Robert, Paolo Woods décrit des dynamiques qui ont cours dans tous les pays en développement. Organisations internationales contre gouvernement local. Société civile contre pouvoir exécutif. Argent privé contre argent public.

L'exposition, qui présente en avant-première une soixantaine d'images réalisées entre 2010 et 2013, est produite par le Musée de l'Elysée. Elle s'accompagne de deux livres de Paolo Woods et Arnaud Robert, ÉTAT / STATE publié aux éditions Photosynthèses et Pèpè publié aux éditions Riverboom et le Musée de l'Elysée.

 

www.paolowoods.net
www.elysee.ch

 

 

 

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Et la lumière me suivait partout.

Photographie © Aurore de Sousa

 

 

 

« Et la lumière me suivait partout. »

Photographies de Aurore de Sousa

du 18 mai au 31 décembre 2013
Les Charmettes,
maison de Jean-Jacques Rousseau
890 Chemin des Charmettes,
73000 Chambéry

tous les jours sauf mardi et jours fériés de 10h à 12h et de 14h à 18h
(fermeture à 16h30 à partir du 15 octobre)
Pour la Nuit des musées, le 18 mai, la maison sera ouverte jusqu'à 23h
(fermé dimanche 19 mai le matin)
Parcours sonorisé par audioguides

Rousseau, Diderot et les arts. Pour le tricentenaire de la naissance de Diderot en 2013, l'exposition met en parallèle Diderot et Rousseau, autour des arts visuels et de la musique. Diderot a été l'un des premiers critiques d'art, il a commenté de nombreux tableaux exposés dans les premiers salons artistiques. Avant de devenir son adversaire, Rousseau a été son ami (c'est en lui rendant visite dans la prison de Vincennes, qu'il aura l'idée de son premier succès, le Discours sur les sciences et les arts), il a collaboré au grand projet de l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert par plus de 400 articles sur la musique, qui seront ensuite la matière de son Dictionnaire de musique publié en 1768.

Création contemporaine, en lien avec l'artothèque des musées : le travail photographique et sonore d'Aurore de Sousa Et la lumière me suivait partout... explore les notions de mémoire, de temps et d'espace, porte un regard sensible et poétique sur ce lieu, explore le rapport de la lumière, de la nature, et du son, autour du mot Variations de Rousseau et du bonheur des Rêveries.

 

www.auroredesousa.com
www.musees.chambery.fr

 

 

 

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Art-Tripping

 

 

 

« Art-Tripping »

Vente aux enchères

Le 8 décembre 2013
Chez Arc Point Trait
21 rue Sainte Geneviève,
Lyon 6 ème

Exposition publique : dimanche 8 décembre 2013 à partir de 11h
Ventes aux enchères : de 14 h à 16 h

Oeuvres présentées pendant le cycle Résonance Biennale d'art comtemporain de Lyon 2013 et pendant l'exposition Kiss and Fly 2013

Avec les oeuvres de :

Katherine Longly, Aurélie Dupin, Camille dolladile & Itzel Palomo, Michel Le Belhomme, Julia Fabry, Catherine Perrier, David Décamp, Marine Lanier, Nicolas Borderies, Yves Vranken, Lorenzo Papace, Xu Tian tian, Julien Malabry, Anne Sedel, Stephano Marchionni, Sandra Matamoros, Adrienne Arth, Séverine Coquelin, Arnaud Brihay, Arno Brignon, Eliot Delahaye, Remi Bec, Jonathan Deltour, Gaêtan Rossier, Camille Dolladille, Vincent Pacheco, Alexis Pazoumian, Mathieu Hubert, Steven Mazzola, Emy Martin, Johany Sapet, Sabine Serrad

Commissaire priseur habilité : Anthony Palais

 

www.art-tripping.com

 

 

 

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Arpenter

Photographie © Raphaël Chipault / Gilles Gerbaud

 

 

 

« Arpenter »

Exposition de Gilles Gerbaud et Raphaël Chipault

Du 7 au 20 décembre 2013
Galerie Françoise Paviot
57 rue Sainte Anne
75002 PARIS

Vernissage le 14 Décembre, de 17h à 20h en présence des artistes, avec une performance musicale de Laurence Vidil et ( sous réserve ) Yann Lemarchandà 18h

A la suite de l'exposition qui leur a été consacrée à l'Ecole nationale supérieure d'architecture de Paris - La Villette, Gilles Gerbaud et Raphaël Chipault présenteront images et dessins de la série ARPENTER accompagnée de l'installation de leur GRAND LIVRE.

Pendant la durée de l'exposition, le portfolio « ARPENTER » réalisé par Gilles Gerbaud et Raphaël Chipault sera disponible à la vente. Il est composé de trois impressions en bichromie Riso format A3 et son prix est de 25 euros.

 

www.gerbaud-chipault-expos.blogspot.fr
www.paviotfoto.com

 

 

 

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Journée du Photolivre de Fontainebleau

 

 

 

« Journée du Photolivre de Fontainebleau »

Édition 2013

Ouvert vendredi 6, samedi 7 et dimanche 8 décembre 2013 de 10h à 20h
Théâtre Municipal de Fontainebleau
6, rue Dénecourt
77 300 Fontainebleau

Ces dernières années, de nombreux salons ont présenté l'oeuvre de photographes, mais le livre de photographie qui reste pourtant le meilleur support du travail d'un photographe, n'est pas assez défendu. Depuis la publication en 2004 du premier tome de l'ouvrage du photographe anglais Martin Parr : Le livre de photographie, une histoire, une génération de collectionneurs a vu le jour et un marché mondial s'est créé, des côtes se sont établies.

Aujourd'hui, la ville de Fontainebleau nous accorde son aide et nous offre le cadre prestigieux du théâtre municipal pour organiser les Journées du photolivre pour la première fois entièrement consacrées à l'édition et à la collection de livres de photographie. Nous espérons que le nom de notre ville soit associé aux livres de photographie grâce à ces journées qui permettront au public d'assister à un colloque dirigé par Guy Mandery et articulé en trois journées.

 

www.photolivrefontainebleau.fr

 

 

 

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TALWEG

 

 

 

« TALWEG »

Transrevue - Pensées – Art contemporain


Deux lancements de la revue sont prévues à partir de 18h
Le 21 novembre au Syndicat Potentiel à Strasbourg
Le 12 décembre au FRAC Lorraine à Metz

TALWEG désigne la ligne d'intersection de deux pentes latérales d'une vallée, suivant laquelle se dirigent les eaux courantes.

TALWEG est une transrevue.

TALWEG ne possède aucune contrainte technique ni formelle pérenne. Format, papier, reliure, impression, forment un système architectural propre à chaque numéro.

TALWEG propose une réflexion sur la « ligne », considérée en tant que signe graphique, conceptuel, et porteuse d'imaginaire.

TALWEG est un laboratoire de recherche où se côtoient des propositions plastiques et théoriques, points de vue artistiques, littéraires et scientifiques.

TALWEG participe à une recherche initiée par l'anthropologue Tim Ingold dans son livre Une brève histoires des lignes (Éditions Zones sensibles, 2011)

TALWEG 01 regroupe 7 artistes contemporains.

L'ensemble du comité éditorial vient de sélectionner 7 projets.

Elise Alloin + Mickaël Gamio + Maud Guerche + Anne Heyvaert + Marine Lanier + Aurélie Mourier + Yannis Perez.

Deux lancements de la revue sont prévues

Le 21 novembre au Syndicat Potentiel à Strasbourg

Le 12 décembre au FRAC Lorraine à Metz

Pétrole Éditions sera également présent au festival Central Vapeur, les 7 et 8 décembre 2013 au Hall des Chars à Strasbourg.

La revue sera diffusée début 2014 en librairies spécialisées, centres d'art, bibliothèques, etc. en France, en Belgique et en Suisse.

 

www.petrole-editions.com

 

 

 

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D'un pont à l'autre - Koprüden koprüye

Photographie © Tristan Zilberman

 

 

 

« D'un pont à l'autre - Koprüden koprüye »

Photographies de Emine Akbucak et Tristan Zilberman

Du 21 novembre au 14 décembre 2013
Galerie "Od'A-Ouvroir d'Art"
Lycée Sainte Pulchérie
Çukurluçesme Sok.
No: 7 Parmakkapi
34433 Beyoglu / ISTANBUL

Emine Akbucak, penchée sur le pont, contemple l'eau et les alentours et nous propose une vision onirique. Tristan Zilberman retrace une séquence liée à la renaissance d'un pont, magnifiant au travers de ses images, l'aventure humaine et l'environnement. Au-delà d'une construction entre deux rives, deux lieux géographiques, le pont représente aussi le lien. En rapprochant les bords d'une brèche, il abolit une frontière, il permet la rencontre et l'échange. Symboliquement, il représente le passage.

 

www.mineakbucak.weebly.com
www.tristanzilberman.com
www.sp.k12.tr

 

 

 

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Danse avec elle

© Lisa Boniface

 

 

 

« Danse avec elle »

Photographies de Lisa Boniface

Du 8 novembre au 14 décembre 2013
Musée d'Art et dHistoire
9, rue de la République
Draguignan

Ouvert du mardi au samedi de 9h à 12h / 14h à 18h
04 98 10 26 85
entrée gratuite
Vernissage le vendredi 8 novembre à 18h

Exposition de photographies réalisées lors d'une représentation du spectacle de danse "Le réveil d'Isis" de Fabienne Courmont.
Corps, Mouvement et Lumière à l'honneur.
Saviez-vous que photographie signifie «écrire avec la lumière»?
Écrire avec la lumière.
Lumière. Indispensable. Et pas seulement en photographie. Jouer avec elle. Se laisser surprendre par elle. La chercher. La trouver là on ne s'y attend pas. Lui laisser raconter l'histoire.

 

www.photolisaboniface.overblog.com

 

 

 

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Développer votre regard à partir de l'œuvre photographique de Robert Adams

Robert Adams Edge of San Timoteo Canyon, looking toward Los Angeles, Redlands, California 1978 - Courtesy Yale University Art Gallery

 

 

 

« Développer votre regard à partir de l'œuvre photographique de Robert Adams »

Mini stages

12 octobre - 23 novembre - 14 décembre 2013 Samedi de 9:00 à 13:00
Lieu : Forêt de Saoû

50 € le mini-stage + adhésion

Premier cycle de trois mini-stages : "Jeux de ligne au détour des chemins"

C'est une formule très libre, vous pouvez participer à un ou plusieurs stages de votre choix par cycle.

Chaque stage s'appuie sur un thème défini d'après l'oeuvre d'un photographe contemporain. Le principe consiste à explorer ensemble ce thème durant le temps de prise de vue, de vous donner quelques consignes en début de séance, et de vous aider individuellement sur les difficultés que vous pourriez rencontrer sur le plan artistique et si besoin sur le plan technique.

A la suite du stage, vous envoyez par mail 5 photos de votre choix ; une semaine après, vous recevrez un bilan sur l'ensemble des cinq images et une analyse détaillée artistique par image.

 

www.labalancedesblancs.net

 

 

 

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Le second secret de Pénélope

© Harald Fernagu

 

 

 

« Le second secret de Pénélope »

Une exposition de Harald Fernagu

Du 8 septembre au 15 décembre 2013
Musée archéologique Théo Desplans
Site antique de Puymin
84110 Vaison-la-Romaine

Ouvert tous les jours
septembre : 9h30 - 18h30
octobre - novembre - décembre : 10h - 12h / 14h - 17h

Exposition présentée par l'association Les Petites Bobines et Supervues avec la complicité de Belisama archéologie dans le cadre du Projet Ulysses, itinéraire d'art contemporain conçu par le FRAC Provence-Alpes-Côte d'Azur.

 

www.haraldfernagu.com
www.vaison-la-romaine.com

 

 

 

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Le PRESQU'ABSTRAIT,PAYSAGES

© Sophie Hatier

 

 

 

« Le presqu'abstrait, paysages »

Photographies de Sophie Hatier

Du 29/09/2013 à fin novembre
Galerie Eric Linard
Le val des Nymphes
26700 La Garde Adhémar

Vernissage le 29/09 à partir de 11h
Horaires : du mardi au samedi de 14h à 18h

" je reste en plein air à cause de l'animal, du végétal, du minéral qui sont en moi" Henry David Thoreau

Drôme, Alpes de Haute Provence,Camargue, Big Sur sur la côte pacifique des Etats-Unis et côtes atlantiques françaises.

 

www.sophiehatier.com
www.ericlinardeditions.com

 

 

 

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La secrète

Photographie © Tristan Zilberman

 

 

 

« La secrète »

Photographies de Tristan Zilberman


Annexe de l'ancienne église Saint Jean-Baptiste
07400 Meysse

Cette exposition aura lieu le 28 septembre, dans le cadre de l'inauguration de l'ancienne église St Jean-Baptiste suite à sa restauration.
L'exposition sera prolongée et pour toutes infos contacté le mairie de Meysse.
Tel : 04 75 52 96 21

Saint-Jean-Baptiste « La secrète »

L'ancienne église Saint-Jean Baptiste, massée parmi un entrelacs de ruelles et de vieilles bâtisses, avait vécu les vicissitudes de l'histoire, subi les affres du temps, puis, était tombée en désuétude comme une étoile qui s'éteint.

Mais la vieille église, repliée sur ses murs, gardait pour elle ses secrets et les souvenirs de son passé prestigieux : ces temps anciens où elle accueillait les cérémonies de baptême autour de son baptistère...

Aujourd'hui, après une longue réhabilitation, SJB renaît. Son architecture remise en valeur, ses fresques rénovées, nous racontent à présent son histoire.

Fenêtres sur Saint-Jean-Baptiste

Lorsque Tristan Zilberman a entrepris de photographier l'ancienne église Saint-Jean Baptiste à la demande de la mairie, il s'est interrogé sur l'angle de vue le plus favorable, le plus original. Comment mettre en valeur ce monument avec si peu de recul, encastré dans son habitat villageois ? Comment lui donner vie par l'image sans tomber dans le cliché trop facile ?

La réponse s'est imposée à lui, lorsque, rôdant autour de l'église, il a rencontré les habitants du quartier : pourquoi ne pas restituer leur vision quotidienne, celle qui leur est la plus familière, c'est à dire, des vues depuis leurs fenêtres ? Ainsi, tel a été son parti pris.

 

www.tristanzilberman.com

 

 

 

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Quelques fadas et autres objets-sentiment

Objet sentiment, 2012

 

 

 

« Quelques fadas et autres objets-sentiment »

Installations d'Alexandre Perigot

Du 28 septembre au 7 décembre 2013
Galerie d'exposition du thêatre
Rue de la Recluse
07000 Privas

Entrée libre du mercredi au samedi de 15h à 18h
et les soirs de spectacle. Sur réservation pour les groupes scolaires
Renseignements : 09 70 65 01 15

vendredi 27 septembre à 18h30
à la galerie d'exposition du Théâtre de Privas
vernissage et conférence/performance
«LA MAISON DU FADA ET AUTRES OBJETS-SENTIMENT»

vendredi 15 novembre à 18h30
deuxième conférence
«LES PIEDS DANS LE RIDEAU»
Précédée à 17h d'une visite guidée-gourmande-dégustation

Alexandre Périgot emprunte aux mondes du cinéma, de l'architecture, du spectacle vivant, du sport, des jeux vidéos ou des médias les dimensions de temps réel et de direct. Il travaille à débusquer les signes de la spectacularisation de notre société. Le territoire de ses œuvres se situe dans la zone de turbulences à l'interface de l'espace social et de la constitution du moi singulier. Vigilant à la réalité du monde et à ses multiples manifestations dans notre société, il ne cesse d'être préoccupé par les mécanismes illusoires d'identification : comment se laisse-t-on séduire par l'apparence, en particulier celle qui façonne l'image de la célébrité ?

Après La Maison de Dalida, Graceland La maison d'Elvis, voici venu le temps de La Maison du Fada, Alexandre Perigot s'attèle ainsi à un des plus important geste architectural du XXème siècle et symbole du territoire : la Cité Radieuse du Corbusier.

La pluralité des vidéos d'Alexandre Périgot se concentre sur les comportements du corps : les œuvres ayant toutes en commun de s'intéresser aux constructions mentales et physiques. Lors de son travail avec les comédiens il pose la question du réflexe physique, du stéréotype : comment le corps réagit-il ? chutes et mouvements saccadés, déhanchements, effondrements, modélisation de nos gestes au quotidien.

 

www.alexandreperigot.com
www.theatredeprivas.com

 

 

 

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un automne finlandais

Photographie © Pentti Sammallahti

 

 

 

« un automne finlandais »

Photographies de Pentti Sammallahti

Exposition du 23 septembre au 29 novembre 2013
Galerie Domus
Campus de la Doua
31 rue Pierre de Coubertin
69100 Villeurbanne

Du lundi au jeudi de 9 h à 17 h – vendredi de 9 h à 16 h.

Né en 1950, Pentti Sammallahti est l'un des plus grands photographes finlandais actuels. Ancien enseignant à l'Université des Arts industriels d'Helsinki, Il pratique une photographie en noir et blanc, pleine de fraicheur, de blancheur, de froid. On pourrait le qualifier de photographe contemplatif. Certains de ses clichés sont de véritables peintures.

L'exposition met en lumière des oeuvres de Pentti Sammallahti, photographe finlandais récemment remarqué lors des rencontres d'Arles et avec le livre Ici au loin publié par Actes Sud à cette occasion. Ses photographies, petits tirages noir et blanc ou panoramiques aux nuances subtiles de gris, montrent avec délicatesse la beauté des paysages enneigés, calmes et silencieux. La photographie de Sammallahti est une sorte d'odyssée de l'espace écrite par un homme du Nord qui sait transformer chacune de ses visions en conte intemporel.

Biennale de Lyon 2013

Les photographies de Pentti Sammallahti sont de celles qui peuvent être universellement comprises, reçues, admirées et chaque présentation au public emporte l'adhésion, voire l'enthousiasme. (...) Son travail est virtuose, plein d'humanité et d'humour. Il étonne par sa qualité plastique et parle aussi bien au connaisseur qu'au profane.

Galerie Camera Obscura

 

www.galeriedomus.univ-lyon1.fr

 

 

 

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Présence(s) photographie - Montélimar 2013#0

 

 

 

« Eau du sud - Eau du nord »

Présence(s) photographie - Montélimar 2013#0

Du 22 novembre au 1er décembre 2013
Centre d'art Espace Chabrillan
127, rue Pierre Julien
26200 Montélimar

Hans SILVESTER invite trois photographes amis : Alain GUALINA, Henri KARTMAN et Stéphane LECAILLE, à croiser leurs regards sur le thème de l'eau dans le monde. Ils avaient déjà travaillé ensemble pour le 6éme Forum International de l'eau à Marseille en 2012.

On ne présente plus le photographe Hans SILVESTER, membre de l'agence RAPHO depuis 1965. Il est l'auteur de très nombreux livres et de publications, dans GEO en particulier. Très tôt il manifeste un amour pour la nature et les animaux et un grand souci pour l'écologie. Dès 1980, ses reportages sont marqués par son engagement écologiste.

Alain GUALINA a entamé dès 2000 un travail photographique sur l'eau couronné par un livre « Eloge de l'eau » publiè en 2007, préfacé par Danielle MITTERAND et rapidement épuisé.

Henri KARTMANN est photographe et plasticien. Il expose en France et à l'étranger (Espagne, USA, Russie...) et a publié en 2005 un ouvrage « Effet de serres ou l'esthétique des restes ».

Stéphane LECAILLE a appris au contact de photographes comme Alain GUALINA ou Sébastiao SALGADO combien la photographie pouvait donner à partager. Son travail rend plus particulièrement hommage aux femmes africaines, asiatiques ou indiennes dont la principale préoccupation est d'alimenter leur famille en eau.

Cette exposition centrale à Chabrillan sera accompagnée d'autres expositions dans la ville, de rencontres entre photographes et lycéens ainsi que de conférences. Cet évènement est organisé par l'association PRÉSENCE(S) PHOTOGRAPHIE.

 

www.presences-photographie.fr

 

 

 

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Mon Lieu Secret

photographie © Ernesto Timor

 

 

 

« Mon Lieu Secret »

photographies d'Ernesto Timor

du 12 au 30 novembre
La Passerelle / MJC Monplaisir (Lyon)
25 Avenue des Frères Lumière
69008 Lyon

Lundi au vendredi 9h - 21h30
Samedi 9h - 12h
Entrée libre

Vernissage le jeudi 14 novembre à 19h : signature du livre Mon lieu secret fraîchement paru aux éditions Libel.

Nuit Résonance le jeudi 28 novembre : ouverture exceptionnelle jusqu'à 22h, projection d'inédits du projet + des surprises !

Depuis plus de deux ans, le photographe Ernesto Timor va à la rencontre des Lyonnais(es) dans leurs « lieux secrets ». Chacun pose dans le décor qu'il s'est le mieux approprié, là où résonne l'écho le plus sincère. Les fragments visibles de la ville, présents dans chaque image, composent au fil de cette saga un portrait intime de Lyon vu par ses habitants.

 

www.ernestotimor.com/mon-lieu-secret
www.biennaledelyon.com

 

 

 

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Une renaissance himalayenne

Photographie © Tristan Zilberman

 

 

 

« Une renaissance himalayenne »

Photographies de Tristan zilberman

Du 3 septembre au 29 novembre
Salle des mariages
Mairie de Rochemaure
07400 Rochemaure

Horaires d'ouverture :
Lundi : 8h30 à 12h00
Mardi : 8h30 à 12h00 et 13h30 à 17h00
Mercredi : 8h30 à12h00
Jeudi : 8h30 à12h00
Vendredi : 8h30 à 12h00 et 13h30 à 16H00

Cette expo est une initiative de la commune de Rochemaure en Ardèche.

Elle est issue d'un reportage photo réalisé par la Fabrique de l'Image à l'occasion de la réhabilitions d'un ancien pont sur le Rhône.

Le vieux pont suspendu de Rochemaure, hors d'usage depuis des années, a été transformé en passerelle himalayenne et se trouvera sur le parcours de la Viarhona, la piste cyclable qui relie le Léman à la Méditerranée.

Le suivi photographique effectué sur 6 mois, a vu toutes les phases de la transformation de l'ouvrage et les étapes du chantier qui s'est déroulé parfois dans des conditions extrêmes.

Ce projet a également fait l'objet d'un ouvrage édité par la commune et intitulé « Renaissance Himalayenne »

 

www.fabrique-image.fr
www.rochemaure.fr

 

 

 

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Fantaisie potagère

Cyanotype © Théodora Rose

 

 

 

« Fantaisie potagère »

Exposition de Théodora Rose MONSSU et Véronique BOSSAN au festival du livre : Littérature et Gourmandises

Le 16 novembre 2013 de 14 à 19h et le 17 novembre 2013 de 10 à 18h
Salle des Cordeliers
Place Jules Nadi
26100 Romans sur Isère

Entrée libre

Des légumes fraîchement arrachés au jardin sont peints par Véronique Bossan puis photographiés. Les tirages photo emploient une technique remontant au 19°siècle appelée Cyanotype où le soleil agit comme révélateur de l'image.

 

www.romansaromans.blogspot.com

 

 

 

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Minimalistement

Photographie © Valérie Gondran

 

 

 

« Minimalistement »

Photographies de Valérie Gondran

Du 8 octobre au 16 novembre 2013
Artothèque municipale de Grenoble
Centre commercial Grand'Place
38000 Grenoble

Du mardi au samedi 12h-18h30

Valérie Gondran est auteur photographe et réside à Grenoble. Elle est diplômée de l'école nationale supérieure d'architecture de Grenoble. Sa formation auprès de grands photographes et professionnels, l'amène à développer une recherche personnelle en noir et blanc et en couleur. Elle s'attache à raconter de petites histoires, "déambulations photographiques" liées à des voyages ou à des parcours récurrents, volontairement énigmatiques et éclatées, afin que ceux qui les regardent puissent à leur tour imaginer leur propre récit. Ses tirages sont la plupart du temps des miniatures car l'intimité qu'elles génèrent est propice à cette reformulation narrative.

Valérie Gondran fait le choix de la proximité avec le sujet afin de donner à voir au plus intime le parcours en train de s'écrire en petits fragments des lieux traversés. Elle rend compte des paysages à travers les courants qui traversent sa conscience, sa pensée. Temps vécu, temps pressenti, temps à venir. Ses images restituent la rencontre entre son monologue intérieur et la couleur de chaque instant déposé.?Les images s'enchainent sans idée de suite. Les lieux semblent désertés, sans recours. L'homme n'est pratiquement jamais montré, mais il occupe l'espace, en soupçons, partout. Ce sont les objets, les paysages, l'architecture, les murs, les vitrines, les animaux, le religieux, la mort qui racontent l'histoire.

MinA Cairn

 

www.valeriegondran.fr
www.bm-grenoble.fr

 

 

 

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La réalité revisitée

Photographie © Michel Verna

 

 

 

« La réalité revisitée »

photographies de Michel Verna, Léo Bardy , Alain Floriat-Célixie et Bernadette Mercier

Du 4 au 16 novembre 2013
Galerie MONOD
16 , Rue d 'Ouessant
75015 Paris

Ouvert tous les jours de 13h30 à 18h30, sauf le dimanche.

Cinq photographes différents par leur thème et leur traitement de l'image vont participer à cette exposition qui sera spécialement consacrée à la photographie.

Michel Verna se présente comme un "portraitiste de l'invisible"...

 

www.galeriemonod.fr

 

 

 

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De Coeur et de Lumière. Cathédrale et églises troyennes

Photographie © Marie VIDAL

 

 

 

« De Coeur et de Lumière - Cathédrale et églises troyennes »

Photographies de Marie VIDAL

Du 10 octobre au 15 novembre 2013
Salle d'Exposition de BNP Paribas
53 rue du Général de Gaulle
10000 Troyes

Entrée libre - Du lundi au vendredi de 8h45 à 12h et de 13h30 à 17h30
Vernissage le jeudi 10 octobre 2013 à 18h30.

Un autre regard sur le patrimoine troyen.

Marie VIDAL expose une trentaine de photos noir et blanc, rarement présentées au public, pour certaines inédites, de la Cathédrale et des églises troyennes.

Marie dédicacera son ouvrage DE COEUR ET DE LUMIERE Cathédrale et églises troyennes aux Editions de la Maison du Boulanger.

Une photo intitulée : Voûtes de la Cathédrale Saint Pierre - Saint Paul de Troyes

sera présentée au format 98cm x 61cm. Cette photo est numérotée et signée à 10 exemplaires.

 

www.marievidal.com
www.marievidal.com/livre-coeur-lumiere

 

 

 

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Saint-Pierreville et alentours

Photographie © Jean-Pierre Bonfort

 

 

 

« Saint-Pierreville et alentours »

Photographies de Jean-Pierre Bonfort

3 octobre au 10 novembre 2013
La Fabrique du pont d'Aleyrac
Saint-Pierreville en Ardèche

vernissage le samedi 12 octobre à 17 h en présence de l'artiste

Jean Pierre Bonfort photographie à pied, à vélo, en train, en automobile.?Au Maroc, au Burkina Faso, en Amérique, en France. Montagnard et promeneur, il est aussi connaisseur et explorateur des techniques de production d'images.

De 1970 à 2002, il a utilisé les moyens traditionnels de la photographie argentique et réalisé de nombreuses images des paysages des montagnes alpines. Ses vues des rochers et des sapins sont devenues des « classiques » .

Depuis 2005 il a choisi de travailler avec l'appareil photo d'un modeste téléphone portable glissé dans sa poche. A partir de ces images qu'il « reçoit » n'ayant pas, dit-il, la sensation de les « prendre » et d'une imprimante de bureau, il compose des images?en couleur, raffinées, intemporelles. « Cette alchimie entre la prise de vue et le tirage permet d'obtenir une couleur approximative voire imaginaire et un rendu particulier?si bien qu'on ne sait plus très bien si l'on a à faire à du pastel, de la gravure, de la photo- graphie, du dessin ou de l'aquarelle ce qui fait aussi tout à fait mon affaire. »

De ses trajets en TGV entre Grenoble où il réside et Paris, il a rapporté « Traveling », une série de 90 paysages « arrêtés» entre 2001 et 2005. Avec le petit écran du téléphone, « on distingue plus qu'on ne voit ce qu'on fait et la photographie se fait un certain laps de temps après que l'on ait appuyé sur le déclencheur. Tout cela permet au hasard et à?la fantaisie de faire partie du jeu.. »

Les paysages de «Traveling» ont été montrés récemment au Nevada Museum of Art (Reno, USA), et le travail qu'il mène sur la Grande Guerre sera exposé en 2014 à la Bibliothèque Nationale de France.

L'exposition installée par l'artiste lui-même fait suite à différents séjours à la Fabrique du pont d'Aleyrac et présentera plusieurs aspects de son travail de paysagiste grâce aux prêts du collectionneur et également amateur de montagne Henry Bellan-Huchery. Avec ses images Jean-Pierre Bonfort aime fabriquer des livres, imprimés le plus souvent possible dans la région photographiée : à Reno, à Oujda, à Ouagadougou...

Le livre « Saint-Pierreville et alentours », comprenant 74 photographies, sortira pour l'exposition. Ce livre imprimé à 300 exemplaires chez Kallima à Antraigues-sur-Volane fera l'objet d'un tirage de tête de 20 exemplaires signés et numérotés avec un tirage original.

 

www.jeanpierrebonfort.com

 

 

 

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Irina Ionesco - Son monde et la mode

Photographie © Irina Ionesco

 

 

 

« Irina Ionesco - Son monde et la mode »

Photographies de Irina Ionesco

Exposition du 10 septembre au 09 novembre 2013.
GALERIE VRAIS R�VES
6 RUE DUMENGE
69004 - LYON (France)
TEL +33 (0)4 78 30 65 42
+33 (0)6 08 06 94 34

Ouverture mercredi à samedi de 15 à 19h
Vernissage le vendredi 13 mai de 16h30 à 21h.
Visite commentée de l'exposition le samedi 28 septembre à 17h (Entrée libre)

La 34ème saison commence avec cette exposition des photographies de mode de cette artiste hors normes. Elle est présentée dans le cadre de "Resonance" à la Biennale d'Art Contempotain de Lyon.

L'atmosphère qui se dégage des photographies d'Irina IONESCO, les mises en scène, les accumulations baroques voire orientalistes ramènent immédiatement à cette artiste hors du commun. On peut comprendre l'intérêt que présente une telle artiste pour des revues de mode. Irina Ionesco, tout comme Edward Steichen ou Man Ray dans les années 30, est une signature, un faire valoir incontestable pour elles. Seule ombre au tableau ces photographies sont seulement, si l'on peut dire, publiées et donc réservées à un public ciblé, intéressé par la mode. Lors d'une visite récente à Irina IONESCO nous avons découvert l'intérêt de ses travaux « mode » et décidé de les proposer à notre public de galerie. Cette exposition produite par la galerie Vrais Rêves sera dédiée uniquement à des oeuvres initialement publiées dans les plus grandes revues de mode, « Rebel », « Playboy », « Vogue Japon », « Dazed & Confused », « Mélissa Magazine », « Spoon », etc... Le résultat ? Des atmosphères très particulières, souvent excessives comme elle les aime... « La photographie est pour moi [écrivait Irina Ionesco] un élément essentiellement poétique, je l'envisage comme une écriture théâtrale, où je fixe dans un déroulement obsessionnel et incessant tous mes fantasmes. » (...) « J'aime l'excès, l'onirisme, l'insolite. Aussi, je fais mienne cette phrase de Baudelaire : «Dans l'art, il n'y a que le bizarre qui soit beau».

Nota : C'est près de 70 photographies noir et blanc ou couleur, en petit, moyen et grand format qui seront présentées dans cette exposition.

 

www.iionescophoto.tumblr.com
www.vraisreves.com

 

 

 

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Mémoire de nos campagnes, L'auvergne et L'aubrac

Photographie © Jacques Dubois

 

 

 

« Mémoire de nos campagnes, L'auvergne et L'aubrac »

Photographies de Jacques Dubois

Du 21 juin au 10 novembre
Face aux allées Georges Pompidou
15100 Saint-Flour

Exposition de photographies en plein air et grand format présentée par le Pays d'art et d'histoire du Pays de Saint-Flour.

« Les photographies de Jacques Dubois témoignent d'une terre et de ses hommes autant que d'un art et d'une âme. On y goûte l'eau, douce et vive, de son regard ; elle irrigue l'aride des paysages, polit l'abrupt des visages. Comme les galets qui sonnent pour l'éternité du chant des torrents, ces instantanés résonnent à nos oreilles du cri solaire des moissons, du tumulte des foirails et des vents des hautes terres, mais ils sont aussi un silence en mouvement qui font d'eux nos contemporains ».

Jacques DUBOIS a abordé la photographie au début des années trente, après avoir suivi les cours de l'École supérieure des Arts décoratifs de Paris. Menant une double carrière de graphiste et de photographe, il photographiera aussi bien les rues de Paris et de Londres que la province ou la Tunisie. De son travail naîtront plusieurs livres et expositions dédiés à l'Aubrac, à la Bretagne, à Versailles aux quatre saisons,ainsi que le célèbre Les Auvergnats, en collaboration avec son complice Robert Doisneau.

www.jacquesdubois.fr

 

 

 

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Rendez-vous 13

 

 

 

« Rendez-vous 13 »

Jeune création internationale

Du 10 septembre au 10 novembre 2013
Créée en 2002 grâce au soutien de la Région Rhône-Alpes, Rendez-vous, plateforme internationale dédiée à la jeune création, associe, de façon inédite en France, trois institutions : le Musée d'art contemporain de Lyon, l'Institut d'art contemporain, Villeurbanne/Rhône- Alpes et l'École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon.

Mathilde Barrio Nuevo, Sophie Bonnet Pourpet, Thibault Brunet, Jean-Alain Corre, Dan Finsel, André Fortino, Nikita Kadan, Karim Kal, Guillaume Louot, Paribartana Mohanty, Nicolas Momein, Nelly Monnier, Mathilde du Sordet, Hasan & Husain Essop, Paula Kraus, Charles Lim, Angelica Mesiti, Iz Öztat et Zi?an, Part-time Suite, Lu Yang

À l'Institut d'art contemporain, Villeurbanne/Rhône-Alpes, dans le cadre de la 12e Biennale de Lyon, l'édition 2013 rassemble vingt artistes des cinq continents dont dix issus de la région Rhône-Alpes, avec des projets inédits en peinture, sculpture, vidéo, installation...

Rendez-vous 13, dont l'identité graphique a été confiée à la graphiste Camille Garnier, assistée de Alaric Garnier et Anthony Kim, s'accompagnera d'un site internet et d'une publication.

 

www.i-ac.eu

 

 

 

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Tropical gift / Eaux vives, peaux mortes

Photographie © Christian Lutz

 

 

 

« Tropical gift / Eaux vives, peaux mortes »

Photographies de Christian Lutz et Alexandre Christiaens

Du 10 septembre au 9 novembre 2013 Venissage mardi 10 sept. à partir de 18h30 + Nuit de la photographie à partir de 21h
Le bleu du ciel
12, rue des fantasques
?69001 Lyon

ouverture du mercredi au samedi de 14h à 19h
sur Rendez-vous pour les groupes

Cette exposition regroupe deux corpus artistiques bien distincts, qui bien que conçus en des territoires différents, et dans des temps similaires, prennent tous deux leurs racines dans une observation documentaire de la réalité actuelle.

La première partie de l'exposition est consacrée a un essai photographique de Christian Lutz au Nigeria dans l'univers clos des protagonistes du monde des affaires liées au pétrole et au gaz. Son regard incisif révèle un sentiment malsain découlant de l'impact des intérêts économiques sur les populations civiles. Le photographe dresse un constat amer des rapports de forces inégales entre les dominants et les dominés et dépeint un tableau sombre de l'exploitation d'un sous sol africain trop riche.

Le travail d'Alexandre Chrisitaens, quant à lui, éveille aux émotions intenses chargées de mélancolie et de poésie. Cherchant à créer des liens entre territoires naturels, industriels,

urbains ou portuaires, le photographe nous transporte dans son épopée tel un Ulysse parti pour un long voyage.

Christian Lutz : "Tropical Gift"

Nigeria, 2010

L'oeuvre de Christian Lutz se situe à la lisière du reportage et du documentaire. Reportage

parce qu'il s'applique à couvrir consciencieusement des états actuels du monde, et documentaire parce qu'il inscrit cette démarche dans une vision globale. Il y décrit les rapports du pouvoir et de la politique à travers la serie « Protokoll » (montrée au Bleu du ciel en 2009), les rapports du pouvoir et de l'économique avec « Tropical Gift » et enfin ceux du pouvoir et du religieux

à travers « In Jesus' name ».

Le photographe a réuni ces trois ensembles dans une « trilogie » présentée au Musée de l'Elysée l'été dernier. Il y confirme l'engagement d'une vision qui, sans se placer dans une optique militante, aborde néanmoins des réalités socio-politiques de manière crue et sans concessions. Christian Lutz aime scénariser les sujets qu'il couvre en recréant une narration dans l'editing final afin de donner à sa sensibilité visuelle sa plus forte expression. « Tropical Gift » se présente donc comme un constat édifiant d'un aspect de la réalité nigériane actuelle où les pilleurs d'or noir en quête d'enrichissement démesuré, qu'ils soient étrangers ou autochtones, détruisent la faune et la flore proche des gisements de gaz et de pétrole, au mépris total de l'environnement humain. La photographie de Lutz confronte deux univers : celui des dominants dans leurs riches propriétés parfois entourées de barbelés, et celui de leurs victimes indirectes, délaissées au sein de paysages pollués ; s'affirmant avec autant de puissance et d' intransigeance que le ferait un discours

engagé. Véritable pensée visuelle en mouvement, elle se passe d'explications ou d'analyses a postériori ; se suffisant à elle-même. En témoignent ces portraits boulversants d' êtres abandonnés, saisis dans leur désarroi interrogateur et muet, au sein de ces territoires urbains défaits et noircis. Ces portraits suffisent à dénoncer, dans leur dépouillement magistral, toute l'injustice de leur condition.

Ce climat évoque parfois l'esprit du roman noir, si il ne relevait pas de la représentation brut d'une réalité triviale, bien au delà du désespoir.

Alexandre Christieans : "Eaux vives, peaux mortes"

2011

Alexandre Christiaens né en 1962 marie voyages et photographie, tant il bourlingue dans le monde entier par delà les mers et les frontières de Bilbao à Vladivostok en passant par Anvers, s'arrêtant parfois en résidence. Il cherche à créer des liens entre territoires naturels, industriels, portuaires ou urbains qui tissent peu à peu sa vision des choses, faite de mélancolie et de poésie

tantôt suggérées, tantôt aléatoires comme des peaux mortes qui se décollent, et d'où émerge

« sa » ligne d'horizon. Car c'est de la quête d'un horizon intérieur, dont se nourrissent ses images et son univers baigné dans un étrange silence, de ceux qui emportent l'adhésion.

Comme l'écrit Emmanuel d'Autreppe, « c'est un savant dosage, précisément ? ou plutôt une intense confrontation d'ordre et de désordre. Tout se joue dans la dualité de densité de la

matière et de légèreté des airs, d'obscurité et de lumière, ou encore, de profonds silences vis-à-vis de l'activité frénétique des hommes et des machines ».

« Mon axe principal est de mélanger ma collecte photographique, qui se réalise parfois de façon appliquée et réfléchie, parfois de façon hasardeuse. Ensuite, il s'agit de rassembler mes images et d'en écrire une histoire. Non pas la mienne, car même si je ne m'en exclus pas, mon travail n'est pas du tout autobiographique; ce sont plutôt des histoires du monde, des histoires de vies, de territoires, de formes, d'horizons et de regards portés que l'image raconte. »

 

www.lebleuduciel.net
www.lutzphoto.net
www.alexandrechristiaens.com

 

 

 

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Le Spleen de Chongqing

Photographie © Nicolas Joriot

 

 

 

« Le Spleen de Chongqing »

Photographies de Nicolas Joriot

Du 7 juillet au 9 novembre 2013
La Fabrique de l'Image
2, rue de l'Oratoire
07400 Meysse

Du mercredi au samedi
De 16h à 19h et sur rendez-vous
Vernissage le 19 avril à partir de 18h

17 ans après un premier voyage je suis retourné en mars 2013 dans cette ville de Chongqing à la poésie âpre et au spleen Rimbaldien, à la recherche de silence gris.

 

www.fabrique-image.fr

 

 

 

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La Galerie M I R A B I L I A sort de sa réserve...

Photographie © Jean-Luc Meysonnier

 

 

 

« La Galerie M I R A B I L I A sort de sa réserve... »

Exposition de groupe autour des oeuvres confiées à la galerie par les artistes

Du 05 octobre au 03 novembre 2013
Galerie MIRABILIA
Les Silhols,
07150 LAGORCE

Ouverture les samedis, dimanches et jours fériés et sur rendez-vous de 14h à 19h

Lecture-rencontre le dimanche 3 novembre à 15h autour du livre "Douceur", éditions Lanskine, 2013 avec Jacques Estager, poète et Jean-Luc Meyssonnier, photographe

Accès libre
Réservation par téléphone ou par mail:
04 75 88 12 79 / 06 81 09 27 79
info@galeriemirabilia.fr

Les oeuvres de:

Jean-Luc Meyssonnier et Christiane Sintès, photographes

Florent Chopin, Louis Cordesse, Sébastien Dartout, Marie-Noëlle Gonthier, Bertrand Henry, Anna Mark, Anne Moreau, René Moreu, peintres.

 

www.galeriemirabilia.fr

 

 

 

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Arpenter

Photographie © Gilles Gerbaud - Raphaël Chipault

 

 

 

« Arpenter »

Photographies de Gilles Gerbaud et Raphaël Chipault

Du 3 au 26 octobre
ENSAPLV
Ecole Nationale Supérieure d'Architecture de Paris La Villette (UP6)
144, avenue de Flandre
75019 Paris -

La salle d'exposition est ouverte au public tous les jours, sauf le dimanche, de 10h à 19h, samedi de 10h à 18h

Polygone de sustentation

Etat d'équilibre

Que regarde t-on ici ?

Quelle histoire est racontée ?

De vagues traits lumineux genre Kermesse avortée?

Un bout de banc vermoulu ?

Un gars qui court après son retard ?

Rien que du très banal tout ça !!!!

Eh bien oui; justement ! C'est bien ce foutu quotidien, cette crasse banalité que l'on va avoir sous le nez.

Ce quotidien qui exprime la fabrication, les traces de son exécution, les égarements les erreurs, les dysfonctionnements, les possibilités, les potentiels.

Nourrir son regard sur le quotidien. Le transposer.

Le regarder de travers en quelque sorte. Non plus avec défance mais avec bonhomie.

De là naîtra un sentiment de calme ou d'inquiétude.

Ce quotidien est proposé sous deux regards, qui viennent amicalement se chatouiller.

L'œil de Raphaël Chipault pourrait être celui d'un entomologiste. Il classe, répertorie, inspecte, fge. Une fgure, un cadrage pour mieux laisser s'épanouir l'objet à contempler. Il y a de la photo d'identité, de l'identifcation, du systématismé, de la méthode voire de la procédure dans le travail entrepris par Raphaël Chipault. L'inventaire à la Becher pourrait nous éclairer.

Tandis que Raphaël Chipault fge, Gilles Gerbaud joue le trublion, ne cessant d'insinuer le mouvement. Gilles Gerbaud clame, défend l'œuvre pour et dans la fabrication. Les deux pieds dedans.

De la banalité

L'objet usuel, bricolé, assemblé à la va comme j't'pousse est pris en référence. Le banc, la cabane deviennent des éléments exceptionnels et ne sont plus rétrécis à des objets fonctionnels. Ils sont incarnés. Ils racontent la main, le geste, la démerde, peut-être le rien à foutre mais aussi l'envie, le désir que ces objets existent. Ces clichés racontent aussi le temps qui s'est abattu sur eux. Leurs capacités d'évolutions. D'accepter le changement et de perdurer; cahin caha.

La photo vient sanctifer l'objet commode, a priori insignifant. Un second travail est entrepris, une autre couche. L'objet usuel est repris, redessiné, retravaillé, afn d'en tirer un suc, le jus de cette œuvre populaire. Incarnation d'une culture populaire, le banc maladroit, la cabane de guingois va titiller l'œuvre d'art.

Ce travail relève de la transposition puis de l'interprétation pour nous faire pénétrer dans l'histoire prétendue des objets.

De même, le tas, l'amas est un cas. Le cas est un potentiel, une opération en devenir.

Ces photos te projettent à l'extérieur. Vers ce que cela a été et ce qu'il peut en devenir. Le caractère conditionnel est mis en situation, saisit et in fne partagé.

De la fabrication

En créant ses propres outils, Gilles Gerbaud (pour les séries concernant les territoires en suspend) ou le couple Gerbaud-Chipault conquièrent l'image et interrogent les limites de la représentation. Il n'y pas de magie, d'effets ou de tromperie dans ce travail. Du refus de l'inscription dans un effet, de la création d'un décor, la mise en situation, l'immersion est de nouveau au centre du processus.

"Et par la même occasion, ne pas faire appel à l'interactivité avec le spectateur, ne pas légitimer les petites mécaniques visuelles qui satisferont facilement le consommateur culturel." Gilles Gerbaud

Les artefacts mis au point permettent à la fois une écriture et une lecture du territoire. Comme chez François Verret (chorégraphe et danseur contemporain), la fabrication de l'évènement est montrée, auscultée. Les outils exposés et discutés. Le parallèle a lieu inévitablement dans le rapport au corps, mais surtout dans la capacité à monter l'envers du décors: la fabrication est le support, le véhicule des sensations à partager.

Ici on vit, semble exprimer ces photographies. Le moment vécu est primordial quant à l'appréhension de ce travail.

"L'image convoque une relation physique à l'espace." Gilles Gerbaud

Ce travail haptique (de ce qui nous touche, de ce qui nous meut) réside dans la volonté de nous faire partager un moment vécu. De l'inscription du vécu sur le cliché nait un sentiment d'être présent. Vivre le regard, le sien, celui de l'autre.

La photographie réalise l'oxymore de la sensation de mouvement en le fxant. Le mouvement dans la statique; la prise de vue fge, le mouvement naît. De cette naissance une attraction, un vertige surprend; comme un abysse où le trou noir se mue en attraction, l'ivresse des profondeurs.

Le point m'hypnotise

La constellation m'éparpille

La ligne me guide

Le temps me manque

L'espace me suffit

Le vide m'attire

Édouard Levé, suicide, Paris 2008

Comme dans l'architecture, le mouvement est perpétuel, Plus que d'en faire le constat, elle abrite le changement, l'évolution, la précipitation, dans le sens des disciplines empiriques. Gilles Gerbaud et Raphaël Chipault proposent des dispositifs qui nous font goûter aux devenirs des espaces: traces lumineuses, cagettes, lettres, plaques de placo, corps, fgure. Nous sommes dans une préfguration d'un territoire: le lieu qui émane du territoire est saisi.

Faire exister l'invisible par les lignes défnies ou les masses, s'attacher aux arrêtes, à ce qui délimite et rend fuyant permet de se projeter, de vivre un devenir par procuration.

Entre les troubles et le burlesque

Il y a aussi de l'inquiétude, du trouble, des doutes dans ces photos; sans doute celui

du devenir, du moment où ça bascule. Peu de légèreté ou de joie surgissent de ces rapports à l'environnement, à l'image. Des présences fantomatiques qui partout errent dans des paysages désolés; soudain surgit un possible, une concaténation d'évènements lugubres ouvre soudainement le champ des possibles. Quelque chose existe; une présence est déterminée. Celle d'un changement à saisir. La présence fuctuante, éphémère et insaisissable se sédimente pour devenir et être à nos yeux de spectateur.

Le trouble est à l'image de cette lente introduction dans La Haine (Film de Mathieu Kassovitz, 1995) où règne une sérénité en opposition avec la fn connue. Cette tension intrigue et rend mal à l'aise.

C'est l'histoire d'un homme qui tombe

d'un immeuble de 50 étages.

Le mec au fur et à mesure de sa chute,

se répète sans cesse, pour se rassurer :

"Jusqu'ici, tout va bien."

"Jusqu'ici, tout va bien."

"Jusqu'ici, tout va bien."

Mais l'important, c'est? pas la chute...

C'est l'atterrissage...

Le vécu transmis par de faibles lignes ou masques comme le frmament de feux follets faisant exister, apparaître un paysage, fait naître le trouble et créer les légendes.

Le revers du trouble est le rire. Eclatement de rire après une peur, une émotion. La distance induite par l'approche de Raphaël Chipault et le sujet lui-même, convoque le burlesque. Tel Le coureur qui parcourt sans fn, sans but mais qui court. Une sorte de running à la Sisyphe. Telles ces lignes, ces lettres, toutes les scories lumineuses présentes dans la photographie qui deviennent le support à un imaginaire et laisse s'épanouir une histoire à demi-visible. Quelle fction suggère Pont, vallée de l'yonne (Joigny) : un pont habité? Des agrès pour trapézistes férus d'ouvrages d'art? Un refuge pour automobilistes exténués? Un ascenseur pour explorer les entrailles des terres?

Le duo de photographes fait goûter aux potentiels des lieux dans son travail; lieux qu'il fait tout d'abord exister et dont il explore ensuite une mise en imaginaire saisie par le cliché.

Ce travail requiert de s'avancer sur le chemin pour découvrir l'histoire qui est contée. La photographie convoque l'immersion, pour échapper à sa seule représentation. La recherche de la sensation, pas celle qui se donne mais celle qui s'acquiert.

Les photos ne sont pas des instantanés contemplatifs, de longs moments de pause saisissant le mouvement, la mue, mais des moments vécus, des cadres d'actions, un terrain de jeu, un lieu d'actions suspendu dans le temps. Le moment où tout est en équilibre juste avant de retomber et de se rattraper. Ces clichés deviennent le polygone de sustentation où tout se fabrique.

Dimitri Messu

 

www.gerbaud-chipault-expos.blogspot.fr
www.paris-lavillette.archi.fr

 

 

 

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Moi mon foulard

Photographie © Bernard Duffour

 

 

 

« Moi mon foulard »

Photographies Bernard Duffour - Textes Monique Domergue

Du 14 au 25 octobre 2013 Vernissage le Lundi 14 Octobre 18h30
Centre Socio-culturel de Koenigshoffen,
41 rue Virgile
67000 STRASBOURG

Renseignements: 03 88 28 49 71

Exposition réalisée avec les témoignages de dix habitants de Romans (26) sur le pourquoi et le comment ils portent leur foulard.

Le Festival International 2012 Romans-sur-Isère (26 Drôme) a eu pour thème « Modes et Identités »

...en m'habillant, je définis qui je suis: dans le monde, dans mon pays, dans ma ville, dans mon quartier, mais aussi dans mon époque, mon genre, ma fonction...

Eléments de confort de notre quotidien, les voiles, foulards, étoles, fichus... sont aussi des vecteurs de nos identités culturelles, religieuses, ethniques....

Avec le concours de la Maison de Quartier COLUCHE , Monique Domergue, écrivain , et Bernard Duffour, photographe ont reçu les témoignages d'habitants d'origines et de cultures diverses sur la manière dont ils portent ce morceau de tissu et ce qu'il représente pour eux.

Dix textes, dix photos, dix fragments de vie qui rendent compte de la diversité et de la richesse des habitants d'un quartier comme tant d'autres et qui sont restitués sous la forme d'une exposition itinérante.

"Avec un morceau de tissus, certains se couvrent, moi je me découvre"

L'exposition est présentée dans le cadre de la "Discriminer est un délit, semaine de l'égalité" de Strasbourg

 

www.bernard-duffour.book.fr
www.jskoenigshoffen.asso.fr

 

 

 

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Jours intranquilles

Photographie © Bruno Boudjelal

 

 

 

« Jours intranquilles »

Photographies de Bruno Boudjelal

Du 9 au 27 octobre
La friche belle de mai
Tour Panorama 3 éme étages
41, rue Jobin
12, rue F. Simon
13003 Marseille

Du mardi au dimanche de 13h à 19h - jusqu'à 22h le vendredi
Tarif 6 € - Réduit 3 €

Français d'origine algérienne, Bruno Boudjelal découvre l'Algérie des années 90, poussé par la nécessité de rencontrer les terres natales de son père, figure presque inconnue. De ce projet intime qui l'emmène dans un pays en pleine guerre, surgit sa pratique photographique. A la quête identitaire se superpose très vite un regard documentaire. Images prises à la dérobée, floutées, tremblées, regards souvent décadrés, autant d'éléments qui vont progressivement forger un mode et un style photographiques très personnels.

Jours Intranquilles relate dix années d'exploration d'un pays en proie à la violence, la rencontre avec sa famille paternelle mais aussi avec sa propre histoire et sa double culture. Voyages essentiels pour comprendre également la trajectoire d'un père et des tranches de vie tues jusqu'alors. Pour aller «au-delà d'un brouillage du réel», il faudra des années d'allers-retours entre les rives de la Méditerranée, entre l'autobiographie et la photographie.

 

www.agencevu.com
www.lesrencontresalechelle.com

 

 

 

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La Colline

Photo © Christine Smilovici

 

 

 

« La Colline »

Photographies de Christine Smilovici

Du 02/10/13 au 30/10/13
Chez Maguelone L'ANTRE AUTRE
11, rue Terme
69001 LYON

Du mardi au samedi, de 11h30 à 23h00.

« J'avais pris le parti de faire disparaître quelque chose de mauvais, un chaudron de sorcière rempli à ras bord d'une mixture fumante de refus, de bris et d'outrages et il n'y avait personne, pas de raison, de chimère qui réussisse à me persuader que je n'avais pas bien fait. Je me rasseyais. Je sentais de nouveau la terre sous moi, le tronc de l'arbre entre les omoplates puis je les sentais de moins en moins. Je ne distinguais plus ce qui était os et peau de ce qui était écorce et bois. J'enserrais les genoux avec les bras et je faisais face à l'obscurité, celle qu'il y a dedans, mais je ne discernais plus de celle qui régnait dehors, où les cohortes des chimères se reformaient pour m'assaillir, me faire lever. »

Pierre Bergounioux, L'Orphelin.

Tournon-sur-Rhône, colline de Pierres, hameau de Bombrun, 18 juin 2011, après 18 heures. Une jeune voisine ne revient pas de sa course quotidienne. Son corps est retrouvé trois jours plus tard dans une fosse, au nord de la colline, dans la zone dite des « Fourches ». Méconnaissable, démembré, incomplet, en partie carbonisé, recouvert de pierres et de branchages.

Le projet photographique La Colline est né de cet impensable. Il raconte le difficile parcours d'un deuil individuel et collectif et de la nécessaire résilience. Comment poursuivre la vie dans un lieu dévasté par un drame humain de cette espèce ? Comment la perception des lieux peut-elle s'inverser, transformant un espace naturel initial paradisiaque en un espace hostile, habité par l'imaginaire de l'horreur, de la violence gratuite, de la mort soufferte, de la peur aussi pour soi et pour ceux qui restent ?

Combien de fois ne pas souhaiter sortir de ce cauchemar ? Combien de fois ne pas imaginer voir l'enfant apparaître à nouveau, comme si rien n'avait été, dans ce paysage qui avait été le sien et qui devait encore être le nôtre ?

Pendant un an, je me suis imposée de réinvestir les lieux dévastés. Chaque déplacement gardait sa trace par une photo et un ancrage sur la carte de la colline. Le deuil passait ainsi par l'affirmation de l'indispensable réappropriation de l'espace, contre la mort.

Christine Smilovici

 

www.chsmilovici.unblog.fr
www.lantreautre.fr

 

 

 

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Fontaines noctures - serie I - Château de Versailles

Photographie © Mercedes Parodi

 

 

 

« Fontaines noctures - serie I - Château de Versailles »

Photographies de Mercedes Parodi

Du 1er au 26 octobre 2013
La Fontaine Obscure - Espace Photographique Galerie,
24 av. Henri Poncet,
13090 Aix-en-Provence

Vernissage le mercredi 2 octobre à 18h30
Ouvert tous les jours sauf le lundi, dimanche et jours fériés de 15h à 19h et de 10h-12h le samedi matin
Entrée libre

Britannique d'origine et francophile depuis toujours, Mercedes Parodi, artiste photographe, tire son inspiration dans l'universalité de la vision du Roi Soleil.

A travers cette série, l'auteur nous invite dans un univers abstrait et spectaculaire avec pour toile de fond les fabuleuses fontaines de Versailles.

L'imagerie intuitive évolue de fontaine en fontaine, basculant du graphique à l'électrique tout en évoquant l'éphémère.

Au final, l'artiste accompagne le public vers une perception de l'eau infusée d'énergie cosmique ... une référence symbolique à la magnitude créative de Versailles et la pensée conceptuelle de son Roi.

L'immersion totale de Mercedes Parodi dans le sujet et sa démarche spontanée livrent une abstraction dynamique du spectacle des "Grandes Eaux Nocturnes" et donne à imaginer la suite céleste en devenir.

 

www.fontaine-obscure.com

 

 

 

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Ultra-réalité

 

 

 

« Ultra-réalité »

Art-tripping, Résonance, Biennale d'Art Contemporain de Lyon

Du 8 octobre 2013 au 26 octobre 2013
Mairie du 1er arrondissement,
2 place Sathonay,
69001 Lyon.

Vernissage : mardi 8 octobre 2013
Horaires : 14h à 19h en semaine / 9h à 12h le samedi

Naturellement, les voyages autour du monde ne sont pas aussi agréables qu'ils ne paraissent. C'est seulement quand vous avez fuit toute cette horreur et toute cette chaleur que vous vous souvenez des scènes étranges que vous avez vues. - Kerouac

La salle d'exposition de la mairie du 1er reçoit le deuxième volet de la trilogie proposée cette année. Art-Tripping présente le voyage dans sa version choc au travers du regard de 8 artistes : perceptions subjectives d'une réalité crue qui confronte nos références. Les partis pris des œuvres montrées ici sont autant de regards témoins d'un monde qui oscille entre modernité et traditionalité.

Artistes : Julien Malabry (photographie), Lorenzo PAPACE (photographie), Marine LANIER (photographie), Nicolas BORDERIES (aquarelle), Tiantian XU (dessin), Yves VRANKEN (photographie), Zhenchen XU (vidéo)

 

www.art-tripping.com
www.biennaledelyon.com

 

 

 

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Exposition de Noël

 

 

 

« Exposition de Noël »

Appel à canditature

Date limite de réception des dossiers (cachet de la poste faisant foi) 26 octobre 2013
Le dossier d'inscription devra être retourné dûment complété à l'adresse suivante :

MAGASIN – CNAC
Site Bouchayer-Viallet
155 cours Berriat
38028 Grenoble Cedex 1

Le MAGASIN – Centre National d'Art Contemporain de Grenoble organise la septième édition de son Exposition de Noël, qui aura lieu du 1er au 29 décembre 2013.

Les artistes ayant un lien avec la région Rhône-Alpes (qui y sont nés, qui y ont étudié, ou qui y vivent et travaillent) sont invités à participer, indépendamment de leur âge ou de leur pratique artistique.

PROCÉDURE DE SÉLECTION Un jury de professionnels de l'art contemporain (renouvelé chaque année) est chargé de sélectionner un nombre indéterminé d'artistes parmi les participants et de rassembler leurs oeuvres pour une exposition de quatre semaines à l'Ancien Musée de Peinture de Grenoble. Le prix de la Ville de Grenoble et le prix Edouard Barbe seront attribués à deux des artistes sélectionnés le soir du vernissage, le samedi 30 novembre 2013 à 18h30.

POUR PARTICIPER Le dossier d'inscription et les conditions de participation sont téléchargeables ci-dessous, ou disponible sur demande à Estelle Nabeyrat, e.nabeyrat@magasin-cnac.org

Il devra être accompagné d'un dossier artistique contenant un texte explicatif sur le travail de l'artiste et une documentation papier sur chaque oeuvre présentée (une à trois oeuvres maximum).?

 

www.expositiondenoel.com
Dossier d'inscription

 

 

 

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Regards posés : Les hammams de la Médina de Tunis

Photographie © Pascal Meunier

 

 

 

« Regards posés : Les hammams de la Médina de Tunis »

Appel à canditature

DATE LIMITE : 12 OCTOBRE 2013

Les hammams de la médina de Tunis, un bien universel en péril.

Souvent inaccessibles aux photographes, les hammams de Tunis sont d'une richesse spatiale et humaine extraordinaire, lieux de l'intime, du mythe et des rituels. L'association L'mdina Wel Rabtine (Actions citoyennes en médina), en coopération avec la Maison de l'Image, invite les photographes à poser leurs regards sur les hammams de la Médina de Tunis à travers un projet photographique original. Ce projet offrira un accès inédit à des photographes intéressés par cet univers mystérieux afin de leur permettre d'expérimenter de nouvelles représentations et de poser des regards neufs sur ces lieux en péril. L'association souhaite encourager une vision nouvelle de ces espaces singuliers, aussi bien dans leurs dimensions matérielles qu'immatérielles, afin d'étoffer la faible iconographie des bains de Tunis et contribuer ainsi à une plus grande préservation de ce patrimoine.

Equipements publics structurants du cœur historique de Tunis, les hammams constituent des espaces singuliers de repos, de rencontre, de fête et de propreté. Ils font partie intégrante de la vie et de l'histoire de chaque quartier et faubourg de la médina. La dégradation accélérée des centres patrimoniaux en Tunisie, la perte progressive de l'usage des hammams ainsi que les contraintes financières inhérentes à leur fonctionnement en font aujourd'hui des ensembles particulièrement fragiles et menacés. Les missions de terrain effectuées par l'association dans le cadre du projet « ainek al hammam » ont permis de se rendre compte que sur les 43 hammams relevés an 1840 par le service d'imposition, près du tiers des établissements sont fermés, rasés ou en ruine. D'autres ont été lourdement réaménagés ou défigurés.

Objectifs du projet photographique.

La projet photographique « Regards posés » a pour objet de dresser un état des lieux, à travers une approche à la fois documentaire, citoyenne et artistique pouvant couvrir toutes les facettes et les richesses de ces hauts lieux du patrimoine tunisien. Les travaux photographiques constitueront un fonds précieux et alimenteront le plaidoyer mené par l'association pour aider à leur préservation.

Les travaux des photographes sélectionnés seront promus par l'association dans le cadre d'une exposition et d'une publication. Une partie des œuvres produites aura également vocation à intégrer le fond documentaire de l'association selon des termes qui seront fixés avec les auteurs.

 

www.associationmedinatunis.org
appel à canditature

 

 

 

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Rencontres photographiques du Prieuré 2013

Photographie © Monika Ruiz B.

 

 

 

« Rencontres photographiques du Prieuré 2013 »

Salaise sur Sanne

Du 11 au 13 octobre 2013
Salaise sur Sanne

C'est dans un site remarquable que le photo-club Salaisien propose ses 4èmes rencontres photographiques. En effet depuis la réhabilitation de ce nouveau lieu culturel en Rhône Alpes, le Prieuré, le photo-club salaisien, créé il y a plus de 40 ans, propose un temps fort photographique basé sur la découverte de nouveaux créateurs d'images.

Les rencontres photographiques sont organisées depuis 2007 en partenariat avec la ville de Salaise sur Sanne. Cette biennale propose de faire découvrir des photographes à travers une série d'images cohérentes représentatives de leur travail. En 2011, le club a été la première association locale à exposer également dans la maison du Prieur, fraîchement rénovée. Ainsi les photographies d'artistes contemporains ont eu pour écrin des peintures murales du Moyen-âge.

Après des invités prestigieux comme Yann de Fareins et Michel Guigue, Béatrice Collot, Sophie Gotti, Aurélie Lamour et Marine Lanier de nouveaux photographes talentueux sont attendus pour nous présenter leur univers.

Au programme cet automne Patrick Caloz, Monika Ruiz B., Patrick Ageneau, Joris Kiredjian et les photographes du club.

 

www.photoclubsalaise.fr

 

 

 

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...Et au bout du voyage, je me suis reposée

Photographie © Marie VIDAL

 

 

 

« ...Et au bout du voyage, je me suis reposée »

Photographies de Marie Vidal

Exposition du 14 septembre au 13 octobre 2013
Abbaye de Fontfroide
RD 613
11100 Narbonne
info@fontfroide.com ou 04 68 45 11 08

De 10h à 17h30 et pendant les visites guidées de l'Abbaye.
Vernissage le vendredi 13 septembre 2013 à 16h30, Salle du Cellier

Dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine Marie VIDAL sera présente samedi 14 et dimanche 15 septembre 2013. Elle met en scène une trentaine de photographies noir et blanc de l'Abbaye de Fontfroide tirées par elle même sur papier Baryté.

L'Abbaye de Fontfroide, est un site incontournable de l'Aude et du Pays 'Cathare', à quelques kilomètres de Narbonne. Il s'agit de l'un des monuments cisterciens les mieux conservés en France.

Fondée à la fin du XIème siècle par des moines bénédictins, Fontfroide se rattache à l'ordre cistercien en 1145. Devenue privée en 1908, l'abbaye accueille tout au long de l'année de nombreuses manifestations culturelles.

Marie VIDAL une Auteure Photographe Artiste. Elle crée, seule, chaque année ses projets et expositions, de l'idée à la réalisation. Marie VIDAL peu affectée par les effets de mode trouve en elle la singularité qui caractérise une oeuvre. L'Abbaye de Fontfroide favorise cette lecture intérieure.

 

www.marievidal.com
www.fontfroide.com

 

 

 

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Projections

 

 

 

« Projections »

Photographies de Jérôme Cabanel présentées sous forme de montages sonores

Le vendredi 4 et le samedi 5 octobre de 18 h à 2 h
Au Petit Longchamp
135 rue Consolat
13001 Marseille
04 86 12 54 05

Entrée libre

Dans le cadre du festival Portes Ouvertes Consolat 2013, Jérôme Cabanel projette des photographies qui ont été réalisées dans le cadre de commandes ou de travaux personnels. Ces images seront présentées sous forme de neuf montages sonores sur deux grands écrans. Vous pourrez ainsi découvrir les sujets suivants : Sud, Les bâtisseurs, L'amour Foot, Planète Mars, Le Marseille de Robert Guédiguian, Vision de Chantiers 1 et 2, Palais des Sports de Toulon, et Marseille vue des Grues. La soirée sera agrémentée par les vidéos numériques du plasticien Alpha. Le tout étant diffusé en quasi continu entrecoupé par les mix de Jean Michel.

 

www.cabanelphoto.com

 

 

 

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Exposition Guillaume BIJL

 

 

 

« Exposition Guillaume BIJL »

Du 6 juillet au 6 octobre 2013
Château des Adhémars
26200 Montélimar

Visites de 10h à 18h en juillet et août
Et de 10h à 12h30 et de 14h à 18h en septembre et octobre
TARIFS
plein tarif 3,50 € / tarif réduit 2,50 €
Groupes scolaires selon projet
(Gratuité pour moins de 18 ans, étudiants, titulaires de la Carte 3 Châteaux).

Guillaume Bijl est une figure majeure de l'art contemporain de la seconde moitié du 20e s. : créateur d'installations spectaculaires qui dénoncent de manière sarcastique le monde de l'art et son économie, il a développé un propos engagé autour de l'absurde, du tragicomique, via l'appropriation de sites artistiques qu'il détourne à des fins utilitaires. Questionnant la rentabilité de l'art nécessaire à sa survie, il investit depuis la fin des années 1970 les lieux d'exposition (centres d'art, musées, galeries..) où il reconstitue minutieusement des espaces sociaux et commerciaux de la société marchande (clinique psychiatrique, casino, gymnase, magasins de vêtements ou de luminaires, plateau de télévision, laverie automatique, salon de coiffure).

Sa première installation est une auto-école mise dans la galerie Ruimte Z à Anvers, inaugurée le 20 avril 1979 et accompagnée d'un manifeste demandant l'abolition des centres d'art contemporain qu'il considère inutiles économiquement parlant, et leur transformation en espaces utilitaires. Guillaume Bijl installera également une friterie dans le Centre culturel de Berchem (1983), un supermarché dans la galerie Littmann (1990), puis un abri antiatomique, une salle de billard, une présentation d'un nouveau parti politique...

S'adaptant à l'aire dans laquelle il intervient, il crée ces simulacres qu'il conçoit comme le décor de son temps et explore les limites entre l'art et la réalité ociale en puisant son inspiration dans le quotidien proche. Les éléments banals, souvent triviaux, constituent un point de départ pour son oeuvre. Dans la continuité de Marcel Duchamp, il réalise aussi des "compositions rouvées", fragments de réel sortis de leur contexte interrogeant la notion de décoratif. A Montélimar, dans ce site historique à vocation culturelle, le créateur « plantera le décor ». Théâtralisant le réel, Guillaume Bijl dévoilera chaque espace avec des mises en scène révélatrices d'un fonctionnalisme poussé à son paroxysme. Inoculant de l'irréel avec des images trompeuses, des personnages téléportés, des histoires inventées, il proposera des saynettes à l'échelle du lieu. "The Concise History of Prehistoric Man", "Lederhosen museum" ou "Dino Eggs" offriront une immersion dans des moments historiques : de la découverte du feu à la sacralisation du folklore autrichien, de l'ère des dinosaures à celle du kitsch et de la sculpture antique. Introduisant des objets réels dans des situations créées de toutes pièces, Guillaume Bijl mènera en bateau le visiteur dans une dimension nouvelle mais ancrée dans une temporalité résolument contemporaine : celle d'un discours fort car à la fois critique et comique. « Guillaume Bijl ne crée pas l'illusion d'une réalité, mais rend manifeste le caractère illusoire de la réalité ».

Collaborations S.M.A.K, Gand ; MUHKA Anvers ; Galerie Guy Pieters, Knokke.

Eléments biographiques

Né à Anvers en 1946, Guillaume Bijl est un artiste belge reconnu sur la scène internationale. Il a exposé dans les plus grands lieux. En Rhône-Alpes, il a présenté « les Nonnes de Bruges » à la Biennale d'art contemporain de Lyon en 2011. Sa dernière exposition monographique en France remonte à 1995, au château d'Oiron. En 2013, il participera à la Biennale d'Istanbul et à de grands évènements à Pékin et Cologne. Ses oeuvres font partie des plus grandes collections publiques et notamment : le CNAC Georges Pompidou à Paris ; le Musée d'Art Contemporain de Lyon ; le château d'Oiron ; le Fnac à Paris ; le Musée d'Art Contemporain de Montréal ; le S.M.A.K de Gand ; le Vlaams Parlement de Bruxelles ; le MUKHA d'Anvers ; le Goldberg Collection de New-York ; le Ludwig Museum de Cologne ; le MOCA, de Los Angeles.?Il est représenté par deux galeries: Gabrielle Maubrie (Paris), Guy Pieters (Knokke et Saint-Paul-de-Vence

 

www.guillaumebijl.be
Château des Adhémar

 

 

 

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Couleurs Plossu

Photographie © Bernard Plossu, « Ardèche, France, 2010 »

 

 

 

« Couleurs Plossu »

Photographies de Bernard Plossu

Du 28 juin au 6 octobre 2013
Pavillon Populaire
Esplanade Charles-De-Gaulle
34000 Montpellier
Tél. : 04 67 66 13 46

Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 13h et de 14h à 19h
Entrée libre

Couleurs Plossu Séquences photographiques 1956-2013

À travers près de deux cent quarante images, l'exposition « Couleurs Plossu - Séquences photographiques, 1956-2013 » réunit pour la première fois un corpus exceptionnel et inédit de l'oeuvre d'un des plus célèbres photographes français : Bernard Plossu.

Elle développe ainsi sur les deux étages du Pavillon Populaire toutes les facettes et tous les usages du médium photographique couleur que celui-ci a développé au fil de ses voyages sur les routes d'Europe comme d'Amérique. Car il a toujours regardé le monde en couleur, de ses premières photographies en amateur au Brownie Flash dans le Paris de la fin des années 1950 à ses clichés à l'objectif de 50 mm sur boîtier Nikkormat au Mexique et au Nouveau- Mexique durant les décennies 1965-1985, en passant par sa pratique des appareils jouets (Agfamatic, Instamatic, panoramique Prestinox) des années 1990-2010 qui l'on rendu célèbre.

Et ce foisonnement d'images de toute nature révèle d'autant mieux son goût pour l'expérimentation, sa curiosité insatiable, ses références à l'histoire de la photographie contemporaine comme à l'histoire de l'art moderne - du cubisme d'un Georges Braque à l'abstraction d'un Piet Mondrian, en passant par la métaphysique de Giorgio Morandi ou l'expressionnisme d'Ernst Ludwig Kirchner -, et surtout l'incroyable modernité d'un ?il toujours aux aguets.

Marc DONNADIEU Commissaire d'exposition

Descriptif de l'exposition Rassemblant près de 240 épreuves fressons, argentiques ou numériques, l'exposition « Couleurs Plossu - Séquences photographiques, 1956-2013 » réunit pour la première fois un corpus exceptionnel et inédit de son oeuvre photographique : son travail, en couleur. Elle s'attache également à toutes les facettes et tous les usages du médium photographique développés par Bernard Plossu tout au long de sa carrière. L'exposition se déploie sur les deux étages du Pavillon Populaire selon cinq sections. Au rez- de-chaussée, un vaste espace central réunit sur une seule ligne une soixantaine de tirages Fresson, pour la plupart inédits, comme autant de moments suspendus dans l'espace et dans le temps : situations trouvées, objets perdus, moments poétiques, contrastes visuels et sonorités plastiques s'entrechoquent ou se répondent à l'instar d'une véritable mélodie colorée qui se moquerait des lieux et des dates pour mieux nous émerveiller et nous enchanter.

De chaque côté, sont rassemblées plusieurs séries d'expérimentations photographiques qui révèlent toutes les facettes et tous les usages du médium photographique couleur par Bernard Plossu, depuis ses premières photographies dans le Paris des années 1950-1960 à sa pratique des appareils jouets (Agfamatic, Instamatic, panoramique Prestinox) des années 1990-2010. Plusieurs séries inédites ou oubliées seront ainsi présentées : une foire du Trône aux accents néo-réalistes datant des 1967-1968, une série de robes saisies au bord de la Mer de glace selon un regard tout à la fois conceptuel et ironique en 1976, un Salzburg presque immobilisé par la lumière en 1993, une Almeria métaphysique des années 2004-2005, une virée nocturne à Charleroi en 2011... À l'étage, s'installent deux séries complémentaires relatives aux nombreux voyages de Bernard Plossu. D'un côté, à travers près de soixante images, une surprenante traversée des paysages européens où la France se révèle cubiste, l'Italie graphique ou métaphysique, la Belgique sensible et brumeuse... De l'autre, une cinquantaine d'images de ses road-movies américains des années 1965-1985, du Mexique au Nouveau-Mexique en passant par une Californie aux accents hippies.

Bernard Plossu - Biographies

Né en 1945 au Sud Viêt Nam, c'est à Paris que Bernard Plossu passe toute son enfance et son adolescence. Il y fréquente la Cinémathèque et se passionne pour les films de la Nouvelle Vague française ou du Néo-réalisme italien. En 1958, son père l'emmène au Sahara - voyage séminal - ; il y fera ses premières photographies au Brownie Flash. En 1965, il part pour le Mexique pour filmer les indiens Lacandons au Chiapas, puis traverse la frontière sur la route des beatniks qui campent alors de Big Sur à Haight-Ashbury, mais également à la rencontre des Anasazis. Entre l'Ouest américain et la France s'affirme peu à peu une esthétique du regard dont la sensibilité, la poésie et l'empathie le placent à l'écart de tous les usages photographiques pratiqués à cette époque aux États-Unis comme en Europe. En 1970, deuxième voyage initiatique, il part en Inde à la rencontre cette fois des Sadhus. De 1975 à 1977, il reprend la route de l'Afrique, en direction des peuples nomades du Sahel et de l'Égypte. De 1977 à 1985, il demeure au Nouveau Mexique où naît son fils Shane, le 14 juillet 1978, à Taos. En 1985, il revient définitivement en Europe, et s'installe de 1987 à 1991 en Andalousie avec sa femme Françoise Nuñez et leurs enfants Joaquim et Manuela. En 1988, une pratique photographique de près de trente ans est couronnée par un Grand Prix National de la Photographie, une rétrospective au Musée National d'Art Moderne-Centre Georges Pompidou, et une bourse de la Villa Medicis hors les murs (Inde, Turquie, Mali). L'année suivante, "The African Desert" est présenté, à Washington, au National Museum of African Arts Smithsonian institution. Les routes, les déserts et les montagnes sont ainsi des éléments essentiels de sa vie et de son oeuvre, et sa pratique de la marche légendaire. En 1997, l'IVAM-Instituto Valenciano de Arte Moderno lui consacre sa deuxième rétrospective. Dix ans plus tard, Gilles Mora est le commissaire de sa troisième rétrospective au Musée d'art moderne de Strasbourg. La même année, il présente pour la première fois l'ensemble de son travail sur l'Ouest américain au Frac Haute-Normandie, à Sotteville-lès-Rouen, puis au Musée de la photographie de Charleroi. Ces dernières années, le Frac Paca à Marseille et à la galerie La Non-Maison à Aix-en-Provence ont déployé le projet "Plossu-cinéma", le Musée des Beaux-Arts de Carcassonne, puis les musées de Charleville-Mézières, exposé ses "101 éloges du paysage français", et le Musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Besançon dressé le bilan de ses années mexicaines à travers "Le Voyage mexicain. L'intégrale 1965/66" et "Le Retour à Mexico 1970".

 

www.plossu.com
www.montpellier.fr

 

 

 

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Dans la brume aquatique

Photographie © Fabien Pio

 

 

 

« Dans la brume aquatique »

Souscription pour la sortie du premier livre de Fabien Pio

Parution le 27 septembre.

Fabien Pio à le plaisir de vous annoncer la sortie de son premier livre, intitulé "Dans la brume aquatique". Il sera édité par Gildas Lepetit-Castel, de GLC éditions.

L'ouvrage contient une sélection de ses photographies, autour du thème des rivages, ainsi que des textes. La préface a été rédigée par Bernard Plossu.

Il sera édité dans la limite de 99 exemplaires numérotés.

Vous pouvez participer à la souscription, afin de permettre de financer le tirage de cet ouvrage.

Le prix est de 12 euros + 3,5 euros de frais de ports.

Merci à vous par avance pour votre soutien dans ce projet !

 

www.fabienpio.com
Souscription

 

 

 

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Stage Photo : Paysage & Macro

Stage Paysage & Macro 2013 © Aude Lavenant

 

 

 

« Stage Photo : Paysage & Macro »

Itinérance photo - Fiches mémo - Web coaching

Dimanche 29 septembre 2013 de 9:00 à 18:00
Le Claps et le Marais des Bouligons - DIOIS

Tarifs : 107 € / 89 € adhérent

Pour randonneurs et amateurs de photo tous niveaux.

Une journée de prise de vue pour vous immerger en pleine nature et photographier les magnifiques paysages du Diois.

Selon votre niveau en photo, vous pourrez soit vous initier, soit vous exercer à la macrophoto et à la photo de paysage.

Toute la journée, vous serez guidé par Aude Lavenant qui vous aidera à améliorer vos compositions et régler votre appareil, à développer votre regard et réaliser des images de plus en plus maîtrisées et créatives.

Places limitées à 8 participants.

Contact : Aude Lavenant au 06 74 55 20 12

 

www.labalancedesblancs.net
www.ladrometourisme.com

 

 

 

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Eldorado

Eldorado #1, © Marine Lanier

 

 

 

« Eldorado »

Photographies de Marine Lanier

Du 27 08 2013 au 27 09 2013
Mediathèque de Montélimar
16 Bd du Général de Gaulle
26200 MONTELIMAR

Horaires d'ouvertures de la médiathèque de Montélimar

Le mythe de l'Eldorado prend sa source dans une coutume des Indiens Chibcha. Une fois par an, le chef, recouvert de poudre d'or, précipitait son corps dans le lac de Guatavita pendant que les villageois lançaient des objets dorés et autres pierres précieuses dans l'eau. Cette coutume est transformée jusqu'à donner naissance au mythe d'Eldorado. Mais jamais les conquistadors n'ont pu trouver cette terre, ni son chef. Cette quête fiévreuse devint obsessionnelle.

L'épisode s'inscrit par la suite dans le mythe du mirage américain, des pionniers, des quakers, du nouveau monde, des expériences millénaristes de retour vers une terre promise.

Le mythe est nostalgie, rêve de paradis perdus. Il décrit souvent un lieu d'innocence naturelle, situé dans l'origine des temps. Construire un abri rêvé et idéal est propre à l'esprit humain pour répondre à l'existence du mal. A l'image du Candide de Voltaire, c'est un fleuve tumultueux qui mène à l'Eldorado.

Ici, l'imaginaire de l'île s'ouvre sur une nature sauvage, hostile et spontanée. Des monochromes où se côtoient la luxuriance de serres à l'abandon et les remous bleus et or d'un barrage.

Cette nouvelle série questionne notre enracinement et l'idée de chute inhérente à ces explorations. En somme, il faudra partir à la conquête de l'inutile au prix d'incroyables fatigues pour finalement s'arracher à la recherche de ce pays qui n'existe pas. La remontée du fleuve n'est que rite de passage. L'Eldorado est une étape dans l'itinéraire, un monde où les valeurs sont inversées, une traversée aveugle, un refuge temporaire, une contrée fabuleuse pour se diriger, dépouillés de l'illusion, cette fois, vers le monde réel.

Marine Lanier, mars 2013

La série Eldorado a été réalisée au cours de l'hiver 2013 dans le cadre d'une résidence d'artiste festival Itinérance(s) et grâce au soutien de la Médiathèque de Montélimar.

 

www.marinelanier.com
www.mediatheque.montelimar-sesame.com

 

 

 

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Des images comme des oiseaux

 

 

 

« Des images comme des oiseaux »

676 photographies, 181 artistes

Exposition du 6 juillet au 29 septembre 2013
La Friche Belle de Mai
Tour-Panorama (niveau 2 & 3)
41, rue Jobin
13003 Marseille

Du mardi au dimanche de 13h à 19h
Nocturnes les vendredis jusqu'à 22h

6 euros : tarif plein
3 euros : tarif réduit

Une redécouverte de l'histoire de la photographie contemporaine, à partir de l'une des plus importantes collections de photographies en Europe.

Invité à revisiter le fonds photographique du CNAP, le photographe Patrick Tosani s'est livré à une traversée des 12 000 oeuvres photographiques de la collection. Le choix subjectif et éclairé de 676 photographies de 181 artistes pour l'exposition constitue une sorte d'atlas sans légendes, mettant en mouvement les images, qui sont en elles-mêmes des « champs de force », selon l'expression de l'historien allemand Karl Sierek, auteur des Images oiseaux. Aby Warburg et la théorie des médias. Aux grands noms de la photographie et à leurs chefs-d'oeuvre vient s'ajouter un contenu en partie inédit, nombre d'oeuvre retenues n'ayant jamais été exposées ou très peu.

Patrick Tosani s'est aussi associé à l'artiste Pierre Giner pour concevoir un générateur aléatoire d'exposition qui puise dans la base de données des oeuvres de la collection. Une sélection de 1000 images photographiques est ainsi présentée sous la forme d'une cimaise infinie vidéo-projetée.

L'accrochage met en perspective la non-hiérarchisation des auteurs et des genres photographiques, en privilégiant des processus de montage et les rencontres inattendues entre les images. Il constitue, à travers le dispositif scénographique, une expérience de lecture des différents registres de gestes photographiques, proposée au public en une sorte de pacte ludique. L'exposition permet ainsi de transmettre au public l'approche sensible d'un photographe face à la diversité de la collection du CNAP.

Depuis la fin des années 1980, le CNAP a enregistré avec attention l'évolution exceptionnelle de l'art photographique sur les scènes artistiques française et internationale. En résulte un éclectisme qui correspond à la volonté d'offrir un reflet de la diversité des pratiques de ce médium essentiel dans l'histoire de l'art contemporain.

L'exposition est aussi le lieu d'une médiation réalisée par Le Cartel en partenariat avec les étudiants de l'École Nationale Supérieure de la Photographie d'Arles.?

Un commissariat photographique de Patrick Tosani

Une Installation et des développements numériques par Pierre Giner

Des images comme des oiseaux est une coproduction du Centre national des arts plastiques, de la Friche La Belle de Mai et de Marseille- Provence 2013. Elle est associée aux Rencontres de la photographie d'Arles.

Par ailleurs, le CNAP accompagne les événements de l'année capitale au travers de nombreux prêts : au Fonds régional d'art contemporain Provence-Alpes-Côte d'Azur, au Musée Cantini, au MuCEM, au Musée d'art contemporain à Marseille, à Avignon au Palais des Papes et au Château. Il s'est aussi engagé dans cinq commandes publiques de photographies.

 

www.lafriche.org

 

 

 

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Le chemin de la plage

Photographies © Myriam Voreppe

 

 

 

« Le chemin de la plage »

Photographies de Myriam Voreppe

Du 1 juin au 30 septembre 2013
Le Teil (07400) sur la digue parallèle à l'allée Paul Avon ( Suite à des dégradations le lieux de l'exposition à changer, maintenant les images sont installées sur les murs du service technique de la ville de Le Teil)

Exposition en plein air dans le cadre "Des sentiers du Rhône"

Le dimanche surtout, la "plage" teilloise fait le plein (...).

Dans le décor du pont suspendu, là où partait autrefois le précieux bac à traille, petits et grands, hommes et femmes s'ébattent joyeusement dans l'eau du Rhône, à cet endroit calme, pure et peu profonde comme celle d'une piscine.

(...) Après la guerre, quelques enragés baigneurs découvrirent sur les bords du Rhône, près de l'ancien embarcadère du bac à traille, à 400 ou 500 mètres seulement de la ville, le bassin que, sans le vouloir, pour maintenir le lit du fleuve, les Ponts et Chaussées avaient créé. Bien délimité par trois digues de pierre et la berge qui sert de plage, cet immense bassin de 50 mètres de largeur 100 mètres de long est devenu le lieu familier de tous ceux qui aiment, après leur journée de travail et le dimanche, se délasser dans l'eau fraîche.

Ils sont des douzaines qui y viennent chaque jour, mais le record a certainement été atteint dimanche (...). Petits et grands peuvent aller dans l'eau sans crainte, car si, en amont, il y a un fond de 4 mètres environ, en aval, la descente est progressive et lente, et certainement la profondeur de l'eau ne dépasse pas un mètre cinquante. (...)

Le Teil a donc aussi sa plage, une vraie plage que beaucoup de centres plus importants lui envieraient (...).

Le Petit Dauphinois, 1943

Et si en 2013 Le Teil avait encore sa plage ? J'ai demandé aux teillois de poser pour moi, sur le chemin de celle-ci...

L'oeuvre

Myriam Voreppe, photographe, propose une installation artistique intitulée Le chemin de la plage sur la digue du Teil. Son projet prend sa source dans la mémoire collective d'une époque, au milieu du vingtième siècle, où le Rhône était un lieu de baignade.

Cette oeuvre est composée de cinq photographies grand format mettant en scène des habitants du Teil qui se rendraient sur les rives du fleuve pour une partie de baignade et de textes issus de témoignages et d'archives récoltés par l'artiste. L'idée de ce parcours est de réactiver le lien de plaisir et de loisirs qui a existé jadis entre la population teilloise et le fleuve.

Entre témoignages et mise en scène, entre nostalgie et fiction, Myriam Voreppe recréée ici un lien entre hier et aujourd'hui et permet à la population teilloise de retrouver le chemin de la plage.

L'artiste

Myriam Voreppe, artiste autodidacte se consacre à la photographie depuis 2009. Ses recherches personnelles portent sur la notion de territoire et plus spécifiquement sur la manière dont l'homme occupe l'espace dans lequel il vit et évolue. Elle porte un regard décalé et teinté d'imaginaire sur notre rapport aux lieux du quotidien.

 

www.myriamvoreppe.com
www.sentierdurhone.fr

 

 

 

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La Colline

Photographie © Christine Smilovici

 

 

 

« La Colline »

Photographies de Christine Smilovici

Du 14 au 22 septembre 2013
"La Gontarde"
Rue de l'Eglise
26120 CHABEUIL

1er week-end :
Samedi 14 septembre de 15h à 19h.
Dimanche 15 septembre de 10h à 19h.
2nd week-end :
Samedi 21 et dimanche 22 septembre de 10h à 19h.
En semaine : de 15h à 19h.

Projet photographique 2011/2012

« J'avais pris le parti de faire disparaître quelque chose de mauvais, un chaudron de sorcière rempli à ras bord d'une mixture fumante de refus, de bris et d'outrages et il n'y avait personne, pas de raison, de chimère qui réussisse à me persuader que je n'avais pas bien fait. Je me rasseyais. Je sentais de nouveau la terre sous moi, le tronc de l'arbre entre les omoplates puis je les sentais de moins en moins. Je ne distinguais plus ce qui était os et peau de ce qui était écorce et bois. J'enserrais les genoux avec les bras et je faisais face à l'obscurité, celle qu'il y a dedans, mais je ne discernais plus de celle qui régnait dehors, où les cohortes des chimères se reformaient pour m'assaillir, me faire lever. » Pierre Bergounioux, L'Orphelin.

Tournon-sur-Rhône, colline de Pierres, hameau de Bombrun, 18 juin 2011, après 18 heures. Une jeune voisine ne revient pas de sa course quotidienne. Son corps est retrouvé trois jours plus tard dans une fosse, au nord de la colline, dans la zone dite des « Fourches ». Méconnaissable, démembré, incomplet, en partie carbonisé, recouvert de pierres et de branchages.

Le projet photographique La Colline est né de cet impensable. Il raconte le difficile parcours d'un deuil individuel et collectif et de la nécessaire résilience. Comment poursuivre la vie dans un lieu dévasté par un drame humain de cette espèce ? Comment la perception des lieux peut-elle s'inverser, transformant un espace naturel initial paradisiaque en un espace hostile, habité par l'imaginaire de l'horreur, de la violence gratuite, de la mort soufferte, de la peur aussi pour soi et pour ceux qui restent.

Combien de fois ne pas souhaiter sortir de ce cauchemar ? Combien de fois ne pas imaginer voir l'enfant apparaître à nouveau, comme si rien n'avait été, dans ce paysage qui avait été le sien et qui devait encore être le nôtre ?

Pendant un an, je me suis imposé de réinvestir les lieux dévastés. Chaque déplacement gardait sa trace par une photo et un ancrage sur la carte de la colline. Le deuil passait ainsi par l'affirmation de l'indispensable réappropriation de l'espace, contre la mort.

 

www.chsmilovici.unblog.fr
www.lesrencontresdelaphoto-chabeuil.fr
www.lesjoursfiles.unblog.fr

 

 

 

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Portraits baroques

Photographie © Philippe Ordioni

 

 

 

« Portraits baroques »

Photographies de Philippe Ordioni

Du 14 au 22 septembre 2013
Porte monumentale
26120 CHABEUIL

1er week-end :
Samedi 14 septembre de 15h à 19h.
Dimanche 15 septembre de 10h à 19h.
2nd week-end :
Samedi 21 et dimanche 22 septembre de 10h à 19h.
En semaine : de 15h à 19h.

La série « Portraits baroques » est axée sur l'enfermement psychique ou physique. A travers une poésie sombre et parfois un humour grinçant, elle questionne notre rapport à l'étrange et à nos différences.

Je recycle, pour ces portraits, certains accessoires détournés de leur fonction originelle et travaille en collaboration avec Claire Ordioni (ma fille) pour les costumes et le maquillage.

L'atmosphère et l'univers qui en résultent sont inspirés par des univers cinématographiques comme Le voyage sur la lune de Georges Méliès, Blade Runner de Ridley Scott, THX 1138 de George Lucas, Delicatessen de Marc Caro et Jean-Pierre Jeunet, Vol au dessus d'un nid de coucou de Milos Forman... et par le sourire de Buster Keaton.

 

www.ordilabo.wix.com/philippe-ordioni
www.lesrencontresdelaphoto-chabeuil.fr

 

 

 

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Cowboys de l'Oregon

Photographie © Richard Tardivo

 

 

 

« Cowboys de l'Oregon »

Photographies de Richard Tardivo

Du 14 au 22 septembre 2013
MJC (Espace Mosaïque)
26120 CHABEUIL

1er week-end :
Samedi 14 septembre de 15h à 19h.
Dimanche 15 septembre de 10h à 19h.
2nd week-end :
Samedi 21 et dimanche 22 septembre de 10h à 19h.
En semaine : de 15h à 19h.

L'Oregon est l'un des derniers territoires du nord ouest Américain à avoir été colonisé, l'état fût crée en 1859.

En 1985, je me suis retrouvé à Portland, capitale économique de cet état. Là, au cours d'une soirée je rencontre un Français qui me dit, qu'il y a des « Cowboys » à l'est de l'Oregon, un état qui fait quand même la moitié de la France en superficie.

Donc, un jour je suis parti à la recherche des cowboys. Le paysage est totalement différent de l'ouest de cet état, ici se sont des grandes étendues, avec parfois aucune habitations, ranchs pour environ 80 kms, un paysage qui ressemble à celui vu dans les films de John Ford. Au cours de ce premier voyage, j'ai la chance de tomber sur un « branding », marquage du bétail au fer. Suite à ce premier voyage, l'intérêt s'est étendu au rodéo et ranchs.

Le métier de Cowboys est en perdition, les petits ranchs étant rachetés par des grosses corporations, avec des employés souvent Mexicains et en plus les jeunes, qui préfèrent un métier moins difficile, partent vers la ville.

 

www.lesrencontresdelaphoto-chabeuil.fr

 

 

 

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Gossi. L'hôpital des nomades

Photographie © Richard Tardivo

 

 

 

« Gossi. L'hôpital des nomades »

Photographies de Richard Tardivo

Du 14 au 22 septembre
Centre du patrimoine Arménien
14 rue Louis Gallet
26000 Valence

Ouverture tous les jours (sauf le lundi) de 14h30 à 18h30

Réalisé en février 2011 au Mali, ce reportage est consacré à l'histoire de Soeur Anne-Marie- Salomon qui, il y a 26 ans, a décidé de reprendre des études de médecine à l'âge de 50 ans pour aller soigner des malades en Afrique. Elle choisit de s'installer au Mali, dans la région nord-est peuplée majoritairement de Touaregs, actuellement le théâtre de la guerre. Là, elle installe près de sa maison, à une heure et demie de Gao, un petit hôpital et une salle d'accouchement.

 

www.patrimoinearmenien.org

 

 

 

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...Une vie à l'hôtel...

Photographie © Aurélie Lamour

 

 

 

« ...Une vie à l'hôtel... »

Photographies de Aurélie Lamour

Du 14/09 au 22/09
17 rue des Rempart,
26120 Chabeuil

Inauguration déambulatoire ce dimanche 15 septembre à 10h

"...une vie à l'hôtel...

Le paradoxe de la chambre d'hôtel, lieu à la fois si impersonnel et si rempli de vie. Gardienne d'un temps immuable, se devant d'être vierge à chaque rencontre... A la fois tableaux uniques et narrations séquentielles,ces 35 arrêts sur images d'une improbable caméra de surveillance fixent ce temps qui passe et racontent l'intime de cinq chambres livrées au voyeurismed'un Big Brother impassible.

Y'a t'il des liens entre les personnages ?

Entre les chambres..? même semaine ? même année ?

A vous d'imaginer..."

 

www.lesyeuxouverts.com
www.lesrencontresdelaphoto-chabeuil.fr

 

 

 

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Les rencontres de la photo de Chabeuil

Photographie © Olivier Chomis

 

 

 

« Les rencontres de la photo de Chabeuil »

Treizième édition

Du 14 au 22 septembre 2013
Expositions dans divers lieux de la ville de Chabeuil 26120

Vernissage de?ambulatoire le dimanche 15 septembre à partir de 10h

33photographes, 18 lieux différents dont 9 privés, des centaines de photographies exposées, 6 soirées thématiques... telles seront ces 13 émes Rencontres de la Photo de Chabeuil 2013...

C'est dès septembre 2001, alors que la nouvelle équipe municipale est à peine installée, que Max CANZIAN, féru de photographie autant que de culture, instaure les premières Rencontres. Elles regroupaient alors 5 expositions sur 6 jours !

Que de chemin parcouru depuis!....

Très vite, devant leur succès, la municipalité, puis le club-photo Clic'Image aidés en cela par des bénévoles les développèrent en trouvant auprès de quelques habitants intéressés des lieux pour les recevoir.

D'année en année, les candidats se multiplient pour arriver, aujourd'hui, à en refuser malgré le talent certain de quelques-uns. En 2010, avec son entrée dans Valence Agglo Sud Rhône Alpes, Chabeuil et ses Rencontres bénéficièrent d'une ouverture sur Valence auprès du Centre du Patri- moine Arménien, du LUX, scène nationale et de l'école régionale des Beaux-arts. En 2011, c'est la Région qui, au travers de VALDAC, reconnaît cette manifestation qui chaque année attire à Chabeuil plus de 3 000 visiteurs sur une semaine.

Tout cela s'est construit au fil des ans et les Rencontres ont trouvé leurs artistes et leur public qui viennent de plus en plus loin, fortes d'une aura de mieux en mieux reconnue.

Cependant, malgré un succès grandissant, une richesse iconographique toujours plus élevée, la philosophie de « nos » Rencontres n'a pas changé : qualité et originalité demandées aux photographes mais également gratuité totale des entrées afin que le plus grand nombre de nos concitoyens aient accès à la Culture...

Cette « cuvée 2013 » n'échappe pas à la règle !

Venez nombreux, cher public, visiter les différents lieux, découvrir les diffé- rents photographes, présents lors des week-ends, afin d'encourager toutes les personnes qui, de près ou de loin, sont les chevilles ouvrières, toutes béné- voles, de ces Rencontres.

Vous en repartirez conquis par les images que vous aurez vues ainsi que par le parcours qui vous aura révélé les beautés de notre commune.

Pascal PERTUSA, Maire, Conseiller général.

 

www.lesrencontresdelaphoto-chabeuil.fr

 

 

 

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Rencontres d'Arles 2013

 

 

 

« Rencontres d'Arles 2013 »

Arles in Black

Du premier juillet au 22 septembre 2013

Arles in Black

par François Hébel, directeur des Rencontres d'Arles.

Cela peut paraître un paradoxe : c'est dans un esprit de découverte que les Rencontres d'Arles proposent en 2013 un parcours radicalement noir et blanc.

Jusque dans les années 1980 la couleur est regardée avec mépris, tandis que le noir et blanc est la photographie d'art par essence.

Le lent déclin du noir et blanc débute dans les années 1990 lorsque la couleur s'installe avec son lot de progrès techniques (films et tirages argentiques) et que le marché de l'art porte un intérêt soudain à la photographie, numérotant les tirages et starifiant de jeunes photographes.

Le noir disparaît presque totalement après 2000, la couleur installant sa suprématie dans toutes les pratiques de la photographie avec l'essor du numérique.

L'effacement du noir et blanc a entraîné avec lui l'abandon de l'album de famille et de la photo peinte. Avec la couleur sont apparus des tirages plus grands, des installations, des diffusions numériques.

Le statut du photographe, qu'il soit artiste, amateur ou professionnel, sa relation au sujet, au modèle ou tout simplement à la création, sont transformés par la disparition du mystère du révélateur et de l'artisanat de la chambre noire.

Quelle place le noir et blanc occupe-t-il aujourd'hui ? Réalisme ou fiction, poésie, abstraction ou pure nostalgie ?

En décidant de consacrer radicalement l'édition à cette forme esthétique, de vraies perles se sont alors offertes à nous, des découvertes bien sûr, des créations inédites d'artistes consacrés, et des trésors du passé. Beaucoup de ces expositions sont de véritables événements, sous la forme d'installations conceptuelles, d'albums, de tirages classiques et bien sûr des exceptions en couleur.

Ceux qui ont connu l'époque de la suprématie des gris verront peut-être que la libération des genres, souvent prônée à Arles, permet un programme noir et blanc différent de ce qu'il aurait été il y a vingt ans. La réaction des jeunes générations qui n'ont pas connu ce prisme est intéressante.

La nuit de l'année 2013 permet de mieux appréhender le territoire d'Arles, la commune la plus étendue de France, en se déplaçant dans le village de Salin-de-Giraud au milieu de la Camargue. C'est un territoire au croisement de beaucoup d'enjeux sociaux, productifs, écologiques, infrastructurels, politiques et touristiques.

De territoire, il est question aussi avec l'exceptionnelle commande, passée par les Rencontres et le Market Photo Workshop (créé par David Goldblatt), à douze photographes pour photographier les traces sociales dans le paysage d'Afrique du Sud, à la demande des Saisons France-Afrique du Sud 2012 & 2013.

L'édition et le succès du jeu des Rencontres Pause Photo Prose prolonge l'extraordinaire travail réalisé par le service éducatif depuis depuis quarante-quatre ans avec les stages, depuis dix ans à travers la Rentrée en images et de nombreux autres programmes.

Les trois colloques et les nombreux débats sont l'occasion d'approfondir les différents thèmes qui traversent cette édition particulière, qui sera complétée par les initiatives de l'association du Méjan, de l'abbaye de Montmajour avec Christian Lacroix, et de la fondation Luma.

L'expérience de cette édition radicalement noire et blanche, le talent et la générosité des artistes et des commissaires, le dynamisme de l'équipe des Rencontres et le soutien des partenaires publics et privés, rendent Arles incontournable en cette année où la Provence est capitale européenne de la culture.

 

www.rencontres-arles.com

 

 

 

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Caravane(s)

 

 

 

« Caravane(s) »

Expositions collectives

Du 7 au 15 septembre
L'atelier du Midi
1 rue du Sauvage et 8 rue Dominique Maïsto
13200 Arles / 04 90 49 89 40

Ouvert tous les jours de 15h00 à 19h00 - entrée libre -

Exposition collective en retable : La caravanes des photographes, La caravane des estivants, La caravane des mal-logés avec Clergue, Doisneau, Plossu, Nunez, Perrier, Schwartz, Martin, Grignet, Delpoux, Demenge, Desprez, Birssinger, Gérard, Roux, Hetzel, Maby, Spicher.... 54 photographes réunis avec des photographies d'amateurs

L'atelier du midi propose pour juillet et septembre 2013 une exposition photographique intitulée Caravane(s). Comment la photographie peut-elle appréhender ce sujet aux contours incertains, entre l'objet familier à plusieurs générations, et le sujet historique et immatériel d'une vague idée de l'Orient. La caravane est un objet de nostalgie, une ode à la vie : elle est notre madeleine, un lieu de la mémoire familiale. Mais, elle est aussi devenu le symptôme de la précarité. Caravane(s). est une exposition qui mêle une triple perspective historique, mémorielle et sociologique, construite comme un retable ou comme une caravane pliante. Les objectifs de l'exposition sont de proposer une réflexion photographique autour d'un objet du 20ème siècle, lié à l'histoire de la photographie et des vacances, et à un détournement récent en habitat précaire. L'enjeu majeur est de réunir différents publics et différents auteurs / acteurs, entre professionnels de l'image et amateurs, pour créer des rencontres joyeuses, nostalgiques, poétiques, associées parfois à une dramaturgie humaine et sociale. La triple perspective de l'exposition veut faire la lumière sur un paradoxe politique contemporain et le révéler par la photographie. La caravane est un habitat secondaire et éphémère. Le temps des vacances se constitue une petite utopie dans laquelle les contraintes de la vie courante semblent disparaitre pour laisser place à une existence légère et insouciante.

A l'échelle familiale, cette petite utopie se distingue par une temporalité simplifiée, recentrée autour de quelques moments forts comme la baignade, l'apéritif ou le barbecue. Les obligations et tensions s'évanouissent pour retrouver une vie presque primitive qui se joue autour de cette cabane-caravane. Chacun tente d'oublier que cette utopie est éphémère et que l'état de nature retrouvé n'est plus compatible avec le monde contemporain.

On voit à quel point l'habitat peut déterminer l'organisation sociale, entre utopie et république, la caravane, objet archaïsant, engendre une micro-société d'apparence plus égalitaire. Cet argumentaire fait cependant émerger une aporie concernant la caravane des mal-logés. Si la caravane est un lieu propice à l'égalité et aux valeurs républicaines comme nous venons de le montrer, pourquoi les mal-logés en caravane sont-ils en marge de notre république ? La caravane ne serait-elle tolérée et tolérable que pendant la période estivale ? La caravane subie est-elle une "verrue" de l'ensemble architectural français ? Autant de questions qui ne trouveront des réponses sociologiques et des solutions politiques.

 

www.atelierdumidi.com

 

 

 

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Visa pour l'image

Photographie © Pascal Maitre

 

 

 

« Visa pour l'image »

25 éme édition

Du 31 août au 15 septembre
66000 Perpignan

Amis de Visa pour l'Image,

Bienvenue à Visa pour l'Image, le plus grand festival international de photojournalisme, qui a lieu tous les ans à Perpignan. Rendez-vous exceptionnel des amoureux de la photographie, le festival réunit des milliers de visiteurs autour d'une même passion. Explorez les expositions réparties dans toute la ville et découvrez de saisissants reportages, réalisés par des photojournalistes du monde entier. Assistez aux soirées-projections en plein air dans le somptueux cadre médiéval du cloître du Campo Santo ; participez aux colloques et rencontres ; rendez-vous aux stands des agences et des grandes marques de la technologie photographique. Pour plus de détails, explorez le site web. Venez à Perpignan.... nous vous y attendons !

 

www.visapourlimage.com

 

 

 

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Play and Replay

Photographie © Marine Lanier (Fossile - La vie dangereuse )

 

 

 

« Play and Replay »

Biennale de la photographie de Mulhouse

Du 15 Juin au 15 septembre 2013

A propos / About

La Biennale de la photographie de Mulhouse est née de la volonté de rapprocher le public de la photographie lors d'un temps fort et fédérateur. A partir du Musée des Beaux-arts, les expositions se déploient dans différents lieux culturels mulhousiens et sont complétées par des installations in situ, ainsi que par un programme de projections et rencontres avec les photographes.

La programmation défend des artistes internationaux, avec la volonté de découvrir de nouveaux talents autour d'une thématique à chaque fois renouvelée. Les photographes de l'édition 2013 se positionnent dans l'ère numérique et questionnent la légitimité des différents usages de la photographie à travers un regard lucide porté sur nos sociétés contemporaines et leurs développements.

L'une des caractéristiques de la photographie à l'ère numérique est l'usage de processus post-photographiques. Les artistes jouent et rejouent avec des photographies déjà existantes, les leurs ou celles des autres. Il est courant de « rebattre les cartes de son ?uvre », de s'approprier des images connues ou anonymes pour en déplacer la signification, ou encore rendre compte de projets utopiques. Avec cette première édition ce sont les enjeux mêmes du médium photographique qui sont interrogés au sein de pratiques émergentes. Play & Replay met en jeu les notions de circulation des images, mais aussi de partages, d'échanges et de découvertes.

La Biennale de la photographie de Mulhouse 2013 présente les expositions et performances de Dorothée Baumann (CH), Isabelle Le Minh (FR), Cristina de Middel (ES), Michel François (BE), Nathalie Wolff (FR) et Matthias Bumiller (DE), Laura Martin (FR) et Marie Quéau (FR). Des soirées de projections permettront de découvrir des photographes prometteurs ou déjà confirmés, parmi eux le collectif Exp12 (DE) et les étudiants de la HEAR -Haute école des arts du Rhin.

La Biennale a lieu les années impaires, en alternance avec la Biennale d'art contemporain Mulhouse 00.

La direction artistique et le commissariat des expositions sont assurés par Anne Immelé, photographe, docteur en art et enseignante en photographie.

 

www.biennale-photo-mulhouse.com

 

 

 

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L'histoire d'un oeil - 3 ème partie / Un signe de la main

© Luan Xiaojie

 

 

 

« L'histoire d'un oeil - 3 ème partie / Un signe de la main »

Collection Freddy Denaës

Du 19 juin au 15 septembre 2013
Angle - Art contemporain
Place des Arts
26130 Saint-Paul-Trois-Châteaux
Tél : 04 75 04 73 03

Ouvert du mercredi au samedi de 14h à 18h

Artistes exposés :

José Ramon Bas, Bela, Joseph Beuys, Christian Boltanski, Michel Butor, Alexander Calder, Eduardo Chilida, Karl Chiu, Serge Clément, Jean-Michel Fauquet, Robert Filliou, Jérémie, Fischer , Gérard Fromanger, Mario Giacomelli, Michel Haas , Ken Kitano, William Klein, Raymond Lavoie, Jean Le Gac, Lucebert, Franck K. Lundangi, Henri Matisse, Jean, McEwenn , Jonas Mekas, Joan Miró, Isabel Munoz, Sam Nhlengethwa, Matthias Olmeta, Jean-Luc Parant, Titi Parant, Ernest Pignon-Ernest, Jan Saudek, Pierre Soulages, Carlos FigueIra Tchalé

Joyce Tenneson ,Raoul Ubac, Bram van Velde, Luan Xiaojie, Dominique Zinkpé

 

www.angle-art.fr

 

 

 

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La fin du pétrole

Tristan Zilberman - Brest Brest Brest ©

 

 

 

« La fin du pétrole »

Photographies : Tristan zilberman - Graphismes : Brest Brest Brest

Du 13 juillet au 8 septembre
Association Quartier Sud
Le Libones
07600 Juvinas

Le Week-end de 15h à 19h ou sur RDV au 04 75 94 59 38

Ce travail photo + graphisme a été réalisé par BBB à partir de clichés de Tristan Zilberman :

10 ans de photo sur le massif du Coiron pour raconter la vie des gens, la ruralité, les traditions, les paysages, 10 ans de reportages et de rencontres, présentés à travers des expos, des albums, des diaporamas.

Le désir de partager ces images, conduit aujourd'hui Tristan Zilberman à en proposer une nouvelle lecture : ainsi, a-t-il sollicité un regard de graphiste : celui de Brest Brest Brest.

Confiant quant à leur créativité, il leur a laissé carte blanche pour intervenir à partir de ses clichés... Demeurant néanmoins curieux de savoir ce que tout ça allait leur inspirer !

Résultat : LA FIN DU PETROLE.

C'est un regard neuf, décalé qui n'est pas celui du photographe ayant parcouru le territoire en totale immersion. C'est une vision inédite : les images de la vie rurale ardéchoise évoquant un basculement de civilisation ! Non pas passéiste, mais d'avenir : quand il n'y aura plus de pétrole, il y aura peut-être encore la terre et des hommes pour la travailler, des animaux à élever ?

Cette vision des lendemain sans pétrole est finalement assez rassurante ! Berçons-nous en...

Car en réalité, qui sait de quoi demain sera fait ?

Va-t-on avancer vers un monde où l'énergie sera captée au grès des vents et des marées, vers une énergie libre et accessible à tous, rendant de ce fait, toute velléité guerrière inutile ? Ou va-t-on poursuivre dans la logique d'une exploitation outrancière, déraisonnée, au profit d'une minorité possédante, réduisant par la même le reste de l'humanité à la servitude ? À moins qu'un monde apocalyptique ne se profile : Fukushima étendant sa lèpre au planétaire, des humains contaminés en errance, même pas imaginé par la SF la plus glauque.

«Il y avait un jardin qu'on appelait la terre...», chantait Moustaki ! Cette phrase doit-elle sonner comme une épitaphe ?

* Brest Brest Brest est un atelier de création graphique basé sur crest, piloté par Arnaud Jarsaillon, Rémy Poncet & François Gaillard

 

www.tristanzilbrerman.com
www.brestbrestbrest.fr

 

 

 

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TERRE LUMIÈRE

Photographie © Carlos Gonzalez

 

 

 

« TERRE LUMIÈRE »

Photographies de Carlos González

Du 5 au 14 septembre 2013
Galerie F o t o g r a f i k a
Rue du Borgeaud 10,
Centre commercial de Gland
CH 1196 Gland
Parking gratuit au sous-sol

Vernissage, le 5 septembre dès 18h

Images réalisées à Lausanne dans le cadre de la nuit des images dans les jardins de l'Elysée.

À travers mon projet intitulé "Terre lumière", je voulais faire sentir la fragilité de la Terre tout en mettant en avant notre dépendance à cette fragilité.

En tant que photographe, la lumière me fascine et par mon travail, j'ai cherché à la diffuser avec deux éléments placés près des participants, soit deux sphères lumineuses, la mappemonde et la lune.

J'ai aimé les rencontres issues de ce projet. J'ai vu dans le regard des participants une envie de joie, une envie de vivre et de pureté, beaucoup de tendresse et de créativité. Je les ai vus victorieux et sublimés par leur positionnement entre Terre et Lune.

Carlos González

 

www.fotografika-gallery.com

 

 

 

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Sur scène

Photographie © Eric Pijnaken

 

 

 

« Sur scène »

Photographies de Eric Pijnaken

Du 2 au 15 septembre 2013
Salle Volane
3, avenue Claude Expilly
07600 Vals les Bains

vernissage 3 septembre 18h

Pendant une année le photographe a suivi les performances de

20 compagnies et troupes de théâtre au théâtre Les Quinconces à Vals les Bains.

Caché dans des loges ou dans les coulisses il a capté les émotions des acteurs et actrices. Des petits moments intenses. Mais l'instant après « le silence ploya son aile de velours, précédent l'oublie ».

Eric Pijnaken a exposé en Ardèche, Montpellier, Pays-Bas et la Suisse.

Il est inspiré par l'Arte Povera, visant la pureté de l'expression, et rejetant les normes du système économique et de la société de consommation.

 

www.eric-pijnaken-images
www.lesquinconces.com

 

 

 

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Une renaissance himalayenne

Photographie © Tristan Zilberman

 

 

 

« Une renaissance himalayenne »

Photographies de Tristan Zilberman

Du 27 au 31 août
Salle des fêtes
07400 Rochemaure

Mardi 27 de 14 à 19h
Le mercredi 28, jeudi 29 et vendredi 30 de 16h à 19h
Samedi 31 de 10h à 12h et de 14 à 19h

Cette expo est une initiative de la commune de Rochemaure en Ardèche.

Elle est issue d'un reportage photo réalisé par la Fabrique de l'Image à l'occasion de la réhabilitions d'un ancien pont sur le Rhône.

Le vieux pont suspendu de Rochemaure, hors d'usage depuis des années, a été transformé en passerelle himalayenne et se trouvera sur le parcours de la Viarhona, la piste cyclable qui relie le Léman à la Méditerranée.

Le suivi photographique effectué sur 6 mois, a vu toutes les phases de la transformation de l'ouvrage et les étapes du chantier qui s'est déroulé parfois dans des conditions extrêmes.

Ce projet a également fait l'objet d'un ouvrage édité par la commune et intitulé « Renaissance Himalayenne »

 

www.fabrique-image.fr
www.tristanzilberman.com
www.rochemaure.fr

 

 

 

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Planète Mars

Photographie © Jérôme Cabanel

 

 

 

« Planète Mars »

Photographies de Jérôme Cabanel

Du 8 juillet au 10 septembre
La table 5
8, Av des Chartreux / 13, Bld Blancarde
13000 Marseille
Tel : 04 91 34 85 22

Horaire d'ouverture du restaurant.

Planète Mars ou Marseille vue coté mer entre les Goudes et l'Estaque

Exposition regroupant 30 tirages 60 par 80 cm qui a été présentée du 3 avril au 30 mai 2010 dans le cadre du mois de la photo d'Auxerre au musée d'Art et d'Histoire. Le thême de cette année était la ville.

 

www.cabanelphoto.com
www.latable5.com

 

 

 

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L'Astronaute

Sculpture "Frère Javel" de Michel Gouéry

 

 

 

« L'Astronaute »

OEuvres de la collection du FRAC Auvergne (Pierre-Olivier ARNAUD – Nicolas DELPRAT – Charles DE MEAUX- Michel GOUéRY – Emmanuel LAGARRIGUE – Ida TURSIC & Wilfried MILLE)

Exposition du 5 juillet au 1er septembre 2013
Halle aux Bleds
Place de la Halle
15100 Saint-Flour

Tous les jours de 10 h à 12 h 30 et de 14 h à 19 h. Entrée gratuite.

A l'occasion du trentième anniversaire de leur création, les Fonds Régionaux d'Art Contemporain ont souhaité organiser durant tout l'été 2013 une série d'expositions dans leurs régions respectives. Le FRAC Auvergne propose ainsi cinq expositions qui présentent plus de 80 oeuvres de sa collection.

Pour la Halle aux Bleds de Saint-Flour, l'exposition L'Astronaute propose une thématique qui renvoie aux grandes découvertes intersidérales, au rêve, à l'imagerie des films de science-fiction, au voyage. L'astronaute est le voyageur, le rêveur, le découvreur.

Les oeuvres de l'exposition se situent ainsi entre dérision, rêve et sciencefiction, tout en faisant la part belle à la citation de quelques grands films de science-fiction ou d'anticipation.

Les oeuvres de Nicolas Delprat renvoient à l'imagerie de 2001, l'Odyssée de l'espace de Stanley Kubrick, celle de Pierre-Olivier Arnaud cite L'Eclipse de Michelangelo Antonioni, la vidéo de Charles de Meaux simule la bandeannonce d'un film de science-fiction des années 1950, la peinture de Ida Tursic & Wilfried Mille se réfère à une esthétique hallucinatoire héritée des années 1970...

Au centre de la Halle aux Bleds, la grande installation d'Emmanuel Lagarrigue emprunte aux films d'anticipation une lumière étrange diffusée par de grands néons verticaux, environnée d'une atmosphère sonore mystérieuse où se croisent les bribes éparses de conversations lointaines. Au milieu de ces oeuvres, la grande figure de céramique de Michel Gouéry se dresse, entre extra-terrestre et humanoïde.

 

www.pays-saint-flour.fr

 

 

 

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Eau vue d'en Haut

Photographie © collectif "En haut !"

 

 

 

« Eau vue d'en Haut »

Photographies du collectif "En haut !"

Du lundi 22 juillet 2013 à partir de 09H00 au lundi 2 septembre 2013 jusqu'à 18H00
Abbaye de Valmagne
34560 Villeveyrac

De 10h00 à 18h00

Exposition « Eau vue d'en haut », les lagunes vues par un cerf- volant

Cet été prenez de l'altitude avec le CPIE Bassin de Thau Avec l'exposition photos « Eau vue d'en Haut » proposée par le CPIE Bassin de Thau, venez contempler des prises de vue aériennes pour découvrir les paysages lagunaires et littoraux du Bassin de Thau et des étangs Palavasiens. Ces images insolites, réalisées à l'aide d'un cerf-volant, vous permettront de survoler le territoire et découvrir les grands enjeux autour de l'eau.

Des prises de vue aériennes par cerf-volant Grâce à une technique écologique connue sous le nom de Kite Aerial Photography (KAP), les photographies aériennes nous présentent à chaque fois une problématique liée à l'eau. Pendant près de trois semaines, les photographes du collectif En Haut ! ont sillonnés les alentours de la lagune de Thau pour prendre des clichés et nous donner une image originale et inédite du territoire.

 

www.enhaut.org
www.beta.valmagne.com

 

 

 

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Alexandre Hollan <i> invite </i> Illés Sarkantyu

Haut : Peinture © Alexandre Hollan - Bas : photographie © Illés Sarkantyu

 

 

 

« Alexandre Hollan invite Illés Sarkantyu »

Peintures de Alexandre Hollan et photographies de Illés Sarkantyu

Exposition ouverte du 13 juillet au 25 août 2013
La Fabrique du Pont d'Aleyrac
07190 Saint-Pierreville
contact : Annie et Bernard Mirabel (33) 04 75 66 65 25 ? mirabelbe@wanadoo.fr

Du jeudi au dimanche et jours fériés, de 15 à 19 heures et sur rendez-vous

Alexandre Hollan est né à Budapest en 1933. Il vit en France depuis 1956. Ses travaux « se répartissent selon deux saisons, deux thèmes, deux lieux. L'été, dans un mazet parmi les vignes et la garrigue, Hollan dessine des arbres, au fusain, au lavis, à l'acrylique. Lorsqu'il retourne à Paris, dans un atelier qui n'ouvre que sur le ciel, il se consacre à ce qu'il appelle à la manière allemande des « vies silencieuses » : une pure présence extraite par l'aquarelle d'un alambic d'objets et de fruits assemblés en un motif. » (Jean Planche) Le dialogue du peintre avec de nombreux poètes a donné lieu à plus de quarante publications de livres d'art et livres d'artistes. Des notes sur la peinture accompagnent son travail sur le motif (Je suis ce que je vois, tomes 1, 2, 3, éditions Le Temps qu'il fait) et Yves Bonnefoy lui a consacré deux monographies, L'Arbre au-delà des images, éditions William Blake ; La journée d'Alexandre Hollan, éditions Le Temps qu'il fait. Récemment, le musée des Beaux-Arts de Budapest, le musée Fabre à Montpellier et le Château de Chambord ont présenté des expositions importantes de ses ?uvres.

Illés Sarkantyu est né à Budapest en 1977 et s'installe à Paris en 2002. Photographe et réalisateur, il collabore étroitement avec des artistes et institutions culturelles. Parallèlement il développe ses projets personnels, mêlant photographies, vidéos et textes. Dans l'exposition de la Fabrique, Illés Sarkantyu présente des photographies noir et blanc des objets qu'Alexandre Hollan dispose pour ses « vies silencieuses ». Avec son appareil, il développe petit à petit une distance du regard différente de celle du peintre. Dans l'infini des gris des tirages argentiques, entre la rouille d'un vieux seau et la peau d'un légume, nous percevons un monde d'étrangeté. Ce langage qui allie le montré et le caché n'est pas sans rappeler la grande richesse de la photographie hongroise. Dans une autre série intitulée « Mihály », il nous entraîne, à travers la relecture d'une photographie apparemment banale, dans une autre aventure visuelle, dérangeante et neuve.

La galerie Mirabilia à Lagorce présente un autre volet de l'exposition Alexandre Hollan invite Eva Krajcsovics, du 14 juillet au 25 août 2013, du jeudi au dimanche de 15 à 20 heures et sur rendez-vous. Renseignements : (33) 04 75 88 12 79 ou 06 81 09 27 79 ou info@galeriemirabilia.fr

 

www.sarkantyu.net
www.ardechepleincoeur.com
www.galeriemirabilia.fr

 

 

 

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L'exposition de l'été

collage © Catherine Perrier

 

 

 

« L'exposition de l'été »

Exposition collective de 7 artistes plasticiens

Du 30 juin au 1er septembre
La Fabrique
26740 Savasse

Ouverture les jeudis, vendredi, samedi, dimanche de 15h00 à 19h30
Sur rendez-vous au 06 85 05 80 38.

"l'Exposition de l'été" présente les oeuvres des peintres, Brigitte DYKMAN, Jacques DROUIN, Jean-Guy PAQUET, Catherine PERRIER des sculpteurs, Victor CANIATO, Christine CELARIER , Jean-Michel DEBILLY

L'esprit

Un parti pris unique qui permet de découvrir une offre artistique riche et variée dans un environnement patrimonial accessible et convivial.

L'exposition couvre les champs artistiques de la peinture et de la sculpture. Une peinture oscillant entre la figuration et l'abstraction.

Une sculpture puissante et intime.

Dans son esprit, l'exposition de 2013 cherche à donner une

expression de liberté et de diversité.

En clôture, La Fabrique ouvre ses portes aux Journées Européennes du Patrimoine du 14 et 15 septembre, avec une exposition de peintures et gravures de B. Dykman et Jean-Guy Paquet sur le thème de la réhabilitation de la « Filature » de soie à La Fabrique.

 

www.lagrandegalerie.org
www.lafabrique-savasse.fr

 

 

 

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Club Méditerranéo

Photographie © AUGUSTIN LE GALL

 

 

 

« Club Méditerranéo »

Regards & Mémoires

Du 1er juillet au 31 août 2013
Regards & Mémoires
Maison de la vie associative
3 bd des Lices
13200 Arles
Tél & fax : 04 90 52 26 95
Portable : 06 12 11 12 21

Regards & Mémoires, pour sa dixième édition, invite Galerie 2600 dans le cadre des Rencontres de la photographie 2013. Galerie 2600 est un espace progressif consacré à l'Art, la photographie, le graphisme, la vidéo, l'installation et la création de musique.

Présente à Arles depuis 4 ans sous le titre Hypermark, Galerie 2600 occupera la Bourse du Travail du 1er au 7 juillet sous l'intitulé The Club, avec expositions, éditeurs et conférences. Programme : http://galerie2600.org

Regards &Mémoires présente, dans le quartier de la Roquette, un parcours photographique de huit expositions sous le titre : Club MéditerranéO, invitant des artistes qui se sont intéressés à l'espace méditerranéen.

 

www.regardsetmemoires.com
www.galerie2600.org

Programme PDF

 

 

 

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Le silence de la neige

Photographie © Jean-Luc Meysonnier

 

 

 

« Le silence de la neige »

Photographies de Jean-Luc Meysonnier

Du 25 juin au 31 août 2013
Mine d'arts & Dynasties Chine
12 rue des Filles Dieu
Cité historique
49000 ANGERS
Tél. : 06 27 72 33 04

Le lundi 24 juin vernissage de l'exposition Le silence de la neige en présence de l'artiste à 18h

Dans son nouvel espace situé au coeur de la cité historique, Dynasties Chine présente l'exposition Le silence de la neige du 25 juin au 31 août 2013. Elle réunit une sélection d'oeuvres photographiques récentes de Jean-Luc Meyssonnier.

Jean-Luc Meyssonnier exprime sa présence singulière au monde avec un travail photographique - toujours en noir et blanc - qui tente de relier la Terre, l'Homme et le Ciel. Depuis plusieurs années, les paysages qui irriguent son ?uvre sont ceux de sa terre natale, l'Ardèche. Il l'aborde par ses sommets ou ses vallées, comme on croit chaque fois y saisir l'aurore d'une vie nouvelle. Aimanté par ce territoire mouvant et si complexe, il révèle sa matière en composant un travail graphique d'une extrême rigueur. Ce dernier se caractérise par une véritable recherche dans l'épuration des formes. Les lignes, droites ou sinueuses, assument elles aussi un rôle central dans l'organisation de la composition. À la méticulosité du photographe se mêle sa réflexion sur le matériau fondamental de son travail : la lumière.

L'exposition que Dynasties Chine lui consacre présente un ensemble de « miniatures » dont le caractère intimiste nous fait progressivement entrer dans le vertige, la légèreté, l'éblouissement des paysages de neige. Meyssonnier a saisi sa terre ardéchoise tantôt dans de subtiles nuances de gris foncé et de blanc très contrastées tantôt dans des plages parfois quasi- monochromes dont l'évanescence ressemble à celle d'un dessin au crayon graphite. Les vallons enneigés où les arbres enveloppés de gazes se dérobent, dans un jeu de visibilité et d'invisibilité troublant et émouvant, concourent à la création d'une oeuvre délicate et poétique. D'un grand lyrisme, ses paysages de neige disent aussi une qualité de silence. Chaque photographie ne se donne pas d'emblée. Il faut aller à sa rencontre, atteindre sa profondeur. Chacune appelle un autre temps, plus étiré et requiert une attention du regard.

L'exposition invitera aussi à découvrir l'oeuvre d'un photographe des grands espaces avec une sélection de deux tirages panoramiques de formats imposants. La profondeur de champ poussée à l'extrême, quelques bouquets d'arbres épars sur des horizons à perte de vue et le choix minutieux du papier confèrent aux photographies des tonalités d'une rare intensité.

De son travail sur le minéral et le végétal, Jean-Luc Meyssonnier tente avant tout de restituer ce qu'il éprouve : « ses propres paysages intérieurs ». Le photographe nous transmet ce temps d'introspection et nous révèle sa perception aigüe de l'existence qui, dans sa dimension intime, son étrangeté et sa vérité nue, abrite non seulement la fragilité de l'être, - l'étreinte du chaos - mais aussi toute sa beauté.

Hélène Ribot

Il serait faux de croire qu'ici, en ces plateaux déserts, l'histoire n'a jamais brui, n'a jamais porté ses griffes. Même sur la neige la plus intacte nous parvenons à lire des traces qui nous éclairent et sur la nuit de l'histoire et sur ses plus sombres clartés.

Joël Vernet, « L'ENVOÛTEMENT DES SAPINIÈRES »

Après les considérations qu'elles ont suscitées malgré moi, les images que nous offre Jean-Luc MEYSSONNIER outrepassent le plan élémentaire de notre regard, pour toucher le lieu subtil où le songe éveille notre imaginaire et nous voici dans une étrange nostalgie.

Pierre Rabhi, « L'ÉTERNITÉ SILENCIEUSE »

« La précision d'expression »

Jean-Luc Meyssonnier ne s'est pas toujours tenu à la manière blanche. C'est l'étude des surfaces qui l'y a conduit et celle de la neige sur laquelle s'inscrivent les branches, une touffe d'herbe, un fétu. Du coup apparaissent d'étranges idéogrammes de la nature. Au fil de cette recherche, Jean-Luc Meyssonnier a soudainement découvert les pierres de l'Ardèche, ces dalles accumulées au bord de la rivière qui établissent une géométrie de fissures tout à fait énigmatique. Il a su en capter à la fois la rigueur et la fantaisie, en la traitant avec une économie de moyens exemplaire. Chacune de ses images est le résultat d'un choix qui révèle la multiplication des formes et, j'insiste, leur écriture. Il excelle aussi à en célébrer l'équilibre cosmique, cet entassement tabulaire qui rend l'eau proche plus fluide encore, mais qu'il évite pour s'en tenir au pétrifié. C'est de lithographie qu'il s'agit avec la volonté de ne jamais céder au pittoresque, mais d'aller à l'épure, au trait, à la sécante, à ce mystérieux carré de l'hypoténuse qu'il faut toujours démontrer. La photographie est chez Jean-Luc Meyssonnier plus le blanc que le noir, et une détermination d'effacer l'ombre. Cet acharnement à transcrire l'essentiel caractérise sa démarche exigeante et austère. Ce qu'il faut bien appeler la précision d'expression. Charles-Henri FAVROD, Ancien Directeur du musée de l'Elysée à LAUSANNE.

Repères biographiques

Jean-Luc Meyssonnier est né en 1960 à Largentière où il vit et travaille. Pris de passion pour la photographie, il suit des études de photographie à Lyon, puis il développe très vite un travail personnel. De 1980 à 1985, il devient l'assistant du sculpteur et photographe Michel Sima (1912-1987) installé en Ardèche. Cette rencontre déterminante va l'accompagner dans sa carrière. Meyssonnier aura le privilège de devenir le tireur de son fonds photographique. En 2008, il lui rend hommage en collaborant à la monographie « Michel Sima, ateliers d'artiste », co-éditée par Benteli à Bern (Suisse) et Snoeck à Gand (Belgique). Depuis une vingtaine d'années, plusieurs expositions personnelles lui sont consacrées, en particulier dans les galeries Eterso, à Paris, Vrais Rêves à Lyon, L'Ours à Bourges et à l'Espace Saint-François en Suisse. En 2010, Dominique Thibaud (Galerie Mirabilia à Lagorce, Ardèche) lui a consacré une rétrospective. Meyssonnier participe également à de nombreuses expositions collectives : Paris (Photo4), Lausanne, Bienne, Annecy, Lyon, Royan, Le Mans. En parallèle, il est régulièrement invité à collaborer à des livres d'art (François Burland, Jules Desbois, Gérard Lattier, Michel Sima). Son travail est présenté de façon permanente à la galerie Mirabilia, à Lagorce, en Ardèche.

www.meyssonnier.com

 

 

 

 

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L'enjeu classique

Photographie © Laure Albin Guillot

 

 

 

« L'enjeu classique »

Photographies de Laure Albin Guillot (1879?1962)

Du 5 juin 2013 au 1er septembre 2013
Musée de l'Elysée
Avenue de l'Elysée 18
1014 Lausanne
Switzerland

Laure Albin Guillot, un « nom sonore qui devait devenir fameux », peut-on lire au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Le paysage photographique français de ce milieu de siècle est en effet singulièrement marqué par la signature et par l'aura de cette artiste qui, de son vivant, fut certainement la plus exposée et reconnue.

L'exposition présentée au Musée de l'Elysée est organisée par le Jeu de Paume à Paris. Elle réunit un ensemble conséquent de 200 épreuves et de livres originaux de Laure Albin Guillot, ainsi que des magazines et documents d'époque issus de collections privées et publiques. Une grande partie des tirages originaux et documents exposés proviennent des collections de l'Agence Roger-Viollet, en collaboration avec la Parisienne de Photographie, qui fit l'acquisition du fonds d'atelier Laure Albin Guillot en 1964. Composée de 52'000 négatifs et de 20'000 épreuves, cette source a permis de questionner l'oeuvre et la place que la photographe occupe réellement dans l'histoire. Dans le paysage artistique français des années 1920-1940, où la modernité et la production d'avant-garde connaissent les faveurs de notre regard et de notre goût contemporains, la photographie de l'artiste pourrait sembler relever d'une tradition à contre-courant. C'est pourtant cette photographie, incarnant le classicisme et un certain « style français », qui fut largement célébrée à l'époque.

Si la photographie de Laure Albin Guillot est incontestablement l'une des plus en vogue dans l'entredeux-guerres, sa personnalité reste aujourd'hui une énigme. Car, paradoxalement, peu d'études ont été consacrées à l'oeuvre et à la carrière de cette artiste. Ses premières oeuvres apparaissent dans les salons et les publications au début des années 1920, mais c'est essentiellement au cours des années 1930 et 1940 que Laure Albin Guillot, artiste et figure institutionnelle, occupe et domine la scène photographique. Photographe indépendante, elle se consacre à des genres variés comme le portrait, le nu, le paysage, la nature morte et, dans une moindre mesure, le reportage. Technicienne hors pair, elle élève la pratique jusqu'à un certain élitisme. Photographe de son temps, elle utilise les nouveaux modes de diffusion de l'image et fournit à la presse et à l'édition des illustrations et des créations publicitaires. Elle est notamment l'une des premières en France à envisager l'application décorative de la photographie par ses recherches formelles avec l'infiniment petit. Avec la photomicrographie, qu'elle renomme « micrographie », Laure Albin Guillot offre ainsi de nouvelles perspectives créatrices combinant science et arts plastiques.

Enfin, à la fois membre de la Société des artistes décorateurs, de la Société française de photographie, directrice des archives photographiques de la Direction générale des Beaux-Arts (futur ministère de la Culture) et directrice du premier projet de Cinémathèque nationale, présidente de l'Union féminine des carrières libérales, elle apparaît comme l'une des personnalités les plus actives et les plus conscientes des enjeux photographiques et culturels de son époque.

Commissaires de l'exposition

Delphine Desveaux (Directrice des collections Roger-Viollet à la Parisienne de Photographie)?Michaël Houlette (Commissaire et coordinateur d'expositions, Jeu de Paume)?Daniel Girardin (Commissaire coordinateur, Musée de l'Elysée)

 

www.elysee.ch

 

 

 

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Trilogie

De la série In Jesus' Name, 2012 © Christian Lutz

 

 

 

« Trilogie »

Photographies de Christian Lutz

Du 5 juin 2013 au 1er septembre 2013
Musée de l'Elysée
Avenue de l'Elysée 18
1014 Lausanne
Switzerland

New York, 2003. Autour du président de la Confédération helvétique, Pascal Couchepin, s'agite un déploiement sécuritaire spectaculaire. Cette image frappe l'oeil du photographe qui se trouve sur place. Christian Lutz s'invite dès lors dans les valises de la délégation ministérielle et suivra ses différentes activités de représentation durant trois ans. En 2007, il sort le premier ouvrage de ce qui deviendra bientôt sa trilogie sur le pouvoir, Protokoll. Il poursuit avec Tropical Gift, en 2010, sur le commerce du pétrole et du gaz au Nigeria.

Après les mises en scène rigoureusement codifiées du politique, l'objectif incisif du photographe soulève les trappes malodorantes d'un pouvoir économique mortifère, tout en convoquant une poésie visuelle troublante. Dans son viseur et sans préavis, la réalité glisse vers un thriller entêtant. Les deux premiers volets de la trilogie s'exposent dans le monde entier et inscrivent Christian Lutz parmi les photographes qui comptent aujourd'hui. ??La troisième série, In Jesus' Name, encore inédite, connaît un tout autre sort. Pendant une année, Christian Lutz s'immerge dans une communauté évangélique basée à Zurich. Célébrations et concert de rock, camps de vacances, dons de sang, il photographie tous les événements auxquels il est convié. Or le livre, à peine sorti en novembre 2012, se voit interdit par la justice zurichoise. 21 personnes apparaissant dans l'ouvrage portent plainte pour atteinte à l'image. Les plaintes sont soigneusement organisées par les responsables de l'église. Au stade des mesures provisionnelles, la justice tranche toutefois en défaveur de la liberté d'expression et de la liberté d'informer.

L'exposition Trilogie parcourt l'ensemble de cette enquête en trois temps, avec un éclairage particulier sur le dernier volet. Celui-ci ouvre à son tour sur un autre pouvoir, le judiciaire. Inquiétant, déroutant, ce quatrième pouvoir interroge ici la démocratie et la liberté artistique. Mais en poussant l'art dans ses retranchements, il semble lui intimer de renouer avec sa dimension politique et d'éprouver les systèmes établis, en provoquant le débat.

Christian Lutz (Suisse, 1973) étudie la photographie à l'Ecole supérieure des arts et de l'image « Le 75 » à Bruxelles. Il est représenté par les agences VU' à Paris et Strates à Lausanne. Son travail photographique, distingué par de nombreux prix, est régulièrement exposé en Suisse et à l'étranger.?

Commissaire

Daniel Girardin (Conservateur en chef) et Sam Stourdzé (Directeur).

 

www.agencevu.com
www.elysee.ch

 

 

 

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Automne Photographique en Champsaur

 

 

 

« Automne Photographique en Champsaur »

Première édition

Date limite du dépot des images le 30 août 2013

Créée en ce début d'année 2013, l'association "Regards Alpins" s'est donnée pour but l'organisation de manifestations et d'activités de tout type ayant pour thème la photographie en milieu montagnard, au sein de l'Arc Alpin.

Elle propose : les 1ères Rencontres "Automne Photographique en Champsaur". Les 21 et 22 septembre 2013 à Forest-Saint-Julien (Hautes-Alpes)

Ces Rencontres ont pour objectif de rassembler des artistes de tous horizons utilisant le médium photographique pour illustrer la richesse et la diversité du milieu montagnard, au sein de l'Arc Alpin, dans toutes ses composantes et dimensions.

Amateurs ou professionnels, artistes émergents ou talents confirmés : vous êtes tous conviés à ces Rencontres pour nous faire partager votre regard, votre démarche, votre sensibilité...

Pour plus d'informations veuillez suivre le lien ci-dessous

 

www.regards-alpins.eu

 

 

 

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Festival Pose partage

Photographie © Marie Vidal

 

 

 

« Festival Pose partage »

Exposition, conférence, atelier...

Le 10 et 11 août
Centre sociaux culturel
80320 Chaulnes

Ouverture de 10 à 18h

Un festival ouvert

Le festival photo Pose partage (anciennement festival Pix populi) a pour vocation de réunir des passionnés de photographie de tous horizons autour de thématiques liées à la discipline, à l'occasion d'expositions, conférences, débats, ateliers, dédicaces et sorties photo.

Expositions

Levarwest, Franky Giannilivigni, Xavier Delorme, Marie Vidal, Karine Andreï, Barbara Rhumel, Véronique De Paermentier Spalletti, Nathalie Darras, Julien Frey, Alain Fournier, Nicolas Rottiers; Philippe Lando, Loïc Goblet, David Keochkerian, François Cailleret, Jean- Marie Dominois + invités surprise...

Conférences

« Un autre regard », par Marie Vidal, photographe professionnelle indépendante.

« La photographie animalière responsable, une approche naturaliste », par Karine Andreï, photographe professionnelle et éleveuse de brebis.

« Comment penser une photo, de l'idée à la publication », par Franky Giannilivigni, photographe et formateur photo professionnel.

« La chasse aux orages », par Xavier Delorme, chasseur d'orages professionnel

Ateliers et sorties sur le terrain

« Atelier prise de vue et post-traitement : "Impact d'objet" », animé par Levarwest, graphiste/photographe, Marseille

« Sortie photo nature sur le larris de la montagne de Vaux », animé par Philippe Lando, naturaliste, Bray sur Somme

Le festival Pose partage est un festival photo qui se tient chaque année en France, à Chaulnes, ville de Picardie située à une heure de Paris et de Lille. Organisé conjointement par l'association du festival photo Pose partage, l'OCLC (Office de la culture et des loisirs) de Chaulnes et le portail photographique Pose partage, il mobilise des photographes de France et d'Europe durant deux jours autour de différentes manifestations sur le thème de la photographie : expositions photo, conférences, ateliers photographiques, sorties sur le terrain, dédicaces de livres...

 

www.festival.posepartage.fr

 

 

 

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36 vues du Mont-Aiguille

Photographie © Bernard Fontanel

 

 

 

« 36 vues du Mont-Aiguille »

Photographies de Bernard Fontanel

Du 23 juillet au 11 août
Hameau de Maissenas
38650 Roissard

L'exposition sera ouverte tous les jours de 15h à 19h avec 2 autres nocturnes, les 29 juillet et 5 août

Inspiré par les « 36 vues du Mont Fuji » du peintre japonais Katsushika Hokusai (1760-1849), Bernard Fontanel a intitulé son nouveau travail photographique « 36 vues du Mont Aiguille ». Le mont Aiguille proche ou lointain, seul ou accompagnant les habitants de son territoire est effectivement présent dans chacune des 36 images de cette série, mais en saisissant cette montagne mythique déjà mille fois représentée, c'est pourtant sur un parcours intime et poétique que Bernard Fontanel réussit à convier le regard.

Autodidacte, avide de connaître, sans cesse en mouvement, Bernard Fontanel vit de nombreuses années à l'étranger où il exerce de multiples métiers. De retour à Grenoble, passionné d'art graphique contemporain, il est un temps encadreur d'art avant de se former à la photographie et au tirage argentiques.

Au fil de ses expositions, il fait sien ce médium et crée un langage pictural contrasté qui se joue de la temporalité. Il choisit de s'exprimer à travers le format carré (6x6) en noir et blanc et le long processus de la photographie argentique avec le temps qui s'écoule et le doute toujours présent à chaque étape.

Dans ce travail autour du Mont Aiguille, la force de la beauté graphique parfois presque abstraite de la composition de certaines images, confère à ce paysage très ancré dans le territoire du Trièves, un caractère universel et intemporel que chaque regard peut s'approprier en même temps qu'il peut s'arrêter et s'interroger sur l'éphémère. La tendresse et le respect qui émanent des portraits de Bernard Fontanel font penser à un long détour pour se rapprocher des humains.

Françoise Mugnier, 2013.

Fiche technique : 36 photos argentiques (plein cadre) noir & blanc, tirées sur papier baryté au format 40x40 cm.

 

www.fontanel.ultra-book.com/book

 

 

 

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Souviens toi de ta noblesse

 

 

 

« Souviens toi de ta noblesse »

Photographies Sylvie-Constance De Pasquale et Jean-Noël Lanthiez

Du 2 au 30 juillet 2013
La fontaine obscure,
24, avenue Henri Poncet,
13090 Aix-en-Provence
04 42 27 82 41

Entrée gratuite
Tous les jours sauf lundi, dimanche et jours fériés de 15h à 19h et le samedi de 10h-12h
VERNISSAGE le mercredi 3 juillet à 18h30

Diptyques photographiques.

Portraits et dons des compagnons d'Emmaüs

des communautés de Cabriès et de Pointe Rouge.

Pour le compagnon, la question du don est primordiale, elle conditionne sa participation au projet photographique.

Il doit s'interroger : donner ? quoi ? Pourquoi moi ? Que puis-je donner ? Quoi partager ?

Eux à qui nous donnons les objets dont nous ne voulons plus, nous souhaitons au travers du processus créatif leur offrir la possibilité de donner en retour, Leur permettant de renouer avec leur dignité.

Chacun des participants se trouve obligé avant la séance de plonger à l'intérieur de lui-même, renouant avec ce qui est cher pour lui, ce qui l'anime, sa part de noblesse en quelque sorte.

 

www.arcadiffusion.com
www.fontaine-obscure.com

 

 

 

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Stéphanie Bade Zolotareff

Photographie © Stéphanie Bade Zolotareff

 

 

 

« Stéphanie Bade Zolotareff »

Photographies de Stéphanie Bade Zolotareff

Du 1 juin au 31 juillet 2013
Galerie les Z'Arts-D...eurs
5 rue Bir Hakeim
07000 Privas

Du mardi au Samedi
De 10h à 13h
Et le vendredi de 14h30 à 17h30

Le travail photographique de Stéphanie Bade Zolotareff se trament autour d'une certaine esthétique parfois kitche, mêlant humour et sensualité, où la femme occupe le rôle principal. Une représentation de la femme et de sa beauté aux multiples facettes. Des femmes qui se la jouent parfois fatales sans pour autant se prendre au sérieux, qui s'assument, telles parfois des héroïnes décalées et drôles...

 

www.sbadezolotareff.com
www.leszartsdeurs.blogspot.fr

 

 

 

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Pierre Coulibeuf

Photographie © Pierre Coulibeuf

 

 

 

« Pierre Coulibeuf »

Installation photo et vidéo

Du 2 mai au 11 juillet
lux Scène nationale
36 bd du général de Gaulle
26000 Valence

mardi de 13h à 20h30
mercredi, jeudi, vendredi de 14h à 20h30
samedi de 16h à 20h30
dimanche de 16h à 19h30
(de septembre à mars)
Fermé le lundi et les jours fériés, les expositions sont ouvertes les soirs de programmation.

Pierre Coulibeuf réalise des fictions et des films-installations qui jouent avec la photographie, le cinéma, la video.

La création contemporaine est le matériau de son travail. Ses ?uvres, aujourd'hui présentées dans le monde entier, bousculent les codes cinématographiques et les modes de représentation de l'image. Elles inventent un lieu et un langage à la frontière des disciplines, critiquent les formes établies, questionnent le corps et son langage, et les modes de représentation de la réalité. Depuis 1987, il développe un projet interdisciplinaire. Il réalise des fictions expérimentales qui investissent savamment le champ de l'art, et dans lesquelles les changements d'identité affectent les univers et les artistes qui inspirent ses oeuvres comme Pierre Klossowski, Michelangelo Pistoletto, Marina Abramovic, Michel Butor, Jan Fabre, Benoît Lachambre, Angelin Preljocaj, Maurice Blanchot. Sans relâche, Pierre Coulibeuf interroge son rapport au monde et invente son propre langage hors des sentiers battus.

 

www.lux-valence.com

 

 

 

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fALSEfAKES - VRAIFAUXSEMBLANT

Photographie © Pierre de Fenoÿl

 

 

 

« fALSEfAKES - VRAIFAUXSEMBLANT »

50JPG 2013 ( 50 jours pour la photographie )

Du 5 juin au 28 juillet 2013
Centre de la photographie - genève
28, rue des Bains
CH - 1205 Genève

vernissage le 4 juin 2013 dès 18h

fALSEfAKES est la suite de la programmation des dernières douze années du CPG, soucieuse de proposer des positions artistiques contemporaines susceptibles de prolonger dans le présent ce que Walker Evans, à la fin de sa vie, utilisait comme terme pour décrire sa démarche : " Style documentaire " . Cette programmation a été construite avec la conscience que le style sera moins une question de stylistique que d'éthique, c'est-à-dire une façon de tenir son sujet à distance, d'inclure le hors-champ comme dynamique produite par le spectateur, de penser non seulement la production d'images, mais aussi leur diffusion et leur cohabitation avec d'autres sources d'images. Ces 77 expositions individuelles et 15 expositions collectives ont aussi mené vers d'autres champs d'investigation liés de près ou de loin au style documentaire, que ce soit " l'archivisme " ou les " études visuelles ". Mais peut-être le " style documentaire " a-t-il trouvé son apogée avec l'oeuvre de Bernd et Hilla Becher et les débuts des oeuvres de leurs étudiants, qui eux-mêmes incarnent - comme Andreas Gursky, Thomas Struth ou Thomas Ruff, pour ne citer qu'eux - non seulement la grandeur mais aussi la décadence de ce style.

Entre leurs débuts à la fin des années 80 et aujourd'hui 2013, les élites, principalement occidentales, ont profondément changé le monde et le monde des images, avec l'année 2001 comme accélérateur des politiques paranoïaques. Le mensonge est devenu raison d'Etat et le catastrophisme la nouvelle religion propulsée par les mass médias. Ce que Guy Debord avançait comme horizon de l'horreur dans les années 60 et 70 et ce que Jean Baudrillard a prophétisé et synthétisé dans les années 80 a pris une tournure qu'aucun des deux penseurs - et pourtant nous parlons des plus lucides que nous ayons connus dans la seconde partie du XXe siècle - n'aurait pu prédire.

Bien avant la digitalisation des photographies, qui démarre lentement dans les années 90, des artistes avaient commencé à subvertir la notion de " document ", terme qui colle à la peau de la photographie depuis qu'elle a été ce fantastique instrument pour l'avancée et la popularisation des sciences, surtout - mais pas seulement - naturelles, dans le XIXe siècle, positivisme à l'appui. Cette " croyance " en la force documentaire a été profondément mise en cause par des artistes tels que Cindy Sherman et Jeff Wall à partir de la fin des années 70.

Tant que le vrai faux document restait dans le domaine du symbolique, du côté de l'art, il n'y avait rien à craindre. Mais comme la photographie est ce médium d'une extrême porosité, capable de ronger des catégories et des hiérarchies, elle s'est infiltrée dans le musée (en ruine) aussi avec des images d'actualité, de sciences, etc. Avec le résultat qu'aujourd'hui les actualités ou le social, par exemple, sont traités par les photographes les plus intéressants dans ce domaine avec l'ambition de faire virer leur trace documentaire vers la fiction, tandis que le monde construit et façonné par les femmes et les hommes ressemble de plus en plus à du déjà-vu et que, par conséquent, nos références sont de plus en plus corrompues.

C'est à partir de telles réflexions que *fALSEfAKES* est un essai non pas d'expliquer ce monde chaotique, mais d'être un chaos en soi, laissant le spectateur démuni - dans un premier temps - de toute référence, mais, par le biais d'un guide, offrant la possibilité d'au moins cerner la violence des entrechocs des images, fixes et en mouvement, exposées, provenant des sources les plus diverses. Occupant tous les espaces du " Commun " et du CPG sur 700 m2, *fALSEfAKES* fera par moments écho à des expositions antérieurs ainsi qu'aux deux dernières éditions des 50JPG (PHOTO-TRAFIC de 2006 et LA REVANCHE DE L'ARCHIVE PHOTOGRAPHIQUE de 2010).

Joerg Bader, commissaire de l'exposition? Directeur du Centre de la photographie Genève

 

www.centrephotogeneve.ch

 

 

 

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New Reading Portraits

© New reading portraits 2005 - Mami Kiyoshi

 

 

 

« New Reading Portraits »

Photographies de Mami Kiyoshi

Exposition 30 mai - 27 juillet 2013
Regard Sud
1/3 rue des Pierres Plantées
69001 Lyon
+33 (0)4 78 27 44 67

Ouvert du mardi au samedi de 14h à 19h et sur rendez-vous

Mami Kiyoshi réalise des petits contes photographiques de l'ordinaire.À la fois documentaire et imaginaire, la mise en scène lui permet de montrerque la vie peut être un mythe. Aussi esthétiques qu'humoristiques, ses photos rappellent le cinéma muet. On retrouve dans son travail des éléments de style des peintres Flamands du 15ème siècle, Jan van Eyck a inspiré son travail sur de nombreux aspects.

La série « New Reading Portraits » a permis a Mami Kiyoshi de recevoir la mention spéciale du jury de la Bourse du Talent Portrait 2012.

 

www.kiyoshimami.com
www.regardsud.com

 

 

 

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Désir de collection

UPI Photo

 

 

 

« Désir de collection »

Dieter Appelt - Thomas Chable - Serge Clément - Beatrix von Conta - Jacques Damez - François Deladerrière - Lionel Fourneaux - Rip Hopkins - William Klein - Jacques-Henri Lartigue - Géraldine Lay - Jean-Claude Palisse - Bernard Plossu - Marc Riboud - Denis Roche - Photographies anonymes

Du 17 mai au 27 juillet
Galerie le réverbère
Catherine Dérioz
JaCques Damez
38, rue BurDeau
69001 Lyon

Du mercredi au samedi de 14 h à 19 h et sur rendez- vous en dehors de ces horaires.
Vernissage le jeudi 16 mai de 18h à 21h, en présence des photographes.

Désir désigne spécialement, selon le dictionnaire, l'appétence sexuelle, la libido con- sciente. Collection désigne la réunion d'objets ayant un intérêt esthétique, historique ou scientifique. Ici s'ouvre l'abysse d'une pratique qui exaspère et console le sentiment que jamais nous n'accéderons à la réunion exhaustive de nos désirs.

Dans l'obscurité initiale de nos pulsions, les premiers objets se regroupent en deçà du désir, c'est à dire dans l'inconscient. Là, la magie de la présence et de la rencontre des choses devient tonitruante - nous ne pouvons pas l'ignorer - rappelons nous la fameuse "rencontre fortuite sur une table de dissection d'une machine à coudre et d'un parapluie !" des Chants de Maldoror de Lautréamont. C'est dans ces hasards convoqués que le désir trouve sa source, le conscient se met en marche et la collection se dessine. Les méandres de nos sidérations trouvent des images qui, dans leurs successions et as- sociations, mettent en lumière nos aveuglements.

La collection est une cartographie intime de nos perceptions. Une mise à plat, dans tous les sens du terme, de l'espace mental. Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise collection si elle est incarnée ; elle devient l'itinéraire d'une présence au monde et demande la plus grande attention du regard et de l'intelligence pour être bien comprise. Lesoeuvres qui la constituent ont toutes été produites indépendamment les unes des autres, seul le collectionneur les met en connivence et leur donne sens. Sa liberté, son plaisir, son désir organisent les rencontres et nous offrent la construction d'un univers. Les anonymes peuvent côtoyer les plus grands noms : ce n'est pas la signature qui importe mais les passages, les directions rectilignes d'un esprit qui préside.

Attention à ne pas se laisser aller à la facilité ; la littéralité des apparences est un piège, les lectures dites savantes, souvent synonymes de conventionnelles, sont inopérantes. Ce qui s'expose est le véritable compère de l'inouï, du mystérieux, il ne suffit pas de le passer sous les fourches caudines de l'expertise pour en déceler l'importance. C'est une affaire d'intelligence des écarts qui scelle et forme le sens d'une perception particulière, privée. Souvent le terme de collection privée est employé pour désigner un ensemble d'oeuvres regroupées par une même personne, cette expression est comprise comme la privatisation d'un bien. Et si le mot privé, ici, soulignait le propre à chacun, ce que personne d'autre n'est capable de réaliser ? La collection devient dès lors une oeuvre en soi, elle signe ceux qui la créent et est signée par eux.

Désir de collection est une exposition qui engage un dialogue entre les photographies des artistes de la galerie, représentés par des oeuvres singulières, soit inédites, soit chargées d'une importance toute particulière à nos yeux, avec un choix de photographes invités qui accompagnent et complètent le champ de nos intérêts. Une sélection d'images anonymes* soulignera que la magie et la fascination de photographies non attribuées, si fortement chargées d'une fulgurante beauté, a tout à fait sa place aux côtés de la beauté signée.

Notre seul but est de chercher la preuve que ces photographies arrangées et disposées en une exposition créent un remue-ménage, une aura très particulière : le plaisir du désir. Raoul Hausmann, photographe et poète, mais qui malheureusement sera absent de nos murs, écrivait "Nommer les choses, c'est les tuer ; les imaginer, c'est les créer."

Jacques Damez, Février 2013

 

www.galerielereverbere.com

 

 

 

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Regards d'artistes contemporains sur la Tourette

Photographie © Stéphane Couturier

 

 

 

« Regards d'artistes contemporains sur la Tourette »

Photographies de Philippe Chancel, Franck Christen, Stéphane Couturier, Marie-Noëlle Décoret, François Diot, George Dupin, Pascal Hausherr, Jacqueline Salmon.

Du samedi 13 avril à fin juillet 2013
Couvent de La Tourette
BP 105 - Eveux
69591 L'ARBRESLE

Vernissage le vendredi 12 avril 18h00

A l'occasion de l'achèvement du chantier de restauration du couvent de La Tourette, qui aura duré six ans, une exposition de photographies est organisée.

Cette exposition associe un certain nombre de regards de photographes artistes qui depuis quelques années sont invités par les frères dominicains en résidence à La Tourette.

A travers leurs photographies ils renouvellent notre regard sur l'architecture du couvent et montrent toute la richesse que recèlent les lieux.

Ils témoignent à leur manière de la fascination que le couvent continue d'exercer.

Outre des photographies d'archives présentées pour la première fois, un ensemble de photographies, réalisées au cours de ces dernières années par chacun de ces artistes, sera exposé au sein même du couvent.

 

www.couventdelatourette.fr

 

 

 

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La nuit des images

 

 

 

« La nuit des images »

Édition 2013

Le 27 et le 28 juin 2013 en soirée.
Jardin du Musée de l'Élysée
18, avenue de l'Elysée
1014 Lausanne - Switzerland

Nouvelle formule pour la Nuit des images : deux soirées événements dans les jardins de l'Elysée !

Jeudi 27 juin 2013, dès 21h?Ciné-concert du musicien Rodolphe Burger et de l'écrivain Pierre Alferi?

Vendredi 28 juin 2013, dès 18h?Les coups de coeur du Musée de l'Elysée : 40 projections, le salon du livre On Print, des animations photographiques pour petits et grands, l'anniversaire de René Burri, le voyage à Cuba de Andres Serrano, la présence envoûtante d'Anouk Aimée...

LA FABRIQUE DE L'IMAGE sera présente avec son Labo Mobile le 28 juin pour accompagner l'animation de Francis Traunig " VENEZ VOIR UN VERRE" et faites-vous photographier dès 18h. C'est sous une plaque de verre que le photographe installera son appareil pour vous proposer des portraits inoubliables.

 

www.elysee.ch/la-nuit-des-images

 

 

 

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Incartades / 77 correspondances

Photographie © Ernesto Timor

 

 

 

« Incartades / 77 correspondances »

Photographies de Ernesto Timor

Du 3 au 29 juin
Espace culturel Albert Camus
1 rue Maryse Bastié
69500 Bron
T2 / C15 arrêt Rebufer

Entrée libre. Du lundi au vendredi de 13h à 18h. Toute la soirée le 11 juin (présentation de saison). Le 26 juin de 18 à 20h, visite commentée et projection

Je vous invite à un voyage dans mon ensemble de cartes postales Timor Rocks ! (77 parues au 15 mai 2013, 7e année !)

Tous les mois, je pressens quelle image et aucune autre aura sa place dans cette collection virtuellement timbrée. Cela parle de réel, de doute, de petites et grandes illusions, de présences furtives. Esthétiquement, pas de préméditation, plutôt une ligne qui s'est dégagée d'elle-même, avec le souci qu'ont tous les périodiques (même si celui-ci tient initialement en un rectangle muet de 10 x 15 cm) : chaque fois veiller à surprendre en douceur tout en restant familier, faire se rencontrer des publics aux approches différentes. Il s'agit là d'un genre de correspondances muettes et têtues que je maile comme de photographiques bouteilles à la mer... Pour la première fois, douze élues sont exposées en grand format, l'intégrale se donne à voir en mosaïques chronologiques.

 

www.timor-rocks.com
www.albertcamus-bron.fr

 

 

 

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Lines and prints

Photographies © Virginie BLANCHARD

 

 

 

« Lines and prints »

Expoxition collective : Marie-C BÉGUET - Virginie BLANCHARD - Émeline GIRAULT - Amélie JOOS - Estelle MORICONI - Anne SALIGAN - Pierre SALVAN - Xavier SPATAFORA

Du 31 mai au 30 juin 2013
Le 8 bis
8 bis rue du Rhône
30150 Roquemaure

VERNISSAGE le 31 mai 2013, à partir de 19h
Ouvert sur rendez-vous du 3 au 30 juin 2013

Cette exposition se veut graphique et relève du dessin, de la gravure, de la photographie :

de la ligne & de ses impressions.

Ces média, propices au multiple et la déclinaison, permettent à l'artiste d'opérer des variations,

à la recherche de son propre langage. Vers une syntaxe pour déchiffrer et s'approprier le réel.

 

 

 

 

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Arbres flous

Photographie © Denis Lebioda

 

 

 

« Arbres flous »

Photographies de Denis Lebioda

Du 31 Mai au 30 juin
Musée des Racines
Place de l'église
36400 THEVET-SAINT-JULIEN
Téléphone : 02 54 30 05 91

Exposition ouverte les vendredis, samedis, dimanches et lundis de 15h à 18h.
Entrée à 2€

https://www.facebook.com/musee.des.racines::www.facebook.com/musee.des.racines

 

www.photo-denis-lebioda.net

 

 

 

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Paysage et Macro

Photographie © Aude Lavenant

 

 

 

« Paysage et Macro »

Stage prises de vues

Dimanche 29 juin 2013 - 9h à 18h
SERRE CHAUVIÈRE
Au dessus de Montmaur-en-Diois (26150)

Panorama sur la haute vallée de la Drôme et les montagnes du Diois

Encadré par Aude Lavenant

La Balance des Blancs vous propose une journée de prise de vue pour vous immerger en pleine nature et photographier les magnifiques paysages du Diois. Selon votre niveau en photo, vous pourrez soit vous initier, soit vous exercer à la macrophoto et à la photo de paysage.

Toute la journée, vous serez guidé par Aude Lavenant qui vous aidera à améliorer vos compositions, à régler votre appareil, à développer votre regard et à réaliser des images de plus en plus maîtrisées et créatives.

 

www.labalancedesblancs.net

 

 

 

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La Pesée des �mes

Photographie © Christophe Moustier

 

 

 

« La Pesée des Âmes »

Photographies de Christophe Moustier

Du 5 au 29 juin 2013
La fontaine obscure,
24, avenue Henri Poncet,
13090 Aix-en-Provence
04 42 27 82 41

Entrée gratuite
Tous les jours sauf lundi, dimanche et jours fériés de 15h à 19h et le samedi de 10h-12h
VERNISSAGE le vendredi 5 juin à 18h30

"La Pesée des Âmes" est une expérimentation interactive, qui a déjà vu passer un millier de visiteurs, et qui invite les Regardeurs à s'exprimer.

Le principe de la Pesée des Âmes est une installation qui permet à chaque visiteur d'exercer simplement son ?il et ainsi sa propre capacité à percevoir des compositions en identifiant si selon lui chaque image a plus été conçue en fonction de la présence d'un point de fuite ou d'un motif. Chacun est donc invité à mettre littéralement son grain de sel dans des vases devant chaque tirage pour répondre à la simple question « Motif ou point de fuite ? ».

Christophe Moustier a une formation universitaire et scientifique qui motive une démarche basée sur la décomposition de la photographie pour mieux en cerner les fondements et jouer avec eux.

Cette approche lui ouvre alors tout un éventail de possibles qu'il capture en constatant que ces compositions posent un ?il figé dans une fraction de seconde et créent des histoires inattendues chez les Regardeurs.

La FONTAINE OBSCURE offre aux photographes et aux «regardeurs» un espace photographique ouvert sur le monde, toutes sortes de mondes ; les élèves des écoles alentours, les voisins et curieux, les photographes amateurs ou professionnels, les apprentis photographes qui viennent pour les cours et les stages, les étudiants des universités...

Une galerie claire et spacieuse pour exposer tous les mois de nouveaux photographes.

 

www.christophe.moustier.free.fr
www.fontaine-obscure.com

 

 

 

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OrTem

Photographie © Marie-Samantha Salvy / Fabien Cabanas

 

 

 

« OrTem »

Photographies de Marie-Samantha Salvy

Du 1er au 30 juin 2013
Bar sur les quais
26400 Crest

Du lundi au vendredi de 11h30 à 23h, et ouverture avancée à 9h le mardi et le samedi
Vernissage le samedi 1er juin à 11h30 au bar sur les quais de Crest.
A cette occasion sera offert un verre ainsi qu'une micro-performance poétique et musicale.

- OrTem -

Paris 2003 - sous terre.

Il y a la respiration diffuse du système de ventilation,

le grincement des rails,

le frottement des corps,

et au loin quelques notes de musique perdues.

Il y a la fragrance des grandes villes.

Il y a le mouvement dans l'immobilité.

Il y a les solitudes qui s'additionnent pour s'effacer ...

Alors, lentement se digèrent les fantômes dans le transit urbain .

Marie-Samantha Salvy

 

 

 

 

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Montagne défaite

Photographie © Olivier de Sépibus

 

 

 

« Montagne défaite »

Photographies de Olivier de Sépibus

Du 22 mai au 29 juin
Bibliothèque Kateb Yacine
?Centre commercial Grand'Place
38000 Grenoble

Mercredi 5 juin à 18h30 : vernissage

Axe essentiel de son travail de plasticien et photographe, son questionnement sur la nature et l'impact de l'activité de l'homme le conduisent à dépasser les stéréotypes du paysage. Jouant sur les plans, les plis, le minéral, le proche et le lointain, les grands formats, il brouille les repères. Le regardeur, invité à se perdre dans la photographie, fait l'expérience d'inventer son propre paysage.?Une exposition de l'Artothèque municipale de Grenoble.

Lorsqu'il photographie la montagne, Olivier de Sépibus déconstruit notre perception de ces paysages familiers.

 

www.olivier-de-sepibus.com
www.bm-grenoble.fr

 

 

 

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Silent Cry

© Rebecca Bournigault

 

 

 

« Silent Cry »

Exposition de Rebecca Bournigault

Du 24 mai au 6 juillet
GaleRie d'exposition du théâtRe -
Rue de la Recluse
07000 Privas

Entrée libre du mercredi au samedi de 15h à 18h et les soirs de spectacle. Sur réservation pour les groupes scolaires auprès de Marina Coppenhall au 04 75 64 93 39
vernissage jeudi 23 mai à 18h30 en présence de l'artiste

« Rebecca Bournigault, une artiste protéiforme, nommée lors de la première édition du Prix Marcel Duchamp, nous prend en otages dans une exposition tout de bruit et de fureur pour révéler une conscience de solidarité avec les émeutiers. Exposition-commémoration à dimension politique, manifeste autour d'un mouvement social et de sa responsabilité, faisant apparaître une fracture mais aussi une série de stratégies de prévention ou de répression.

Les rumeurs sonores et autres hybridations visuelles nous interrogent sur le fait de devoir lever le regard et guetter les peintures, sorte de camouflage du réel esthétique qui en réalité nous questionne sur nos rapports humains.

Cette lecture nous passionne par des gestes de vie, des moments représentants des émeutiers des continents recensés avec une cartographie minutieuse, force de l'universelle liberté, fragile et cruelle perception d'un désordre sociétal ou nous sommes témoins participatifs de tant d'incertitudes et d'inégalités.

Ces interrogations du réel de notre quotidien face à la consécration et l'apologie de nos consommations en souffrance, concept habile de "l'obsolescence programmée", ces portraits isolés, émeutiers clandestins d'un monde en rupture, entraperçus à la télévision, en tenus et codes vestimentaires selon les coutumes de pays, aux visages et identités masqués, nous tendent et expriment leurs saturations.

A mieux regarder, notre ombre participe en qualité de protagoniste en exil pour mieux lutter contre ces douleurs médiatisées et partagées...

Paradoxe de l'image qui montre et qui se tait...» (...)

Jean-Luc Gerhardt, Commissaire de l'exposition et chargé de mission pour la galerie d'art contemporain du théâtre de Privas.

Rebecca Bournigault utilise aussi bien la vidéo que la photographie ou la peinture. Au centre de ses préoccupations, le portrait semble être le thème le plus souvent abordé. Respectant la tradition classique de l'art du portrait, Rebecca Bournigault a su l'inscrire dans la modernité. Influencée par l'actualité, la vie quotidienne, la musique... L'oeuvre de Rebecca Bournigault utilise l'intime afin d'atteindre l'universel :

« On est le plus souvent dans le réel. La fiction pure a peu de place. Pièce après pièce, je travaille le portrait. Comment, par le portrait, le réel est magnifié. »

« Ce n'est pas un travail analytique. Pour moi, créer, c'est mettre en forme des pensées, des réflexions. »

« J'essaie d'atteindre l'être humain à un moment donné qu'il soit modèle, ou spectateur de mon ?uvre. »

 

www.rebeccartforever.tumblr.com
www.theatredeprivas.com

 

 

 

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Vie est une histoire, Portraits de Cigalois et Autour de Pié de Mar

Photographie © Fabienne Forel

 

 

 

« Vie est une histoire, Portraits de Cigalois et Autour de Pié de Mar »

Photographies de Fabienne Forel

Du 17 mai au 30 juin 2013 Dans les rues de Saint Hippolyte-du-Fort (Gard) pour "Vie est un histoire" Du 17 mai au 31 mai à l'Eglise Réformée Unie de France de Saint Hippolyte-du-Fort (Gard) pour "Autour de Pié de Mar"

Vernissage déambulatoire le 17 mai 2013
Départ à 18h Place des Enfants de Troupe à Saint Hippolyte-du-Fort.

Cette série La vie est une histoire est un hommage aux anciens qui font l'histoire d'un village cévenol.

Qu'ils soient nés ici ou venus de là-bas, leur histoire et leur vie sont inscrites dans ce paysage de pierre et de soleil.

Pié de Mar, cette montagne à la forme étrange, devient ainsi le centre de leur monde.

Avec ces deux expositions de photographies (La vie est une histoire et Autour de Pié de Mar),

Fabienne Forel a voulu parlé du lien physique et affectif de chaque vie humaine avec un territoire particulier.

Quand Fabienne Forel ne parcourt pas le monde, elle vit et travaille à Saint Hippolyte-du-Fort (Gard).

 

www.fabienneforel.com

 

 

 

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La vie dangereuse

Photographie © Marine Lanier

 

 

 

« La vie dangereuse »

Photographies de Marine Lanier

Du 27 mars au 15 juin 2013 (prolonguation jusqu'au 7 juillet)
La fabrique de l'image
2, rue de l'oratoire
07400 Meysse

Du mercredi au samedi
De 16h à 19h et sur rendez-vous

Vernissage le 19 avril à partir de 18h

Le titre La Vie dangereuse est emprunté à l'oeuvre éponyme de Blaise Cendrars. La série poursuit de manière arbitraire le rythme même du parcours d’aventurier de l'écrivain - l'espace littéraire ici lié aux césures géographiques, la déliquescence du sauvage tenue aux soubresauts de la mémoire.
Le propos n'est pas d'illustrer la nouvelle J'ai saigné, mais de faire se rencontrer la fiction et l'autobiographie.
Ces close-up sont comme les fulgurances d'un homme en proie aux délires provoqués par la fièvre. La course folle que j'invente, celle d'un soldat blessé de 1915, est confrontée à la rémanence de mes souvenirs lacunaires. Le récit d'errances impossibles intriqué aux éclats d'une généalogie morcelée.
Images traumatiques, scènes primitives, beautés tragiques, entrevues dans les stases d'un état second, lorsque le corps est chevillé aux hallucinations de la douleur. Survivance d'une mémoire reptilienne qui surnagent par-delà les tréfonds, repoussée aux confins de la vie, dans un lieu suspendu - celui des limbes, en somme.
Ici, il est question de touffeur viciée puis de glace, de danger proche de l'éblouissement, d'une mer boueuse laissant place à la menace de l'animal. Dans le même élan, la puissance d'un feu se dérobe à celle d'une jungle sourde. Quelques montres à gousset, dont le cours du temps est suspendu par la chaleur d'un incendie, font écho aux fragments de voiture brûlée, échouée au hasard d'une île.
Les images bleues de jadis et naguère sont hantées par le spectre de la sauvagerie, les sous-expositions étant le reflet de l'empire du pourissement.
C'est un monde terrien replié en mirages désertiques dont l'impermanence matérielle se déploie en plantes dévorantes et vastes mouvements. Une violence tue où la beauté grave fait se côtoyer constamment un univers de fin du monde à celui du commencement.
Mon travail s'inscrit dans une nature habitée et vivace, recouverte de tâches aveugles, faite de pulsion et de répression, de poursuite et de heurt, d'exaltation et d'épuisement, de crime et de rédemption, de vengeance et de pardon.
Devant le surgissement d'une telle étrangeté, on est encore chez soi ou perdu au milieu de nulle part, remontant le cours d'un fleuve caché, tel un nouveau Fitzcarraldo.
Ces photographies sont l'expression des débords de la vie - plutôt celle d'une soif de vivre qui sait prendre le risque de l'ivresse - celle des liqueurs fortes.

Marine Lanier, décembre 2012

 

www.marinelanier.com
www.fabrique-image.fr

 

 

 

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L'Ardèche Vivante

Photographie © Simon Bugnon

 

 

 

« L'Ardèche Vivante »

Photographies de Simon Bugnon

Du 3 au 16 juin
Centre Culturel de Vals
Salle Volane
3 av. Claude expilly
07600 Vals les Bains

Entrée libre
du lundi au vendredi
8h30 à 12h & 13h30 à 17h30
samedi & dimanche & jour férié
selon les artistes

Simon Bugnon est né à Castellane en 1987. En Ardèche depuis 1992, il s'est intéressé aux différentes facettes de cette région, riche d'une grande diversité naturelle. Son envie de communiquer sa passion pour la nature le fit s'intéresser à la photo vers l'âge de 14 ans. Apprenant de façon autodidacte, il a remporté en 2007 le prix des Jeunes Talents d'Aubenas.

Il travaille en tant que photographe auteur depuis 2008, en proposant notamment la réalisation de reportages et la cession de droits d'auteur. Il a présenté de nombreuses expositions, illustré divers ouvrages et collabore régulièrement avec des magazines de nature. En 2011, il a remporté le prix de la catégorie « une vie d'insecte et d'araignée » au concours international de Montier-en-Der.

 

www.simonbugnon.com
www.vals-les-bains.fr

 

 

 

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Le Sacrifice

Photographie © Marine Lanier

 

 

 

« Le Sacrifice »

Photographies de Marine Lanier

Du 2 au 23 juin 2013
Musée du Guiyang
Guiyang
Chine

Dans le cadre du "Festival Croisements" Marine Lanier expose sa série " Le sacrifice " réalisée en 2006 dans la région du Yunnan (Chine)

Toujours ces mêmes fauves qui rôdent autour de nous. Au-delà d'immenses reliefs nous dominent. Des roches comme des vagues. Le cri des rapaces. Ces masses noires qui tournoient, se frôlent, balayent le passage. La montagne est piquée d'or comme de la lave figée dans le soleil. Il faudra alors se diriger vers les sombres plateaux, vers notre plus profonde rumeur, sentir enfin l'herbe mauve. Celle quittée lors des soirs qui s'allongent.

Qui fait ces prières, qui chante et pagaye sur l'eau noire ? Qui frappe de sa hache ce large pays noir ?

Depuis Canton, les personnes émergent de tous côtés, construisent, détruisent. La poussière s'est collée à l'intérieur de mon corps, tapissé d'une masse grise. Même les costumes blancs réfléchissent le noir. Il y a des pelles à charbon. Mais surtout l'hystérie furieuse de ceux qui vont mourir plus vite.

C'est le vertige des chutes. Un immense paravent face à nous. Une immense humidité s'échoue. Un immense vacarme monte.

Alors ouvrir la gueule du fauve. La tenir béante, tranquillement. Se concentrer sur la force. Cesser de bouger. Caler ma respiration sur celle de la bête.

Peu à peu une tâche brillante. C'est le grand canyon tout jaune de poussière. Autour un champ de fouille. Je découvre alors de minuscules ossements, des fossiles dispersés, jetés au dedans de moi comme mille constellations. Plus loin quelques formes, de la douceur, des dahlias roses posés au fond d'un précipice.

Extrait de Delta, hippocampe, lave - journal de Chine

Marine Lanier, 2006

 

www.marinelanier.com
www.faguowenhua.com

 

 

 

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Photomed 2013 Troisième édition

Photographie © Nino Migliori

 

 

 

« Photomed 2013 Troisième édition »

Festival de la photographie Méditerranéenne

Du 23 mai au 16 juin
Sanary-sur-Mer : 11h - 19h sauf le lundi
Bandol : 8h30 - 12h / 13h30 - 19h (du lundi au vendredi), ouverture le samedi et le dimanche de 10h à 18h
Ile de Bendor : 10h-13h30/14h30-18h tous les jours sauf le lundi
Hôtel des Arts de Toulon : 10h - 18h / Fermeture les lundis et jours fériés

Les 2 premières éditions nous ont confirmé la pertinence de la ligne éditoriale que nous avons choisie: mettre en avant les photographes méditerranéens et les photographies de la Méditerranée, pour permettre à nos publics, professionnels comme visiteurs de se délecter des images des photographes de renom, comme leur faire découvrir de nouveaux talents.

La photographie est un mode d'expression qui couvre un très large spectre du témoignage documentaire, jusqu'à un mode d'expression plasticien à part entière. Elle est donc pratiquée par des auteurs aux profils très variés qui permettent de renouveler ce qui nous est donné à voir continuellement.

Car, la photographie ne se résume pas à des images et une esthétique mais est une véritable écriture, porteuse d'une idée ou d'un message de l'auteur. Photomed a vocation à donner la parole à ces photographes qui nous aident à mieux comprendre le monde méditerranéen et ce que les peuples de ses rives ont en commun.

Bien sûr nous voyons les bouleversements qui se passent autour de nous sur les plans géopolitiques, sociaux, religieux entre autres. Nous pensons que l'art, et en particulier le medium photographique est un moyen de dépasser les limites imposées par des enjeux partisans. De tout temps, l'art a été une manière elliptique de rendre compte du monde dans lequel l'artiste s'inscrit mais aussi par sa capacité à anticiper le futur..

Du 23 mai au 16 juin 2013, le Festival vous emmènera dans un voyage photographique varié, étonnant, surprenant et enrichissant à Sanary, Bandol, sur l'ile de Bendor et à l'hôtel des arts de Toulon. Pour sa 3ème édition, Photomed accueillera 22 expositions, des ateliers de photographie, des lectures de portfolios, des installations qui donneront à ce festival une dimension globale susceptible de répondre aux désirs des divers publics.

 

www.festivalphotomed.com

 

 

 

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Après le BIP

 

 

 

« Après le BIP »

Une exposition du collectif Armada

Exposition du 31 mai au 22 juin 2013
La conciergerie - art contemporain
17, montée Saint-Jean
La Motte Servolex (73)�

Ouverture mercredi et vendredi de 15h à 18h
samedi de 10h à 13h et sur rendez-vous

Notre quotidien est jalonné de BIP, BIP, BIP..

Sur une proposition du collectif ARMADA, les artistes de l'exposition "APRES LE BIP" à La Conciergerie-Art Contemporain, à laquelle j'ai la joie de participer, énoncent chacun à leur manière et dans leur pratique propre leurs interprétations plurielles et leur évocation du thème "APRES LE BIP".

"Des images, des messages, autant d'histoires...

Peinture, sculpture, vidéo, photographie ou installation entraînent le spectateur dans une déambulation inattendue : celle qui commence, "APRES LE BIP".

 

www.armada-art.com
www.conciergerie-art.com

 

 

 

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Crache ton noir dans mon blanc

 

 

 

« Crache ton noir dans mon blanc »

Exposition collective

Du 31 mai au 18 juin 2013
Galerie Bienvenue à Bord
2 cours Nemausus,
Nemausus I, Apt. A 101
30000 Nîmes

Du lundi au mercredi de 9h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h30, ou sur rendez-vous.
Vernissage vendredi 31 mai à partir de 18h30.

La galerie Bienvenue à Bord présente "Crache ton noir dans mon blanc", une exposition collective qui regroupe les ?uvres d'artistes (photographies / sculpture / volume...à découvrir le jour du vernissage...), avec Julien Pelamourgues, Maud Gilhodez, Julie Monnet, Pascal Deleuze, Sylvie Kuniecow.

 

www.ctndmb.blogspot.fr

 

 

 

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Burning instants

Photographies © Willy Del Zoppo / galerie Vrais Rêves

 

 

 

« Burning instants »

Photographies de Willy Del Zoppo

Du 18 mai au 22 juin 2013
GALERIE VRAIS RêVES
6 RUE DUMENGE
69004 - LYON (France)
TEL +33 (0)4 78 30 65 42
+33 (0)6 08 06 94 34

Vernissage : samedi 18 mai de 17h à 21 heures
Visite commentée le samedi 8 juin à 17 heures
ouverture : mercredi au samedi - 15 h à 19 h ou sur RdV

BURNING INSTANTS (2012-2013)

Burning Instants peut se traduire de deux manières différentes : «les instants qui brûlent» ou «en brûlant les instants». Toute la problématique sous-tendant cette série se trouve ainsi résumée dans ces deux versions.

Tout d'abord, Burning Instants se veut une expérimentation photographique où des objets sont livrés au feu et sont capturés au moment où l'embrasement semble photographiquement le plus intéressant. On voit donc ici réapparaître cette notion d'instant décisif si chère à Cartier-Bresson, car le feu n'attend pas et le photographe doit être à l'affût, les combustions étant particulièrement rapides et capricieuses. Les prises de vues sont réalisées en argentique, avec un boîtier 6X7 non motorisé. Cela signifie donc qu'il faut être sur le qui-vive et déclencher au bon moment. Parfois, malgré toutes les prévisions et les précautions, le processus est tellement soudain que la prise de vue, entre la mise à feu et le déclenchement, est impossible, et il ne reste plus qu'à contempler l'objet soudainement dévoré par les flammes qui lui ôtent toute forme et le rendent méconnaissable. A deux reprises au moins, ces tentatives avortées ont failli mal tourner. Mais à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire...

La procédure de travail est extrêmement balisée et obéit à des règles de sécurité strictes : Burning Instants est réalisé dans des sites abandonnés aux matériaux difficilement inflammables. Au départ, je travaillais avec une assistante que j'ai révoquée, car le fait de lui demander des actions particulières m'empêchait d'entrer en méditation, ce qui est essentiel dans tous mes travaux photographiques. J'ai donc dû développer une technique

de mise à feu à distance, car il est impensable de bouter le feu à deux ou trois mètres et d'imaginer revenir à l'appareil pour déclencher.

Burning instants ne s'arrête pas à l'aspect matériel d'une expérience photographique. En effet, un soubassement philosophique détermine cette série et lui donne, peut-être une signification plus profonde qui puise ses vérités et ses contradictions dans mon propre être. Quiconque réfléchit sur le sens de l'existence se trouve confronté à la fuite du temps. Plus l'âge avance et plus ce défilement semble s'accélérer. En vieillissant, le sentiment de ne jamais pouvoir mener à bien tous ses projets se fait plus prégnant. Ainsi, les secondes, les minutes, les heures semblent se consumer à une vitesse folle et ce bûcher où notre propre être semble s'évaporer lentement, mais sûrement, nous contraint à réitérer en continu notre propre mort à dose homéopathique. Ne sommes-nous pas le siège de paradoxes étonnants, puisque nous naissons pour mourir, que nos cellules se développent pour se détruire et que le temps qui avance nous construit en nous promettant une inévitable et radicale dégradation? Burning Instants vient donc souligner par métaphore ce feu vital qui, à la fois, entretient notre existence en renouvelant toutes les particules de notre organisme et du vivant qui nous entoure, mais en même temps, sape minutieusement nos forces vitales et finit par nous réduire en cendres.

Toutefois, Burning Instants ne se contente pas de mettre en évidence l'aspect délétère de notre passage ici-bas. Il en propose également une vision optimiste, car même si notre survie est limitée sur cette terre, il n'est pas vain de croire qu'à chaque instant, nous survivons à nous-mêmes, et que tout au long de notre vie, sans cesse, nous devons mourir à nous-mêmes, nous anéantir dans notre propre autodafé, pour renaître pareils à nous-mêmes, sans doute, mais pourtant différents. Ainsi se trouvent convoqués, dans Burning Instants, le mythe du Phénix, dont on sait qu'il ressurgit de ses cendres, mais également la volonté de puissance si chère à Nietzsche.

On trouvera dans Burning Instants toutes sortes d'objets livrés au pouvoir dévorateur des flammes : des photos de famille, des meubles, des bateaux, des vêtements, des draps de lit,... Ces éléments récoltés sur des brocantes, des magasins de seconde main ou sur les collectes d'encombrants sont autant de souvenirs ramenant à des élé ments intimes de l'existence qui, tôt ou tard, sont refoulés hors du giron familial et deviennent inutiles, voire bons à brûler.

Apparaît, par ce travail de récolte des objets destinés au feu une autre dimension de Burning Instants, qui est celle de la nostalgie, de la perte et de la disparition, puisque les artefacts collectés, désormais coupés de leurs propriétaires légitimes, sont privés de sens et deviennent insensés.

Ce travail sur la mémoire et la déshérence rejoint par bien des aspects toute une réflexion menée dans l'ensemble de mes travaux rassemblés sous le titre Humazooïques. Plusieurs séries, dont, notamment, « Les Archives Solipsistes », mettent l'accent sur la fuite du temps et son effet d'aliénation sur les êtres et les objets. Mais apparaît également toujours en filigrane la volonté, par l'art, de rendre vie à la mort par la force rédemptrice de la création artistique, ce qui, cette fois-ci, participe du mythe de Faust.

Willy Del Zoppo - Avril 2013

 

www.willydelzoppo.wix.com
www.vraisreves.com

 

 

 

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Beloved India

Photographie © Jean-Marc Payot

 

 

 

« Beloved India »

Photographies de Jean-Marc Payot

Du 2 mai au 15 Juin
A la galerie Fotografika
10 rue du Borgeaud
1196 Gland

Du lundi au samedi: 09:00 - 12:00 / 14:00 - 18:30
Fermé le mardi matin et le samedi après midi

 

 

 

www.jmpayot.ch
www.fotografika-gallery.com

 

 

 

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La vie de Château

Photographie © Mat Collishaw

 

 

 

« La vie de Château »

Exposition de Mat Collishaw

6 avril au 16 juin 2013
Château des Adhémars
26200 Montélimar

Visite libre du site et des expositions de 10h à 12h et de 14h à 18h
TARIFS
plein tarif 3,50 € / tarif réduit 2,50 €
Groupes scolaires selon projet
(Gratuité pour moins de 18 ans, étudiants, titulaires de la Carte 3 Châteaux).

Mat Collishaw appartient à une génération de jeunes artistes britanniques qui a émergé au début des années 90. Son travail pointe la superficialité perverse des images et la frénésie peu critique avec laquelle elles peuvent être distillées et consommées. En témoignent ses photographies de fleurs (Venale Muses) au demeurant magnifiques mais en réalité hautement toxiques, présentées à la manière d'une classification d'apothicaire d'un siècle passé. Et il en va ainsi dans l'art de Mat Collishaw : une beauté plastique attirante, mettant intelligemment en place ses stratégies de séduction, mais qui camoufle en réalité une charge dramatique et métaphorique sous-jacente. L'artiste reprend ainsi jusqu'à son paroxysme d'ambiguïté les fonctionnements des courants médiatiques dominants, faisant dire aux images ce qu'elles ne contiennent pas forcément tout en révélant subtilement leur sens fondamental.

Renvoyant aux lanternes magiques, à Georges Méliès, mais aussi à une réflexion sur le « sublime » dans sa dimension excessive et trouble, Mat Collishaw nous amène à des questionnements sur le croisement entre illusion et réel, entre passé et présent, ou comment appréhender l'image sans détours.

Le projet

Dans « La vie de château », les thèmes principaux que l'artiste va aborder émergent de ce regard double que l'artiste porte sur les comportements humains : ce que les êtres humains imposent, que ce soit à la nature, aux autres humains et en particulier aux femmes (« Lady of Shallot » vivait prisonnière d'un château qu'elle ne quitta que pour mourir) voire aux animaux ? ne mettons-nous pas les oiseaux en cage, symbole même de privation de liberté ?

L'artiste

Né en Angleterre en 1966 (Nottingham), Mat Collishaw obtient son diplôme au Goldsmith College à la fin des années 1980, au moment où la créativité de ceux qu'on appellera les « Jeunes Artistes Anglais » commence juste à être reconnue. Pendant ces vingt dernières années, Mat Collishaw a développé son travail artistique et ses oeuvres d'une manière très personnelle et très originale, recherchant constamment le sublime: fascination et effroi, beauté et terreur, transcendance et outrage. « La vie peut être belle de mille manières mais la cruauté et la tragédie sont toujours présentes, en arrière-scène ».

 

www.matcollishaw.com
Château des Adhémar

 

 

 

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INA BANDY  1903-1973  la vie à fleur d'objectif

Photographie © Ina Bandy

 

 

 

« INA BANDY 1903-1973 la vie à fleur d'objectif »

Photographies Ina Bandy

Du 11 mars au 6 juin
Galerie de l'Alliance française de Bruxelles Europe
Avenue des Arts 46
B-1000 BRUXELLES

Entrée libre : lundi au jeudi 8h30 à 18h30
et vendredi 8h30 à 12h30

Vernissage le 8 mars 2013 à partir de 16h30

Comme plusieurs femmes de sa génération, Ina Bandy a choisi la photographie pour rendre compte de sa vision du monde. Née Ida Gurevitsch à Tallin (Russie), en 1903, Ina Bandy a arpenté l'Europe secouée par les soubresauts de l'Histoire qui ébranlèrent le XXe siècle. Elle s'installe finalement en France, où dès les années 1930, elle se fait connaître sous le nom d'Ina Bandy. Elle travaille en indépendante pour la presse, pour l'édition, pour des organismes et des institutions : l'Unesco, le Commissariat général au tourisme, les Archives nationales. Elle réalise des reportages en noir et blanc, mais aussi en couleur, sur la vie quotidienne et plus particulièrement celle des gens modestes dont elle saisit la soif de vivre après les années de privation de l'Occupation.

Si ses photographies documentent la vie sociale et sont un témoignage de première importance, Ina Bandy, en artiste, à l'image de Robert Doisneau, de Willy Ronis et de Sabine Weiss, porte un regard emprunt d'une sensibilité à fleur d'objectif. D'un naturel solitaire, elle meurt presque oubliée et son ?uvre est dispersée.

Aujourd'hui, sa famille, avec l'aide d'historiens et de personnes qui l'ont connue effectuent des recherches sur son histoire personnelle et son oeuvre photographique.

 

 

 

 

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Images singulières

Photographie © Panczuk Adam

 

 

 

« Images singulières »

Cinquième rendez-vous photographique

Du 8 au 26 mai 2013
Les lieux

Cinq ans ce n'est pas un anniversaire. Pas une date à cocher mais juste une fierté : celle d'avoir passé un cap ! ImageSingulières s'est inscrit dans le paysage photographique en surmontant les obstacles et malgré ses moyens limités veut continuer à être ambitieux pour proposer une programmation inédite.

Le monde est en fusion : guerres sans fin, explosions sociales, mafias, révolutions et parfois, au milieu de ce magma, de trop rares bonnes nouvelles. Le rôle des photographes devient alors crucial, ils ont parmi d'autres la lourde tâche d'écrire la mémoire de ces temps tourmentés. Il est important pour nous de leur donner un écho, et de défendre leurs points de vue.

En 2013 nous avons donné carte blanche à Cédric Gerbehaye pour le sixième livre de la collection ImageSingulières. Un retour au noir et blanc et un changement d'éditeur. Le Bec en l'Air sera notre nouveau compagnon de route.

Cédric, en habitué des reportages au long cours, s'est glissé dans son rôle de résident avec toujours la même implication, le même désir de comprendre et d'analyser avant de photographier. Roger Ballen, photographe américain installé depuis trente ans en Afrique du Sud, montrera à l Maison de l'Image Documentaire des images inédites d'"Outland", son travail sur les populations blanches déshéritées de Johannesburg. Claire Martin, jeune australienne de Perth, propose trois séries sur des communautés marginalisées en Australie, aux États-Unis et au Canada, tandis que Martin Bogren, suédois, a partagé l'ennui des ados du sud de la Suède pour une fureur de vivre où les vieilles Volvo tiennent la vedette. Au CRAC, la Méditerranée sera à l'honneur avec "So blue, so blue" de Ad van Denderen imposante somme sur l'ensemble des pays riverains de la grande bleue... Eugenia Maximova et ses étonnants cimetières de l'ex-URSS et Adam Panczuk avec "In the rythm of the land" sur la paysannerie polonaise, deux écritures venues de l'Est. Une thématique sur le désert avec tout d'abord un film, ?Territoire perdu ? de Pierre-Yves Vandeweerd, le trop méconnu travail de Hugues de Wurstemberger sur le peuple sahraoui en lutte, et les portraits en majesté des rebelles tibestis de Marie-Laure de Decker.Une exposition collective sur la photographie anthropométrique avec les bagnards, les victimes de la Shoah, de Staline et des Khmers.
Comme à l'habitude, trois soirées de projection. La première sera consacrée au sport avec, entre autres, une rétrospective du Tour de France avant-guerre. Christian Caujolle sera en charge de la deuxième soirée et Picturetank viendra fêter ses 10 ans pour la troisième, avec notamment un hommage à Éric Bouvet, rescapé de la grande époque des agences photo.
« Emmène-moi au bout du monde », disait Blaise Cendrars dans son roman éponyme. C'est ce que nous ferons avec la complicité des photographes invités à Sète pour cette cinquième édition d'ImageSingulières.

Gilles FAVIER
Directeur artistique d'ImageSingulières

 

www.imagesingulieres.com

 

 

 

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L'aventure de l'art

 

 

 

« L'aventure de l'art »

Angle présente la restitution de 6 projets pédagogiques réalisés au cours de l'année scolaire 2012/2013 dans différents établissements scolaires

Du 13 au 25 mai 2013
Angle - Art contemporain
Place des Arts
26130 Saint-Paul-Trois-Châteaux
Tél : 04 75 04 73 03

Ouvert du mercredi au samedi de 14h à 18h
Fermeture du 30 décembre au 8 janvier
Vernissage le 8 décembre à 18h

Lycée Agricole Privé Tricastin Baronnies, SAINT-PAUL-TROIS-CHÂTEAUX - L'Observatoire des paysages - Marine LANIER, artiste photographe / Richard LANIER, professeur d'aménagement paysager / classe de terminale bac pro aménagement paysager - Pièges à reflets - Stéphanie LEHU, artiste photographe / Elsa BAUVET, professeur de découvertes professionnelles / classe de 4ème - Un objet se déplace, un objet disparaît - Jacques MORIER, professeur d'arts plastiques / classe de terminale bac pro élevage équin

Ecole primaire Notre-Dame, SAINT-PAUL-TROIS-CHÂTEAUX Dessin mural in-situ - Danièle ORCIER, artiste / équipe enseignante / classes de primaires

Ecole maternelle Aiguebelle, DONZÈRE Réinventer le paysage - Stéphanie LEHU, artiste photographe / Christelle GUYON, Victorine BONNEFOY, enseignantes / classes de maternelles (MS et GS)

Lycée Lucie Aubrac, BOLLÈNE Métamorphoses - Stéphanie LEHU, artiste photographe / Anne BAGET, professeur d'arts plastiques / classe de 1ère option arts plastiques

 

www.angle-art.fr

 

 

 

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Jours de chantier à Bossieu

 

 

 

« Jours de chantier à Bossieu »

Oeuvre photographique de Gilles Gerbaud et commande communale

Vernissage Samedi 18 mai à 11h avec présentation des élus, apéritif et déjeuner, projection des films de l'ancien curé, diaporama des divers chantiers...
Place centrale du village
Bossieu 38260

Oeuvre photographique permanente installée dans le centre-bourg, dans la suite du programme urbain et culturel de réaménagement participatif de la place centrale de la petite commune de Bossieu. Programme réalisé en 2010/2011 par De l'aire, avec Jean-Pierre Campredon, Alexander Römer et Dimitri Messu (architectes-plasticiens), auprès des élus et des citoyens.

 

www.delaire.eu

 

 

 

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Empty paradise

Photographie © Jorge Perez

 

 

 

« Empty paradise »

Photographies de Jorge Perez

Du 1er au 31 mai 2013
La fontaine obscure,
24, avenue Henri Poncet,
13090 Aix-en-Provence
04 42 27 82 41

Entrée gratuite
Tous les jours sauf lundi, dimanche et jours fériés de 15h à 19h et le samedi de 10h-12h
VERNISSAGE le vendredi 3 mai à 18h30

«EMPTY PARADISE»

Une série de photographies qui invite à la réflexion sur les destinations touristiques, photographiées dans leur éclat le plus pur, hors haute saison. Quand la magie de l'état sauvage dévoile à l'?il, des lieux au plus proche de la réalité.

Ces paysages tirés en très grand format permettent d'aborder une perspective paysagiste avant de livrer leurs moindres détails.

Jorge Perez est né en Colombie en 1983. Son intérêt pour la photographie a été initié par son père qui lui inculqua sa passion et lui offrit son premier appareil argentique alors qu'il n'avait que 12 ans. Son premier maître a été Andrés Hurtado, un prestigieux photographe Colombien, pionnier de l'écologie et de la photographie de nature dans son pays.

Installé à Aix-en-Provence depuis dix ans, il travaille le numérique pour capter les lieux et les paysages dans leur état le plus pur. Il a un goût prononcé pour les couleurs et les contrastes à la suite d'une période de travail sur diapositives Fuji Velvia ce qui a influencé fortement sa photographie actuelle.

Jorge rêve de photographier TOUS les pays du monde et de militer de manière pacifique pour la protection de la nature. «Le but étant de faire bouger le coeur et la tête des gens par la photographie?

La FONTAINE OBSCURE bénéficie depuis le début de cette nouvelle année d'un superbe lieu à Aix en Provence.

Une galerie claire et spacieuse pour exposer tous les mois de nouveaux photographes. Un salon convivial offrant une bibliothèque bien garnie.

C'est un espace photographique ouvert sur le monde, toutes sortes de mondes ; les élèves des écoles alentours, les voisins et curieux, les photographes amateurs ou professionnels, les apprentis photographes qui viennent pour les cours et les stages, les étudiants des universités...

 

www.fontaine-obscure.com

 

 

 

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A / Franchir

Photographie © Nadine Barbançon

 

 

 

« A / Franchir »

Photographies de Nadine Barbançon

du 30 avril au 30 mai 2013
Fédération des oeuvres laïques de l'Ardèche
Espace Envol
Boulevard de la chaumette
07000 Privas

Du lundi au vendredi 9h > 18h en continu.

A Echirolles (Isère), pendant trois années consécutives (2009-2011), Nadine Barbançon avance à la rencontre de celles et ceux qui habitent un quartier populaire de banlieue en rénovation et découvre que la plupart en sont habités. Si je ferme les yeux ils vont croire que je suis mort... Si je ferme les yeux, ils ne vont pas me reconnaître... C'est vrai finalement je ne me suis jamais vue les yeux fermés parce que quand je ferme les yeux, je ne peux pas me voir... Si je ferme les yeux est-ce que tu continues à me regarder ?

Derrière chacune des portes blindées, ceux d'entre-eux que j'ai appelés LES AFFRANCHIS, m'invitent dans leurs intérieurs, leurs royaumes intimes. Après d'innombrables rendez-vous manqués, ils me laissent les photographier là, à l'abri du dehors, acceptant ainsi de s'ouvrir à votre regard, en toute sérénité. Derrière leurs paupières closes, s'abandonnant en toute confiance à l'image qui est en train de se fabriquer d'eux-mêmes, ils s'échappent, glissant d'un seul coup vers l'inconnu, le songe. Ils nous condamnent avec bonheur à les chercher, sans fin. Nadine Barbançon

Le projet A/FRANCHIR a traversé plusieurs expérimentations de 2009 à 2011, en relation étroite avec les habitants et a abouti à la publication d'un livre (septembre 2012 ).

Création produite par le collectif d'artistes Un euro ne fait pas le printemps. Projet réalisé avec le soutien de la Ville d'Echirolles, la Société Dauphinoise pour l'Habitat, le Conseil Général de l'Isère, la Région Rhône-Alpes, la METRO, l'ACSE, la CAF, l'ANRU et l'Imprimerie Notre-Dame.

 

www.fol07.com

 

 

 

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Passage

photographie © Claudine Doury

 

 

 

« Passage »

Des photographes s'interrogent sur la frontière entre l'enfance et l'âge adulte.

Du 18 avril au 1er juin 2013
Forum Meyrin
place des Cinq-Continents 1 - 1217 Meyrin | Genève
tram 14 direction Meyrin-Gravière - arrêt Forumeyrin
bus 57 - arrêt Forumeyrin

Du mercredi au samedi de 14:00 à 18:00
& une heure avant les spectacles du Théâtre Forum Meyrin www.forum-meyrin.ch
Ouvertures spéciales
jeudis soir 18:00 à 20:30 dimanches 21 avril + 26 mai 14:00 à 17:00
Fermetures jours fériés
mercredi 1er mai + jeudi 9 mai

Adolescents, nous avons rêvé des mondes qui n'existeront jamais et avons voulu y croire, en les nourrissant aussi de nos songes d'enfants. Adolescents, nous avons voulu briser les codes et proposer que le monde change sous la puissance de nos désirs et de nos regards. Adolescents, nous avons voulu organiser le chaos et en créer d'autres. Tout cela, à bien y réfléchir, est bien photographique. Car il se pourrait bien que la photographie ait eu le projet, un peu fou, d'inventorier le monde réel pour le remplacer par une duplication en images. Un double qui pourrait être fait à notre image et selon nos désirs, un monde non contingent, un monde rêvé dans lequel les catégories ne sont plus opérantes, dans lequel les règles peuvent changer. Mais un monde qui, comme celui de l'adolescence, n'existe pas « en vrai » dès que nous devons l'abandonner. C'est juste, en adolescence comme en photographie, une ques- tion de temps.

Christian Caujolle, février 2013

Avec la participation des photographes :

sabrina Biro · Suisse · Nothing Can Stop Me Now / Martin Bogren · Suède · Tractor Boys / Laure Donzé · Suisse · Interdit aux pschtt ! / Claudine Doury · France · Artek | Sasha / Nicolas Faure · Suisse · Heavenwards / Paul Graham · Angleterre · End of an Age / steve Iuncker · Suisse · Rites de passage / Laura Pannack · Angleterre · Young Love / Alessandra sanguinetti · USA · The life that came / Nicolas savary · Suisse · L'âge critique / Alena Zhandarova · Russie · Cornflower tea and concealing chocolate

Curatrice de l'exposition / Claudine Doury · photographe

 

www.meyrinculture.ch

 

 

 

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L'Ardèche vivante

Photographie © Simon Bugnon

 

 

 

« L'Ardèche vivante »

Photographie de Simon Bugnon

Du 3 au 26 mai 2013
Centre d'Art et d'histoire André Auclair,
07350 Cruas

Cette exposition de 70 tirages d'art est l'occasion pour le photographe naturaliste Simon Bugnon de présenter ses clichés récents, à l'occasion de la sortie de son nouveau livre, "l'Ardèche vivante".

En sortant des sentiers battus, il a saisi des ambiances magiques, nous offrant un hymne à la splendeur des paysages d'Ardèche et à son extraordinaire diversité naturelle. L'exaltation de ces trésors fragiles, de la faune et la flore, est aussi un appel au respect et à la compréhension de ce qui nous entoure.

 

www.simonbugnon.com
www.cruas.com/auclair

 

 

 

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Des images et des mots

 

 

 

« Des images et des mots »

Ce que j'aime / Ceux que j'aime

Du 22/04/2013 08:30 Au 31/05/2013 18:00
Institut français - Deir El Qamar
Place Dany Chamoun
Qaïssarieh, Deir El Qamar
Tel : +991 (0)510 016

du lundi au vendredi de 8h30 à 13h et de 15h à 18h et le samedi de 10h à18h
VERNISSAGE LE SAMEDI 27 AVRIL / 19H

L'exposition « Des Images et des Mots » est le produit d'un atelier organisé par l'Institut français de Deir El Qamar en collaboration avec l'association Intra-Muros (Paris). Mené en novembre et décembre 2012 par les photographes français Sandrine Balade et Joël Cubas, il a rassemblé 20 enfants de 9 à 12 ans issus de milieux et de confessions différentes autour d'un projet commun sur le thème "Ce que j'aime / Ceux que j'aime?.

Le résultat ? Une « carte postale » inédite, tantôt tendre, tantôt poétique, et souvent pleine d'humour qui vous parle du Chouf et des gens qui y vivent. A découvrir !

 

www.institutfrancais-liban.com

 

 

 

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La fin du pétrole

Tristan Zilberman - Brest Brest Brest ©

 

 

 

« La fin du pétrole »

Photographies : Tristan zilberman - Graphismes : Brest Brest Brest

Du 4 avril au 31 mai 2013
ANGLE HORS LES MURS
Collège Jean Perrin
Quartier Piéjoux
26130 Saint-Paul-Trois-Châteaux

Visite aux horaires du collège (8h - 17h)
Sur rdv contactez le 04 75 04 74 69

Vernisage le 4 avril à partir de 17h

Ce travail photo + graphisme a été réalisé par BBB à partir de clichés de Tristan Zilberman :

10 ans de photo sur le massif du Coiron pour raconter la vie des gens, la ruralité, les traditions, les paysages, 10 ans de reportages et de rencontres, présentés à travers des expos, des albums, des diaporamas.

Le désir de partager ces images, conduit aujourd'hui Tristan Zilberman à en proposer une nouvelle lecture : ainsi, a-t-il sollicité un regard de graphiste : celui de Brest Brest Brest.

Confiant quant à leur créativité, il leur a laissé carte blanche pour intervenir à partir de ses clichés... Demeurant néanmoins curieux de savoir ce que tout ça allait leur inspirer !

Résultat : LA FIN DU PETROLE.

C'est un regard neuf, décalé qui n'est pas celui du photographe ayant parcouru le territoire en totale immersion. C'est une vision inédite : les images de la vie rurale ardéchoise évoquant un basculement de civilisation ! Non pas passéiste, mais d'avenir : quand il n'y aura plus de pétrole, il y aura peut-être encore la terre et des hommes pour la travailler, des animaux à élever ?

Cette vision des lendemain sans pétrole est finalement assez rassurante ! Berçons-nous en...

Car en réalité, qui sait de quoi demain sera fait ?

Va-t-on avancer vers un monde où l'énergie sera captée au grès des vents et des marées, vers une énergie libre et accessible à tous, rendant de ce fait, toute velléité guerrière inutile ? Ou va-t-on poursuivre dans la logique d'une exploitation outrancière, déraisonnée, au profit d'une minorité possédante, réduisant par la même le reste de l'humanité à la servitude ? À moins qu'un monde apocalyptique ne se profile : Fukushima étendant sa lèpre au planétaire, des humains contaminés en errance, même pas imaginé par la SF la plus glauque.

«Il y avait un jardin qu'on appelait la terre...», chantait Moustaki ! Cette phrase doit-elle sonner comme une épitaphe ?

* Brest Brest Brest est un atelier de création graphique basé sur crest, piloté par Arnaud Jarsaillon, Rémy Poncet & François Gaillard

 

www.tristanzilbrerman.com
www.brestbrestbrest.fr
www.angle-art.fr

 

 

 

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Séries Site de Lucy et Odeurs d'Afrique

Photographie © Thomas Chable

 

 

 

« Séries Site de Lucy et Odeurs d'Afrique »

Photographies de Thomas Chable

Du 20 mars au 25 mai
Espace Malraux
67 place François Mitterrand - Carré Curial
73001 Chambéry

Vernissage me 20 mars 19h00
en présence de Thomas Chable
avec la Galerie Le Réverbère Lyon

Il n'y a pas une Afrique, mais plusieurs ; un continent vaste, riche de ses diversités. Thomas Chable prend le temps de faire des rencontres, d'être patient, de saisir l'instant présent dans deux séries issues de voyages sur les terres africaines. Dans Site de Lucy, l'Afrique se transforme, habitants, paysages, urbanisation : la vallée du Rift se dévoile. Thomas Chable se penche également avec la série Odeurs d'Afrique, sur une réalité crue et complexe, un sujet particulier et universel, celui des déracinements et des migrations anarchiques.

 

www.galerielereverbere.com
www.espacemalraux-chambery.fr

 

 

 

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au bord de...

Photographie © Aude Lavenant

 

 

 

« au bord de... »

Photographies de Aude Lavenant

L'exposition est prolongée jusqu'à fin mai
RESTAURANT MOUN PAIS
Ecosite du Val de Drôme
26400 Eurre
Tél. 04 75 25 21 88

Ouvert du lundi au vendredi
Visite possible de 11h à 12h
Service de 12h à 14h
Fermé le mercredi 1er mai
et du lundi 6 au vendredi 10 mai 2013

Les prises de vue ont été réalisées à Eurre, sur la dalle en béton d'un futur bâtiment industriel de l'Ecosite. Cette plateforme est devenue une source d'inspiration autant qu'une immense scène à ciel ouvert où a pu s'inventer des mouvements en interaction avec le paysage de la vallée de la Drôme.

« Dans mes images, je cherche la perte de repères, la confusion, le glissement du corps vers une autre échelle, une autre perception, à la limite de l'abstraction.

J'aspire à capturer juste l'instant où le corps - pieds, mains, tête - tourne, glisse, se pose, s'appuit, bondit, trouve une légèreté. Souffle suspendu. Décollement. Déséquilibre. Bascule.

Juste ce temps infime à peine perceptible. L'inspiration. "

Aude Lavenant

 

www.photochoregraphie.net

 

 

 

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Portraits pour un quartier

Photographie © Max Jacot

 

 

 

« Portraits pour un quartier »

Photographies de Max Jacot - Collectif 500

Du 10 avril au 14 mai
Les bains des Pâquis

L'exposition est ouverte tous les jours

Des portraits comme des fictions de ce monde un peu mythique et pourtant bien réel, de cette vie qui serait détruite par le projet en surface des CFF.

Le Collectif 500 propose un enthousiasmant projet de gare souterraine comme alternative à la destruction du quartier des Grottes et de son tissu social pour une extension en surface. Mais surtout une gare souterraine tournée vers l'avenir avec une meilleure intégration avec le CEVA et tous les développements futurs.

Le Collectif 500 lance dans les prochains jours son initiative "Pour une extension souterraine de la gare" dans le but d'ouvrir un débat public et démocratique autour de ce projet vital pour l'avenir de Genève et de sa région.

« En arrière de la gare Cornavin, y'a d'la vie, y'a du monde qui sait descendre dans sa rue, des enfants, un marché du soir, y'a des fêtes, un boucher qu'on vient voir de loin, y'a les Stigmates et le Vieux Paris, Anabela et sa soeur qui blanchissent tout mais pas l'argent, y'a la Brasserie Montbrillant pour le style et les Cheminots pour les vrais des CFF, y'a le temple du vélo qui fait rouler Genève et les porcelaines de chez Girard, y'a des Jours de Fête dont on se souvient longtemps, un Pré en Bulle, un café de la Place et une buvette des Cropettes, une Maison des Habitants et même un Quai 9 !

Un quartier décoiffant de Genève !

Z'avez envie qu'ils disparaissent tous ? »

Max Jacot assemble depuis plus d'une année une vision de cette vie-là, allant à la rencontre des habitants, des travailleurs et des commerçants. Des portraits au carré, des portraits comme des fictions de ce monde un peu mythique et pourtant bien réel.

 

www.maxjacot.com
www.pictalk.org/c500

 

 

 

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Le champ comme une borne

 

 

 

« Le champ comme une borne »

Photographies de Myriam Voreppe et Antoine Picard

Du 28 mars au 16 mai 2013
Atelier PHOTO/PHOTO - Maison Pignal
Rue du Docteur L'Hermier 26 250 Livron

Vernissage + performance + soupe
Jeudi 28 mars à 19H

Ouvert lundi 10H>18H
mardi 14H>17H
mercredi 14H>17H
et sur rendez-vous au 06 82 06 15 34

L'association PHOTO/PHOTO basée à la maison Pignal de Livron invite le collectif de photographes L'appareil pour sa première exposition : Le champ comme une borne.

Il s'agit de mettre en résonance les recherches individuelles des deux photographes initiateurs du collectif, comme les racines des projets à venir. Seront présentés des extraits de différents ensembles d'images, autour de la question du paysage. Entre archaïsme et modernité, sauvage et civilisé, documentaire et poésie, les photographies interrogent les ambigüités de la relation que nous entretenons avec notre environnement quotidien.

Une performance inédite du duo Filigrane (texte / Marie-Samantha Salvy et machines / Yoris Dutour) aura lieu pendant le vernissage, en réaction aux images exposées.

Ce sera aussi l'occasion de présenter les activités du collectif : L'Appareil prévoit une inscription forte sur le territoire de Livron en s'engageant dans un travail photographique sur plusieurs années. En parallèle et en partenariat avec PHOTO/PHOTO, il participera à l'organisation d'évènements autour de l'image (expositions, rencontres entre photographes amateurs et professionnels, projections, ...).

 

www.myriamvoreppe.com
www.a-picard.fr

 

 

 

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Identité maman

Photographie © Laura Jonneskindt

 

 

 

« Identité maman »

Photographies de Laura Jonneskindt

L'exposition est ouverte du 4 au 18 mai 2013 tous les jours de 10h à 19h
Galerie l'Art Dit
6 rue de la Roquette
Arles

Vernissage le samedi 4 mai 2013 à 18h

« Identité maman » est un regard sur les femmes qui portent la vie ;
Représentatives de notre société, elles vont mettre au monde la génération future.
Elles sont notre identité, l'essence de notre civilisation.
Ces portraits composés nous interpellent.
Les mains posées sur le ventre dévoilent le rapport très intime qui se lie entre la mère et l'enfant.
Tandis que le regard traduit l'émotion, l'état intérieur de la mère, son bonheur, sa sérénité ou son anxiété...
Une série étonnante qui tente de mettre à l'honneur la richesse de notre diversité.

24 mamans ont participé au projet

 

www.laurajonneskindt.com

 

 

 

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Quand le silence a des milliers d'odeurs

© Laila Muraywid

 

 

 

« Quand le silence a des milliers d'odeurs »

Photographies, peintures & sculptures de Laila Muraywid

Exposition du 21 mars au 18 mai 2013 Vernissage le 21 mars de 18h à 21h, en présence de l'artiste
Regard Sud galerie
1/3 rue des Pierres Plantées
69001 Lyon

Du mardi au samedi, de 14h à 19h et sur RDV
Métro Croix-Rousse - Parking Gros Caillou

"Mon travail aborde la sculpture, la photographie et la peinture abc un vocabulaire figuratif.

Il explore la relation de l'être à lui-même et à autrui ; l'illusion et le désir, les peurs propres à chaque culture et les angoisses refoulées dans la complexité et les paradoxes des conventions sociales. La sphère de l'intimité est un point de départ qui permet le passage du singulier à l'universel. Le corps de la femme est pris au piège dans des réalités politiques, religieuses et sociales. La femme est reléguée dans un rôle d'objet sexuel. Elle est tout à la fois crainte, désirée et castrée. Elle est la chair qui hante la religion, la liberté menaçante, la beauté désirée, que l'on salit et que l'on profane.

En tant qu'artiste, je ne peux m'empêcher d'aborder des thèmes comme l'identité de la femme face à l'exil, à la violence et à la désillusion de notre époque".

Laila Muraywid

 

www.regardsud.com

 

 

 

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Et si ce n'était pas la mélancolie

Myette Fauchère, Portrait Caméléon, 2010 © Myette Fauchère

 

 

 

« Et si ce n'était pas la mélancolie »

Exposition collective

Exposition du 15 février au 19 mai 2013
Musée Géo-Charles
1,rueGéo-Charles
38130 Échirolles
Tél. 04 76 22 58 63

Du lundi au vendredi
de 14h à 18h
Samedi et dimanche
de 14h à 19h

PHOTOGRAPHIES de :

ARIÈLE BONZON / ÉRIC BOURRET / PIERRE CANAGUIER / SERGE CLÉMENT / BEATRIX VON CONTA / JACQUES DAMEZ / MYETTE FAUCHÈRE / PIERRE DE FENO?L / LIONEL FOURNEAUX / PIERRE GAUDU / WILLIAM KLEIN / MARIO PISELLI / DENIS ROCHE / YVES ROZET /

L'exposition se propose d'aborder ce sujet par l'autoportrait, le portrait, le nu, le paysage et non pas uniquement par l'histoire ou la critique, mais au gré des questions telles que : qu'est-ce qu'une photographie ? Que fait-elle qu'un autre art ne réussit pas ? À partir du titre du livre de Denis Roche : « Le Boîtier de mélancolie », l'idée était de le prendre à revers « sans proposer ce qu'il appelle une réponse, car il n'y a jamais qu'une seule réponse en art ». Jouant avec ce titre : Et si ce n'était pas la mélancolie interroger les possibles lectures. Le suivant au pied de la lettre, avec lui se poser la question du titre : avec un point d'interrogation, que se passe-t-il ? Dans ce cas là, c'est une proposition qu'on avance ou qu'on soutient comme vraie. Avec un point d'exclamation, on est plus dans l'affirmation le « c'est dit » ou « c'est entendu ». L'usage veut qu'un titre ne soit pas suivi par un élément de ponctuation, ce qui le laisse alors « flottant ».

Denis Roche écrit « que le bonheur photographique implique ou suggère quantité de sous-entendus, ne serait-ce que le penchant qui nous porte à enregistrer les moments heureux plus que les autres (...) Pour lui, il y a « des bonheurs de l'image comme il y a des bonheurs d'écriture ». Il affirme que « le joli n'exclut pas le chef d'?uvre, et que la photographie est « un art du silence, le silence qui a une surface, le silence comme « un cependant » de la photographie qui s'ajoute à la grâce du moment donné, il est sa grâce seconde, son aura dédoublée ».

À travers « ce bonheur photographique » tenir à distance le funèbre passage du temps pour suggérer bien plus : le bruissement d'une conversation des photographies entre elles, où la grâce, l'inattendu se tiennent sur un point de volupté minuscule, mais intense. « L'habitude de mélancolie » selon E. Poe, cité par Denis Roche, sera battue en brèche par cette légèreté et par la beauté simple et touchante du réel. L'exposition tentera de l'approcher avec délicatesse sans chercher à résoudre cette énigme fascinante de « tuer le présent en beauté ».

Élisabeth Chambon, conservateur du musée Géo-Charles

 

www.ville-echirolles.fr

 

 

 

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Epidermiques #2

Photographie © Francis Traunig

 

 

 

« Epidermiques #2 »

Art et tatouage

Du 8 mars au 12 mai 2013
Maison Folie Wazemmes
70 rue des Sarrazins
59000 Lille

Mercredi > samedi 14h-19h
Dimanche 10h-19h
Entrée libre

Provocateur, dénonciateur, consumériste, biographique, esthétique ou engagé, le tatouage peut revêtir toutes les peaux et toutes les idées. Omniprésent, il fait aujourd'hui partie des codes, expressions plastiques et références visuelles contemporaines.

Depuis 20 ans, le tatouage est devenu un phénomène de société dans la plupart des pays industrialisés. Il est désormais évident que le tatouage n'est plus l'apanage des marginaux, ni l'attribut des voyous et des prostituées, pas plus qu'il ne correspond à un signe de reconnaissance inter-clan ou inter-classe. À cette expansion de fonction et d'usage, s'est ajoutée une évolution fulgurante en termes de contenus, de styles, de techniques. Les registres du tatouage ne cessent de s'élargir, niant ainsi les images d'Épinal qui lui collaient à la peau.

Le tatoueur s'est peu à peu élevé au rang d'artiste (ou de tattoo-artist). Certains ont développé leurs motifs, leurs styles, leurs messages et ont exploré de toutes autres techniques (peinture, sculpture, installation). Parallèlement, des artistes se sont inté- ressés aux nouveaux symboles, incarnations et représentations du phénomène. Ils ont intégré le tatouage sur divers supports, dans un esprit critique, et certains d'entre eux ont fini par épouser temporairement les écoles graphiques du tatouage, ont adopté les dermographes ou ont dessiné des tatouages, selon les demandes d'admirateurs ou pour eux-mêmes.

Dans le cadre de cette exposition des artistes photographes exposent

FRANCIS TRAUNIG (SUISSE)

Né en 1954, vit et travaille à Genève Il réalise des reportages photographiques depuis le début des années 80. S'il a choisi ce médium, c'est qu'il aime être au contact du monde, en ressentir la tangibilité, en capturer la lu- mière. En 2009, à l'occasion des 60 ans d'Etienne Dumont (un ami intime de l'artiste), il initie un projet pour la Galerie Krisal de Genève : 12 photographes tireront le portrait du critique d'art et journaliste suisse, une personnalité haute en couleurs ayant transformé son corps en ?uvre d'art totale. Dans l'exposition seront présentées des détails de peau d'Etienne Dumont, ainsi qu'un portrait mettant en abîme l'apparence du modèle de son enfance à aujourd'hui.

SERGEÏ VASSILIEV / DANZIG BALDAEV (RUSSIE)

Né en 1936, vit et travaille à chelyabinsk Dans la série russian crimial Tattoo, le photographe Sergei Vas- siliev met en valeur le folklore et l'exploitation de la forme ar- tistique, symbolique et contestataire du tatouage au sein des milieux carcéraux dans la société répressive russe. Ces marqua- ges consistent généralement en une critique des autorités, ou représentent les crimes des prisonniers selon des codes très précis. Celles-ci accompagnent les dessins de tatouages réali- sés par Danzig Baldaev entre 1948 et 1986, alors qu'il était gar- dien de prison. Il s'agissait pour lui d'une façon d'enregistrer les rituels d'une société fermée, à la manière d'un ethnographe. Les icones et les langages tribaux de ses dessins sont astucieux, déplaisants, sexuellement explicites et provocateurs, reflétant la vie et les traditions des criminels. Ils décrivent aussi les positions politiques des prisonniers, contre le régime Soviétique.

 

Dossier de presse
www.mfwazemmes.mairie-lille.fr

 

 

 

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La voie et des abeilles

Photographie © Bernard Fontanel

 

 

 

« La voie et des abeilles »

Photographies de Bernard Fontanel

Du 18 mars au 10 mai 2013
COL'INN
34 avenue Félix Viallet
38000 Grenoble

Tous les jours de la semaine, de 8h30 à 19h accès libre n'hesitez pas à pousser la porte.

"Nouvelle expo à COL'INN, 34 avenue Félix Viallet à Grenoble. Au sortir des "Brumes", avec l'expo de Jean-Luc AGNE, découvrons "la Voie et des abeilles" ouverte au regard du photographe Bernard FONTANEL.

Artiste local, il présente ses ?uvres, en noir et blanc, réalisées le long de la voie ferrée Grenoble-Veynes.

Témoignage du travail des hommes et des instants de vie, cette exposition trouve naturellement sa place à COL'INN, espace de co-working, situé près de la gare!

 

www.fontanel.ultra-book.com
www.col-inn.net

 

 

 

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Un temps soit peu

© philippe-liev pourcelot

 

 

 

« Un temps soit peu »

Photographies, vidéos, POEM (Petite oeuvre Multimédia) de philippe-liev pourcelot

Exposition du 23 mars au 11 mai 2013
Galerie Vrais-Rêves
photographie contemporaine
6 rue Dumenge 69004 Lyon

Du mercredi au samedi de 15h à 19h ou sur rendez-vous
Vernissage le samedi 23 mars de 17h30 à 21h

Le pire c'est de vivre en se sentant à tout instant inscrit dans le temps, dans l'avancée du temps, de ne jamais l'oublier, de toujours se souvenir qu'on évolue dans le temps. La lucidité est un acide.

Régis Jauffret

 

www.vraisreves.com

 

 

 

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Gilles Caron, Le conflit intérieur

Photographie © Gilles Caron

 

 

 

« Gilles Caron, Le conflit intérieur »

Photographies de Gilles Caron

30.01.2013 au 12.05.2013
Musée de l'Elysée
18, avenue de l'Elysée
1014 Lausanne - Switzerland

Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h.
Entrée : CHF 8
AVS : CHF 6
AI, étudiants, apprentis, chômeurs : CHF 4
Entrée libre le premier samedi du mois.

Si l'oeuvre de Gilles Caron (1939-1970) s'inscrit dans la grande tradition du photojournalisme, elle en annonce aussi la crise naissante. Cette crise s'exprime sous la forme d'une conscience malheureuse, laquelle constitue une critique en acte du métier. Le "conflit intérieur" de Caron est celui de toute une génération qui s'interroge sur la portée du témoignage en images et plus généralement sur le sens de l'action. Chez Caron, la guerre est devant l'objectif, mais aussi au coeur de la conscience.

L'exposition Gilles Caron, Le conflit intérieur présente en 250 images et documents, provenant de la Fondation Gilles Caron, du Musée de l'Elysée et de collections publiques et privées, l'oeuvre d'un photoreporter qui n'a cessé de questionner la finalité de son engagement. A partir des archives ? tirages d'époque, négatifs, planches contact, documents anciens ?, l'exposition permet de redécouvrir l'une des plus importantes figures du photojournalisme de la seconde moitié du XXe siècle.

L'exposition est réalisée en partenariat avec la Fondation Gilles Caron qui reçoit le soutien de la Fondation Bru.

 

www.fondationgillescaron.org
www.elysee.ch

 

 

 

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Nothin' but Working Phill Niblock, une rétrospective

Photographie © Phill Niblock

 

 

 

« Nothin' but Working Phill Niblock, une rétrospective »

Photographies de Phill Niblock

30.01.2013 au 12.05.2013
Musée de l'Elysée
18, avenue de l'Elysée
1014 Lausanne - Switzerland

Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h.
Entrée : CHF 8
AVS : CHF 6
AI, étudiants, apprentis, chômeurs : CHF 4
Entrée libre le premier samedi du mois.

Né en 1933, Phill Niblock propose depuis plus d'une cinquantaine d'années une oeuvre pluridisciplinaire. Son «Art Intermedia» associe musique minimaliste, art conceptuel, cinéma structurel, art systématique ou encore politique; et s'active à transformer notre perception et notre expérience du temps. Cette rétrospective est présentée simultanément au Musée de l'Elysée et au centre d'art contemporain Circuit. Le commissariat de l'exposition est assuré par Mathieu Copeland, et pour le Musée de l'Elysée, par Anne Lacoste, conservatrice.

Reconnu comme l'un des grands compositeurs expérimentaux de notre époque, Phill Niblock débute sa carrière artistique comme photographe et cinéaste. Originaire d'Indianapolis, passionné de jazz, il s'installe à New York en 1958. Niblock débute la photographie en 1960 et se spécialise dans les portraits des musiciens de jazz (Duke Ellington, Charles Mingus, Billy Strayhorn...). Au milieu des années 1960, il réalise ses premiers films pour les danseurs et chorégraphes du Judson Church Theater. A partir de 1968, Phill Niblock se consacre à la musique et compose ses premières pièces qui doivent ?comme le précise l'artiste? être écoutées à fort volume pour en explorer les sur-harmoniques (the overtones). Il poursuit indépendamment ses projets cinématographiques dont The Movement of People Working (le mouvement des gens qui travaillent), une série de films de plus de 25 heures réalisée entre 1973 et 1991 où la gestuelle répétitive du travail s'offre en écho direct à ses compositions musicales.

Depuis le milieu des années 1960, son oeuvre photographique réalisée en argentique dépeint l'architecture et l'urbanisme new-yorkais. La séquence et l'agencement des vues proposent une cartographie du lieu et de l'objet photographié, tels que le quartier désaffecté au sud du Bronx en 1979 ou les façades du district de SoHo Broadway en 1988. Phill Niblock s'intéresse plus particulièrement à la projection d'images en mouvement films et suites de diapositives. Produit entre 1966 et 1969, Six Films, une suite de courts-métrages sonores réalisés en film 16 mm, annonce sa démarche expérimentale au travers de portraits d'artistes et musiciens dont Sun Ra et Max Neuhaus.

A partir de 1968, l'artiste expérimente l'association de ses productions visuelles à son oeuvre musicale pour créer des compositions architecturales et environnementales. La série des Environments, recréé par l'artiste pour la première fois depuis sa dernière présentation en 1972, extrait, par l'image, la réalité de plusieurs environnements, tout en créant un environnement temporaire dense et intense d'images projetées, de musique et de mouvements dans l'espace du musée.

 

www.phillniblock.com
www.elysee.ch

 

 

 

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Entre les arbres

Photographie © Jean-Luc Meysonnier

 

 

 

« Entre les arbres »

Photographies de Jean-Luc Meysonnier

Du mercredi 9 avril au samedi 4 mai 2013.
Espace Saint Nazaire
Rue Joseph Courrau
Centre ville
83110 Sanary

Du mardi 09 avril au samedi 4 mai 2013
Le mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche de 10h00 à 19h00

« Là où d'autres se constituent par l'écriture, Meyssonnier choisit l'image photographique. De 1980 à 1985, il assiste le sculpteur et photographe Michel Sima installé en Ardèche. Une rencontre déterminante qui va l'accompagner dans sa carrière. Meyssonnier aura le privilège de devenir le tireur attitré de son fonds photographique.

Procédant toujours par séries et usant du noir et blanc, son oeuvre photographique cristallise un travail graphique - fleurs et paysages, natures mortes, recherche de compositions abstraites, sujets intimes, visages ? qui parfois, à travers la saturation de l'image, cache tant de choses et en expose tant d'autres. Son inventaire se nourrit également de quelques éléments simples d'un paysage toujours repris : la montagne, la neige, la pierre, les arbres, l'eau. De son travail sur le minéral et le végétal, la question n'est pas celle de la beauté d'un paysage. Il s'oriente vers un contenu qui concerne la vision, ses vérités, ses illusions, ses prodiges. Son oeil absorbe ce que l'on tait, failles, ruptures, oublis, blancs... zones inattendues. Il reconnaît en eux certains secrets pressentis qui murmurent le langage du désir, l'étrangeté, les empreintes du corps ou un univers peuplé d'âmes vagabondes là où les lumières et les ombres basculent ensemble.

Depuis une vingtaine d'années, son travail a fait l'objet d'expositions personnelles, présentées à Paris, Lyon, Bourges et en Suisse. Il participe également à de nombreuses expositions collectives : Lausanne, Bienne (Suisse), Annecy, Lyon, Royan, Le Mans. Parallèlement Meyssonnier a été invité à collaborer aux ouvrages d'art et catalogues de plusieurs artistes (François Burland, Jules Desbois, Gérard Lattier, et très récemment Michel Sima) ». Hélène Ribot

 

www.meyssonnier.com

 

 

 

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Camargue secrète

Photographies © Lucien Clergue

 

 

 

« Camargue secrète »

Photographies de Lucien Clergue

Du 28 mars au 5 mai 2013
Palais de l'Archevêché,
place de la République
13 Arles

Téléphone : 04 90 49 37 40
Tarif : Entrée libre

Lucien Clergue expose une sélection de 100 photographies, réalisées de 1955 à nos jours .

Lucien Clergue choisit de montrer sa Camargue natale sur le thème « la Vie, la Mort, les Quatre éléments». Un voyage dans un univers poétique et métaphysique sublimé par le traitement en Noir et Blanc.

Ici les vignes et le riz, là le langage des sables, plus loin l'ombre d'un taureau, les flamants morts, la plage, les nus.

 

www.anneclergue.fr/artistes/Lucien-Clergue

 

 

 

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Portrait d'une vieille génération

photographie © Fernand Pio

 

 

 

« Portrait d'une vieille génération »

Photographies de Fernand Pio

Du 2 au 27 avril 2013
La Fontaine Obscure
24 av Henri Poncet
13090 Aix-en-Provence
Tel : 04 42 27 82 41

du mardi au vendredi
de 15H à 19H
samedi de 10H à 12H

Dans cette série de portraits de personnes d'un certain âge, le regard est parfois ailleurs, en prise à quelque préoccupation tenace, parfois si intensément direct, mais quoiqu'il en soit, chacun d'eux se prête à ce face à face sans trop se poser de questions, simplement surpris la plupart du temps que l'on puisse leur demander de poser devant l'objectif, exprimant tout au plus de vagues interrogations quant à l'intêret d'une telle entreprise au regard de ce qu'ils sont devenus.

Certes, ils sont flattés que je m'intéresse à eux, chose pas si fréquente à leurs yeux, mais ce qui me vient à l'esprit, c'est plutôt qu'ils ont déjà pris leurs distances. malgré leur mutisme ou de brèves conversations fonctionnant comme des écrans de fumée et ayant si souvent rapport avec leur jeune temps, je perçois dans ces échanges quelque chose de plus essentiel, comme si, tout à coup, j'étais le dépositaire d'un leg, presque d'un fardeau, comme si un passage de témoin s'opérait sans trop qu'on y prenne garde.

Né le 23 mars 1957, à Avignon, France

vit et travaille à Avignon

principalement en portrait.

 

www.fernandpio.com
www.fontaine-obscure.com

 

 

 

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Les couleurs troubles des jours passés

photographie © Fernand Pio

 

 

 

« Les couleurs troubles des jours passés »

Photographies de Fernand Pio

Du 2 au 27 avril 2013
La Fontaine Obscure
24 av Henri Poncet
13090 Aix-en-Provence
Tel : 04 42 27 82 41

du mardi au vendredi
de 15H à 19H
samedi de 10H à 12H

"Il n'est pas d'art vrai sans une forte dose de banalité. Celui qui use de l'insolite d'une manière constante lasse vite, rien n'étant plus insupportable que l'uniformité de l'exceptionnel."

Emil M. Cioran

"J'ai peint les lignes et les couleurs qui émeuvent mon ?il intérieur. Je peignais de mémoire sans ajouter quoi que ce soit, sans les détails que je n'avais plus sous les yeux. Ceci explique la simplicité des tableaux- le vide évident. J'ai peint les impressions de mon enfance. Les couleurs troubles des jours passés."

Edvard Munch

 

www.fernandpio.com
www.fontaine-obscure.com

 

 

 

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Le 26e Salon Photo de Riedisheim

Photographie © Bernard Plossu (invité d'honneur)

 

 

 

« Le 26e Salon Photo de Riedisheim »

La Photographie Humaniste et Engagée - Thème 2013 : "L'homme au travail"

13-21 avril 2013
Salon Photo de Riedisheim
Espace Bartholdi
7 rue du révérend Père Musslin
68400 Riedisheim
France

La 26ème édition de la plus grande manifestation photographique du Grand Est de la France, fête de tous les passionnés de l'image, se déroulera du samedi 13 au dimanche 21 avril 2013.

Comme à l'accoutumée la programmation sera riche et variée et permettra de découvrir des images provenant de nos invités d'honneur, du concours international, de portfolios d'auteurs, de jeunes photographes et des juges.

Le programme définitif est disponible ici nul doute qu'il saura vous séduire.

Ne manquez pas nous rendre visite lors du salon

Des expositions

- des invités d'honneur
- des auteurs
- plus de 500 photos exposées
- 6 lieux d'exposition
- un concours international patronné par FPF, FIAP, PSA
- un concours « d'auteur »

Des rencontres

- Conférences des invités d'honneur
- Bourse photo (Dimanche 14 avril)
- Salon du matériel neuf (Dimanche 21 avril)
- lecture de portfolio (21 avril)
- Projection de diaporamas
- des studios libres

Des stages

- Prise de vue : portrait, reportage, nu créatif, charme
- traitement de l'image
- des stages longs (3 jours) ou courts (3 heures)
- 15 types de stages
- 30 sessions - 190 stagiaires

www.spr-photo.fr

 

 

 

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L'art des corps

Dessin © Mylène Besson

 

 

 

« L'art des corps »

L'association Bass t'Ard! Vous propose un
CONCOURS PHOTO

Tu as jusqu'au 26 Avril au soir pour envoyer ta photographie à : concours.basstard@gmail.com
07150 Lagorce

L'association Bass t'Ard! propose à tous un concours photo sur le thème Trouble dans le genre. Les photos feront l'objet d'une exposition au mois de mai à Aubenas puis seront aussi exposées au Festival l'Art des Corps les 07, 08 et 09 juin 2013 à Lagorce. Ce concours photo nous permet d'aiguiser votre curiosité en vous dévoilant le thème du festival l'Art des Corps 2013: l'identité et le genre.

Toutes vos photos sont les bienvenues à l'adresse suivante: concours.basstard@gmail.com

Que tu sois photographe en herbe ou même professionnel, tente ta chance pour gagner des PASS pour L'Art des Corps et ta place au sein d'une exposition!

Le sujet du concours est « Trouble dans le genre »

Cette thématique s'inscrit dans le cadre du Festival L'art des corps de l'association « Pas d'panique » qui se de?roulera du 7 au 9 Juin à Lagorce La participation est libre et gratuite

EN PLUS DES 3 PREMIERS PRIX, CHACUNE DES 10 PHOTOS SÉLECTIONNEÉES PAR LE JURY FINAL CONSTITUERA UNE EXPOSITION A VENIR

1er prix : 1 PASS 3 jours pour le FESTIVAL L'ART DES CORPS 2ème et 3ème prix: 1 PASS 1 jour au choix pour le FESTIVAL L'ART DES CORPS

 

 

 

 

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Quelques secondes immobile

Photographie © Fabienne Forel

 

 

 

« Quelques secondes immobile »

Photographies de Fabienne Forel

Du 5 au 27 avril 2013
Galerie A La Barak
10 rue de la petite loge
34000 Montpellier

Vernissage le 5 avril à 18h30

"Prendre la route, c'est réunifier un peu la dispersion et l'éclatement du monde."

Frédéric Khan

Photographe-voyageuse, Fabienne Forel poursuit une approche exploratoire et sensitive du monde qui favorise le rapprochement avec la dimension humaine et avec la sensation d'unité au-delà de la diversité. Une captation photographique d'une errance où le monde reste ouvert et créateur...

La série Quelques secondes immobile parle des instants silencieux, des interstices de la conscience et du temps, où l'on s'approche de l'intime, de l'invisible et de la profondeur de l'être. Bachelard parle d'"immensité intime".

Quand Fabienne Forel ne parcourt pas le monde, elle vit et travaille à Saint Hippolyte-du-Fort (Gard).

 

www.fabienneforel.com
www.alabarak.com

 

 

 

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Les photographies de l'année 2013

Photographie © Pierre Gleizes

 

 

 

« Les photographies de l'année 2013 »

Le meilleur de la photographie professionnelle au Mans.

Le vendredi 22 mars, à l'Abbaye de l'Épau, au Mans, la 5e édition des Photographies de l'année a consacré les plus belles

photographies réalisées par des photographes professionnels.

Le Trophée de la photographie de l'année a été décerné à Pierre Gleizes pour une photo réalisée sur les côtes africaines lors d'un reportage pour Greenpeace. Pierre Gleizes a reçu 10 000 € de matériel NIKON.

Quinze photographes ont été récompensés, couvrant tout le spectre de la photographie. Le palmarès : témoin d'une photographie vivante, récompense le savoir-faire, la créativité, l'originalité et la sensibilité d'auteurs photographes. Il donne une place à toutes les pratiques et techniques photographiques et est marqué par la présence de 4 lauréates, plus que les 4 années précédentes réunies. Les femmes étaient beaucoup plus nombreuses à participer et plus nombreuses à être nominées.

Ce concours unique est amené à devenir un rendez-vous incontournable pour tous les photographes professionnels.Grâce à un partenariat fort avec le Conseil général de la Sarthe et le Centre Culturel de la Sarthe, la soirée de remise des trophées a donc eu lieu pour la première fois au Mans, à l'Abbaye de l'Épau.

Ce dîner qui a réuni quasiment tous les nominés (45 au total), ainsi que de nombreux autres photographes et de nombreuses personnalités de la photographie a fait l'unanimité.

La majesté de l'Abbaye de l'Épau n'a pas laissé insensible tous ces auteurs photographes. La soirée qui a su apporter une note de solennité à la remise des trophées tout en restant très conviviale, a été parfaitement réussie.

La photographe américaine Jane Evelyn Atwood a reçu le Trophée d'honneur de la SAIF.

La projection d'une sélection de son immense travail photographique puis son intervention lors de la réception de son trophée ont véritablement ému l'assistance. Une grande émotion a parcouru la salle devant la simplicité de cette photographe qui a pourtant déjà reçu tant de prix.

Nouveauté pour cette 5e édition, les photographes ayant participé au concours étaient conviés à participer à des ateliers photographiques au Musée des 24 heures du Mans. Grâce à la complicité de l'ACO, l'un des ateliers se déroulait sur le circuit, au bout de la ligne droite des stands.

Pour voir les lauréats c'est ici et les finalistes . Pour acheter le portfolio 2013, il faut cliquer sur ce lien.

Merci aux partenaires officiels, aux partenaires médias et à ceux qui soutiennent les Photographies de l'année.

www.photographiesdelannee.com

 

 

 

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Nous

 

 

 

« Nous »

Une oeuvre collective sous la direction de Guillaume Janot

Du 26 mars au 21 avril 2013
Galerie des quais - J1
Place de la Joliette
Bd du Littoral
13002 Marseille

Ouvert tous les jours de 12h à 18h

Nous est une aventure photographique qui a commencé en septembre 2011. Le projet a réuni parfois près de 90 participants, certains de passage pour quelques semaines ou quelques mois, d'autres nous rejoignant en route, et enfin un noyau dur avec qui nous avons traversé ces deux années ensemble, de bout en bout.

Partir sur une aventure photographique de presque deux ans, avec un groupe qu n'a peu ou pas pratiqué la photographie, c'est faire le pari de l'inconnu.

Cela ne pouvait donc souffrir de cadre, de sujet, le risque étant de créer de facto un hors-cadre et un hors sujet. Figer et contraindre les choses, au lieu d'ouvrir des possibles, quel intérêt ?

Et puis surtout personne ne pouvait alors imaginer où nous en serions au bout de deux ans. C'est donc cette grande liberté que nous avons explorée.

Qu'est-ce que regarder le monde avec la photographie ? Comment je regarde mon quotidien et mon cadre de vie ? Comment, avec un appareil photo en main, je peux le retranscrire, le regarder différemment peut-être ? Cette exposition est donc une sorte d'instantané, une sélection de quelques unes des nombreuses images réalisées par les acteurs de cette aventure sur ces 2 années écoulées. Un portrait de la ville ? Peut-être. Un portrait en creux de ses habitants ? Sans doute. Car le collectif n'est pas l'anonymat, mais la somme des visions singulières.

Guillaume Janot, février 2013.

 

www.ateliers-image.fr
www.mp2013.fr/les-nouveaux-lieux/ouverture-du-j1

 

 

 

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au bord de...

Photographie © Aude Lavenant

 

 

 

« au bord de... »

Photographies de Aude Lavenant

DU SAMEDI 30 MARS AU DIMANCHE 28 AVRIL 2013
RESTAURANT MOUN PAIS - EURRE

VERNISSAGE LE SAMEDI 30 MARS A 17:00

PERFORMANCE PHOTOCHOREGRAPHIQUE
DIMANCHE 14 AVRIL 2013 A 17:00
GARE A COULISSES, EURRE

Dans le cadre du festivall "Au fil d'avril",
l'association "La Balance des Blancs" et "L'association Nue" présentent :
"Au Bord de..."

une performance photochorégraphique

Photograhies : Aude Lavenant
Danse : Lise Casazza
Musique : Yoris Dutour

A la rencontre de deux univers, ?Au Bord de...? est une invitation à l'image, une invitation à regarder le corps à travers la photographie, à découvrir un espace chorégraphique où la danseuse se trouve confrontée à sa propre image fragmentée et tente d'échapper à ce trouble, cette sensation de "...juste avant la bascule".

Prendre le temps d'une exposition photo, et puis plonger dans la danse.

"Au bord de..." s'appuie sur la rencontre de deux pratiques artistiques : la photographie et la danse, dans un dialogue où chacune déborde de son cadre habituel. Les rapports courants qui unissent la photo et la danse - photos d'une chorégraphie - sont déplacés vers un espace créatif commun. L'image n'est plus décor mais partie intégrante de la performance. La danse se démultiplie habitée par les images d'un corps.

Les prises de vue ont été réalisées à Eurre, sur la dalle en béton d'un futur bâtiment industriel de l'Ecosite. Cette plateforme est devenue une source d'inspiration autant qu'une immense scène à ciel ouvert où a pu s'inventer des mouvements en interaction avec le paysage de la vallée de la Drôme.

« Dans mes images, je cherche la perte de repères, la confusion, le glissement du corps vers une autre échelle, une autre perception, à la limite de l'abstraction.

J'aspire à capturer juste l'instant où le corps - pieds, mains, tête - tourne, glisse, se pose, s'appuit, bondit, trouve une légèreté. Souffle suspendu. Décollement. Déséquilibre. Bascule.
Juste ce temps infime à peine perceptible. L'inspiration. "

Aude Lavenant

« Une danse de la déliquescence, du corps qui vrille.
S'organiser un cadre - la photographie, l'espace.
Prévenir le débordement à tout prix.
Se parler, s'observer, tenter de se reconnaître, de se sentir, pour ne pas s'échapper à soi-même.
Et pourtant...
Se regarder en face et guetter l'étranger qu'il y a en soi.
Là où se trouve la fracture-la fente. »

Lise Casazza

Accompagner le vide.
Suggérer l'infini de l'intérieur.
Révéler l'abîme.
Sublimer l'émotion de la folie.
Sacraliser l'éternel instant.
La musique est expérience du temps.

"Avec une esthétique minimaliste, je développe mon travail de recherche musicale autour du phénomène sonore comme expérience sensorielle et comme vecteur de modification de la perception et catalyseur de l'attention de l'auditeur. La rencontre et le dialogue avec d'autres disciplines, notamment la danse, est le moteur essentiel de ma démarche artistique. "

Yoris Dutour

 

www.photochoregraphie.net

 

 

 

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Femmes en finance

Photographie © Michel Girardin

 

 

 

« Femmes en finance »

Photographies de Michel Girardin

Du 23 mars au 27 avril
FNAC de Rive à Genève

RDV à la FNAC de Rive à Genève le vendredi 12 avril à 17:30 pour une table ronde sur le thème "Femmes en Finance: la vie et la Bourse" !

Dans mon livre "La Bourse et la vie" comme dans cette exposition, j'ai voulu montrer le monde de la finance autrement que par ces images de traders à la gesticulation cabalistique ou de ces belles commentatrices un brin survoltées qui décortiquent sur les chaines spécialisées les fluctuations boursières du jour.

Trouver la vie à la Bourse ? La tâche ne paraît pas insurmontable.

 

www.michelgirardin.com

 

 

 

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Pour Pina : hommage à Pina Bausch

Photographie © Guy Delahaye

 

 

 

« Pour Pina : hommage à Pina Bausch »

Photographies de Guy Delahaye

Exposition à voir du 13 mars au 19 avril 2013 Dans le cadre du festival Danse au Fil d'Avril
Fédération des oeuvres laïques de l'Ardèche
Espace Envol
Boulvard de la chaumette
07000 Privas

Du lundi au vendredi 9h > 18h en continu.
Vernissage mercredi 13 mars à 19h
En présence de Guy Delahaye

Depuis trois décennies, Guy Delahaye « artisan de l'image », « voyageurs des scènes » a posé son regard photographique sur les ?uvres et artistes du monde du théâtre et de la danse (Pina Bausch, Carolyn Carlson, William Forsythe, Jean-Claude Gallotta...). Ses photos (plus de 600 000) constituent une mémoire vive et unique des arts de la scène, car chacune de ces images restitue l'intensité de se qui se joue sur un plateau.

« Une image ne doit pas capter un instant, mais raconter une histoire » dit Guy Delahaye. A ce jour, il a réalisé plus de trois cent vingt expositions à travers le monde, illustré une trentaine de livres et publié des ouvrages sur Pina Bausch, Carolyn Carlson, Sankai Juku, Jean-Claude Gallotta, Angelin Preljocaj...

L'exposition présente son suivi sensible et admiratif pour cette immense artiste disparue. Pendant trente ans, il a suivi ses pas, accompagné et photographié tous les spectacles de Pina. Elle irradie son travail dans de grands formats noir et blanc, où explose la danse, la vie. Il les capte à l'argentique, développe, encadre les clichés, et à travers la force émotionnelle de ses photos, nous fait partager le bouleversement artistique apporté par Pina.

 

www.fol07.com

 

 

 

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Disffractions

Photographie © Bernadette Tintaud

 

 

 

« Diffractions »

Photographies de Bernadette Tintaud

Du 19 mars au 27 avril 2013
Bibliothèque Kateb Yacine,
centre commercial Grand'Place
38000 Grenoble

vernissage le jeudi 28 mars à 18h30

Plasticienne et photographe, Bernadette Tintaud présente plusieurs séries réalisées entre 2007 et 2012, Pierres palimpsestes, Orphée, Post-scriptum, Diffractions. Par un travail singulier sur la matière et la lumière, elle "revisite les apparences" . De ses images où le réel est transformé, métamorphosé, surgissent des formes, des traces sur les pierres taillées, sur les visages sculptés qui troublent notre perception et nous entraînent sous la surface des choses où le temps est à l'oeuvre.

Bernadette Tintaud , photographe plasticienne, née à Paris, vit et travaille depuis 9 ans à Privas

 

www.bernadettetintaud.com
www.bm-grenoble.fr

 

 

 

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Au bord des eaux mêlées

Photographie © Béatrix von Conta

 

 

 

« Au bord des eaux mêlées »

Photographies de Béatrix von Conta

Du 15 mars au 20 avril 2013
Galerie d'exposition du théâtre
Rue de la Recluse
07000 Privas

Du mercredi au samedi de 15h à 18h et les soirs de spectacle
Entrée Libre

« Après la réalisation d'AQUA, consacrée à la problématique de l'eau dans le département de la Drôme, cette nouvelle résidence photographique, commencée en 2011, m'a amenée en terres ardéchoises. Le Rhône, à la fois lien et séparation entre ces deux départements si proches et pourtant si différents, s'est naturellement imposé comme ancrage principal de mon travail.

AU BORD DES EAUX MÊLÉES est une exploration photographique de cinq territoires de confluences, choisis entre le nord et le sud de la zone concernée, en grande partie, par le Contrat de Développement Rhône-Alpes Valence Drôme Ardèche Centre (CDRA VALDAC). Ces espaces de rencontre entre deux eaux sont porteurs de problématiques paysagères et urbaines variées. Aux apparences à la fois sauvages et domestiquées, ils incarnent aussi une poésie lumineuse, dégagée par la beauté discrète de ce qui semble sans importance.

(...) Attentive aux incohérences et voisinages inattendus, à l'importance des détails et à leur stratification inextricable, je m'interroge sur l'indéniable pouvoir de l'image de nous tendre un miroir, et même de nous le faire traverser. Chaque image est ainsi un point de vue, un prélèvement cadré dans l'infini des possibilités que le paysage offre au regard. »

Beatrix von Conta, 2012

AQUA

« (...) Sans exhaustivité, ni inventaire à charge, je suis les méandres aquatiques, leurs apparences et transformations multiples, ce qui les borde et accompagne, consciente de voir apparaître dans le reflet trouble de la transparence de l'eau l'écho d'une société confrontée à la gestion impérative de sa rareté, ou son abondance à venir. »

Beatrix von Conta, 2011

 

www.galerielereverbere.com
www.theatredeprivas.com

 

 

 

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Flower Power

photographie © Eric Meylan

 

 

 

« Flower Power »

Photographies de Eric Meylan

Du 8 mars au 20 avril
A la galerie Fotografika
10 rue du Borgeaud
1196 Gland

Du lundi au samedi: 09:00 - 12:00 / 14:00 - 18:30
Fermé le mardi matin et le samedi après midi
Vernissage le 8 mars à 18h30

« Si Dieu n'avait fait la femme, il n'aurait pas fait la fleur » (Victor Hugo).

Ces photos parlent des femmes et des fleurs, de la beauté des détails, du rapport entre les détails et le tout, du lien entre les femmes et les fleurs... Cette recherche nous emmène sur les chemins de la beauté, de la fragilité, de la sensualité, de l'érotisme mais aussi de l'innocence. Peut-être est-ce l'amour de ma mère pour les fleurs qui a suscité cette quête ?

Plus concrètement: j'ai photographié des détails de l'anatomie féminine, toujours entourés, enlacés, superposés à des fleurs souvent modestes, fragiles, trouvées au bord des chemins, dans les prés, dans les champs. Détails parce que je pense qu'il y a toujours de la beauté à découvrir en n'importe quelle personne, même si celle-ci ne correspond pas aux canons esthétiques imposés par l'époque. Autrement dit la beauté est dans le détail et le détail est révélateur du tout.

De même qu'il y a tout l'univers dans une cellule, on découvre tout l'univers dans une seule fleur, ou dans un ?il, une oreille ou la bouche d'une femme !

Eric Meylan

« La fleur est en même temps sein, bouche et sexe, femme au complet, sexe-trinité dans l'unité » (Malcolm de Chazal).

Les vies parallèles d'Eric Meylan

Depuis des décennies, Eric Meylan vit, un appareil photographique à portée de main, l'oeil obsédé par l'image à cadrer dans la nature, parmi les humains qui l'entourent, dans les villes. Après, il s'enferme dans l'obscurité de sa chambre noire pour révéler ses prises de vue.

Puis la couleur est arrivée, Eric Meylan s'en est enthousiasmé, jouant du plus terne au plus exubérant. Sa récente série, Flower Power, est un joyeux délire de fleurs et de féminité, la sensualité de la peau rencontre la fraîcheur des pétales.

Quand il ne photographiait pas, Eric Meylan enseignait, notamment la pédagogie de l'image et bien sûr, la photographie.?? "D'une façon générale, je me suis focalisé sur des thèmes traitant de la nature, de l'empreinte de l'homme sur son environnement (naturel ou construit), des activités des êtres humains (vaste programme !), du portrait, également.

Mais cette liste n'est pas exhaustive!?Ma démarche est thématique et les sujets très variés car mes intérêts sont multiples. Le sujet choisi détermine la façon de le traiter : format, argentique (de moins en moins...), numérique, noir et blanc, couleur (de plus en plus !) ? Que de choix possibles et intéressants!"

Eric Meylan a montré son travail dans de nombreuses et régulières expositions collectives mais aussi personnelles, en Suisse romande et à Montpellier.

(Claire-Annette Mussard)

 

www.fotografika-gallery.com

 

 

 

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Esprit du lieu

 

 

 

« Esprit du lieu »

872 OEUVRES EXPOSEÉES

Exposition du 10 mars au 23 avril 2013
L'antichambre
Corinne et Bruno Bret
15 rue de Boigne
73000 Chambéry

[mercredi, jeudi, vendredi et samedi de 14h à 19h] et sur rendez-vous.
Vernissage vendredi 9 mars 2013 à 18h en présence d'artistes.

1 ACCONCI 825 ARDITO 3 BURRET 6 CARBONNE 1 COUTURIER 2 CROIBIER 3 CROZAT 1 DANESH 6 DOURENN 1 DUBOIS-DAUPHIN 5 MATTER 2 DE SOUSA 4 TROTIGNON 1 VIGNY 2 WATTS 9 WUTHRICH

 

www.galerie-antichambre.com

 

 

 

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Incertitudes, 2010-2013

Photographie © Arièle Bonzon

 

 

 

« Incertitudes, 2010-2013 »

Photographies de Arièle Bonzon

Du 19 janvier au 27 avril 2013,
Galerie le réverbère
Catherine Dérioz
JaCques Damez
38, rue BurDeau
69001 Lyon

Du mercredi au samedi de 14h à 19h et sur rendez-vous en dehors de ces horaires. Vernissage le samedi 19 janvier de 14 h à 20 h

Même si je ne photographie qu'une infime partie de ce que je vois, la photographie est en moi comme une épine, la part visible de ce qui n'est pas certain.

L'adjectif certain, certaine est apparu il y a dix siècles environ. Bien avant la photographie, il faut le souligner. Dans le latin populaire certanus et l'ancien provençal certan, quelque chose se montrait qui était sûr, sincère. De même le latin classique certus, issu de cernere (pour discerner), offrait sans tergiverser le pouvoir de décider ce qui était sûr et fixé. Nous étions alors face au convaincu, à l'assuré, à l'indéniable, au bien établi. Notons qu'il fallut un siècle à l'adjectif incertain, de incertus et incertum, pour faire état de ce qui n'était ni précis, ni sûr, ni fixé... Ce dont le résultat est douteux, dont la nature n'est pas nette, d'un siècle à l'autre va se répandre et s'appliquer à ceux qui se trouvent dans l'ignorance au sujet de quelque chose, ou qui, par tempérament, manquent de détermination.

Il faut en convenir, du certain naquit l'incertain.

La certitude, du latin certitudo, a très naturellement le caractère de ce qui est sûr et, nageant dans les eaux claires de la conviction, elle apparaît comme objective puis devient subjective pour former, en toute fin de XVe siècle, l'incertitude... Nous voici désormais confrontés à ce qui n'est pas assuré, à ce qui est imprévisible, à mille choses incertaines et mal connues.

Car l'incertitude est grande lorsqu'elle désigne l'état d'une personne qui doute. Ainsi allons-nous de la certitude vers l'incertitude.

Mais il fallut encore attendre quatre siècles pour que certitude et incertitude soient réunies par l'invention de la photographie ! Véritable tour de passe-passe ou acte de pure magie, on n'eut pas le temps de l'établir. Un siècle encore et le monde devint quantique. Un certain Heisenberg énonçait en physique un principe dit d'incertitude ou d'indétermination, et c'est toute notre compréhension du monde, issue de la logique d'Aristote, qui volait en éclats.

Maintenant (mot fait pour durer plus que l'instant, comme une photographie...), où regardons-nous, que comprenons-nous de ce qui arrive et de ce qui disparaît ? Maintenant, que maintenir ?

La photographie, ce que je vois du monde et le monde lui-même ont ceci en commun, l'incertitude et ses nombreux états.

Arièle Bonzon, octobre 2012

 

www.galerielereverbere.com

 

 

 

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Figures déliées sur un fond sans fond, 2002-2010

Photographie © Yves Rozet

 

 

 

« Figures déliées sur un fond sans fond, 2002-2010 »

Photographies de Yves Rozet

Du 19 janvier au 27 avril 2013,
Galerie le réverbère
Catherine Dérioz
JaCques Damez
38, rue BurDeau
69001 Lyon

Du mercredi au samedi de 14h à 19h et sur rendez-vous en dehors de ces horaires. Vernissage le samedi 19 janvier de 14 h à 20 h

Les ensembles présentés ici font partie de la série «Figures déliées sur un fond sans fond», élaborée depuis 2002. Aujourd'hui, ces images inédites finalisent le projet.

Comment ne pas se référer au dispositif du labyrinthe composé de trajectoires complexes lorsque l'on se promène parmi les multiples fragments de réel, vestiges d'une mémoire, témoignages d'une culture, strates de temps divers formant la matière des propositions apparemment hétéroclites des ?Figures déliées...?

Réel et fiction, en se mêlant, ?conspirent? à nous égarer, à perdre notre regard, à éclater nos repères spatio-temporels en créant des fictions suspendues, des prétextes d'histoires à inventer, des sources de songerie.

Ces images en noir et blanc et en couleur s'organisent en constellation : une écriture en mosaïque qui peut désorienter.

Le ?blanc? de l'intervalle entre les images agit comme lieu de passage entre ces fragments qui ne se complètent pas, entre ces puzzles impossibles où rien ne semble s'imbriquer, avec la volonté de ne pas livrer une image unique qui serait censée contenir la totalité d'une expérience.

Au contraire, les images ?lancent le désir au-delà de ce qu'elles donnent à voir?, et ainsi prennent en compte et jouent avec ce que la logique de l'image unique exclut.

La présentation des 26 ? Figures déliées sur un fond sans fond? en maquette (30 x 40 cm) montre que l'ensemble des agencements d'images propose de nouveaux détours à son tracé et laisse apparaître un propos intime, secret et fragile qui peut s'estomper à tout moment.

 

www.galerielereverbere.com

 

 

 

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Voir l'arbre

Photographie © Jean-Luc Meysonnier

 

 

 

« Voir l'arbre »

Peintures - dessins d'Alexandre Hollan - Photographies de Jean-Luc Meysonnier

Du 11 janvier au 20 avril 2013
L'ESPAL, Théâtre du Mans / scène conventionnée
60-62 rue de l'Estérel 72058 Le Mans

Vernissage le 11 janvier à 18h30

Horaires d'ouverture : voir site de L'ESPAL

Que nous dit l'arbre de notre propre rapport à l'existence ? Tel est le questionnement que propose l'exposition en réunissant les oeuvres récentes du peintre Alexandre Hollan et celles du photographe Jean-Luc Meyssonnier. Le propos est de nous placer au coeur d'une philosophie du vivant et d'aborder l'une des sources profondes dans lesquelles les deux artistes puisent leur inspiration : l'arbre. Dans une scénographie épurée l'exposition mettra en lumière leurs visions singulières. Elle dévoilera aussi ce qu'elles ont en commun : une capacité à entrevoir, avec passion et simplicité une certaine intimité avec la terre. En présentant l'oeuvre de Hollan, sera privilégié le dialogue entre la délicatesse et la puissance de son oeuvre graphique et picturale. Doté d'une grande exigence formelle, spirituelle et poétique, cet ensemble donnera à voir et à lire la rencontre essentielle de l'artiste avec l'arbre. En résonance, il s'entrecroisera avec le travail photographique en noir et blanc de Jean-Luc Meyssonnier. Ce dernier nous confiera son attirance magnétique pour l'arbre, saisissant sa masse puissante, sa vaillance, sa fragilité. Pour l'exposition il présentera un ensemble de tirages panoramiques de grands formats dont la composition extrêmement rigoureuse, érige l'arbre en point de mire ou îlot. Ces photographies seront accompagnées de séries présentées comme des « miniatures » au profit d'une composition plus intimiste et lyrique. Riche de ces regards croisés, l'exposition mettra en évidence l'arbre comme gisement, au travers d'oeuvres qui intensifient notre relation au monde.

Hélène Ribot

 

www.theatre-espal.net
www.meyssonnier.com

 

 

 

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Nocturnes

Photographie © Marine Lanier

 

 

 

« Nocturnes »

Photographies de Marine Lanier

Le 6 et 7 avril 2013
Château de Suze La Rousse
26790 Suze-la-Rousse

Marine Lanier vous invite à l'inauguration de la nouvelle muséographie du Château de Suze La Rousse.

Elle se tiendra les 6 et 7 avril 2013 de 10 h à 19 h, lors du week-end portes ouvertes.

A cette occasion, elle présentera une nouvelle série : Nocturnes.

Ce travail est le résultat d'une commande photographique réalisée de 2011 à 2013 pour la Conservation du Patrimoine et le Conseil Général de la Drôme.

La série décline les paysages viticoles drômois au fil de trois saisons que sont le printemps, l'automne et l'hiver.

Le 6 avril à 17h30, lors d'une rencontre, elle présentera sa démarche de commande auprès du public.

L'exposition de ces photographies sera visible de manière permanente au Château.

 

www.marinelanier.com
www.chateau-de-suze-la-rousse.fr

 

 

 

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Angle Art Contemporain Rando-photo

 

 

 

« Angle Art Contemporain Rando-photo »

avec la photographe Stéphanie Lehu

Le samedi 13 avril 2013
RDV 9h30 au Val des Nymphes à La Garde Adhémar

Une rando-photo est organisée sur une portion du Chemin des arts en Tricastin, accompagnée par la photographe Stéphanie Lehu, le samedi 13 avril 2013 (9h30-17h).

Programme :

  • Accueil et présentation
  • Temps théorique sur la prise en main et les réglages de l'appareil (un livret récapitulatif vous sera remis)
  • Marche photo / prises de vue autour du Val des Nymphes (La Garde Adhémar)
  • Repas tiré du sac
  • Liaison en voiture jusqu'aux Alyssas
  • Marche photo / prises de vue autour des Alyssas (Clansayes)
  • Mise en commun et analyse des photos réalisées

A PREVOIR :

  • appareil photo numérique + cordon
  • chaussures de marche
  • pique-nique

PARTICIPATION FINANCIERE : 10 € par personne

Règlement par chèque à l'ordre de Angle art contemporain INSCRIPTION : par mail ou téléphone : stephanie.lehu@hotmail.fr / 06 26 07 18 22

Réservation obligatoire, nombre limité à 10 participants

Stéphanie LEHU est diplômée de l'Ecole Supérieure d'Art et Design de Saint-Etienne. Elle expose régulièrement son travail photographique en région Rhône-Alpes et PACA. Depuis 2010 elle s'occupe de la coordination des expositions et de la médiation à l'espace d'art contemporain Angle à Saint-Paul-Trois-Châteaux.

www.stephanielehu.com
www.angle-art.fr

 

 

 

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Imagination

Photo-art numérique © Eric Pijnaken

 

 

 

« Imagination »

Photo-art numérique de Eric Pijnaken

Du 29 mars au 17 avril 2013
Salle d'Exposition de la mairie
07230 Lablachère

Vernissage samedi 30 mars 11h

L'Arte Povera est une source d'inspiration pour le photographe Eric Pijnaken. En 1967 l'Italien Germano Celant publie son Manifesto of Arte Povera, Notes for a Guerilla. Il s'oppose aux structures imposées par le pouvoir industriel et économique, qui créent le consumérisme pour qui tout est devenu marchandise. Ces idées aboutissent à un mouvement d'artistes qui utilisent pour leurs expressions des matériaux de base, et souvent des choses qu'on jette normalement, comme de vêtements usées et autres déchets. En photographie cela se traduit aux expériences avec des appareils jetables, lomographie. Avec cette série d'images Eric Pijnaken met en pratique cet "art pauvre", qui vise de capter la vie dans son état brut avec des moyens basiques, simples. Cette fois il manipule les images avec des filtres numériques en appliquant des déformations pour en tirer d'avantage l'essentiel. L'exposition est titrée "Imagination", ce qui se traduit aussi au spectateurqui puisse jouer avec ces images à son gré et sa propre imagination. Ces images "amochées" ne sont cependant pas dépourvues d'unecertaine poésie, qui parfois fait rire, ou qui évoque un sentiment de tendresse.

 

www.jerpij.wix.com/eric-pijnaken-images
www.jerpij.wix.com/photos-eric-pijnaken

 

 

 

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La Nuit de l'Instant

 

 

 

« La Nuit de l'Instant »

Quatrième édition

Du 11 au 13 avril 2013

La quatrième édition de La Nuit de l'Instant aura lieu les 12 et 13 avril prochains. En 2013, La Nuit de l'Instant dure une nuit et deux jours !

A travers différentes formes artistiques, La Nuit de l'Instant est une déambulation artistique autour de la photographie, un moment festif de découvertes et de rencontres avec quarante-quatre artistes et vingt-deux lieux spécialement ouverts pour l'occasion.

Artistes sélectionnés pour l'édition 2013 de La Nuit de l'Instant :

Ezio d'Agostino (ITA), Brigitte Bauer, Mélissa Boucher, Michaela Bottková (SVK), Radovan ?erevka (SVK), Clara Chichin, Raphaël Chipault et Gilles Gerbaud, Karine Debouzie, Chimène Denneulin, Sylvia Donis, Sarah Fastame, Viktor Feher (SVK), Fabien Giraud et Raphaël Siboni, Pauline Hisbacq, Valérie Horwitz, Jaki Irvine (IRL), Patrick Jouault, Richard Kitta (SVK), Michaela Kní?ová (SVK), Nino Laisné, Marija Linciute (LTU), Anne Loubet & Sophie Charlotte Gautier, Tomá? Makara (SVK), Manuela Marques (PRT), Bjørn Melhus (DEU), Catherine Menoury, Moser et Schwinger (CHE), Didier Nadeau & Nicolas Gerber, Jean-Paul Noguèz, Simon Norfolk (NGA), Lucia Nimcova (SVK), Paul-Emmanuel Odin, Silvana Reggiardo (ARG), Myriam Richard, Peter Rónai (SVK), Emmanuelle Sarrouy (CHE), ?ubomír Stacho (SVK), Marie Voignier, Joel Wanek (USA).

Lieux :

La Traverse, Tabasco Vidéo, Place de Lenche, Le Barjac, Annexe de Lenche, Galerie Polysemie, Le Latté, Galerie Périscope, Microcosmos, MPT du Panier, Backside Gallery, Le Mini-Théâtre de Lenche, La Friche du Panier, Galerie Hors-les-Murs, La Citerne du Panier, La Vitrine du Dr. Pini, Roll' Studio, Atelier de Mars, Centre Baussenque, Place Puits Baussenque, École des Accoules, La Grotte des Accoules.

Exposition Dynamika :

Exposition collective d'artistes slovaques du 12 avril au 4 mai, présentée à La Traverse et à La Citerne du Panier dans la cadre de La Nuit de l'Instant. Vernissages le 12 avril à 18h dans les deux lieux. Cette exposition est construite en partenariat avec Photo Art Centrum (Ko?ice), l'École des Beaux-Arts de Ko?ice et Make Up Gallery (Ko?ice). Commissariat Erick Gudimard ( Les Ateliers de l'Image) et Pavel Maria Smejkal (Photo Art Centrum).

Une sélection d'artistes 'marseillais' participants à La Nuit de l'Instant sera présentée lors de La Nuit Blanche de Ko?ice en octobre 2013.

Artistes à La Traverse : Viktor Feher, Michaela Kní?ová, Tomá? Makara, Lucia Nimcova, Peter Rónai.

Artistes à La Citerne : Michaela Bottková, Radovan ?erevka, Richard Kitta, ubomír Stacho.

La Nuit de l'Instant en détails :

8 Films //

Anne LOUBET et Sophie-Charlotte GAUTIER, Bjørn MELHUS, MOSER et SCHWINGER, Jean-Paul NOGUÈS, Simon NORFOLK, Emmanuelle SARROUY, Marie VOIGNIER, Joel WANEK.

16 Installations //

Michaela BOTTKOVÁ, Mélissa BOUCHER, Radovan ?EREVKA, Clara CHICHIN, Raphaël CHIPAULT et Gilles GERBAUD, Karine DEBOUZIE, Sylvia DONIS, Viktor FEHER, Valérie HORWITZ, Patrick JOUAULT, Nino LAISNÉ, Toma? MAKARA, Manuela MARQUES, Didier NADEAU et Nicolas GERBER, Peter RÓNAI, ?ubo STACHO.

4 Diaporamas //

Ezio d'AGOSTINO, Brigitte BAUER, Chimène DENNEULIN, Pauline HISBACQ.

10 Vidéo-projections //

Sarah FASTAME, Fabien GIRAUD et Raphaël SIBONI, Jaki IRVINE, Richard KITTA, Michaela KNI?OVÁ, Marija LINCIUTE, Catherine MENOURY, Lucia NIMCOVÁ, Silvana REGGIARDO, Myriam RICHARD.

www.lanuitdelinstant.tumblr.com

 

 

 

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Les Alpes de Doisneau

Photographie © Robert Doineau

 

 

 

« Les Alpes de Doisneau »

Photographies de Robert Doineau

Du 16 novembre 2012 au 14 avril 2013
Musée de l'Ancien Évêché
2 Rue Très Cloîtres
38000 Grenoble
04 76 03 15 25

Lundi, mardi, jeudi,
vendredi de 9h à 18h
Mercredi de 13h à 18h
Samedi, dimanche de 11h à 18h

Fermetures exceptionnelles
les 1er janvier, 1er mai
et 25 décembre

L'année 2012 marque le centenaire de la naissance du photographe Robert Doisneau. Bien souvent, on retient de lui son travail sur le Paris d'après-guerre, mais son activité de photoreporter l'a aussi entrainé dans les Alpes. Travaux de commande pour des campagnes de publicité (la mode, l'automobile), reportage sur les Alpes pittoresques (le Queyras, la transhumance) ou le développement de la montagne comme espace de loisirs et de jeunesse (les sports d'hiver, les vacances)... mais aussi photos de vacances familiales à Laffrey, Les Alpes de Doisneau sont empreintes d'humour, tendresse et facétie, et traduisent le courant de la photographie humaniste dont l'artiste lui-même était l'un des principaux représentants.

Présentation de 120 images (tirages modernes et vintages) piochées dans le fond de l'Atelier Doisneau à Montrouge, près de Paris, et d'une sélection de documents divers (magazines, presse, publicités) qui reproduisent les clichés du photographe.

 

www.robert-doisneau.com
www.ancien-eveche-isere.fr

 

 

 

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Eldorado

Photographie © Marine Lanier

 

 

 

« Eldorado »

Photographies de Marine Lanier

Du 15 mars au 30 mars 2013
Centre d'art Espace Chabrillan
127 rue Pierre Julien
26200 Montélimar

résidence (décembre 2012/mars 2013)
Vernissage vendredi 15 mars à 18h00
Exposition du samedi 16 au 30 mars
Rencontre avec l'artiste : vendredi 29 mars à 18 h 30 - Centre d'Art Espace Chabrillan

Marine Lanier vit et travaille entre la Drôme et Lyon. Après des études de géographie, lettres et cinéma, elle est diplômée de l'Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d'Arles en 2007. Elle partage son activité entre commandes publiques, enseignement et recherches personnelles.

La série Eldorado est le résultat d'une résidence d'artiste (hiver 2012-2013) proposée par la Médiathèque de Montélimar dans le cadre du festival Itinérance(s). Elle continue ici d'explorer ses questionnements autour du sauvage, de l'hostile et du spontané, cette fois, à travers le prisme de l'imaginaire de l'île. Des monochromes où se côtoient la luxuriance de serres à l'abandon aux remous bleus et or d'un barrage.

L'élan de l'homme qui l'entraîne vers les îles reprend le double mouvement qui produit les îles en elles-mêmes. Rêver des îles, avec angoisse ou joie peu importe, c'est rêver qu'on se sépare, qu'on est déjà séparé, loin des continents, qu'on est seul et perdu - ou bien c'est rêver qu'on repart à zéro, qu'on recrée, qu'on recommence. Il y avait des îles dérivées, mais l'île, c'est aussi ce vers quoi l'on dérive, et il y avait des îles originaires, mais l'île, c'est aussi l'origine, l'origine radicale et absolue. (...)

L'île est ce que la mer entoure, et ce dont on fait le tour, elle est comme un oeuf. Oeuf de la mer, elle est ronde. Tout se passe comme si, son désert elle l'avait mis autour d'elle, hors d'elle. Ce qui est désert c'est l'océan tout autour. C'est en vertu des circonstances, pour d'autres raisons que le principe dont elle dépend, que les navires passent au loin et ne s'arrêtent pas. Elle est désertée plus qu'elle n'est un désert. Si bien qu'en elle-même elle peut contenir les plus vives sources, la faune la plus agile, la flore la plus coloriée, les nourritures les plus étonnantes, les sauvages les plus vivants, et le naufragé comme son fruit son fruit le plus précieux, enfin pour un instant le bateau qui vient le chercher, malgré tout cela, elle n'en est pas moins l'île déserte.

Causes et raisons des îles désertes - Gilles Deleuze

 

www.marinelanier.com
www.montelimar-sesame.com

 

 

 

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Rêve d'immaculé / la fin d'une blanchisseuse

 

 

 

« Rêve d'immaculé / la fin d'une blanchisseuse »

Nouveauté Flux Tendu par Béatrice Darnal

En Allemagne au siècle dernier,
pour que le fil du linge, devînt blanc,
il fallait que les femmes qui assistaient à l'opération
disent des mensonges.

Paul Sébillot

« Les éditions FluxTendu (collectif informel ) »

FluxTendu est un site « d'éditions photographiques » qui présente le travail de « photographes » ayant une création singulière.

En attendant que chaque publication soit un jour imprimée, FluxTendu diffuse sous forme de livres virtuels leur production photographique ...

(Le principe de réalité nous rattrapant très vite, l'économie de moyens du virtuel arrange bien notre envie compulsive de montrer ou de nous montrer...en utilisant le potentiel démultiplicateur du ?réseau?).

Depuis peu, plusieurs publications sont disponibles sur un support papier à la demande.

 

www.darnal.com
www.edition-fluxtendu.fr

 

 

 

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Noirs Portraits

Photographie © David Molina

 

 

 

« Noirs Portraits »

Photographies de David Molina

Du 1er au 30 mars 2013
Médiathèque du Pays des Vans
Route de Païolive
07140 Les Vans
Tél. 04 75 37 84 45

Mardi : 16h-18h
Mercredi : 9h30-12h30 / 14h-18h
Jeudi : 16h-18h
Vendredi : 15h-18h
Samedi : 9h30-12h30

« Il m'est difficile d'évoquer ma démarche car j'essaie justement de ne pas avoir d'intention particulière quand je fais une photo. C'est ensuite qu'une direction s'impose à moi. Dans cette série, je souhaitais simplement faire miroiter des visages dans l'ombre. Les thèmes de la douleur et de l'isolement sont apparus après coup.

De même que le format carré. Un format qui, combiné au fond noir, renforce l'impression de confinement. Les visages, les corps sont rognés par l'obscurité. Certains affleurent à peine à la surface de l'ombre et demandent un effort pour les distinguer. Je ne me suis pas soucié du confort de l'?il. Au contraire même, si l'on plisse les yeux pour voir, c'est qu'on y cherche vraiment quelque chose, peut-être quelque chose de soi. »

D. M.

www.davidmolina.fr

 

 

 

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La fin du pétrole

Tristan Zilberman - Brest Brest Brest ©

 

 

 

« La fin du pétrole »

Photographies : Tristan zilberman - Graphismes : Brest Brest Brest

Du 20 février au 30 mars 2013
Médiathèque municipale Jacques Dupin
3 rue Elie Reynier
07000 Privas

Mardi : 12 > 18 h
Mercredi: 10 > 12 h et 14 > 19 h
Vendredi : 14 > 18 h
Samedi : 10 > 12 h et 14 > 17 h

Rencontre avec le photographe le ven 15.03 > 18H

Ce travail photo + graphisme a été réalisé par BBB à partir de clichés de Tristan Zilberman :

10 ans de photo sur le massif du Coiron pour raconter la vie des gens, la ruralité, les traditions, les paysages, 10 ans de reportages et de rencontres, présentés à travers des expos, des albums, des diaporamas.

Le désir de partager ces images, conduit aujourd'hui Tristan Zilberman à en proposer une nouvelle lecture : ainsi, a-t-il sollicité un regard de graphiste : celui de Brest Brest Brest.

Confiant quant à leur créativité, il leur a laissé carte blanche pour intervenir à partir de ses clichés... Demeurant néanmoins curieux de savoir ce que tout ça allait leur inspirer !

Résultat : LA FIN DU PETROLE.

C'est un regard neuf, décalé qui n'est pas celui du photographe ayant parcouru le territoire en totale immersion. C'est une vision inédite : les images de la vie rurale ardéchoise évoquant un basculement de civilisation ! Non pas passéiste, mais d'avenir : quand il n'y aura plus de pétrole, il y aura peut-être encore la terre et des hommes pour la travailler, des animaux à élever ?

Cette vision des lendemain sans pétrole est finalement assez rassurante ! Berçons-nous en...

Car en réalité, qui sait de quoi demain sera fait ?

Va-t-on avancer vers un monde où l'énergie sera captée au grès des vents et des marées, vers une énergie libre et accessible à tous, rendant de ce fait, toute velléité guerrière inutile ? Ou va-t-on poursuivre dans la logique d'une exploitation outrancière, déraisonnée, au profit d'une minorité possédante, réduisant par la même le reste de l'humanité à la servitude ? À moins qu'un monde apocalyptique ne se profile : Fukushima étendant sa lèpre au planétaire, des humains contaminés en errance, même pas imaginé par la SF la plus glauque.

«Il y avait un jardin qu'on appelait la terre...», chantait Moustaki ! Cette phrase doit-elle sonner comme une épitaphe ?

* Brest Brest Brest est un atelier de création graphique basé sur crest, piloté par Arnaud Jarsaillon, Rémy Poncet & François Gaillard

www.tristanzilbrerman.com
www.brestbrestbrest.fr
www.bm-privas.fr

 

 

 

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Elstir - Passerelle pour l'art

 

 

 

« Elstir - Passerelle pour l'art »

29e Rendez-vous des jeunes plasticiens

Exposition du 17 mai au 8 juin 2013 - salle raphaël - saint-raphaël (var)

Appel à candidature

Prix Passerelle 1000€
Prix Louise Baron 1000€
Prix Artimômes 800€
Prix ville de Saint-Raphaël
Prix du public

concours ouvert à toutes formes d'expressions plastiques peinture - photo - sculpture - installation - vidéo date limite de dépôt des dossiers 30 mars 2013

 

www.elstir.fr

 

 

 

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La bourse et la vie

 

 

 

« La bourse et la vie »

Photographies de Michel Girardin

Du premier au 30 mars 2013
Fnac-Genève (Rive)

Dans le présent ouvrage, le banquier-photographe genevois part à la rencontre de ces mystérieux gérants de hedge funds qui ont construit leur empire sans autre publicité que le « bouche à oreille », ou de ces présidents de banque centrale et grands financiers peu enclins à sortir de leur réserve.

De George Soros à Warren Buffett, en passant par Alan Greenspan, Marc Faber, Edgar de Picciotto et John Paulson entre autres: l'auteur nous montre la face cachée de ces icônes de la finance et nous livre quelques-uns de leurs secrets dans une double chronique, l'une portant sur leur vie privée et l'autre sur leur vie professionnelle.

Avec ces 25 portraits, parfois surprenants, toujours vivants, ce livre nous aide à débusquer la vie dans le monde de la Bourse. Pour mieux la comprendre.

 

www.michelgirardin.com

 

 

 

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Ciné-Poésies

 

 

 

« Ciné-Poésies »

Vidéos de Romain Descours

Du 8 janvier au 30 mars 2013
Ad Libitum
salon de curiosités
valérie rambaud & sébastien verger
29 rue de la république
07000 privas

Entrée libre
mardi au samedi 11h-19h

Romain Descours
Artiste vidéaste
Né le 9 mars 1980 à Valence (26)
Vit et travaille à Cambrai

Diplômé de l'Ecole d'Art et de Design de St Etienne en 2004, assistant d'enseignement vidéo/son à l'Esa Cambrai depuis 2009. Romain Descours travaille la vidéo, fabrique des ciné-poésies, des documents. Il a notamment présenté des films d'animation sur une improvisation de Louis Sclavis lors du Festival de Jazz de Vaux en Velin en 2005, des documentaires au Festival nouvelles images au GAC d' Annonay en 2007, ou encore son travail de poésies vidéo au LUX de Valence.

Des réalisations qui procèdent par emprunts, prélèvements, fabrications, assemblages de fragments, bribes d'écritures, montages.

« Les trois volets de mon travail d'expérimentation en matière d'images en mouvement sont liés à la pratique de la vidéo : actes de performances, dispositifs d'installa- tions, films. Le travail de réalisation filmique prend la forme de très courts métrages, des cinépoésies. Une recherche qui procède par collectes de fragments (images animées, sons et matière narrative sonore).

L'écriture de ces films aide au montage, la matière "narrative" devient fil conducteur. Ce travail s'articule autour (...) de la notion de collage (et de) la question du mon- tage (collage, écriture), du cut up, de l'emprunt et de la collecte (found footage), de la citation ou du palimpseste.

Glaner des images, des sons et constituer des archives qui deviennent la matière première de mes films. Dans une sorte d'errance, c'est-à-dire sans préméditer, j'emmagasine, je capte des instants, filme des présences, des ambiances, mets en scène quel- que fois.

A l'image d'un archéologue, je prélève des échantillons, je m'approprie aussi des éléments empruntés. Je recadre, apporte une distance, détourne, dans la continuité du Found Footage voir même du cut up fluxus, de l'emprunt situ. (...). »

 

www.r.descours.free.fr
www.ad-libitum-ardeche.fr

 

 

 

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Stage : Le RAW de la prise de vue au tirage

Photographie © Tristan Zilberman

 

 

 

« Stage : Le RAW de la prise de vue au tirage »

Proposé par "La Balance des Blancs"
et "La Fabrique de l'Image"

Samedi 23 mars 2013 de 09:00 à 17:00
Ce stage aura lieu à
La Fabrique de L'image
2 rue de l'Oratoire
07400 Meysse

Pour initiés
Nombre de participant : 4 à 8 personnes
Avec les photographes : Tristan Zilberman et Aude Lavenant

TARIFS
Adhérents à La Balance des Blancs : 110 euros
Non adhérents : 120 euros + 15 euros d'adhésion annuelle

RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTIONS
Aude Lavenant - 06 74 55 20 12
Association La balance des Blancs
18 rue Saint-François - 26400 Crest

Ce stage vous propose de découvrir toute la chaine graphique du traitement de l'image et en particulier la chaine de développement des fichiers RAW*. Par petit groupe, vous expérimenterez une méthode pour optimiser la qualité de vos images dès la prise de vue et jusqu'à l'impression sur papier photo.

* Le fichier RAW est l'équivalent en argentique du négatif ; c'est un fichier qui conserve toutes les données brutes de l'image et toutes ses nuances. Il permet de réaliser de très beaux agrandissements.

Toutes les infos sur le site de l'association la Balance des Blancs

 

www.labalancedesblancs.net
www.fabrique-image.fr

 

 

 

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​​​​​Censure du livre photographique de Christian Lutz, In Jesus' Name

Christian Lutz, extraits de la sérieTropical Gift, 2010 © Christian Lutz
Dossier de presse, pdf

 

 

 

« Censure du livre photographique de Christian Lutz, In Jesus' Name »

Le photographe et son éditeur ont comparu devant le
tribunal civil de Zurich, le 24 janvier dernier. La censure est provisoirement
confirmée par voie juridique.
Un comité de soutien réunit de nombreuses personnalités du monde de la photographie.


Association de soutien
christianlutz.soutien@gmail.com

En 2003, le photographe suisse Christian Lutz (1973) entamait une enquête photographique sur le thème du pouvoir. Ce travail se décline en trois volets, dont chacun a abouti à un livre publié par Lars Müller Publishers : Protokoll (2007), sur le pouvoir politique ; Tropical Gift (2010), sur l'économique ; et finalement, In Jesus' Name (2012), sur le pouvoir religieux.

Le premier ouvrage de la Trilogie lance la carrière du photographe à l'échelle nationale et internationale, en plus de lui valoir de nombreuses distinctions. Cette reconnaissance sera confirmée par la série suivante. A ce titre, le Musée de l'Elysée a prévu d'exposer la Trilogie dans sa globalité de juin à septembre 2013.

Or, à peine sorti, le livre In Jesus' Name est interdit par une procédure judiciaire. Vingt et une plaintes individuelles, issues de personnes apparaissant dans l'ouvrage, sont portées contre Christian Lutz et son éditeur, sous le motif d'enfreindre le droit à l'image. Le photographe et son éditeur ont comparu devant le tribunal civil de Zurich, le 24 janvier dernier. La censure est provisoirement confirmée par voie juridique.

 

www.agencevu.com

 

 

 

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Des hommes et des femmes de chez nous

Photographie © Lorette Fabre

 

 

 

« Des hommes et des femmes de chez nous »

Photographies de Lorette Fabre

Du 1er février au 23 mars 2013
MAISON DU TOURISME,
Place Max Aubert,
84290 STE CECILE LES VIGNES

Du lundi au vendredi, de 9h à 12h et de 14h à 17h,
et le samedi de 9h à 12h.
Le vernissage aura lieu le vendredi 1er février à 18h30.

De sa passion, elle a fait de la Photographie son métier. Sur ce travail personnel, elle met en avant, simplement, des personnes dans leur quotidien, à leur domicile ou dans leur environnement.

Le sujet avait été en partie traité en 2003, à l'occasion de la Journée Mondiale de la Femme : opération commandée, à l'époque, par la Mairie de STE CECILE LES VIGNES pour cette manifestation. Dix ans plus tard, elle choisit d'honorer également les hommes... et les femmes de chez nous !

N'étant pas « ultra-féministe », il était important pour elle d'approfondir ce sujet « social ». Elle nous présente donc 31 nouvelles images de portraits individuels, en couple, de fratrie et de générations ! Le tout en noir & blanc, pour une parfaite harmonie. Les tirages sont imprimés par des procédés les plus performants existants à l'heure actuelle, avec des encres à pigment. Ils sont présentés sur Dibond®. Pour cela, elle a travaillé, « main dans la main » avec le laboratoire professionnel « LA FABRIQUE DE l'IMAGE » à MEYSSE, dans l'Ardèche.

Dés à présent, toute personne désireuse de passer devant son objectif à ce sujet ou un autre, peut la contacter. Son but est d'agrandir cette collection par des céciliens, mais aussi par des villageois de communes alentours, de villages de Provence. Cette galerie se veut être un véritable patrimoine pour les familles, mais aussi pour les communes.

 

www.lorette-photographe.com
www.sainte-cecile.org

 

 

 

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Printemps de l'image et de la photo

 

 

 

« Printemps de l'image et de la photo »

7éme édition

Le 16 et 17 mars 2013 Le 14 et 15 pour les écoles.
Centre ville d'Annonay
Ardèche

L'objectif de ce festival non marchand, dédié à l'image et à la photographie, est de permettre à tous, amateurs ou professionnels, de vivre des moments de rencontre, de partage et de découvertes enrichissantes autour de l'image, de la création et des métiers de la photographie.

Face aux images envahissantes, surtout publicitaires, dont la finalité est de nous vendre quelque chose ou quelqu'un, nous opposons une image sensible dont l'ambition, loin du commerce, est de nous emmener aux confins de l'imaginaire, à la découverte de notre nature sensible. Que les photos soient belles, étonnantes, qu'elles nous interrogent sur notre époque ou notre vie, elles restent un moyen d'expression démocratique et populaire.

Pour cette nouvelle édition, le Printemps de l'image et de la Photo renouvelle donc l'expérience du centre-ville. En inscrivant l'image au c?ur de la cité, nous créons des parcours photographiques et amenons le visiteur à découvrir des univers artistiques singuliers.

 

www.printempsimagephoto.eklablog.fr

 

 

 

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Corps célestes

Photographie © Claude Corbier

 

 

 

« Corps célestes »

Images de Claude Corbier

Du 22 février au 17 mars vernissage à partir de 18h30
Chapelle galerie de la Salamandre
3 place de la Salamandre
30000 Nîmes

Du mardi au samedi, de 15h00 à 19h00.
L'artiste sera présent chaque samedi.

L'exposition Corps céleste est un sacré carambolage.

Sacré parce qu'on y croise des Vierge Marie et des Christ, le menhir de Courbessac, un ange, un nu et une Joconde travestie en star interstellaire, mais aussi un ?trou d'air? rempli d'avions, et des engins spatiaux perdus dans un espace fantasmagorique.

Carambolage par la diversité des pièces présentées, que ce soit dans le format ou les supports : bois, papier, tissus, bâche, canevas, boules à neige, totems, de 23x18 cm à 267x133 cm... On y trouve des images mais aussi des sculptures, mais aussi une vidéo, mais aussi du son, mais aussi des parfums.

Claude Corbier joue là avec plusieurs de ses fantasmes sur fond iconique. La religion qui a bercé sous la contrainte son enfance, une vision sublimée de ses premiers émois sexués et des fantasmes plus tardifs, des avions, symboles lointains de rêve, quand on photographiait les stars sur les tarmacs.

Haut en couleur, teinté de coups de griffe, d'humour et de gravité, ce travail est un collage spirituel audacieux qui n'a rien d'un chemin de croix.

Claude Corbier

Après plusieurs années d'expériences musicales, Claude Corbier est entré en photographie avec la culture iconoclaste des artistes barcelonais de la Movida : colle, peinture et ciseaux sont aussi importants que l'image elle-même. Il a exposé en France mais aussi en Espagne, Allemagne et Maroc. Il vient de terminer une résidence d'artiste aux Archives départementales du Gard.

 

www.claudecorbier.com

 

 

 

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Trois ans d'art :

 

 

 

« Trois ans d'art : »

une exposition à emporter !

Du 12 février au 9 mars
BIBLIOTHÈQUE KATEB YACINE
CENTRE COMMERCIAL GRAND'PLACE
38000 Grenoble

Vous avez rêvé d'une exposition où vous pourriez décrocher votre ?uvre préférée pour l'emporter chez vous ? L'artothèque municipale de Grenoble vous offre cette possibilité en vous invitant à choisir parmi les ?uvres des photographes et artistes qui ont enrichi sa collection au cours des trois dernières années .

Vous pourrez ainsi, pendant la durée de l'exposition, choisir une photographie ou une estampe et l'emprunter pour 3 mois. Pendant 4 semaines, cette exposition va évoluer au gré des emprunts de chacun... jusqu'à épuisement du stock !

Pour qu'un grand nombre de personnes puissent en profiter, une seule ?uvre pourra être décrochée.

Les artistes exposés :

Nicolas Aiello, Jean-Michel Alberola, Odette Ancion, Stéphane Bertrand, Jean-Pierre Bonfort, Stéphane Bordarier, Daniel Challe, Didier Cholodnick, Jacques Clauzel, Marie-Claire Corbel, Philippe Cogné, Olivier Culmann, Mathilde Darel, Hamid Debarrah, Marc Desgrandchamps, Damien Deroubaix, Valie Export, Beranrd Fontanel, Valérie Gaillard, Michel Gasarian, Gilgian Gelzer, Rip Hopkins, Martine Lafon, Frédérique Loutz, Anne-Marie Louvet, Jean-François Maurige, Michel Mazzoni, Agathe May, Dominique Mérigard, Fabrice Nesta, Philippe Poncet, Françoise Pétrovitch, Hervé Robillard, Olivier de Sépibus, Aurore de Sousa, Patrick Taberna, Marc Trivie,r Claude Viallat, William Wegman et Géraldine Lay.

 

www.bm-grenoble.fr

 

 

 

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Le bleu de la mer

Photographie © Aurore de Sousa

 

 

 

« Le bleu de la mer »

Photographies de Aurore de Sousa

Exposition du 15 janvier au 8 mars 2013
Hall d'exposition de la Cité des arts
Jardin du Verney
73000 Chambéry
Tél. 04 79 60 23 70 Fax. 04 79 60 21 88

Rencontre avec Aurore de Sousa : lundi 18 février de 18h30 à 20h à l'auditorium de la Cité des arts. Entrée libre
Vernissage mardi 22 janvier 2013 à 18h30

«Il n'est pas de mémoire sans temps ; la mémoire permet de faire le lien avec le monde. Comme dans mes autres travaux, c'est la vision intérieure qui s'impose d'abord dans mon travail. Le bleu de la mer et l'Aurore de Murnau, film sublime : un des plus beaux de l'histoire du cinéma, sont la source d'inspiration de ce travail qui vient aussi du désir de célébrer l'infinitude du temps...».

Aurore de Sousa.

L'exposition «Le bleu de la mer» constitue le troisième et dernier volet d'un projet artistique et pédagogique autour de la photographie et du portrait avec Aurore de Sousa, artiste invitée par la Cité des arts. Une première sensibilisation au travail de l'artiste a été menée en 2011 avec les élèves de l'Ecole municipale d'art et de l'école primaire du Haut Maché en partenariat avec la galerie de l'Antichambre, autour de l'exposition « Corps et jardins» présentée du 28 octobre au 17 décembre 2011 à la galerie de l'Antichambre à Chambéry. Dans un deuxième temps, des ateliers de pratique avec Aurore de Sousa pour ces mêmes élèves ont donné lieu à l'exposition collective «J'ai la tête ailleurs» présentée du 15 mai au 3 juin 2012 à la Cité des arts.

Aujourd'hui nous vous invitons à découvrir de nouvelles oeuvres imaginées et réalisées par l'artiste .

 

www.auroredesousa.com
www.citedesarts.chambery.fr

 

 

 

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Habiter / Déshabiter

Photo haut © Stéphanie Lehu
Photo bas © Marine Lanier

 

 

 

« Habiter / Déshabiter »

Photographies de Marine Lanier et Stéphanie Lehu

Exposition du 25 janvier au 5 mars 2013
Espace Aragon
19bis bd. Jules ferry
38190 Villard-Bonnot
Tél. 04 76 71 22 51

Souvent empreintes de références littéraires, mes photographies donnent à voir le monde dans sa fragilité matérielle par une dimension contemplative évidente. Les univers traversés sont à la fois âpres et abrupts. La nature n'a d'autre état que celui de l'éternelle métamorphose. La sous-exposition puis l'éblouissement instillent un mystère latent, une violence tue, une beauté grave. Ainsi, l'étrange et le sauvage se cotôient constamment dans un univers de fin du monde ou de commencement. Les séries L'Ubac et Construire un feu sont une mise en abyme de notre rapport au temps. Ici, l'homme se confronte à sa condition humaine et à sa finitude. La nature, sauvage et belle, y occupe une place prépondérante. Et de cet univers impitoyable naît cet appel, comme une invitation à ressentir l'homme des origines, celui-là même qui sommeille en chacun de nous, au sein duquel se trouve logé le pur instinct, le souffle premier.

Marine Lanier, décembre 2012

L'humain est nécessairement représenté dans mes photographies, pourtant les visages sont la plupart du temps méconnaissables. Qu'elles soient mises en scène ou prises sur le vif, on y trouve toujours une sensation d'inquiétante étrangeté suscitant à la fois horreur et fascination. D'un côté, une série de portraits capturant l'intimité d'individus solitaires dans un ascenseur de verre. Les images sont sans artifices, elles montrent

les gens tels qu'ils sont, ne jouant pas de rôle. Leur attitude rêveuse, voire soucieuse, n'est pas sans rappeler les portraits du peintre Hans Memling au XVème siècle.

La vitre terne de l'ascenseur, support de reflets et de souillures, confère aux personnes enfermées un aspect fantomatique. Les individus ne paraissent plus de chair, mais se fondent dans le décor. On ne sait s'ils apparaissent à nos yeux ou s'en échappent. De l'autre, des photographies du corps torturé d'une hystérique. Ici pas d'images prises sur le vif, l'hystérie est feinte. J'ai incarné ce rôle comme s'il s'agissait d'une performance montrant un corps féminin, théâtral, abandonné, désirant et séducteur, qui semble chorégraphié. Il enchaîne une série de mouvements extravagants jusqu'à atteindre la spectaculaire pose de l'arc hystérique. Les contractures transforment le corps en de véritables moments sculpturaux. Etrangement la contracture peut paraître esthétique : charme de la pose, chair blanche dénudée et drapé savant font oublier ce moment de crise. Cabine d'ascenseur ou chambre d'internement, enfermement volontaire ou contraint, le corps est ici mais l'esprit est absent. La fenêtre reste la seule échappatoire.

Stéphanie Lehu, décembre 2012

 

www.marinelanier.com
www.stephanielehu.com
www.espace-aragon.net

 

 

 

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Marseille - Provence 2013

 

 

 

« Marseille - Provence 2013 »

Capitale européenne de la culture


Entre Europe et Méditerranée, les deux millions d'habitants de Marseille Provence se sont mobilisés pour vous offrir, tout au long de l'année 2013, le meilleur de leur créativité, de leur savoir-faire et de leurs rêves. Une offrande collective que nous vous proposons de partager en toute ambition et en toute simplicité, tout au long de l'année 2013, sur l'ensemble du territoire Marseille Provence.

Les 12 et 13 janvier prochains, nous célèbrerons avec vous le lancement de la Capitale européenne de la culture 2013 : Parcours d'art contemporain, Parade des Lumières, Grande Clameur, Chasse au 13'or, Révélations sur le Rhône... un programme riche en manifestations et en surprises nous fera entrer dans cette année exceptionnelle.

Autour du projet que vous allez découvrir à travers ces pages et tout au long de l'année, nous avons mobilisé toutes les forces vives de notre territoire et transformé notre mosaïque en un tableau cohérent.

Marseille-Provence 2013, vous êtes ici chez vous !

 

www.mp2013.fr

 

 

 

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Trois séries : I love Böras / Office / Vinter

Photographie © Lars Tunbjörk

 

 

 

« Trois séries : I love Böras / Office / Vinter »

Photographie de Lars Tunbjörk

16 janvier - 10 mars 2013
Le Château d'Eau
1, place Laganne
31300 Toulouse

Inauguration le mercredi 16 janvier à 18h en présence du photographe

Considéré comme un maître européen de la couleur, Lars Tunbörg observe la société depuis une quinzaine d'années sous forme de critique sociale et avec un humour grinçant. Se laissant porter par ce qu'il voit, il veut être un témoin et susciter une réflexion sur cette société obsédée par la consommation.

Le Château d'Eau a choisi de déployer sur ses cimaises trois ensembles qui marquent l'?uvre de ce photographe : I love Böras (1989/1996), Office (1997/1999) et Vinter (années 2000). Des ensembles de propositions plastiques et de modes de présentations variés, qui, du plus ancien au plus récent, sou- lignent l'engagement politique et la cohérence esthétique d'un auteur ayant mis la couleur au c?ur de son processus créatif.

«I love Böras», est constitué d'images choisies dans un corpus principalement réalisé dans sa ville natale. Böras, une ville moyenne au Sud-Est de la Suède qui survit au milieu de la forêt. On tue son ennui en luttant dans la boue à la fête du quartier, en remplissant son caddy au supermarché, en cul- tivant son embonpoint au fast-food du coin ou en draguant au coin d'un aqualand en déshérence. Dans des décors banals Tunbörg nous entraîne dans sa perception du monde, caméra au point et flash au point il déclenche comme dans un grand éclat de rire. Sans pour autant se départir d'une certaine empathie envers ses concitoyens, avec ses cadrages bancals et chargés, ses couleurs écla- tantes, il décrit un monde désenchanté où le ridicule rivalise avec un consumérisme galopant. La mise en vue elle-même, qu'il a voulu comme jetée, mur d'images punaisées, renforce l'idée qu'il met un coup de pied dans la fourmilière.

Avec «Office», il explore l'univers du travail contemporain dans les bureaux en Suède, Etats - Unis et Japon. Le flash est toujours son allié et il alterne détails et plans larges mais son écriture visuelle se dépouille, la couleur s'apaise. Il adopte un point de vue généralement central comme dans une forme de neutralité, mais dénonçant, l'air de rien des situations de travail aussi absurdes que cau- chemardesques.

«Vinter» est son plus récent opus, il a parcouru la Suède pendant trois ans, en hiver où son regard conditionné par sa perception de la solitude s'est davantage tourné vers les déprimes hiver- nales scandinaves. Il nous entraîne loin des clichés de paysages de neige immaculée, d'intérieurs « cosy » et propres de gens qu'on imaginait rompus à cet exercice annuel de saison noire et longue, enferrés dans une attente passive et tranquille. Le kitch et l'incongru des situations, l'attente et la lutte pour repousser la lassitude, restent ses motifs de prédilection, mais des images aux tons tristes et sales cotoient désormais celles aux teintes acidulées, il traduit ainsi la lenteur d'un hiver qui n'en peut plus de ne pas finir.

C'est donc avec un sens profond de la couleur et toute l'ironie mordante qui caractérise son regard que Lars Tunbjörk construit une ?uvre singulière et qu'il dresse le portrait de ses contemporains en

mettant en forme les cohérences et les incohérences de la société dans laquelle nous vivons.

 

www.agencevu.com
www.galeriechateaudeau.org

 

 

 

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Le miroir traversé

Photographie © Pierre De Fenoÿl

 

 

 

« Le miroir traversé »

Photographies Pierre De Fenoÿl

exposition 10 jan-14 mars
Espace Malraux
67 place François Mitterrand - Carré Curial
73001 Chambéry

vernissage je 10 jan 19h
avec la Galerie Le Réverbère

Chez Pierre de Fenoÿl, il y avait une culture savante de l'espace, une dialectique du concret et de l'abstrait, une intelligence des plans et du point de vue, un regard acéré et confiant dans la puissance de l'acte photographique. Rares sont ceux qui mettent la lumière au diapason de leur vision. Ici, l'imbrication de l'espace, de la surface, des profondeurs, est en permanence interrogée, de sujets en sujets, pour finalement construire et nous offrir son monde de croyance

magique. Cette exposition propose une plongée dans le monde vu par Pierre de Fenoÿl, photographe visionnaire disparu en 1987 ; un miroir traversé en sa compagnie, où l'artiste nous offre le passage au pays des merveilles grâce au Leica - anagramme de Alice - cet appareil qui arrête le temps pour lui permettre de passer au-delà du tain...

 

www.pierredefenoyl.fr
www.espacemalraux-chambery.fr

 

 

 

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Watching TV

Photographie © Olivier Culmann

 

 

 

« Watching TV »

Photographies de Olvier Culmann

Du 10 janvier au 9 mars 2013
Regard Sud galerie
1/3, rue des Pierres Plantées
du mardi au samedi de 14h à 19h et sur rendez-vous 69001 Lyon

Du mardi au samedi de 14h à 19h et sur rendez-vous

Olivier Culmann photographie les gens qui regardent la télévision. Et leur téléviseur. Les téléspectateurs y plongent leur regard, hypnotisés par les images qui défilent à l'écran. Le photographe capte cet instant où l'attention se relâche, où la conscience s'endort, bercée par la phosphorescence des tubes cathodiques. À cet instant souvent les corps se calent, se lovent puis s'affaissent. Rien de plus banal. Et rien de plus inquiétant. Car c'est désormais dans cette passivité quasi immobile, dans cet engourdissement de la pensée que nous, téléspectateurs, recevons le monde entier. Pas le monde réel mais une image du monde, un fantasme du réel. Informations, feuilletons, émissions, venus aujourd'hui de l'autre bout de la planète ou du bas de chez soi, sont déballés sous nos yeux anesthésiés. Leur impact est énorme. Dans ce temps mort de l'existence qui dure quelques minutes ou plusieurs heures, notre idée des autres évolue, se transforme. Nos a priori s'effondrent, d'autres les remplacent inexorablement. Maroc, Inde, États-Unis, Mexique, Nigeria, Royaume-Uni, Chine, France : les téléspectateurs de ces pays reçoivent des nouvelles les uns des autres sans jamais se rencontrer.

BIOGRAPHIE Né en 1970 à Paris, Olivier Culmann est photographe depuis 1992 et membre du collectif Tendance Floue depuis 1996. Le travail d'Olivier Culmann est traversé par les questions récurrentes de la liberté et du conditionnement. Dans les années 1990, il parcourt plusieurs pays en quête des « mondes de l'école », un travail sur l'institution scolaire, les assujettissements et les insoumissions qui y naissent. Sa photographie interroge l'existence, toujours sur le fil du dérisoire et l'absurde. Avec «Une vie de poulet», cette démarche associe plus ouvertement l'humour à la narration. Il y mêle deux reportages mis en regard, l'un sur une chaîne industrielle de volailles et l'autre sur les derniers appelés du contingent. Le passage, au début des années 2000, au moyen format s'impose avec la recherche d'une dis- tance nouvelle. Au lendemain des attentats du 11 septembre, il réalise « Autour, New York 2001- 2002 ». Cette série est consacrée aux spectateurs de l'après-événement, Américains ou touristes venus scruter les ruines du World Trade Center. Les expressions fixées par le photographe fonctionnent ici en miroir de notre propre sidération face à la catastrophe. Puis il construit, dans plusieurs endroits du monde où il choisit d'habiter, une série sur les téléspectateurs. Constat de l'état des corps et des âmes face aux échos du monde filtrés par les écrans. «Watching TV» constitue une étape dans son travail de mise en abîme du regard. À partir de 2010, il formalise une recherche sur les modes de représentation de soi. Passionné par l'imagerie populaire et les codes de mise en scène, il choisit d'utiliser sa propre image pour explorer les fantasmes sociaux et ses interrogations sur l'altérité. Olivier Culmann a participé à India Now aux éditions Textuel et à tous les ouvrages collectifs publiés par Tendance Floue. Il a participé à l'exposition France 14 présentée à la Bibliothèque nationale de France sous la direction de Raymond Depardon. Sous la direction de Françoise Huguier, il a été commissaire pour l'Inde de la Biennale Photoquai à Paris.

(Biographie extraite de l'ouvrage de la série Photo Poche, consacré à Tendance Floue, édité par Actes Sud, 2011). Texte de Cécile Cazenave.

 

www.tendancefloue.net
www.regardsud.com

 

 

 

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La France de Depardon

photographies © Raymond Depardon

 

 

 

« La France de Depardon »

Photographies de Raymond Depardon

Du 15 novembre 2012 au 2 mars 2013
Le Plateau,
Espace d'exposition de la Région Rhône-Alpes
1, esplanade François-Mitterrand,
69002 Lyon

Du lundi au samedi
De 10 à 19 heures
Entrée libre

Raymond Depardon est « un enfant du pays ». Né à Villefranche-sur-Saône, il a passé son enfance dans la ferme familiale, la Ferme du Garet, avant de « monter à Paris » pour devenir photo-reporter dans un premier temps et faire ensuite la carrière qu'on lui connaît. Depuis la rencontre avec son premier appareil photo, Raymond Depardon a bâti une ?uvre majeure, tant dans la photographie, que dans le film documentaire, dont il est un des maîtres incontestés. Grand reporter il a couvert des évènements politiques marquants, il s'est rendu sur des zones de conflits et s'est attaché à témoigner des grandes crises humanitaires de notre temps.

Dès 2004, il se lance un défi : celui de photographier seul, à la chambre 20x25 « la France des sous-préfectures », comme il l'écrit. À l'instar d'Eugène Atget, qui, au début du XXème siècle, a parcouru Paris en proie à une modernisation effrénée, pour saisir les derniers moments de quartiers en pleine mutation.

Quarante-quatre vues du paysage français ? des tirages argentiques en couleur de très grands formats (1,60 m x 2 m) ? illustrent un projet de grande ouverture, « une idée folle » du photographe, né à Villefranche-sur-Saône, et qui a vu pas mal de pays depuis.

 

www.magnumphotos.com
www.rhonealpes.fr/626-le-plateau

 

 

 

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Hai Zhang<br />
Don't Follow Me, I'm Lost

Photographie de Hai Zhang

 

 

 

« Hai Zhang
Don't Follow Me, I'm Lost »

RESTER PARTIR, LE VOYAGE IMPOSSIBLE
EXPOSITION INAUGURALE DE LA PROGRAMMATION COPRODUITE PAR MARSEILLE-PROVENCE 2013.

Vernissage dimanche 13 janvier à 12h30 Exposition du 13 janvier au 3 mars 2013
Voies Off :: Galerie
L'alternative photographique
Galerie Voies Off :: 26 ter, rue Raspail, 13200 Arles (France)

Hai Zhang est né en Chine et vit depuis une dizaine d'année à New-York. Il a étudié et pratiqué l'architecture en Chine et aux Etats-unis. La photographie ayant toujours été essentielle dans sa vie, il décide de s'y consacrer pleinement en 2008, s'attachant à présenter la constante et tentaculaire évolution du paysage urbain chinois.

"Aujourd'hui, se promener dans les villes chinoises est magique..."

A travers sa série Don't Follow Me, I'm Lost, l'artiste tente de saisir le sens de la réalité chinoise contemporaine et ses contrastes, cataloguant les portraits de sa propre société.

La Galerie Voies Off accueille Hai Zhang en résidence pendant 7 jours pour la conception de cette exposition, premier évènement de la programmation "Rester Partir, le voyage impossible".

 

http://www.voies-off.com

 

 

 

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Les Savoir Faire dans 11 Pays du Monde

Photographie © François Xavier Prévot

 

 

 

« Les Savoir Faire dans 11 Pays du Monde »

Photographies de François Xavier Prévot

Du 25 février au 2 mars 201"
Expo photos dans la salle "Les Écuries" de la Mairie d'Aurillac

xposition de Photos, Artisanats et Ateliers sur le thème des Savoir Faire dans 11 Pays du Monde, par François-Xavier PRÉVOT, Marcheur-Photographe, et Kaori PRÉVOT, artiste japonaise, dans le cadre de la 12 ° Semaine Interculturelle de la Ville d'Aurillac, du lundi 25 février au samedi 2 mars 2013.

Photos d'Algérie, de France, du Japon, du Mali, du Maroc, de Mauritanie, de Roumanie, du Tibet, de Tunisie, de Turquie et du Népal :

Des tanneurs de la Médina de Fès au Maroc aux tapis des femmes maures à Chinguetti en plein Sahara mauritanien, des potiers du souk de Tataouine en Tunisie aux derniers fabricants d'encriers au monde pour la calligraphie au sud du Japon, des croix Touareg en argent de Tamanrasset en Algérie aux marchands ambulants de chapeaux Peulh sur le port de Mopti au Mali :

Qui que l'on soit et où que l'on soit, que notre Travail soit une ?uvre d'Amour.

 

www.photographe-marseille.eu

 

 

 

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Méditerranée

Photographie © Myriam Voreppe

 

 

 

« Méditerranée »

Photographies de Myriam Voreppe

25 janvier - 20 fevrier 2013
Maison Pignal
rue du DR L'Hermier
26250 Livron / Drôme
04 75 40 41 37

Vernissage & inauguration de la nouvelle salle d'exposition
vendredi 25 janvier a partir de 19H

Dalles de béton, rochers, lieux escarpés, aménagements sommaires : bien que ces territoires des bords de Méditerranée ne soit pas des plus accueillants, l'homme éprouve l'envie de se rapprocher de l'eau.

Loin des plages de sable, des endroits insolites deviennent des lieux prisés dès lors qu'ils bordent les vagues.

J'aime observer comme les gens s'installent, comme les corps se tiennent, comment chacun profite de cet espace qu'il s'approprie...

 

www.livron-sur-drome.fr

 

 

 

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Moi mon foulard

Photographie © Bernard Duffour

 

 

 

« Moi mon foulard »

Photos de Bernard Duffour - Textes de Monique Domergue

22 Janvier au 23 Février 2013
Médiathèque de la Monnaie
Rue Ninon Vallin
26100 ROMANS
04-75-70-33-58

Vernissage et lecture par l'auteur : Mercredi 23 Janvier à 18h30
Médiathèque de la Monnaie ROMANS

Le Festival International 2012 Romans-sur-Isère a eu pour thème « Modes et Identités »

...en m'habillant, je définis qui je suis: dans le monde, dans mon pays, dans ma ville, dans mon quartier, mais aussi dans mon époque, mon genre, ma fonction...

Eléments de confort de notre quotidien, les voiles, foulards, étoles, fichus... sont aussi des vecteurs de nos identités culturelles, religieuses, ethniques....

Avec le concours de la Maison de Quartier Coluche, Monique Domergue, et Bernard Duffour, ont reçu les témoignages d'habitants d'origines et de cultures diverses sur la manière dont ils portent ce morceau de tissu et ce qu'il représente pour eux.

Dix textes, dix photos, dix fragments de vie qui rendent compte de la diversité et de la richesse des habitants du quartier et ont été restitués sous la forme d'une exposition itinérante.

Les éditions du Hanneton publient un livre de ce travail sous le titre « moi mon foulard »

Un grand merci à tous ceux qui nous ont aidé, soutenus et conseillés dans la réalisation de cette exposition, de l'accueil à la photographie et de l'écriture à la présentation.

... avec un bout d'étoffe, certains se couvrent, moi je me découvre.

 

www.bernard-duffour.book.fr

 

 

 

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Die-Casting

© Gaël Peltier, extrait Sans titre, photographie argentique, 120 x 80 cm, 2006

 

 

 

« Die-Casting »

Photographies de Gaël Peltier

EXPOSITION du 19 janvier au 23 février 2013 à La Traverse
Les Ateliers de l'Image?
28-38, rue Henri Tasso?
13002 Marseille
Tél. 04 91 90 46 76

Vernissage le samedi 19 janvier à 18h00. Rencontre avec l'artiste le samedi 19 janvier à 16h30.

Un art d'attitude vraiment à part

« Ainsi Peltier s'entraîne-t-il régulièrement à la boxe, ce sport aux significations sociales complexes. Ou encore apparaît-il comme héros ? plutôt comme anti-héros ? du film vidéo qui est le centre de gravité de l'exposition. Ici, entre la fiction de l'?uvre et la vie matérielle de l'artiste, les différences se brouillent : ainsi Peltier est bel et bien parti à New York en 2010, dans l'ombre d'un acteur que son rôle aurait condamné à prendre du poids, se glissant entre Robert De Niro, Jake LaMotta et Travis Bickle (le personnage), entre le champion, le prolétaire et le mauvais garçon. Au prix d'une trentaine de kilos de surpoids pris comme un conditionnement sculptural, il a opéré sur son propre corps une transformation plastique forte dont le film rend compte, non sans dérision : s'adressant à la webcaméra de son ordinateur, le personnage qu'il incarne littéralement raconte une vie banale, grotesque, carnavalesque, de loser velléitaire, vaguement artiste, souvent crétin, pathétique mais sans pathos, corrosif et attachant.

Il y a vraiment un ton singulier dans cette autofiction au seuil incertain, mais où se tient très clairement un artiste qui dessine là une posture résistante et conflictuelle. Il y affirme un art d'attitude vraiment à part, d'une verve qui touche à celle du John O'Toole, l'auteur de La Conjuration des imbéciles (1980, Louisiana State University Press) ».

Une mise au poing (extrait), Le Journal des Arts ? Christophe Domino

 

lezat50.tumblr.com
www.ateliers-image.fr

 

 

 

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Archives Actives - Part 1

 

 

 

« Archives Actives - Part 1 »

Sylvie Garraud, Marine Lanier, Stéphanie Lehu, Danièle Orcier, Mathilde Papapietro et Didier Tallagrand

Du 12 décembre 2012 au 16 Février 2013
Angle - Art contemporain
Place des Arts
26130 Saint-Paul-Trois-Châteaux
Tél : 04 75 04 73 03

Ouvert du mercredi au samedi de 14h à 18h
Fermeture du 30 décembre au 8 janvier
Vernissage le 8 décembre à 18h

Angle, 30 ans d'art contemporain 1983 - 2013

 

www.angle-art.fr

 

 

 

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RENCONTRES IMAGES et VILLE 2012

Photographie © Jacques Damez

 

 

 

« RENCONTRES IMAGES et VILLE 2012 »

8ème édition

Du 23 novembre 2012 au 15 février 2013
NEGPOS - FOTOLOFT
1, cours Némausus B301
30000 Nîmes

La ville, la ruine

N'allons pas voir derrière ce paradigme l'éloge d'une quelconque volonté d'en finir avec la ville. La ville et la ruine se côtoient depuis la nuit des temps. Dans un dialogue perpétuel, l'une après l'autre, l'une sur l'autre... et l'on ne saurait presque savoir qui de la première engendra la suivante. ?C'est ce que la programmation des Rencontres Images et Ville 2012 à travers la diversité de ses propositions, tente de signifier. ?De la Havane en état d'« après guerre » des années 1990 de Patrice Loubon et Carlos Garaicoa à la ville en « fusion » numérique de Jean-Baptiste Perrot, en passant par la vision « troublée » de Marcus Kaiser, fixée sténopéïquement à travers les percées dans le béton épais du mur de Berlin, comme si en abîme surgissait la ville détruite par la guerre et magistralement mis en scène par Roberto Rossellini dans « Allemagne Année Zéro », de cette ville fantôme et anonyme où nous fait circuler angoissés Guillaume Chamahian au chantier des subsistances à Lyon photographié par Jacques Damez s'inscrivant dans la lignée de Charles Marville, des vidéos d'artistes présentés par le label LOWAVE renvoyant à des réalités pas tellement artistiques telles que la guerre (n'en déplaise aux Futuristes...) aux regards croisés d'un groupe de recherche sur la ville qui cherche à débusquer, sans dénoncer, ce qui fait « ruine » aujourd'hui à Nîmes et comment la ville n'en finit pas de se réinventer sur des strates de siècles et de « sédiments » humains, la ville élabore ainsi au fil du temps sa propre relation à la ruine, et vice versa...

 

www.negpos.fr/negposphoto

 

 

 

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La fin du pétrole

Tristan Zilberman - Brest Brest Brest ©

 

 

 

« La fin du pétrole »

Photographies : Tristan zilberman - Graphismes : Brest Brest Brest

Du 14 janvier au 17 février 2013
Une exposition dans deux lieux :

Espace Envol
Bd de la Chaumette
07000 Privas
Visites du lundi au vendredi 9H > 12H - 14H > 18H

Ass. " Un jour, un lieu"
Ancienne usine
Quartier Trëguel
07000 Flaviac
Visites le 26 et 27.01 10H > 13H ou sur RDV au 06.07.61.85.26

Vernissage mer 16.01 >18H à l'Espace Envol
Suivi d'un débat sur la transition énergétique.
Rencontre et échanges en présence d'élus ardéchois et avec notamment «La coordination Transition Ecologique et Energétique» Ardèche (TEE 07).
Présentation du projet de film documentaire « NO GAZaran » sur l'exploitation industrielle du gaz de schiste, en présence de la co-réalisatrice Carole Menduli du collectif «Les Brasseurs de Cages».

Soirée rencontre le Ven 18.01 à partir de 19h dans les locaux de "Un jour, un lieu"

Ce travail photo + graphisme a été réalisé par BBB à partir de clichés de Tristan Zilberman :

10 ans de photo sur le massif du Coiron pour raconter la vie des gens, la ruralité, les traditions, les paysages, 10 ans de reportages et de rencontres, présentés à travers des expos, des albums, des diaporamas.

Le désir de partager ces images, conduit aujourd'hui Tristan Zilberman à en proposer une nouvelle lecture : ainsi, a-t-il sollicité un regard de graphiste : celui de Brest Brest Brest.

Confiant quant à leur créativité, il leur a laissé carte blanche pour intervenir à partir de ses clichés... Demeurant néanmoins curieux de savoir ce que tout ça allait leur inspirer !

Résultat : LA FIN DU PETROLE.

C'est un regard neuf, décalé qui n'est pas celui du photographe ayant parcouru le territoire en totale immersion. C'est une vision inédite : les images de la vie rurale ardéchoise évoquant un basculement de civilisation ! Non pas passéiste, mais d'avenir : quand il n'y aura plus de pétrole, il y aura peut-être encore la terre et des hommes pour la travailler, des animaux à élever ?

Cette vision des lendemain sans pétrole est finalement assez rassurante ! Berçons-nous en...

Car en réalité, qui sait de quoi demain sera fait ?

Va-t-on avancer vers un monde où l'énergie sera captée au grès des vents et des marées, vers une énergie libre et accessible à tous, rendant de ce fait, toute velléité guerrière inutile ? Ou va-t-on poursuivre dans la logique d'une exploitation outrancière, déraisonnée, au profit d'une minorité possédante, réduisant par la même le reste de l'humanité à la servitude ? À moins qu'un monde apocalyptique ne se profile : Fukushima étendant sa lèpre au planétaire, des humains contaminés en errance, même pas imaginé par la SF la plus glauque.

«Il y avait un jardin qu'on appelait la terre...», chantait Moustaki ! Cette phrase doit-elle sonner comme une épitaphe ?

* Brest Brest Brest est un atelier de création graphique basé sur crest, piloté par Arnaud Jarsaillon, Rémy Poncet & François Gaillard

 

www.tristanzilbrerman.com
www.brestbrestbrest.fr

 

 

 

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Adieu la Suisse

Photographie © Nicolas Faure

 

 

 

« Adieu la Suisse »

Construction et déconstruction d'un mythe photographique

Du 16 novembre 2012 au 10 février 2013
Pavillon populaire
34000 Montpellier

L'exposition « Adieu la Suisse » sera inaugurée le jeudi 15 novembre à 18h.
Ouvert du mardi au dimanche inclus, de 10h00 à 13h00 et de 14h00 à 18h00 durant les expositions. Entrée libre
Visites guidées gratuites tous les vendredis à 16h et tous les samedis à 11h, 14h30, 16h

Cette exposition - dont le commissariat a été confié au Dr. Peter PFRUNDER, Directeur de la Fondation suisse pour la photographie - proposera six points de vue marquants issus du riche éventail de la photographie documentaire récente qui s'est développée en Suisse depuis les années 1990. « Le spectateur attentif qui voyage aujourd'hui en Suisse ne peut ignorer les signes de changement. Le paysage qui s'offre à lui n'a que peu de choses à voir avec l'image idyllique de la Suisse que nous en gardons dans notre imaginaire. Un magma uniforme de zones urbaines menace de recouvrir le pays, le paysage alpin se mue en un parc de loisirs et, à travers l'alignement d'agglomérations dans un espace réduit, on découvre les signes variés, témoins d'une réalité qui semble fractionnée, déconcertante et contradictoire : des mondes se heurtent brusquement, reflétant toute la tension et la dynamique de notre présent. Rendre ce présent transparent et le comprendre, tel est l'objectif d'un groupe de photographes qui l'expriment chacun dans un style différent et unique ». Peter PFRUNDER, commissaire de l'exposition.

Exemplaire par son concept autant que par la collaboration entre deux institutions culturelles de pays différents, l'exposition « Adieu la Suisse ! » engage la responsabilité de l'image dans le monde contemporain et éveille une conscience écologique.

12 photographes et un vidéaste helvétiques seront ainsi mis à l'honneur : Hans BAUMGARTNER, Erich BUSSLINGER, Jean-Luc CRAMATTE, Nicolas FAURE, Théo FREY, Yann GROSS, Hans Peter KLAUSER, Gotthard SCHUH, Christian SCHWAGER, Jules SPINATSCH, Albert STEINER, Martin STOLLENWERK et Jakob TUGGENER.

 

www.montpellier.fr

 

 

 

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Lumiéres et regards

Photographie © Alain Borjon

 

 

 

« Lumiéres et regards »

Luminescence Art Portrait

Du 28 janvier au 9 février 2013
Office du tourisme
1 place Carnot
38 Bourgoin-Jailleu

Vernissage le 29 janvier à 18h30
Entrée libre du lundi au vendredi de 10 à 12h et de 14 à 19h, et le samedi dimanche de 10 à 19h.

 

www.luminescence-portrait-art.book.fr

 

 

 

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La photographie_Maison Blanche #2 (SUITE)

Photographie © Valérie Gaillard - La Résidence 2011

 

 

 

« La photographie_Maison Blanche #2 (SUITE) »

Exposition des lauréats : Sylvain Couzinet-Jacques (premier prix) / Andrés Donadio / Valérie Gaillard / Lola Hakimian / Maude Grübel

Du 10 janvier au 2 février 2013
Galerie MAD
Galerie de l'Ecole Supérieure d'Art et de Design Marseille-Méditerranée
30 bis boulevard Chave
13005 Marseille

VERNISSAGE le jeudi 10 janvier 2013 à 18h30

 

www.laphotographie-maisonblanche.org

 

 

 

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Natures de l'eau

Photographie © Patrick Boit

 

 

 

« Natures de l'eau »

Photographies de Patrick Boit

Du 02 au 30 janvier
Office de Tourisme d'Etoile sur Rhône

Du mardi au samedi midi de 9h à 12h et de 14h à 17h
Portes ouvertes avec l'artiste
le samedi 05 janvier 2013 (de 14h à 18h)

L'eau impose à la pierre sa forme, la pierre impose à l'eau son mouvement, dialogue intemporel des éléments, alchimie des interactions.

L'eau, élément essentiel à la vie, est de plus en plus menacée, par une utilisation intensive et des pollutions multiples.

Ma propre réflexion par rapport à l'évolution de nos sociétés qui s'emballent, m'a poussé à porter un autre regard sur des phénomènes naturels comme l'eau qui ruisselle ou le mouvement de la houle.

Amoureux de la nature j'aime en capter les expressions les plus secrètes grâce à un rapport au temps différent. Cela m'impose parfois des temps de prise de vue très longs.

A ces vitesses d'obturation, la houle se transforme en brume et nous plonge dans l'univers voilé d'une réalité que nous pourrions observer si notre vision était ralentie.

Ce ralentissement nous invite à percevoir l'harmonie des éléments, même au plus fort de leur déchaînement.

Tumultueuse ou paisible l'eau porte en son sein les mystères de nos origines et si l'eau a été notre premier miroir, nous pouvons également y voir le reflet de notre propre destin.

Patrick Boit

 

www.boit-a-images.net

 

 

 

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Série 53.77 Anaglyph

Anaglyph © Mireille Loup

 

 

 

« Série 53.77 Anaglyph »

Photographies 3D de Mireille Loup

Du 8 au 31 janvier
Fontaine Obscure
24 av Henri Poncet
13090 Aix-en-Provence

Vernissage le samedi 12 janvier 2013 à 17h30 ouverture exceptionnelle de 14h à 20h dans le cadre du Parcours d'Art Contemporain MP2013
Sinon du mardi au vendredi de 14h à 18h, samedi de 10h à 12h

53.77 est une oeuvre anaglyphe. Le port de lunettes spécifiques permet une lecture en réalité virtuelle, où les différents plans de l'image se détachent et suivent l'oeil du spectateur. Ici, Loup restitue six prises de vues assemblées en une seule image anaglyphe. Sans lunettes, hors tridimensionnalité, la contribution remarquable à ses recherches anaglyphes propose une esthétique du flou singulière. Elle renvoie à l'univers de ses oeuvres Mem (2009) et Les Autres (2011), où se côtoyaient images mortuaires et lumières spectrales.

 

www.mireilleloup.com
www.fontaine-obscure.com

 

 

 

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Cuba Grafica

 

 

 

« Cuba Grafica »

Graphismes cubains

DU 17 NOVEMBRE 2012 AU 31 JANVIER 2013
BIBLIOTHÈQUE KATEB YACINE
CENTRE COMMERCIAL GRAND'PLACE
38000 Grenoble

VERNISSAGE SAMEDI 24 NOVEMBRE À 15H SUIVI D'UNE CONFÉRENCE À 16H

Cette exposition présente une série d'affiches de graphistes cubains de la fin des années 60 à nos jours, reflet de l'histoire et de l'évolution du peuple cubain et encore jamais montrées en France. Figurent les affiches des graphistes de l'ancienne génération des années 60-70, "l'âge d'or de l'affiche cubaine" ainsi que celles des années 80, la plus rude au niveau politique et pour les graphistes... Puis les années 90-2000, d'où émerge une nouvelle génération d'artistes qui travaillent toujours dans un contexte difficile. Régis Léger, graphiste parisien, a collecté ces affiches lors de plusieurs séjours à Cuba où il a mené un projet de recherche sur la jeune génération de graphistes cubains. Accompagné d'Idania del Rio*, considérée comme l'une des chefs de file du nouveau gra- phisme cubain, il donnera une conférence intitulée "Cuba et son histoire à travers ses affiches" le samedi 24 novembre.

*Des affiches d'Idania del Rio figurent dans l'exposition "Nord- Sud, Graphistes d'Europe et d'Amérique latine" présentée aux Moulins de Villancourt. Exposition proposée par l'Artothèque municipale de Grenoble en partenariat avec le Centre du Graphisme d'Echirolles dans le cadre du Mois du graphisme 2012 "Nord-Sud".

 

www.bm-grenoble.fr
www.graphisme-echirolles.com
duguduss.blogspot.fr

 

 

 

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Des images et des mots

Photographies © Sandrine Balade et Joël Cubas

 

 

 

« Des images et des mots »

Ateliers Photo dans des écoles au Liban

Des Images et des Mots est un projet d'Ateliers photo mené en ce moment même au Liban, dans la région du Chouf (dans les montagnes au sud-est de Beyrouth) par les photographes Sandrine Balade et Joël Cubas.

20 enfants de 10-12 ans issus de 5 écoles différentes participent à cet atelier avec pour finalité une exposition photo-vidéo qui sera diffusée au Liban, voire en France (prospection en cours).

Après avoir présenté en 2012 l'expo "Je fais mon cinéma" , un travail photo réalisé par Sandrine et Joël avec des enfants du Burkina Faso, "La Fabrique de l'Image" soutient aujourd'hui cette initiative conduite avec des enfants du Liban.

Pour plus d'informations et si vous voulez aider ce projet à aboutir cliquez sur le lien c-dessous.

 

http://fr.ulule.com/images-et-mots/

 

 

 

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6èmes Rencontres Photo Art'gentik

 

 

 

« 6èmes Rencontres Photo Art'gentik »

Art'gentik73

19-27 Janvier 2013
La Ravoire ? Espace Culturel Jean Blanc
Rue de la concorde,
73491 La Ravoire

Créé en 2006, ART'gentik73 est un collectif de 24photographes régi par la loi 1901 dont le but est de perpétuer la photographie argentique et de remettre au goût du jour les procédés anciens. Les Rencontres Photo Art'gentik proposées par ce collectif, en partenariat avec la municipalité de La Ravoire, sont l'occasion de découvrir la diversité artistique des auteurs de la région. Une preuve que le grain d'argent, voire de palladium ou de platine, produisent toujours autant d'émotions.

 

www.artgentik73.fr/Rencontres

 

 

 

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Le RAW de la prise de vue au tirage

Avant / Après - Photographie © Tristan Zilberman

 

 

 

« Le RAW de la prise de vue au tirage »

STAGE proposé par "La Balance des Blancs"
et "La Fabrique de l'Image"

DIMANCHE 20 JANVIER 2013 de 09:00 à 17:00
Ce stage aura lieu à
La Fabrique de L'image
2 rue de l'Oratoire
07400 Meysse

Pour initiés
Nombre de participant : 4 à 8 personnes
Avec les photographes : Tristan Zilberman et Aude Lavenant

TARIFS
Adhérents à La Balance des Blancs : 110 euros
Non adhérents : 120 euros + 15 euros d'adhésion annuelle

RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTIONS
Aude Lavenant - 06 74 55 20 12
Association La balance des Blancs
18 rue Saint-François - 26400 Crest

Ce stage vous propose de découvrir toute la chaine graphique du traitement de l'image et en particulier la chaine de développement des fichiers RAW*. Par petit groupe, vous expérimenterez une méthode pour optimiser la qualité de vos images dès la prise de vue et jusqu'à l'impression sur papier photo.

UN TIRAGE VOUS SERA OFFERT À LA FIN STAGE

* Le fichier RAW est l'équivalent en argentique du négatif ; c'est un fichier qui conserve toutes les données brutes de l'image et toutes ses nuances. Il permet de réaliser de très beaux agrandissements.

Toutes les infos sur le site de l'association la Balance des Blancs

 

www.labalancedesblancs.net

 

 

 

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La fin du pétrole

Tristan Zilberman - Brest Brest Brest ©

 

 

 

« La fin du pétrole »

Photographies + Graphisme = Tristan Zilberman + Brest Brest Brest

Du 10 octobre 2012 au 12 Janvier 2013
La Fabrique de l'image
2, rue de l'Oratoire
07400 Meysse

De 15h à 19h
Du mercredi au samedi
Ou sur Rendez-vous
Entrée libre

Dans le cadre des rendez-vous à l'atelier de la mapra la fabrique de l'image sera ouverte les 13 et 14 octobre de 10:00 à 22:00

Ce travail photo + graphisme a été réalisé par BBB à partir de clichés de Tristan Zilberman :

10 ans de photo sur le massif du Coiron pour raconter la vie des gens, la ruralité, les traditions, les paysages, 10 ans de reportages et de rencontres, présentés à travers des expos, des albums, des diaporamas.

Le désir de partager ces images, conduit aujourd'hui Tristan Zilberman à en proposer une nouvelle lecture : ainsi, a-t-il sollicité un regard de graphiste : celui de Brest Brest Brest.

Confiant quant à leur créativité, il leur a laissé carte blanche pour intervenir à partir de ses clichés... Demeurant néanmoins curieux de savoir ce que tout ça allait leur inspirer !

Résultat : LA FIN DU PETROLE.

C'est un regard neuf, décalé qui n'est pas celui du photographe ayant parcouru le territoire en totale immersion. C'est une vision inédite : les images de la vie rurale ardéchoise évoquant un basculement de civilisation ! Non pas passéiste, mais d'avenir : quand il n'y aura plus de pétrole, il y aura peut-être encore la terre et des hommes pour la travailler, des animaux à élever ?

Cette vision des lendemain sans pétrole est finalement assez rassurante ! Berçons-nous en...

Car en réalité, qui sait de quoi demain sera fait ?

Va-t-on avancer vers un monde où l'énergie sera captée au grès des vents et des marées, vers une énergie libre et accessible à tous, rendant de ce fait, toute velléité guerrière inutile ? Ou va-t-on poursuivre dans la logique d'une exploitation outrancière, déraisonnée, au profit d'une minorité possédante, réduisant par la même le reste de l'humanité à la servitude ? À moins qu'un monde apocalyptique ne se profile : Fukushima étendant sa lèpre au planétaire, des humains contaminés en errance, même pas imaginé par la SF la plus glauque.

«Il y avait un jardin qu'on appelait la terre...», chantait Moustaki ! Cette phrase doit-elle sonner comme une épitaphe ?

* Brest Brest Brest est un atelier de création graphique basé sur crest, piloté par Arnaud Jarsaillon, Rémy Poncet & François Gaillard

 

www.brestbrestbrest.fr
www.tristanzilbrerman.com
www.fabrique-image.fr

 

 

 

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NY Vu

Photographie © Marine Genthial

 

 

 

« NY Vu »

Présenté par Le Lycée St Louis - St Bruno (Lyon)
Et MC Lycéens Voyageurs

Du 20 Décembre 2012 au 12 Janvier 2013
Direction Régionale Allianz
28 rue de Bonnel
69003 Lyon

Vernissage le 20 Décembre à partir de 18 h

Un lycée, des classes de terminale, un voyage de fin de cycle pour une destination d'exception : New York !

Au Lycée St Louis-St Bruno de Lyon, et avec le précieux concours de l'association MC Lycéens Voyageurs, le projet d'un séjour dans la Cité américaine prend vie. Rapidement la photographie trouve également une place dans ce projet :

un atelier d'initiation à l'image fixe est mis en oeuvre.Sollicité pour l'animer, Emmanuel Georges, au cours de différentes séquences, éveille les lycéens à l'image avec patience et passion. Et les accompagnera sur leur parcours.

Quelques jours juste avant le passage de l'ouragan Sandy,30 jeunes lycéens sont rentrés avec des tas d'images dans la tête. Certaines d'entre elles ont pris forme sur papier glacé. Il s'agit des images aujourd'hui exposées. Des points de vue multiples, appliqués et heureux, parfois juste cadrés sur la cité qu'ils ont perçue comme une ville unique au monde.

 

www.georgesemmanuel.com
mc-lyceens-voyageurs.blogspot.com

 

 

 

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O' sole mio

Photographie © Dominique Errante

 

 

 

« O' sole mio »

Photographies de Dominique Errante

Du 4 décembre 2012 au 12 janvier 2013
Photo Sphére
17 faubourg Saint Jacques
26000 Valence

Du mardi au samedi
9h-12h 14h-19h

"O' sole mio"

On connaît la chanson! Enfin, on croit la connaître, mais lorsque Dominique Errante retourne dans le pays de ses origines, on se rend compte alors de nos lacunes.

Oui, ce photographe est bien un fils du soleil, un enfant de ce pays de lumière, qui vit en exil parmi nous et qui aime à rappeler la sentence de Jean Cocteau: "Les Français sont des Italiens de mauvaise humeur."

Que nous manque t-il donc pour que notre bleu reverdisse?

Pour parfaire à cette mutation et nous communiquer son enthousiasme, cette fois ci, Errante, au nom prédestiné, le temps d'un été, est revenu plus précisément dans la terre de ses racines.Une des régions les plus méconnues, mais aussi des plus secrètes de l'Italie: le Frioul.

Il nous en ramène quelques précieux fragments, des scènes que l'on dirait toujours puisées à l'orée d'un quotidien fantastique, des scènes que l'on dirait tout droit tirées d'un film de Pasolini, frioulan lui aussi et qui a beaucoup contribué à affiner la vision du photographe.

Le voyage se poursuit sur la côte Adriatique, l'île de Burano où un arc-en ciel s'est fracassé sur les maisons, et puis il y a Venise et son irrésistible attraction. Errante y est retourné tant et tant de fois qu'il sait aujourd'hui en éviter tous les clichés. Il y promène son objectif, comme un chercheur d'or plongeant inlassablement son tamis dans les eaux sombres d'un passé, plus présent que jamais.

Cela tient peut-être à cela le miracle de la photographie: faire apparaître le rêve dans la réalité. Et la mythique Venise s'y prête mieux que toute autre.

"O' sole mio" les éclats d'une errance qui confirment cette révélation par la phrase d'Edmond Jabbès:

"Le visible est une rayure sur la vitre de l'invisible".

 

 

 

 

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Éloge du vide parfait

Photographie © Jean-Pierre Revel

 

 

 

« Éloge du vide parfait »

Photographies de Jean-Pierre Revel

Du 6 décembre au 12 janvier 2012
A la galerie Fotografika
10 rue du Borgeaud
1196 Gland

Du lundi au samedi: 09:00 - 12:00 / 14:00 - 18:30
Fermé le mardi matin
En novembre ouvert samedi 09:00 - 12:00 / 14:00 - 16:00
Vernissage le 6 décembre à partir de 18h

 

www.fotografika-gallery.com

 

 

 

 
"LA FABRIQUE DE l'IMAGE" est une activité de Pollen Scop - siret : 439 076 563 000 48

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