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Événements - Archives 2014

 

as it is

© Miho Kajioka

 

 

 

« as it is »

Exposition de Miho Kajioka

Du 20 novembre 2014 au 17 janvier 2015
Fotografika
10 rue Borgeaud
CH 1196 Gland

Ouvert du lundi au samedi de 9h à 12h et de 14h à 18h30. Fermé mardi matin et samedi après-midi.

Pendant de nombreuses années, je n'ai pas poursuivi mon travail en tant qu'artiste, mais la tragédie m'y a renvoyé.

J'ai déménagé aux Etats-Unis quand j'étais adolescente et j'ai commencé à étudier la peinture au San Fransisco Art Institute. Là, pour la première fois, j'ai pu voir mon propre pays et sa culture depuis l'extérieur et c'est comme ça que j'ai appris la beauté de celui-ci. Pendant huit ans, quand je vivais aux Etats-Unis et au Canada, le Japon a été mon principal intérêt artistique. Cependant, quand je suis retournée au Japon que j'avais admiré pendant des années, j'ai perdu l'objectif de faire de l'art. Alors je me suis embarquée dans une carrière dans le journalisme. C'était le tremblement de terre japonais de 2011 et le tsunami qui m'ont reconnectée à l'art. Je devais reporter la catastrophe pour une chaîne d'information TV brésilienne tous les jours et toutes les nuits depuis le désastre. Ce fut la première fois que je sentais la mort si près de moi. La situation était si horrible que je n'étais même plus capable de pleurer. Trois mois après la catastrophe, pendant que je faisais un reportage dans la ville côtière de Kamaishi, où 800 personnes avaient péri, j'ai trouvé des roses qui fleurissaient à côté d'un bâtiment détruit. Le mélange entre grâce et destruction m'a fait penser à un poème japonais :

Au printemps, fleurs de cerisier, En été, le coucou,?En automne, la lune, et en Hiver la neige, claire, froide.

Ecrit par le moine zen Dogen, le poème décrit la fugace et fragile beauté des changements de saison.

Les roses que j'ai vues à Kamaishi fleurissaient simplement parce que le temps se réchauffait. Cette magnifique et simple déclaration, faite par des roses au milieu de ruines m'a impressionnée et m'a fait retourner à l'art.

“as it is" [ c'est ainsi ]

Les photographies que je présente ici dans “as it is?, traversent ma vie d'adulte, incluent des images que j'ai prises lorsque que je vivais à l'étranger et, également des scènes que j'ai capturées au Japon après la catastrophe de 2011. J'ai pris un plan horizontal d'une fille qui marchait le long de la mer à Fukushima, à 60 km de la centrale nucléaire, un an après l'accident. Les petites images d'une fleur ou d'un garçon qui court, sont des scènes de la vie quotidienne.

Ces fragments de ma vie, de différentes époques et ces changements de décor, ne sont pas si différents les uns des autres et les différences qui restent ne sont pas importantes. Le bonheur, la tristesse, la beauté et la tragédie existent seulement dans notre état d'esprit.

Tout est ainsi

 

www.mihokajioka.com
www.fotografika-gallery.com

 

 

 

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Le Jardin des Tarots de Niki de St-Phalle

 

 

 

« Le Jardin des Tarots de Niki de St-Phalle »

Exposition Photographique

Exposition du 19/09 au 15/01/2015
Palais Idéal du Facteur Cheval
8, rue du Palais
26390 Hauterives

Le Palais idéal vous accueille toute l'année, dimanches et jours fériés inclus, à l'exception des dates suivantes : fermeture le 25/12 et 01/01 et du 15/01 au 31/01
Sept : 9h30 à 18h30
Oct à Nov : 9h30 à 17h30
Déc à Janv : 9h30 à 16h30

Connue dans le monde entier pour ses célèbres "Nanas", Niki de St Phalle, était une grande fan du Facteur Cheval. En écho à la rétrospective que lui consacre le Grand Palais dès cet automne à Paris, le Palais idéal accueillera une exposition photographique dédié à son sublime Jardin des Tarots bâti en Toscane.

 

www.facteurcheval.com
www.nikidesaintphalle.com

 

 

 

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Sans liens particuliers entre elles, hormis l'humour et la couleur

"châtaignier aux oiseaux" 1/1

 

 

 

« Sans liens particuliers entre elles, hormis l'humour et la couleur »

Photo collage d'Anesofie

Du 01 au 31 décembre 2014
Porte des Gaultiers
Le Village
26270 Mirmande

Ouvert tous les après-midi de Décembre de 14h à 19h

"Cette série est un travail qui a réunis mes deux domaines, la photographie et le collage.

J'ai voulu avec humour et couleur les mélanger !

La photo-collage est un travail de recherche car je travaille à partir de magazines et je les feuillette jusqu'à trouver l'objet, le personnage, la fleur qui convienne à la photographie, ensuite je les assemble.

La photographie en noir et blanc utilisée , est prise consciemment , pour ce travail là, une porte , un arbre , un objet positionné de manière pratique et harmonieux pour accueillir la touche de couleur qui détournera le premier sens de la photographie .

Voilà en quoi consiste cette série: détourner, à l'aide du collage , le sujet de la photographie avec humour et couleur, tout en gardant à l'œil le travail photographique."

 

www.anesofie-creations.blogspot.fr
www.portedesgaultiers.wix.com

 

 

 

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Chaplin, entre guerre et paix

Charlot Soldat (Shoulder Arms), 1918 © Roy Expot S.A.S., scan Cineteca di Bologna, courtesy Musée de l'Elysée, Lausanne

 

 

 

« Chaplin, entre guerre et paix »

17.09.2014 au 04.01.2015
Musée de l'Elysée
18, avenue de l'Elysée
1014 Lausanne - Switzerland

Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h.
Entrée : CHF 8. - AVS : CHF 6.- AI, étudiants, apprentis, chômeurs : CHF 4. - Entrée libre le premier samedi du mois.
Vernissage le 16 septembre 2014.

Charlie Chaplin doit-il continuer à faire du cinéma ou rejoindre les tranchées ? La polémique sur le non-engagement de l'acteur britannique aux côtés des siens éclate dès 1915. Alors au début de sa gloire, Chaplin est déjà confronté aux critiques. Vingt-cinq ans plus tard, ce sera à son tour de questionner les convictions morales et politiques à l'aube de la Seconde Guerre mondiale.??En 1914, l'Amérique découvre ce jeune comédien de music-hall sur les écrans des cinématographes dans les films burlesques de la Keystone. En quelques mois, Chaplin devient l'une de leurs vedettes. Se démarquant par sa défroque, son style et ses mimiques, son personnage plaît au public. La Première Guerre retarde la diffusion de ses courts-métrages sur le vieux continent à 1915, mais Charlot y est tout aussi populaire, auprès des civils comme des « poilus ».??Chaplin ne quitte pas sa terre d'accueil mais continue d'entretenir le moral des troupes par son humour. Il rallie néanmoins l'effort de guerre en 1918 et produit un court métrage de propagande en faveur de la troisième campagne des Bons de la liberté. Cette même année, il tourne Charlot soldat, un Charlot héroïque qui réussit à capturer le Kaiser, alliant situations comiques et réalisme des tranchées. Sorti quelques semaines avant l'armistice, le film connaît un véritable succès.??La conscience politique de Chaplin s'aiguise encore pendant l'entre-deux-guerres, de même que ses préoccupations pour l'économie. La montée du fascisme au début des années 1930 inquiète celui qui était devenu un pacifiste convaincu. C'est un cinéma engagé qu'il met en oeuvre en tournant Le Dictateur en 1939-1940. Chaplin brosse une caricature de la dictature où se mêlent ironie et tragédie. Charlot, l'opprimé de la société, se retrouve sous les traits du barbier juif. Pour son premier film entièrement parlant, le cinéaste ose dire tout haut ce que beaucoup préfèrent taire.??L'exposition présentée par le Musée de l'Elysée rassemble des tirages originaux et des documents d'époque appartenant aux Archives Chaplin, dont les photographies sont déposées depuis 2011 au musée. Des extraits de films (provenant de Lobster, MK2, Gaumont Pathé Archives, Transit Film/Berlin Filmothek Bundesarchiv), des photographies des deux guerres mondiales issues de la collection du musée et des affiches de la Cinémathèque suisse, ainsi que de collections privées, étayent les prises de position de Chaplin face à l'Histoire.??Depuis 2011, le Fonds photographique Charles Chaplin a reçu le soutien de l'Office fédéral de la culture, de la Fondation Coromandel, de la Fondation Le Cèdre, de la Fondation Leenaards, de la Fondation Sandoz et de la Fondation BNP Paribas Suisse.

 

www.elysee.ch

 

 

 

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Architecte de la mémoire

© Amos Gitai

 

 

 

« Architecte de la mémoire »

Exposition de Amos Gitai

Du 17 septembre au 4 janvier 2015
Musée de l'Elysée
18, avenue de l'Elysée
1014 Lausanne - Switzerland

Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h.
Entrée : CHF 8. - AVS : CHF 6.- AI, étudiants, apprentis, chômeurs : CHF 4. - Entrée libre le premier samedi du mois.
Vernissage le 16 septembre 2014.

Dédiée à l'oeuvre du cinéaste israélien Amos Gitai, l'exposition est une coproduction avec la Cinémathèque suisse, la Cinémathèque française et Galeries, Bruxelles. Réalisé d'après ses archives, ce projet multimédia explore quarante ans de création, réunissant documents rares, extraits de films et photographies. L'exposition dévoile des thèmes qui lui sont chers, les frontières, l'architecture, les friches, la langue ou l'histoire, ainsi organisés : « Kippour, naissance d'un cinéaste », « Réalités et frontières », « Mythologies » et « L'exil et le monde ».??En 1973, pendant la guerre du Kippour, Gitai est gravement blessé. Ce trauma fait surgir une expression artistique spontanée (dessins, films Super 8) avant de devenir, vingt ans plus tard, le sujet de deux longs-métrages (Kippour, souvenirs de guerre et Kippour). Cinéaste engagé, Gitai interroge l'identité et les paradoxes d'Israël (House, Wadi, Free Zone) où le conflit israélo-palestinien n'est jamais absent. Au-delà de ce présent bousculé, son oeuvre puise ses origines dans des mythes fondateurs qu'il étaye et subvertit à la fois, avec une prédilection pour la poésie biblique, le coeur d'Esther, sa première fiction. Pris à partie par la censure, Gitai fait le choix de l'exil à des moments décisifs de sa vie. L'occasion de rencontres inspirantes, comme sur Berlin-Jérusalem. ?Depuis les années 1980, Gitai n'a cessé de filmer les failles d'autres régions du monde prisonnières, comme le Moyen-Orient, de leurs contradictions (Le Jardin pétrifié, Ananas). Le cinéma d'Amos Gitai n'a pas de frontières. ??L'ouvrage collectif Amos Gitai Architecte de la mémoire, publié par Gallimard et La Cinémathèque française, accompagne l'exposition et la rétrospective.??Matthieu Orléan de La Cinémathèque française assure le commissariat de l'exposition.

Rétrospective Amos Gitai à la Cinémathèque suisse

L'exposition est accompagnée d'une étrospective intégrale des films d'Amos Gitai à la Cinémathèque suisse.?Programme détaillé sur www.cinematheque.ch

 

www.elysee.ch

 

 

 

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Enregistrements photographiques

© Sylvie Garraud

 

 

 

« Enregistrements photographiques »

Photographies de Sylvie Garraud

exposition du 12 au 20 décembre 2014 dans le cadre du festival de La Caravane, dans le Nord de la Drôme
Palais Idéal du Facteur Cheval, Hauterives

Ouvert tous les jours de 9h30 à 16h30
Vernissage le lundi 15 décembre de 18h à 19h30

La série des «enregistrements photographiques» se développe depuis une douzaine d'années au gré des possibilités de séjours dans différents lieux (usine, chapelles, champs, observatoire, etc). Il s'agit moins de photographie proprement dite que d'une tentative d'inscription du corps dans l'espace en relation à l'expérience d'un lieu. J'ai pensé à un outil des plus malléable, des plus plastique: une lampe de poche en guise de crayon dont la trace et le contexte sont enregistrés par le procédé photographique. Les conséquenses d'un tel geste ont été multiples et ont induit d'autres expérimentations au fil des années. Un extrait de ce travail réalisé au Prieuré de Charrière en 2011/12 est présenté au Palais idéal du Facteur Cheval à Hauterives dans le cadre de la Caravane, un dispositif d'ateliers et d'évènements artistiques initié et porté par le Conseil Général de la Drôme.

 

Flyer
www.facteurcheval.com

 

 

 

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Arts UP

© Anna Puig Rosado

 

 

 

« Arts UP »

Exposition collective IV édition

Du 5 au 7 décembre 2014
Grenier à sel
84000 Avignon

Voici les artistes retenus pour l'édition 2014 :

le collectif « des cailloux dans la tête »
Anna Puig Rosado
Patrick Vallot
Martine Trouïs
Karine Debouzie
Robert Gaillot
Hortense Le Calvez
Mathieu Goussin
Bénédicte Azan
Helga Stüber-Nicolas

 

www.arts-up-sud.com
www.grenierasel.com

 

 

 

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Ni Soumise

© Françoise Beauguion

 

 

 

« Ni Soumise »

Photographies de Françoise Beauguion

Du 14 novembre au 20 décembre 2014
Restaurant au Bonheur du jour
14, place du Temple
26200 Montélimar

Dans le cadre du festival Présences Photographie

L'Islam en France. Un thème actuel. Identité nationale et autres débats sur la laïcité sont au cœur des médias et de la vie politique française depuis quelques années. La place de la religion musulmane, la prière de rue, l'interdiction du port du niqab, les problèmes d'intégration. Un réel problème ? Le résultat y est en tout cas radical : les Français se ferment et sont inquiets ce qui engendre de nombreux amalgames entre niqab et hijab ou encore entre islamistes et musulmans.

Nous avons des préjugés.

Quelle attitude prendre quand nous croisons une femme voilée dans la rue ? Pourquoi avons- nous peur que nos filles rencontrent un musulman ? Pourquoi pensons-nous que le port du voile signifie soumission ? NI SOUMISE est une série de portraits de femmes musulmanes portant le hijab (voile musulman recouvrant les cheveux et le cou). Une lumière est orientée et axée sur le voile. Dans un premier temps, des formes colorées ou à motif se dégagent d'un fond noir. Des masses. C'est ce que nous voyons si l'on ne s'arrête pas un peu sur les images. Ne voir que des voiles représente nos idées préconçues. Pourtant pourquoi tant de couleur ? Si nous sommes attentifs, nous distinguons des visages, dans l'ombre. Des visages souriants et épanouis. Car le port du hijab est un choix, une religion, une tradition voire une coquetterie. Ces femmes ont choisi. Car elles sont libres. La liberté prend différents visages.

Nous oublions que nos idées ne sont pas une vérité pour d'autres cultures. Car nous ne les connaissons pas. Nous avons peur. Cette série n'est pas uniquement une suite de portraits de femmes musulmanes ou de voiles mais bien une confrontation avec nos préjugés.

 

www.francoisebeauguion.com
www.presences-photographie.fr

 

 

 

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Noirs portraits

Photographie © David Molina

 

 

 

« Noirs portraits »

Photographies de David Molina

Du 14 novembre au 20 décembre 2014
L'Auberg'in
3, rue des Taules
26200 Montelimar

Il m'est difficile d'évoquer ma démarche car j'essaie justement de ne pas avoir d'intention quand je prends une photo. C'est ensuite qu'une direction s'impose à moi. Dans cette série, je souhaitais simplement faire miroiter des visages dans l'ombre. Les thèmes de la douleur et de l'isolement sont apparus après coup.

De même que le format carré. Un format qui, combiné au fond noir, renforce l'impression de confinement. Les visages, les corps sont rognés par l'obscurité. Certains affleurent à peine à la surface de l'ombre et demandent un effort pour les distinguer. Je ne me suis pas préoccupé du confort de l'œil. Au contraire même, si on plisse les yeux pour voir, c'est qu'on y cherche vraiment quelque chose, peut-être quelque chose de soi.

D. M.

 

www.davidmolina.fr
www.laubergin-montelimar.fr

 

 

 

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Supervues

 

 

 

« Supervues »

Édition 2014

Du 12 au 14 décembre 2014
Burrhus
1, Place Montfort
84110 Vaison la Romaine

"L'hôtel est communément un lieu de passage, un lieu d'étape. Dans l'imaginaire collectif, c'est un ailleurs, un lieu extra-ordinaire, cadre idéal de fictions. Si le cinéma et la littérature on pu en traiter le potentiel dramaturgique, les artistes sont également nombreux à avoir explorer les mythes sous-jacents qu'il incarne, et ce depuis le début du XIXe siècle. De sujet pour les peintres, l'hôtel est devenu objet de propositions artistiques pour les artistes contemporains.

Aujourd'hui, les hôtels n'accueillent plus seulement des visiteurs ou des artistes de passage, ils ouvrent leurs espaces publics et privés à la création, éphémère ou pérenne, s'associent aux plus grands événements de l'art contemporain. Supervues ne procède pas de cette dernière dynamique, dans la mesure où il est l'événement, il est l'hôte par et avec excellence, une petite surface de l'art contemporain, à dimension humaine, inscrit dans un rapport de proximité. Hôteliers et amateurs d'art, Laurence et Jean-Baptiste Gurly, se sont entourés dès le début de cette aventure de collectionneurs et d'artistes pour créer de manière collective un rendez-vous professionnel, de qualité et convivial.

L'hôtel Burrhus, hôtel atypique au cœur de Vaison-la-Romaine, est doté de 35 chambres, chacune d'entre elles possédant des dimensions, un mobilier et une atmosphère unique. Depuis 2007, le second week-end de décembre, l'hôtel Burrhus invite des institutions, centres d'art, lieux d'art contemporain, galeries, à réfléchir et à participer à la programmation de Supervues en proposant à un artiste d'investir l'une des chambres de l'hôtel. Investir une chambre, tirée au sort, avec ses œuvres, installations conçues spécialement pour l'événement, voire des performances. L'habiter, vivre pendant trois jours parmi sa propre création, au contact des artistes voisins, tout en étant le médiateur de son propre travail pour un public toujours plus curieux et nombreux avec près de 1200 visiteurs lors de l'édition 2013. Au dernier étage, la « suite » accueille une sélection d'œuvres d'un collectionneur. La manifestation est ponctuée de temps forts (performances, projections, concerts) et de parcours proposés par des complices de toujours : collectionneurs, galeristes, artistes. C'est une expérience emprunte de générosité, où les maître-mots restent le partage et la rencontre, à laquelle les artistes et les visiteurs sont invités à prendre part"

Diane Pigeau, 2014

 

www.supervues.com

 

 

 

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Un pont c'est tout

© Tristan Zilberman

 

 

 

« Un pont c'est tout »

Photographie de Tristan Zilberman

Du 14 au novembre au 14 décembre 2014
Craft Espace
50 rue du Bourg
26220 Dieulefit

Vernissage le 22 novembre à 11h00
Ouverture du mardi au dimanche 9h30-12h30/15h00-19h00

Cette série de photographies est issue d'un reportage photo réalisé à l'occasion de la réhabilitation d'un ancien pont sur le Rhône dans la commune de Rochemaure en Ardèche.Le vieux pont suspendu de Rochemaure, hors d'usage depuis des années, a été transformé en passerelle himalayenne et se trouvera sur le parcours de la Viarhona, la piste cyclable qui relie le Lac Léman à la Méditerranée. Le suivi photographique effectué sur 6 mois, a vu toutes les phases de la transformation de l'ouvrage et les étapes du chantier qui s'est parfois déroulé dans des conditions extrêmes.

 

www.tristanzilberman.com
www.craftespace.com

 

 

 

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CHINE/Chine<br />
Voyages croisés-regards intérieurs

Le Chapeau de la mariée, extrait de la série Le Sacrifice, Chine, Marine Lanier, 2006

 

 

 

« CHINE/Chine
Voyages croisés-regards intérieurs »

Exposition organisée dans le cadre de France-Chine 50

Du 28 novembre au 17 décembre 2014 Vernissage de l'exposition jeudi 27 novembre à 18H30
Château de Castries, rue du château,
34160 Castries.

Les mercredi, jeudi et vendredi : ouvert de 15h00 à 19h00.
Les samedi et dimanche : ouvert de 12h00 à 19h00.
Fermé le : Lundi - Mardi

À l'occasion de la commémoration du 50ème anniversaire des relations diplomatiques entre la France et la Chine (France-Chine 50), l'Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Agglomération (Esbama) propose une exposition au château de Castries, lieu patrimonial de l'Agglomération de Montpellier.

Cette exposition est le 3ème volet d'un projet qui s'appuie sur un partenariat avec l'Institut Français, le Consulat général de France à Chengdu, les centres d'art Rhizome à Lijiang et Blue Roof à Chengdu et le réseau des écoles d'art du Sud de la France.
- Le premier volet a porté sur l'organisation d'une exposition en Chine au musée de Guiyang (avril 2013),
- Le deuxième volet a pris la forme d'une exposition en Chine au musée de Chengdu, centre d'art Blue Roof (novembre 2013),
- Le troisième volet aura lieu en France, lors de cette exposition au château de Castries (novembre 2014).

L'exposition réunit des artistes dont l'œuvre est en forte résonance avec la Chine, en mêlant les expressions esthétiques les plus variées : peinture, photographie, vidéo, installation sonore, sculpture.
Chacun exprime sa vision de la Chine, dans un but de partage des traditions anciennes ou actuelles, à travers des créations contemporaines qui dialoguent et se répondent.
Avec les artistes présents dans les deux premiers volets chinois : Marc Aurelle, Awena Cozannet, Marine Lanier, François Lejault, Didier Louineau, Caroline Muheim, Peter Sinclair, Peggy Arraou.
Et également des artistes chinois ayant étudié à l'Esbama, ou des artistes français issus de l'Esbama et ayant travaillé en Chine dans le cadre des projets initiés par le réseau des écoles d'art du Sud : Charles Camberoque, Ava Carrère, Marc Geffriaud, Adeline Gouyette et marion Cadiou, Christophe Sarlin, Amélie de Buttler, Zaïra Tugon, Qi Wang, Tihui Zhang.

 

www.esbama.fr

 

 

 

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Le Capitaine de vaisseau

©Vaisseau-fantôme, Marine Lanier, 2014

 

 

 

« Le Capitaine de vaisseau »

La Photographie Maison Blanche # 4 - 2014
Photographies et installation de Marine Lanier

Du 7/11/14 au 13/12/14
La Traverse
26-28 rue Henri Tasso
13002 Marseille

Du mardi au samedi de 15 h à 19 h

Lauréat 2013 - Invité

Chaque année le festival invite un lauréat de l'édition précédente à présenter sa nouvelle production.

Le Capitaine de vaisseau est le premier volet d'une trilogie familiale où généalogie et légende s'entrecroisent dans un espace fait de bruit et de fureur. Les nappes de passé remontent dans le présent comme des images prêtes à se révéler, enfouies depuis bientôt un siècle. Quelque chose de souterrain remonte à la surface.
A partir de récits collectés auprès du cercle familial – une installation photographique est conçue en écho à la chute des Empires. Un monde englouti où les résurgences tactiles et sensorielles sont comme les éclosions de l'histoire coloniale. Des objets de pouvoir traversent le temps et l'espace, telle l'épée d'apparat de mon arrière grand-père, certains atlas retrouvés du début du siècle, et autres écussons de Marine. Ailleurs ce sont la poésie étrange des superstitions de marins, vaisseaux fantômes, maladies inconnues, oiseaux de présages, animaux ensorceleurs et carcasses de navires.
Plus loin, un jeu de carte rongé par le temps et l'eau.
L'as de pique surnage dans la cale d'un naufrage, symbole à la fois mystérieux et prosaïque de la conquête vaine et de la lutte avec cet "autre". Se tisse alors un réseau de signes obscurs, irrationnels, appartenant aux seuls initiés.
L'espace littéraire du livre Au cœur des ténèbres de Joseph Conrad, imprègne les images. Sa géographie renvoie aux jungles luxuriantes de contrées incertaines.
De temps lointains, ceux de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle.
C'est alors toute une mythologie de l'ailleurs qui se déploie, celle de la flamboyance exotique des découvertes, où les splendeurs les plus folles côtoient les décadences les plus infernales.
Par une approche à la fois documentaire et fictionnelle, j'interroge ainsi la mémoire de ces expéditions, cette fièvre des tropiques, leurs conséquences contemporaines et leurs rémanences dans l'imaginaire collectif et l'inconscient occidental. Cette simultanéité dont nous faisons sans cesse l'expérience dans le monde, où rien ne se produit de manière isolée, où toute chose traîne dans son sillage ce qui se passe ailleurs, dans le passé comme dans le présent.
Un monde où l'on retrouve les vivants, les morts et les marins.

Marine Lanier

 

www.marinelanier.com
www.laphotographie-maisonblanche.org

 

 

 

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En situations

© Philippe Terrier-Hermann

 

 

 

« En situations »

Cinq commandes publiques photographiques

27 septembre au 20 décembre 2014
FRAC Provence Alpes-Côte d'Azur
20, bd de Dunkerque
13002 Marseille

Horaires d'ouverture des expositions
Du mardi au samedi de 12 h à 19 h
Fermé dimanche, lundi, et jours fériés
un vendredi par mois : nocturne gratuite de 18h à 21h
Tarif plein : 5 € - Tarif réduit : 2,50 € ( conditions sur place)

En situations rassemble les recherches et travaux de six artistes ayant travaillé à Marseille dans le cadre de la commande publique nationale. Pour chacune de ces commandes, il s'agissait de travailler dans un temps long, permettant une fréquentation approfondie des territoires marseillais : les territoires urbanisés bien sûr, mais aussi, en sortant de la ville, sur les chemins du GR® 2013, dans la transition entre monde urbain et naturel et l'entrelacement de ces environnements.

Ces représentations de Marseille et de ses environs ont été réalisées en dialogue avec les habitants et pour eux, à travers des ateliers, des rencontres, des collaborations. Il s'agissait de restituer aux marseillais une image composite de leurs situations concrètes de vie, de l'action publique et politique qui les conditionnent, mais aussi de la façon dont des imaginaires, les leurs et ceux des artistes, étaient en mesure de se rencontrer pour présenter l'arrière-plan des réalités quotidiennes : l'intime, le rêve... en somme, tout ce qui échappe aux représentations spectaculaires.

Ces artistes ont donc travaillé en des situations bien précises : des situations humaines, des situations de travail artistique au cœur de la vie. En résulte un “portrait de ville?, qui ne prétend pas tout dire de Marseille et de ses habitants, de la richesse et la complexité d'une telle situation urbaine et suburbaine. Pour chacun de ces artistes, il s'agissait d'approcher des lieux bien précis, au plus près d'un temps vécu et partagé, dans la découverte et le dialogue. En marchant dans la ville et sur ses chemins, en proposant et en échangeant des images.

L'exposition présente une diversité de formes photographiques, qui correspond à la spécificité du langage de chacun des artistes. Chacune est informée par la manière dont les images sont présentées et mises en circulation dans l'espace public : l'affiche, le poster, la grande bâche imprimée, la cartographie, le journal, la carte postale.

Des stratégies documentaires sont mises en œuvre par Geoffroy Mathieu et Bertrand Stofleth pour représenter le territoire et ses mutations. Ce travail d'observation se poursuit pendant dix ans, avec des habitants volontaires qui deviennent photographes “adoptants? d'un paysage.

Olivier Menanteau s'insère dans le monde médiatique, en devenant un photographe supplémentaire de la rédaction du journal quotidien La Marseillaise. Aux côtés des journalistes, il représente le personnel politique dans les lieux de décisions locales et nationales, en reliant Marseille et Paris.

Guillaume Janot restitue sur les murs aveugles de bâtiments des quartiers Nord des fragments observés dans les maisons de ses habitants, en passant du quotidien à la rêverie pour évoquer l'ici et l'ailleurs qui s'assemblent dans des expériences de vie quotidienne.

Philippe Terrier-Hermann met en scène des acteurs du cinéma et de la télévision dans les situations de photographies de plateau, restituant un film imaginaire sur les panneaux d'affichage qui reçoivent habituellement les publicités.

Franck Gérard se plonge dans la vitalité et la richesse de la vie marseillaise, de ses intensités et ses temporalités, au gré des promenades, des dialogues avec les gens. Il observe des éclats poétiques au quotidien, à travers la manière dont chacune et chacun de ses concitoyens transforme la ville par ses gestes, ses pratiques de l'espace.

L'accrochage du plateau expérimental du FRAC restitue ces différentes modalités de travail et de mise en forme de la photographie, jusqu'à la mise en mouvement des images. L'exposition rejoue la manière dont toutes ces images se sont insérées dans l'espace public, puisqu'elles en proviennent et qu'elles lui étaient destinées. Un espace documentaire complète l'exposition, qui se veut aussi dossier, en présentant des documents de travail, des études, des publications, pour restituer les différents moments de ces recherches.

 

www.fracpaca.org

 

 

 

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Entre[z] libre !

Tombée des nues... 2010 © Jacques Damez Courtesy Galerie Le Réverbère, Lyon

 

 

 

« Entre[z] libre ! »

Photographies de Jacques Damez

Du 6 septembre 2014 au 27 décembre 2014
Galerie Le Réverbère
38 rue Burdeau
69001 LYON

Du mercredi au samedi de 14h à 19h
Entrée libre

Entre[z] libre, pour regarder en face des photographies qui font écran mais qui ne tiennent sur aucun écran !

Une mise à nu, comme on dit une mise à mort, pour faire la peau grain à grain au silence des images.

Une exposition qui enroule le temps en égrainant trente ans d'états d'âme par grappes et surtout pas en vrac !

 

www.galerielereverbere.com

 

 

 

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Présences Photographies #01

 

 

 

« Présences Photographies #01 »

Festival de la photographie d'auteur porteuse d'humanisme

Du 14 au 30 novembre 2014
Centre d'art espace Chabrillan
127 rue Pierre Julien
26200 Montélimar

Vernissage le 14 novembre à partir de 18h30 au centre d'art Espace Chabrillan

EXPOSITION PRINCIPALE À LA CHAPELLE CHABRILLAN

Avec le soutien de la ville de Montélimar, le festival est organisé dans un très beau lieu : l' ancienne chapelle Chabrillan, située dans le centre historique de Montélimar. D'inspiration romane, entièrement réhabilitée et devenue Centre d'art espace Chabrillan*, elle offre 300 m2 d'exposition. PRÉSENCE(S) PHOTOGRAPHIE y installe l'exposition principale autour de l'invité d'honneur Bernard DESCAMPS, entouré de Christine LEFEBVRE (Belgique) et Pierrot MEN (Madagascar). C'est là que se tiendra le vernissage d'ouverture du festival, le vendredi 14 novembre.

LES EXPOSITIONS SATELLITES

11 EXPOSITIONS SATELLITES DANS DES LIEUX PARTENAIRES. MEDIATHEQUE INTERCOMMUNALE MAURICE PIC, OFFICE DE TOURISME, RESTAURANTS, GALERIES D'ART, HÔTELS, CINEMA D?ART ET ESSAIS LE REGAIN... accueillent pendant tout le temps du festival les expositions de jeunes talents, sélectionnés par le jury sur appel à candidatures, et à qui l'association veut offrir une occasion de visibilité et d'échange. Les vernissages sont autant de temps privilégiés de rencontres et de convivialité.

LES PROJECTIONS

PROJECTIONS AU CINÉMA D'ART ET ESSAI LES TEMPLIERS. Dans l'esprit de la SEMAINE PHOTOGRAPHIE ET CINEMA qui s'est déroulée en juin 2014 en partenariat avec LES TEMPLIERS, une programmation spécifique à la photographie d' auteur est prévue. Parmi les films pressentés: la rétrospective d' Agnès Varda, photographe et plasticienne française ; « Le sel de la terre » de Wim Wenders, documentaire consacré au photographe brésilien Sebastiao Salgado...

 

www.presences-photographie.fr
www.facebook.com/presencesphotographie

 

 

 

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Retours d'Ailleurs

 

 

 

« Retours d'Ailleurs »

Exposition collective

Du 7 au 28 Novembre
Galerie Arena
École nationale supérieure de la photographie
16 rue des arènes
13200 Arles

Ouvert du mardi au samedi de 15h à 19 h
Vernissage le 6 novembre à 18h

Présentation de la production des étudiants ayant effectué un séjour de création à l'étranger.

Artistes présentés : Claire Cocano, Lise Dua, Edwin Fauthoux-Kresser, Marie Leroux, Leslie Moquin, Lila Neutre et Olivier Sarrazin

 

www.ensp-arles.com

 

 

 

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Le proche et le lointain, réinventer le paysage

© S.Hatier

 

 

 

« Le proche et le lointain, réinventer le paysage »

Workshop Sophie Hatier

le 8 et 9 novembre 2014
Les Alyssas,
26130 Clansayes

Prix 150€

LE PROCHE ET LE LOINTAIN,RÉINVENTER LE PAYSAGE

Sophie Hatier vous propose d'aborder ces notions à travers les paysages très contrastés du Domaine des Alyssas, entre vignes et oliviers, plateau et forêt, au cœur de la Drôme provençale.

À partir de projections d'images de photographes reconnus, nous nous interrogerons sur la notion de distance juste. Celle qui correspond à notre sensibilité. La part d'intuitif et de rationnel. Où se porte notre regard ? Comment notre rapport au paysage s'exprime à travers ces choix et comment réinventer son paysage en partant de là ?

Cette réflexion alimentera les séances de prises de vues sur le terrain. Une journée sera consacrée aux sujets proches, la suivante aux sujets éloignés.

Les participants, débutants ou avertis, seront accompagnés par Sophie Hatier durant tout le processus créatif : repérage, prise de vue, lecture d'images, editing, retouche. Lors de ces séances, la photographe réalisera elle aussi des prises de vue à l'aide d'un moyen format 6 x 6. Les photos seront commentées collectivement.

- Dates : 8 et 9 Novembre 2014
- Lieu : Les Alyssas, Clansayes (26)
- Horaires : 9h-12h30 / 14h-18h
- Effectif : 10 personnes maximum (âge minimum : 16 ans)
- Matériel à apporter : appareil numérique et ordinateur (si possible)
- Coût : 150€ + 10€ d'adhésion à Angle (repas et hébergement à la charge du stagiaire)
INSCRIPTIONS auprès de Sophie Hatier : hatier_sophie@yahoo.fr / 06 85 54 05 52<

Sophie Hatier est installée à Grignan dans la Drôme. Son travail photographique se partage entre reportage, collaboration presse, photographie de plateau, exposition, action pédagogique et démarche personnelle. Pour cela, elle voyage à travers la France et le monde à la recherche de paysages à capturer dans son appareil 6x6. Bien que les paysages parcourus soient de natures différentes, ils se rejoignent dans leur « presque abstraction ». Les tirages photographiques aux nuances subtiles qui en résultent, dégagent un sentiment de sérénité venue probablement de Mongolie ou elle se rend régulièrement. Sophie Hatier est membre du collectif FTL, France(s) Territoire Liquide, réunissant 42 photographes dans le but de poursuivre une recherche photographique sur le nouveau paysage français. Elle prépare actuellement un travail qui sera exposé en janvier à la galerie Djezeri-Bonn à Paris.

 

www.sophiehatier.com
www.angle-art.fr

 

 

 

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Poétique du territoire

Photographie : © Christophe Galatry, 2014

 

 

 

« Poétique du territoire »

Exposition de Christophe Galatry et Brigitte Palaggi

Exposition double : Salle de l'Aigalier du 7 novembre au 6 décembre 2014 et Médiathèque Louis Aragon du 6 au 29 novembre 2014

Vernissage le vendredi 7 novembre 2014 à 18 h 30
Salle de l'Aigalier, Place du 8 mai 45,
MARTIGUES

« Le paysage c'est le monde. Le mon- de tel qu'il est. Le monde tel qu'il va »

Tous les signes et stigmates sont là. Outre la beauté brute et têtue de la nature, l'irréductibilité de la Médi- terranée ou des Alpes ; outre la situa- tion particulière de ces territoires, les balafres et strates inexpugnables des infrastructures portuaires et indus- trielles, l'avidité dévoreuse des zones d'habi- tat urbain ; il y a l'épreuve physique. Celle du regard. Celle de la marche. Le flux des sensations et de la pensée. Celui des images, des mots et des sons pour l'approcher, l'apprivoiser et en rendre compte.Tout ce « chant général » qu'on peut aussi appeler : poétique du territoire.

Expositions et manifestation traiteront aussi bien des paysages des Autres Alpes, du bassin de l'étang de Berre et des Bouches-du-Rhône, que d'autres territoires natio- naux, pertinents en regard de cette problématique, avec des incursions notamment dans les Ardennes, la Drôme et l'Ardèche.

Une création pluridisciplinaire d'AUTRES ET PAREILS. Partenaires : ARTIFICE, cinéma Jean-Renoir, Les Cafés littéraires, librairie l'Alinéa, librairie Histoire de l'œil, librairie le Comptoir des mots, librairie l'Odeur du temps, Maison des Jeunes et de la Culture de Martigues, médiathèque Boris Vian, médiathèque Louis Aragon, Ville de Martigues, Ville de Viviers.

 

www.autresetpareils.free.fr

 

 

 

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Elle exagère !

© édouardlephotographe

 

 

 

« Elle exagère ! »

Photographies de édouardlephotographe

Du 30 octobre au 30 novembre 2014
édouardlephotographe
3, place du Temple
26200 Montélimar

Elle insiste -Elle fait un régime -Elle se croit belle -Elle s'ennuie de lui-Elle n'en fait qu'à sa tête - Elle est complètement obsédée - Elle fait un nouveau régime-Elle fond à vue d'oeil - Elle se pose des questions-Elle perd le contrôle...

 

www.edouardlephotographe.com

 

 

 

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Profession Photographe a besoin de vous !

 

 

 

« Profession Photographe a besoin de vous ! »

Un magazine pour informer et défendre les photographes professionnels !

Il y a deux ans, Pascal Quittemelle a lancé avec une petite équipe de passionnés Profession Photographe, seul magazine entièrement consacré à la photographie professionnelle, à toutes les formes de photographie, à tous les secteurs de la photographie, pourvu qu'elle soit professionnelle.

Ce métier de passion évolue à une vitesse exceptionnelle : évolutions technologiques rapides, contexte juridique complexe et en pleine mutation, contexte économique difficile... La conjoncture est difficile, mais elle offre aussi des opportunités nouvelles aux photographes créatifs, dynamiques et bien informés.

L'information des photographes professionnels, c'est le rôle que nous souhaitons remplir avec professionnalisme. Pas de fausse modestie, les retours de nos lecteurs sont vraiment très bons et nous avons maintenant une place reconnue dans la profession. Mais nous souhaitons faire beaucoup mieux.

C'est possible, mais pas sans vous !

 

www.profession-photographe.com
www.ulule.com/profession-photographe

 

 

 

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Ruralité du Cameroun

Photographie © Henri Pol

 

 

 

« Ruralité du Cameroun »

Images et paroles d'Afrique

Ddu 13 octobre au 08 novembre 2014
Bibliothèque et chez les commerçants du village.
07400 Meysse

Dans le cadre du festival "IMAGES ET PAROLES D'AFRIQUE" qui a lieu jusqu'au 13 décembre 2014 en Drôme-Ardèche et en partenariat avec le collectif de photographes "Oeil de Terres"

Exposition de 40 photos, « Ruralité du Cameroun », par Henri POL et 4 jeunes yaoundéens qu'il avait formé aux techniques de la photo lors de sa mission solidaire au Cameroun en novembre 2013.

Cette exposition sera présentée aussi au Pouzin, à la bibliothèque Jean Giono, du 15 novembre au 06 décembre, avec une soirée rencontre le 28 novembre à 19h, où Henri Pol expliquera son expérience de mission solidaire au Cameroun.

 

www.oeil-de-terres.com

 

 

 

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Poésie du rail

Edward H. en gare de Twin Peaks © Thierry Trial

 

 

 

« Poésie du rail »

Mon train-train quotidien, par Thierry Trial

Du 26 septembre au 8 novembre 2014 (Rencontre en musique le 10 octobre à 20h)
Le Bistrot Canaille
rue Cuiraterie
26200 Montélimar

Le mardi de 12h à 14h
Du mercredi au samedi de 12h à 14h et de 19h à 21h

Pendant 4 années Thierry Trial a emprunté les trains régionaux drômois pour se rendre à son travail et en revenir, 2 fois par jour, matin et soir, entre Montélimar et Valence.

De ce trajet quotidien, il nous ramène des images inédites qui donnent à voir l'étrangeté de la routine.

Des images en couleur[s] qui nous racontent des histoires, des parcours, des vies. Des images qui nous invitent au voyage et à la rêverie. Quand le train-train devient poétique...

 

www.thierrytrial.fr
www.lebistrotcanaille.blogspot.fr

 

 

 

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Un pont c'est tout

© Tristan Zilberman

 

 

 

« Un pont c'est tout »

Photographie de Tristan Zilberman

Du 12 septembre au 13 novembre 2014
Angle Hors les murs - Collège Jean Perrin
Quartier Piéjoux
26130 Saint Paul trois Châteaux

Visite sur rendez-vous au horaires du collège (8h - 17h) 0475047469
Vernissage le 26 septembre à partir de 17h30

Cette série de photographies est issue d'un reportage photo réalisé à l'occasion de la réhabilitation d'un ancien pont sur le Rhône dans la commune de Rochemaure en Ardèche.Le vieux pont suspendu de Rochemaure, hors d'usage depuis des années, a été transformé en passerelle himalayenne et se trouvera sur le parcours de la Viarhona, la piste cyclable qui relie le Lac Léman à la Méditerranée. Le suivi photographique effectué sur 6 mois, a vu toutes les phases de la transformation de l'ouvrage et les étapes du chantier qui s'est parfois déroulé dans des conditions extrêmes.

 

www.tristanzilberman.com
www.angle-art.fr

 

 

 

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Egypte, les martyrs de la révolution

© Denis Dailleux

 

 

 

« Egypte, les martyrs de la révolution »

Photographies de Denis Dailleux

Du 18 septembre au 31 octobre
Bibliothèque Centre Ville
10, rue de la République
38000 Grenoble

Le 21 janvier 2011, au Caire, dans la fièvre de la révolution, de jeunes Egyptiens ont perdu la vie, victimes de la violente répression policière. Le photographe Denis Dailleux, qui vit en Egypte depuis une dizaine années, a voulu leur rendre hommage par ses images. Un an après, il a rendu visite aux familles des défunts accompagné de Mahmoud Farag, artiste-vidéaste, chargé de recueillir leurs témoignages avant qu'il ne réalise ses prises de vue. Denis Dailleux a ensuite composé un triptyque pour chaque famille : un portrait des proches, silencieux et dignes ; une image du disparu, souriant et sublimé ; et une vue du paysage urbain environnant. Présentée par l'artothèque en partenariat avec la galerie Camera Obscura, cette exposition comporte 7 de ces triptyques, qui racontent une vie brutalement stoppée et évoquent sa mémoire, dans l'esprit et les choses. Loin des clichés de presse sur les révolutions arabes.

 

www.denisdailleux.com
www.bm-grenoble.fr

 

 

 

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PHOT'AIX 2014

© Salvi Danés

 

 

 

« PHOT'AIX 2014 »

Regards croisés « Barcelone - Provence » et les Parcours

Du 02 octobre au 15 novembre 2014
Musée des tapisseries
Aix-en-Provence

Jeudi 2 Octobre 2014 à 18h : Inauguration "Regards Croisés", vernissage au Musée des tapisseries

PHOT'AIX c'est deux manifestations :

La formule choisie par l'Association La Fontaine Obscure, organisatrice, depuis 2000, de cette très conviviale manifestation, reste inchangée, avec deux "volets" :

- « Regards croisés », exposition internationale confrontant le regard de photographes étrangers et de photographes français.

- « Les Parcours », une série d'expositions organisées dans toute la ville, sous forme de Parcours thématiques.

Regards croisés « Barcelone - Provence » au musée des tapisseries, Aix-en-Provence

Phot'Aix 2014, Festival de la Photographe d'Aix en Provence aura lieu cette année du 2 Octobre au 15 Novembre.

Au Musée des Tapisseries, « Regards croisés », une exposition internationale confrontant le regard de photographes étrangers et de photographes français et, dans toute la ville, des expositions organisées sous forme de Parcours thématiques.

Une occasion unique de découvrir, chaque année, à la fois l'art photographique d'un nouveau pays et une floraison de nouveaux talents. Une grande fête de la photo qui attire chaque année des passionnés de photographie, venus souvent de loin et crée dans la ville une animation particulière.

Cette année, la Fontaine Obscure, organisatrice de la manifestation depuis 2000, a invité Barcelone. En s'alliant avec el INSTITUT D'ESTUDIS FOTOGRÀFICS DE CATALUNYA (IEFC), l'équivalent en Espagne de l'Ecole Nationale de la Photographie d'Arles, et en invitant de jeunes photographes catalans issus de cette Ecole à exposer à Aix, elle a choisi de faire découvrir la jeune photographie contemporaine de ce pays.

« Regards croisés 2014 Barcelone-Provence » mettra en perspective le travail de cinq artistes catalans : Enric Montès, Lùa Ocaña, Maite Guerrero, Montse López et Salvi Danès, et de 6 photographes français : Perrine Lamy-Quique, Alexandra Serrano, Geraldine Villemain, Michel Amaral et Audrey Barthes (exposant conjointement) et Xavier Blondeau, donnant a voir différentes facettes de l'art photographique d'aujourd'hui.

Comme chaque année cette manifestation bénéficie du soutien de la ville d'Aix, de la Communauté du Pays d'Aix et du Conseil Général des Bouches du Rhône ainsi que de nombreux partenaires.

La sélection 2014 Regards croisés « Barcelone - Provence » :

Salvi Danés en regard avec Xavier Blondeau ; Maite Guerrero en regard avec Audrey Barthes & Michel Amaral ; Montse López en regard avec Géraldine Villemain ; Enric Montes en regard avec Perrine Lamy-Quique ; Lùa Ocaña en regard avec Alexandra Serrano

« Les Parcours » 40 photographes - 28 lieux d'expositions

Avec 28 lieux d'expositions, « Les Parcours » permettront de découvrir, en flânant dans les rues d'Aix, une floraison de talents : pas moins de 40 photographes, inspirés par les thèmes : "Carnets de voyage", "l'Humain dans l'Urbain", "Les murs ont la parole", choisis par les Galeries de la ville ou sélectionnés par la Fontaine Obscure qui organise également dans sa Galerie un exposition sur "La mémoire".

Cette année, sept Parcours Photographiques :

- "Carnets de voyage" 1 et 2

- "L'Humain dans l'Urbain", à la Galerie de la SEMEPA

- "La sélection de la Fontaine Obscure"

- "Le choix des galeries"

- "Les Murs ont la parole", au Lycée Vauvenargues

- "La Mémoire en regard ", Galerie de la Fontaine Obscure

 

www.fontaine-obscure.com

 

 

 

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A travers champs

L'herbe écrivait encore sur des bords. Loin. Ou sur les bords de loin. Là.
Ena Lindenbaur, Plante Vagabonde, 2013 Sylvie Garraud, Ligne de marche (détail), 2007 Caroline Sagot Duvauroux, (extraits), 2014

 

 

 

« A travers champs »

Ena Lindenbaur , Sylvie Garraud, Caroline Sagot Duvauroux

Exposition du 13 septembre au 16 novembre 2014
ESPACE D'ART FRANÇOIS-AUGUSTE DUCROS
place du Jeu de ballon,
26230 Grignan

Du mercredi au dimanche de 14h à 19h.?Entrée libre. Accueil des groupes et scolaires sur rendez-vous. Accès aux personnes à mobilité réduite.
Vernissage le samedi 13 septembre 2014 à 18h30

Trois artistes dans des champs artistiques différents (poésie, dessin, photographie...) expérimentent depuis plusieurs années des travaux en commun comme une traversée des territoires des unes et des autres. Ces moments de communauté à deux ou à trois leur ont permis d'envisager d'autres champs d'action qui se sont concrétisés sous forme de livres, de séries d'images ou d'installations.

L'exposition présente le fruit de ces rencontres ainsi qu'un aspect de chaque champ de recherche : Ena Lindenbaur à propos de dessins de plantes vagabondes, Sylvie Garraud autour d'enregistrements photographiques et l'œuvre poétique de Caroline Sagot Duvauroux.

 

www.espace-ducros.blogspot.fr

 

 

 

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Asies

© Sophie Zénon

 

 

 

« Asies »

Photographies de Sophie Zénon

Du 11 septembre au 25 octobre
Regard Sud
1/3 rue des Pierres Plantées
69001 Lyon

Vernissage le jeudi 11 septembre de 18h à 21h, en présence de la photographe

Sophie Zénon vit et travaille à Paris.

Personnel comme tout univers, celui de Sophie Zénon est empreint de quelque chose de mystérieux et de magique, comme si le rituel et le chamanisme, objet de ses études universitaires, avaient le pouvoir de ressurgir dans ses images.

Laura Serani. Texte extrait du livre d'artiste «Roads Over Troubled Water. Une chasse à l'âme.», 2010 (Schilt Publishing, Pays-Bas et Benteli Verlag, Suisse).

Loin des sirènes de l'exotisme et au plus proche du langage poétique, Sophie Zénon développe un univers au calme apparent, à la grâce omniprésente et alterne travail d'ordre documentaire et démarche plasticienne avec une même fascination pour ce qui touche au sacré, au mystère.?Dans ses photographies, le recours au grain épais, au flou, à la vibration, dématérialise jusqu'à l'abstraction et créé des paysages furtifs et absolus.

Depuis sa première exposition en 2000, elle créé un univers onirique empreint d'une grande délicatesse et ses photographies témoignent d'un talent rare à saisir la vie, sans jamais rien concéder au pittoresque, à l'exotisme et au spectaculaire.

 

www.sophiezenon.com
www.regardsud.com

 

 

 

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Combe d'arc

© Germain ROESZ, peinture

 

 

 

« Combe d'arc »

Les mains inverses

Du samedi 20 septembre au samedi 8 novembre 2014
Galerie d'exposition du théâtre de Privas
Rue de la Recluse
07000 Privas

Entrée libre du mercredi au samedi de 15h à 18h et les soirs de spectacle. Sur réservation pour les groupes scolaires

Vernissage Vendredi 19 septembre 18h30
Colloque Samedi 20 septembre de 9h30 à 17h (rens./inscription auprès de la revue faire part : 06 86 41 97 77 / a.b.chaneac@orange.fr )
Événement décrochage Samedi 8 novembre de 14h à 18h rencontre autour des films documentaires de Christian Tran et Pierre Oscar Levy en leur présence

Exposition réalisée par la revue faire part en partenariat avec le Théâtre de Privas

Commissaire Christian Artaud, en collaboration avec Mireille Cluzet

Peintres et plasticiens :

Ianna ANDREADIS, Marie-José ARMANDO, Miquel BARCELÓ, Mireille CLUZET, Vincent CORPET, Serge FAUCHIER, Serge PLAGNOL, Germain ROESZ, Leonardo ROSA, Armand SCHOLTÈS, Christian SORG, Bernadette TINTAUD, Gérard TITUS-CARMEL, Gilles TOSELLO, Gérald THUPINIER, Claude VIALLAT et Marie DENIS, Françoise CHARDON, Valérie FERUGLIO.

Il nous a semblé pouvoir trouver quelque légitimité à inviter une nouvelle fois la revue faire part, ardéchoise d'origine, publication littéraire et artistique reconnue. Elle se penche, dans son numéro 32/33 sur ce pan nouveau de notre patrimoine culturel qu'est la grotte Chauvet. L'exposition, proposée et organisée en collaboration, accompagne et révèle certains aspects de ce numéro de la revue.

Que disent les peintures de la Grotte Chauvet à des artistes contemporains ?

Il s'est agi de demander à ceux qui ont eu la grande chance d'être invités à visiter la Grotte Chauvet, de faire partager l'influence qu'a pu avoir cette incursion dans le passé originel de l'Art sur leur propre œuvre, la transcription qu'ils ont pu effectivement en faire, l'impression qu'ils en ressentent encore aujourd'hui dans leur création. Il s'est agi aussi de convoquer ceux qui, dans leur démarche personnelle, trouvent un écho dans cette découverte. Cet aspect de pure création, de moyens artistiques utilisés non seulement de la main, mais bien aussi de l'imaginaire, de la sensibilité, et pourquoi ne pas le dire, du cœur ou de l'âme... «(...)cette caverne est aussi un lieu de rêve. » dira Jean Clottes.?En réponse à la question initiale et pour approcher ces premiers artistes de la Grotte Chauvet, nous avons voulu présenter dans cette exposition « Combe d'Arc : Les Mains inverses » des œuvres d'artistes contemporains, extraites des pages du numéro de notre revue ou en lien direct avec elles.

Le Comité de rédaction de la revue faire part

« COMBE D'ARC Les Mains inverses » a été publié avec le concours du Conseil Général de l'Ardèche, du Conseil Régional Rhône-Alpes, du Syndicat Mixte de l'Espace de Restitution de la Grotte Chauvet et du Grand Projet Rhône-Apes-Combe d'Arc.

 

www.revue.faire.part.pagesperso-orange.fr
www.theatredeprivas.com

 

 

 

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Contacts

© Thomas Kellner

 

 

 

« Contacts »

Photographies de Thomas Kellner

Du 4 septembre au 8 novembre
Galerie Vrais Rêves
6 rue Dumenge
69004 LYON

Vernissage le 04 septembre, de 18 à 21 heures
Ouvert du mercredi au samedi, de 15h à 19h, ou sur rendez-vous.

Après les USA, la Russie, la Chine, le Mexique, le Brésil, etc... , ses travaux arrivent, enfin, en France et en galerie. Thomas KELLNER photographie depuis les années 90, les monuments, les architectures les plus connus dans tous les pays du monde. Son résultat s'apparente à ce que les amateurs de films argentiques connaissent, la planche contact. Il organise, ses différentes vues en fonction du résultat qu'il souhaite obtenir.

«Est-il possible d'imaginer un bâtiment en état d'ébriété? La danse d'un monument au son d'un conte de fées? Un bâtiment ayant le vertige? Ce sont quelques-unes des questions que l'on se pose?lorsque Thomas Kellner travaille, lorsqu'il montre d'une manière nouvelle et originale certains des bâtiments les plus photographiés dans les métropoles du monde. C'est comme si Kellner donnait à?ces bâtiments une renaissance personnalisé au-delà des stéréotypes, des images touristiques qui se ressemblent toutes. Le résultat est unique. «(Bangsund-Pedersen, Ditte M.)

 

www.tkellner.com
www.vraisreves.com

 

 

 

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Esquisses

© David Molina

 

 

 

« Esquisses »

Photographies de David Molina

Du 3 septembre au 8 novembre 2014
La Fabrique de l'image
2 rue de l'Oratoire
07400 Meysse

Ouverture du mercredi au samedi de 16h à 19h
Vernissage le jeudi 18 septembre à partir de 18h

Le monde est là, devant nous, les lieux, les êtres, les objets. On crève du désir d'en faire partie mais on bute contre la surface des choses comme contre un écran de cinéma. C'est comme si tout était dans des bulles et qu'on n'avait pas de mains pour saisir, comme si la chair de la vie nous était défendue.

J'ai réalisé cette série par touches successives, sans m'astreindre à une thématique particulière, me concentrant uniquement sur les couleurs et les formes qui semblaient se répondre d'un sujet à l'autre.

Mais c'est cette difficulté à faire corps avec le monde et à y trouver une cohérence que me renvoie désormais ce patchwork d'images. Cette difficulté et en même temps ce besoin d'en connaître tous les aspects, de déchirer le film transparent qui le protège et de pénétrer jusqu'à son cœur.

 

www.davidmolina.fr
www.fabrique-image.fr

 

 

 

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Telex Iran

© Gilles Peress

 

 

 

« Telex Iran »

Photographies de Gilles Peress

17.09.2014 au 30.11.2014
Musée de l'Elysée
18, avenue de l'Elysée
1014 Lausanne - Switzerland

Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h.
Entrée : CHF 8. - AVS : CHF 6.- AI, étudiants, apprentis, chômeurs : CHF 4. - Entrée libre le premier samedi du mois.
Vernissage le 16 septembre 2014.

Gilles Peress a documenté avec intransigeance les pages les plus sombres de l'histoire contemporaine, de la guerre civile en Irlande du Nord aux charniers de la Bosnie et du Rwanda. En 1979, il part en Iran photographier la révolution qui bat son plein, au moment de la prise d'otages à l'ambassade des Etats-Unis à Téhéran. Il saisit le chaos et les contrastes des différentes mouvances politiques et religieuses en présence, l'effervescence des villes, mais aussi des scènes du quotidien, anodines, ironiques ou brutales.??De ce travail photographique au langage réflexif et extrêmement maîtrisé, il résultera un livre, Telex Iran (publié chez Aperture en 1984) aujourd'hui considéré comme un ouvrage majeur dans l'histoire de la photographie. Se jouant des catégories et des genres, Gilles Peress y juxtapose images et textes de manière à créer une dialectique tendue et ouverte à la fois, où la réalité politique et civile se révèle dans toute sa complexité. Réédité en 1997 chez Scalo, l'ouvrage n'a rien perdu de son caractère sismographique et incisif et garde toute son actualité au regard des derniers épisodes de l'histoire mouvementée de l'Iran.

Le Musée de l'Elysée est heureux d'accueillir les tirages originaux de cette deuxième édition de Telex Iran dans ses collections grâce à la généreuse donation d'une collection privée. Une sélection de ces 100 tirages réalisés en 1997 pour l'édition Scalo est dévoilée dans cette exposition réalisée en collaboration avec Gilles Peress.

 

www.magnumphotos.com
www.elysee.ch

 

 

 

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La vie en rose

© Dorothée Smith

 

 

 

« La vie en rose »

26 émes Photo Folies

Du 4 au 31 octobre 2014

Parce que – et il faut toujours le réaffirmer... – elle n'est jamais simple mimesis, la photographie crée inéluctablement un autre monde, un monde autonome, « étrange et pénétrant » avec ses propres lois, une représentation qui, si elle ressemble parfois à la réalité, « n'est, chaque fois, ni tout à fait la même / Ni tout à fait une autre » (Verlaine). Un monde changeant comme cette lumière qui est l'essence poétique de toute matière photographique, qui n'advient que par elle...

Dès lors, donc, que le photographe s'approprie directement ou indirectement le réel, dans le regard et dans la lumière, il n'est déjà plus « tout à fait » de plain-pied dans celui-ci : « Le geste d'appropriation est l'agent absolu de la métamorphose, le catalyseur de la révolution du regard », dit Pierre Restany à propos du Nouveau Réalisme. Il en est de même de la couleur. Une couleur qui ne dit pas plus le réel que l'absence de couleur, que le noir et blanc, ni que le blanc, seul, ou que le noir, paradoxal, que Soulages n'envisage que par rapport à la lumière (« La lumière vient du noir, c'est la couleur d'origine de la peinture »).

S'approprier la couleur, une couleur, c'est ainsi s'éloigner du réel – pour éventuellement mieux y revenir, dans ou pour une incidence toute poétique... C'est en tout cas incontestablement s'engager dans un processus créatif.

« La vie en rose »... La photographie. Une couleur. La photographie couleur...? Un engagement donc ?

La photographie couleur : voilà une expression qui ne cerne toutefois pas la complexité de la relation entre un media et une réalité plurielle qui est à la fois celle de l'optique (physique) et celle de la perception (physiologique et psychologique). Car la photographie couleur c'est tout à la fois la photographie en couleurs, la photographie de la couleur... et la couleur photographique... le renversement dans l'articulation des deux notions renvoyant à l'essentiel, sur le plan esthétique, à savoir cette idée que la couleur n'est pas un « en soi » de la photographie, qu'elle n'est qu'un outil conceptuel qui n'a que le sens que l'artiste veut bien lui conférer, en somme, que la couleur doit être ou devenir pensée. Que la couleur doit être interrogée...!

Alors, « la vie en rose »... ?

Se donner une thématique placée sous le signe d'une couleur – et celle-ci en particulier, qui ne manquera pas de résonner comme un pendant ironique à la laideur grise, pour ne pas dire noire, d'une époque de crise(s) –, c'est alors faire un choix faussement radical mais bien engagé. Chargées d'un symbolisme parfois – souvent ? – caricatural que tant d'expressions peuvent mettre en relief, les couleurs relèvent en effet d'un imaginaire plus complexe, qui ne se laissera pas réduire à une certaine naïveté et au seul contraste avec une soi-disant morosité généralisée. Par ce choix, il s'agit bien de réaffirmer le potentiel expressif de la photographie, sa capacité à faire de la fiction en désamorçant la simple illustration pour se placer sur le terrain esthétique de la suggestion toujours relative qui ne peut conduire qu'à nous interroger sur ce que l'image met en spectacle.

« La vie en rose » ? En somme, un nouveau prétexte à entrer dans les humeurs, paradoxes, provocations, abstractions, représentations d'une photographie qui n'est jamais innocente même quand elle accepte d'être naïve... Et en tout cas, une proposition ouverte sur le second degré et une invitation à prendre les genres avec distance.

Sylvain Lagarde

 

www.photofolies12.com

 

 

 

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Empreinte et mémoire

© Olivier Hézard

 

 

 

« Empreinte et mémoire »

2 regards sur le centenaire de la guerre 14-18

du 13 septembre au 26 octobre 2014
Maison de la Tour
1 rue des écoles
26230 Valaurie

Depuis longtemps la Maison de la tour - le Cube avait décidé de s'impliquer dans

les évènements culturels relatifs à la commémoration du centenaire de la guerre 14-18, en permettant à deux artistes de créer et s'exprimer sur ce sujet mémoriel.

Poursuivant ces objectifs :

  • s'ancrer dans les thématiques du territoire et du paysage
  • reprendre les dimensions humaines de ce choix.

Philippe Chitarrini et Olivier Hézard, répondant à l'appel en résidence au Cube présentaient chacun un projet qui parlait de trace, mémoire, histoire individuelle, histoire collective ...

Leurs projets proposaient, par des approches, des supports et des formes artistiques différents, une vision personnelle de cette thématique qu'est l'empreinte laissée par l'homme dans l'Histoire ; il nous a paru intéressant de les réunir au cours d'une même résidence.

La plupart des œuvres exposées sont une restitution des recherches entreprises et

de leur concrétisation pendant et après leur résidence au Cube en 2013, sur un même thème : "Empreinte et mémoire".

Philippe Chitarrini

artiste plasticien né en 1969 – Maîtrise d'arts plastiques, université Aix-Marseille. Maîtrise d'histoire de l'art – Enseignant en pratique et histoire de l'art

"Curieux des sciences qui définissent l'humanité, j'étudie depuis 2002 les traces laissées par l'homme dans son milieu. Mon travail sur l'empreinte digitale me permet de m'intéresser à l'homme dans ce qu'il a de plus singulier, et d'aborder ainsi les thématiques de l'identité, de la mémoire et de la perte ..."

Lors de sa résidence au Cube à Valaurie en 2013, Philippe Chitarrini crée une première sculpture, une colonne métallique qui fait apparaître, par découpe, le motif d'un fragment d'empreinte digitale.

"Elaborée en partenariat avec une entreprise locale, cette colonne d'apparence abstraite n'est autre que l'approche mémorielle d'un artiste à l'occasion de la commémoration de la première guerre mondiale ..."

La colonne fait partie d'une œuvre composée de 3 sculptures, désormais installées à Valaurie, le long d'une calade qui conduit au cœur du village, sur l'itinéraire "Mémoire et empreintes d'artistes", proposé au cours des Journées européennes du Patrimoine, lors des visites guidées dans le village.

Ce sont les études (croquis, dessins, peintures) préalables à la réalisation physique de l'œuvre en question, qui seront exposées à la Maison de la tour.

Olivier Hézard

photographe, plasticien né en 1965 à Besançon – Diplôme DNSEP des Beaux Arts de Besançon

..."C'est au cours de l'une des nombreuses expéditions dans la maison de mes grands-parents disparus que je découvris l'album photo de mon grand-père, médecin militaire durant la guerre 14-18 et aussi passionné de photo.

Cet album couvrait les batailles de la Somme, l' Alsace et même la Turquie..."

" Il y a 4 ans, j'ai entrepris de sauver ces images, traces d'un passé qui s'efface physiquement (la teinte des photos disparaît à la lumière) et s'étiole aussi dans la mémoire collective ...

A l'aide d'un vieil objectif macro et de mon appareil numérique, j'ai photographié de nouveau les quelques 450 photos de l'album... Retravaillées avec des logiciels spécifiques, j'ai redécouvert ces images...

"Contre-pied de la photo journalistique, ce regard est une empreinte personnelle de l'histoire de mon grand-père dans la "Grande Histoire..."

Après ce travail de résurrection, s'aidant de notes jointes à l'album, des titres ou noms des villages. Olivier Hézard est reparti sur les traces de son grand père. Il a retrouvé les lieux, les emplacements exacts des photos restaurées. Il leur a confronté son propre regard, il a juxtaposé les images retrouvées à celles d'aujourd'hui, il a organisé une rencontre du passé et du présent.

Et c'est à cette rencontre qu'il nous convie lors de l'exposition "Empreinte et mémoire" à la Maison de la Tour.

 

www.maison-de-la-tour.fr

 

 

 

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Noirs Portraits

Photographie © David Molina

 

 

 

« Noirs Portraits »

Photographies de David Molina

Du 31 mai au 01 novembre 2014
Château du Pin
07380 Fabras

Du 31/05 au 18/07, sur rendez-vous
Du 20/07 au 31/08, du jeudi au dimanche de 15h à 19h
Du 01/09 au 01/11, sur rendez-vous

Vernissage, samedi 19 juillet à 17h30

Renseignements / Prise de rendez-vous : 04 75 38 05 26

Il m'est difficile d'évoquer ma démarche car j'essaie justement de ne pas avoir d'intention quand je prends une photo. C'est ensuite qu'une direction s'impose à moi. Dans cette série, je souhaitais simplement faire miroiter des visages dans l'ombre. Les thèmes de la douleur et de l'isolement sont apparus après coup.

De même que le format carré. Un format qui, combiné au fond noir, renforce l'impression de confinement. Les visages, les corps sont rognés par l'obscurité. Certains affleurent à peine à la surface de l'ombre et demandent un effort pour les distinguer. Je ne me suis pas préoccupé du confort de l'œil. Au contraire même, si on plisse les yeux pour voir, c'est qu'on y cherche vraiment quelque chose, peut-être quelque chose de soi.

D. M.

 

www.davidmolina.fr
www.chateaudupin.org

 

 

 

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Le goût du paysage

© Antoine Picard

 

 

 

« Le goût du paysage »

Exposition de Stéphanie Cailleau, Olivier de Sépibus, Yann Le Crouhennec, Myriam Voreppe et Antoine Picard

Du 3 au 25 octobre 2014
Salle du Haut Livron
Place de la Révolution
26250 Livron-sur-Drôme

Du jeudi au samedi de 15h à 19h
Vernissage le vendredi 3 octobre à 18h30

Le Goût du paysage est le fruit d'une résidence artistique qui s'est déroulée à Livron-sur-Drôme en mai et juin 2014. Pendant trois semaines, cinq artistes ont arpenté le territoire dans l'objectif de faire l'expérience des paysages qui le composent.

Olivier de Sépibus a installé deux ruches au sein du Vieux Livron. Artiste et apiculteur, son travail porte sur les relations de l'homme à l'animal. Il s'intéresse à la manière dont les mécanismes du vivant peuvent devenir moteur de création. Ces ruches, dont on sait que les abeilles vont butiner à 3km alentour, sont devenues le centre d'un territoire d'exploration pour les artistes. Alors que les abeilles élaborent un miel qui donne une information gustative du paysage, les artistes ont, chacun dans leur pratique, composé un point de vue sur la zone de butinage. La richesse paysagère de cette zone a permis de traverser des espaces urbains récents et plus anciens, des plaines ou des plateaux agricoles, des zones industrielles ou commerciales, des bords de rivière ou des bois plus sauvage. Elle s'étend sur les communes de Livron et Loriol, des lieux-dits Rif de Vert et Cercol au nord, à la réserve des Ramières et au lotissement Les Dauphins au sud.

L'exposition présente des photographies, mais aussi des dessins, des vidéos, des encres végétales, et du miel de Livron.

 

www.legoutdupaysage.com

 

 

 

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Animals

© Joël Garnier

 

 

 

« Animals »

Photographies de Joël Garnier

Du 04 au 25 octobre
Eglise des Célestins,
place des Corps Saints
84000 Avignon

L'expo aura lieu du 04 au 25 octobre dans le cadre de la XXè édition du Parcours de l'art.

Qui sont ces êtres vivants à la fois proches et si lointains ?

Que savons nous de leur degré de conscience ?

Pourquoi cette attirance, mais surtout ce trouble face à l'animal ?

Ne nous renvoie- t-il pas à notre appartenance à une même famille et donc à cette part de nous que nous essayons de tenir à distance ?

C'est ce trouble qui a guidé ce travail et l'élaboration d'une technique de prises de vues à même de traduire l'ambiguïté des sentiments éprouvés.

Le rendu particulier de ces photos est réalisé dès la prise de vues avec dans le viseur l'instantanéité et la conscience de l'effet recherché.

 

www.parcoursdelart.com

 

 

 

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La savonnette bleue, Tunis

© Anna Puig Rosado

 

 

 

« La savonnette bleue, Tunis »

Photographies d'Anna Puig Rosado

06 Septembre / 26 Octobre
Craft Espace
50 rue du Bourg
26220 Dieulefit

Vernissage le 06 Septembre à 17h00 en présence des artistes.
Du mardi au dimanche 9h30-12h30/15h00-19h00

Anna Puig Rosado depuis une dizaine d'années a cette particularité picturale – que ce soit dans un environnement industriel ou à travers un paysage urbain – de nous montrer – du Yémen à l'Azerbaïdjan – des lieux de vies désertés – qui à la manière d'Hubert Robert – nous rappellent une humanité sous jacente et dévastée.

Dans cette quête lente elle nous livre les couleurs d'une esthétique de l'abandon, ultime trace où les hommes s'effacent face à l'érosion.

C'est une collecte atypique et patiente pour donner à voir un autre monde, presque imaginaire.

Qantor

Ces photographies présentées à Craft espace sont tirées de la série Tunis le Hammam Bou Sandel, montrée dans l'exposition collective "Regards Posés. Hammams de la Médina de Tunis" au palais Kheireddine à Tunis en juillet 2014. Cette présentation montre la réalité d'un patrimoine en péril, c'est un plaidoyer pour sensibiliser les décideurs et le grand public à la valeur indéniable de ce patrimoine et à la nécessité de le sauvegarder.

Grande voyageuse de lieux atypiques – Sibérie orientale, Yémen, Soudan, Mer Noire, Comores, Erythrée parmi les plus récents – Anna a d'abord travaillé pour la presse magazine parisienne et a développé son travail d'auteur en réalisant des expositions présentées en France et dans le monde (Japon, Turquie, Yémen, Angleterre, Allemagne,Tunisie) .

 

www.annapuigrosado.net
www.craftespace.com

 

 

 

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La virevoltante

© Karin Dilthey

 

 

 

« La virevoltante »

Photographies de Karin Dilthey

06 Septembre / 26 Octobre
Craft Espace
50 rue du Bourg
26220 Dieulefit

Vernissage le 06 Septembre à 17h00 en présence des artistes.
?Du mardi au dimanche 9h30-12h30/15h00-19h00

Karin Dilthey est une photographe d'origine allemande qui après 30 ans à Paris vient de s'installer dans la drôme.

Avec une technique et une vision très personnelle, affinée au fil du temps, elle centre son intérêt autour de l'émotion, l'imaginaire, l'ambiguïté. La composition rigoureuse semble donner un cadre pour border l'imaginaire.

La série la Virevoltante présentée à Craft espace nous entraine dans l'évocation du corps et du mouvement basculant vers un infini poétique.

Un monde étonnant s'ouvre pour celui qui ose abandonner toute recherche de ressemblance réconfortante. L'étrange, l'étonnant, parfois le merveilleux sont les fruits de transgressions volontaires.

«Perdre ; mais perdre vraiment pour laisser place à la trouvaille » Apollinaire

 

www.karin-dilthey.com
www.craftespace.com

 

 

 

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Changement d'état 1983 - 2014

© Patrick Tosani

 

 

 

« Changement d'état 1983 - 2014 »

Exposition de Patrick Tosani

Du 27 juin au 26 octobre 2014
Le pavillon polpulaire
Esplanade Charles de Gaulle
34000 Montpellier

Du mardi au dimanche
11h - 13h et 14h - 19h

À voir toutes ces manières étranges mises en concurrence, à regarder ces situations difficilement déchiffrables, on doit accorder à Patrick Tosani une vision plus complexe de la photographie qu'un simple décryptage du medium. C'est ce malentendu que cette exposition tente de lever. L'envie de faire de belles images pour donner au spectateur de petites jouissances esthétiques est pour Tosani proprement inimaginable. Le jugement doit désormais porter sur ce que l'on voit, c'est à dire sur la nature latente des images, sur ce qui n'a de cesse de se dérober...Quand d'autres recherchent l'unité, Patrick Tosani s'abandonne au tourment de l'inachèvement, à l'instabilité des choses et de leur changements d'état. L'idée d'une seconde peau comme objet autonome, dissimulant l'original, n'est pas une idée neuve, par contre son traitement l'est. Parce qu'il ne croit plus aux petites histoires photographiques, à l'imitation du spectateur qui, de son côté, n'y arrive plus, Tosani a pris alors pour prétexte de tout recouvrir; par le liquide, la flamme, le tissu... Il voile alors la configuration des choses, en lui ôtant tout sens commun et valeur d'usage. Cette innovation photographique tente de façonner une autre manière de penser le regard et de réexaminer la matière.

Commissariat : François Cheval, Conservateur en chef du Musée Nicéphore-Niépce à Chalon-sur-Saône

 

www.patricktosani.com
www.montpellier.fr/506-les-expos-du-pavillon-populaire.htm

 

 

 

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Rendez-vous à l'atelier 2014

 

 

 

« Rendez-vous à l'atelier 2014 »

2ème edition

Le 11 et 12 octobre

« A l'image de la société, la création existe dans la diversité. Cette diversité permet les meilleures passerelles vers les publics »

Sur une initiative en 2012 de la Région Rhône-Alpes et organisée par la MAPRA, plus de 500 ateliers d'artiste et lieux associés ouvraient leurs portes au public pendant deux jours le temps d'un week-end d'octobre. Cette première édition était à l'évidence un succès.

Prévue à l'origine en biennale, et devant l'enthousiasme rencontré pour la première édition autant auprès des artistes que du public, une deuxième édition a lieu le samedi 11 et le dimanche 12 octobre 2014. La manifestation couvre l'ensemble du territoire rhônalpin soit 8 départements, autant les ateliers d'artistes installés en milieu urbain qu'en milieu rural, les ateliers individuels que les ateliers collectifs, les résidences et autres lieux ou associations ...

Comme en 2012 chaque artiste invite un ou des confrères en accueillant leurs œuvres. Un certain nombre de « structures associées » (institutionnelles, associatives ou privées) ouvrent également leurs portes pendant ces 2 jours. Il est important dans ce contexte que l'ensemble du milieu professionnel se soit impliqué, associations, écoles d'art, centres d'art, musées, galeries, et différents lieux de diffusion. Plus de 600 ateliers et 70 lieux associés participent, ce qui touche un millier d'artistes. La MAPRA, les artistes sont particulièrement attentifs à cette manifestation qui concerne la diversité large des créateurs des arts visuels travaillant en Rhône-Alpes. Cette vraie réalité de terrain qui s'adresse au citoyen artiste avant les filtres et critères de chacun et des logiques diverses d'intérêts. Comme en 2012 « Rendez-vous à l'atelier » n' inclut pas les artisans d'art.

Alain Lovato | Président de la Maison des Arts Plastiques Rhône-Alpes

 

www.rvatelier-mapra-art.org
www.lamaisondesartistes.fr

 

 

 

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MagIes

© Béatrice Darnal

 

 

 

« MagIes »

Installation d'images de Béatrice Darnal

Les 6, 7, 10 et 11 octobre 2014
Atelier de Alain Bouvier
232 route de Sellières
39230 Mantry

A l'occasion de la 9ème Triennale du Jura Alain Bouvier, peintre, m'accueille dans son atelier de Mantry.

MagIes

- Dis moi, tu as tout compris, dans cette histoire ?

- Quelle histoire ?

- Celle des nombres imaginaires.

- Oui. Ce n'est pas si compliqué que ça. (R. Musil)

 

www.darnal.com

 

 

 

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Images

© Alex Prager

 

 

 

« Images »

Festival d'art visuel de Vevey

Du 13 septembre au 5 octobre

Du 13 septembre au 5 octobre prochain, le Festival Images présentera à Vevey – en intérieur comme en extérieur – le travail de près de 70 artistes issus de plus de 15 pays avec des figures de renommée internationale telles que Francis Alÿs, John Baldessari, Martha Cooper, Leandro Erlich, Lee Friedlander, Paul Fusco, Arno Rafael Minkkinen ou encore Alex Prager.

Le Festival d'arts visuels Images est le premier festival de photographie en plein air de Suisse. Il produit tous les deux ans des expositions de photographie monumentale inédites dans les rues de Vevey; il propose aussi de nombreuses expositions dans divers lieux de la région dédiés à l'image et présente les lauréats du concours qu'il organise: le Grand Prix international de photographie de Vevey.

Entièrement gratuit, le Festival Images est à la fois un véritable musée à ciel ouvert et une plateforme de qualité pour les artistes suisses et internationaux. Pour l'édition de 2012 il a proposé plus de 60 expositions et de nombreux événements et a accueilli plus de 47'000 visiteurs en intérieur et plus de 80'000 en plein air.

 

www.images.ch

 

 

 

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Afghan Dream

© Sandra Calligaro

 

 

 

« Afghan Dream »

Photographies de Sandra Calligaro

Du vendredi 12 septembre au samedi 18 octobre 2014
atelier item
3, impasse Fernand Rey,
69001 Lyon

Du lundi au vendredi de 10h à 17h et le samedi de 14h à 18h

« Si la guerre – les opérations de la coalition, les attentats, le retour des Taliban – a focalisé le regard depuis dix ans, ce qui me frappe en revoyant Kaboul régulièrement depuis vingt ans, c'est l'émergence d'une nouvelle classe urbaine occidentalisée, vivant de l'afflux d'argent qui a suivi la coalition depuis 2001. Loin des clichés de l'Afghanistan enturbanné, les nouveaux urbains se croisent dans les supermarchés de Kaboul, le portable à l'oreille. [...]?Dans l'espace privé, les logements plus petits accélèrent le passage à des unités familiales réduites où les enfants disposent de leur chambre et la hiérarchie des âges se modifie au détriment des anciens dont l'autorité est sapée par les évolutions sociales et technologiques. »*

Afghan Dream est un travail que Sandra Calligaro réalise depuis 2011. Elle le reconnaît aisément : avant de se familiariser avec le pays, sa connaissance de l'Afghanistan se résumait « au Commandant Massoud, aux Talibans?et à l'opium... C'était léger ».

*extraits du texte de Gilles Dorronsoro?Gilles Dorronsoro est un chercheur en science politique, spécialiste de l'Afghanistan et de la Turquie contemporains.

 

www.sandracalligaro.com
www.blog.collectifitem.com

 

 

 

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Sombre

© Olivier Crusells

 

 

 

« Sombre »

Photographies d'Olivier Crusells

Du 9 septembre au 04 octobre 2014
Galerie Grand Angle
Centre Commercial Intermarché La Rotonde
(2ème étage),
10 avenue de Royat,
63122 Ceyrat.

Entrée libre, du mardi au samedi de 10h à 19h, ou sur rendez-vous.
Vernissage en présence de l'artiste, le lundi 08 septembre, à partir de 18h30.

Avec des expositions régulières et variées, Grand angle, galerie d'art spécialisée en photographie, s'attache à présenter aux visiteurs un vaste pan de la photographie contemporaine. Lieu d'échange et de découvertes, cet espace a été pensé pour tendre à créer des conditions de visites et d'exposition optimales.

À l'occasion de son premier anniversaire, Grand angle accueille en exclusivité dans la région l'une des dernières séries photographique d'Olivier Crusells. Ce travail, après avoir été exposé à Arles, avait notamment permis à l'artiste de devenir le lauréat du prix CAFéFOTO, organisé par le Centre Iris pour la photographie.

Si les recherches d'Olivier Crusells, nourries par ses travaux plus anciens de peintre et de sculpteur, ont pour pierre angulaire la représentation humaine, elles n'en sont pas moins affranchies des règles académiques du portrait. Le processus de déconstruction et de reconstruction de l'image sous-tendu dans son travail, l'amène également à questionner la photographie elle-même. Empreint de rigueur et d'une grande maîtrise technique, la variété des procédés utilisés ouvrent de larges pans de réflexion.

« Sombre » propose une série de portraits photographiques dont la perception et la lisibilité sont de prime abord perturbées par la matière et les altérations. À l'instar de bribes de souvenir, ces visages mystérieux, entre révélation et effacement, semblent incarner une forme de refus de la disparition.

 

www.oliviercrusells.com
www.facebook.com/pages/Grand-angle

 

 

 

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Photo  DocksArtFair

 

 

 

« Photo DocksArtFair »

Édition 2014

Du 5 au 28 septembre
Pavillon 8
59 Quai Rambaud
69002 Lyon

Mercredi au Dimanche de 11h à 18h

Pour sa 6 ième édition, « DocksArtFair?» créée l'évènement grâce à une manifestation inédite entièrement dédiée à la Photographie contemporaine et à l'Art Vidéo.

Fortement attachée à son territoire, et toujours en recherche de synergie la foire « DocksArtFair?» annualise son rendez-vous :

Les années impaires une foire unique - le solo show, les années paires un focus sur la photographie.

Un concept inédit

Un salon dédié à la photographie contemporaine et à l'art vidéo se présentant sous la forme d'une foire les 3 premiers jours, et se prolongeant par une exposition de trois semaines. Il s'agit bien d'un salon, où artistes, galeristes, institutionnels, professionnels, collectionneurs et amateurs d'art contemporain se rencontrent. Les œuvres resteront en place pour une exposition de trois semaines, le grand public et les scolaires pourront ainsi apprécier les œuvres proposées dans une scénographie muséale. Les organisateurs de « Photo DocksArtFair?» souhaitent avec cette nouvelle édition, conçue comme une exposition, mettre l'accent sur le rôle curatorial des galeristes.

Un évènement unique rythmé de soirées, de conférences, et de la « Nuit de la Photographie ».

Un salon pour une lecture de qualité

Un espace d'exposition au cœur de la Confluence de Lyon, dans le bâtiment signé Odile Decq - Quai Rambaud où les galeries participantes de « Photo DocksArtFair?» mettront en lumière les artistes émergents et en voie de reconnaissance par le prisme de la photographie contemporaine et de l'art vidéo.

Pas de stands traditionnels pour « Photo DocksArtFair?», mais une scénographie au service des projets artistiques et des visiteurs.

Une localisation centrale qui offre aux exposants de « Photo DocksArtFair?» une visibilité accrue.

 

www.docksartfair.com

 

 

 

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Regard nature

© Christian Bouchet

 

 

 

« Regard nature »

Photographies de Christian Bouchet

Exposition du 01 septembre au 30 septembre
Office du tourisme de Montélimar
Allées Provençale
26200 Montélimar

Du lundi au samedi de 9h30 à 12h30 et 14h à 18h
Dimanche de 10h30 à 12h30

Cité touristique située en Drôme Provençale, Montélimar jouit d'une position stratégique aux portes de la Provence entre les Gorges de l'Ardèche et le Vercors.

J'ai essayé, dans cette exposition, de présenter une partie de notre région aux visages multiples : l'agglomération Montilienne et ses contreforts avec une petite

incursion dans le Vercors et l'Ardèche.

 

www.christian-boucher.com

 

 

 

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Dix ans de Collectif

© Libres Regards

 

 

 

« Dix ans de Collectif »

Exposition de Libres Regards

du 8 septembre au 2 octobre 2014
Espace Envol
Boulevard de la Chaumette
07000 Privas

Vernissage le mercredi 10 septembre 2014 à partir de 18h30
Ouvert toute l'année du lundi au vendredi de 8h à 18h.

Le Collectif Libres regards, association de photographes indépendants de la région Rhône-Alpes, organise depuis son dixième anniversaire un ensemble d'expositions offrant un choix d'images représentatif de la diversité du travail effectué entre 2003 et 2013, "Dix ans de Collectif".

Aujourd'hui, les trois photographes poursuivent toujours la même ambition initiale : réunir ses différents regards en une même palette avec comme lignes directrices, l'indépendance de la démarche, la liberté de ton, l'humanisme du regard sur le monde.

C'est dans cet esprit d'expérience collective que chaque photographe se retrouve, exprimant sa richesse créative à travers les reportages réalisés, les expositions présentées, les manifestations auxquelles Libres regards s'est associé, les sujets traités en commun (Frontières, Portraits d'artistes installés en Ardèche)...

 

www.libres-regards.com
www.fol07.com

 

 

 

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Alger, climat de France

Photographie © Stéphane Couturier

 

 

 

« Alger, climat de France »

Photographies de Stéphane Couturier

Du 12 juillet au 28 septembre 2014
Hotel des Arts
236 bd Maréchal Leclerc
83000 Toulon

Ouvert tous les jours sauf lundi de 10h à 18h
Entrée libre

L'exposition présentée est une commande de l'Hôtel des Arts passée auprès de l'artiste Stéphane Couturier sur la cité emblématique Climat de France réalisée par Fernand Pouillon à Alger entre 1954 et 1957.

A travers son regard de photographe et de vidéaste, Stéphane Couturier interroge la puissance de cette architecture à la modernité étonnante et dévoile une part intime de ces murs. Une forme d'hommage à travers un projet inédit dans lequel l'expérimentation du territoire sera partout à l'œuvre : dans l'univers clos des cités, mais aussi dans la confrontation avec la ville, le port, la mer, l'infini.

 

www.stephanecouturier.fr
www.hdatoulon.fr

 

 

 

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30 explorations photographiques

 

 

 

« 30 explorations photographiques »

Exposition

Du 12 mai au 5 septembre 2014 Vernissage le 13 mai à partir de 17h30
Archives départementales
Place André Malraux
07000 Privas

Entrée libre
Ouvert du Lundi au vendredi
de 8h15 à 12h et de 13h15 à 17h

 

 

 

 

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Les rencontres d'Arles

Photographie © David Bailey

 

 

 

« Les rencontres d'Arles »

45émes édition

Du 7 juillet au 21 septembre 2014

Le sillon sans relâche

par Jean-Noël Jeanneney, président des Rencontres d'Arles.

Les Rencontres d'Arles s'apprêtent à offrir cette année leur 45e édition. Manifestation sans pareille parmi la photographie mondiale, elles font notre fierté et celle d'une ville où convergent chaque année des dizaines de milliers de professionnels et d'amateurs férus d'images, de découvertes, d'échanges de toute nature.

Placée sous le signe du noir et blanc, l'édition 2013 s'est achevée sur des chiffres record: 96 000 visiteurs, soit 11 000 de plus qu'en 2012. Un total inégalé par le passé, témoin d'un engouement qui ne cesse de croître, et dont la presse française et internationale s'est généreusement fait l'écho en saluant une programmation à la fois riche, ambitieuse et fédératrice. Nous en tirons –pourquoi le cacherai-je ?– une vive satisfaction. Non seulement le festival s'est attaché désormais un nombre élevé de fidèles, pour lesquels il est devenu une étape précieuse durant l'été, mais il attire chaque année 30 % de nouveaux visiteurs, dont on peut gager qu'à leur tour ils reviendront à l'avenir, séduits par l'expérience arlésienne.

François Hébel, en plein accord avec moi, a décidé de placer cette édition 2014, la cinquième qu'il me revient de présenter, sous le signe de l'amitié et de la fidélité. Lui, dont cette réalisation sera la dernière, a noué au fil des ans des liens puissants avec nombre d'artistes. Il a souhaité en associer plusieurs à ce dernier rendez-vous, afin de mettre en lumière et en mémoire le chemin parcouru de conserve.

On retrouvera donc plusieurs proches de longue date du festival, à commencer par Raymond Depardon, déjà commissaire invité de l'année 2006, qui est restée vivante dans notre souvenir. Je me réjouis de le savoir voué à parrainer la grande exposition que nous allons consacrer aux 40 000 monuments aux morts édifiés sur le sol de notre pays après la Première Guerre mondiale, ce cataclysme dont 2014 marque avec éclat le centenaire. Il n'est guère besoin que je vous dise le prix que j'attache personnellement, comme historien et comme citoyen, à cette commémoration et l'émotion que j'éprouve d'avance à l'idée que nous y contriburons de la sorte, en y associant, selon un protocole de prises de vue établi par Raymond Depardon lui-même, les habitants de nombreuses communes de notre pays – cela grâce au précieux appui de la Mission du Centenaire et de la fondation Carac.

Au titre des grandes retrouvailles, nous aurons également la joie de compter parmi nous Lucien Clergue, fondateur des Rencontres avec Jean-Maurice Rouquette et Michel Tournier, qu'a rejoints Maryse Cordesse. Nous fêterons ses 80 ans.

À cette occasion, il reviendra, à travers une série d'entretiens, de vidéos et de photographies, sur les hommes et les femmes qui ont marqué sa vie et jalonné son parcours.

Christian Lacroix, qui fut le commissaire invité de l'édition 2008, sera également des nôtres, avec un projet inédit d'hommage à l'Arlésienne, dans un lieu qui n'avait jamais encore été occupé par les Rencontres, la chapelle de l'hôtel Jules César.

On retrouvera d'autre part l'un des grands noms de la photographie contemporaine, qui fut lui aussi de longue main notre compagnon de route, commissaire invité en 2004 : Martin Parr présentera sa collection de livres de photographies chinois, évoquant ainsi précieusement l'histoire de ce pays, qu'éclairera également la collection de photographies de groupes rassemblée par Claude Hudelot.

Je me félicite également que la National Portrait Gallery ait souhaité nous associer à une rétrospective de l'uvre de David Bailey que nous sommes heureux de présenter. Je tiens à remercier et à saluer ici les divers collectionneurs pour la confiance qu'ils nous portent en réservant à Arles la primeur de certaines parties de leurs richesses.

Enfin, Erik Kessels comptera semblablement parmi les commissaires invités et il nous offrira une sélection de points de vue contemporains en provenance des Pays-Bas – parmi bien d'autres expositions dont je laisse à François Hébel, comme il convient, le soin de présenter la force et la diversité.

Fidèles à notre volonté de favoriser l'accès aux pratiques photographiques et de contribuer à aiguiser les regards dans un monde où l'image est omniprésente, nous poursuivons la politique qui a vu naître depuis des années de très nombreuses initiatives à succès : lectures de portfolios, stages organisés du printemps à l'automne, colloques thématiques, visites d'expositions avec les photographes et les commissaires, conférences et débats gratuits tous les jours de la semaine d'ouverture, interventions et ateliers en milieu scolaire.

L'année 2013 a été marquée par les dix ans d'une manifestation qui nous est chère et qui est devenue un symbole de la politique pédagogique inventive des Rencontres : la Rentrée en Images. Le succès de cette manifestation est tel (10 750 élèves en 2013) que, faute de place, nous n'avons pu accueillir toutes les classes qui auraient souhaité y participer. Cette fois-ci, nous aurons le plaisir d'organiser en même temps un séminaire pédagogique qui accueillera, pendant deux jours, 300 enseignants et professionnels de la culture autour d'un thème spécifique, le plus stimulant possible: «Image, texte et récit: comment se racontent les histoires aujourd'hui ? » J'aime à rappeler qu'en 2004, lors de sa première édition, la Rentrée en Images ne concernait qu'une seule académie et une centaine d'élèves, et à mettre en lumière le chemin parcouru.

Fort de ce succès, le service pédagogique a développé, depuis quelques années, un outil d'aide et d'initiation à la lecture de l'image. Cet outil pédagogique, le jeu Pause-Photo-Prose, nous avons été contents de le présenter en 2012.

Il a déjà servi efficacement et suscité des réactions chaleureuses dans de nombreux lycées professionnels, écoles, centres sociaux, médiathèques. Ce travail d'essaimage va se poursuivre au cours des deux prochaines années auprès de médiateurs, d'éducateurs et d'enseignants de toute la France, grâce à l'appui conjoint de la fondation Total, du ministère de la Culture et du ministère de l'Éducation Nationale. Ce dispositif devrait toucher plus de 260 communes et former 800 enseignants et médiateurs.

Je n'oublierai pas non plus un projet qui me tient à cur : la médiathèque numérique des Rencontres d'Arles, accessible sur notre site Internet depuis 2013, avec le soutien du ministère de la Culture. L'Ina, qui m'est cher, nous accompagne dans cette mission, et je tiens à l'en remercier, en numérisant et en indexant l'ensemble des archives sonores et audiovisuelles des Rencontres.

Ces succès ne doivent pas empêcher d'évoquer l'avenir. Alors que les Rencontres atteignent une audience sans égale et que leur renommée universelle est désormais installée, elles s'apprêtent à vivre un tournant périlleux. Une ère s'achève avec le départ de François Hébel, leur valeureux directeur, qui, en douze ans de mandat, aura non seulement sauvé le festival d'une mort annoncée mais décuplé son public.

Notre tristesse est grande de voir partir une personnalité avec laquelle les équipes du festival ont cheminé durant tant d'années dans la complicité et la confiance, dont nous n'avons cessé d'apprécier le talent hors de pair, avec lequel j'avais personnellement tissé, au fil des années – pourquoi ne pas le dire ? – des liens d'amitié profonde. Il sait que j'ai compris les motifs de sa décision, en parfaite solidarité avec lui.

Qu'il me soit permis de lui souhaiter le meilleur pour la suite, et pour les nouveaux défis qu'il relèvera, j'en suis sûr, n'étant pas homme à se reposer longtemps sur ses lauriers : je ne doute pas qu'il se lance promptement dans de nouvelles entreprises dont je suis convaincu que l'avenir nous permettra d'admirer les fruits.

Quels que soient nos regrets face à ce départ, j'ai veillé, comme bien vous pensez, et selon mon devoir, à assurer au mieux l'avenir des Rencontres en désignant, en concertation avec les tutelles publiques et les membres du conseil d'administration, le futur directeur, Sam Stourdzé, à la tête du musée de l'Élysée de Lausanne depuis 2010. Sa brillante carrière passée, définitivement liée à la photographie, augure le meilleur pour l'avenir des Rencontres.

Sam Stourdzé aura à affronter de nouveaux obstacles, à inventer de nouvelles formules. Une aventure telle que celle-ci est vouée à ne jamais se figer. Il s'agira de construire un avenir solide tout en se confrontant à la question, rendue plus aiguë, des futurs lieux d'exposition et, si possible –pouvons-nous rêver?– d'en finir avec la fragilité budgétaire de l'association.

Enfin, et ce n'est pas le moindre de mes vux, il s'agira de continuer d'insuffler aux Rencontres l'énergie nécessaire à leur rayonnement dans une ville qui est en passe de prendre un nouveau visage, accueillant désormais la fondation Van Gogh et la fondation LUMA, fidèle mécène du festival, et s'apprêtant à voir notre amie de toujours, la nouvelle École nationale de la photographie, portée vers des ambitions plus brillantes encore que jamais.

Dans ces temps parfois chaotiques, j'ai à cur d'exprimer nos remerciements vifs aux partenaires privés qui nous soutiennent depuis si longtemps. Au premier chef, SFR, qui a renouvelé son soutien pour un contrat triennal, L'Occitane en Provence qui nous avait aidés l'année dernière pour la première fois et qui est présent à nouveau cette année, Olympus toujours précieusement fidèle, la fondation Luma qui nous appuie, je viens de le dire, depuis si longtemps, BMW dont nous sommes fiers de présenter le « rendu de résidence » au musée Nicéphore Niepce, la banque Pictet qui nous fait le plaisir d'être une fois de plus à nos côtés, sans compter tous ceux que je ne peux citer nommément mais qui savent combien nous leur sommes reconnaissants.

Il me revient enfin de remercier les collectivités locales, le Conseil régional, le Conseil général des Bouches-du-Rhône, la ville d'Arles, sans le soutien durable desquels le festival ne pourrait, comme chacun sait, survivre. Et, au premier rang, de dire notre pleine gratitude à Aurélie Filippetti, ministre de la Culture, qui a bien voulu se montrer attentive aux difficultés que nous venons d'affronter et qui, consciente des nouveaux défis qu'il va revenir aux Rencontres de surmonter, voudra et saura, j'en suis convaincu, les accompagner à la hauteur de leurs ambitions.

 

www.rencontres-arles.com

 

 

 

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Un pont c'est tout

photographie © Tristan zilberman

 

 

 

« Un pont c'est tout »

Photographie de Tristan Zilberman

Du 4 juillet au 6 septembre 2014
Médiathèque Jacques Dupin
3 rue Elie Reynier
07000 Privas

Vernissage le vendredi 4 juillet à partir de 18h

Mardi 12 h > 18 h
Mercredi 9 h > 13 h et 16 h > 19 h Vendredi 14 h > 18 h
Samedi 9 h > 13 h

Cette série de photographies est issue d'un reportage photo à l'occasion de la réhabilitation d'un ancien pont sur le Rhône dans la commune de Rochemaure en Ardèche. Le vieux pont suspendu de Rochemaure, hors d'usage depuis des années, a été transformé en passerelle himalayenne et se trouvera sur le parcours de la Viarhona, la piste cyclable qui relie le Lac Léman à la Méditerranée. Le suivi photographique effectué sur 6 mois, a vu toutes les phases de la transformation de l'ouvrage et les étapes du chantier qui s'est parfois déroulé dans des conditions extrêmes.Ce projet a également fait l'objet d'un ouvrage édité par la commune de Rochemaure et intitulé “Renaissance himalayenne?.

 

www.tristanzilberman.com
www.bm-privas.fr

 

 

 

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Colles et Chimères

© Patrick Bailly-Maître-Grand

 

 

 

« Colles et Chimères »

Exposition de Patrick Bailly-Maître-Grand

21 juin au 21 septembre 2014
Musée Nicéphore Niépce
28, Quai des Messageries
71100 Chalon-sur-Saône

tous les jours sauf le mardi et les jours fériés
de septembre à juin 9h30 ... 11h45 / 14h ... 17h45
en juillet / août 10h ... 18h

Les travaux de Patrick Bailly-Maître-Grand (né en 1945) ont été fondateurs pour toute une génération de photographes français. Depuis 1980, l'artiste n'a cessé de revisiter les techniques anciennes, les gestes originels de la pratique photographique, tout en leur appliquant un caractère purement conceptuel. Ses images, strictement argentiques, oscillent entre rigueur scientifique et poésie. Fruit d'une généreuse donation de l'artiste au musée Nicéphore Niépce et au musée d'art moderne et contemporain de Strasbourg, deux expositions complémentaires, l'une à Chalon-sur-Saône et l'autre à Strasbourg, reviendront sur trois décennies de création photographique expérimentale.

Au début des années 1980, la photographie d'auteur erre à mi-chemin entre le constat brut et le rejet de la réalité. L'approche de Patrick Bailly-Maître-Grand fonde alors un parcours singulier et solitaire qui échappe à tous les regroupements. Il est convaincu que l'essence de la photographie repose sur son acte de naissance, un écart entre l'intention et le tirage. Ce faisant, il s'autorise la citation historique et nous oblige à repenser l'acte photographique dans sa totalité, de la prise de vue à la destination de l'image. Patrick Bailly-Maître-Grand décide d'une redéfinition des fondements de l'image mécanique qu'il adosse à l'histoire scientifique de la photographie. Il s'attèle à découvrir et expérimenter les techniques anciennes, du daguerréotype à la chronophotographie : « Il faut percevoir en ce bricolage laborieux une quête nostalgique des années primitives de la photographie quant tout était à découvrir avec une boîte, un bout de verre, de la chimie et du hasard. » ?Il pénètre dans l'acte photographique en faisant appel aux préceptes de la science. La photographie est comparable à ces jeux instructifs du XIXe siècle, ces formes cultivées et récréatives d'apprentissage de la connaissance scientifique. La méthode recourt constamment aux leurres. Patrick Bailly-Maître-Grand joue avec la lumière qu'il transforme en matière et la matière en lumière. Le photographe-physicien raisonne sur les paradoxes de la substance, de l'espace, du temps et du mouvement, ces données physiques et interchangeables essentielles à la constitution de l'acte photographique. L'optique et la chimie sont l'objet du geste expérimental. Chaque série est là pour vérifier empiriquement les intuitions des pionniers. Si l'artiste a voulu aller à rebours, c'était pour mieux se délester de tous les discours qui encombrent l'image mécanique. La tentative de réconciliation avec les premiers gestes et les premières manipulations avoue son ambition : nettoyer la photographie des miasmes de l'utopie réaliste.

Exposition organisée en partenariat avec le Musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg. En parallèle, un autre versant de l'exposition « Colles et chimères » de Patrick Bailly-Maître-Grand est présentée au Musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg du 28 juin au 19 octobre 2014.

 

www.baillymaitregrand.com
www.museeniepce.com

 

 

 

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Asylum of the birds

© Roger Ballen

 

 

 

« Asylum of the birds »

Photographies de Roger Ballen

21 juin au 21 septembre 2014
Musée Nicéphore Niépce
28, Quai des Messageries
71100 Chalon-sur-Saône

tous les jours sauf le mardi et les jours fériés
de septembre à juin 9h30 ... 11h45 / 14h ... 17h45
en juillet / août 10h ... 18h

Asylum : asile... Un lieu protecteur ou au contraire synonyme d'enfermement. Toute cette ambiguïté habite l'une des dernières séries photographiques de Roger Ballen (né en 1950). En 2008, il découvre à Johannesburg, dans l'Afrique du Sud où il réside, une maison singulière peuplée d'individus et d'oiseaux en liberté, où courent également les rats, les lapins et les canards. Les murs sont recouverts de signes et de dessins. L'endroit étrange oscille entre atmosphère surréaliste et pur installation d'art brut, tout comme les images de Roger Ballen entre pureté et chaos.

Un lieu étrange aux abords de Johannesburg abrite une communauté hétéroclite. Les hommes y cohabitent avec des animaux grouillant au milieu d'un amas d'objets démantelés et épars dont on cherche vainement l'utilité. L'endroit tient du repère de chiffonniers et de la réserve zoologique. Un lieu extraordinaire, idéal pour nourrir l'imagination singulière de Roger Ballen.

Implanté en Afrique du Sud depuis plus de trente ans, ce photographe d'origine américaine s'est fait connaître en 1994 en dressant le portrait vériste et pitoyable du monde rural sous l'Apartheid (Platteland, Images from Rural South Africa[1] ). Dès cette époque, Ballen dépasse le simple statut de photographe documentaire pour se forger un style unique et dérangeant. Il photographie les hommes en les mettant en scène dans leur environnement quotidien. Parallèlement il met en place un vocabulaire esthétique où foisonnent les signes graphiques, les éléments formels qui le relient à l'histoire de l'art et auxquels il donne autant d'importance qu'aux portraits proprement dits. Ses images au fil du temps offrent une lecture de plus en plus complexe, par l'accumulation des objets, des graffitis, la présence grandissante des animaux. Le regard se concentre sur le cadrage resserré du format carré et erre à la recherche d'une explication. Roger Ballen invente un langage et jette le trouble. En passionné de psychologie, il semble mettre en image notre subconscient.

« Mes meilleures photographies sont celles que je ne comprends pas ». L'homme marche à l'instinct, ne planifie rien. En 2008 il fait connaissance avec un univers à sa mesure, un endroit où s'entassent à l'écart de la société, des miséreux, des criminels et des malades mentaux, dans une infernale promiscuité avec des animaux de toutes sortes. Un bouge sordide et crasseux, aux murs tagués, un lieu irréel et malsain qui va servir de nouveau décor à l'univers esthétique détonnant du photographe.? Asylum of the birds, l'asile des oiseaux. Un refuge repoussant où règnent le chaos et la liberté, un point de rencontre entre vie et mort, entre humanité et animalité. Pendant cinq années, Roger Ballen agence les objets de rebut, carcasses, masques et figurines, compose avec les animaux en liberté. L'homme est présent mais souvent de façon fragmentaire : ici une tête hurlante, là cinq mains tendues...ici un corps sans tête, là un homme en cage, des figures masquées... Tous les symptômes de la folie sont rassemblés dans des images qui pourraient s'apparenter à des cauchemars. Les oiseaux omniprésents s'ébattent librement au risque de devenir les victimes de cette insanité. Symbole lumineux de liberté et de paix, les colombes se confrontent à la noirceur de l'humanité, la beauté à la laideur. La relation qui se profile ici entre l'homme et l'animal est bien celle de l'adversité.

Roger Ballen affirme explorer la face obscure de la psyché, les différentes couches du subconscient qu'il superpose dans ses photographies, à la manière de strates géologiques[2]. Son travail témoigne d'une vision du monde toute en ambigüité, où le noir n'est pas forcément synonyme de mal ni le blanc, de bien. Pour Ballen, « la vie vient de l'ombre (...) elle provient du néant ».

 

www.rogerballen.com
www.museeniepce.com

 

 

 

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Une collection pour l'exemple

Carl de Keyzer Daytona Beach, Floride, USA © Carl de Keyzer

 

 

 

« Une collection pour l'exemple »

La Fnac

21 juin au 21 septembre 2014
Musée Nicéphore Niépce
28, Quai des Messageries
71100 Chalon-sur-Saône

tous les jours sauf le mardi et les jours fériés
de septembre à juin 9h30 ... 11h45 / 14h ... 17h45
en juillet / août 10h ... 18h

En faisant de l'exposition photographique dans ses boutiques le relai privilégié de sa vente d'appareils photo, la Fnac a constitué une collection exceptionnelle comptant près de mille huit cents tirages où se côtoient Robert Doisneau, Edouard Boubat, Malick Sidibé, Antoine D'Agata ou Martin Parr. Diffusé dans toute la France en un temps où la photographie s'exposait encore rarement dans les musées, ce fonds a permis de sensibiliser le grand public à l'expression photographique. Le musée Nicéphore Niépce l'accueille en dépôt pour plusieurs années et propose aujourd'hui une première exposition constituée d'une sélection de plus de cinquante images.

Dès sa création en 1956, la Fnac apporte une grande importance à la photographie : vente d'appareils, organisation de concours photo destinés à la clientèle, mise en place des galeries photos dès 1969... La circulation d'expositions itinérantes, l'organisation de rencontres avec les photographes, l'édition, vont imposer l'enseigne commerciale comme un acteur majeur de la photographie. Cette politique se poursuit dès 1978 avec la constitution d'une véritable collection institutionnelle. En soutenant la photographie, la Fnac prend l'initiative de montrer au public une forme artistique encore peu exposée, peu légitimée. ?La collection couvre de nombreux champs de la photographie. La plupart des courants majeurs y sont représentés : photographie de guerre, avant-garde des années 1930, photographie de mode... Passage obligé, la poésie du Paris d'après-guerre s'exprime par la présence rassurante des humanistes français dont les figures tutélaires sont Robert Doisneau, Willy Ronis, Edouard Boubat. ?La présence de nombreux photoreporters témoigne également la volonté de la Fnac de faire écho à l'actualité passée et contemporaine : l'apartheid vu par Abbas, la révolution sandiniste couverte par Susan Meiselas, les portraits du Che par René Burri, les manifestations contre la guerre de Vietnam sous l'œil de Benedict Fernandez ...Le monde s'ouvre aux yeux d'un public encore peu habitué à voir la photographie s'exposer. Les errances d'Antoine d'Agata aux frontières du Mexique côtoient les fêtes joyeuses de Malick Sidibé à Bamako.

Première enseigne de vente de produits culturels, la Fnac ne pouvait enfin que s'intéresser aux images liées à la musique, au cinéma ou à la littérature : Marilyn par Douglas Kirkland, Ingrid Bergman par David Seymour, Anita Ekberg sur le tournage de La Dolce Vita , le jeune Truman Capote immortalisé par Henri Cartier-Bresson, William S. Burrroughs vu par le photographe de l'underground new-yorkais Gérard Malanga... Avec ces portraits d'acteurs mythiques, d'écrivains de légende présentés dans chacune des galeries, la Fnac envoie au public un message pour ainsi dire subliminal et le renvoie à ses rayons bien achalandés. Cette politique désintéressée d'expositions ouvertes à tous a des vertus incitatives, à n'en pas douter. Mais son principal mérite reste d'éduquer le regard du plus grand nombre, d'un public qui ne franchit pas toujours les portes du musée.

Déposée au musée Nicéphore Niépce, cette collection compte près de mille huit cent images reflétant une discipline artistique dans toute sa diversité. L'exposition en propose une première lecture axée sur quelques icônes de la photographie depuis les années 1950.

 

www.museeniepce.com

 

 

 

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Bourse photo de matériel ancien

© Ludovic CABRITA

 

 

 

« Bourse photo de matériel ancien »

Exposants provenant de toute la France

Dimanche 7 septembre 2014
Château de Saint-Amans-Valtoret
81240 Saint-Amans-Valtoret

Horaires : 9h à 19h
Possibilité de restauration sur place

1ère Bourse photo de matériel ancien avec la présence de nombreux Daguerréotypes de 1850 à 1860, des bornes stéréoscopiques, une très belle chambre française d'atelier en acajou avec objectif E et bien plus encore à découvrir ...

 

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Nous sommes la nuit

 

 

 

« Nous sommes la nuit »

Photographies de Zacharie Gaudrillot-Roy, Guillaume Ducreux, Benjamin Lorieau, Julien Richetti,
Camille Marie Bieber, Arnaud Thomas, Laure Abouaf et Melania Avanzato.

Exposition du 2 septembre au vendredi 12 septembre 2014.
Mairie du 1er arrondissement de Lyon
2 place Sathonay
69001 LYON

horaires d'ouverture de l'exposition: du lundi au vendredi, de 15 à 20 heures et le samedi de 10 à 12 heures.

8 photographes, 8 regards, "Nous sommes la nuit"

«Nous sommes la nuit», nous sommes ce que la nuit dit de nous, ce qu'elle nous inspire, l'obscurité qui donne le relief de notre siècle, entre ses peurs et ses espoirs, ses croyances et ses désillusions, nous sommes l'attente et l'ivresse, le danger et la fête, le calme avant la tempête, nous sommes un point de vue, une esthétique et une architecture, « nous sommes fait de la même matière que les rêves ».

Exposition dans le cadre d'Itinérances de Photo Docks Art Fair.

 

www.noussommeslanuit.blogspot.fr
www.mairie1.lyon.fr

 

 

 

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Visa pour l'image

© Maxim Dondyuk

 

 

 

« Visa pour l'image »

2014

Du 30 août au 14 septembre

Il n'est plus original de parler de la prolifération des images. Partout. Nous vivons dans un monde plein de photos, de vidéos... Dans les rues, dans les transports, et même de plus en plus dans nos poches, sur les écrans de nos téléphones, nous « subissons » des images qui nous parviennent à un rythme de plus en plus accéléré. Nous ne prenons plus le temps de les analyser, de les hiérarchiser. La plupart du temps, nous recevons cette masse de visuels de manière très passive.

Un festival comme Visa pour l'Image est là pour prendre le contre-pied de cet état de fait. En proposant des choix assumés, revendiqués. En donnant à chaque sujet plus ou moins d'importance, que ce soit dans les expositions ou lors des soirées de projection (que nous revendiquons encore et toujours comme les meilleures du monde !). En faisant comprendre l'importance d'une légende, en laissant à chacun la liberté de choisir son image favorite. C'est ce qui explique le choix assumé d'un format de tirages unique. Dans un magazine, faire une double-page ou une vignette est un choix éditorial. Une image sur une double est forcément plus importante qu'une vignette format timbre-poste, c'est du moins ce que l'on ressent. Dans une exposition, mettre en avant une photo en la tirant deux ou trois fois plus grande que les autres nous semble artificiel... Respectons la diversité de nos spectateurs. On sait bien que selon la composition d'un jury, le résultat d'un prix ne sera que très rarement identique.

Voilà. Après 21 ans, certains nous reprochent d'être par trop figés. Nous n'avons pas cette impression. Si la forme et le fond ont beaucoup évolué, la ligne reste la même : présenter le meilleur de la production, découvrir les talents de demain, et faire redécouvrir les plus grands photographes du monde. Nous nous y attelons. Toujours avec le même enthousiasme et la même passion.

Jean-François Leroy

 

www.visapourlimage.com

 

 

 

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De même nature

© Michel Leynaud

 

 

 

« De même nature »

Photographies de Michel Leynaud

Jusqu'au 11 septembre
Salle d'honneur du château de Hautsegur
07380 Meyras

Exposition est ouverte au public tous les jours de 15h à 19h

Matière, lumière, énergie, tout communique et communie ...

Vingt-quatre très grands tirages sur toile et sur papier d'art vous proposent leur présence.

 

www.mandala-photo.com
www.chateauhautsegur.fr

 

 

 

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Marelle

© Andreas Hoefert, collectif uneparjour

 

 

 

« Marelle »

installation photographique par le collectif uneparjour

Week end du 20 et 21 septembre
Jardin botanique du Muséum,
La Rochelle 17000

samedi de 14h à 19h et dimanche à partir de 10h

L'Art À l 'Air, journées du Patrimoine, jardin botanique du Muséum, La Rochelle

Marelle

Installation en hommage à Louise Loppé *, dite Marelle, exploratrice. (1860 Embrun – 1954 La Rochelle)

De ses multiples voyages en Inde, en Afrique, en Amérique du Nord,en Europe centrale, à l'instigation de son amie Alexandra David-Néel, Louise Loppé rapporte de nombreuses olzlithes - galets peints de symboles ou d'images en forme d'œil.

L'étude scientifique de sa collection lui permet d'établir l'universalité du jeu de mérelle - ou marelle, passion de toute sa vie. Ce jeu qui peut prendre diverses formes se compose de la terre, du ciel – ou paradis, et de l'enfer, le passage de l'un à l'autre se faisant à l'aide d'un galet plat poussé par le pied. En 1925, elle fait don de la totalité de collection (19 pièces) au Muséum d'Histoire Naturelle et d'Ethnologie de La Rochelle. Cette collection de olzlithes est présentée au public jusqu'en septembre 1954, date à laquelle elle disparait mystérieusement des vitrines.

Tout aussi mystérieusement, en septembre 2014, certaines de ces pièces commencent à émerger dans le jardin du Museum. Ce phénomène naturel demeure inexpliqué.

* Louise Loppé est la tante d'Etienne Loppé (1883-1954), médecin et premier conservateur du Museum d'Histoire Naturelle et d'Ethnologie de La Rochelle.

L'installation Marelle est l'œuvre du collectif Uneparjour qui rassemble des photographes de divers pays d'Europe, d'Afrique et d'Amérique. Il existe depuis 2006. Les photographes créent quotidiennement au moins une photographie qu'ils chargent sur le site uneparjour.org. Par ailleurs le collectif réalise des expositions ou actions photographiques, souvent dans des lieux ouverts.

Le projet Marelle trouve son origine lointaine dans le rapprochement des images de ciels et des images de pieds, particulièrement les pieds de femmes africaines photographiées par Amsatou Diallo au Mali lors de son entrée dans le collectif. Le 14 juin 2014 à 13h GMT, en préparation à cette exposition, 19 photographes Uneparjour ont mis en scène leurs pieds et photographié le ciel.

Le jeu de la Marelle, par lequel les enfants jettent un petit galet sur des cases symbolisant le chemin de la terre au ciel, marque bien dans nos souvenirs la relation entre les pieds et le ciel : on parcourt les cases à cloche pied en évitant de tomber hors des cases, en enfer, et parfois, autour du ciel nous attendent une fille ou un garçon. Pour les photographes, le ciel est la source de la lumière, donc la condition de notre travail.

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Crédits photographiques : Béatrice Darnal (Drôme Europe), Amsatou Diallo (Mali), Harandane Dicko (Mali), Karine Erne (Suisse), Elise Grandjean (Suisse), Andreas Hoefert (New York), Max Jacot (Genève) , Little Heart Movement (Paris), Ariane Littman (Israel), Danielle Magny (Canada), Philippe Mahassen (Suisse), Lucian Muntean (Bucarest), Yves Phelippot (La Rochelle), Livio Piatti (Zurich), Eric Pijnaken (France), Pascal Pretti (France), Suzie Primera (Amsterdam), Jorrit Timmermans (Amsterdam), Tristan Zilberman (France)

Textes : Little Heart Movement, Béatrice Darnal

Scénographie : Béatrice Darnal, Max Jacot

 

www.uneparjour.org
www.ubacto.com

 

 

 

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Les rencontres de la photo

© Jean-Christophe PLAT

 

 

 

« Les rencontres de la photo »

Chabeuil 2014

Du 13 au 21 septembre
Exposition dans la ville de Chabeuil

Dimanche 14 à partir de 10h Vernissage déambulatoire

Les Rencontres de la photographie de Chabeuil fêtent leur quatorzième édition; leur succès patiemment construit ne se dément pas, succès public, succès artistique, tant et si bien que leur notoriété est maintenant établie. Du temps a passé : depuis 2001 une centaine d'artistes y a été présentée, de tous styles et de toutes vocations, amateurs et professionnels, jeunes et vieux, hommes et femmes, voyageurs et sédentaires, baladeurs fantasques et techniciens méticuleux (et réciproquement). Mais le principe des Rencontres n'a pas changé: un accès gratuit à tous les artistes, pour permettre deux types de rencontres: celle des exposants, amateurs et professionnels, qui enrichissent à l'occasion leurs univers et leurs pratiques respectives, celle plus évidente encore des artistes et du public le plus large. Portées avec enthousiasme et constance par leurs bénévoles, soutenues avec constance et enthousiasme par la Commune de Chabeuil, les Rencontres ont peu à peu imposé leur manière : une offre artistique faite de rigueur et d'exigence, tournée vers tous les Chabeuillois, vers tous les amateurs d'art de la région. En somme : offrir le meilleur, pour tous. Pendant une semaine, les Rencontres agitent Chabeuil : visiteurs et curieux arpentent notre ville, s'y promènent carte en main et se laissent aller de rue en rue, de salle en salle, de surprise en surprise. Ils découvrent des expositions et, au passage découvrent (ou redécouvrent) Chabeuil. Cette agitation est bienvenue, bien sûr : Chabeuil aime ces rencontres en tous genres, Chabeuil aime ses Rencontres de la photographie.

 

www.lesrencontresdelaphoto-chabeuil.fr
www.facebook.com/pages/Rencontres-de-la-photo-de-Chabeuil
Programme

 

 

 

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Les forces vives

© Anna Puig Rosado

 

 

 

« Les forces vives »

Photographies d'Anna Puig Rosado

Du 4 au 31 août 2014
La Halle
Rue Justine Jouve
26220 Dieulefit

Vernissage le 11 août

Les forces vives

Lové au fond d'un paysage parfait où il n'y a pas une colline à enlever, Dieulefit est un village humble et remarquable, comme retranché à l'écart de la vulgarité.

Entrez dans ses ruelles en pente, ses venelles discrètes, le long de ses pierres chaudes et de ses crépis clairs. Le village est un lieu de refuge ouvert où « lou tens passo, passo lou ben ».

Dieulefit est auréolé d'une empreinte historique élégante mais le présent, malgré les difficultés, est fièrement porté par des forces vives, ses commerçants, ses artisans qui résistent aux matières futiles et aux objets trop légers. Ici on a gardé du savoir faire, du savoir vivre, la dignité n'a pas été délocalisée.

A Dieulefit, on chante, on danse, on apprend à vivre et avec passion, animé par une solidarité puissante, chaque commerçant et chaque artisan veille à préserver l'identité de ce village sensible.

Nicolas Joriot

Cette série photographique d'Anna Puig Rosado est une vision intimiste où les objets silencieux parlent en filigrane des artisans et des commerçants de Dieulefit.

Adepte de lieux atypiques – Sibérie orientale, Yémen, Soudan, Iran, Mer Noire, Comores, Erythrée – Anna Puig Rosado a d'abord travaillé pour la presse magazine parisienne tout en développant son travail d'auteur. Elle expose en France et dans le monde – Japon, Turquie, Yémen, Angleterre, Allemagne – et partage sa passion en animant des ateliers photos pour adultes et enfants dans la Drôme (à la Roche Saint Secret) à l'atelier Bildo ainsi que dans les écoles ou les institutions.

 

www.annapuigrosado.net

 

 

 

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Inside Views, Istanbul

© Floriane de Lassée

 

 

 

« Inside Views, Istanbul »

photographies de Floriane de Lassée

Jusqu'au 30 août 2014
Théâtre Liberté
Grand Hôtel - Place de la Liberté
83000 TOULON

Du mardi au samedi de 11h à 19h

"Certaines se promènent en ville avec des talons aiguilles, la nuit, les bas-fonds, le souffle d'une vie secrète, d'autres portent une chambre noire pour saisir l'instant fugitif. Floriane de Lassée voit Istanbul le soir, après le coucher du soleil, comme si l'obscurité avait le pouvoir de nous montrer autre chose. Saisir une telle ville n'est pas facile. Istanbul s'étend sur deux continents, de l'Europe à l'Asie, entre le Bosphore et la mer Noire, soit la conjugaison de plusieurs mondes en un lieu unique. On dit qu'Istanbul est une cité féminine, ses photographies la montrent plutôt insolente. Une ville dans la ville, celle de ses clairs obscurs qui nous permettent d'espérer la révélation d'un amour incertain. Car la vie en Turquie est bien cette opposition des univers, l'intime contre le public, la vie de la maison et celle de la rue. Avant d'entrer chez les gens, on se déchausse, afin de s'alléger des symboles du monde extérieur. Comme cette jeune femme qui s'endort sous le dôme des églises et des minarets. Il ne s'agit pas d'une contradiction, ni même d'une provocation, mais d'une sorte de continuité: le repos, l'attente de l'amant, une cigarette que l'on fume sur un balcon, un drap étendu, une cité qui revit la nuit. Ses lumières forment un océan dont Floriane de Lassée en serait la vigie."

Sébastien de Courtois

 

www.florianedelassee.com
www.theatre-liberte.fr

 

 

 

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Istanbul : fragments

© Laleper Aytek

 

 

 

« Istanbul : fragments »

photographies de Laleper Aytek

Jusqu'au 30 août 2014
Théâtre Liberté
Grand Hôtel - Place de la Liberté
83000 TOULON

Du mardi au samedi de 11h à 19h

"Avec ces photographies d'Istanbul, j'ai essayé de dessiner la vie d'une ville aux multiples couches. Fragments parle d'Istanbul, une ville dans laquelle je suis née, dans laquelle j'ai grandi et dans laquelle je vis depuis plus de quarante ans, mais de laquelle j'ai été séparée à deux reprises. Fragments est une trace, un instant passé presque inaperçu pendant cette période qui a été remplie d'histoires. Ce sont les instants, les détails, sans lien les uns avec les autres d'une ville dont j'essaie de toucher l'âme à travers ces fragments. Certains fragments sont calmes, d'autres en colère, colorés, désespérés, obscurs ou distants et certains sont cachés..."

Laleper Aytek

 

www.laleperaytek.com
www.theatre-liberte.fr

 

 

 

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Quotidien d'une année revu et transformé

"Arbre à Papillon" Anesofie ©

 

 

 

« Quotidien d'une année revu et transformé »

Photo-collages de Anesofie

Du 08 juillet au 16 août 2014
Restaurant l'Auberg'in
3 rue des Taules
26200 Montélimar

Ouvert du Lundi au Samedi midi
& le vendredi et samedi soir

Présentation de mon nouveau travail de photos-collages, d'après la série de photographie "Quotidien d'une année". Travail entièrement manuel.

9 oeuvres sont exposées jusqu'au 16 août.

 

www.anesofie-creations.blogspot.fr
www.laubergin-montelimar.fr

 

 

 

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L'appui du vent

photographie © Magali Ballet - sleeping trees 2014

 

 

 

« L'appui du vent »

photographies de Magali Ballet - Oeuvres sur papier d'Odile fix

Du 19 juillet au 21 Août
L'archipel sur le lac.
Les charrières
71110 Marcigny

Tous les jours de 10 heures à 18 heures, et sur RDV.

Les images de Magali Ballet sont inspirées d'une mémoire naturelle de territoires et paysages de temps où se manifestent la matière organique et cosmique.

La langue des forêts, des eaux et des sentiers nous conduit à ces lisières, frontières incertaines au milieu du ciel, à des lumières qui ne ressemblent ni au jour, ni à la nuit.

Il s'agit ici d'entrer en contemplation pour déchiffrer les traces laissées par la mémoire d'une présence sans cesse pressentie et toujours absente. Ces images contiennent toutes les lueurs ombreuses des matins ou des soirs traversées de murmures, de tremblements.

Les photographies s'organisent en séries d'images et unités de préoccupations. Ici trois extraits de séries seront présentés pour s'accorder aux papiers d'Odile Fix :

« d'autres nuits », « au delà du violet » et « sleeping trees ».

A l'occasion de cette exposition un livre d'artistes sera présenté, avec des œuvres sur papier d'Odile Fix, des images tirées sur papier japon de Magali Ballet et un poème inédit d'Erwann Rougé.

 

www.magaliballetphotographies.blogspot.fr
www.monarchipel.free.fr

 

 

 

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Intermission

Photographie © Fabien Bruno Dupont

 

 

 

« Intermission »

Photographies de Fabien Bruno Dupont


Galerie Grand Angle
10 avenue de Royat
63122 Ceyrat

Ouvert du mardi au samedi de 10h à 19h

Mettre en abîme un sujet, le transporter dans un autre contexte que celui d'un espace réel. Provoquer un regard sur ce que l'on ne veut pas voir et percevoir. Cachées pendant plusieurs années, ces façades échappent à la vue. Le temps éphémère d'une destruction et d'une reconstruction, d'un intérieur et d'un extérieur, elles déplient les espaces et les remodèlent dans l'architecture du cadre photographique. Les empreintes, les traces, les écorchures, forment une écriture qui dépasse le plan et le volume et nous raconte des histoires qui se couvrent, se recouvrent, se découvrent. La photographie immortalise des temps théoriquement éphémère.

 

www.fabiendupont.fr
www.facebook.com/pages/Grand-angle

 

 

 

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Only God Can Judge Me

Photographie © Matthieu Gafsou

 

 

 

« Only God Can Judge Me »

Photographies de Matthieu Gafsou

Du 4 juin au 24 août
Musée de l'Elysée
18, avenue de l'Elysée
1014 Lausanne - Switzerland

Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h.
Tarifs
Entrée : CHF 8 AVS : CHF 6 AI, étudiants, apprentis, chômeurs : CHF 4
Entrée libre le premier samedi du mois.

Lauréat du prix de la Fondation HSBC pour la photographie en 2009, sélectionné pour l'exposition reGeneration2 du Musée de l'Elysée l'année suivante, le photographe lausannois Matthieu Gafsou s'est distingué par son approche formelle et critique du paysage urbain contemporain.

Ses travaux suivants, tels que Alpes (2008-2012), recueil de vues questionnant le statut du paysage alpin marqué par le développement du tourisme, l'ont confirmé dans la profession. Plus récemment, son projet Sacré (2011-2012), sorte d'enquête photographique équivoque sur l'Eglise catholique de Fribourg, annonçait une nouvelle orientation dans son travail. Le Musée de l'Elysée a décidé de soutenir le photographe dans ses recherches personnelles en produisant et présentant en avant-première sa nouvelle série Only God Can Judge Me.

Inspiré par les écrits d'Antonin Artaud ou de William T. Vollmann, Matthieu Gafsou cherche à « trouver de la poésie dans la misère du monde ». Il choisit pour sujet le milieu de la drogue à Lausanne, « forme tragique d'exotisme à côté de chez lui », et parvient à créer une oeuvre originale sur un sujet pourtant banalisé.

Le projet rassemble plusieurs thématiques traitées suivant des registres formels distincts. Les drogues et accessoires sont reproduits comme des produits de consommation, en gros plan sur un fond uniforme. Photographiés sur fond noir, avec des effets de lumière soignés, les portraits des toxicomanes se distinguent par leur traitement quasi pictural inspiré de la tradition du portrait. Les lieux de rencontre ou de consommation sont particulièrement travaillés, jusqu'aux paysages nocturnes évoquant les paradis artificiels. Et des images quasi abstraites, allégories de la faculté des drogues à transcender le réel, complètent cet ensemble.

En développant un langage visuel riche et varié, mêlant différents degrés de représentations et d'interprétations, Matthieu Gafsou parvient à créer une véritable expérience sensible.

 

www.gafsou.ch
www.elysee.ch

 

 

 

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4948 : les photographies anonymes de la collection

Anonyme

 

 

 

« 4948 : les photographies anonymes de la collection »

Collections du Musée de l'Elysée

Du 4 juin au 24 août 2014
Musée de l'Elysée
18, avenue de l'Elysée
1014 Lausanne - Switzerland

Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h.
Tarifs
Entrée : CHF 8 AVS : CHF 6 AI, étudiants, apprentis, chômeurs : CHF 4
Entrée libre le premier samedi du mois.

Dans les collections du Musée de l'Elysée, il y a 4'948 photographies sans auteur, sans date, généralement sans informations sur les circonstances de leur création, parfois sans noms de lieu ni de personne. Donc sans inscription claire dans le temps et l'histoire. Que se passe-t-il lorsque ce lien n'existe pas et que le lecteur est placé seul devant une photographie au sujet de laquelle il n'a aucune certitude, puisqu'il ignore les circonstances de sa création ?

Sans la connaissance – vraie ou fausse – transmise par les mots, c'est l'interprétation personnelle qui oriente la lecture d'une image, c'est la culture du lecteur et sa conscience politique qui lui donnent un sens possible. L'émotion ressentie devant une image sans informations est forte, parce qu'elle devient intime ; le lecteur doit se l'approprier.

La photographie est une trace, une apparence ambiguë, mais aussi la boîte de Pandore de vérités possibles. La photographie n'est pas, loin s'en faut, un langage universel inné, ni une preuve. Sa lecture est au contraire le résultat d'une construction, à partir de codes sociaux et culturels qui s'apprennent et se transmettent.

De l'improbable, le lecteur construit une légende, invente une histoire qui le relie à l'image, ou du moins à ce qu'il peut ou veut en entendre : un sens chuchoté. La beauté, l'étrangeté, l'incongru, l'ironie ou la cruauté, par exemple, habillent nos repères existentiels. Cette exposition est l'occasion de vivre cette expérience en découvrant les beautés et les mystères de l'anonymat.

 

www.elysee.ch

 

 

 

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CCCC (Castro, Coca, Che, Cherchez la femme)

photographie © Luc Chessex

 

 

 

« CCCC (Castro, Coca, Che, Cherchez la femme) »

Photographies de Luc Chessex

Du 4 juin au 24 août 2014
Musée de l'Elysée
18, avenue de l'Elysée
1014 Lausanne - Switzerland

Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h.
Tarifs
Entrée : CHF 8 AVS : CHF 6 AI, étudiants, apprentis, chômeurs : CHF 4
Entrée libre le premier samedi du mois

Luc Chessex vécut de 1961 à 1975 à Cuba. Membre de l'agence Prensa Latina, éditeur photo à la revue Cuba internacional, il a été un témoin engagé de la révolution. Le Musée de l'Elysée présente quatre séries de photographies de son séjour : Cherchez la Femme, Le Visage de la Révolution, Che et Coca.

L'exposition est réalisée à partir de nombreux tirages originaux, de publications, d'articles de presse et d'un livre inédit sur la femme cubaine. Cherchez la Femme, présenté à La Havane en 1966, est un travail sur la femme cubaine, au-delà du discours politique. C'est également une réflexion sur la photographie, présentée à La Havane sous le titre de « photo- mentir », à l'encontre des idées reçues de la photographie comme « miroir du monde ».

Le Visage de la Révolution a été publié en 1969 par l'éditeur suisse Hans-Rudolph Lutz. Il s'agit d'un essai sur la représentation de Fidel Castro sur les murs, sur les affiches et dans l'iconographie populaire. Luc Chessex évite toute propagande en accompagnant son travail d'« anti-légendes », laissant le public interpréter librement ses images. Ce qui permet une lecture très contemporaine de son travail.

Les séries Che et Coca font partie du projet Quand il n'y a plus d'Eldorado, une rétrospective du photographe publiée en 1982. La première suit les traces boliviennes du Che, la seconde porte sur l'image iconographique de Coca-Cola. Ces deux figures se partageaient symboliquement l'espace public, le mythe le disputant à la publicité dans une confrontation ironique.

Quand il n'y a plus d'Eldorado, un film de Claude Champion (1980), avec des textes de Jacques Pilet et réalisé à partir des photographies de Chessex, sera présenté en continu durant l'exposition. Le DVD du film est disponible à la librairie du Musée.

L'exposition est une coproduction du Musée de l'Elysée et de la Fondation A Stichting de Bruxelles.

 

www.photopera.org/e/luc_chessex
www.elysee.ch

 

 

 

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Suzanne

Photographie © Christine Smilovici

 

 

 

« Suzanne »

Photographies de Christine Smilovici

Du 30 avril au 26 juillet
La Fabrique de l'image
2 rue de l'Oratoire
07400 Meysse

Du mercredi au samedi
De 16h à 19h

« en dessous, quelque chose comme une sérénité secrète liée à l'ancrage dans l'espace, à l'encrage sur la croix, de cette mort qui cessait enfin d'être abstraite »

Georges Perec, W ou le souvenir d'enfance.

Quand, fille de ma mère, je reçus d'elle, il y a quelques années, la maison de Villaines-les-Rochers, je savais que j'héritais de beaucoup.

Cette petite maison aux toits bleus et aux volets blancs, sertie de tuffeau dans le modeste creux d'un val, avait observé, en d'autres temps, une autre vie. Elle avait vu naître ma grand-mère, et l'avait vue mourir.

Dans la petitesse de ses murs, une vie s'était tenue, et l'avait empreinte.

Il en restait encore des traces, d'ailleurs : quelques derniers vêtements, un mobilier pauvre, des objets simples.

Et jamais l'absence ne me semblait aussi tangible.

Depuis cette disparition, je séjourne régulièrement dans cette maison, accompagnée de ma mère et de ma fille.

 

www.chsmiloc.wix.com
www.fabrique-image.fr

 

 

 

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Beatrix von Conta

Le Grand écart - La Martre, Gaspésie, Québec, 2011
© Beatrix von Conta - Courtesy Galerie Le Réverbère, Lyon

 

 

 

« Le Grand écart / L'Eau barrée »

Beatrix von Conta

Du 25/04/2014 au 26/07/2014
Galerie Le Réverbère
38 rue Burdeau
69001 LYON

Du mercredi au samedi de 14h à 19h
Entrée gratuite

Les images prolifèrent aujourd'hui à une vitesse inouïe sur des supports sans cesse nouveaux. La photographie, pourtant, reste une énigme. Inlassablement et avec bonheur, je reviens vers sa simplicité trompeuse, sa mince surface silencieuse et l'évidence de sa complexité. Regarder le paysage me demande du temps. Sous quelle forme re-présenter autrement ce qui s'offre à la vue sous une effarante banalité ? Dans le kaléidoscope des possibles, le moindre clignement des paupières, une ombre qui passe, fait voler en éclats ce qui semblait provisoirement stable dans un cadrage choisi. Rien ne s'impose d'emblée, mais tout pourrait se révéler.

Mon attention se porte davantage vers ce qui exprime, aujourd'hui, le difficile rapport de l'homme à la nature, cette cohabitation parfois durement négociée avec ses incohérences et maladresses. D'où vient mon émotion face à des espaces dont l'hétérogénéité, l'incohérence, les failles visibles, peuvent inspirer plutôt le refus que l'adhésion ? Comment cela se fait-il que j'y décèle une beauté particulière ? Mais peut-être pourrais-je tout simplement dire que j'aime ces paysages-là, que leurs défauts sont les stigmates d'une histoire, du temps présent, et que cette histoire est aussi la mienne. Un miroir à double lecture. J'ai la sensation que le réel est recouvert d'une peau d' « images » d'une fragilité incroyable. Et qu'en photographiant ces lambeaux-là, je constitue une impossible « collection » d'instants uniques et précieux que je tente d'extraire de l'oubli à venir. L'homme semble avoir déserté ces paysages-là, pourtant, comme disait Cézanne, « L'homme est absent, mais tout entier dans le paysage ». Au fond, c'est cela le paysage pour moi et c?est pour cette raison que je trouve la confrontation avec lui absolument passionnante.

 

http://www.galerielereverbere.com

 

 

 

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Holy creatures

Photographie © Robert Ramser

 

 

 

« Holy creatures »

Photographies de Robert Ramser

Du 5 juin au 26 juillet 2014
Galerie Fotografika
10 rue Borgeaud 1196 Gland Suisse

Ouvert du lundi au samedi de 9h à 12h et de 14h à 18h30 sauf mardi matin et samedi après midi.
Fermé du 7 au 12 juillet (Rencontres d'Arles)

Depuis ma première visite en 1978, je voyage régulièrement dans le sous-continent indien, m'efforçant de traduire en images mes émotions ainsi que mon profond intérêt pour cette région et ses habitants.

En novembre 2012, je découvris dans la chaleur d'un musée de Mumbai, une série de miniatures illustrant les anciennes fables du Panchatantra, peuplées d'animaux aux comportements anthropomorphes dans des décors de palais mogols et de végétation tropicale.

Inspirée de l'exquise façon dont ces artistes peignaient les animaux ainsi que de la parfaite composition des miniatures, cette série d'images témoigne de la relation particulière que les indiens entretiennent avec les bêtes qu'ils nourrissent et cajolent chaque jour. Car dans la philosophie hindouiste, chaque être vivant, qu'il soit animal, arbre ou plante, est une âme incarnée dans un corps matériel, une créature des dieux.

Tirages réalisés par l'auteur sur papier argentique baryté, virés sélénium/sépia garantissant ainsi des conditions d'archivage optimales.

Série limitée à 12 exemplaires.

 

www.robertramser.com
www.fotografika-gallery.com

 

 

 

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Suzanne - saison 1 & 2

 

 

 

« Suzanne - saison 1 & 2 »

Photographies de Christine Smilovici

Parution :mai 2014
Edition FluxTendu

Format 9 cm x 13,5 cm
16 pages
Impression sur papier mat,
couverture souple avec rabats
Réalisation La fabrique de l'image
Prix de vente 15 euros la saison

Se souvenir de Suzanne.

Nous installer chez elle, manger à sa table puis dormir dans son lit

Porter son vieux pull puis sa blouse bleue

Refaire ses promenades, mettre nos pas dans les siens.

Lui prêter nos corps pour qu'ils réinventent sa vie.

 

www.chsmiloc.wix.com/christine-smilovici
www.edition-fluxtendu.fr

 

 

 

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Nègre comme neige

Fabrice Mouyon © wwww.fabricemouyon.com

 

 

 

« Nègre comme neige »

Exposition de Fabrice Mouyon

Du 11 juillet 2014 au 03 août 2014
Dans différents lieux du village
Vieux village
quartier Les Pérouses
26400 Cobonne

Expositions gratuites

Nègre comme Neige est un spectacle dansé de Lionel Frédoc et mis en texte par David Tacita. J'ai suivi de près ce spectacle et je l'ai vu à plusieurs reprises. Ce fut, dès la première fois, une expérience qui m'a étonné par la force du texte, des mouvements de danse et les enjeux du spectacle. A partir de ce spectacle, j'ai réalisé une série photographique que je vous propose de découvrir au village de Cobonne.

Cette exposition se déroule dans le cadre de l'événement « Les Alters'Natifs à Cobonne » du 11 juillet au 3 août.

 

wwww.fabricemouyon.com
www.collectif-made.wix.com/les-alters-natifs
http://collectif-made.wix.com/les-alters-natifs#!les-altersnatifs--cobonne/c17fe

 

 

 

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Nuits photographiques de Pierrevert

Photographie © Sacha

 

 

 

« Nuits photographiques de Pierrevert »

6 émes édition

Du 25 au 27 juillet 2014

Créé en 2008 par une bande de passionnées, le festival des Nuits Photographiques de Pierrevert a pour objectif de provoquer des rencontres entre des photographes de renommée internationale et de jeunes talents prometteurs auxquels le festival souhaite apporter confiance et visibilité. Basé sur le double signe convivialité-qualité, il permet d'accéder à une sélection talentueuse tout en offrant une grande proximité entre le public, les artistes et les habitants de Pierrevert.

Chaque année, l'évènement est parrainé par un grand nom de la photographie (Les 4 premières éditions furent ainsi successivement parrainées par Peter Knapp, Oliviero Toscani, Steve Hiett, Hans Feurer et Jean Daniel Lorieux)

Pour l'édition 2014, nous aurons donc le plaisir d'accueillir la photographe Sacha Van Dorssen qui nous fait l'honneur d'être notre marraine.

 

www.pierrevert-nuitsphotographiques.com

 

 

 

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Des Chiffres, Un Visage

© Bertrand Gaudillère

 

 

 

« Des Chiffres, Un Visage »

Photographies de Bertrand Gaudillère

Jusqu'au 26 juillet
Galerie Le bleu du ciel,
12, rue des Fantasques
Lyon 69001

Ouvert du mercredi au samedi de 14h00 à 19h00 et sur rendez-vous pour les groupes

"Des Chiffres, Un Visage", c'est avant tout le récit d'une lutte. Celle d'un homme, Guilherme, migrant angolais sans papiers, qui se bat pour continuer à vivre en France. Celle de centaines d'anonymes qui ont décidé de s'élever collectivement contre la politique du chiffre.

C'est aussi le travail du photographe Bertrand Gaudillère qui s'est attaché à rendre compte des multiples épisodes qui construisent cette histoire singulière où l'acharnement de l'administration n'a d'égal que la détermination collective pour mener à bien un combat contre l'arbitraire.

En France, sous la présidence de l'UMP, le nombre d'étrangers arrêtés pour infraction à la législation sur le séjour est passé de 62 233 en 2002 à 119 761 en 2008, soit une hausse de 92 %.

Double exposition : présentation des travaux de fin d'année de élèves de l'Ecole BLOO

Inès Ben, Damien Brailly, Basile Le Cleac'h, Thomas Merle, Laure Samama, Aymeric Syre, Adrien Vargoz

Date : Jusqu'au samedi 26 juillet 2014

 

www.collectifitem.com
www.lebleuduciel.net

 

 

 

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Water, Women, Sensuality

© Claude Guillaumin

 

 

 

« Water, Women, Sensuality »

Photographies de Claude Guillaumin

Du 15 juillet au 9 août 2014
MUST GALLERY
6 place du chateau
84220 Gordes

Qui est Claude Guillaumin ? Un amoureux de la femme, un peu voyeur et Pygmalion ? Sans doute. Mais qui ne l'est pas dans cette profession dont le décor n'est fait que de corps ou de visages désirables ? Une pensée le différencie des autres, peut-être. Un certain souci de toujours trouver "la" vérité de chacune de ces filles-fleurs du même modèle qui hantent le métier. Ses filles, Guillaumin ne les veut pas seulement belles, il les veut "habitées". Il nous explique : « J'aime trouver les débutantes, les sortir d'elles-mêmes, les forcer à se surpasser, à se sublimer, à se livrer comme dans l'amour. Certaines se laissent faire, d'ailleurs conscientes de ce besoin de se donner et lassées d'être le même visage inexpressif que quinze photographes enregistrent invariablement de la même façon. »

 

www.claude-guillaumin-photo.book.fr
www.must-in-provence.com

 

 

 

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L'Homme à la valise

© Paolo Ventura

 

 

 

« L'Homme à la valise »

Photographies de Paolo Ventura

14 juin – 27 juillet 2014
Studio Fotokino
33 allées Léon Gambetta,
Marseille 1er

Exposition ouverte du mercredi au dimanche de 14h à 18h30

Artiste pluridisciplinaire, Paolo Ventura utilise la photographie afin de documenter une réalité fictive façonnée de ses propres mains. Les décors minutieusement construits dans son atelier se transforment le temps d'un cliché en villes, rues, bâtiments et intérieurs qui accueillent des personnages traînant avec eux leurs histoires intimes, comme suspendus dans un temps immobile. « J'utilise la photographie car face à la photographie, on a toujours le sentiment que ce que l'on voit est réel – quand bien même ont sait qu'il s'agit d'une maquette ou d'un décor. Quand vous allez voir un film, vous savez que tout y est fabriqué, mais vous pleurez, vous riez, vous êtes émus. Les gens veulent croire à ce qu'ils voient dans les films. »

Semblables à des tableaux photographiques, les paysages brumeux de Ventura figent et entremêlent rêve, fiction et souvenirs d'enfance, pour transporter le spectateur dans un espace merveilleux et mélancolique. Dans ces théâtres d'un autre temps, les personnages trop maquillés et leurs cités de carton-pâte évoquent le monde des cabarets, les arts populaires, l'Italie des années 1920 et les villes du nord du pays qui, comme chez le Fellini d'Amarcord, semblent plongées dans un hiver sans fin.

Si ces univers de peu nous évoquent tant d'images familières, c'est que Paolo Ventura se nourrit autant de sa mémoire que de celle à l'œuvre chez bien d'autres artistes, écrivain ou peintre. « Je suis très inspiré par certains auteurs italiens comme Bassani, Fenoglio, Pavese, ou par les écrivains italiens des années 1920 aux années 1960. Par les peintres de la Scuola Romana... mais surtout, je dois beaucoup à un peintre italien des années 1920, Antonio Donghi. » Chez Donghi comme chez Paolo Ventura, on retrouve la beauté de l'ordinaire, l'élégance simple des corps et une profonde humanité.

Imaginée pour le Studio, L'Homme à la valise présente des photographies issues de trois séries : la plus récente, Le Storie (2013), est un ensemble de séquences assemblées comme des petites histoires en quelques images. Elle est accompagnée d'une sélection de photographies de Winter Stories (2008) et L'Automa (2011). Des éléments de décor peints, costumes et livres uniques accompagnent les œuvres.

 

www.paoloventura.com
www.fotokino.org

 

 

 

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Regards Posés. Hammams de la Médina de Tunis

Avec les photographes Mohamed Amine Abassi, Sophia Baraket, Aglaé Bory, Hamideddine Bouali, Marianne Catzaras, Mahdi Chaker, Nesrine Cheikh-Ali, Chehine Dhahak, Rania Dourai, Hichem Driss, Arnaldo Genitrini, Pol Guillard, Yassine Hakimi, Max Jacot, Arthur Perset, Jacques Pion, Anna Puig Rosado, Aziz Tnani et Patricia Triki.

 

 

 

« Regards Posés. Hammams de la Médina de Tunis »

L'association L'Mdina Wel Rabtine-Actions citoyennes en Médina présente une exposition photographique inédite des hammams historiques de la Médina, du 11 au 30 Juillet 2014, au Musée de la Ville de Tunis, Palais Kheireddine.

DU 11 AU 30 JUILLET 2014
AU MUSEE DE LA VILLE DE TUNIS, PALAIS KHEIREDDINE

Musée de la Ville de Tunis – Palais Kheireddine
Place du Tribunal – Médina de Tunis
Tel : +216 71 561 780
Horaires d'ouverture : de 10h00 à 14h00 et de 21h30 à 23h30

Menée en partenariat avec la Maison de l'Image et avec le soutien précieux de l'Ambassade de Suisse en Tunisie et de l'Institut Français de Tunisie, l'exposition « Regards Posés. Hammams de la Médina de Tunis » réunit les oeuvres de 19 photographes tunisiens et européens, professionnels et amateurs, et donne à voir la réalité d'un patrimoine en péril.

Il s'agit de Mohamed Amine Abassi, Sophia Baraket, Aglaé Bory, Hamideddine Bouali, Marianne Catzaras, Mahdi Chaker, Nesrine Cheikh-Ali, Chehine Dhahak, Rania Dourai, Hichem Driss, Arnaldo Genitrini, Pol Guillard, Yassine Hakimi, Max Jacot, Arthur Perset, Jacques Pion, Anna Puig Rosado, Aziz Tnani et Patricia Triki.

Introduits par l'association, les photographes ont eu accès à un ou plusieurs hammams, en activité ou abandonnés, souvent peu connus du grand public, et dont certains remontent au moyen âge. Les 114 images sélectionnées ainsi que les recherches de terrain exposées par l'association tirent de l'oubli un patrimoine riche et méconnu et nous font redécouvrir l'architecture diversifiée de ces hammams ainsi que les usages, les mythes et les rituels ancestraux qui peuplent l'imaginaire collectif. A l'heure où le phénomène de dégradation de ces bains semble s'accélérer, le projet photographique cherche à combler le vide iconographique des hammams de Tunis et plaide pour une protection vigilante et une sauvegarde créative. En effet, sur les 50 hammams historiques signalés au XIXème siècle dans le cahier des taxes municipales (Kharruba) et cartographiés en 2013 par l'association, seuls 26 hammams ont pu maintenir leur activité. 17 ont été détruits et 7 autres sont fermés.

Selon les membres de l'association, des entretiens approfondis avec les propriétaires, tenanciers et personnels des hammams ont mis en exergue les difficultés majeures et les obstacles nouveaux grevant leur activité dont les charges élevées d'entretien et de chauffage ainsi que la transmission du métier et du savoir-faire aux jeunes générations. Cela laisserait présager la disparition de ces lieux historiques pendant la prochaine décennie.

L'exposition « Regards Posés. Hammams de la Médina de Tunis » alimentera une banque d'images ainsi que divers projets d'édition, de communication et de plaidoyer pour sensibiliser les décideurs et le grand public à la valeur indéniable de ce patrimoine et à la nécessité de le sauvegarder. Ce projet photographique s'inscrit dans une initiative globale de valorisation des hammams, comprenant des interventions multiples s'appuyant sur l'engagement des habitants de la Médina : prise de connaissance des techniques de réhabilitation durable, renforcement des capacités de gestion, recherche, inventaire et information des diverses parties prenantes, appui institutionnel, concertation citoyenne et mobilisation des médias. L'association L'mdina Wel Rabtine-Actions citoyennes en Médina, a été créée en janvier 2012. Elle réunit des habitants, commerçants, passionnés et amoureux de la Médina de Tunis, ainsi que des chercheurs et des artistes, autour d'une vision partagée de gouvernance démocratique du patrimoine. L'Mdina Wel Rabtine se mobilise pour consacrer pleinement la participation des citoyens ordinaires, premiers dépositaires de ce patrimoine, dans la définition des enjeux et des moyens de sauvegarde en Médina, domaine jusque-là longtemps réservé aux spécialistes.

Les projets de l'association se veulent multidisciplinaires, innovants et participatifs, cherchant à expérimenter des approches créatives de sauvegarde du patrimoine.

Exposition menée en partenariat avec la Maison de l'Image, avec le soutien précieux de l'Ambassade de Suisse en Tunisie et de l'Institut Français de Tunisie et en coopération avec la Ville de Tunis, le Palais Kheireddine et l'Association de Sauvegarde de la Médina de Tunis.

 

http://www.facebook.com/mdinawelrabtine

 

 

 

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Flower Power

© Eric Meylan

 

 

 

« Flower Power »

Photographies d'Eric Meylan

Du 8 août au 10 août 2014
Le Clos du Buis
Rue Victor Hugo
84480 Bonnieux

10 à 12h et 17 à 20h.

Exposition brève, organisées par l'Association Artothèque

« Si Dieu n'avait fait la femme, il n'aurait pas fait la fleur » (Victor Hugo).

Ces photos parlent des femmes et des fleurs, de la beauté des de?tails, du lien entre les femmes et les fleurs. Cette recherche nous emmène sur les chemins de la beauté, de la fragilité, de la sensualité, de l'e?rotisme mais aussi de l'innocence.

De même qu'il y a tout l'univers dans une cellule, on de?couvre tout l'univers dans une seule fleur, ou dans un œil, une oreille ou la bouche d'une femme !

 

www.eric-meylan.ch
www.focale.ch
www.ssbart-geneve.ch

 

 

 

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Portrait(s)

Warhol © Bernard Pras

 

 

 

« Portrait(s) »

Exposition de Bernard Pras

Du 12 juin au 12 juillet 2014
AD Galerie
40 Allée Giacometti
34000 Montpellier?
Tél/Fax : 04 67 83 61 93
Mobile : 06 61 55 67 55 / 06 12 25 50 24

Horaires d'ouverture :?Du mardi au samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h

Bernard Pras recueille des objets propres à son quotidien, objets auxquels il redonne vie dans un monde qui appartient à son imaginaire. L'artiste s'entiche de vélos, coquillages, poupées, mickeys, trains, pinceaux ou boutons... De ces accumulations, il crée d'invraisemblables portraits par anamorphose.

Ce qui caractérise l'oeuvre de Bernard Pras, c'est l'absence de vide, il pose ses jouets par milliers avec une surprenante justesse selon des codes chromatiques dont il est roi.?L'artiste donne à voir ses œuvres à travers un point de vue qu'il détermine préalablement tel un punctum.

Ces compilations aux multiples facettes dévoilent tout leur sens une fois photographiées sous un angle précis où brusquement les objets s'effacent pour laisser place au visage imaginé par l'artiste.?Cette recherche de l'angle de visée l'apparente à l'anamorphose qui est le fil conducteur de la création de Bernard Pras.

Ici, c'est l'illusion et la magie de l'optique qui opère... pour une exposition exceptionnelle !

A l'occasion de l'exposition, AD Galerie édite un livre présentant des œuvres qui n'ont jamais été répertoriées.

 

www.bernardpras.fr
www.adgalerie.com

 

 

 

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Corps-histoire

© BLANC ET DEMILLY

 

 

 

« Corps-histoire »

ANONYMES, THÉODORE BLANC & ANTOINE DEMILLY, JACQUES-ERNEST BULLOZ, JOHN COPLANS, MARC DESGRANDCHAMPS, ROLAND FISCHER, JEAN-FRANÇOIS GAVOTY, BEN HANSEN, ON KAWARA, ERNST LUDWIG KIRCHNER, WILLIAM KLEIN, JEAN ROSSET, GERDA STEINER & JÖRG LENZLINGER, YAN PEI-MING

DU 12 AVRIL AU 6 JUILLET 2014
Espace d'Art François-Auguste Ducros
Place du Jeu de Ballon
26230 Grignan

VERNISSAGE VENDREDI 25 AVRIL 2014 A 18H30.
Ouvert du mercredi au dimanche, de 14h à 19h.
Entrée libre.
Accès aux personnes à mobilité réduite.
Accueil des scolaires et des groupes, visites guidées, dossiers pédagogiques.
Renseignements : 06 80 53 40 58
espace_ducros@orange.fr

L'exposition Corps-histoire s'inscrit dans le cadre de la thématique du Festival de la Correspondance 2014 de Grignan, 1914, de la Belle Époque à la guerre. Elle réunit une sélection d'œuvres de la Collection IAC, Rhône-Alpes, puisées notamment parmi quelques peintures et sculptures à la forte singularité ainsi que dans son important fonds photographique, dont les premières images, souvent anonymes, remontent au XIXe siècle.

Sélectionnées autour de la question du corps, les œuvres s'articulent en trois temps, trois espaces, et restituent la traversée des époques, de la volupté de la Belle Époque à la libération des années d'après-guerre, en passant par les traumatismes générés par les conflits.

Moins dans une représentation littérale que dans une expressivité allégorique, les œuvres choisies portent une attention à l'humain dans ses capacités à regarder en face et à transcender le tragique de l'histoire : corps sensuels, corps résilients, corps délivrés.

Une exposition présentée par l'Institut d'Art Contemporain Villeurbanne / Rhône-Alpes, en partenariat avec la Ville de Grignan.

 

www.espace-ducros.blogspot.fr

 

 

 

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Cadavre Husky

© Brest Brest Brest

 

 

 

« Cadavre Husky »

Exposition du collectif Brest Brest Brest

Du 23 mai au 27 juin 2014
My monkey
15 r du Fbg des 3 Maisons
54000 Nancy (France)

Les travaux de Brest Brest Brest opèrent par glissement, ils s'emploient à déplacer le regard, à nous prendre par la main pour faire le trajet d'un point identifié vers un autre. Parfois ce glissement se fait en ski, à pied, en mobylette, mais toujours vers une forme d'inconnu où la part d'accident est importante. Brest Brest Brest désarticule, démonte des échantillons d'imageries populaires pour leur offrir une nouvelle logique. Quelle que soit la nature de leurs travaux, il est toujours question de rencontre entre évidence et bizarrerie. L'exposition à My Monkey fera état d'une partie de leurs réalisations, mélangeant joyeusement commandes et recherches.

Brest Brest Brest n'est pas de Brest mais de Crest. On saute du B au C comme on saute du coq à l'âne, avec décontraction mais savoir-faire et intelligence, dans un pêle-mêle organisé, une logique spontanée, potache et déridante. Le trio drômois traduit, en particulier dans ses travaux de recherche, son espiègle impertinence par une pertinence graphique désinvolte mais assumée, maîtrisée, appuyée par un esprit d'autodérision qui leur permet de tout se permettre.

 

www.brestbrestbrest.fr
www.mymonkey.fr

 

 

 

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Réminiscences (volet 2)

 

 

 

« Réminiscences (volet 2) »

Photographies de Daniela Roman

Du 20 mai au 21 juin 2014
Grand Angle, galerie photo (2ème étage)
CCial Intermarché La Rotonde
10 Avenue de Royat
63122 Ceyrat

Du mardi au samedi de 10h à 19h
Entrée libre

Pour sa huitième exposition, Grand Angle présente pour la seconde fois en Auvergne le travail de Daniela Roman, qui partage actuellement sa vie entre Paris et les États-Unis. Il s'agit ici du deuxième volet de Réminiscences, qui avait été programmé à la galerie au mois de novembre dernier.

Nous retrouvons ici les recherches photographiques qui lui sont propres, toujours empreintes d'une grande sensibilité picturale, et mettant en exergue un monde onirique et graphique. Mais également sa volonté d'entrainer le regardeur vers une expérimentation émotionnelle, accentuée notamment par ses recherches sur les procédés anciens et la technique des virages.

Le second volet de Réminiscences regroupe deux séries photographiques prises aux États-Unis: Enjoy California et une continuation de la série The Hamptons.

Abordées comme deux histoires en noir et blanc, elles sont, comme souvent dans le travail de cette photographe, des impressions-associations captées par la caméra. Deux séries intimistes donc, l'une construite comme un road photo de l'Ouest américain s'ouvrant sur la route mythique jusqu'à l'exploration de la ville fantôme de Bodie; l'autre brossant un nouveau portrait singulier de sites des Hamptons, où matières, lumières et virages photographiques se rencontrent pour créer une étrange alchimie.

L'exposition est à découvrir du 20 Mai au 21 Juin 2014, du mardi au samedi de 10h à 19h ou sur rendez-vous, à la Galerie Grand Angle.

 

www.danielaroman.com
www.facebook.com/pages/Grand-angle/

 

 

 

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Photographie et cinéma

© Vivian Maier

 

 

 

« Photographie et cinéma »

Un événement Présence(s) photographie

du 4 au 10 juin 2014
Cinéma " Les Templiers "
26200 Montélimar

LA SEMAINE PRÉSENCE(S) PHOTOGRAPHIE ET CINÉMA, du 4 au 10 juin. Créé en partenariat avec le cinéma d'art et essai LES TEMPLIERS, cet événement a pour objectif de croiser le regard de l'image fixe et de l'image en mouvement.

Il sera marqué le 7 juin à partir de 19h par la présentation du programme du festi- val PRÉSENCE(S) PHOTOGRAPHIE #01 et par une projection gratuite de porfolios de photographes reconnus.

 

www.presences-photographie.fr
Télécharger le programme

 

 

 

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Festival Présence(s) photographie

 

 

 

 

« Festival Présence(s) photographie »

Appel à auteurs

Date limite des dépôts des candidatures le 15 juin 2014
PRÉSENCE(S) PHOTOGRAPHIE
2, montée du Bouton d'Or
26200 MONTÉLIMAR

PRÉSENCE(S) PHOTOGRAPHIE est une association créée en avril 2013 pour organiser différents évènements autour de la photographie, sur le thème de l'être humain dans sa vie quotidienne et son environnement.

Il s'agit de proposer au public une exposition principale autour d'un photographe reconnu qui invite des photographes « moins connus » à croiser leurs regards

En 2013 Hans SILVESTER a invité Alain GUALINA, Henri KARTMAN et Stéphane LECAILLE à présenter leurs réflexions sur le thème de l'eau.

Cette année Bernard DESCAMPS prend le relais avec Christine LEFEBVRE et Pierrot MEN.

Ils exposeront du 14 au 30 novembre 2014 à dans une très belle Chapelle du XVIII ème, l'Espace Culturel Chabrillan.

Cette exposition, à la Chapelle Chabrillan, est accompagnée d'expositions satellites qui se tiendront en plusieurs lieux dans la ville.

A travers cette manifestation conviviale, notre ambition est de promouvoir une photographie d'auteur, porteuse d'humanisme, de professionnalisme et de qualité ; de tradition revisitée par un ancrage dans l'art contemporain, d'ouverture au monde et à ses différentes cultures.

Bienvenue au Festival PRÉSENCE(S) PHOTOGRAPHIE 2014 #1 !

Bernard COSTE

APPEL À AUTEURS POUR L'ÉDITION 2014

Vous êtes photographe, vous souhaitez présenter vos travaux et participer à la prochaine édition du festival.

Envoyez un portfolio d'une série photographique assortie d'une courte biographie, d'un texte de présentation de vos travaux et de vos coordonnées – postales et digitales. Glissez simplement vos documents sur la fenêtre du navigateur et cliquez sur envoyer !

Vous ferez peut être partie des lauréats 2014 pour être exposé pendant le festival.

 

Participer à l'édition 2014
www.presences-photographie.fr

 

 

 

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Mensonge#6 : Magies

 

 

 

« Mensonge#6 : Magies »

Images Béatrice Darnal

Parution mai 2014
Edition FluxTendu

Parution :mai 2014
Format 22 cm x 28 cm
36 pages
Impression sur papier brillant
Couverture souple

Nous avons beau connaître le caractère mensonger de la vie quotidienne, nous nous laissons prendre au jeu, comme ces spectateurs qui, assistant à un tour de magie, savent par avance qu'ils vont être bernés et ne peuvent néanmoins s'empêcher d'être émerveillés par le fait qu'ils le seront tout de même.

 

www.darnal.com
www.edition-fluxtendu.fr

 

 

 

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Enregistrements photographiques

Photographie © Sylvie Garraud

 

 

 

« Enregistrements photographiques »

Photographies de Sylvie Garraud

Du 23 mai au 30 juin 2014
La maison de l'image
?9 Bd de Provence
?07200 AUBENAS

Vernissage jeudi 22 mai à 18h

La série des enregistrements photographiques a débuté en 2002 à partir de l'idée d'interroger simultanément le dessin et la photographie autour d'une même intention de saisir la figure d'un corps. Un dispositif particulier a été mis en place afin d'inclure le dessin, le modèle et le dessinateur dans l'image: un appareil photo en pose B est installé face au dessinateur alors qu'il prélève la ligne de contour directement sur le corps du modèle. Le temps de la prise de vue correspond au temps du dessin (de 30 secondes à 30 minutes environ) exécuté avec une lampe de poche en guise de crayon, dans la pénombre. La lumière ne se dépose pas comme du graphite, elle s'écoule et disparaît. Le tracé n'a d'autre existence que photographique et ne sera visible que dans l'image, une fois la prise de vue terminée. Le dessinateur travaille donc en aveugle. Selon l'orientation de son geste, tantôt la lampe incise dans l'obscurité comme une gravure et trace une ligne, tantôt elle éclaire une surface et révèle un fragment de corps ou de lieu, tantôt la lumière ne s'imprime pas. Du dessin à l'empreinte photographique, il n'y a qu'un basculement du poignet. L'enregistrement se fait grâce au rythme des corps et à leur vitesse de mouvement à la place du temps d'exposition dans le dispositif habituel. Les acteurs s'animent donc le temps de la prise de vue. L'image, plus proche de la chronophotographie que de l'instantané, se construit par alternance de tracés, d'empreintes de corps et d'absences comme autant de trous dans le visible, de replis hors de l'image.

Les images réalisées font l'objet de tirages papier ou de développement en diapositives noir et blanc. Elles sont alors restituées par le moyen de projections, sous forme d'installations, ou encore d'expositions en mouvement. En 2005 à l'ancienne usine St Marthe de St Julien Molin Molette , en 2006 au festival L'art des corps, en 2009 chez Libersolis ( librairie de livres anciens) ont eu lieu des concert-expositions avec André Stoketti, musicien à partir de l'interprétation des images.

Actuellement cette série se prolonge à travers l'exploration de lieux sur des temps de résidence (Observatoire de Paris en 2009, Prieuré de Charrière dans le nord de la Drôme en 2011-12, Chapelle de St Julien en St Alban , Ardèche 2012...).

 

www.maisonimage.eu

 

 

 

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Les temps d'Aiguebelle

Aiguebelle © Martinet Milano

 

 

 

« Les temps d'Aiguebelle »

Isabelle Martinet Milano

Du 10 mai au 30 juin 2014
Abbaye Notre-Dame d'Aiguebelle
Montjoyer, Drôme

Mardi au samedi 10h 12h et 14h30 17h30
Dimanche et lundi 14h30 17h30

Voyage proposé en 37 photographies format 40x60 dans un lieu d'apaisement, de partage et d'échanges naturels avec les paysages de l'Abbaye Notre-Dame-d'Aiguebelle.

Une abbaye vivante dans une région encore riche et sauvage où la nature simplement guidée nous accompagne.

 

Isabellemartinetmilano.e-monsite.com

 

 

 

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R.H 26-10

Photographie © Alain Herveou

 

 

 

« R.H 26-10 »

Photographies de Alain Herveou

du 17 mai au 28 juin 2014.
Ouverture mercredi à samedi de 15 à 19h ?(sauf jours férié)
?Visite commentée le samedi 14 juin à 17h00

Entrée libre

Face au corps immobile de papa, seul, anéantit par le désespoir, une foule de questions m'assaillent. Absence, vacuité, sont parmi les sensations qui me viennent. Il repose là devant mes yeux mouillés, inerte, inhabité. Où est-il celui que j'ai tant aimé ? Où se trouve la force vitale qui tenait son être debout ? Maintenant il apparaît simple enveloppe. Plus aucun mouvement, geste, souffle ne le feront vibrer. Immobile, vide, désincarné, il n'est plus là.?Et cette dépouille même je vais la perdre, ne plus jamais pouvoir être en sa présence, la toucher, l'étreindre, lui parler. Alors je lui caresse le front, les joues, les lèvres, je lui prends les mains désormais rigides et glacées, je l'embrasse et lui cause. Je lui porte un hommage tendre, il le faut, ce sont les derniers instants où nos peaux entreront en contact. Il est nécessaire que je préserve, pour notre éternité, ces précieuses minutes. Que je puisse me remémorer ces derniers frôlements, ce dernier temps de l'amour. ?Je dois faire des photographies, l'idée s'impose, témoignage du recueillement présent, de ce qui restera à tout jamais au bout de cet être admiré, adoré. Je veux lui rendre un hommage posthume.

?Extrait d'un texte d' Alain Hervéou - 2010?

 

www.alainherveou.com
www.vraisreves.com

 

 

 

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Anders

photographie © Stéphanie Nelson

 

 

 

« Anders »

Photographies de Stéphanie Nelson

Du 7 au 25 mai 2014
Ancien Musée de Peinture
Place de Verdun
38000 Grenoble

Du mercredi au dimanche
de 13h à 19h - entrée libre
vernissage le 7 mai à 18h30

Exposition collective des 7 lauréats du projet "Sur la route", autour de l'exposition "Migrant Farmers" de Dorothea Lange.

Exposition organisée par la Maison de l'Image, Grenoble.

 

www.stephanienelson.fr
www.maison-image.fr

 

 

 

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Regarde où tu mets les pieds

Photographie © Pierre Gaudu

 

 

 

« Regarde où tu mets les pieds »

Photographies et dessins de Pierre Gaudu

Du 20 mai au 28 juin
Bibliothèque Kateb Yacine
Centre Commercial GrandPlace
38100 Grenoble

Horaires d'ouverture
12h – 18h30 du mardi au samedi de septembre à juin.
Vacances scolaires : du mardi au samedi de 13h à 18h

Pierre Gaudu, marcheur et arpenteur de sentiers, nous invite à avancer dans ses pas sur ses territoires privilégiés, entre photographies et dessins.?Boue, humus et feuilles, pierres et terres, empreintes, flaques, miroitements... projettent notre regard vers le sol au plus près de la matière, des couleurs et de la lumière.

Dans une correspondance poétique et plastique avec les photographies, les dessins à?à la plume et encre de Chine, descente dans les méandres de l'imaginaire, métamorphosent le réel et inscrivent en noir et blanc une vision toute à la fois vibrante et tourmentée.

Pierre Gaudu vit et travaille à Grenoble. Il se revendique peintre et photographe, loin des étiquettes, avec une nécessité vitale pour les deux pratiques. Au fil du temps, son travail de photographe a pris de l'ampleur, sans qu'il cesse pour autant de peindre et dessiner.?Depuis les années 70, il expose régulièrement dans des musées, galeries et centres d'art. Présentées pour la première fois à l'artothèque de Grenoble en 1979, ses œuvres sont dans des collections privées et publiques.

La peinture, le dessin c'est ma vie, la photographie ma passion...

Je sais bien qu'il est habituel de coller des étiquettes, mais quand même... ces quelques mots pour rassurer ceux qui me demandent sans cesse si je ne fais plus que de la photo... Est-il si difficile d'admettre qu'on puisse être tout à la fois peintre et photographe ? La peinture, le dessin c'est toute ma vie, la photographie ma passion... une passion certes qui prend de plus en plus de place, mais je n'imagine pas un instant lui céder tout le terrain.

La photographie à ce pouvoir magique de maintenir active et vivante ma part d'enfance... elle impose un déplacement, une sortie de l'atelier, le regard tourné, vers d'autres espaces, l'espace de l'autre, une respiration à ciel ouvert.

Je photographie pour fusionner avec la nature divine, je marche pour me retrouver, sans soucis de dénivelés. Le boitier est comme mon enfance qui me tire par la manche pour me dire : "regarde" Je photographie pour répondre à une urgence toujours plus grande: celle d'honnorer mes rendez-vous avec mes lieux de lumières devenus sacrés...

Le dessin lui est plutôt une descente dans les méandres plus ombrageux de l'imaginaire, de tout ce qui échappe au conscient (pour moi en tout cas) une sorte de carottage dans l'inconscient.

 

www.pierre-gaudu.wix.com
www.bm-grenoble.fr

 

 

 

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Blackground

Photographie © Philippe Estienne

 

 

 

« Blackground »

Photographies de Philippe Estienne

Du 20 mai au 1er Juin 2014
La maison du gardien
Parc Jouvet
26000 Valence

Du mardi au dimanche de 14 à 19h

À la prise de vue, je ne vois que la lumière qui se dessine dans le paysage urbain et je la saisis. Au moment du tirage je ne vois que la géométrie des ombres que je révèle. Apparaissent alors, les petits détails qui donnent toute la profondeur à la photographie. Ce qui donne une lecture frontale de loin et une perception spatiale de près.

Philippe Estienne est né en 1964 à Lyon. Après des études de physique, il entre à l'Ecole Supérieure des Arts et Design de Valence. Après son diplôme en 1988, ses productions artistiques sont exploratoires entre l'art et la science avec l'aide d'ordinateur comme interface et support.

Certains travaux sont développés avec le CNRS. En 1989 et 1991, il réalise 2 courts-métrages entièrement infographiques “Mémoires d'image, mémoire de mouvements" et “N7" présentés à la semaine d'art contemporain de Montélimar en 1991.

En 1994, il travaille à l'Institut de l'Art et Technologie (le IAT) à Moscou en collaboration avec des artistes russes, Youri Leiderman, et Sergeï Shutov. Ils réalisent ensemble des recherches sur la création informatique dans le cadre de happening.

En 2000, dans le cadre d'une mission polaire, il met au point le webmasting dans les lieux extrêmes à Resolute Bay (Territoire du Nunavut – Canada).

En 2006, il participe au vidéo-clip “Le souvenir" du groupe de rock Matmatah comme designer vidéo et coréalisateur ; ensuite au documentaire sur leur dernière tournée “Bande à Par".

En 2007, il réalise des interventions de Vjing dans le cadre de concerts électro et de commandes de villes (Valence, entre autres) jusqu'en 2012.

De 2007 à 2012, il met au point un drone professionnel de prise de vues et participe en tant que cadreur pilote à l'expédition au Groenland, sur le film “Le Piège Blanc" diffusé dans l'émission Thalassa sur France 3.

Parallèlement, il enseigne à l'Ecole Supérieure des Arts et Design de Grenoble-Valence en tant que professeur en infographie et multimédia depuis 1991. Il a, par ailleurs, enseigné à EURINSA (département européen de l'INSA de Lyon) sur les hyper médias de 1998 à 2008.

Tout au long de son parcours, Philippe Estienne a toujours eu la photographie comme compagne. Qu'elle soit argentique ou numérique. La seule chose qui l'intéresse, c'est de poser un regard différent sur l'espace qui l'entoure.

 

 

 

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Récoltes d'automne

Photographie © Bernard Plossu

 

 

 

« Récoltes d'automne »

Exposition de Bernard Plossu, Marcelo Fuentes, Daniel Michiels et Sam Scott

Du 3 mai au 22 juin 2014. Vernissage samedi 3 mai à partir de 17 h
La Fabrique du Pont d'Aleyrac
07190 Saint Pierreville
04 75 66 65 25

Exposition ouverte du vendredi au dimanche de 15h à 19h

La Fabrique du pont d'Aleyrac à St Pierreville en Ardèche présente l'exposition “Récolte d'automne".

Deux photographes, Bernard PLOSSU et Daniel MICHIELS (Belgique) et deux peintres, Marcelo FUENTES (Espagne) et Sam SCOTT (USA), suite à une résidence, exposent leurs travaux qui traduisent les paysages des environs de la Fabrique en tirages argentiques noir et blanc ou en tirages couleurs Fresson, en aquarelles ou en gravures...

Bernard Plossu

Vit actuellement en France. Photographe marcheur et voyageur il aime revenir en Ardèche. Il la compare à l'Ecosse qu'il imagine et au Nouveau Mexique (USA) où il a vécu et rencontré le peintre Sam Scott. Auteur de nombreux livres dont Le Pays des petites routes, en Ardèche, en 2007. Quand il photographie en couleurs, il choisit les tirages Fresson qu'il affectionne (Couleurs Plossu, Montpellier, été 2013) pour la densité et la poésie palpable que ces tirages au charbon insufflent aux matières photographiées, à l'égal de ses célèbres ambiances en noir et blanc.

Marcelo Fuentes

Peintre et graveur, vit à Valence en Espagne.?Marcelo Fuentes et Bernard Plossu ont exposé ensemble en 2006, au MuVim, musée renommé de Valence. Dans un livre commun (Ciudades y paisajes : couleur pour le peintre, noir et blanc pour le photographe) les jeux de la lumière et des formes, l'architecture des collines ou des bâtiments, se répondent d'une œuvre à l'autre. Une proximité qui continue en Ardèche en automne 2011, enrichie de la présence de deux autres compagnons d'atelier. Les dessins au crayon, les lavis et les aquarelles de Marcelo Fuentes jouent avec le flou, le net. Les grisés et les blancs, les bleus, les verts et les bruns cadrent les échamps, les châtaigniers, les collines vers le Rhône. Format paysage. Le “motif" en somme, toujours recommencé, toujours neuf.

Daniel Michiels

Photographe, né à Bruxelles, vit et travaille en Ardenne. Plusieurs expositions en Belgique et en France, deux albums photographiques parus Thiérache et Ardenne restante. Bois, haies, arbres en noir et blanc. Profondeur des forêts anciennes qui pourraient bien se refermer sur nous comme dans un conte de fées. Ordonnancement des branchages à l'intérieur du format carré de la prise de vue. Rudesse et beauté de cet arrière pays que Daniel Michiels, comme chaque artiste, emporte à ses semelles.?En Ardèche il a aimé les dentelles d'herbes dorées des bords de chemin, les profonds moutonnements des vallons et restitué, par ses gris travaillés, la nudité des paysages.

Sam Scott

Peintre, vit et travaille au Nouveau Mexique (USA) où de nombreux artistes sont installés. Il a vécu chez les indiens Sioux, a été pêcheur en Alaska, professeur d'art, délégué pour la mission de réconciliation entre les USA et le Vietnam... Plusieurs langages visuels traversent sa peinture où cohabitent abstraction et figuration. Une confiance profonde en notre "mère-nature", héritée de son intime connaissance du monde indien, une mise en scène des paysages, un usage des couleurs audacieusement rapprochées caractérisent les espaces intérieurs qu'il nous transmet. En Ardèche, il a emporté, dans l'atelier de plein air, une petite boîte d'aquarelle...

 

www.plossu.com

 

 

 

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Seuil

Photographie © Bernadette Tintaud

 

 

 

« Seuil »

Photographies de Bernadette Tintaud

Du 14 au 31 Mai 2014 Vernissage le 14 mai à partir de 19h
Galerie UNIVER/Colette Colla,
6 cité de l'Ameublement
75011 Paris

Du mercredi au Samedi de 14 à 19h

« Il y a dans l'œuvre photographique de Bernadette Tintaud, cette présence toujours imprévisible du sursaut, d'une ressaisie imperceptible du sujet qui ne voit rien venir mais semble en pressentir l'imminence. Quelque chose qui viendrait se placer au revers des choses vues. Ce revers ? Une lutte de plans, un vertige plat, des nuances de bruns ou de bleus...

La photographie serait alors le dévers de cette nouvelle matière, de ces plans singuliers et plus menacés que menaçants qui viennent doubler le pas du temps... »

Daniel DOBBELS What, 1993 (extraits)

L'ensemble de mon projet artistique met en perspective les notions de Passage et de Seuil, symboliques des relations en mouvement de l'homme à ses différents milieux de vie.

Plasticienne, j'utilise les techniques photographiques en travaillant matière et lumière pour faire advenir une image dans le temps. Lente métamorphose où plusieurs états photographiques du réel sont mis en relation afin de faire émerger de l'espace fluide la figure humaine en mouvement

Dans l'espace urbain, les séries Anonymes, Passer le pont, Ici Là-bas, Labyrinthe, réalisées à Paris, New York et Berlin revisitent et dégagent des cheminements pour l'homme arpenteur, passant ou sentinelle aux prises avec son environnement.

Ma confrontation aux édifices de Mario Botta ( Maison du Livre, de l'image et du son de Villeurbanne) et Dominique Perrault (Bibliothèque Nationale de France) m'a permis de réaliser deux ensembles Seuil 1995 et Seuils 1998 .

La transparence, les reflets des surfaces vitrées omniprésentes, la vision à 360° qu'elles permettent sont comme des plaques photographiques sur lesquelles les silhouettes humaines poreuses à la lumière se déplacent dans un espace aux repères vacillants. Les effets de dédoublement des corps photographiés donnent une épaisseur à ce seuil aérien et fluide. Ils figurent les possibles de l'être.

Bernadette Tintaud 1998

 

www.bernadettetintaud.com
www.uni-ver.com

 

 

 

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Voyages, voyages

 

 

 

« Voyages, voyages »

Photographies de Alma, Alain Gualina et Henri Kartmann

Du 23 mai au 09 juin
Galerie Passère,
04300 Forcalquier
Contact : 06 85 10 93 38

Vernissage le 30 mai à 18h
De 10h à 12h et de 15h à 19h

A chacun son voyage : Islande et Méditerranée pour Alain Gualina ; Inde, Guatemala, Cuba pour Henri Kartmann, portraits et créations graphiques tirées suivant les techniques anciennes dans sa chambre noire pour Alma. Amis et partageant leurs expositions régulièrement depuis de nombreuses années, leurs chemins se croiseront de nouveau au mois de mai à Forcalquier.

 

www.alaingualina.fr
www.henrikartmann.com
Galerie Passére

 

 

 

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Régénération

Photographie © Simon Bugnon

 

 

 

« Régénération »

Photographies de Simon Bugnon et Jessica Bukzec

Du 8 au 27 mai
70 tirages d'art grands formats, à découvrir à la salle d'exposition de la mairie de Lablachère (07230)

Ouvert aux heures de la mairie (du lundi au vendredi de 8h30 à 16h), permanences de Simon Bugnon jeudi et vendredi de 16h à 19h, le week-end de 10h à 19h. Entrée libre. Infos au 06 34 38 80 45

Qu'il s'agisse de gorges, de tourbières ou de montagnes, il est des lieux qui semblent hors du temps, hors de portée des désastres humains, des sanctuaires sauvages où l'on ne peux se sentir accepté qu'avec le respect qui s'impose, où l'on craindrait de rompre l'enchantement en déplacant un caillou ou en écartant une ronce. On se fait alors le confident des éléments, le témoin émerveillé de miracles oubliés, l'élève du réel devant les cycles de vie et de mort...

Pour cette exposition, Simon Bugnon et Jessica Buczek ont associé leurs images, glanées autour de chez eux, en Ardèche et dans le Pilat, mais aussi lors d'excursions dans le Vercors, le Jura, le Verdon et les Hautes-Alpes.

 

www.simonbugnon.com
www.jessicabuczek.com

 

 

 

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La Photographie de l'année 2014 à Corentin Fohlen

Port-au-Prince, Haïti - 15 janvier 2013. Approvisionnement d'eau dans le bidonville de Cité Soleil, un quartier de Port-au-Prince réputé pour sa dangerosité. © Corentin Fohlen

 

 

 

« La Photographie de l'année 2014 à Corentin Fohlen »


Vendredi 11 avril, à l'abbaye de l'Épau au Mans, lors d'une soirée très conviviale qui a réuni 120 personnes dont beaucoup de photographes et de personnalités de la photographie professionnelle, Corentin Fohlen a reçu le trophée de la Photographie de l'année grâce à une photo extraite d'un travail sur Haïti. Cette photo avait remporté la catégorie humaniste. Il a également remporté la catégorie portrait.

Treize autres lauréats ont reçu un trophée et Hans Silvester a reçu le trophée d'honneur de la SAIF pour l'ensemble de sa carrière des mains de Pierre Ciot le président et de Marc Garanger l'un des fondateurs de la SAIF.

 

www.photographiesdelannee.com

 

 

 

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Dans la forêt

© guillaume Chaplot - 2014 - "Dans la forêt."

 

 

 

« Dans la forêt »

Photographies de Guillaume Chaplot

du 24 mai au 15 juin 2014
Galerie Open Space
8 rue Garenne
34200 Sète

Vernissage le samedi 24 mai à 12h30

(...) Guillaume Chaplot développe avec les « tableaux » de Dans la forêt, une métaphore ouverte, partagée entre le nomadisme et la retraite, répartie entre l'inquiétude de se perdre, et la quiétude de se réfugier, de se retrouver. Obscurité et clarté cohabitent dans les sous-bois, les antonymes se retrouvent logiquement réunis dans ces images qui figurent une pérégrination singulière commune à chacun, celle de la vie et ses vicissitudes. (...) Pas seulement des photographies, pas simplement des « tableaux » non plus, pas uniquement des métaphores de l'égarement, ces images ressemblent à d'anciennes verdures qui auraient été matériellement revisitées, métaphysiquement réactualisées, d'authentiques tapisseries réalisées pour l'occurrence avec des fils de lumière tissés sur du temps arrêté à l'aide d'une trame ontologique.

(Extract du texte de David Brunel "Les verdures tissées de lumière")

Cette exposition aura lieu à Sète en résonance du festival Image Singulière.

 

www.guillaume.chaplot.fr
Dossier de presse

 

 

 

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Paysages

Photographie © Bernadette Tintaud

 

 

 

« Paysages »

Exposition collective

6 avril au 22 juin 2014 du mercredi au dimanche et jours fériés de 10h30 à 13h et de 14h30 à 18h
Château de Vogüé
07200 Vogüé

Adultes: 5 € / Réduits 3,50 € (étudiants, personne en situation de handicap, demandeur d'emploi)?Enfants (8-18 ans): 2 € ( - de 8 ans gratuit)?Visites commentées pour les groupes expo ou château( à partir de 15 personnes )sur rendez vous: 4 €/pers Groupes scolaires: renseignements auprès du château de Vogüé

Dans cette nouvelle exposition "Paysages", 5 artistes continuent à interroger ce sujet universel et proposent, chacun à leur tour dans des visions singulières, leur interprétation du genre.

Séduite par la Drôme des collines, Noémi Adda nous offre, dans une harmonie de bleus et de verts, des paysages éternels que nulle présence humaine ne vient perturber.

Pascal Lombard, à partir d'une technique ancienne, celle de la tempera, élabore des images d'une grande modernité. A partir d'une gamme chromatique réduite, et des éclairages souvent diffus, ses textures complexes expriment toujours une étrange luminosité.

La couleur est au cœur du travail d'Anne Slacik, utilisée dans sa fluidité sur de grands formats, peinte sur les livres et les manuscrits, comme un va-et-vient possible entre peinture et poésie. Souvent organisée par séries, son œuvre, sous une forme abstraite, fait cependant référence à des lieux, mais aussi à des poètes et des artistes.

Les paysages photographiés de Bernadette Tintaud révèlent la mémoire du travail de l'homme au fil du temps. Ils donnent à voir la respiration de la peau de la terre, transformée par les éléments, métamorphosée par la lumière ou le cycle des saisons.

Le travail de Marie Denis est essentiellement sculptural et, sous des formes très variées, puise son inspiration dans le monde végétal. Ses installations sont conçues à partir de matériaux bruts, prélevés dans la nature et se plaisent à détourner, avec humour, les règles, les repères et les savoir-faire traditionnels.

Peintures : Noémi Adda, Pascal Lombard, Anne Slacik,

Photos : Bernadette Tintaud

Installations : Marie Denis

 

www.chateaudevogue.net

 

 

 

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Pras à Cheval

portrait de SALVADOR DALI © Bernard Pras

 

 

 

« Pras à Cheval »

Installation et exposition de Bernard Pras

Du 4 avril au 29 juin 2014
Château de Hauterives
26390 Hauterives

Entrée Gratuite.
Ouverture tlj de 11H/18H

Bernard Pras, tient un peu du facteur Cheval contemporain

On l'a vu décortiquer Dali, croquer Arcimboldo, dompter une vache... Et récemment réinventer Gainsbourg, portrait présenté à la Lille Art Fair. Créateur fou, bricoleur ingénieux. C'était tentant d'inviter Bernard Pras à venir côtoyer Cheval.

Tentant car Pras tient un peu du Cheval contemporain. Tous deux, recueillent des objets propres à leur quotidien. Objets auxquels ils redonnent vie dans un monde qui appartient à leur imaginaire. Tous deux se sont confrontés à un objet qui a déclenché un rêve. Celui du facteur Cheval a pris la forme d'une pierre singulière d'achoppement. Celui de Bernard Pras vient d'un sac de jouets. Tous deux encore cultivent l'absence de vide. A chacun son inventaire d'objets, de personnages, de légendes et d'icônes en tous genres... Enfin, si Ferdinand Cheval a bâti un belvédère, point de vue idéal pour admirer son œuvre, Bernard Pras est quant à lui roi de l'anamorphose*. Une technique par laquelle le regard placé idéalement, quitte le capharnaüm d'objets et donne à voir un portrait. C'est étonnant, impressionnant. http://www.youtube.com/watch?v=s3x5fwv0UdU

Un partenariat avec Emmaüs

Pour réaliser son œuvre –un portrait du Facteur Cheval ?- Bernard Pras devrait trouver auprès d'Emmaüs à Saint-Paul les Romans, partenaire de l'événement, une formidable caverne d'Ali Baba... Temple des objets délaissés, soignés, triés et déjà prêts pour une nouvelle vie. Il travaillera également avec des lycéens et collégiens du territoire qui ont relevé le défi : visiter à leur manière l'univers du Facteur Cheval.

Bernard Pras est en résidence au Palais idéal. Il présentera son installation le 3 avril prochain.

 

www.bernardpras.fr
www.facteurcheval.com

 

 

 

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Exposition Su-Mei Tse

© Su-Mei Tse

 

 

 

« Exposition Su-Mei Tse »

Exposition du 12 avril au 22 juin 2014
Château des Adhémar
26200 Montélimar

Tous les jours de 10h à 12h30 et de 14h à 18h

Avec une formation musicale et artistique de haut niveau, Su-Mei Tse est une jeune créatrice qui explore la correspondance des arts (musique, littérature, art textile). Puisant dans son histoire personnelle, elle développe depuis les années 2000 une oeuvre dans laquelle se croisent de nombreuses références à sa double origine anglaise et chinoise. Dans un dialogue intime avec l'environnement, elle opère une synthèse poétique du son et de l'image. Expérimentant des médias variés (photographie, vidéo, installation, objet), elle déplace les angles de vue, insuffle des dynamiques.

« Je travaille le silence car il est commun à tous » Su-Mei Tse

Omniprésente dans ses oeuvres, cette source d'inspiration génère une certaine suspension du temps, permet des moments de respiration, convie à la contemplation d'oeuvres majoritairement minimales, pensées dans une justesse entre le fond et la forme.

Au château des Adhémar, inspirée par la mémoire du lieu, Su-Mei Tse propose des images directes, des créations émanant d'une attention à certains stigmates architecturaux. Une exposition pensée comme une incitation à vivre la délicatesse du moment présent dans sa simplicité, loin de tout superflu.?

? L'artiste

Née en 1973, Su-Mei Tse vit et travaille au Luxembourg et à Berlin. Violoncelliste de formation, issue de l'École nationale supérieure des Beaux-arts de Paris et lauréate de la Biennale de Venise pour le Luxembourg en 2003, elle a obtenu le Prix international d'art contemporain de la Fondation Prince Pierre de Monaco (2010). Elle est représentée par deux galeries : Peter Blum gallery, New-York (USA), Tschudi gallery, Zuoz (Suisse).

Expositions personnelles (sélection) : 2014 Edward Steichen Award, Mudam, Luxembourg ; Frieze Art Fair New York, Peter Blum Gallery ; Galerie Tschudi, Zuoz, Suisse ; 2015 Parasophia, Kyoto International Festival of Contemporary Culture, Japon.

Collaborations : Galerie Tschudi, Zuoz, Suisse ; Ministère de la Culture du Luxembourg.

Autour de l'exposition

? Vernissage - Rencontre avec l'artiste samedi 12 avril à 11h

? Visites guidées de l'exposition 24 avril, 22 mai et 19 juin, à 14h30

en mai (sauf 25) et en juin (sauf 8) : les mercredis et dimanches à 11h et 16h

? Rencontre avec les enseignants le mardi 15 avril à 17h30

? Conférence "De la poétique à l'esrhétique de l'espace" le 17 avril à 18h30

? Apartés : Rencontre entre l'artiste Su-Mei Tse et Sofia Eliza Bouratsis, doctorante en philosophie (arts et sciences des arts) à la Sorbonne, Paris. Samedi 21 juin à 15h.

 

www.chateaux.ladrome.fr/chateau-des-adhemar/le-centre-dart-contemporain/exposition-su-mei-tse

 

 

 

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Dialogue Photographique avec Jean Giono

Photographie © Cyrille Grillère (Prix du public 2013)

 

 

 

« Dialogue Photographique avec Jean Giono »

Appel à participation pour les Rencontres "Automne Photographique en Champsaur"

Les dossiers de candidature doivent être soumis à l'association "Regards Alpins" avant le 30 juin 2014, dernier délai.
Association Regards Alpins
Le Marthouret - 05500 Le Noyer en Champsaur
Tél. : 04.92.49.07.66
Mel : contact@regards-alpins.eu
Site : http://regards-alpins.eu

L'association "Regards Alpins" organise la seconde édition des rencontres "Automne Photographique en Champsaur" les 27 et 28 septembre 2014 à Forest-Saint-Julien (Hautes-Alpes).

Pourquoi cette manifestation ?

Créée en début d'année 2013, l'association "Regards Alpins" s'est donnée pour but l'organisation de manifestations et d'activités de tout type ayant pour thème la photographie en milieu montagnard.

Suite au succès de la première édition proposée en septembre 2013 (20 photographes, plus de 250 photographies, un millier de visiteurs en deux jours...), l'association propose les 27 et 28 septembre 2014, la 2ème édition des Rencontres "Automne Photographique en Champsaur". Elles se dérouleront, comme l'année précédente, à la salle polyvalente de la commune de Forest-Saint-Julien, dans les Hautes-Alpes.

Ces Rencontres ont pour objectif des rassembler des artistes de tous horizons utilisant le médium photographique pour illustrer la richesse et la diversité du milieu montagnard, au sein de l'Arc Alpin, dans toutes ses composantes et dimensions.

Amateurs ou professionnels, artistes émergents ou talents confirmés : ils sont conviés à ces Rencontres pour nous faire partager leur regard, leur démarche, leur sensibilité.

Le thème de la manifestation

Pour cette édition 2014, l'appel à participation invite les artistes intéressés à un "Dialogue Photographique avec Jean Giono".

Dans ce cadre seront retenues les propositions des artistes dont les œuvres, et leur mise en espace, entreront en résonance avec une/des citations(s) de Jean Giono, le titre de l'une ou de plusieurs de ses œuvres, un/des lieu(x) où il a vécu, un/des lieu(x) réels ou imaginaires sur lesquels il a écrit.

Seront privilégiés les travaux d'auteurs réalisés au sein de l'Arc Alpin et démontrant une réelle interprétation personnelle et originale de l'univers de Giono.

Les Rencontres "Automne Photographique en Champsaur" présenteront un panorama le plus diversifié possible de la photographie contemporaine, en n'excluant aucune des approches et des techniques rendues aujourd'hui possibles par les évolutions technologiques.

Un appel à participation est lancé

A l'occasion de cette édition 2014 des rencontres "Automne Photographique en Champsaur" les organisateurs recherchent donc :

- des séries d'œuvres cohérentes ;

- des démarches créatives, artistiques, poétiques... ;

- une originalité, aussi bien dans la façon de traiter le thème indiqué, que dans la façon de le présenter et le mettre en valeur.

Sur un plan technique, sont acceptés tous travaux, toutes techniques et tous supports dès lors que le médium photographique est présent :

- argentiques, numériques (retravaillés informatiquement ou non), photos instantanées, techniques anciennes, sérigraphies, sténopés... ;

- ainsi que toutes recherches plasticiennes faisant appel à la photographie ;

- les œuvres proposées peuvent être en deux ou trois dimensions.

Les dossiers de candidature doivent être soumis à l'association "Regards Alpins" avant le 30 juin 2014, dernier délai.

- au vu des dossiers de candidature, un jury constitué par les soins de l'Association "Regards Alpins" effectuera une sélection des œuvres répondant le mieux aux thèmes et critères présentés ci-dessus ;

- les choix du jury sont de son entière responsabilité, et sont sans appel.

 

www.regards-alpins.eu

 

 

 

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En attendant la neige

Photographie © Denis Lebioda

 

 

 

« En attendant la neige »

Photographies de Denis Lebioda

Du 6 janvier au 30 juin 2014
la petite galerie de la Maison du Parc national des Écrins
05800 La Chapelle-en-Valgaudemar

Les mardis, mercredis et vendredis après-midi de 14h à 17h, et le vendredi matin de 10h à 12h.
Les week-ends de juin : de 10h à 12h et 14h à 18h.

Denis Lebioda est l'invité de la petite galerie de la Maison du Parc de La Chapelle-en-Valgaudemar, pendant l'hiver et le printemps prochain avec une série d'images réalisées dans des stations des Hautes-Alpes... à l'automne.

« En attendant la neige » est une série réalisée dans quelques stations des Hautes-Alpes au cours des automnes 2010 et 2011 : Ancelle, Ceüze, Chaillol, La Joue du Loup, Laye, Les Orres, Orcières-Merlette, Réallon, Saint Léger les Mélèzes, Super-Dévoluy...

Leur auteur, Denis Lebioda, est un photographe du Champsaur, installé au Noyer depuis une dizaine d'années qui a une prédilection pour les sujets relatifs à l'environnement, au milieu rural, aux engagements citoyens et militants.

Souvent en noir et blanc, quelquefois en couleur, ses photographies mettent en scène des univers humanisés, avec ou sans portrait, mais dans lesquels l'humain tient toujours une grande place. L'ombre y joue avec la lumière, quelquefois aidées d'artifices techniques accentuant les contrastes et le caractère poétique de son regard singulier.

 

www.photo-denis-lebioda.net
www.ecrins-parcnational.fr

 

 

 

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Candelarum

La tendresse des loups, Henri Pol©

 

 

 

« Candelarum »

Photographies de Henri Pol

Du 19 avril au 17 mai 2014
Cinéma le Vivarais,
07000 Privas

Entrée libre aux horaires du cinéma

La photographie est au cinéma ce que la poésie est à la littérature: elle doit raconter une histoire avec moins de phrases. Un éclairage à la bougie, du clair obscur, une lumière chaude, pour imaginer des histoires , pour se faire son propre film.

«La poésie est une lettre d'amour adressée au monde»

Charlie Chaplin

 

www.henripol.fr
www.oeil-de-terres.com

 

 

 

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DÉVELOPPEMENT DES FICHIERS RAW

 

 

 

« DÉVELOPPEMENT DES FICHIERS RAW »

De la prise de vue au tirage d'art

stage le 25 mai 2014
La Fabrique de l'image
2 rue de l'Oratoire
07400 Meysse

de 10h à 18h

Venez faire une expérience unique, en un même stage vous passerez de la prise de vue au développement de l'image jusqu'à son tirage sur papier "Fine Art", dans les conditions exceptionnelles d'un atelier photographique professionnel.

UN TIRAGE VOUS SERA OFFERT EN FIN DE STAGE

Ce stage vous propose de découvrir toute la chaine graphique du traitement de l'image et en particulier la chaine de développement des fichiers RAW*. En petit groupe, vous expérimenterez une méthode qui vous permettra d'améliorer la qualité de vos images dès la prise de vue et jusqu'à l'impression sur papier "Fine Art".

TARIF d'un stage

100 € + 15 € d'adhésion annuelle

DÉJEUNER

sur place, nous vous proposons une base saucissonnade :

pain tradition, Picodon, fromages, saucisson, et le café, thé...

 

www.labalancedesblancs.net
www.fabrique-image.fr

 

 

 

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Focales en Vercors

Photographie © Francois Xavier Emery

 

 

 

« Focales en Vercors »

5 émes rencontres photographiques

Du 1 au 4 mai 2014
38 Villard de Lans

Cette années les rencontres seront autour du thème du Travail.

Depuis 4 ans, l'organisation a le souhait et l'envie de monter un événement de qualité autour de la photographie accessible à tout public. C'est chose faite. L'édition “Focales en Vercors? 2014, de même que celles à venir, se présentent comme l'événement culturel photographique du plateau Vercors et ouvrent désormais les saisons estivales de Villard de Lans.

Parrain de l'édition 2014 : François Xavier Emery

Né à Meknès au Maroc en 1955, il vit depuis 1967 dans les Alpes de Haute Provence. Lycéen, il découvre la photographie à la Maison des Jeunes de Manosque en 1972. Jeune photographe, il travaille en 1978 avec Alpes de Lumière, association de patrimoine et d'ethnologie rural et oriente alors son travail sur le portrait, le geste et le paysage et devient photographe indépendant en 1982.

Du noir et blanc à la couleur, de la prise de vue studio au reportage, la confiance de ses commanditaires lui offre une liberté qu'il exerce à travers des sujets et des univers différents.

Influencé par les photographes du XXème siècle, d'Auguste Sander à Richard Avedon en passant par Diane Arbus et Nan Goldin, l'homme est présent dans son travail. Empruntant sur la réalité, la photo qu'il aime, c'est celle qui témoigne de ce que nous sommes. C'est ce qui l'anime et lui permet de mettre en œuvre son regard sur le monde, sûrement pour répondre à ses propres doutes.

C'est dans cet esprit que l'exposition proposée, présente une collection d'images noir et blanc argentiques. Comme des trophées, sans chronologie, elles jalonnent, par touche, 40 ans de photographie...

Les autres invités

- Philippe Colignon

- Alain Gualina

- Stéphane Lecaille

- Gérard Beullac

- Stéphane Gemmani

- Meloquez

- Alain Sauvan

 

www.focales-en-vercors.org

 

 

 

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Paysages d'absence

Photographie © Magali Ballet

 

 

 

« Paysages d'absence »

Photographies de Magali Ballet

Du 8 avril au 17 mai 2014
Grand Angle
Centre commercial Intermarché
La Rotonde 2 éme étage
10 avenue de Royat
63122 Ceyrat

Ouvert du mardi au samedi de 10h à 19h

Si parfois certaines choses ne veulent pas se séparer de nous, c'est que nous ne voulons pas nous séparer d'elles. L'acte de voir et de les mettre en images est une manière par laquelle elles pénètrent encore plus longtemps en nous. Comme pour toujours.

Une chose est sure, les paysages d'absence de Magali Ballet ouvrent un chemin qui ne mène pas vers l'oubli.

La langue des forêts, des arbres et des sentiers, qu'elle connait bien, nous conduisent à ces lisières, à ces frontières incertaines au milieu du ciel, à ces limites illimitées. À ces lumières qui ne ressemblent ni au jour ni à la nuit.

Il suffit de contempler ces images pour déchiffrer les traces laissées par la mémoire d'une présence sans cesse pressentie et toujours absente. Elles contiennent toutes les lueurs ombreuses des matins ou des soirs traversées de murmures, de tremblements... Il y a des voix songeuses et des yeux qui volent en elles : la légèreté d'une brume, un voile qui semble se déchirer en de furtives aiguillées d'ombres. Presque dessins ou peinture, elles gravent une sorte de mouvement, de gestes, on pourrait dire d'odeurs... qui défilent à toute vitesse jusqu'à leur point d'effacement, en fusion avec nous-mêmes.

On rejoint en quelques pas les trouées les plus secrètes vers l'infini, l'inconnu qui nous attend avant qu'ils ne disparaissent.

Tout est là silence, attente, vol immobile. Tout était déjà là pour nous retenir au bord avec les fils presque invisibles de l'imaginaire et de la poésie.

Les images de Magali Ballet, presque sans le vouloir, franchissent le seuil. Elles nous traversent en même temps que nous sommes à l'intérieur. Elles se dérobent aussi parce qu'il n'y a rien à comprendre, mais à sentir ce qui se passe et vient tout d'un coup libérer le présage d'une beauté éphémère.

Rien de plus simple et de plus difficile dans la matière du regard. Ne soyons pas absents. L'ère de la beauté est en fuite, la grâce et le mystère sont sur le point de disparaitre, tout ce à quoi Magali Ballet ne renonce jamais.

Erwann Rougé

 

www.magaliballet.com
www.galerie-grandangle.fr

 

 

 

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Limites extrêmes - Paysages aux confins de l'Europe

9 juillet 2013,Dalvik, Islande.

 

 

 

" Limites extrêmes " et " Mon Havre "

Photographies de Fabienne Forel et de Jean-Baptiste Perrot

Du 26 avril au 22 mai 2014
Galerie Negpos Fotoloft
1, cours Nemausus
30000 Nîmes

Vernissage le samedi 26 avril à 18h30

Limites extrêmes - Paysages aux confins de l'Europe de Fabienne Forel

« Prendre la route, c'est réunifier un peu la dispersion et l'éclatement du monde. »

Frédéric Khan

Parcourant les limites extrêmes de l'Europe, je propose une vision poétique du monde en soulignant la spécificité d'un territoire tant au niveau de la lumière que celui du relief. Sensible aux atmosphères climatiques, j'essaye de rendre compte de la « géographie universelle » dont parle Elisée Reclus. Fabienne Forel

BIO

Photographe voyageuse, Fabienne Forel poursuit une approche exploratoire et sensitive du monde qui favorise le rapprochement avec la dimension humaine et avec la sensation d'unité au-delà de la diversité. Une captation photographique d'une errance où le monde reste ouvert et créateur...

 

Mon Havre de Jean-Baptiste Perrot

« Série de photographies, sur les différentes facettes représentatives de son Havre : la vie, l'architecture, l'industrie, où le médium photographique devient ici un révélateur de mouvement et non plus le fixateur d'un temps donné.

“Ma vie s'enrichit toujours de sentir au cœur d'une affirmation, le contradictoire du doute, afin de mieux m'imprégner de la poétique d'une œuvre, inspirée par l'ordre et le désordre, intimement confrontés. Une gigantesque grue, devant moi, semble se déplacer lentement, tout en fonctionnant en mouvance traversière au service de navires à quai, mais en partance.?

Tout dans « Mon Havre », grâce aux traces de ce regard artistique, s'affirme comme autonome par la matité de sa matière, et se plante durablement dans l'espace, tout en glissant au rythme ralenti mais puissant des navires quittant leurs amarres.»

Bernard Point

BIO

Photographe français né en 1972 au Havre (Normandie). Vit et travaille à Paris. Après des études en sciences sociales (Licence de sociologie en 1995) et en économie (Master 2 d'économie en 1996), suivies d'une période d'activité professionnelle dans ces domaines, il se consacre complètement à l'activité artistique en 2007. Chacun de ses projets cherche à décrypter un peu plus en avant les tenants d'une prise de décision. Agit-on selon notre propre libre arbitre ? Où commence le déterminisme ? Sommes-nous les sujets de contraintes inaliénables ?

 

www.fabienneforel.com
www.jbperrot.net
www.negpos.fr

 

 

 

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Privas en Arménie

Photographie © Christophe Kaprélian

 

 

 

« Privas en Arménie »

Photographies de Christophe Kaprélian

Du 15 avril au 10 mai 2014
Médiathèque municipale Jacques Dupin
3 rue Elie Reynier
07000 Privas

Impressions d'Arménie

Lumières de voyage, voyage en mémoire

“ À l'été 2012, mon voyage en Arménie fut un lent cheminement, sans quête précise. J'y ai glané des moments de vie, à l'instinct, à l'émotion, comme on arpente les flancs d'une mémoire impérissable. J'ai promené un regard amoureux sur les beautés jaillies de l'ordinaire, sur des visages et une terre familière qui contenaient l'évidence d'une autre vie possible : et si, en 1920, mes grands-parents n'avaient pas entrepris leur long périple vers la France ? De jour et de nuit, des étals des marchés aux autels des églises, mon objectif s'est nourri des lumières d'un pays où je puise pour moitié ma culture et mon histoire.?

Christophe Kaprélian

Sous ses chapeaux colorés, Christophe Kaprélian abrite une nature généreuse et passionnée, un créatif sans frontières qui carbure à l'émotion, aux rêves et à la liberté.

En cuisine comme en photographie, pour lui tout est histoire de regard. Un regard curieux et nomade, grand amateur de peintures impressionnistes, son enfance de l'art. Un point de vue sensuel et gourmand porté sur le monde.

Un monde authentique, en bon et en beau, qu'il cultive aussi bien à la tête de son entreprise 'Madame est servie' – enseigne rose bien connue des plateaux de cinéma – que dans ses images capturées sur l'instant, n'ayant pour tout guide que les grâces fugitives de la lumière.

Son travail 'Impressions d'Arménie', peinture vivante de l'Arménie d'aujourd'hui, s'est exposé plusieurs fois à Paris et s'installe au printemps 2014 dans la commune de Privas.

 

www.christophekaprelian.com
www.bm-privas.fr

 

 

 

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DÉVELOPPEMENT DES FICHIERS RAW

 

 

 

« DÉVELOPPEMENT DES FICHIERS RAW »

De la prise de vue au tirage d'art

Dimanche 27 avril 2014
La Fabrique de l'image
2 rue de l'Oratoire
07400 Meysse

de 10h à 18h

Venez faire une expérience unique, en un même stage vous passerez de la prise de vue au développement de l'image jusqu'à son tirage sur papier "Fine Art", dans les conditions exceptionnelles d'un atelier photographique professionnel.

UN TIRAGE VOUS SERA OFFERT EN FIN DE STAGE

Ce stage vous propose de découvrir toute la chaine graphique du traitement de l'image et en particulier la chaine de développement des fichiers RAW*. En petit groupe, vous expérimenterez une méthode qui vous permettra d'améliorer la qualité de vos images dès la prise de vue et jusqu'à l'impression sur papier "Fine Art".

TARIF d'un stage

100 € + 15 € d'adhésion annuelle

DÉJEUNER

sur place, nous vous proposons une base saucissonnade :

pain tradition, Picodon, fromages, saucisson, et le café, thé...

 

www.labalancedesblancs.net
www.fabrique-image.fr

 

 

 

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Ensembles

Photographie © Denis Darzacq

 

 

 

« Ensembles »

Photographies de Denis Darzacq

Exposition présentée du 1er avril au 10 mai 2014 dans le cadre du Printemps du livre
Bibliothèque Kateb Yacine
Centre Commercial GrandPlace
38100 Grenoble

Horaires d'ouverture
12h – 18h30 du mardi au samedi de septembre à juin.
Vacances scolaires : du mardi au samedi de 13h à 18h.
Fermée le samedi de Pâques

Denis Darzarq est né en 1961. Il vit et travaille à Paris.

Il débute sa carrière en suivant la scène rock française et devient photographe de plateau sur de nombreux longs métrages. A partir de 1989, il collabore régulièrement au quotidien Libération et à la presse nationale. Il commence à exposer son propre travail en 1994 et obtient en 1999 une commande du Ministère de la Culture sur la jeunesse en France. Lauréat du prix Altadis en 2000, exposé aux Rencontres d'Arles en 2005, il reçoit une consécration internationale avec l'obtention du 1er Prix Stories du prestigieux World Press Photo en 2007 et du Prix Niépce en 2012. Aujourd'hui exposées en France et à l'étranger, ses photographies sont entrées dans de nombreuses collections publiques et privées.

Denis Darzacq est représenté par l'agence VU' et la galerie RX.

Ensembles

En contrebas, sur fond neutre, des personnes se croisent dans des espaces urbains anonymes.

Privilégiant un point de vue plongeant, Denis Darzacq fragmente la foule qui défile sous ses yeux dans une ville dominée par les tons bruns et bleus. Il se concentre sur les mouvements, les gestes et les vêtements. Les compositions aléatoires isolent les petits faits banals et les gestes du quotidien. Elles révèlent les individualités qui se dissimulent derrière les stéréotypes sociaux, la distance entre l'intime et le public.

Réalisée dans plusieurs villes de France entre 1997 et 2000, la série Ensembles a inauguré la double réflexion de Denis Darzacq sur la place de l'individu dans la société contemporaine et les corps en mouvement. Suivront, entre autres, les séries la Chute et Hyper où le photographe saisit les corps en lévitation de jeunes danseurs de hip-hop devant des façades d'immeubles ou à l'intérieur d'un supermarché. Puis Act ( 2008-2011), fruit d'un travail mené avec des personnes en situation de handicap.

 

www.denis-darzacq.com
www.bm-grenoble.fr

 

 

 

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WEEGEE - L'œil de New-York

Weegee © Collections Fondation Auer Ory

 

 

 

« WEEGEE - L'œil de New-York »

Avec la Fondation Auer Ory

Du 26 mars au 18 mai 2014
Le Château d'eau
1 place Laganne
31300 Toulouse

Ouvert du mardi au dimanche de 13 à 19h?fermé le 1er janvier, le 1er mai, le 25 décembre.
Entrée : 2,50 Euros | Réduit : ?1,50 Euros | Gratuit - 18 ans

Le Château d'Eau présente une exposition d'Arthur H. Fellig connu sous le pseudonyme de Weegee. Tirée de la collection de Michèle et Michel Auer, ces vintages emblématiques pour certains et moins connus pour d'autres développent le parcours étendu de 1932 aux années 1960 de ce fils de rabbin austro-hongrois émigré aux Etats - Unis à l'âge de 10 ans .?Considéré comme l'un des plus grands reporters de l'époque et référence absolue dans l'histoire de la photographie, il est célèbre pour ses photographies en noir et blanc de la vie nocturne à New York.?Cependant, les nombreux thèmes sur lesquels il a travaillé tout au long de sa vie, comme les dormeurs, les riches, les pauvres, les incendies, la police, les morts, la rue, le cirque, Harlem, Coney Island, portraits de stars du cinéma révèle avant tout un photographe acharné et assidu ayant travaillé dans une veine réaliste typiquement américaine.?En 1935, Weegee devient photographe indépendant et exerce en indépendant pour la presse américaine. Il est alors chargé de rendre compte de la réalité de la société américaine, au plus près des évènements et fut le premier reporter autorisé à installer dans sa voiture une radio branchée sur la fréquence de la police. Cela lui permettait d'arriver très vite sur les lieux de crime et à témoigner avec neutralité de la violence et de la misère de New-York des années 30 et 40, marquée par la grande dépression.?Une autre partie de cette exposition montrera son travail sur Hollywood.?En 1946, il quitte New York pour s'installer à Los Angeles quelques temps. Abandonnant les scènes de crime macabres Weegee a pointé son appareil photo à la place sur les célébrités de Hollywood, les starlettes, les demandeurs d'autographes, que volontairement il déformait où en créant des distorsions surréalistes et collages bizarres pour défigurer ou ridiculiser ses sujets.

Son parcours de photographe l'a amené à la gloire, à la fortune et l'a fait côtoyer les démunis comme les nantis, les anonymes comme les stars. Avec un regard plein d'humanité et de férocité qu'il a jeté sur ses contemporains, il a toujours privilégié son autonomie en refusant de participer aux programmes d'aide financés par le gouvernement.

 

www.weegee.org
www.galeriechateaudeau.org

 

 

 

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A travers les yeux d'une libellule

Photographie © Bénédicte Reverchon

 

 

 

« A travers les yeux d'une libellule »

Photographies de Bénédicte Reverchon

Du 22 mars au 10 mai 2014
GALERIE VRAIS R�VES
6 RUE DUMENGE
69004 - LYON (France)

mercredi à samedi de 15 à 19h (sauf jours férié)

C'est derrière un rideau de pluie qu'un jour, j'ai eu la chance de rencontrer Bénédicte ; chose précieuse, nous sommes devenues amies. Dans son travail, je retrouve à chaque fois cette première vision : un visage éclairé par un grand sourire voilé par la ruisselante pluie.?Montrer et cacher... cette partie dissimulée et intime de la vie que nous devinons sans la voir, Bénédicte nous en offre des décryptages sans cesse mouvants et émouvants.?(...)?Pour cette nouvelle exposition à la Galerie Vrais Rêves, son choix d'un patrimoine canadien abandonné et délabré du Val Jalbert, n'est qu'un prétexte pour affirmer, comme Bachelard, que la maison est plus qu'une construction : c'est un vecteur de songe. Bénédicte montre la « forme » comme état provisoire qui défie le temps et l'espace.?(...) ?Toujours en recherche, Bénédicte contraint les photons à ralentir, la netteté s'affirme, pourtant survient la capacité de migration des images qui s'enfoncent littéralement les unes dans les autres en se disloquant. Le mouvement est partout. La distance et le nouvel angle d'éclairage perturbent l'image : la matière disparaît, l'énergie et la couleur affluent et irradient ; devant tant de liberté de sens, la libellule se régale.

Extrait d'un texte d'Evelyne Rivière - 2013

 

www.reverchon.benedicte.free.fr
www.vraisreves.com

 

 

 

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Temps de Pose

Photographie © Gilbert Garcin

 

 

 

« Temps de Pose »

Exposition de photographies de la collection du Château d'Eau de Toulouse

Du 18 février au 3 mai 2014
À la Galerie du 5ème
5ème étage des Galeries Lafayette
40/48 rue St Ferréol
13001 Marseille

Ouvert du mardi au vendredi de 14h à 18h et le samedi de 11h à 19h

« Ce qui fonde la nature de la photographie, c'est la pose. Peu importe la durée physique de cette pose, même le temps d'un millionième de seconde, il y a toujours eu pose : dans la photo, quelque chose s'est posé devant le petit trou et y est resté à jamais. » – R. Barthes

Le temps de pose ou temps d'exposition est l'intervalle de temps pendant lequel l'obturateur de l'appareil photo laisse passer la lumière lors d'une prise de vue. Sur la pellicule, une image s'imprime, qui fixe le sujet photographié dans une certaine posture. Arrêt, pause : pris en images, les figures et leurs gestes échappent à la fuite du temps. Et c'est en ce sens-là que l'on peut parler de pose : sur la pellicule, le corps même du temps se pose et devient visible. De Kertesz (1926) à Darzaq (2008), cette exposition tente de parcourir ce corps subtil du temps que la photographie nous révèle.

Artistes présentés : Claude BATHO, Aglaé BORY, Jean-Philippe CHARBONNIER, Caroline CHEVALIER, Arnaud CLAAS, Angélo COZZI, Denis DARZACQ, Robert DOISNEAU, Richard DUMAS, Beth Yarnelle EDWARDS, Walker EVANS, Gilbert FASTENAEKENS, Joan FONTCUBERTA, Charles FREGER, Gilbert GARCIN, Luigi GHIRRI, Ralph GIBSON, Yohann GOZARD, Clara GUTSCHE, Laura HENNO, Gabriel JONES, André KERTESZ, Géraldine LAY, Janne LEHTINEN, Guy LE QUERREC, André MERIAN, Olivier METZGER, Jürgen NEFZGER, Claude NORI, Trent PARKE, Bernard PLOSSU, Denis ROCHE, Paolo ROVERSI, Vivianne SASSEN, Laurent SEPTIER, Jeanloup SIEFF, Dorothée SMITH et Emile ZOLA

 

www.marseilleexpos.com

 

 

 

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Etonnez-moi !

Philippe Halsman, Dalí Atomicus, 1948. Musée de l'Elysée © 2013 Philippe Halsman Archive / Magnum Photos. Droits exclusifs pour les images de Salvador Dalí : Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres, 2014

 

 

 

« Etonnez-moi ! »

Photographies de Philippe Halsman

Du 29 janvier au 11 mai 2014
Musée de l'Elysée
18, avenue de l'Elysée
1014 Lausanne - Switzerland

Vernissage mardi 28 janvier dès 18h
Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h.
Ouvert vendredi Saint et lundi de pâques.

Entrée : CHF 8.–
AVS : CHF 6.–
AI, étudiants, apprentis, chômeurs : CHF 4.–
Entrée libre le premier samedi du mois.

« Pour mon travail sérieux, je m'efforce d'atteindre l'essence même des choses et des objectifs qui sont peut-être impossibles à réaliser. D'un autre côté, je suis très attiré par toute forme d'humour, et cet aspect puéril de mon caractère m'amène à toutes sortes de comportements frivoles. »

Le photographe Philippe Halsman mène une carrière exemplaire. A Paris dans les années 1930 puis à New York à partir des années 1940, il développe pendant une quarantaine d'années un large champ d'activité (portraits, mode, reportages, publicités, projets personnels, commandes privées et institutionnelles). Le Musée de l'Elysée présente la première étude consacrée à l'ensemble de son oeuvre avec une sélection de plus de 300 pièces.

Ce projet, réalisé en collaboration avec les Archives Philippe Halsman, comprend de nombreux éléments inédits du travail du photographe (planches contacts, tirages contacts annotés, épreuves préliminaires, photomontages originaux et maquettes). Tout en dévoilant le processus créatif de Philippe Halsman, l'exposition révèle une même et unique approche de la photographie : un mode d'expression à explorer.

Né en 1906 à Riga, en Lettonie, Halsman poursuit des études d'ingénieur à Dresde avant de s'installer à Paris où il ouvre un studio photographique en 1932. Les années parisiennes annoncent déjà l'approche qu'il développe tout au long de sa carrière. Photographe de studio ou de reportage, Halsman s'inspire de la scène artistique contemporaine et participe à sa promotion. Spécialisé dans le portrait, il développe aussi une activité dans les milieux publicitaires et éditoriaux alors en plein essor. En 1940, l'invasion allemande met un terme à la carrière prospère d'Halsman, qui trouve refuge à New York avec sa famille. D'abord inconnu, il parvient à s'imposer sur le marché américain en moins d'un an et son studio devient rapidement une référence. Halsman se distingue par sa conception du portrait « psychologique ».

Son importante galerie de portraits de personnalités (acteurs, industriels, politiques, scientifiques, écrivains) témoigne de sa notoriété dans ce domaine. Certains, tels ceux d'Audrey Hepburn, de Marilyn Monroe, de Winston Churchill ou d'Albert Einstein, sont devenus des icônes. Il réalise aussi le plus grand nombre – 101 – de couvertures pour le magazine Life, le premier hebdomadaire d'actualités illustré uniquement par la photographie.

La photographie d'Halsman se caractérise par une approche directe, une parfaite maîtrise technique et un soin particulier pour les détails. L'ensemble de son oeuvre témoigne de ses recherches constantes et de son intérêt pour toutes formes d'expérimentations – techniques ou esthétiques – appliquées à une grande variété de sujets. Philippe Halsman a toujours présenté la photographie comme un formidable outil pour donner libre cours à son imagination. Il s'intéresse surtout à la mise en scène – sous forme d'images ou de scénarios fictifs. Rencontré en 1941, Salvador Dalí devient le complice idéal du photographe. Leur fructueuse collaboration s'étend sur une trentaine d'années. Philippe Halsman innove aussi avec des créations plus personnelles telles que le « picture book » ou la « jumpology ».

Anne Lacoste et Sam Stourdzé assurent le commissariat de l'exposition, assistés par Lydia Dorner et Camille Avellan. L'exposition reçoit le soutien de la Terra Foundation for American Art, de PKB Privatbank et de la Loterie Romande.

 

www.philippehalsman.com
www.elysee.ch

 

 

 

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Stage Apprivoiser votre appareil

Stage la BdB 2013 © Sylvie Delobelle

 

 

 

« Stage Apprivoiser votre appareil »

Ne laissez plus l'appareil décider pour vous !

Du 17 au 21 avril 2014
La Cour de Crest
26400 Crest

De 9h à 12h - 14h à 17h + une soirée

Par une approche simple et pratique de la technique, ce stage vous permettra de sortir du "tout-automatique", de découvrir les différents modes et fonctions de votre appareil photo et de vous initier aux règles fondamentales de la photographie.

Chaque jour l'apprentissage de la photo se fera par des cours théoriques et des exercices guidés qui alterneront avec des temps de prise de vue sur les chemins autour de la maison pour mettre en pratique les acquis.

Le stage se clôturera par une journée "rando-photo" sur les GR de la région, à la découverte des panoramas exceptionnels sur le Vercors, les Alpes, le Mont Ventoux et l'Ardèche.

Vous repartirez avec des supports de cours, des fiches mémo....

Tarif :
Stage : 240 euros + 15€ d'adhésion annuelle
Hébergement possible en pension complète : 300 euros (en chambre double)

> Programme plus détaillé et modalités d'inscription sur le site

 

www.labalancedesblancs.net
www.lacourdecrest.fr

 

 

 

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Animals

Photographie © Joël Garnier

 

 

 

« Animals »

Photographies de Joël Garnier

Les 12, 13 et 19, 20, 21 avril 2014
L' usine de Bellevue
route de Toulaud
07800 Charmes sur Rhône

Cette exposition est présentée dans le cadre de "l'art à demeure"

Qui sont ces êtres vivants à la fois proches et si lointains ?

Que savons nous de leur degré de conscience ?

Pourquoi cette attirance, mais surtout ce trouble face à l'animal ?

Ne nous renvoie- t-il pas à notre appartenance à une même famille et donc à cette part de nous que nous essayons de tenir à distance ?

C'est ce trouble qui a guidé ce travail et l'élaboration d'une technique de prises de vues à même de traduire l'ambiguïté des sentiments éprouvés.

Le rendu particulier de ces photos est réalisé dès la prise de vues avec dans le viseur l'instantanéité et la conscience de l'effet recherché.

 

www.art-a-demeure.fr

 

 

 

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Festival Expolaroid

 

 

 

« Festival Expolaroid »

Le mois du Polaroid et du film instantané

Avril 2014

« Le Polaroid est mort, vive le Polaroid »

Depuis l'apparition de la photographie numérique, les procédés argentiques voient leurs productions et utilisations se marginaliser. La photographie instantanée n'échappe malheureusement pas à ce phénomène. La société Polaroid a stoppé en 2008 la production de ses films photographiques instantanés, produits pourtant emblématiques de la marque.?Aujourd'hui, nombreux sont les photographes encore attachés à ce support créatif. La photographie alternative retrouve un second souffle grâce aux communautés du web et au retour de la mode “vintage". Il existe un véritable engouement pour les applications smartphone capable de réaliser des photographies de type Polaroid ou Lomographique. Cette esthétique alternative (re)devient populaire, comme elle pouvait l'être à l'époque de la creation des premiers appareils photographiques instantanés (les années 70-80).

 

Toutes les expos de l'édition 2014
www.expolaroid.com

 

 

 

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24 ème édition Itinéraires des photographes voyageurs - Bordeaux

©Marine Lanier, Fossile, Clansayes, 2010, extrait de La Vie dangereuse.

 

 

 

« 24 ème édition Itinéraires des photographes voyageurs - Bordeaux »

14 expositions, 10 lieux

Du 1 au 30 avril 2014
Bordeaux

VENDREDI 4 AVRIL À 18H30
Rocher de Palmer à Cenon
Vernissage
Jean Michel Léligny et Andrea Schmitz

SAMEDI 5 AVRIL
9H30 > Act'Image - Emmanuelle Coqueray
10H30 > Grilles jardin public
Bastien Dessolas et Kristof Guez
11H15 > Voyageurs du Monde - Joanna Chudy
12H00 > Salle Capitulaire Cour Mably
Thierry Girard et Julie Bourges
14H30 > Marché de Lerme - Aurélia Frey
16H00 > Institut Cervantes - Kike Aspano
17H00 > Espace St Rémi
Marine Lanier et Zaida Kersten
18H30 > PORTE 44 MC2A - Malala Andrialavidrazana
19H30 > Arrêt sur l'Image
Olivier Brossard et Yannick Vigouroux

Du 1 er au 30 avril 2014, à Bordeaux, Itinéraires des photographes voyageurs invite le public dans les principaux lieux culturels de la métropole aquitaine, autour de 14 expositions à la découverte de regards singuliers sur notre planète. Du Rocher de Palmer à Cenon, à la Salle Capitulaire Cour Mably au coeur de la ville, cette 24 ème édition du festival propose aux visiteurs d'effectuer leur propre itinéraire au fil des expositions, et de découvrir ainsi le travail de photographes professionnels confirmés ou issus de la nouvelles génération.

 

www.itiphoto.com

 

 

 

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Rare et magnifique

Marie qui défait les noeuds, 2014 (détail) © Adrianna Wallis

 

 

 

« Rare et magnifique »

Exposition d'Adrianna Wallis

Du 22 mars au 26 avril 2014
Angle art contemporain -
Place des arts -
26130 Saint-Paul-Trois-Châteaux

La démarche artistique d'Adrianna Wallis s'appuie sur notre rapport aux objets du quotidien. Dans son travail, ceux-ci sont tour à tour la forme, la matière, le langage, le symbole de l'œuvre. En les détournant de leur fonction première, les objets sont libérés de leur fonction utilitaire et acquièrent une dimension narrative. Le geste de l'artiste sur cette matière transitoire, en mêlant technique, travail manuel méticuleux et une démarche poétique faite de tendresse et de subversion, offre au spectateur un résultat empreint d'humilité mais dont la force d'évocation est toujours singulière. En jouant à la fois des bribes de son histoire personnelle et de l'intimité dévoilée de la matière, son œuvre puise au fond des liens familiaux, des transmissions entre générations, de la féminité, mais aussi d'absences subies, de présences pesantes. L'œuvre, en offrant aux spectateurs différents points d'entrée, suscite étonnements, interrogations et imaginaire silencieux. D'anodin, l'objet devient une passerelle vers nos propres intimités.

 

www.adriannawallis.com
www.angle-art.fr

 

 

 

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Rendez-vous à l'atelier 2014

 

 

 

« Rendez-vous à l'atelier 2014 »

Appel aux artistes plasticiens / Visuels en Rhône-Alpes et structures concernées ...

Inscription avant le 15 avril 2014
MAISON DES ARTS PLASTIQUES RHONE-ALPES
9, rue Paul Chenavard
69001 Lyon
Tél. : 04 78 29 53 13

La manifestation Rendez-vous à l'atelier en 2012, initiée par le Conseil Régional et organisée par la MAPRA a été un succès.

Elle est donc reconduite sur le même principe en 2014 :

Deux jours consacrés aux artistes, à leur oeuvre et à la rencontre des publics.

Au regard de la Région, cette manifestation a un double objectif qui est d'une part, de permettre aux artistes de communiquer sur leur travail et présenter leurs oeuvres dans un contexte particulier et d'autre part, de sensibiliser le public à la création artistique et à la situation des artistes. Il est souhaité que ce temps de rencontres soit l'occasion de nombreux échanges.

Cette manifestation couvre l'ensemble du territoire rhônalpin, (soit huit départements) tant les ateliers d'artistes installés en milieu urbain que ceux implantés en milieu rural, tant les ateliers individuels que les ateliers collectifs de même que les résidences et associations concernées. Les artistes sont, bien entendu, libres de participer ou non à cette manifestation.

Pour organiser ces deux journées à l'échelle de Rhône-Alpes, la Région a fait appel à la MAPRA. Ce projet nécessite en effet une connaissance pointue de la situation sur l'ensemble du territoire et un lien privilégié avec les artistes.

L'ensemble du milieu professionnel (centres d'art, lieux de diffusion, écoles d'art, galeries...) est invité à s'associer à cette manifestation.

Si vous souhaitez participer, il faut vous inscrire dès maintenant et AVANT LE 15 AVRIL.

 

www.rendezvousalatelier-mapra-art.org

 

 

 

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À vartan

Autoportrait © Frédéric-Vartan Terzian

 

 

 

« À vartan »

Photographies de Frédéric-Vartan Terzian

Exposition du 27 février au 24 avril 2014
Bibliothèque du 1er
La Condition des Soies
7, rue Saint-Polycarpe
69001 Lyon

Voir les horaires
EUDI 27 FÉVRIER À 18H30 / VERNISSAGE DE L'EXPOSITION

1994... Vingt ans se sont écoulés depuis la disparition de Frédéric-Vartan Terzian. De cette longue absence est née l'idée d'une nouvelle exposition. En effet, déjà en décembre 1988, la bibliothèque de la Part-Dieu organisait une importante manifestation autour des photographies de Frédéric.

2014... ses proches, fidèles à sa mémoire, font don à la Bibliothèque municipale de Lyon de l'intégralité de ses photographies (négatifs, planches-contacts et tirages). Cette démarche nous permet d'explorer à nouveau son univers, de nous plonger dans ses archives pour y découvrir de nouvelles images.

L'exposition présentée se compose d'une cinquantaine de photographies et objets personnels, reflets de ses recherches existentielles Elle témoigne des sujets de prédilection de Frédéric-Vartan Terzian : images de l'enfance, autoportraits, travail de mémoire auprès des rescapés du premier génocide du 20e siècle.

Elle nous offre en partage des images où l'argentique ; le jeu subtil du noir et du blanc deviennent les témoins d'une vie d'artiste trop vite arrêtée.

Sylvie Aznavourian, responsable des collections photographiques Bm Lyon

Le livre À Vartan, Filigranes Editions accompagne l'exposition.

 

www.php.bm-lyon.fr
www.numelyo.bm-lyon.fr

 

 

 

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Prix de l'Élysée

 

 

 

« Prix de l'Élysée »

Le Musée de l'Elysée lance un nouveau prix photographique

Date limite de dépot des candidature le 25 avril 2014
Musée de l'Elysée
18 Avenue de l'Elysée
1014 Lausanne
Switzerland

A travers ses expositions et son événement majeur en été, la Nuit des images, le Musée de l'Elysée soutient les photographes dans la production de leurs œuvres. Un prix photographique est une autre manière pour cette institution de remplir cette mission fondamentale. Dans un engagement commun pour encourager la créativité et la réalisation de nouvelles œuvres, le Musée de l'Elysée et Parmigiani Fleurier s'associent pour lancer le Prix Elysée.

Qui peut poser sa candidature ?

Le Prix Elysée est ouvert à des photographes ou des artistes prometteurs utilisant la photographie, quelle que soit leur nationalité, dont le travail a fait l'objet de premières expositions et publications. Ils sont recommandés par un professionnel reconnu dans le domaine de la photographie, de l'art contemporain, du cinéma, de la mode, du journalisme ou de l'édition. Tous les genres et techniques photographiques sont bienvenus. Le prix n'a pas de thème.

Comment ça marche ?

Le Musée de l'Elysée sélectionne huit nominés sur la base de leur dossier de candidature. Ils reçoivent une contribution de 5'000 CHF en vue d'une première présentation d'un projet inédit dans le livre des nominés, publié pour l'occasion. Ce livre ainsi que le dossier complet des nominés sont examinés par un jury d'experts pour désigner le lauréat, qui reçoit 80'000 CHF. Cette somme est attribuée pour moitié à la production du projet et pour moitié à la publication du livre de ce projet. Le lauréat doit mener son travail à terme en une année, au cours de laquelle il est suivi par un conservateur du Musée de l'Elysée. Le projet et le livre du lauréat sont présentés à la Nuit des images. Le livre des nominés et celui du lauréat sont réalisés par l'une des imprimeries de la Fondation de Famille Sandoz.

Comment poser sa candidature ?

Si vous êtes un photographe, ou si vous connaissez un photographe qui devrait poser sa candidature, toutes les informations utiles se trouvent sur www.prixelysee.ch

 

www.prixelysee.ch
www.elysee.ch

 

 

 

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Confrontations Gessiennes de la Photographie 2014

La Dynastie TAIRRAZ © invitée d'honneur des Confrontations Photo 2012

 

 

 

« Confrontations Gessiennes de la Photographie 2014 »

Appel à exposer

Date limite de dépôt des dossiers le 30 avril 2014
Collectif Confrontations
23, passage des Lavoirs
01170 GEX

Le Collectif Confrontations offre la possibilité à des photographes amateurs ou professionnels d'être sélectionnés pour exposer leur travail aux côtés des invités des Confrontations Gessiennes de la photographie 2014.

Après avoir pris connaissance du "Règlement de l'appel à exposer", veuillez remplir le "Dossier de sélection" et nous l'envoyer impérativement avant le 30 avril 2014

 

www.confrontations-gessiennes.org

 

 

 

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Désorienté

Photographie © Anna Puig Rosado

 

 

 

« Désorienté »

Photographies d'Anna Puig Rosado

Du 10 janvier au 19 avril 2014
La fabrique de l'image
2 rue de l'Oratoire
07400 Meysse

Du mercredi au samedi de 16h à 19h

" Quinze années à errer dans la solitude de contrées éreintées, Ormoz, Wadi Alfa, Quetta, bercée par le son velouté de l'obturateur du Leica.

Photographier des silences, presque en secret, en attendant le prochain bac, le bus d'après".

L'artiste :

Grande voyageuse, Anna Puig Rosado explore l'envers du décors dans des lieux atypiques, Sibérie orientale, Yémen, Soudan, Mer Noire, Comores, Erythrée et des mégapoles comme Dubaï, Shanghai, Pékin. Elle a d'abord travaillé pour la presse magazine parisienne et a développé son travail d'auteur en réalisant des expositions présentées en France et dans le monde – Angleterre, Allemagne, Yémen, Japon – Ses travaux photographiques sont souvent accompagnés de textes ou poèmes écrits par son compagnon de route Nicolas Joriot.

 

www.annapuigrosado.net
www.fabrique-image.fr

 

 

 

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S'approprier le paysage

photographies © Sophie Hatier

 

 

 

« S'approprier le paysage »

Workshop avec Sophie Hatier

Le 5 et 6 avril 2014
Les Alyssas
26130 Clansayes

Horaires: 9h-12h30/14h-18h
Coût: 150€ le week end (repas et hébergement à la charge du stagiaire) + 10€ pour Angle

Sophie Hatier vous propose une approche du paysage à partir de son expérience et de sa recherche sur le « presqu'abstrait » et sur la couleur.

Les participants, débutants ou avertis, seront accompagnés durant tout le processus créatif : repérage, composition, prise de vue, travail sur la couleur, commentaire d' images, editing, afin de les amener à développer un regard personnel et original.

Nous aborderons également l'histoire du paysage en photographie et ses différentes tendances, grâce à des projections : New Topography, École de Dusseldorf, mission DATAR, tableau photographique, mise en scène...

Déroulement du week-end :

Présentation du travail de Sophie Hatier et des images des élèves qui le désirent
Présentation de différents appareils, 6x6 et chambre argentiques, 24x36 numérique
Repérages
Prise de vue
Histoire de la photo (le paysage dans la photographie)
Lecture d'images et editing
Les travaux seront présentés à Angle Art Contemporain, lors d'un week-end (Mai)

Effectif : 10 personnes maximum
Materiel requis : appareil numérique (et ordinateur, si possible).
Âge minimum : 16 ans

Inscriptions : hatier_sophie@yahoo.fr
P:06 85 54 05 52

Sophie Hatier, photographe, est installée à Grignan dans la Drôme. Son travail photographique se partage entre reportage, collaboration presse, photographie de plateau, exposition*, action pédagogique et démarche personnelle.

Pour cela, elle voyage à travers la France et le monde à la recherche de paysages à capturer dans son appareil 6x6. Bien que les paysages parcourus soient de natures différentes, ils se rejoignent dans leur « presque abstraction ». Les tirages photographiques aux nuances subtiles qui en résultent, dégagent un sentiment de sérénité venue probablement de Mongolie ou elle se rend régulièrement.

Sophie Hatier travaille actuellement avec le collectif FTL, France(s) Territoire Liquide, projet réunissant 42 photographes dans le but de poursuivre une recherche photographique sur le nouveau paysage français. En juin, une grande exposition réunira les 42 photographes.Un livre aux éditions du Seuil sortira également en juin.

Projet en partenariat avec la DATAR dans le cadre de leur cinquantenaire.

« Il n'y a rien de plus surréel, rien de plus abstrait que la réalité » Morandi

* Ses photographies ont notamment été exposées à Angle en janvier 2012

 

www.sophiehatier.com
www.lesalyssas.com
www.angle-art.fr

 

 

 

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Canettes

photographie © Philippe Ayral

 

 

 

« Canettes »

Photographies de Philippe Ayral

de 7 au 29 mars 2014
Le Garenne
rue du Coppet 18
1870 Monthey Suisse

Ouvert de 14h à 18h

Sublimer le détritus pour l'élever au rang de représentation symbolique de la consommation contemporaine, tel est l'enjeu de cette nouvelle exposition de Philippe Ayral.

Intitulée «Canettes», la nouvelle série de tirages de l'artiste immortalise l'un des produits phares

de notre société. Les clichés de grand format, imprimés au Platine / Palladium, transforment chaque image en objet rare.

Non content d'être ainsi dévoilé comme oeuvre d'art à part entière,le vulgaire déchêt d'aluminium devient témoin de l'histoire de consommation

d'une région du globe. Il semble, dès lors, appartenir à l'univers très sélectif des cabinets de curiosités.

 

www.payral.fr
www.legarenne.ch

 

 

 

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Un pont c'est tout

Photographie © Tristan Zilberman

 

 

 

« Un pont c'est tout »

Photographie de Tristan Zilberman

Du 28 février au 30 mars 2014
Maison de la tour
1 rue des écoles
26230 Valaurie
04 75 96 01 29

Ouvert de 14h à 18h
du mercredi au dimanche

Cette série de photographies est issue d'un reportage photo réalisé à l'occasion de la réhabilitation d'un ancien pont sur le Rhône dans la commune de Rochemaure en Ardèche.Le vieux pont suspendu de Rochemaure, hors d'usage depuis des années, a été transformé en passerelle himalayenne et se trouvera sur le parcours de la Viarhona, la piste cyclable qui relie le Lac Léman à la Méditerranée. Le suivi photographique effectué sur 6 mois, a vu toutes les phases de la transformation de l'ouvrage et les étapes du chantier qui s'est parfois déroulé dans des conditions extrêmes.

Ce projet a également fait l'objet d'un ouvrage édité par la commune de Rochemaure et intitulé “Renaissance himalayenne".

Tristan Zilberman est né en 1969 à Valence dans la Drôme. Il débute la photo en 1995 et cela devient rapidement pour lui, une passion. Il acquiert quelques rudiments par le biais d'un club photo et se lance dans l'aventure. En tant que photographe amateur, il va présenter ses travaux dès 1997, en organisant des expositions. Le plus souvent des photos de voyage, ou des reportages sur différents thèmes au gré des opportunités, la photo humaniste constituant son registre de prédilection.

En 2011, il crée la “Fabrique de l'Image", un espace dédié à la photographie, un atelier d'impression qui est aussi un lieu d'expo.

 

www.tristanzilberman.com
www.maison-de-la-tour.fr

 

 

 

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Blackground

Photographie © Philippe Estienne

 

 

 

« Blackground »

Photographies de Philippe Estienne

Du 28 février au 30 mars 2014
Maison de la tour
1 rue des écoles
26230 Valaurie
04 75 96 01 29

Ouvert de 14h à 18h
du mercredi au dimanche

À la prise de vue, je ne vois que la lumière qui se dessine dans le paysage urbain et je la saisis. Au moment du tirage je ne vois que la géométrie des ombres que je révèle. Apparaissent alors, les petits détails qui donnent toute la profondeur à la photographie. Ce qui donne une lecture frontale de loin et une perception spatiale de près.

Philippe Estienne est né en 1964 à Lyon. Après des études de physique, il entre à l'Ecole Supérieure des Arts et Design de Valence. Après son diplôme en 1988, ses productions artistiques sont exploratoires entre l'art et la science avec l'aide d'ordinateur comme interface et support.

Certains travaux sont développés avec le CNRS. En 1989 et 1991, il réalise 2 courts-métrages entièrement infographiques “Mémoires d'image, mémoire de mouvements? et “N7? présentés à la semaine d'art contemporain de Montélimar en 1991.

En 1994, il travaille à l'Institut de l'Art et Technologie (le IAT) à Moscou en collaboration avec des artistes russes, Youri Leiderman, et Sergeï Shutov. Ils réalisent ensemble des recherches sur la création informatique dans le cadre de happening.

En 2000, dans le cadre d'une mission polaire, il met au point le webmasting dans les lieux extrêmes à Resolute Bay (Territoire du Nunavut – Canada).

En 2006, il participe au vidéo-clip “Le souvenir" du groupe de rock Matmatah comme designer vidéo et coréalisateur ; ensuite au documentaire sur leur dernière tournée “Bande à Par".

En 2007, il réalise des interventions de Vjing dans le cadre de concerts électro et de commandes de villes (Valence, entre autres) jusqu'en 2012.

De 2007 à 2012, il met au point un drone professionnel de prise de vues et participe en tant que cadreur pilote à l'expédition au Groenland, sur le film “Le Piège Blanc" diffusé dans l'émission Thalassa sur France 3.

Parallèlement, il enseigne à l'Ecole Supérieure des Arts et Design de Grenoble-Valence en tant que professeur en infographie et multimédia depuis 1991. Il a, par ailleurs, enseigné à EURINSA (département européen de l'INSA de Lyon) sur les hyper médias de 1998 à 2008.

Tout au long de son parcours, Philippe Estienne a toujours eu la photographie comme compagne. Qu'elle soit argentique ou numérique. La seule chose qui l'intéresse, c'est de poser un regard différent sur l'espace qui l'entoure.

 

www.maison-de-la-tour.fr

 

 

 

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Green Impact

Photographie © Patrice Thomas

 

 

 

« Green Impact »

Photographies de Patrice Thomas

Du 28 février au 30 mars 2014
Maison de la tour
1 rue des écoles
26230 Valaurie
04 75 96 01 29

Ouvert de 14h à 18h
du mercredi au dimanche

Que voir ? Pourquoi voir ceci et non cela ? Comment le donner à voir ? Autant de questions qui, peu à peu, l'accompagnent vers un désir d'abstraction. L'abstraction c'est aussi un réel capturé et interprété ; sa question est de savoir si l'abstraction n'est pas simplement de ne plus rien voir... !

Patrice Thomas est né en 1954, il vit dans la Drôme. La photo fut d'abord pour lui la photo publicitaire. Comme pour beaucoup de jeunes photographes à la fin des années 70, l'assistanat auprès d'un professionnel s'avérait être une possible voie pour entrer en photographie.

En créant son propre studio à Paris, il travaille pour des campagnes publicitaires ; pris dans le défilé de directeurs artistiques, il manque de temps pour mettre en avant son travail personnel.

La publicité, avec un déménagement vers le Sud, s'échappe alors de son univers.

Les reportages pour l'agence Explorer la remplacent bien avantageusement. De nombreux voyages suivis de publications le confirment dans ce choix du reportage, mais aussi le souhait de montrer un travail personnel. Après une mission photographique mandatée par le ministère de la Culture sur le projet de la Pyramide du Louvre durant deux ans, la publication de plusieurs ouvrages, notamment sur le Nord de la France (éditions Punch), la participation à la création d'un magazine sur le vin (Cépages Magazine) et d'un autre sur les régions du Nord (Pays du Nord), le photo- journalisme devient une nouvelle voie où le texte s'ajoute à la photo.

Depuis, c'est cette activité qu'il pratique pour plusieurs publications, ponctuée d'expositions présentant une orientation d'un travail très personnel.

Publications personnelles :

Editions Punch
“Le Boulonnais entre ciel terre et mer"- 1991
“La Côte d'Opale"- 1992
“Voyage en Pays Boulonnais"- 1993
“Les Flobarts"- 1998
Editions Tallandier
“Les fromages du Nord", texte de Philippe Olivier – 1998

Expositions personnelles :

WC publics de Vaison-la-Romaine -1985
Ferme des Arts à Vaison-la-Romaine - 1990, 2013
Piscine de Vaison-la-Romaine - 2004
Expositions collectives :
Palais de Tokyo (Paris) -1978
Dieppe (80) - 1998
Mirabel-aux-Baronnies (26)- 2009 et 2010

 

www.maison-de-la-tour.fr

 

 

 

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La Vie dangereuse

©Marine Lanier, Fougères, Espagnac, France, 2012, série La Vie dangereuse, 2013

 

 

 

« La Vie dangereuse »

Photographies de Marine Lanier

Du 8 mars au 27 mars 2014 Vernissage le samedi 8 mars à partir de 17 h
Le Lac de Saint Etienne / Artothèque Idéograf, 62bis rue Henri Déchaud, 42100 St Etienne

Du lundi au vendredi en téléphonant au 06 20 51 81 00

Ce projet a reçu le soutien de la DRAC Rhône-Alpes dans le cadre de l'Aide Individuelle à la Création.

Le titre "La Vie dangereuse" est emprunté à l'oeuvre éponyme de Blaise Cendrars. La série poursuit de manière arbitraire le rythme même du parcours d'aventurier de l'écrivain - l'espace littéraire ici lié aux césures géographiques, la déliquescence du sauvage tenue aux soubresauts de la mémoire.

Le propos n'est pas d'illustrer la nouvelle "J'ai saigné", mais de faire se rencontrer la fiction et l'autobiographie.

Ces close-up sont comme les fulgurances d'un homme en proie aux délires provoqués par la fièvre. La course folle que j'invente, celle d'un soldat blessé de 1915, est confrontée à la rémanence de mes souvenirs lacunaires. Le récit d'errances impossibles intriqué aux éclats d'une généalogie morcelée.

Marine Lanier, Crest, décembre 2012

Marine Lanier vit et travaille dans une région dont elle est originaire et qu'elle connaît bien. Ces photographies sont ancrées dans ce territoire et dans ce sol-là, et c'est ainsi qu'elles peuvent en partir et évoquer d'autres espaces, l' Ouest américain, l' Océan Atlantique ou la Grèce Antique.

Le lieu de la prise de vue est toujours précisé dans les titres des images. Ses photographies de lichens, de mousse, de bois calciné et de brasiers évoquent une nature sauvage et primitive, intemporelle. Les quelques hommes qui surgissent de temps à autres sont des êtres-animaux, des bêtes, au corps épais et à l'odeur âcre. Ils sont comme des arbres ; de l'écorce et des racines. Ils sont beaux comme la nature est belle : c'est-à-dire coriace, indépendante et vibrante.

A chacune des séries de photographies, Marine Lanier associe un texte littéraire. Plus qu'un accompagnement ou qu'une citation, ce texte est à chaque fois comme une autre image qui viendrait s'ajouter à la série. On ne sait si c'est le texte qui a suscité les images, ou si ce sont les images qui ont conduit au texte. Ce qu'on devine, c'est qu'il y a derrière ces rapprochements, ces frottements de la littérature avec la photographie, une intention de lectrice.

Les extraits que Marine Lanier choisit et place dans ses séries photographiques sont empruntés à Joseph Conrad, Jack London, Blaise Cendrars, Calamity Jane, mais aussi Gilles Deleuze, Virginia Woolf ou Denis Diderot. Ce sont des mots qu'on lit, mais ce sont des images qu'on voit. Des paysages amples, des chevaux lancés au grand galop dans de poussiéreux déserts, des craquements et des souffles de bêtes. Il y est question de survie et d'extrême, de monstres marins, de glace, de forêt, de guerre. Souvent, ce sont des histoires lointaines. Des auteurs datés dans des lieux éloignés, ramenés au plus près, ici, dans un morceau de buisson vert sombre de la Drôme. Marine Lanier parle de "césure". Césure géographique, césure temporelle. Encore une fois, c'est un déplacement : déplacement des mots vers l'image, déplacement d'un récit qui se passe en pleine mer, dans le Far West ou en Alaska, dans les paysages drômois ou arméniens. Surtout, par cette césure, c'est une confusion qui est provoquée : tout comme un gros plan nous laisse libre d'imaginer le hors-champs, l'association d'un texte à une série photographique brouille l'époque et le lieu de la prise de vue, brouille la lecture qu'on fait d'une image. Elle élargit l'espace dans lequel on la situe.

Plus qu'une association de la littérature et de la photographie, Marine Lanier met en évidence l'évidente porosité qui existe entre les deux ; ils se frottent et se ressemblent.

Touchant à la littérature, les photographies touchent à la fiction, et touchant aux lieux et aux temps, elles touchent aussi à l'Histoire et à la Géographie.

Le travail de Marine Lanier réside donc dans les interstices créées par les déplacements et les césures. Déplacement du titre vers l'image, du détail vers l'ensemble, de la littérature vers le photographique, d'une époque vers une autre, d'un espace vers un autre. Ces mouvements forment des espaces intermédiaires, innommables et secrets, dans lesquels celui qui regarde – celui qui lit – peut se glisser pour s'approprier l'image. C'est sa place, son point de vue pour pouvoir projeter ce qu'il veut. C'est là que naissent les histoires. Ce sont des portes.

Les déplacements permettent les résonances : elles permettent de nous faire sentinelle et de nous placer à un poste d'observation où l'on peut avoir la vue la plus large. Où l'on peut regarder de façon aiguisée, contempler les ensembles faits de détails, de séries, de textes et d'images. C'est dans ces espaces que les échos se font ; qu'on envoie les choses au plus loin et qu'elles nous reviennent réverbérées, multipliées, associées à d'autres.

Nina Ferrer-Gleize, Des échos, Étival-Strasbourg-Paris, décembre 2013

 

www.marinelanier.com
www.artotheque-ideograf.com

 

 

 

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La nuit de l'instant

Olivier Crouzel à la Place Puits Baussenque : Prix de La Nuit de l'Instant 2011

 

 

 

« La nuit de l'instant »

Soutenez la manifestation

La Nuit de l'Instant est un moment festif et gratuit dans le plus vieux quartier de Marseille, fait de rencontres avec des œuvres, des lieux, des artistes. Pour sa cinquième édition, La Nuit de l'Instant présentera des œuvres innovantes (installation, vidéo, performances, diaporama ... ) dans des lieux patrimoniaux ou spécialement ouverts pour l'occasion : théâtre, galeries, caves, restaurants, salons de thé, centres sociaux...

QUI ?

Depuis 1996, Les Ateliers de l'Image réalisent des actions artistiques et pédagogiques dans le domaine de la photographie, et développent un projet cohérent en reliant de manière honnête la pensée, la parole et l'action et un engagement avec un territoire et ses habitants.

Ce projet est une approche collective, sensible et réfléchie, des questions liées à la production, à la lecture et à l'utilisation des images photographiques aujourd'hui.

Aujourd'hui la photographie est en question. Le numérique a révolutionné ses pratiques et ses supports, multiplié ses utilisateurs, bouleversé notre manière de regarder les images. Dans ce contexte, nous avons voulu créer La Nuit de l'Instant, une manifestation qui veut accompagner et stimuler une réflexion sur les nouvelles frontières de la photographie. Ce projet de territoire affirme aussi notre volonté de diffuser l'image la plus contemporaine pour un public le plus large possible, en accompagnant des groupes scolaires, des habitants du quartier et les visiteurs dans la compréhension du travail des photographes.

QUOI ?

Sous forme d'un parcours artistique La Nuit de l'Instant réunit différentes propositions artistiques autour de la photographie, mais sous d'autres formes que la photographie papier.

Comme une manière de montrer la photographie sans photographie, à travers différents dispositifs et formes artistiques. Une question centrale nous sert de guide : à partir de l'idée d'image fixe, comment la photographie peut-elle être abordée de manière transversale par d'autres médiums ?

Vidéos, installations multimédia, créations numériques, projections, diaporamas, films, peintures, dessins... vont questionner le regard à travers la présentation de plus de cinquante artistes qui abordent la photographie de manière expérimentale, originale et novatrice.

COMMENT ?

Un autre aspect à souligner c'est notre engagement pour réaffirmer et revaloriser les liens de sociabilité et de solidarité, créés depuis 17 ans avec différents partenaires dans le quartier du Panier à Marseille. Partenaires historiques ou plus récents, institutions reconnues ou bien structures culturelles et associatives de quartier, l'intérêt mutuel nous fédère et nous implique vers un idéal démocratique : la mise en commun des moyens et du savoir faire, la libération des énergies et des initiatives, et l'engagement dans notre vie culturelle.

C'est le lien entre des structures et des lieux très différents qui fait toute la particularité de la manifestation. C'est aussi grâce au soutien et à l'aide des membres et des bénévoles des Ateliers de l'Image qu'elle est rendue possible.

POURQUOI ?

Après avoir organisé la manifestation pendant quatre ans avec le strict minimum de financements, et devant la baisse des aides publiques ou privées, nous avons aujourd'hui besoin de trouver de nouveaux moyens pour organiser la manifestation La Nuit de l'Instant qui depuis deux ans connaît un très grand succès populaire. L'appel à contribution est notamment lancé suite au refus de soutenir la venue et l'accueil des artistes africains à Marseille pour l'édition 2014, et, compte tenu de la baisse générale des financements, pour laisser libre et gratuite l'accès à la manifestation pour les visiteurs comme pour les artistes.

À QUOI SERVIRA LA COLLECTE ?

Inviter quatre artistes africains (originaires de Bamako) dont le travail sera présenté pendant La Nuit de l'Instant 2014, les loger les nourrir. Cout estimé : 3000 euros.

Garder la gratuite d'inscription des artistes pour l'appel à participation (la plupart des festivals demandent en effet aux artistes une PAF lors des appels à participation). Cout estimé : 2000 euros.

Pouvoir maintenir la manifestation sur deux jours. Cout supplémentaire estimé : 2000 euros. Permettre de conserver la gratuité de la manifestation pour qu'elle puisse être partagé par le plus grand nombre. Coût inestimable.

 

www.kisskissbankbank.com/soutenez-la-nuit-de-l-instant-2014
www.ateliers-image.fr

 

 

 

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Poétique de l'espace dans un monde fini

Photographie © Fabienne Forel

 

 

 

« Poétique de l'espace dans un monde fini »

Photographies de Fabienne Forel

Du 8 mars au 13 avril 2014
Galerie le NEUF
9 place de la halle DARDE
34700 Lodève

Vernissage 7 mars à 18h30

Parcourant les limites extrêmes de l'Europe, Fabienne Forel propose une vision poétique du monde en soulignant la spécificité d'un territoire tant au niveau de la lumière que du relief.

Sensible aux atmosphères climatiques, l'artiste essaye de rendre compte de la "géographie universelle" dont parle Elisée Reclus.

Après de nombreuses expériences dans le domaine de l'art de l'écriture, l'artiste travaille aujourd'hui à la conception d'un langage photographique à travers ses recherches sur le voyage et sur l'espace initiatique et créatif.

Elle a réalisé plusieurs expositions sur les thèmes de l'identité et du voyage.

C'est cette volonté que traduit cette exposition, projet photographique sur les limites physiques et symboliques de l'Europe, où se mêlent voyage et poésie.

Venez découvrir cette exposition qui ne manquera pas de vous faire voyager aussi bien dans la beauté de la nature que dans la réflexion sur des problématiques actuelles, grâce à des paysages sublimes et chargé de sens, notamment en Islande où la toute puissance de la nature interroge sur les limites humaines.

Photographe-voyageuse, Fabienne Forel poursuit une approche exploratoire et sensitive du monde qui favorise le rapprochement avec la dimension humaine et avec la sensation d'unité au-delà de la diversité.

Une captation photographique d'une errance où le monde reste ouvert et créateur...

 

www.fabienneforel.com
www.galerieleneuf.org

 

 

 

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Helvétiquement autre

Photographies © Max Jacot et Julie Sauter

 

 

 

« Helvétiquement autre »

Montages photographiques de Max Jacot et Julie Sauter

Du 30 janvier au 29 mars 2014
Fotografika
10 rue du Borgeaud
1196 Gland

Du lundi au samedi:
09:00 – 12:00
14:00 – 18:30
Fermé le mardi matin et samedi après-midi

Vernissage le 30 janvier à partir de 18h en présence des artistes.

« Après avoir sillonné la Suisse, une dizaine de milliers de prises de vue plus tard, le travail d'atelier a commencé, entre chambre noire, lame de rasoir et pinceau.

Un immense jeu avec toutes ces images associant comme dans les rêves des fragments du réel, étrangers les uns aux autres.

Max Jacot et Julie Sauter ont mêlé le quotidien au mythe, le jour à la nuit, le vrai au faux, la nature à la ville. Ainsi sont apparues de nouvelles réalités, construites avec lenteur, assez fortes pour avoir survécu à la fragilité des possibles. »

Biographie

Max Jacot (1947) et Julie Sauter (1959), tous deux nés en Suisse romande, se sont d'abord associés par le biais de créations théâtrales. Fascinés par l'image, dès 1983, ils développent à partir de montages photographiques une technique personnelle vouée à l'illustration d'une réalité détournée, au bord de l'illusion fantastique. S'ensuivent alors plusieurs séries de travaux exposées en Suisse et en France.

Dans les années 90 Max Jacot et Julie Sauter ont peu à peu passé à des oeuvres de formats plus grands et développé des interventions sous forme de performances. Ils ont créé des mosaïques photographiques et des fresques exécutées en public, notamment aux Rencontres photographiques d'Arles en tant que maîtres de stages.

Parallèlement Max Jacot a créé de nombreuses plateformes internet pour la photographie, les acteurs, les figurants et le cinéma. Il utilise aujourd'hui principalement la photographie digitale et s'oriente parallèlement vers les arts de l'écran et les performances de rue.

Au milieu des années 90, Julie Sauter a quitté le monde de l'image. Elle a été active en tant que conteuse et surtout dans le domaine de la lutte contre l'illétrisme.

 

www.voir.maxjacot.com
www.fotografika-gallery.com

 

 

 

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Sur la route – voyage itin'errant, comme envie d'ailleurs ou cheminement perpétuel

 

 

 

« Sur la route – voyage itin'errant, comme envie d'ailleurs ou cheminement perpétuel »

La Maison de l'Image lance un appel aux photographes et vidéastes contemporains

Date limite le 14 mars
Contact et renseignements
La Maison de l'Image
97 Galerie de l'Arlequin
38100 Grenoble
04.76.40.48.35
contact@maison-image.fr

Dans le cadre de la 2ème édition de ses rencontres photographiques en mai prochain, La Maison de l'Image exposera à l'Ancien Musée de Peinture de Grenoble une série de photographies de Dorothea Lange, intitulée Migrant Farmers.

A cette occasion, La Maison de l'Image lance un appel aux artistes (photographes, vidéastes contemporains) professionnels et amateurs, portant sur le thème « Sur la route – voyage itin'errant, comme envie d'ailleurs ou cheminement perpétuel ».

Figure emblématique du photojournalisme de l'entre-deux guerres et de la Grande Dépression aux Etats-Unis, Dorothea Lange s'illustre par son engagement civique à travers des photos qui dépeignent la misère de la population agricole américaine. Migrant Farmers est le résultat d'un travail commandité par la Farm Security Administration en 1935, pour témoigner des conditions de vie et de travail des fermiers américains qui, poussés à l'exode rural sont dès lors surnommés les « migrants ».

Quatre-vingt ans plus tard, ces images documentaires font toujours écho à l'actualité. Les thèmes abordés par Dorothea Lange constituent de véritables sujets de société (migration, pauvreté, crise...) qui résonnent auprès de chaque citoyen.

En parallèle de Migrant Farmers, une exposition rassemblant le travail de photographes et de vidéastes confirmés qui offriront une variation contemporaine des sujets traités par Dorothea Lange, sera présentée dans la salle Matisse de l'Ancien Musée de Peinture du 7 au 25 mai 2014.

A ce titre la Maison de l'Image lance un appel aux photographes et aux vidéastes de la région qui apporteront un regard nouveau sur la migration autour du thème: Sur la route - voyage itin'errant, comme envie d'ailleurs ou cheminement perpétuel

Les œuvres sélectionnées seront exposée dans la Salle Matisse de l'Ancien Musée de Peinture du 7 au 25 mai 2014, en parallèle de l'exposition Migrant Farmers.

 

www.dromeardeche-solidaires.org
appel_a_photographies_2014_siteweb.pdf

 

 

 

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De l'Atlantique à la Méditerranée / Du Portugal à la Grèce

© Bernard Plossu
Portugal, Porto, 1999

 

 

 

« De l'Atlantique à la Méditerranée / Du Portugal à la Grèce »

Photographies Bernard Plossu

Du 22/01/2014 au 12/04/2014
Galerie Le Réverbère
38 rue Burdeau
69001 Lyon

Entrée libre et gratuite

De retour en Europe en 1985, cette vieille Europe un peu oubliée, là-bas sur les hauts plateaux du Mexique Nouveau des gringos. Envie de tout voir pour mieux comprendre les racines. Mais le sud, puisqu'il s'agit de cela, ce n'est pas que la Méditerranée ! Ceci dit, les îles grecques, cliché absolu du sud, au risque de dire une chose tant dite, c'est vraiment la dimension du paradis ! Invités en Grèce plusieurs fois, Françoise et moi, d'Athènes à Thessalonique aux îles du Dodécanèse, on découvre. C'est déjà l'Orient. La lumière y est tranchante, vive, blanche même parfois quand le soleil est trop fort. Et le bateau vogue d'île en île, avant la saison estivale : quels merveilleux paysages, quels moments paisibles, quelle bonne nourriture ! Plein de photos, avec toujours le sobre 50mm sur le vieux Nikkormat.

De l'autre côté du sud, c'est l'océan Atlantique, celui qui va jusqu'aux Amériques. Sur ce versant européen portugais, il règne une poésie faite de brume, de nuages, de la gentillesse des gens, des signes encore du passé. Ce n'est pas par hasard que j'ai appelé mon livre sur le Portugal O pais de poesia, «Le pays de la poésie»... Il se dégage de l'ambiance et de la lumière quelque chose de différent : la lenteur du temps, loin du bruit méditerranéen... Et pourtant, même si il y a de la brume, on n'est pas dans les pays nordiques comme l' Angleterre ou la Normandie, c'est autre chose, c'est presque déjà un livre en main dont les pages tournent en douceur... Porto, Coimbra, Braga et Lisbonne, et tout le temps sur la route, à nouveau.

Avec le Portugal et la Grèce, on est vraiment dans deux mondes. Même si les grandes villes poussent pareillement ! Même si les autoroutes arrivent, même si le présent rattrape tout...L'idée de réunir les images de ces deux pays extrêmes du sud européen est apparue sans motivation profonde, ni raison précise : et c'est précisément cela qui fait que l'idée a germé : cette non-raison cartésienne, cette manière de peut-être juste les réunir pour le plaisir, visuellement comme dans la vie... Et le fado ne me contredira pas, si différent du bouzouki et des pas de danses effrénées, et pourtant, et pourtant, les deux musiques, grecque de chants lancinants, et portugaise de chants qui semblent tristes, ne parlent-elles pas exactement de la même chose ? Bien-sûr !

Bernard Plossu, 2013

 

www.galerielereverbere.com

 

 

 

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Explorer le portrait

Photographie © Anna Puig Rosado

 

 

 

« Explorer le portrait »

Stage photo numérique animée par Anna Puig Rosado

Week-end du 22 et 23 mars 2013
Atelier Bildo Photo
400 chemin du Rastelet
26770 Roche Saint Secret

Inscriptions sur bildo@netcourrier.com
180 euros le week-end - repas du dimanche midi et collations inclus
de 9h-18 h avec pause à midi
TEl 04 75 53 69 21

En Drôme provençale dans le charmant village de la Roche saint Secret (à 10 minutes de Dieulefit et Grignan)

Venez passer un week-end 100 % photo pour explorer le portrait accompagnée par Anna Puig Rosado photographe reporter passionnée (plus de 15 d'expérience).

Voici un avant gout du planning du week-end «explorer le portrait» :

- Alternance entre prises de vue et vidéoprojection commentée tout au long du week-end.
- Prises de vue de portrait au naturel, ou mise en scène en intérieur et/ou extérieur.
- Prises de vue en groupe et par deux (photographe et sujet en alternance).
- Iconographie sur la photographie de portrait avec une sélection de livres.

Le programme détaillé vous sera envoyé par mail 10 jours avant le stage.

 

www.annapuigrosado.net

 

 

 

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Développement des fichiers RAW de la prise de vue au tirage d'art

Développement des fichiers Raw, avant et après - Stage "Le Raw" 2013
© Photos (de haut en bas) de : Clara Charpail, Jean-Marc Sohier et Jean Cardo

 

 

 

« Développement des fichiers RAW de la prise de vue au tirage d'art »

Stage organisé par la Balance des blancs et la Fabrique de l'image

Renseignements sur le programme au 06 74 55 20 12

Samedi 1er mars 2014 de 10h à 18h
TARIF : 122,50 €

La Fabrique de l'image
2, rue de l'Oratoire
07400 Meysse

POUR INITIÉS
Avec le photographe Tristan Zilberman
Nombre de participant : 4 à 6 personnes

Venez faire une expérience unique, en un même stage vous passerez de la prise de vue au développement de l'image jusqu'à son tirage sur papier "Fine Art", dans les conditions d'un atelier photographique professionnel.

Ce stage vous propose de découvrir toute la chaine graphique du traitement de l'image et en particulier la chaine de développement des fichiers RAW*. En petit groupe, vous expérimenterez une méthode qui vous permettra d'améliorer la qualité de vos images dès la prise de vue et jusqu'à l'impression sur papier "Fine Art".

* Le fichier RAW est l'équivalent en argentique du négatif ; c'est un fichier qui conserve toutes les données brutes de l'image et toutes ses nuances. Il permet de réaliser de très beaux agrandissements.

Pour plus d'information c'est ici

 

www.labalancedesblancs.net
www.fabrique-image.fr

 

 

 

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De la naissance de l'image à sa disparition

 

 

 

« De la naissance de l'image à sa disparition »

La pierre triste

Jeudi 13 mars 2014 à 18 h
Lux scène nationale
36 av. Général De Gaulle
26000 Valence

Jeudi 13 mars 2014 à 18 h

Georges Didi-Huberman

Philosophe et historien d'art.

Il s'intéresse tout particulièrement à la théorie des images de la Renaissance à aujourd'hui, thème sur lequel il a publié plus d'une trentaine d'ouvrages.

Né à Saint-Etienne en 1953, il a été pensionnaire à la Villa Medicis et enseigne depuis 1990 à L'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales à Paris.

Entretien avec Anne Favier (enseignante en Histoire de l'art à l'Université de St-Etienne) et Philippe Roux (enseignant à l'Ecole des Beaux-Arts de St-Etienne)l

Jeudi 13 mars 2014 à 20 h

Un film proposé et présenté par Georges Didi-Huberman

“La Pierre triste“ (Agelastos petra)

Réalisation, scénario, image, production : Filippos Koutsaftis. Grèce, 2000

Pourquoi ce film ? Parce qu'il est assez rare que le cinéma s'attache ainsi aux profondeurs de la terre. Assez rare qu'il s'attache avec autant de tendresse et d'opiniâtreté ? douze années de tournages erratiques mais obstinés dans le site d'Éleusis ? à saisir ce qui survit de mystères passés, de villes enfouies, de vies enfuies. Filippos Koutsaftis a pensé le cinéma comme un art des survivances, une archéologie au sens plein du terme. Mais l'archéologie est un champ de batailles, et pas seulement de fouilles. Le cinéaste a bien vu que les choses survivantes se faisaient la guerre à chaque moment : choses survivantes pour tuer la mémoire (les usines pétrochimiques, l'asphalte par-dessus la Voie sacrée), contre lesquelles des êtres survivants luttent pour redonner naissance à quelque chose, comme chez cet homme qui erre parmi les pierres et en prend soin comme d'enfants blessés. Tout cela guidé par un phrasé d'images si simples et de mots si profonds qui font de ce film un seul et grand poème.

Georges Didi-Huberman.

Dans le cadre du cycle de conférences, proposé par les Amis du musée de Valence (en partenariat avec le Lux scène nationale)

 

www.lux-valence.com
http://amis-musee-valence.fr
http://www.louvre.fr/cycles/la-chaire-du-louvre-georges-didi-huberman-l-album-de-l-art-l-epoque-du-musee-imaginaire

 

 

 

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La Belle indifférence

Le bruit m'arrivait comme les vagues de la mer ©Stéphanie Lehu

 

 

 

« La Belle indifférence »

Photographies de Stéphanie Lehu

Du 10/03 au 15/03/14
ICM - Hôpital de la Pitié Salpêtrière
47 bd de l'Hôpital
75013 Paris

Entrée libre

A l'occasion de la Semaine du Cerveau, l'Institut du Cerveau et de la Moelle Epinière et la Bibliothèque Universitaire Pierre et Marie Curie invitent l'artiste photographe Stéphanie Lehu à présenter l'exposition photographique « La Belle Indifférence », inspirée de l'Iconographie de la Salpêtrière. Plusieurs ouvrages issus de la bibliothèque personnelle de Jean-Martin Charcot seront exposés en parallèle dans la bibliothèque Charcot (BUPMC).

Rencontre avec l'artiste le mercredi 12 mars à 17h.

 

www.stephanielehu.com
www.icm-institute.org

 

 

 

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Mensonge#5 : les Ralentis

 

 

 

« Mensonge#5 : les Ralentis »

Images Béatrice Darnal

Février 2014
Edition FluxTendu

Son nom est Roberte. Dans son monde la chair a été recouverte. Dans son monde l'abstraction n'a plus cours. Son nom est Léon. Inextinguible, chimérique, il s'offre à ceux qui passent. N'est visible qu'aux pareils. Son nom est Pipistrelle. Elle est l'ange du dessous du jour, une région du sommeil. C'est un endroit la tête en bas.

 

www.darnal.com
www.edition-fluxtendu.fr

 

 

 

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Migrants farmers

Photographie © Dorothea Lange

 

 

 

« Migrants farmers »

Photographies de Dorothea Lange

Du mardi 11 février au samedi 8 mars 2014
Médiathèque du Trente
30 avenue du Général Leclerc
38 200 Vienne

Mardi : 13h / 18h Mercredi : 10h / 18h Jeudi : Fermeture Vendredi : 13h / 18h Samedi : 10h / 18h

Les photographies poignantes des sans-abris réalisées par D. Lange attirent l'attention de la Resettlement Administration (cet organisme fédéral gère l'installation des familles en difficultés dans des communautés prévues pour leur accueil).

L'agence recrute la photographe en 1935 et publie dans les journaux de tout le pays ses clichés de la pauvreté et de la détresse qui touchent alors violemment les Etats-Unis.

Les photographies étant propriété de l'Etat, elles sont publiées sans demande de paiement, ce qui contribue à leur propagation rapide et à faire des personnes photographiées des icônes de l'entre-deux-guerres américaine.

 

www.culture.vienne.fr

 

 

 

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Mon lieu secret

© Ernesto Timor

 

 

 

« Mon lieu secret »

Des Lyonnais dans l'œil d'Ernesto Timor

Du 18 février au 08 mars 2014
Mairie du 1er
2, place Sathonay
69001 Lyon

Entrée libre.
Du lundi au vendredi de 17h à 20h, le samedi de 10h à 12h. Vernissage mardi 18 février à 18h30.
Rencontre mardi 25 février à 18h.

Le sens de Mon lieu secret a été de photographier les gens dans un cadre qui prolonge peu ou prou leur paysage intérieur. Un lieu auquel ils tiennent profondément, d'ampleur variable (du grand panorama au petit cabinet), privé ou public, mais qu'ils ont envie de me présenter : un lieu dont ils sont prêts à entrebâiller le secret pour le plaisir d'un partage pas banal. Chacun est libre d'interpréter à sa façon cette notion de lieu secret, je ne pousse personne vers du plus typique, du plus insolite ou du plus intime que son choix initial !

Installé à Lyon depuis trois ans, j'y suis curieux de son urbanité dans les deux sens du terme, de ses habitants comme de ses lieux... C'est ainsi qu'a démarré ce projet, au petit bonheur des rencontres, dans l'idée que cette galerie de portraits serait riche de sa diversité et de son évolutivité et trouverait en chemin sa cohérence. Une cartographie mentale s'est dessinée bien plus qu'un énième circuit du Lyon insolite, une manière de dire en images comment chacun peut vivre son espace intime dans une grande ville.

NB : Rencontre mardi 25 février à 18h. Entre réel, image et imaginaire, quelle perception de la ville ? Avec Gilbert Vaudey, auteur de Le nom de Lyon (éd. Christian Bourgois) et d'autres invités...

Je serai présent chaque jour (ce qui explique les horaires d'ouverture un peu particuliers), disposé à vous rencontrer et bien sûr à dédicacer le livre "Mon lieu secret" récemment paru...

 

www.ernestotimor.com
www.mairie1.lyon.fr

 

 

 

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© Stephane Lallemand, La grande Odalisque, 163 x 120 cm, Tirage lambda sous diasec, 2007

 

 

 

« Délectation morose »

Dessins, photo de Stéphane Lallemand

Du 18 janvier au premier mars 2014
Galerie d'exposition du théâtre
Rue de la Recluse
07000 Privas

Entrée libre du mercredi au samedi de 15h à 18h et les soirs de spectacle. Sur réservation pour les groupes scolaires Renseignements : 09 70 65 01 15

Stéphane Lallemand né en 1958 à Strasbourg. « L'objet de ma démonstration, c'est ce principe général que la vie imite l'art bien plus que l'art n'imite la vie. (...) à qui donc, sinon aux impressionnistes, devons-nous ces admirables brouillards fauves qui se glissent dans nos rues, estompent les becs de gaz et transforment les maisons en ombres monstrueuses ? (...) Qu'est-ce, en effet, que la nature ? Ce n'est pas une mère féconde qui nous a enfantés, mais bien une création de notre cerveau ; c'est notre intelligence qui lui donne la vie. Les choses sont parce que nous les voyons, et la réceptivité aussi bien que la forme de notre vision dépendent des arts qui nous ont influencés. (...)» Oscar Wilde. Le théâtre a probablement inventé la photographie à moins que ce ne soit le contraire... Il ne manquait que deux ou trois trucs pour conserver les images mais l'essentiel était là. Une scène, des cadres, des tableaux vivants, un rideau (d'obturateur), un opérateur... La photographie serait donc une forme de théâtre réservée aux sourds, comme un film mis sur pause. Des poses, des modèles, déposés là dans des scènes pour quelques représentations qui empruntent aux maîtres anciens leurs compositions. La construction patiente de mon musée imaginaire...

Stéphane Lallemand, mai 2013

Stéphane Lallemand possède cette conscience du rôle important qu'entretiennent ses œuvres photographiques avec l'histoire de l'art convoquée à chaque regard, jamais dans un souci d'imitation mais plutôt de création de nouvelles distances, de recréation d'un nouveau désir érotisé et emprunté. Sur l'aspect technique, mais aussi sur les ambiances finement observées, réappropriées par un souffle comme pour célébrer le corps féminin dans une nudité au cœur et parvenir à s'infiltrer dans des scènes ainsi décortiquées avec détachement.

Jean-Luc Gerhardt, mai 2013

 

www.stephanelallemand.net
www.theatredeprivas.com

 

 

 

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Mémoire[S]

Les Nénettes, 2013 © Stéphanie Lehu

 

 

 

« Mémoire[S] »

Photographies de Stéphanie Lehu

Du 29 janvier au 8 mars 2014
Angle art contemporain
Place des arts
26130 Saint-Paul-Trois-Châteaux
Et du 27 janvier au 3 février dans les commerces de Saint-Paul-Trois-Châteaux

Du mercredi au samedi de 14h à 18h

Dans le cadre des 30 ans de la Fête du livre de jeunesse, la photographe Stéphanie Lehu a été invitée à mener un projet en collaboration avec des familles du Tricastin. Les familles ont partagé avec l'artiste un ensemble d'ouvrages jeunesse (albums, BD, romans...) qui ont été marquants pour elles. Ensuite, Stéphanie Lehu s'est basée sur les illustrations et les textes pour réaliser une série de photographies, humoristiques et poétiques, mettant en scène la famille.

 

www.stephanielehu.com
www.angle-art.fr
www.slj26.fr

 

 

 

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Carnac - Autour de Guillevic

Photographie © Aldo Soares

 

 

 

« Carnac - Autour de Guillevic »

Photographies de Aldo Soares

Du 09 janvier au 15 mars 2014
Regard Sud galerie
1-3, rue des Pierres Plantées
69001 LYON

Inauguration le jeudi 09 janvier 2014 à 18h00
La galerie est ouverte du mardi au samedi de 14h à 19h et sur rendez-vous au +33 04 78 27 44 67

Est un travail personnel du photographe Aldo Soares en hommage au grand poète breton Eugène Guillevic disparu en 1997.

"Carnac" (Éd. Gallimard, 1961) est une oeuvre poétique dépouillée et incisive qui interroge la présence mystérieuse des objets et des êtres qui nous entourent. Une poésie comme un rocher libre disait un critique littéraire.

Cette exposition originale présente une série d'images en noir et blanc, aux accents oniriques, réalisées en 2008 à Carnac, ville natale du poète.

Une modeste contribution avec cette libre interprétation en images de la poésie de Guillevic, dans un univers où le monde est toujours extérieur et dérobé à l'homme.

Aldo Soares Né près de Porto, il vit et travaille à Paris. Sa famille quitte le Portugal en 1965 pour s'installer dans le Nord de la France. Après des études scientifiques, il rejoint la capitale à la faveur d'un emploi dans l'administration dont il demissionne en 1987 pour se consacrer la photographie.

La publication d'un portfolio de portraits dans le magazine Zoom l'année suivante lui ouvre les portes du monde professionnel. Ses premières commandes de portraits et de reportages sont ainsi publiées dans Globe et Libération en 1988. Quelques mois plus tard, l'agence de communication RSCG lui confie sa première campagne publicitaire.

Son travail personnel ou de commande, s'articule autour de son thème de prédilection : Les Gens.

 

www.aldosoares.com
www.regardsud.com

 

 

 

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Rendez-vous Image

Lauréat 2013 - 1er prix ex aequo
Samir BELKAÏD - Alzheimer, oubier la mer (France)

 

 

 

« Rendez-vous Image »

Salon Photos - Livres - Vidéos

Du 31 janvier 2014 au 02 février 2014
Palais de la Musique et des Congrès,
Place de Bordeaux,
67000 Strasbourg

Tarif normal : 5€

Rendez-vous Image est une manifestation annuelle visant à promouvoir l'image fixe et animée par la rencontre entre les photographes, leurs travaux et le public. 50 auteurs, des livres et des vidéos sont exposés du 31 janvier au 2 février 2014 au Palais des Congrès de Strasbourg. De nombreux stages photos et vidéos de tous niveaux sont proposés durant le week-end (panoramique, lumière, nu, portrait, architecture).

 

www.rdvi.fr
www.strasbourg-events.com
www.facebook.com/pages/Rendez-vous-Image

 

 

 

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Châtaigniers et couleurs d'Ardèche

Photographie © Christian Boucher

 

 

 

« Châtaigniers et couleurs d'Ardèche »

Photographies de Christian Boucher

Du 15 janvier au 20 février 2014
Centre d'art et d'histoire André Auclair
07 Cruas
Vernissage le vendredi 17 janvier 2014 à 18h00

Entrée libre
Du mercredi au dimanche de 15h00 à 18h00.

Des Cévennes Ardéchoise aux Boutières, le Châtaignier fait partie intégrante du paysage Ardéchois. Le châtaignier n'est pas seulement un arbre, c'est une partie de l'économie Ardéchoise avec des gens qui travaillent et vivent autour d'une filière fruit et d'une filière bois. C'est aussi toute une valorisation et animation orchestrées par le CICA (Comité Interprofessionnel de la Châtaigne d'Ardèche) et le Parc Naturel Régional des Monts d'Ardèche, d'un fruit plein de qualités.

Les photos de la présente exposition sont en partie extraites du livre « Ardèche, la civilisation du châtaignier » (diapositives Fuji Velvia). Les autres photos de type « numérique » ont été réalisées cette année avec un Nikon D800. Les tirages ont été effectués avec du papier Canson Infinity Rag Photographique 300 gr.

 

www.christian-boucher.com
www.ardeche-guide.com

 

 

 

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Fluent

Photographie © Laëtitia Donval

 

 

 

« Fluent »

Photographies de Laëtitia Donval

Du 19 décembre 2013 au 9 février 2014
Château royal de Collioure
66190 Collioure

Restitution du travail de résidence de Laetitia Donval à Lumière d'Encre, sur la Vallée de la Têt.

Laetitia Donval a abordé le territoire et le paysage de l'eau dans la vallée de la Têt par la rencontre de ses habitants. Son travail de résidence avec Lumière d'Encre s'est construit par ce cheminement.

Sa photographie, d'abord empreinte de son paysage intérieur, s'ouvre au monde qu'elle redécouvre dans une expérience intime.

Une expérience artistique d'immersion, entière et vivante, spontanée et onirique avec le fleuve comme perspective et comme guide.

Un travail où se confrontent son pays intérieur et un pays de contrastes, de dureté et d'évasion, pour une vision subjective du monde.

 

www.lumieredencre.fr
www.collioure.com

 

 

 

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Prix La Photographie_Maison Blanche # 3 (suite)

©Marine Lanier, Les Epines, Lorca, Espagne, extrait de la série La Vie dangereuse, 2013

 

 

 

« Prix La Photographie_Maison Blanche # 3 (suite) »

Exposition des Lauréats : Marie Sommer / Anke Schüttler/ Lisa Sudhibhasilp / Marine Lanier / Randa Mirza

Du 9 janvier au 8 février 2014
Galerie MAD
Galerie de l'Ecole Supérieure d'Art et de Design Marseille-Méditerrannée
30 bis Boulevard Chave
13005 Marseille

Tel : 04 91 82 83 45
Du mardi au samedi, de 15 h à 19 h.
Vernissage le jeudi 9 janvier à 18 h30

Le Festival dévoile au public à travers plusieurs expositions les lauréats du Prix La Photographie_Maison Blanche #3, le travail de Robert Frank à travers l'ouvrage Les Américians édité par Delpire dont l'influence sur la photographie contemporaine est majeure et le travail actuel d'un des photographes de l'édition précédente.

 

www.mp2013.fr

 

 

 

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Nuit de l'Instant - 5 ème édition

© Myriam Richard (prix nuit de l'instant 2013)

 

 

 

« Nuit de l'Instant - 5 ème édition »

Appel à Participation

Date limite : 31 janvier 2014
Les Ateliers de l'Image / La Traverse
La Nuit de l'Instant
28-38, rue Henri Tasso
13002 Marseille

Dans le cadre de La Nuit de l'Instant 2014, Les Ateliers de l'Image -pôle de création et d'éducation à l'image photographique à Marseille- lancent un appel à participation international ouvert à des artistes plasticiens dont sa production tisse des liens avec l'image fixe.

Programme Artistique

La Nuit de l'Instant réunit différentes propositions artistiques autour de l'image et de la photographie, mais sous des formes autres que la photographie papier. Une manière de montrer la photographie à travers différents dispositifs (diaporama, vidéo, installation, film mais aussi théâtre, poésie, son, performance...)

Différents parcours et formes artistiques autour d'une question centrale : à partir de l'idée d'image fixe, comment la photographie peut-elle être abordée de manière transversale ?

La proposition de La Nuit de l'Instant autour de la photographie est un projet de territoire qui affirme une volonté de diffuser l'image la plus contemporaine, pour un public le plus large possible. Les travaux sélectionnés sont montrés dans des lieux très divers (théâtres, salles de concert, centres d'animation, associations, vitrines, institutions culturelles, souterrains, monuments historiques, écoles... ), ouverts spécialement pour l'occasion.

La Nuit de l'Instant est donc un moment de découvertes et de rencontres avec des œuvres et des lieux, via des parcours à la fois libres et organisés.

Dates de la manifestation : 18 et 19 avril 2014

 

www.lanuitdelinstant.tumblr.com

 

 

 

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Master pro création et gestion de l'image numérique

© Elisabeth Legras

 

 

 

« ... »

Exposition collective Master pro

Du 08 au 31 janvier 2014
La Fontaine Obscure - Espace Photographique Galerie,
24 av. Henri Poncet,
13090 Aix-en-Provence

Vernissage samedi 8 janvier à 18h30

La Galerie la Fontaine Obscure accueille les étudiants du Master Professionnel Création Numérique d'Aix-Marseille Université et présente une exposition collective de leurs travaux photographiques.

Le numérique est en développement et évolution constants et propose un large panel d'outils de création avec lesquels il est possible de jouer. Ces outils permettent, entre autre, ledétournement de pratiques dites « traditionnelles ».

Dans le cadre de leurs études les étudiants en master professionnel « création numérique » ont eu l'occasion d'expérimenter ces outils de diverses manières. Et c'est dans la continuité de leurs pratiques personnelles et universitaires qu'ils souhaitent exposer une partie de leurs créations, à la frontière entre photographie et art numérique.

Chacun de ces neufs jeunes créateurs, avec son regard et sa sensibilité, présente une série d'oeuvres originales, poétiques ou philosophiques questionnant des thématiques aux perspectives très diverses, allant de la relation entre l'homme et la terre, la représentation du cyberspace, les questions sur la fin de la vie, le rapport à l'identité, le détournement publicitaire, le visible et l'invisible, en passant par la désincarnation humaine et l'hybridation corporelle.

 

www.fontaine-obscure.com

 

 

 

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Videographies

© Nicolas Clauss

 

 

« Videographies »

Tableaux numériques de Nicolas Clauss

Du 22 janvier au 18 février
Lux Scène nationale
36 bd du général de Gaulle
26000 Valence

Vernissage le 21 janvier à 18h30

Les tableaux numériques de Nicolas Clauss, visuels et sonores et ses installations génératives ou interactives constituent un univers fait de superpositions de textures et de timbres, où se mêlent peinture, photographie, vidéo, son et algorithmes. Nicolas Clauss propose à lux Vidéographies et une installation créée avec Sylvain Kassap, Antscape.

Vidéographies constitue le prolongement des recherches menées par l'artiste depuis ces dix dernières années autour de l'image filmée et de l'aléatoire. Elle propose sept pièces dont trois créations. Vidéographie parce que le matériau filmé est exploré tant dans sa dimension temporelle que dans sa dimension spatiale (comme une carte ou un paysage). Aléatoire parce que les modes d'exploration de ces vidéographies s'appuient sur des écritures qui intègrent le hasard algorithmique. Dans ces sept pièces la vidéo devient un paysage en mouvement, pictural ou non, sans début ni fin et où la durée est dilatée. Ses recherches croisent celles du compositeur clarinettiste Sylvain Kassap dans l'installation Antscape : une œuvre picturale et musicale pour plusieurs écrans où partitions sonore et visuelles dialoguent entre elles, laissant une place importante à la dimension aléatoire.

 

www.nicolasclauss.com
www.lux-valence.com

 

 

 

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Konverzacie

Photographie © Anne Loubet

 

 

 

« Konverzacie »

Photographies de Suzanne Hetzel, Anne Loubet, Flore Gaulmier, Pascal Grimaud et Gilles Pourtier

Du 15 janvier au 15 février 2014
Les ateliers de l'images / La Traverse
28 - 38 rue Henri Tasso
13002 Marseille

Vernissage le mardi 14 janvier à partir de 18h00

Retour sur résidences, photographies de Suzanne Hetzel, Anne Loubet, Flore Gaulmier, Pascal Grimaud et Gilles Pourtier réalisées dans la ville slovaque de Kosice, dans le cadre du programme de résidences d'artistes proposées par Les Ateliers de l'Image et Photo Art Centrum.

Lorsque Kosice et Marseille ont été désignées toutes deux capitales européennes de la culture pour l'année 2013, Photo Art Centrum à Kosice et Les Ateliers de l'Image à Marseille se sont rapprochés et ont convenu de travailler ensemble. Pour le centre photographique slovaque, cet accord s'inscrivait dans le prolongement de Second Cities, un projet d'échanges photographiques entre secondes villes européennes. Côté français, ce projet de résidences a été baptisé Regards Croisés.

Dès 2010, français et slovaques sont accueillis et posent leur regard sur les deux villes. Au-delà de leurs manifestes différences géo climatiques et historiques, ce qui rapproche ces villes foisonne. Ainsi, les photographes de Kosice découvrent avec étonnement les cités marseillaises. A Kosice, la majorité des habitants logent dans de tels grands ensembles qui s'étendent à la périphérie d'un centre-ville circonscrit. Ce modèle urbain résidentiel leur paraît à même de confronter des particularités fondamentales de Marseille et de Kosice. En 2011, des photographes slovaques reviennent arpenter différentes cités de Marseille, tandis que les photographes français, eux, continuent leur exploration personnelle, voire intimiste, de Kosice et de ses abords.

L'exposition à La Traverse vous présente un dialogue entre cinq séries photographiques, dialogue de cinq artistes avec un territoire. Elle est le fruit du travail des photographes français pendant leurs séjours à Kosice. Outre leur dimension documentaire, ces images sont intéressantes par la différence de traitement qu'elles réservent à l'étude photographique de lieux citadins ou périurbains. C'est qu'à travers son point de vue, sa sensibilité, son style, ses obsessions, chacun a fait sienne la ville des autres.

 

www.ateliers-image.fr

 

 

 

 
"LA FABRIQUE DE l'IMAGE" est une activité de Pollen Scop - siret : 439 076 563 000 48

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