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Événements - Archives 2015

 

© Anesofie

 

 

 

« "Instans du Tribunal" »

Photographies d'Anesofie

Du 25 novembre au 25 décembre 2015
Tribunal de Grande Instance de Privas
10 Cours du palais
07000 PRIVAS

Du lundi au vendredi de 9h à 11h45 et de 13h30 à 16h

C'est une série de 24 images qui révèle grâce à la photographie d'art des instants uniques, d'une administration et d'un lieu souvent ignoré par le grand public.

L'exposition débutera avec la journée du forum d'accès au droit et à la justice, qui se tiendra le mercredi 25 Novembre de 9h à 15h30.

 

www.anesofie-creations.blogspot.fr

 

 

 

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Le monde n'est pas loin

© Bernard Coste

 

 

 

« Le monde n'est pas loin »

Photographies de Bernard Coste et Tristan Zilberman

Du 13 novembre à Février 2015
Studio l'oeil écoute
2 montée Bouton d'or
26200 Montélimar

LU MA JE VE SA
10:00-12:00 + 14:00-19:00

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

Le monde n'est pas loin

En ce monde nous marchons
Sur le toit de l'enfer
Et regardons les fleurs.

C'est comme si Bernard Coste et Tristan Zilberman, chacun avec sa sensibilité et son style, abordaient le monde avec au coeur ce haïku d'Issa. Et peut-être aussi cette question essentielle que pose Philippe Jacottet : est-ce que les fleurs «parlent plus haut que l'enfer » ; ou parlent-elles « de ce qui pourrait l'emporter à la fois sur elles et sur lui » ?

Leur travail puise aux contradictions de ce monde, en lisière du grave et du beau, de l'équilibre et de la rupture, du désespoir et de l'espérance. Leurs photographies nous proposent de porter sur l'homme et le monde un regard positif, néanmoins conscient des précipices et des impasses de la photographie de voyage, un regard jamais exempt de notre responsabilité de faiseurs d'images.

Marie Meulien

 

www.tristanzilberman.com
www.oeil-ecoute.com

 

 

 

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Whirlwindsong

© Cécile Le Talec

 

 

 

« Whirlwindsong »

Cécile Le Talec

Du 17 octobre au 28 février
Château des Adhémar
26200 Montélimar

Mêlant architecture, arts numériques et sonorités, Whirlwindsong est une aventure artistique qui questionne les frontières entre le langage et l'espace.

Cécile le Talec explore des espaces intermédiaires, le visible et l'invisible, le sonore et son silence, le mouvement et la disparition du geste. Depuis 2004, elle mène une recherche sur les langues sifflées, langues miroirs utilisées par quelques communautés dans le monde. Ses explorations l'ont conduite en Espagne (Iles Canaries/La Goméra), au Mexique (État de Oaxaca) et en Chine (Province de Guizhou).

Par ses rencontres avec des linguistes, des phonéticiens, des musiciens et des compositeurs, cette œuvre se nourrit du langage sifflé et construit des récits où le matériau mélodique est la matrice d'un ensemble de vidéos, sculptures, photographies, dessins, pièces sonores. De ces traversées polymorphes aux confins de la langue, du chant et du paysage émane une dimension de laboratoire où les œuvres naissent dans les expériences entre le plastique et le mélodique.

Au château des Adhémar, l'exposition Whirlwindsong s'inscrit à la suite de ses précédentes explorations sonores et privilégie une approche musicale du territoire. Son dispositif s'articule autour de 3 grands projets réalisés au Japon (septembre 2015) et en France, notamment dans le cadre d'une résidence estivale à Moly-Sabata en Isère.

Complémentaires, une installation, un film et une composition musicale questionnent les formes de territoires générés par les langues, les géographies et la musique, tout en entrant dans la sphère de la technicité numérique. Les installations inédites, principalement pensées in situ, joueront avec l'architecture du lieu.

Le premier projet est un film vidéo enregistré et réalisé à Naruto au Japon, à l'été 2015. Il prend la forme d'une vidéo/partition. L'eau étant un matériau que Cécile le Talec utilise depuis plusieurs années dans ses sculptures ; présentement, elle va filmer les turbulences marines d'un lieu singulier du Japon.

Pour le second projet, elle présente une installation sonore qui sera réalisée et mise en oeuvre en France, en août et septembre 2015, dans le cadre de sa résidence de création / production à la Fondation Albert Gleizes / Moly-Sabata à Sablons en Isère. Cette installation se présente sous la forme d'un « plancher chantant » et d'une toile suspendue en mouvement (dispositif sonore et numérique). Les fichiers sons auront été enregistrés sur le site de Naruto au Japon. Le plancher s'inspire du « parquet rossignol » du Palais de Nijo de Kyoto. La toile monumentale suspendue et en mouvement sera réalisée selon la technique du Suminagashi (encres flottantes).

Quant au troisième, il prend la forme d'un concert/performance, d'une œuvre musicale électro-acoustique composée par Haruyuki Suzuki à partir du film partition et des enregistrements sonores de Naruto. Cette composition sera interprétée par plusieurs musiciens dans l'installation.

 

www.chateaux-ladrome.fr

 

 

 

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2 expositions : Escape / Ferveurs extrêmes, les pèlerins de Sheikh Hussein.

© Céline Ravier

 

2 expositions : Escape / Ferveurs extrêmes, les pèlerins de Sheikh Hussein.

© Anna Puig Rosado

 

 

 

« 2 expositions : Escape / Ferveurs extrêmes, les pèlerins de Sheikh Hussein. »

Photographies d'Anna Puig Rosado et Céline Ravier

Du 13 au 23 décembre
Galerie craft
50 rue du Bourg
26220 Dieulefit
04 26 51 55 85

JE VE SA DI LU 10:30 - 12:30 + 16:00 - 19:00
Vernissage 15 nov à 16:00

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

ESCAPE

À Tel Aviv, dans les vieux quartiers où vivent les communautés russes, yéménites et africaines, les murs et les espaces vocifèrent et questionnent cette identité israélienne décousue.

La ville est tournée vers la mer, la seule frontière impartiale, le seul chemin de fuite, mais aucun bateau n'apparaît jamais.

De retour, en regardant mes images, un mot semblait apparaître, «Escape».

Ferveurs extrêmes, les pèlerins de Sheikh Hussein.

ETHIOPIE. Dans la province montagneuse du Balé se tient depuis des siècles le plus important pèlerinage musulman de toute la corne d'Afrique. Venant d'Ethiopie, de Somalie ou d'Érythrée, des dizaines de milliers de pèlerins, trop pauvres pour effectuer le pèlerinage vers la Mecque, convergent vers le minuscule mausolée de Sheikh Hussein, grande figure de l'introduction de l'islam dans les immenses territoires Oromo. Autour du tombeau de ce saint vénéré pour ses miracles, à la croisée de l'islam et des croyances africaines, le petit village perdu d'Annajina devient alors un haut lieu de foi, rassemblant manifestations et rites propres à chaque appartenance tribale...

 

www.annapuigrosado.net
www.celineravier.com
www.craftespace.com

 

 

 

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Amish, un monde décalé

© Marta Rossignol

 

 

 

« Amish, un monde décalé »

Photographies de Marta Rossignol

Du 13 au novembre à janvier 2015
GALERIE LE QUAI
17 Bd du Fust
26200 Montélimar
04 75 51 23 13

LU MA ME JE VE SA DI 14:30-19:30
Vernissage 14 nov à 19:00

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

La communauté Amish renvoie l'image d'un monde figé dans la rusticité d'un passé oublié. Elle fait la joie des touristes aux berlines rutilantes qui roulent au rythme des «buggies». Un musée à ciel ouvert, un Disneyland de la «petite maison dans la prairie». Pourtant ces hommes et ces femmes restent imperturbables face aux sirènes de la société matérialiste boursouflée qui bourdonne autour d'eux.

Droits dans leurs bottes de labour et fidèles à leur pensée religieuse, les Amish persistent dans la simplicité et la sobriété. Cette obstination est vite attachante, il suffit de s'attarder sur leur mode de vie et leur fierté «d'hommes» simples et libres pour être séduit et marqué à tout jamais... Avec cette perpétuelle question :

Et si ils avaient raison ?

 

www.martarossignol.com
www.lequaideco.overblog.com

 

 

 

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Rajasthan, les porteuses de vie

© Annie Sorrel

 

 

 

« Rajasthan, les porteuses de vie »

Photographies d'Annie Sorrel

Du 13 au 30 décembre 2015
Nougat Arnaud Soubeyran
Avenue du Gournier Zone commer. sud
26200 Montélimar

LU MA ME JE VE SA 09:00-19:00
DI 10:00-12:00 + 14:30-18:00
Vernissage 21 nov 16:00

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

Au Rajasthan, Etat de l'Inde resté très traditionnel, à la campagne, les femmes portent !

Elles portent l'eau, le bois, le fourrage, les bassines, les offrandes au temple, les enfants... Elles, les porteuses de vie, femmes fascinantes au port de reine, qui se redressent sous le fardeau, gracieuses dans leurs gestes, leurs voiles, leurs bijoux.

Plus encore elles portent le poids des traditions, des inégalités, mais elles avancent à leur rythme, s'éduquent, progressent...

Cette exposition se veut une évocation de leur quotidien, à la croisée de leur regard, au partage de leurs sourires, un hommage à leur beauté, leur courage, leur dignité et leur merveilleux sens de la vie !

 

www.nougatsoubeyran.com

 

 

 

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Phot'Aix 2015

© Risaku Suzuki

 

 

 

« Phot'Aix 2015 »

Regards Croisés Japon-Provence

Du 8 octobre au 31 décembre 2015

Depuis 15 ans, PHOT'AIX, Festival de Photographie, organisé à Aix-en-Provence par la Fontaine Obscure s'attache à relever un double défi :

  • Promouvoir la photographie contemporaine en favorisant les échanges entre artistes français et étrangers dans le cadre de l'exposition internationale Regards Croisés
  • Faire descendre la photographie dans la rue et favoriser l'émergence de nouveaux talents, en organisant Les Parcours photographiques thématiques à Aix en Provence et dans le Pays d'Aix.

Du 8 octobre au 31 décembre 2015, Regards Croisés accueille le Japon : 5 photographes japonais seront invités à "croiser" leur regard avec 5 photographes français, à la Cité du Livre d'Aix-en-Provence, sous le regard d'un parrain prestigieux : Risaku Suzuki.

 

www.fontaine-obscure.com
Programme

 

 

 

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Photographie(s) Lyon & co

 

 

 

« Photographie(s) Lyon & co »

Agenda #5 - septembre à décembre 2015


Grâce à un bel échange avec la Biennale de Lyon 2015, ce carnet n° 5, encore aux couleurs de l'été, sera distribué à l'ensemble des invités aux journées professionnelles les 8 et 9 septembre puis à l'entrée de

tous les lieux de la Biennale jusqu'au?3 janvier 2016.?Je les remercie chaleureusement de cette reconnaissance du travail accompli pour faire découvrir la photographie sous ses formes multiples dans les différents espaces de l'art à Lyon (dans ce numéro 25).

Je vous souhaite à tous une 13e Biennale de Lyon passionnante et riche en découvertes.

Catherine Dérioz

 

www.facebook.com/pages/Photographies-Lyon-co
Télécharger l'agenda

 

 

 

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Parenthèse 2015 - Photojournalisme

© Sébastien Van Malleghem

 

 

 

« Parenthèse 2015 - Photojournalisme »

douard Elias, Corentin Fohlen, Capucine Granier-Deferre, Cyril Marcilhacy et Sébastien Van Malleghem

Du 7 septembre 2015 au 3 janvier 2016
Lithos
Centre d'Art Contemporain
3 passage de la cure
26130 Saint Restitut

Ouvert tous les jours sauf le lundi 14h30 -17h30
Entrée libre

La nouvelle garde, sur une proposition de Mathilde Boussion, journaliste à 6 mois et XXI

Vernissage le lundi 7 septembre à 19h Précédé d'une table ronde en présence des photographes : Edouard Elias, Corentin Fohlen, Capucine Granier-Deferre, Cyril Marcilhacy et Sébastien Van Malleghem en dialogue avec Nicolas Daubanes.

 

www.cacstrestitut.wordpress.com

 

 

 

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Incidence & ainsi danse,

 

 

 

« Incidence & ainsi danse, »

Stéphane BÉRARD - Rémi DAL NÉGRO - Pierre GAIGNARD - Stephen LOYE - Lou MASDURAUD - Gérard MEURANT - Cécile NOGUÈS - France VALLICCIONI

Exposition du 29/08/15 au 9/01/2016
ANGLE ART CONTEMPORAIN
PLACE DES ARTS
26130 SAINT-PAUL-TROIS-CH�TEAUX

?Du mercredi au samedi de 14h à 18h

En résonance avec la Biennale de Lyon 2015, nous avons le plaisir de vous inviter au vernissage de l'exposition Incidence & ainsi danse, le samedi 29 août à partir de 12h.

Sur une proposition de Thierry Mouillé, 8 artistes sont invités à exposer leurs projets de résidence dans le cadre de Summerlake.

[Stéphane BÉRARD - Rémi DAL NÉGRO - Pierre GAIGNARD - Stephen LOYE - Lou MASDURAUD - Gérard MEURANT - Cécile NOGUÈS - France VALLICCIONI]

Summerlake est une résidence internationale ouverte depuis 2010 à l'ESAAA (Ecole Supérieure d'Art de l'Agglomération d'Annecy). Chaque mois d'août, au bord du lac, l'ensemble des ateliers et moyens de production de l'école d'art est mis à la disposition des artistes en résidence.

Cette exposition diffusée à Angle est produite par l'ESAAA.

A NOTER :

Ainsi danse & incidence

CONCERT-PERFORMANCE SAMEDI 29 AOÛT À 20H

Par les 8 artistes de la résidence Summerlake

Théâtre du Vallon, Domaine des Alyssas, 26130 Clansayes

 

www.angle-art.fr

 

 

 

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Paysages conjugués

© Pierre de Fenoÿl
Castelnau de Montmiral, Tarn, 1985-1987, Datar
Courtesy Galerie Le Réverbère, Lyon

 

 

 

« Paysages conjugués »

Photographies de Pierre de Fenoÿl

Du 5 septembre au 31 décembre 2015
Galerie Le Réverbère
38 rue Burdeau
69001 Lyon

En Résonance avec la Biennale de Lyon 2015
Du mercredi au samedi de 14 h à 19 h et sur rendez-vous en dehors de ces horaires.
Vernissage
samedi 5 septembre de 15h à 20h

En 2012, pour la première exposition de Pierre de Fenoÿl intitulée Le miroir traversé, nous avions décidé de souligner ce qui fait "l'écriture" de ce photographe : sa puissance d'abstraction, le silence du temps installé dans chaque photographie. Nous n'avions respecté ni chronologie, ni thématique mais choisi d'associer librement ses photographies pour que la qualité du trait de son regard apparaisse comme une évidence.

Pour cette deuxième monographie en 2015, titrée Paysages conjugués (présentée en parallèle de la rétrospective conçue par Le Jeu de Paume au Château de Tours), nous concentrons notre choix sur deux grandes périodes de l'oeuvre qui révèlent le “vocabulaire? plastique de Pierre de Fenoÿl : l'Egypte et la commande passée par la Datar sur le paysage français. La puissance de construction de ses images par les masses d'ombre et de lumière qu'il dresse pour organiser l'abstraction de son regard, le basculement des plans, la frontalité qui structure l'espace, érigent le temps en durée.

Aux éditions Barral juin 2015 Pierre de Fenoÿl une géographie imaginaire , textes Jacques Damez,Virginie Chardin et Peter Galassi

 

www.galerielereverbere.com

 

 

 

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Escape (Tel Aviv, mars 2015)

© Anna Puig Rosado

 

 

 

« Escape (Tel Aviv, mars 2015) »

Photographies d'Anna Puig Rosado

Du 17 octobre au 23 décembre 2015. Vernissage le samedi 17 octobre à partir de 17h en présence d'Anna Puig Rosado.
Galerie Craft
50 rue du Bourg
26220 Dieulefit
TEl : 04 26 51 55 85

Du jeudi au lundi inclus, de 10h30 à 12h30 et
16h à 19h.

Extrait du texte "Escape"

(...)A Tel Aviv, dans les vieux quartiers où vivent les communautés russes, yéménites et africaines, les murs et les espaces vocifèrent et questionnent cette identité israélienne décousue.

La ville est tournée vers la mer, la seule frontière impartiale, le seul chemin de fuite, mais aucun bateau n'apparaît jamais (...).

 

www.annapuigrosado.net
www.crafespace.com

 

 

 

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Nos Feux nous appartiennent

©Marine Lanier, Eldorado #15, Montélimar, 2013

 

 

 

« Nos Feux nous appartiennent »

Photographies et textes de Marine Lanier

Du 10 octobre 2015 au 21 novembre 2015
Artothèque de Grenoble
Bibliothèque Kateb Yacine
Centre commercial Grand'Place
Grenoble

Horaires
12h – 18h30 du mardi au samedi de septembre à juin.
Vacances scolaires : du mardi au samedi de 13h à 18h.

NOS FEUX NOUS APPARTIENNENT

Exposition personnelle, dans le cadre des journées d'art contemporain, Artothèque Kateb Yacine de Grenoble - vernissage le samedi 10 octobre 2015 à 17 h 30 - exposition du 10 octobre au 21 novembre 2015.

L'exposition réunit différentes séries : Rituel (2007), Construire un feu (2010), Les Lointains (2011), Les Vagues (2013), Eldorado (2013), La Vie Dangereuse (2007-2015). L'idée de conquête occupe une place centrale dans cet ensemble. Des personnages fictionnels et réels se côtoient. Il s'agit d'une mythologie d'aventuriers, mercenaires, hors-la-loi, pionniers, vue à travers le prisme de lectures primitives ayant marqué l'enfance. Leurs représentations questionnent notre enracinement, l'idée de chute inhérente aux expéditions. Parallèlement, comme deux fils qui se croisent, Marine Lanier ranime des souvenirs familiaux sur un mode sensoriel, à la fois par l'image et l'écriture. Sa recherche se situe dans cet interstice, à la frontière du passé et du présent. Elle explore ici le thème du clan, et dans son prolongement, l'idée d'appartenance, par les récits qui le façonnent, les imaginaires lointains auxquels les légendes familiales nous renvoient. Que signifie alors sortir du clan, et dans le même mouvement se réconcilier, afin d'approcher un troisième lieu ? Le clan, mot d'origine gaélique, évoque la famille. Il est également en relation avec la plante, et nous parle ainsi de rameau, de racine, de ramifications, éléments qui reviennent de manière obsessionnelle - je viens d'une famille de jardiniers, paysagistes, pépiniéristes, horticulteurs, fleuristes. Depuis cinq générations, les hommes de ce clan organisent l'espace, cherchent à le maintenir, à le discipliner. Ils taillent les arbres, charrient les déchets, les brûlent, surveillent les feux, transportent les racines à l'arrière des remorques, ratissent les feuilles de cours pleines de graviers, plantent des haies vives, livrent des fleurs, habillent les enterrements, les baptêmes, les anniversaires, les mariages, participent à tous les rituels qui donnent forme à une vie. L'odeur de l'eau des fleurs est une chose qui saisit la famille. Un parfum qui sidère. C'est un écho de fleurs fanées, de mousses vertes, de tiges coupées au sécateur, de sève entière qui se répand. *

* Marine Lanier, La Pépinière, Crest, 2015

CHIEN DU SOLEIL - De l'éblouissement et de l'ombre dans l'histoire de la photographie

Conférence, Artothèque Kateb Yacine de Grenoble par Marine Lanier dans le cadre de la fête de la science - samedi 10 octobre 2015 à 16 h

La lumière désoriente le temps, le diffracte, le multiplie, elle nous place devant le temps*. Un parhélie, également appelé faux soleil, soleil double, œil de bouc ou chien du soleil, est un phénomène optique lié à celui du halo solaire, consistant en l'apparition de deux répliques de l'image du soleil, placées horizontalement de part et d'autre de celui-ci. Le terme est parfois utilisé, dans un sens figuré, pour décrire le pâle reflet, le double amoindri, de quelque chose ou de quelqu'un. Le réel est double. Pour voir la vérité, il faut partir à la recherche de sa part mystérieuse. Les choses ont toujours une autre existence que celles qu'elles semblent avoir. Ce qui exerce une certaine fascination contient nécessairement une part plus dangereuse, une menace, une inquiétude. La photographie ne peut exister sans lumière et par réciprocité sans ombre. Il s'agira de chercher des échos, de tisser des liens entre les différents pans de son histoire. L'image sera abordée par sa face cachée, puisqu'il ne faut pas voir dans l'art photographique une opposition de l'ombre et de la lumière mais un rapprochement de l'une à l'autre, une nécessité des deux**. Marine Lanier présentera une approche subjective de la thématique de la lumière en lien avec sa recherche, à travers les pionniers de la photographie, Nicéphore Nièpce, William Henry Fox Talbot, Hippolyte Bayard, Roger Fenton, Alexandre Gardner, Gustave le Gray, en passant par Eugène Atget, Karl Blossfeldt, Edward Weston, jusqu'à des œuvres contemporaines comme celles des artistes Sophie Ristelhueber, Craigie Horsfield, Vivian Sassen, etc. Pour finir, deux séries personnelles seront mises en regard, Construire un feu (2010) et Eldorado (2013) qui jouent chacune d'un rapport singulier aux éléments, de l'ordre des phénomènes de sous-exposition ou de sur-exposition, des énigmes de la nuit et de l'éblouissement. La lumière ici, qu'elle soit aveugle ou irradiante nous parle d'expériences de perception. De portes dérobées, ouvertes sur des mondes interstitiels.

* Georges Didi-Huberman, Devant le Temps – histoire de l'art et anachronisme, Ed. de Minuit, 2000

** Jean-Christophe Bailly, L'Instant et son ombre, Fiction et Compagnie, Seuil, 2008

 

www.marinelanier.com
www.bm-grenoble.fr

 

 

 

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Présence(s) Photographie #2

 

 

 

« Présence(s) Photographie #2 »

Invités d'honneurs Sabrina et Roland Michaud, Munem Wassif

Du 13 au 29 novembre 2015

Toutes les expositions sont gratuites.
Vernissage le 13 novembre à partir de 18h30 à l'Espace d'Art Chabrillan - Montélimar

L'ÉDITION 2015 se déroulera du 13 au 29 novembre. Nous accueillons en exposition principale à la chapelle Chabrillan 3 invités d'honneur : Roland et Sabrina MICHAUD (France), et Munem WASIF (Bangladesh). Et, dans plus de 15 lieux partenaires, 33 photographes émergents. Les œuvres traitent pour la plupart – conformément à l'esprit du festival – de l'homme dans son environnement. La conférence-débat du 14 novembre aura pour thème : Photographie d'auteur, voyage et humanisme. Le plus de cette édition : le catalogue des expositions.

À travers cette manifestation conviviale, notre ambition est de faire vivre, sur notre territoire, une photographie d'auteur empreinte d'humanisme, de professionnalisme et de qualité. Surtout, nous voulons offrir au public et aux photographes une occasion de rencontre avec les grands noms de la photographie, et une visibilité aux jeunes talents.

 

www.presences-photographie.fr
Programme

 

 

 

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Photographies de Roland & Sabrina Michaud

© Roland & Sabrina Michaud

 

 

 

« Photographies de Roland & Sabrina Michaud »

Du 13 au 29 novembre 2015
CENTRE D'ART ESPACE CHAbRILLAN
Ancienne Chapelle Chabrillan
127, rue Pierre Julien

LU MA ME JE VE 14:00-18:00
SA DI 10:00-12:00 + 14:00-18:00
Vernissage 13 nov 18:30

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

Depuis presque 60 ans, Roland et Sabrina MICHAUD poursuivent leur quête et, par leur photographies nous donnent à partager la quintessence de leur expérience hors normes. Ils sont de ces photographes qui ont inspiré des générations de voyageurs, et ouvert une nouvelle voie dans l'art photographique. Passeurs de beauté, et portraitistes : ils aiment à définir leur

« regard » comme porteur de valeurs universelles, leurs images comme « archétypes », dans le meilleur sens du mot, de ce qu'est un berger, un moine, un cavalier...

Ils se font connaître dans les années 60 par leurs photographies d'Afghanistan - parcouru pendant 14 ans, de 1964 à 1978 - nous faisant découvrir l'intimité de chacune des ethnies de ce peuple libre et fier, et la vie des femmes ; entre autres, par un reportage sur les caravanes de chameaux qui franchissent, l'hiver, le Pamir afghan, en empruntant des rivières gelées... Puis ce sera la Mongolie, la Corée, la Chine, et l'Inde qui est au cœur de leur quête, et qu'ils continuent à photographier. Leur regard exprime la pérennité des qualités humaines et spirituelles dont nous avons tous besoin pour vivre mieux.

 

www.presences-photographie.fr

 

 

 

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Larmes salées

© Munem Wasif

 

 

 

« Larmes salées »

Photographies de Munem Wasif

Du 13 au 29 novembre 2015
CENTRE D'ART ESPACE CHAbRILLAN
Ancienne Chapelle Chabrillan
127, rue Pierre Julien

LU MA ME JE VE 14:00-18:00
SA DI 10:00-12:00 + 14:00-18:00
Vernissage 13 nov 18:30

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

À la rencontre de la communauté Satkhira, Munem WASIF dénonce les conséquences du réchauffement climatique, et tout particulièrement l'élevage intensif de la crevette, favorisé par le gouvernement, qui a provoqué la salinité croissante de l'eau et une catastrophe pour 6 millions de personnes privées d'eau potable. Un témoignage puissant où la beauté de l'image est au service de la vérité et de l'empathie pour les hommes et les femmes saisis dans leur vie quotidienne.

Un livre photographique Larmes salées complète l'exposition et lui donne son caractère universel grâce à la préface de Pavel Partha, célèbre chercheur en écologie et en biodiversité au Bangladesh.

Membre de l'agence VU, Munem WASIF vit et travaille au Bangladesh.

Il ne se défend pas d'être un conteur de traditions humanistes, classique dans son approche photographique, tant qu'il peut transmettre son expérience émotionnelle entretenue avec le sujet.

 

www.munemwasif.com
www.presences-photographie.fr

 

 

 

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Portfolios des photographes

© Julien Bernard

 

 

 

PORTFOLIOS DES PHOTOGRAPHES

SOIRÉE PROJECTION LE SAMEDI 14 NOV À 21:00 LE 28 NOV À 13:00 ENTRÉE GRATUITE
CINÉMA D'ART ET D'ESSAI
LES TEMPLIERS
26200 Montélimar

Les photographes en projection :

Alain Breyer, Amaral-Barthes, AnnaPuig Rosado, Annie Sorrel, Brice Bourdet, Céline Ravier, Daniel Michelon, David Rousselle, Emmanuel Dubost, Eric Monvoisin, Fabrice Leroux, Géraldine Sivilia, Joel Cubas, Jonas Mercier, Joséphine Parenthou, Julien Benard, Lucas Dragone, Lucian Muntean, Magali Cohen, Andreas Kern, Nicolas Ferras, Philippe Masson, Pierre Montant, Sébastien Michaud, Stéphane Baré, Stéphane MinhVu, lvain Heraud, Collectif l'œil de terre, Thibaut Ketterer &Thierry Baumgarten

PHOTOGRAPHIE ET CINÉMA

LIFE

DI 15 nov 18:00 / LU 16 nov 20:30 / MA 17 nov 18:00

LE BOUTON DE NACRE

ME 25 nov 18:30 / SA 28 nov 15:00 / DI 29 nov 18:30 / LU 30 nov 20:30

HUMAN

DI 15 nov 14:00 (durée 3h17)

PLUS FORT QUE LES BOMBES

ME 18 nov 20:30VE 20 nov 18:00 / SA 21 nov 16:00 / DI 22 nov 14:00 / LU 23 nov 20:30

 

www.lestempliers.cine.allocine.fr
www.presences-photographie.fr

 

 

 

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Natures mortes

© Joel Cuba

 

 

 

« Natures mortes »

Photographies de Joel Cuba

Du 13 au 29 novembre 2015
Restaurant L'AUBERG'IN
3 rue des Taules
26200 Montélimar
06 85 42 60 78

LU MA ME JE VE SA 09:00 - 12:00 + 14:00-15:00
Vernissage 16 nov à 18:30

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

Dans cette série, les végétaux s'amusent à nous faire perdre nos repères.

Manipulés, triturés, ils expriment une autre réalité, parallèle, à la frontière du rêve.

Exposition dans le cadre du Festival Présences Photographie

 

www.laubergin-montelimar.fr
www.presences-photographie.fr

 

 

 

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Voyage(s)

© Francis Traunig

 

 

 

« Voyage(s) »

Photographies de Francis Traunig

Du 13 au 29 novembre 2015
THÉATRE MUNICIPAL
1 Place du Théâtre
26200 Montélimar

LU MA ME JE VE 14:00-18:00
SA DI 10:00-12:00 + 14:00-18:00
Vernissage samedi 21 novembre à 11h

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

«À la photographie, toujours je préfère le voyage, et c'est avec nonchalance que je bourre mon sac de matériel de prise de vue - sac qui d'ailleurs ne ressemble en rien à un sac de photographe - et le voilà trop lourd, moi qui me voulait léger, ne pas être encombré, ne pas ressembler à un touriste trop vite, pour mieux me fondre dans ce qui va d'abord devoir nourrir mon regard.

Fausse pudeur et foutaises, bien sûr. Tout ça sera bien vite surmonté, et débouleront les regrets de ne pas avoir pris le trépied, et de manquer, nom d'un chien, d'un objectif un peu plus lumineux.

Car quelle plus terrible frustration pour un photographe, en route, d'imaginer avoir raté le cliché de sa vie ?

Et si le voyage révèle, on peut en dire autant de la photographie. Et me voilà immergé dans un bain de lumière tellement vaste pour mon si petit capteur. Comme si devant la mosaïque du monde je n'en devais photographier qu'une :

celle qui cravacherait l'imagination et pourrait révéler le reste du tableau».

 

www.traunig.ch
www.presences-photographie.fr

 

 

 

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2 Expositions : Wabi-sabi, l'usure du temps / Anatoliques, dans l'intimité de la Turquie profonde

© Rob Ramser

2 Expositions : Wabi-sabi, l'usure du temps / Anatoliques, dans l'intimité de la Turquie profonde

© Paul Veysseyre

 

 

 

« 2 Expositions : Wabi-sabi, l'usure du temps / Anatoliques, dans l'intimité de la Turquie profonde »

Photographies de Rob Ramser et Paul Veysseyre

Du 13 au 29 novembre 2015
GALERIE JEAN-LOUIS AMICE
15 Bd Meynot
26200 Montélimar
04 75 51 12 13

LU MA ME JE VE SA DI 14:00-18:00
DI 9:00-12:00
Vernissage 14 nov 16:00

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

Wabi-sabi, l'usure du temps

«Wabi-sabi est l'art japonais de trouver la beauté dans l'imperfection et la profondeur dans la nature, l'acceptation du cycle naturel de la croissance, du déclin et de la mort. Un art qui vénère la simplicité, la lenteur et, par dessus tout, l'authenticité.» Tadao Ando.

Appliqué au medium photographique, ce concept m'a inspiré des images qui expriment ce que les technologies modernes ne sont pas. Face aux millions d'images du quotidien, j'ai éprouvé le besoin de retrouver le grain aléatoire du film argentique, la lenteur et le rendu de l'appareil moyen format. Figeant un instant dans le flot du temps qui passe, les images-objets évoquant le style poétique des haiku.

Anatoliques, dans l'intimité de la Turquie profonde

Depuis une quarantaine d'années le photographe lyonnais Paul Veysseyre poursuit son exploration photographique de la Turquie, avec une prédilection particulière pour les gens les plus humbles, les architectures populaires et les modes de vie traditionnels.

Après Istanbul, seuil de la félicité, il publie le livre Anatoliques d'où sont extraites les photos de cette exposition.

Combiner volonté documentariste (plus de 8000 négatifs noir et blanc) et souci esthétique, essayer de représenter ce pays dans toute sa diversité et de transmettre l'atmosphère bien spécifique des villages anatoliens : le choix s'est révélé particulièrement difficile et frustrant pour le photographe...

 

www.robert.ramser.pagesperso-orange.fr
www.jeanlouisamice.com
www.presences-photographie.fr

 

 

 

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SPÉCIAL PHOTOGRAPHIE

© FIVE

 

 

 

« SPÉCIAL PHOTOGRAPHIE »

Photographies de "FIVE" et Thalie B.VERNET

Exposition du 16 au 28 novembre 2015 vernissage le jeudi 19 novembre, de 18h à 21h
GALERIE MONOD
16 , rue d'OUESSANT-PARIS 75015

Ouvert tous les jours de 13h30 à 18h30

Six photographes vont exposer dans cet évennement.

Les cinq artistes du groupe "FIVE" et Thalie B.VERNET

Les thèmes : Portrait,architecture, solitude urbaine, nature morte dans le quotidien et danse-spiritualité.

 

www.galeriemonod.fr

 

 

 

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3 EXPOS : Regards sur le Rhône / Asta e viata / Les deniers artisans des trains communistes

© Collectif Oeil de Terres

3 EXPOS : Regards sur le Rhône / Asta e viata / Les deniers artisans des trains communistes

© Luncian Muntean

3 EXPOS : Regards sur le Rhône / Asta e viata / Les deniers artisans des trains communistes

© Jonas Mercier

 

 

 

« 3 EXPOS : Regards sur le Rhône / Asta e viata / Les deniers artisans des trains communistes »

Photographies du collectif Oeil de Terres / Luncian Muntean / Jonas Mercier

DU 13 AU 29 novembre 2015
CHATEAU DE VERCHAÜS
2823 RD 86
07220 Viviers

DE 10 À 18 H
Vernissage le 20 novembre à 18h30 au château de Verchaüs

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

Regards sur le Rhône

Pascal Préti, Henri Pol, Franck Nies et Zarn du collectif de photographes OEIL DE TERRES, exposent dans le cadre du festival de photographie "Présence(s)" à Montélimar leur travail "REGARDS SUR LE RHÔNE".

12 diptyques grands formats, mettent en scène le fleuve Rhône et le regard de riverains.

Asta E viata

Rogojel est un petit village isolé des Monts Apuseni, à l'ouest de la Roumanie. Là-bas, les traditions paysannes ancestrales, tout comme les propriétés, n'ont pas été affectées par le communisme du fait des difficultés d'accès et du relief montagneux. Du coup, le travail au champ, l'élevage, les foins, le sacrifice du porc etc, sont des scènes de vie ordinaire pour ces villageois. Les clichés présentés sont un documentaire photographique sur cette vie rurale roumaine qui tend à disparaître dans le contexte global de la mondialisation. Car aujourd'hui, l'ouverture des frontières pousse toujours plus les jeunes à choisir le chemin de l'exil.

Les derniers artisans des trains communistes

Comme leurs machines, les cheminots du dépôt ferroviaire de Chitila, près de Bucarest, en Roumanie, n'ont pas changé depuis la chute du communisme. Ils auraient bien voulu suivre le reste de la société dans l'ère des nouvelles technologies. Mais ils n'y sont pas parvenus. Aujourd'hui plus personne ne soupçonne leur existence, ni les conditions dans lesquelles ils travaillent. Oubliés de leurs concitoyens, ils sont devenus partie intégrante d'un patrimoine industriel que l'on veut voir disparaître pour tourner la page de la dictature. Et ils s'effondreront avec lui.

 

www.oeil-de-terres.com
www.lucianmuntean.ro
www.chateaudeverchaus.com

 

 

 

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Dans la tête de Dany Jung

© Daniel Michelon

 

 

 

« Dans la tête de Dany Jung »

Photographies de Daniel Michelon

Du 1er au 30 novembre
cinéma le regain
3 chemin du Château
07400 Le Teil

ME 14:00-18:00 / VE SA 16:00-00:30 / DI 16:00-20:30
Vernissage 21 nov 19:00

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

Un sculpteur, un artiste de Cirque, un photographe... Une rencontre.

Les évolutions de l'acrobate monocycle Benoit Charpe inspire le sculpteur Dany Jung. Il observe, dessine sur le vif, reprend le dessin à sa table de travail, modèle la terre dans son atelier. Il imagine, cherche le point de (dés)équilibre, la courbe idéale.

L'objectif de Daniel Michelon vous fait pénétrer ... « dans la tête de Dany Jung ».

 

www.danielmichelon.com
www.cinema-leteil.fr

 

 

 

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Escape

© Anna Puig Rosado

 

 

 

« Escape »

Photographies d'Anna Puig Rosado

Du 13 au 29 novembre 2015
Au Bonheur du jour
14 Place du Temple
26200 Montélimar
04 75 54 71 77

Vernissage 23 nov à 18:00

Exposition dans le cadre du festival Présence(s) Photographie

À Tel Aviv, dans les vieux quartiers où vivent les communautés russes, yéménites et africaines, les murs et les espaces vocifèrent et questionnent cette identité israélienne décousue.

La ville est tournée vers la mer, la seule frontière impartiale, le seul chemin de fuite, mais aucun bateau n'apparaît jamais.

De retour, en regardant mes images, un mot semblait apparaître, «Escape».

 

www.annapuigrosado.net

 

 

 

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Quinta-Essentia, les rêves retrouvés

© Jean-Luc Meyssonnier

 

 

 

« Quinta-Essentia, les rêves retrouvés »

Photographies de Jean-Luc Meyssonnier

Du 13 au 29 novembre
Hôtel Du parc
27 Av Ch. De Gaulle
26200 Montélimar
04 75 01 00 73

LU MA ME JE VE SA DI 10:00-23:00
Vernissage 22 nov 16:00

Photographies de Jean-Luc Meyssonnier, réalisées de décembre 2011 à avril 2015, sur le chantier de l'espace de reconstitution de la grotte Chauvet (classée par l'UNESCO au patrimoine mondial de l'humanité en 2014).

??Il y a des choses dans une vie que vous seul verrez, que vous seul entendrez. Si vous ne les racontez pas ou ne les écrivez pas, si vous ne faites pas une photo, ces choses ne seront ni vues ni entendues.'' Emmet Gowin

Le fac-similé de la grotte ornée du pont d'arc, dite grotte Chauvet a été construit sur les hauteurs de Vallon Pont d'Arc. Conception Fabre-Speller architectes - Ateliers 3A Ollier - F. Neau - Scène - SYCPA.

 

www.meyssonnier.com
www.hotelduparc-montelimar.com

 

 

 

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Paysages refuges

série "Paysages refuges" © Stéphanie Lehu

 

 

 

« Paysages refuges »

Photographies de Stéphanie Lehu

Du 30 octobre au 29 novembre 2015
Maison de la Tour
1 rue des écoles
26230 Valaurie

Du mercredi au dimanche de 14h à 18h

Vernissage le vendredi 30 octobre à 18h30

(Restitution d'une résidence au Cube)

L'exposition entremêle les différents temps de la résidence où une large part a été consacrée à l'exploration de pratiques photographiques dites « pauvres » : le sténopé, renvoyant aux origines de la photographie, et le Polaroïd. Les images imparfaites qui en résultent, rappellent une intériorité onirique, ne laissant subsister que les traits essentiels.

Etre dans le paysage, c'est en faire l'expérience. Etre ébloui, sentir le vent caresser sa peau, être dissipé par un son inattendu. C'est aussi en capter les impressions changeantes et les frémissements. Car le paysage est vivant, toujours en mouvement. Et ces vibrations imperceptibles, la photographie ne peut jamais pleinement les saisir.

 

www.stephanielehu.com
www.maison-de-la-tour.fr

 

 

 

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Parenthèses d'Humanité

© Zacharie Gaudrillot-Roy

 

 

 

« Parenthèses d'Humanité »

Photographies du Collectif Parallèle, invité sur la 80eme édition de la Fête de l'Humanité.

Du 5 au 30 novembre 2015 Vernissage mercredi 4 novembre à 18 heures
Fédération du Rhône du Parti Communiste Français
1 cours Albert Thomas
69003 Lyon

Entrée libre

«Parenthèses d'Humanité» est le résultat d'une résidence organisée par la Fédération du Rhône du Parti Communiste Français pour les 80ans de la fête de l'Humanité à la Courneuve.

Nous étions tous curieux de ce que pouvait être un évènement à la fois politique et musical, un rassemblement proposé par un journal, étroitement lié à un parti, une fête populaire, un paradoxe de fréquentation, un immense festival, et une tradition de plus de 80 ans désormais ; et c'est sous la forme d'une résidence que nous avons découvert la fête de l'Humanité.

Une première pour nous, et une première pour nos hôtes , la fédération du partie communiste Rhône-Alpes qui nous a accueilli plusieurs jours pour partager cette expérience; de la construction d'une véritable petite ville dans le parc de la Courneuve, aux rencontres inattendues et au partage des idées, à l'enthousiasme et à la boue, au bruit et à la foule, aux croisements des cultures, entre débats, musique, manèges, livres, tracts et nourriture à emporter ou à consommer sur place... dans ses rues provisoires aux noms illustres, nous avions cette parenthèse 6 jours pour naviguer entre plusieurs mondes, chercher à en définir les porosités, rendre visuellement un ensemble complexe, à la fois grave et léger, comme un funambule sur le fil d'une conversation.

 

www.collectifparallele.fr

 

 

 

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Céret

© Géraldine Lay

 

 

 

« Céret »

Photographies de Géraldine Lay

Exposition du 17 au 29 novembre 2015
La Capelleta
Angle de la rue Pierre Rameil et de l'avenue Michel Aribaud
66400 Céret

vernissage le samedi 21 novembre 2015 à 11 h
Conférence de l'artiste le même jour, le samedi 21 novembre 2015 à 14 h 30
à l'auditorium du Musée d'Art Moderne de Céret

Lumière d'Encre à la joie de vous inviter à l'exposition de fin de résidence de Géraldine Lay.

Mon intention en arrivant à Céret était de mêler photographies de rue et vues intérieures. Je voulais mettre en relation deux manières de photographier la ville : l'une est de photographier dans la rue au gré des rencontres, des scènes vues, des architectures, des lumières ; l'autre est de faire poser des gens chez eux et, de ce fait, mettre un pied dans la fiction.?Lorsque je photographie dans la rue, j'affectionne ces instants où tout semble posé, installé comme sur un plateau de cinéma où comme le dit Jean-Luc Godard, il faut « essayer?de retrouver dans tous ces mouvements de foule le départ de la fiction ». À l'inverse, photographier les gens chez eux, c'est inévitablement leur demander de poser,?les installer, les faire « jouer “. En même temps, il faut réussir à leur rendre leur mouvement intérieur. Mon temps s'est donc partagé entre les longues ballades dans la ville et les visites chez les cérétans. J'ai arpenté les ruelles et les sentiers qui les prolongent, les canaux qui traversent de part en part la ville et irriguent les jardins potagers qui sont partout. J'ai passé beaucoup de temps avec certains habitants, retournant parfois plusieurs fois chez eux pour les photographier. Mais il est difficile de venir avec une intention et qu'elle se mette en place exactement comme vous l'aviez prévue. La réalité des lieux bouleverse vos plans. J'ai donc gardé peu de portraits pris chez les habitants et privilégié les rencontres faites dans ces aller-retours entre intérieur et extérieur. Céret m'est lentement apparue comme un lieu d'une douce étrangeté, parfois frôlant la fantasmagorie, ce que j'ai essayé de retranscrire ici.?

Géraldine Lay, octobre 2015

 

www.geraldinelay.com

 

 

 

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Le monde n'est pas loin...

© Tristan Zilberman

 

 

 

« Le monde n'est pas loin... »

Photographies de Bernard Coste et Tristan Zilberman

Du 10 octobre au 14 novembre


Médiathèque
16 r Notre Dame
26130 Saint Paul Trois Chateaux

Vernissage le samedi 10 octobre 17:00 - Médiathèque - En présence des photographes - Du 10 octobre au 14 novembre. Mardi 10 à 12:00 et 16 à 18:00. Mer. et samedi 10 à 12:00 et 14 à 18:00. Jeudi et vendredi 16 à 18:00.
Vernissage le samedi 10 octobre 19:00 - Espace de la Gare - En présence des photographes - Du 10 au 17 octobre de 16:00 à 21:00 tous les jours (sauf le mercredi).

En ce monde nous marchons
Sur le toit de l'enfer
Et regardons les fleurs.

C'est comme si Bernard Coste et Tristan Zilberman, chacun avec sa sensibilité et son style, abordaient le monde avec au cœur ce haïku d'Issa. Et peut-être aussi cette question essentielle que pose Philippe Jacottet : est-ce que les fleurs « parlent plus haut que l'enfer » ; ou parlent-elles « de ce qui pourrait l'emporter à la fois sur elles et sur lui » ?

Leur travail puise aux contradictions de ce monde, en lisière du grave et du beau, de l'équilibre et de la rupture, du désespoir et de l'espérance. Leurs photographies nous proposent de porter sur l'homme et le monde un regard positif, néanmoins conscient des précipices et des impasses de la photographie de voyage, un regard jamais exempt de notre responsabilité de faiseurs d'images.

Marie Meulien

Exposition dans le cadre du 28 éme Festival du film de Saint Paul 3 Châteaux en partenariat avec Présence(s) Photographie

 

www.festivaldufilm-stpaul.com
www.facebook.com
www.presences-photographie.fr

 

 

 

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Paisajes Subversivos

 

 

 

« Paisajes Subversivos »

Exposition personnelle de Marcos Avila Forero

19 octobre – 30 novembre 2015
CAIRN Centre d'art
10 montée Bernard Dellacasagrande
04005 Digne-les-Bains

VERNISSAGE VENDREDI 16 OCTOBRE 2015 À 18H

L'exposition Paisajes Subversivos (« les Paysages insurgés ») dévoilera six projets sociaux et géopolitiques fort du travail de l'artiste colombien Marcos Avila Forero. Dont une importante série – Estenopéicas de paisajes revoltosos – qu'il a poursuivie entre juillet et août 2015 dans une région agricole située non loin de Bogota. Cette œuvre engagée fait écho à des recherches réalisées lors de ses résidences successives au centre d'art du CAIRN, ce qui fut l'occasion pour lui de découvrir et d'étudier en profondeur plusieurs ruines situées au sein du territoire rurale dignois, symbole de la « désertion » des anciens villages isolés de Haute-Provence notamment. [...] (plus d'informations à venir très prochainement)

« Je travaille à la manière d'un anthropologue, et mes œuvres, que je vois comme des prétextes aux rencontres, sont les conséquences de ce qui m'a animé sur place. » (Marcos Avila Forero)

 

www.galeriedohyanglee.com/marcos-avila-forero
www.musee-gassendi.org

 

 

 

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Entre intime et autoportrait [Un temps dilaté]

© Jan Saudek

 

 

 

« Entre intime et autoportrait [Un temps dilaté] »

ARIEL BONZON, JOHN COPLANS*, JACQUES DAMEZ, ANDRE FORESTIER, LIONEL FOURNEAUX, CRAIGIE HORSFIELD*, URS LÜTHI*, BERNARD PLOSSU, DENIS ROCHE, YVES ROZET, JAN SAUDEK*, RUDOLF SCHÄFER*

Du 19 septembre au 15 novembre
Espace d'Art Francçois-Auguste Ducros
Grignan 26

Ouverte du mercredi au dimanche de 14h à 19h

L'intime naît d'une attitude face au réel qui fabrique des photographies chargées d'intériorité et de mélancolie, rien à voir avec les images de l'intimité qui exposent une extériorité. C'est une présence, une épaisseur, un battement qui donnent à voir l'espace littéraire d'un regard.

L'autoportrait est l'interrogation de l'invisible, de l'infigurable de notre être, c'est le regard du dedans qui essaie d'épuiser l'apparence pour enregistrer et fixer le temps dilaté, l'autre portrait qui nous signe. Les allers et retours entre l'intime et l'autoportrait sont le murmure de cette exposition, une invitation aux glissements du regard de l'un à l'autre. D'ailleurs la contiguïté des uns et des autres interrogera les genres pour privilégier ce qui rend visible la transparence du temps dilaté, la photographie.

* Oeuvres de la collection IAC, Rhône-Alpes

Une proposition de l'Institut d'art contemporain en partenariat avec la ville de Grignan / Commissariat : Galerie Le Réverbère, Lyon.

Échange entre Jacques Damez et Anne Favier Rencontre à deux voix, pour une mise en écho du temps dilaté

samedi 17 octobre 2015 | 15:30

Dans la durée de cet échange, Jacques Damez et Anne Favier proposent d'ouvrir un dialogue à partir de l'exposition Entre intime et autoportrait [Un temps dilaté]. Il s'agira de faire résonner des questionnements qui sous-tendent et éclairent les différents ensembles photographiques. En regard des œuvres exposées, la rencontre se développera autour de réflexions sur l'aller-retour, le passage dans l'image, la résistance à l'instantané, la profondeur de temps, l'altérité et l'intimité. Pourquoi ces images pelliculaires, constituées d'un peu de temps déposé, sont-elles, par-delà leurs surfaces, chargées d'intensité et de présence ?

* Anne Favier est Docteur en Esthétique et Sciences de l'Art et agrégée en arts plastiques. Elle enseigne et co-dirige le département d'arts plastiques de l'Université Jean Monnet de Saint-Etienne.

* Jacques Damez, photographe, est le fondateur avec Catherine Dérioz depuis 1981 de la galerie Le Réverbère à Lyon et commissaire de cette exposition.

Auteur d'un essai Hans Hartung photographe - La légende d'une œuvre éd. La lettre volée, 2003 (Prix Rhône-Alpes du livre 2004) et de plusieurs ouvrages de photographie dont Tombée des nues... texte de Jean-Luc Nancy, éditions Marval 2007.

Rencontre à la Mairie de Grignan, Salle du Baron Salamon, entrée libre

 

www.espace-ducros.blogspot.fr
www.galerielereverbere.com
www.i-ac.eu

 

 

 

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Bestiaire intime

© Emmanuel Georges

 

 

 

« Bestiaire intime »

Photographies d'Emmanuel Georges

Du 2 octobre au 7 novembre 2015
Médiathèque du Bachut
2 place du 11 novembre 1918
69008 Lyon

Vernissage de l'exposition mercredi 21 octobre à 18h30

Dans l'intime du Facteur Cheval.

L'intime passe par cette petite porte au fond d'un jardin. Une porte en bois que l'on prend, en dehors des heures de grande affluence. Instant délicieux où il ne reste que l'absence et le peuple imaginaire du facteur Cheval. L'intime passe par le temps. Le temps d'une décennie à arpenter, toucher, scruter cette architecture hors normes, unique au monde.

Hymne à la faune, à la flore, ce Temple de la Nature, à bien y regarder est tel un arche de Noé dont on peut faire le tour. Dans un silence presque religieux, on y croise sans crainte un peuple d'animaux étranges, reconnaissables ou venus d'un autre monde, figés dans leur posture. Ici des oiseaux posés sur pattes, un chien qui monte la garde, un pélican rêveur. Plus loin un pachyderme pour le moins imposant, un dromadaire qui revient de voyage, un écureuil tombé d'un arbre, des gargouilles à la férocité discutable...

Regarder en tant que photographe cet extrait de paradis terrestre échoué dans ce petit village de la Drôme, procure la sensation de frôler au plus proche l'imaginaire du facteur Cheval. L'objectif isole chaque figure, capte l'intime, le fige instantanément, durablement. Le noir et blanc s'impose. Il raconte la part de mystère, les nuits en solitaire du facteur Cheval, les heures sombres de cet ouvrage titanesque, « travail d'un seul homme ». Il souligne la majesté du monde animal.

La série d'images présentée à la Bibliothèque Bachut de Lyon constitue un florilège de ce bestiaire qui a partagé durant 33 ans l'intimité de Joseph Ferdinand Cheval. Bestiaire fascinant, intimidant, silencieux, tels une sentinelle de gardiens muets veillant sur un Palais Idéal sorti tout droit de nos rêves.

 

www.georgesemmanuel.com
www.bm-lyon.fr
www.facteurcheval.com

 

 

 

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Le Roi, le Lièvre et la Neige

Collectif d'Arts et d'Envies - photographie Fabrice Mouyon

 

 

 

« Le Roi, le Lièvre et la Neige »

photographies d'imaginaires réalisées par Fabrice Mouyon

du 28 octobre au 7 novembre.
au théâtre des Clochards Célestes
51 rue des Tables Claudiennes - Lyon (Croix-Rousse)

De 16h à 20h les mardi, mercredi et vendredi
De 16h à 19h les jeudis
De 16h à 17h les samedis

Il était une fois trois spectacles. Pas un ni deux, non, trois spectacles de jeunes compagnies. La première compagnie utilisait la danse pour conter l'histoire fantasque d'un enfant aventurier. La deuxième réécrivait avec le langage du hip-hop la fable du Lièvre et de la Tortue. Et la troisième transformait par la danse et le slam une histoire de racisme en message prônant la non-violence. Un photographe, nommé Fabrice Mouyon, ému par ces univers et ceux qui les avaient créés mit son œil en pratique pour donner un autre regard à ces spectacles. C'est par la magie de la photographie que du spectacle éphémère, ils devinrent éternels.

 

www.fabricemouyon.com
www.clochardscelestes.com

 

 

 

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Visites privée de l'exposition

 

 

 

« Visites privée de l'exposition »

Pierre de Fenoÿl, Paysages conjugués

Le 5 novembre 2015
Galerie Le Réverbère
38, rue Burdeau
69001 Lyon

Du mercredi au samedi de 14h à 19h et sur rendez-vous en dehors de ces horaires.

Suite au désir exprimé par de fidèles visiteurs ou collectionneurs, nous vous offrons la possibilité d'un échange convivial autour des enjeux de la photographie, pour mieux connaître son histoire, mettre en évidence ce qui caractérise chaque auteur, décrypter un accrochage...

Un moment privilégié pour poser vos questions, répondre à vos interrogations.

MERCI DE NOUS CONFIRMER VOTRE PRÉSENCE.

 

www.galerielereverbere.com
www.facebook.com

 

 

 

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En chair et en os

© Dystopia, Alexa Brunet

 

 

 

« En chair et en os »

concours photo

concours du 15 septembre 2015 au 30 octobre 2015 expo du 27 novembre 2015 au 06 janvier 2016
Le préau,
Le village,
07200 Saint-Etienne-de-Boulogne

Gratuit

"En chair et en os"est un concours ouvert à tous du 15 septembre au 30 octobre 2015 dont le thème est "en chair et en os. Ce concours est organisé par le préau espace de co-working en Ardèche.

Ce concours donnera lieu à une exposition du 27 novembre 2015 au 6 janvier 2016 à Saint Etienne de Boulogne. Le jury composé de personnalités du monde de la photographie sélectionnera une quarantaine de photographies sur la thématique de la chair et décernera deux prix d'un montant de 200 et 75 euros lors de l'inauguration de l'exposition le 27 novembre prochain.

 

www.lepreau.org
Télécharger le règlement

 

 

 

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Altérité

© Jean-Bernard Lassara et Sylvain Faisan

 

 

 

« Altérité »

Photographies de Jean-Bernard Lassara et Sylvain Faisan

Du 11 septembre au 31 octobre 2015
Galerie Hébert
17 rue Hébert
38000 Grenoble

Du mardi au vendredi de 14h à 19h
samedi de 11h à 19h

Vernissage le vendre 11 septembre à partir de 17h en présence de la danseuse Hélène Petit pour une performance crépusculaire danse/photographique vers 20h

 

www.ginko-photo.com
www.facebook.com/galeriehebert.grenoble

 

 

 

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Détours

 

 

 

« Détours »

Une coopération des Centres d'Arts de la Drôme du Sud

17 et 18 octobre 2015
Circuit organisé en car à la rencontre de 5 lieux d'art contemporain du sud de la Drôme.

De 10h à 19h, 10€

L'insolite d'un parcours en car à la découverte d'œuvres sonores et numériques. A chaque escale, le temps d'une rencontre avec des centres d'art de la Drôme du sud

Embarquez à bord d'un car transformé en scène artistique mobile et éphémère. Installez-vous confortablement dans votre siège pour une expérience sensible du territoire. Vous serez les spectateurs privilégiés de concerts et de performances insolites. Et à chaque escale, suivez le guide pour visiter une exposition, découvrir une performance sonore. Partagez des moments de convivialité dans des lieux d'art contemporain du sud de la Drôme, et redécouvrez votre environnement à travers le prisme artistique, sonore et sensible.

Ou circulez par vos propres moyens ! Rejoignez les escales, visitez les expositions, assistez aux performances sur place et venez partager les moments de convivialité !

Rejouez par vous-même le circuit après les 17 et 18 octobre 2015, avec les archives sonores du parcours.

Renseignements et inscription :

Par téléphone : Maison de la Tour / le Cube 04 75 96 01 29

Par email : contact@detournumerique.com

 

www.detournumerique.com

 

 

 

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Rajasthan, les porteuses de vie

Pushkar © Annie Sorrel

 

 

 

« Rajasthan, les porteuses de vie »

Photographies Annie Sorrel

Du 1er septembre au 16 octobre Vernissage le 9.09 à 18h30
Espace Envol,
FOL Ardèche,
Bd de la Chaumette
07000 Privas

Entrée libre du lundi au vendredi de 8h à 18h

Rajasthan : Les porteuses de vie

"Elles, un peu moins nombreuses que les hommes,
Et pourtant il me semble que mon œil ne voit qu'elles, affairées, laborieuses...
Au Rajasthan, Etat de l'Inde resté très traditionnel,
à la campagne, aux coutumes plus ancrées qu'en ville, les femmes portent !

Elles portent l'eau, matin et soir,
de la nouvelle pompe du village à la maison.
Elles portent le bois, glané dans les taillis, rapporté en longs fagots.
Elles portent le fourrage, enfouies sous d'énormes ballots.
Elles portent les bassines de lessive, les paquets,
Elles portent les offrandes au temple,
Elles portent les enfants...
Ce sont les porteuses de vie !

Ces paysannes modestes ont un port de reine,
gracieuses dans l'ondoiement de leurs voiles,
joyeuses sous le fardeau, rieuses dans le tintement de leurs bijoux...
Elles avancent à leur rythme.

Elles ont dû se plier, obéir, accepter les mariages arrangés,
Elles n'ont pas toutes eu la chance d'aller à l'école mais leurs filles y vont,
Elles entrent dans les municipalités et modestement s'organisent.

Au village la société évolue lentement.
Qu'apporteront ces changements ?
Aujourd'hui, chacune vit son histoire,
avec un merveilleux sens de la vie !"

Annie Sorrel fréquente depuis longtemps cet Etat de l'Inde sur lequel elle a écrit 7 guides culturels, publiés aux éditions Olizane. Cette exposition est un hommage à toutes ces femmes des campagnes, à la croisée de leurs regards et dans leur univers.

 

www.fol07.com

 

 

 

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Asta e viata

© Lucian Muntean

 

 

 

« Asta e viata »

Photographies de Lucian Muntean et Jonas Mercier

Du 28 juin au 10 octobre 2015
La Fabrique de l'image
2, rue de l'Oratoire
07400 Meysse

Ouverture du mercredi au samedi de 16h à 19h

À l'heure de la mondialisation, des normes européennes, du tourisme de masse, se pose une question primordiale en Roumanie : comment profiter du progrès sans perdre ses traditions ? Car si ce pays est souvent catalogué comme étant le plus pauvre de l'Union européenne, il a pu gardé son authenticité, celle-là même que l'Occident souhaite retrouver. Alors en voyant ces paysans et leur mode de vie, qui semble appartenir à une époque bien révolue en France, ou ces ouvriers et leurs conditions de travail, qui rappellent celles de la révolution industrielle, les sentiments se mélangent. Et la façon d'appréhender le temps de ces petites gens de l'autre bout du continent, résumée dans la phrase « asta e viata » - c'est la vie -, prend tout son sens.

Les clichés présentés sont le résultat d'un travail de longue haleine de deux photographes, l'un Roumain, Lucian Muntean, et l'autre Français, Jonas Mercier. Ces deux artistes ont passé du temps auprès de paysans, pour le premier, et d'ouvriers, pour le deuxième. Le résultat mélange couleurs et noir et blanc, joie et rudesse, tradition et décrépitude pour raconter des tranches de vie d'hommes et de femmes.

 

www.lucianmuntean.ro
www.fabrique-image.fr

 

 

 

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Arbor

Installation de Jean-luc Meyssonnier dans la salle capitulaire de l'abbaye de Noirlac

 

 

 

« Arbor »

L'Escale estivale d'Alexandre Hollan et Jean-Luc Meyssonnier

Du 01 juin 2015 au 20 septembre 2015
Abbaye de Noirlac,
Centre culturel de rencontre
18200 Bruère-Allichamps
02 48 62 01 01

Exposition visible tous les jours, du 1er juin au 20 septembre, de 10h à 18h30

Tarifs :
7 € / 4.50 € incluant la visite de l'abbaye
Gratuit pour les - de 12 ans

Ce sont deux regards puissants qu'accueille cet été l'abbaye de Noirlac avec le peintre Alexandre Hollan et le photographe Jean-Luc Meyssonnier.

Dans une scénographie épurée, l'exposition met en lumière la force du lien qui relie les artistes à la figure de l'arbre. Motif en perpétuelle transformation et source de questionnements constants, l'arbre se déploie dans l'immensité et l'intimité du site.

À travers deux recherches singulières, le parcours interroge l'expérience de voir. Réalisés au fusain, les dessins de Hollan, pensés spécifiquement pour le lieu, décrivent trois états, « trois regards » d'un même arbre. Ils disent toute la « complexité de la perception », selon les propres mots de l'artiste : « je peux faire l'expérience que l'être est très complexe. Il vit dans des densités très différentes.»

L'univers de Meyssonnier interroge lui aussi la question de la réception des images. Ses photographies noir et blanc déroulent des paysages étranges, peut-être rêvés, ceux d'un monde inquiétant et fascinant, à s'y engouffrer et s'y perdre, tel un «vertige vers le haut» comme l'évoque son grand vitrail conçu pour la salle capitulaire. Enfin dans le cellier, la sensibilité commune aux deux artistes s'offrira au regard avec un choix d'œuvres réunies et assemblées dans un même souffle.

Les œuvres d'A. Hollan et JL. Meyssonnier ont été précédemment réunies par Hélène Ribot dans une exposition intitulée Voir l'Arbre présentée en 2013 au Mans.

 

www.meyssonnier.com
www.abbayedenoirlac.fr

 

 

 

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Arles 2015

 

 

 

« Arles 2015 »

Les rencontres de la photographies

Du 6 juillet au 20 septembre 2015

VOUS AVEZ DIT FESTIVAL ?

Mais qu'est-ce qu'un festival ? Ni un musée, ni une foire commerciale ; entre ce ni-ni qui bien souvent le prend en étaux, le festival doit continuellement réaffirmer sa liberté. Tandis que la reconnaissance institutionnelle de la photographie – à laquelle les Rencontres d'Arles ont largement contribué – a conféré aux musées un rôle de gardiens du temple, les foires commerciales livrent aujourd'hui un état des lieux du marché trop souvent pris pour un état des lieux de la photographie.

Le festival, lui, prend toute sa dimension dans la pluralité de ses expositions, de ses lieux, de ses artistes. C'est cette simultanéité des projets qui permet d'établir des dialogues, de prendre des risques, de tenter des aventures. En effet, l'alchimie d'une direction artistique repose sur une programmation aux combinaisons variées où les expositions entrent en résonance. Elles se prolongent, se répondent, s'interpellent, s'entrechoquent, avec pour mot d'ordre le décloisonnement. Cette année, la photographie fera des incursions dans le monde de la musique, du cinéma, de l'architecture, réaffirmant avec malice qu'elle se trouve bien souvent là où on ne l'attend pas ! Au visiteur ensuite de faire son expérience, de construire son propre parcours.

Incubateur culturel, le festival, entre événements et expositions, combine temps court et temps long. Il est une radiographie annuelle de la création photographique doublée d'un esprit festif. Chaque année, il révèle les tendances, ouvre des voies, décrypte les images, produit du sens, fabrique du contenu. Centre d'expérimentations et de recherches transversales, le festival s'interroge avec les artistes sur l'état du monde.

Hybridation, contamination, confrontation, friction, la photographie se réinvente par contact, au croisement des disciplines et des tendances. Elle est en elle-même un lieu de rencontres aux dialogues transdisciplinaires qui rappellent sa vigueur. Aujourd'hui encore, elle continue de nous surprendre par sa capacité à mobiliser des enjeux artistiques mais aussi sociaux, culturels, historiques Et les biens nommées Rencontres de la photographie agissent comme une caisse de résonance, se faisant l'écho et le promoteur des pratiques artistiques tant historiques que contemporaines.

Lieu d'échanges avec les créateurs, entre les professionnels, et surtout avec le public, le festival cartographie la photographie.

Depuis quarante-six ans, grâce à l'inspiration de ses fondateurs et à la pugnacité de ses directeurs successifs, les Rencontres d'Arles sont – et seront pour longtemps encore – aux côtés des artistes et au plus près du public. Car comme nul autre, la photographie, et à travers elle, les artistes, engagent le regard, provoquent le dialogue et favorisent les rencontres.

 

www.rencontres-arles.com

 

 

 

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Les rencontres photographique de Chabeuil

 

 

 

« Les rencontres photographique de Chabeuil »

15 émes édition

Du 12 au 20 septembre 2015

2001 Naissance des Rencontres de la Photo, organisées par la municipalité de Chabeuil.

Début modeste avec 5 expositions pendant 6 jours. Que de chemin parcouru !

Nous voici à la 15ème.année, 38 expositions dans 19 lieux, sur 10 jours dans des salles municipales ou privées.

La philosophie du début n'a pas changée, pas de thèmes imposés, des photographes amateurs ou professionnels.

Portées par la municipalité, aidée par des bénévoles de Clic Image , cette manifestation connaît chaque année un nombre grandissant de visiteurs venant de différentes régions.

Collaboration enrichissante avec le Centre du Patrimoine Arménien, du cinéma Le Navire, grâce à Valence-Romans Sud Rhône-Alpes.

La région Rhône-Alpes reconnaît également cette manifestation qui de part sa renommée attire sur Chabeuil plus de 5000 visiteurs, et cette renommée dépasse dorénavant les frontières de notre région.

Venez nombreux, cher public, visiter ces expositions, rencontrer les photographes présents chaque week-end, vous en repartirez conquis par les images que vous aurez vues ainsi que par le parcours qui vous aura révélé la beauté de notre commune.

 

www.lesrencontresdelaphoto-chabeuil.fr

 

 

 

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Corps et âme

© Sylvain Frappat

 

 

 

« Corps et âme »

Photographies de Sylvain Frappat

Du 1er au 30 septembre 2015
Artothèque de Grenoble
202 Grand Place
38100 Grenoble

Vernissage le jeudi 3 septembre à 18h30

Champs de bataille

Qui pourrait encore croire qu'une compétition sportive se résume à une belle action, un instant décisif, un score? Sylvain Frappat nous montre que l'intérêt se situe ailleurs, au-delà d'images arrêtées, supports à des commentaires formatés. Il nous dévoile le temps de l'effort du contre, des corps abîmés que ce soit le camp du vainqueur ou celui du vaincu. Nul n'échappera au masque de la souffrance. Et les matchs de rugby comme les combats de boxe sont autant de confrontations à cette notion étrange qui nous attire et nous effraie à la fois : la douleur.

Richard Collier

 

www.bm-grenoble.fr

 

 

 

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Les Gorges de l'Ardèche

© Christian Boucher

 

 

 

« Les Gorges de l'Ardèche »

Photographies de Christian Boucher

09/09/2015 au 27/09/2015
Eglise Romane Balazuc - Ardèche

Tous les jours de 15h00 à 18h00

Les Gorges de l'Ardèche séduisent chaque année de nombreux touristes avides de découvertes, d'évasion, et d'activités de pleine nature. Ce sont plusieurs milliers de canoë-kayak qui parcourent, chaque année, la rivière du Pont d'Arc à Saint Martin d'Ardèche.

Ce territoire, classé fort heureusement Réserve Naturelle, renferme de nombreux végétaux rares et une faune sauvage protégée

Par la présente exposition, je vous propose des photos de cet espace naturel exceptionnel et préservé, que j'ai parcouru maintes fois à la recherche du beau point de vue et de belles lumières.

Les photos de la présente exposition sont issues, pour la majorité, de mon dernier livre « Le Pays des Gorges de l'Ardèche » qui est sortie en juin 2015.

 

www.christian-boucher.com
www.facebook.com/christian.boucher.photos

 

 

 

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Un pont c'est tout

© Tristan Zilberman

 

 

 

« Un pont c'est tout »

Photographies de Tristan Zilberman

Du 2 au 30 septembre 2015
Fontaine obscure
24 av Henri Poncet
13090 Aix-en-Provence
04 42 27 82 41

Du mardi au vendredi de 15H à 19H (avril-septembre)
Le samedi de 10H à 12H

Vernissage le 2 septembre à partir de 18h30

Cette série de photographies est issue d'un reportage photo réalisé à l'occasion de la réhabilitation d'un ancien pont sur le Rhône dans la commune de Rochemaure en Ardèche.Le vieux pont suspendu de Rochemaure, hors d'usage depuis des années, a été transformé en passerelle himalayenne et se trouvera sur le parcours de la Viarhona, la piste cyclable qui relie le Lac Léman à la Méditerranée. Le suivi photographique effectué sur 6 mois, a vu toutes les phases de la transformation de l'ouvrage et les étapes du chantier qui s'est parfois déroulé dans des conditions extrêmes.

 

www.tristanzilberman.com
www.fontaine-obscure.com

 

 

 

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Le monde n'est pas loin...

© Bernard Coste

 

 

 

« Le monde n'est pas loin... »

Photographies de Bernard Coste et Tristan Zilberman

Du 21 août au 30 septembre 2015
La maison des vins et du tourisme
520 route de Carpentra
84110 Sablet
Tel : 0490468246

Vernissage vendredi 21 août à partir de 18h30
Ouverture de 10h à 12h30 et de 14h à 18h30

En ce monde nous marchons
Sur le toit de l'enfer
Et regardons les fleurs.

C'est comme si Bernard Coste et Tristan Zilberman, chacun avec sa sensibilité et son style, abordaient le monde avec au cœur ce haïku d'Issa. Et peut-être aussi cette question essentielle que pose Philippe Jacottet : est-ce que les fleurs « parlent plus haut que l'enfer » ; ou parlent-elles « de ce qui pourrait l'emporter à la fois sur elles et sur lui » ?

Leur travail puise aux contradictions de ce monde, en lisière du grave et du beau, de l'équilibre et de la rupture, du désespoir et de l'espérance. Leurs photographies nous proposent de porter sur l'homme et le monde un regard positif, néanmoins conscient des précipices et des impasses de la photographie de voyage, un regard jamais exempt de notre responsabilité de faiseurs d'images.

Marie Meulien

Exposition dans le cadre de SIXTRACE

Des oeuvres son exposées en même temps aus domaine Boissan, Chamfort, Piaugier, Verquiére et la cave des vigneron le Gravillas à Sablet.

 

 

 

 

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Désorienté

 

 

 

 

« Désorienté »

Photographies d'Anna Puig Rosado

Du 17 au 27 septembre 2015
Le Temple,
rue du bout du monde,
26110 Venterol

Des jeudis aux dimanches de 15h à 19h.
Vernissage le samedi 19 septembre à partir de 18h avec Anna Puig Rosado. Présence de la photographe les 2 week-end.

L'association « LE TEMPLE » avec la municipalité de Venterol participe avec 4 autres villages au projet « ITINERANCES », parcours photographique en pays de Nyons, soutenu par la communauté de communes et l'Office du Tourisme.

Du 17 au 27 septembre, notre espace accueille la photographe Anna Puig Rosado avec sa série « Désorienté » : fruit d'un long travail en Orient, elle a la particularité de nous montrer des lieux désertés et nous donne à voir un autre monde qui sollicite notre imaginaire et notre réflexion ; par ses compositions et ses angles de vue on est souvent proche de la peinture non figurative. Grande voyageuse, Anna Puig explore l'envers des décors dans des lieux atypiques.

Venez vous laisser désorienter et découvrir une photographe qui développe son travail d'auteur (expositions, livres) en France et dans le monde.

 

www.annapuigrosdado.net
www.paysdenyons.com

 

 

 

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Assise Bénarès

Bénarès 1948

 

 

 

« Assise Bénarès »

Photographies de Philippe Joudiou

Du 19 au 20 septembre 2015
Couvent Saint François
7 rue Marie-Rose 75014 PARIS

Entrée libre à l'occasion des journées du Patrimoine
De 9h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00

Né en 1922, Philippe Joudiou fait des études artistiques. Il entreprend le voyage vers l'Inde en septembre 1947, désirant, à la suite de Lanza Del Vasto, rencontrer Gandhi.

Parti d'Assise, traversant terres et mers sans moyen matériel, rencontrant mille visages de l'humanité, Philippe revient transformé, profondément affecté par les expressions de spiritualités, traditions sociétales et philosophiques loin des mentalités occidentales.

A l'occasion de cette exposition qui a lieu pendant les journées du patrimoine au couvent Saint François, sera mis en vente le livre de ce voyage qui est abondamment illustré.

 

www.anne.joudiou.free.fr
www.editions-franciscaines.com

 

 

 

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N'importe où hors du monde

© Andréa Mastrovito

 

 

 

« N'importe où hors du monde »

Une exposition de Andréa Mastrovito

Du 20 juin au 4 octobre 2015
CAC - Château des Adhémar
26200 Montélimar

Ouverture tous les jours de 10h à 18h ( Juillet août )
et de 10h à 12h et 14h - 18h ( septembre, octobre )

Andrea Mastrovito fait partie de cette jeune génération de créateurs pour laquelle le dessin est la matière première. S'il pratique des techniques qui vont de la peinture aux installations en papier en passant par le collage, le dessin reste sa technique de référence.

Fasciné par l'histoire, il la revisite, s'imprègne des mythes, des religions, des hommes, puis en révèle des épisodes qui font sens avec le lieu dans lequel il intervient. Favorisant le mélange des genres et des époques, il s'inscrit de manière poétique dans l'intemporalité, l'imaginaire et la fiction.

Venant de la peinture et issu du mouvement punk, Andrea Mastrovito a, au gré de ses expériences, orienté son terrain de recherche en dehors du champ pictural en créant avec des moyens simples et des matériaux pauvres et notamment le papier, matrice de l'ensemble de son œuvre. Ce travail de dessinateur se révèle partout, dans et hors de la feuille de papier, se déploie sur celle-ci et aussi hors d'elle, sans limite, sans bord, sans le crayon, sur le mur, sur l'écran, en volume, à travers une installation, à travers une projection.

Au sein des trois châteaux, avec le projet intitulé N'importe où hors du monde déployé sous trois volets singuliers, ce jeune créateur va offrir des propositions liées à l'histoire chaque site : une installation inédite en lien avec les arts de la table à Suze-la-Rousse (K-Ration), des sculptures murales autour de l'histoire de madame de Sévigné et de sa fille à Grignan (The unnamed feeling), un panel de créations inédites in situ (vidéo animation, sculptures, installations) évoquant l'ère disciplinée du passé conflictuel à Montélimar (Et la justice pour tous).

Biographie

Né à Bergame en 1978. Vit et travaille à Bergame et New York.

Issu d'une jeune génération, Andrea Mastrovito a eu des expositions personnelles dans des galeries privées à Milan, Florence, Paris, Genève, Bruxelles, New York et dans des centres d'art contemporain italiens ainsi qu'à Lacoux en France (01). Ses œuvres ont été incluses dans diverses expositions publiques internationales dont : Musée national MAXXI et Palazzo delle Esposizioni à Rome, B.P.S. 22 à Charleroi en Belgique ainsi que le M.A.D à New York.

Expositions personnelles : 2015 Les Etrangers, Galerie Guy Bartschi, Geneva; Here The Dreamers Sleep, Andersen Museum, Rome; Andrea Mastrovito at Santo Spirito, Santo Spirito in Saxia, Rome; Solo Show, Centre pour l'arte contemporain, Montélimar, France.

 

www.andreamastrovito.com
www.chateaux.ladrome.fr/chateau-des-adhemar

 

 

 

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Immemory

© Martine-Emily Jolly

 

 

 

« Immemory »

Photographies de Martine-Emilie Jolly

Exposition du 20 au 30 août 2015
Chapelle Sainte Avoye
71800 La Clayette

Ouverture du 20 au 30 août de 14H à 18H ou sur rendez-vous
Entrée gratuite
Vernissage le jeudi 20 août 2015 à 17H30.

' Martine-Émilie Jolly utilise l'image fixe et l'image mobile, en œuvres accrochées aux murs ou sous forme d'installations. D'une façon ou d'une autre tout, chez elle, est objet autobiographique : un reflet dans la mer, un bout de tissu, une ombre projetée sur l'écume ou le sable... Sinon, ses images reflètent des sortes d'états d'âme très divers selon l'humeur. Ici une attirance vers des couleurs bruyantes et une maison ou un cheval emmitouflé fort graphiques (made in Sweden). Là des blockhaus abandonnés dans une mer maussade (Opalines). Ailleurs, une ville démultipliée en quête de transparences (Oslo panoramique). Martine-Émilie Jolly se balade dans le monde et les temps passés ou actuel ; toujours à partir d'elle-même, de son regard et ses ressentis pour proposer sa ballade poétique. ''

Stani Chaine

 

www.esoxlucius-art.blogspot.fr

 

 

 

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Marché d'oeuvres photographiques

 

 

 

« Marché d'oeuvres photographiques »

Dans le cadre du festival photo Azimutés

Le 21 et 22 août 2015
rendez-vous au restaurant Midi à L'Ombre (anciennement La Taverne), rue Sigalon, à deux pas de l'Office de Tourisme et près du Cinéma. Uzès

Le Vendredi 21 aout de 15 h à 20 h et le Samedi 22 aout de 10h à 18 h

Organisé par les associations La Chambre Jaune, Grain d'Image et La Barak, le marché photo s'installe à Uzès à l'occasion du festival photo Azimutés. Mettant à l'honneur la photographie contemporaine, cet évènement souhaite développer sur la région un vivier de jeunes acheteurs et de jeunes collectionneurs et par ailleurs sensibiliser un large public.

Une dizaine de photographes professionnels présenteront leurs œuvres photographiques pour la plupart, signées et numérotées, et se situant dans une fourchette évoluant entre 100 € et 1.000 €, voire plus.

Claude Corbier, Julien Delaval, Michel Elmosnino, Peggy Ferron-Callot, Fabienne Forel, Amélie Lombard, David Tatin seront là pour partager leur passion.

Soyez les bienvenus ! Bonne découverte !

 

www.lesazimutesduzes.com

 

 

 

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Festival photographique Les Azimutés

Calvi © Claude Corbier

 

 

 

« Festival photographique Les Azimutés »

Claude Corbier, Stéphane Corre, Paul-Emmanuel Coste, Antje d., Julien Delaval, Fanny Jorda-Iniguez, Bernard Liégeois, Amélie Lombard, Alastair Magnaldo, Edgar Moroni, Christine Refalo, Sinkai.

du 19 au 23 août 2015
Mairie d'Uzès et autres lieux en centre ville

08h00 à 22h00, entrée libre

Les Azimutés

C'est le nom d'un nouveau festival photographique qui se déroulera à Uzès, dans le Gard, du 19 au 23 août prochain. Cette manifestation n'est pas un simple accrochage, puisque le festival sera animé par les participants tout au long de la manifestation : stages, conférences, projections, performances permettront au public de rencontre les artistes et d'avoir une approche dynamique des pratiques photographiques.

Ouverture le 19 août à 18h30 dans la cour de la mairie d'Uzès, siège du festival.

Contact, Gisèle Soltys, 06 33 04 11 91.

 

 

 

 

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Lieux et Bâtiments

© Anesofie

 

 

 

« Lieux et Bâtiments »

Photographie de Anesofie

Du 24/05/2015 au 13/09/2015
Atelier-Expos "Anesofie & Cie."
Grande rue
26270 Mirmande

Tous les jours sauf le Jeudi et Dimanche après-midi.

Des lieux en Europe ou plus précisément leurs bâtiments.

Passionné par les bâtis en général j'ai tendance à les prendre en photos instinctivement, j 'ai fini par accumuler un grand nombre de cliché, voilà la raison de cette petite exposition d'une dizaine de photographies.

"Elles sont belles nos maisons, elles ont leur caractère, grandes et voyantes , jumelées

et symétriques , modernes et entassées ... et nos bâtiments aussi, même après avoir été oubliés, ils ont encore des histoires à nous raconter.

Série exposé à Mirmande à l'Atelier -Expo "Anesofie & Cie."

A découvrir depuis le 24 Mai et jusqu'à la rentrée. L'exposition se mêle aux autres travaux de Anesofie tel que les collages et la photo-collages manuelles mais également d'autres créateurs dans des domaines bien différents.

 

www.anesofie-creations.blogspot.fr
www.anesofieandcie.blogspot.fr

 

 

 

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Danse au fil d'un an

©Philippe Périé

 

 

 

« Danse au fil d'un an »

Photographies de Philippe Périé

Du 27 juin au 29 août 2015
Cité de la Musique de Romans S/ Isère
3 quai Ste Claire,
26100 Romans

Mardi et vendredi de 16h à 19h,
Mercredi et jeudi après midi de 14h à 18h, Mercredi matin de 9h à 12h
Samedi de 14h à 18h.

"Les images présentées retracent un an de danse au salon Andra pour les élèves du Conservatoire de danse de Romans sur Isère. Elles montrent l'évolution des exercices et des chorégraphies durant cette année, jusqu'au spectacle au Théâtre de Romans en mai dernier. En même temps que les mouvements évoluaient, mon regard s'est modifié également. La lumière varie au fil des saisons et elle vient teinter subtilement un décor resté inchangé durant l'année. Dans un premier temps, mon regard a été happé par ce lieu, puis petit à petit j'ai cherché à capter les mouvements, la danse et les regards en les rendant graphiquement perceptibles afin qu'en regardant les images, chacun puisse les ressentir."

 

www.philippeperie.com
www.citemusique-romans.com

 

 

 

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Sans voix

Prêt de l'IAC - Villeurbanne / Rhône-Alpes, du 49 Nord 6 Est Frac Lorraine, du Frac Aquitaine, du Frac Languedoc-Roussillon et des artistes.

 

 

 

« Sans voix »

Artistes : Francis Alÿs, Nicolas Brasseur, Joseph Grigely, Lizène, Gina Pane, Ed Pien...

Du 11 juillet 2015 juillet au 5 septembre 2015
La Galerie du théâtre
Rue de la recluse (axe bordant le théâtre)
07000 Privas

Du mercredi au samedi de 15h à 19h & les soirs de spectacles !
L'entrée est libre et gratuite (réservation nécessaire pour les groupes)

Notre communication verbale n'a pas évolué seule mais accompagnée... par le geste. Un geste est un signe manuel ou corporel qui permet d'illustrer les mots, de les compléter ou de les appuyer, ou encore de les remplacer. Cette exposition s'attachera au geste comme langage et proposera tout aussi bien des gestes absurdes et vains, des gestes significatifs et revendicatifs que des gestes artistiques, métaphoriques, ou de destruction... Les gestes sont une force de résistance, utilisons-les, diffusons-les !

 

www.theatredeprivas.com

 

 

 

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Photographie(s) Lyon & co

 

 

 

« Photographie(s) Lyon & co »

Agenda #4 - mai > août 2015

Jaune, bleu, rouge, après les trois couleurs primaires, une complémentaire: le vert symbole d'espoir et de renouveau pour fêter le premier anniversaire du carnet et dire combien nous sommes tous complé­ mentaires. Ainsi se sont réunis les différents lieux de la culture (en trois carnets 18 institutions, 15 galeries ou associations) mus par le désir d'offrir au public une diversité de propos sur la photographie. Pour ce numéro 4, nous sommes heureux d'accueillir de nouvelles institutions comme le CAUE, le CHRD, le Toboggan et les galeries Dettinger et 48 et nous remercions pour leur fidélité tous les autres!

Une belle réussite collective à entretenir...

 

www.facebook.com/pages/Photographies-Lyon-co
Télécharger l'agenda

 

 

 

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Les Nuits Photographiques de Pierrevert

© Hans Sylvester

 

 

 

« Les Nuits Photographiques de Pierrevert »

Edition 2015

Du 31 juillet au 2 aout 2015
04860 Pierrevert

Pour la septième année consécutive, le festival des Nuits Photographiques de Pierrevert prend ses quartiers d'été du 31 juillet au 2 août 2015. Il s'étendra cette année à l'échelle de l'agglomération de Manosque où il investira le très beau lieu de la fondation Carzou du 13 juin au 25 septembre 2015 avec une exposition de Hans Silvester. ?Créé en 2008 par une bande de photographes passionnés réunie autour de Stéphane Kossmann, ce festival a pour objectif de provoquer des rencontres entre des photographes de renommée internationale et de jeunes talents auxquels le festival souhaite apporter confiance et visibilité. Ces artistes prometteurs sont choisis à l'issue d'un appel à candidature. Chaque année, environs 250 demandes nous parviennent et les heureux auteurs sélectionnés bénéficient d'un espace d'exposition pendant la durée du festival et d'une projection sur écran géant devant le public lors des trois manifestations nocturnes de Pierrevert.

Basé sur le double signe convivialité-qualité, le festival permet d'accéder à une sélection talentueuse tout en offrant une grande proximité entre le public, les artistes et les habitants de Pierrevert. ?Chaque année, l'évènement est parrainé par un grand nom de la photographie (Les 6 premières éditions furent ainsi successivement parrainées par Peter Knapp, Oliviero Toscani, Steve Hiett, Hans Feurer, Jean Daniel Lorieux, et Sacha van Dorssen). ?Pour l'édition 2015, nous aurons donc le plaisir d'accueillir le très célèbre photographe Hans Silvester.

 

www.pierrevert-nuitsphotographiques.com

 

 

 

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Paysages en jeu

© Tristan Zilberman

 

 

 

« Paysages en jeu »

Photographies de Tristan Zilberman

Du 3 juillet au 20 août 2015
Hôtel Malmazet de Saint-Andéol
33 Grande Rue
07170 Villeneuve de Berg

Horaires d'ouverture au public
Lundi, mercredi, jeudi et vendredi : 10h-12h et 17h-19h30
Mardi :10h12h et 17h-22h
Samedi : 10h-12h

Une exposition présentée par le pays d'art et d'histoire du Vivarais méridional

« On est toujours au centre du paysage qu'on traverse ! On croit le voir ? On ne fait qu'en déplacer le centre, et le paysage ne cesse de changer... »
Pierre Teilhard de Chardin

Le paysage existe par le regard que l'homme pose sur lui.

Historiquement, l'ordonnance du paysage découle d'actes savants et pratiques de l'homme qui a défriché, cultivé et construit en lien avec le site. Aujourd'hui le paysage contemporain, lié à l'évolution des modes de vie et de la notion humaine du temps, a conduit l'aménagement à quelques fois rompre avec une certaine territorialité pour peu à peu se déraciner. Les éléments du territoire, ne prenant plus systématiquement en compte l'épaisseur du site, s'additionnent dans l'espace, s'opposent parfois, pour produire une réelle cacophonie qui peut rendre difficile la lecture d'un territoire.

L'exposition « paysages en jeu », vous invite à porter un nouveau regard sur les paysages d'ici et de maintenant : des grands paysages naturels des gorges de l'Ardèche ou du plateau du Coiron aux paysages de terrasses et bourgs anciens façonnés par la main de l'homme – et nous questionner sur leur avenir et sur le rôle de chacun dans leurs évolutions.

 

www.tristanzilberman.com
www.facebook.com

 

 

 

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Visite privée de l'exposition

 

 

 

« Visite privée de l'exposition »

Serge Clément - Dépaysé
Chuck Samuels - Le Photographe

Exposition présentée jusqu'au 31 juillet 2015
Galerie Le Réverbère
38 rue Burdeau
69001 Lyon

Visite privée / commentée
jeudi 11 juin à 19h

Suite au désir exprimé par de fidèles visiteurs ou collectionneurs, nous vous offrons la possibilité d'un échange convivial autour des enjeux de la photographie, pour mieux connaître son histoire, mettre en évidence ce qui caractérise chaque auteur, décrypter un accrochage...

Un moment privilégié pour poser vos questions, répondre à vos interrogations.

MERCI DE NOUS CONFIRMER VOTRE PRÉSENCE.

 

www.galerielereverbere.com
http://www.galerielereverbere.com/

 

 

 

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Joies et Tristesses

© Eric Pijnaken

 

 

 

« Joies et Tristesses »

Photographies Eric Pijnaken

Du 27 juin au 05 juillet 2015
Galerie d'Art
rue de l'Église
07450 Burzet

10h/17h
Vernissage 27 juin 18H
Entrée gratuite

L'Arte Povera initié par l'Italien Germano Celant s'oppose à la société de consommation et l'ordre imposé par l'industrie. Il va de retour à la base de l'être humain. C'est dans cette veine que travaille le photographe Eric Pijnaken. Joies et Tristesses met en image l'âme des hommes, leurs rêves et leur souffrance. Chaque tableau sur alu-dibond (70x40 cm et 100x40 cm) présente deux photos, une couleur, l'autre noir et blanc, qui s'interpellent. C'est le spectateur qui est libre de tisser des liens entre ces images, et les interpréter à son guise. Le dialogue entre l'image et le spectateur constitue un élément essentiel de la création, que le photographe partage avec les personnes qui regardent, pensent, sentent, et aboutissent à une réponse intérieure. Cette interaction met l'image en valeur et la laisse vivre, car les images représentent les hommes et méritent d'être amour et empathie.

Expositions en France, Pays-Bas, et Suisse.

 

epuexpo.wix.com/works-of-arte-povera
www.burzet.fr
www.jerpij.wix.com/eric-pijnaken-images

 

 

 

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Danse avec Elle

© Lisa photographies

 

 

 

« Danse avec Elle »

Photographies de Lisa Boniface

Du 4 juin au 4 juillet 2015
La Forge Collective
8, rue Baudin, 26000 Valence
04 75 84 78 18

Vernissage Jeudi 4 Juin . 18H
Ouverture du lieu
Lundi au vendredi
9h- 19h
Entrée libre

Photo et danse : deux arts qui jouent ensemble. Jeu de mouvement et de lumière.

Lumière. Indispensable. Et pas seulement en photographie. Jouer avec elle. Se laisser surprendre par elle. La chercher. La trouver là où on ne s'y attend pas.

 

www.lisaboniface.500px.com
www.laforgecollective.fr

 

 

 

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Venise

© Anne Joudiou

 

 

 

« Venise »

Photographies de Anne Joudiou

Du 18 juin au 3 juillet 2015
Galerie des 7 Parnassiens
98, boulevard du Montparnasse
75014 Paris

Entrée libre tous les jours de 11h00 à 23h00

Dessins ou photographies ? À bien regarder ces vues de Venise, l'oeil doute. S'emparant, dans ses derniers travaux, de vues prises dans ces villes de tous les clichés, Anne Joudiou les met à nu, travaille ses épreuves numériques en superposant des filtres, corrige la colorimétrie, contraste les couleurs, brouille les lignes. Les photographies sont ensuite tirées par ses soins, de un à vingt exemplaires, sur un papier dessin de très grande qualité (Fine Art Hahnemühler), ce qui renforce l'impression de contempler une oeuvre gravée ou dessinée, un décor de théâtre dont a surgi une nouvelle poésie.

De son père, Philippe Joudiou, dessinateur et photographe, Anne Joudiou a hérité de cette double passion qu'elle a fait sienne en construisant son propre parcours, influencée par les artistes de la Renaissance italienne, la peinture flamande, Dürer... mais aussi les photographes humanistes (Riboud, Ronis, Salgado...) et poussée par l'envie de faire rêver, de suggérer le réel plutôt que de l'imposer.

 

www.anne.joudiou.free.fr
www.parnassiens.com

 

 

 

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Palimpseste

© Laurence David

 

 

 

« Palimpseste »

Photographies de Laurence David

DU 15 MAI AU 31 JUILLET 2015
Galerie Le Quai
17 Bd du Fust
26200 Montélimar

Vernissage vendredi 15 mai à partir de 18h

Palimpseste :

Manuscrit sur parchemin d'auteurs anciens que les copistes du Moyen Âge ont effacé pour le recouvrir d'un second texte.

Sens figuré :

1. Oeuvre dont l'état présent peut laisser supposer et apparaître des traces de versions antérieures. "Toute oeuvre est un palimpseste, et si l'oeuvre est réussie, le texte effacé est toujours un texte magique" ( J. Gracq, Beau ténébreux, 1945 )

2. Mécanisme psychologique tel que les faits nouvellement mémorisés se substituent à ceux qui leur préexistaient dans la mémoire. "L'oubli n'est autre chose qu'un palimpseste. Qu'un accident survienne, et tous les effacements revivent dans les interlignes de la mémoire étonnée." ( V. Hugo, Homme qui rit, t.2, 1869 )

 

www.laurencedavid-blog.tumblr.com
www.facebook.com/lequaimontelimar

 

 

 

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Dépaysé - Le Photographe

© Serge Clément, Dépaysé

 

 

 

« Dépaysé - Le Photographe »

Photographies de Serge Clément et Chuck Samuels

Exposition présentée du 22 mai au 31 juillet 2015

Vernissage jeudi 21 mai de 18h à 21h en présence des artistes

Galerie Le Réverbère
38 rue Burdeau
69001 Lyon

Ouvert du mercredi au samedi de 14 h à 19 h et sur rendez-vous en dehors de ces horaires.

Pour la troisième fois, nous renouvelons la proposition d'une carte blanche à l'un de nos photographes. Belle preuve de générosité de leur part, occasion stimulante de créer le débat, l'échange entre leurs pratiques, les oeuvres et le public.

Serge Clément a choisi d'inviter Chuck Samuels à partager avec lui l'espace de la galerie. Ce sera un dialogue entre Dépaysé de Serge Clément (livre aux éditions Kehrer Verlag en 2014) et Le Photographe (série inédite) de Chuck Samuels.

 

www.galerielereverbere.com

 

 

 

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MONDOVISION

© Chut! Libre

 

 

 

« MONDOVISION »

Une exposition du collectif CHUT! Libres (Sarah Bouillaud, Yann Castanier, Marie Delagnes) et Zacharie Gaudrillot-Roy

Du 21 mai au 04 juillet 2015.

Vernissage jeudi 21 mai à partir de 18h.

atelier/galerie photo L'ABAT-JOUR
33, rue René Leynaud
69001 Lyon

Ouverture du mercredi au samedi de 15h à 19h

MONDOVISION exprime le paradoxe de la simultanéité et de la multiplicité des regards possibles sur le monde depuis l'avènement des internets et des nouvelles technologies de la communication. Il est possible de voir le monde instantanément, dans sa quasi-totalité, à n'importe quel moment.

Aujourd'hui, il ne s'agit donc plus de savoir si l'on voit, mais de savoir comment l'on voit. Il s'agit d'interroger la position du créateur et du spectateur. Regards intimes, parcours du monde, imaginaire ou réminiscences du passé constituent autant de perspectives et de choix.

Par la confrontation des images et des approches, MONDOVISION met en exergue cette réalité composite et intersubjective qui affleure.

LE COLLECTIF :

CHUT! Libres est un label photographique créé en 2008. Il rassemble des photographes de la nouvelle génération, des styles distincts qui expriment différentes visions du monde. Il s'agit de saisir le réel et l'imaginaire entre documentaire et création contemporaine ; de saisir le monde en mouvement entre nouveaux objets médiatiques et pureté photographique. Ces sensibilités se complètent, s'affrontent et se répondent pour transcrire la complexité du monde.

CHUT! Libres est un gage de qualité. Le label crée une reconnaissance et une identification des photographes et de leurs sujets sur le long terme. C'est un point d'ancrage pour les professionnels et le public, un guide qui permet de se repérer au fil des années et d'être assuré de trouver le même engagement à chaque travail.

CHUT! Libres, c'est une coopération qui s'établit dans un souci de l'autre, de construction et de partage de solutions liées aux nouveaux enjeux de la sphère photographique.

CHUT! Libres, c'est la photographie de demain.

Bienvenue au coeur du monde, boum-boum !

T'as entendu ?

Il y a de la vie.

 

www.chut-libres.com
www.labatjourphoto.com

 

 

 

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Constellations photographiques

© Marine Lanier, Fossile, Clansayes, 2010, extrait de La Vie dangereuse, 2007-2015

 

 

 

« Constellations photographiques »

SOUSCRIPTION
Constellations photographiques
par Anne Immelé

Sortie en librairie, mai 2015
Médiapop éditions 12 quai d'Isly - 68100 Mulhouse (F)

Prix 14€

Les constellations d'étoiles n'existent que par le regard de celui qui a choisi puis connecté des étoiles entre elles afin de créer une configuration. De même, le photographe qui constelle va pointer des fragments de visible qu'il va agencer et configurer. La constellation, c'est une métaphore de la photographie, dans une pensée de la multiplicité et du rapprochement des hétérogènes.

Cet essai analyse les pratiques de mises en espace photographiques sous forme de constellations, à partir d'un corpus d'œuvres de Wolfgang Tillmans, Raymonde April, Peter Puklus, Antoine d'Agata, Adam Broomberg & Olivier Chanarin, David Favrod, Marine Lanier, Vincent Delbrouck, Sylvain Couzinet-Jacques, Aleix Plademunt, Anouk Kruithof, Archive of Modern Conflict, Vera Schöpe, Mikhael Subotzky et Patrick Waterhouse, Ed Templeton, Anna Meschiari, Tacita Dean, Isabelle Le Minh, Carly Steinbrunn, Christophe Bourguedieu, Sophie Ristelhueber, Michael Schmidt et Christian Milovanoff.

Pour recevoir CONSTELLATIONS PHOTOGRAPHIQUES (128 pages) de Anne Immelé avant sa sortie en librairie :

CB et Paypal sur mediapop-editions.fr ou chèque de 14€ ( au lieu de 16€ – frais d'envoi offerts) adressé à médiapop éditions 12 quai d'Isly ~ 68100 Mulhouse (F)

 

http://www.mediapop-editions.fr/souscription-constellations-photographiques-par-anne-immele/

 

 

 

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Présence(s) photographie #2

© Roland et Sabrina Michaud

 

 

 

« Présence(s) photographie #2 »

Appel à candidature

La date limite de candidature est le 30 juin 2015
PRÉSENCE(S) PHOTOGRAPHIE,
2 montée du Bouton d'Or
26200 MONTELIMAR

Dans le cadre du festival PRÉSENCE(S) PHOTOGRAPHIE #02 qui se déroulera à Montélimar du 14 au 29 novembre et dont les invités d'honneur sont Sabrina et Roland MICHAUD, Munem WASIF un appel à candidature est lancé pour participer à une soirée de projection. Envoyez un portfolio d'une série photographique assortie d'une courte biographie, d'un texte de présentation de vos travaux et de vos coordonnées

 

www.presences-photographie.fr
Appel à candidature

 

 

 

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Pluriels

© Cédric Roulliat

 

 

 

« Pluriels »

Exposition collective : Dominique Blaise, David Décamp , Carole Fromenty, Cédric Roulliat, Guillaume Treppoz

Du 24 mai au 19 juillet 2015
La grande galerie
Lieu-dit La Fabrique
26 740 Savasse

Jours et Horaires d'Ouverture
- du jeudi au dimanche ?de 10 h à 12 h et de 14 h à 19 h
- sur RDV au 06 85 05 80 38?ou 04 75 00 02 17

Plusieurs expressions de l'art contemporain sont représentées - art textile, installation, peinture, photographie, sculpture.

LA GRANDE GALERIE affirme son choix d'interpeller tous les publics.

 

www.lagrandegalerie.org

 

 

 

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“Vendredi : 15h?<br />
Série de portraits au chantier

© JP BOS

 

 

 

« Vendredi : 15h »

Photographies de Jean-Pierre Bos

Du 21 Decembre 2014 au 30 juin 2015
Lux Scene nationale de Valence
36 Bld General de Gaulle
26000 Valence

LUX 2.0 marque une scène nationale renouvelée, enrichie d'un plateau scénique innovant.

La métamorphose de lux s'est concrétisée par un chantier de 6 mois, que lux a souhaité mémoriser, confiant une création au photographe Jean-Pierre Bos.

“La transformation d'une partie de Lux (salle de spectacle) a donné à ce lieu une activité de chantier en mouvement permanent, invisible de l'extérieur, ou se sont côtoyé les ouvriers de tous corps de métiers. C'est dans l'intention de garder une trace de cet « évenement »... que le projet photographique a « vu le jour » pour faire émerger le collectif à partir d'un corps singulier. Toutes les personnes de passage sur ce chantier ont posé et été photographié dans un « studio bricolé“ in situ. Le modèle s'installe, fignole son apparence, le photographe ne cherche pas à le surprendre, cadrage de face, sans artifice...»

 

www.jpbos.fr
www.lux-valence.com

 

 

 

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Mulhouse 015 - Biennale de la jeune création contemporaine

© Marine Lanier, Crâne, Charols, 2007 extrait de la série La Vie dangereuse, 2007-2015

 

 

 

« Mulhouse 015 - Biennale de la jeune création contemporaine »

Rien ne va plus

Du 13 juin au 16 juin 2015
PARC EXPO
68100 Muhlouse

Exposition ouverte du 13 au 16 juin 2015, samedi & Dimanche : 10h-20h Lundi:12h–20h, mardi : 12h-17h

La Biennale de la Photographie de Mulhouse présente un programme de films photographiques ou vidéo- graphiques en lien avec la thématique de l'édition de 2013, qui était Play & Re-play. Les jeunes artistes y envisagent l'évolution des sociétés contemporaines, montrant des territoires en mutation, à partir de pratiques personnelles, mais qui peuvent aussi puiser dans le flux des images existantes, pouvant procéder par emprunts, détournement ou par jeux de montage. Certains photographes jouent et rejouent l'instant photographique car Play & Replay implique la notion de répétition, de différé et d'anachronisme. La vidéo Monument (2015) de Jaques Lopez sera présentée pour la première fois. Le programme présente des films photographiques de Jacques Lopez, Moussa Moussa, Emilie Saccoccio, Bruno Grasser, Baptiste Perrin (HEAR - Haute école des arts du Rhin), Marine Lanier, Sylvain Couzinet-Jacques (ENSP Arles), Lana Mesic (MFA, St.Joost Academy of Arts and Design, Breda, Janine Bächle (Hochschule für Gestaltung,Offenbach DE)

 

www.biennale-photo-mulhouse.com

 

 

 

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Le Roman familial

© Christine Smilovici

 

 

 

« Le Roman familial »

Compositions photographiques de Christine Smilovici

Du 13/06/15 au 14/06/15.
Galerie La Cour des Miracles
28 Grande Rue
07300 Tournon/Rhône

10h/19h

PORTES OUVERTES sur L'ART, Tain-l'Hermitage (26) et Tournon-sur-Rhône (07), édition 2015.

Les associations de peinture, de sculpture, de métiers d'art, les lieux d'exposition et les artistes ouvrent leurs portes au public les 13 et 14 JUIN 2015. Ce sont en tout 11 espaces à découvrir sur les deux villes.

L'histoire familiale de chacun se compose par le temps et les générations successives, par le tempérament des individus et les choix qu'ils impriment à leur propre vie, par le hasard enfin qui conduit aux accidents de parcours, aux maladies, comme aux morts, prématurées ou ordinaires.

Le plus souvent, l'ensemble de toutes ces vies qui entourent un être et qui le fondent profondément, restent cependant méconnues de lui-même ou connues juste un peu.

Je me place dans la posture où ma propre histoire familiale m'oppose un silence total . Elle se tait. Et je ne cherche pas à lever le voile. Par conséquent, je ne sais plus si cette histoire réelle a été furieuse, pleine de joies attendries ou parfaitement plate. Peu m'importe.

Je sais que je peux la réinventer à ma manière. J'ai en mains des photos de mes proches mais aussi des photos d'inconnus, elles me présentent des portraits ou des scènes. Je sais qu'elles vont se mélanger pour construire un nouveau théâtre.

 

www.chsmiloc.wix.com/
www.ardeche-guide.com/loisirs/loisirs-culturels/atelier-galerie-la-cour-des-miracles
www.metiers-dumonde.fr

 

 

 

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Failles ordinaires

© Géraldine Lay, Failles ordinaires

 

 

 

« Failles ordinaires »

Photographies de Géraldine Lay

Exposition présentée du 15 mai au 27 juin 2015

Vernissage vendredi 15 mai

Librairie Maupetit - Actes Sud, Marseille
142 La Canebière,
13001 Marseille

10:00 – 19:00

Exposition de Géraldine Lay à la Librairie Maupetit - Actes Sud à Marseille.

 

www.geraldinelay.com
www.maupetitlibraire.fr
http://www.galerielereverbere.com

 

 

 

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Approche discrète

Aurélie Mourier, Fouille suspension - Volume 05981.001, mousse et fils, 125 x 125 x 270cm, 2010 - Production Le Bon Accueil, photographie H. Beurel

 

 

 

« Approche discrète »

Exposition d'Aurélie Mourier

Du 08 mai - 20 juin 2015
Galerie du Théâtre de Privas
Rue de la recluse (axe bordant le théâtre), 07000 Privas

Vernissage jeudi 07 mai à 18h30
Ouverture de 15h à 19h & les soirs de spectacles !
Événements :
La Petite Conférence : jeudi 21 mai à 18h?Visite de la dernière chance : samedi 20 juin à 17h

S'inspirant de formes végétales, animales ou encore minérales, l'univers d'Aurélie Mourier se compose d'un répertoire de cubes et de lignes. Elle explore ainsi les possibilités d'imiter la nature, de penser ses formes autant par le calcul que les représentations normées. Attachée cependant au travail manuel, elle découpe, perce, coud, enfile méticuleusement. Ses œuvres sont alors la somme d'une pensée méthodique et d'une réalisation artisanale. ??Née en 1985 à Sèvres. Vit et travaille à Poitiers.

 

www.aureliemourier.net
www.theatredeprivas.com

 

 

 

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Bingo

© BBB

 

 

 

« Bingo »

Une exposition de Brest Brest Brest

Du 17 février au 14 juin 2015
La fabrique de l'image
2 rue de l'oratoire
07400 Meysse

Vernissage le 19 février à partir de 18h30

Du mercredi au samedi de 16h à 19h

Les travaux de Brest Brest Brest opèrent par glissement, ils s'emploient à déplacer le regard, à nous prendre par la main pour faire le trajet d'un point identifié vers un autre. Parfois ce glissement se fait en ski, à pied, en mobylette, mais toujours vers une forme d'inconnu où la part d'accident est importante. Brest Brest Brest désarticule, démonte des échantillons d'imageries populaires pour leur offrir une nouvelle logique. Quelle que soit la nature de leurs travaux, il est toujours question de rencontre entre évidence et bizarrerie. L'exposition fera état d'une partie de leurs réalisations, mélangeant joyeusement commandes et recherches. Brest Brest Brest n'est pas de Brest mais de Crest. On saute du B au C comme on saute du coq à l'âne.

www.brestbrestbrest.fr
www.fabrique-image.fr

 

 

 

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Trophées subjectifs

© Pierre Abensur

 

 

 

« Trophées subjectifs »

Photographies de Pierre Abensur

Du 24 février au 15 juin 2015
Musée de la chasse
62, rue des Archives
75003 Paris

Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h (dernier accès 17h30). Nocturnes les mercredis jusqu'à 21h30 (dernier accès 21h). Fermé le lundi et les jours fériés.
Tarif plein : 8€
Tarif réduit : 6€

Pierre Abensur, photographe et reporter, poursuit depuis plusieurs années sa série de Trophées subjectifs. Pour cela, il parcourt le monde (Suisse, Mongolie, Argentine ou Finlande) à la rencontre de chasseurs qu'il photographie selon le même procédé de composition : le modèle est figuré en pleine nature avec l'un de ses trophées de chasse.

À première vue, la photographie semble résumer l'action de chasse en réunissant le prédateur, la proie et le territoire. Mais, le caractère étudié de la pose, l'aspect artificiel de l'animal naturalisé, introduisent une singulière distance. Ils confèrent à l'image une dimension fictionnelle.

Ces photographies révèlent la nature ambigu?e de la relation entre le chasseur et son trophée. L'homme tuerait-il pour s'assurer la possession d'un être que seule la mort peut transformer en avoir ? Drame intemporel où seuls changent les acteurs et le décor. Est-ce-que toute l'action de chasse ne se déroulerait pas dans un théâtre intérieur où le gibier, la lande ou la forêt viendraient jouer le rôle du sauvage ? Où la poursuite de l'animal se substituerait à une sorte de quête amoureuse ?

Pierre Abensur est né en 1962. Il vit et travaille à Genève.

 

www.pierreabensur.com
www.chassenature.org

 

 

 

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Circuit d'art épatant /2

 

 

 

« Circuit d'art épatant /2 »

Romain Andrieux, Christian Armandy, Marie Bienaimé, Jean-Luc Blanchet, Marc Bonnetin, Anaïs Clarté, François Corgier, Bertille Courbis, Safaa Erruas, Abdelghafour Essafi, Elfi Exertier, Patrice Ferrasse, Bernard Froment, Françoise Gauthier, Joël Gorlier, Hetie Goverts, Caty Laurent?, Aurélie Le Maître, Agnès Mariller, Jean Mathon, Amandine Meunier, Géraldine Michel, Jean-Bernard Millau, Franck Na, Pascale Parrein, Erik Pitout, Henri Pol, Anna Puig Rosado, Vadim Sérandon, Maguy Seyer, Marlène Trouillas, les Usines Louise, Philippe Voiturier

Du 22 au 31 mai 2015
Château de Verchaüs
2823 RD86
07220 Viviers

Circuit d'art épatant 2ème vague

Et après... what's next ?

On s'attend à quoi ?

Encore un machin d'art

attendus au tournant, détournant l'attendu, déjà-vu, t'es sûre ? on est déjà passés par-là ?

Voilà, on est perdus, on sait plus où on est, le GPS perdu entre quarantièmes rugissants et Eastern junction

VOUS ÊTES ICI

détour et raccourci

Laissons les véhicules, empruntons des transports plus... bucoliques, attardons-nous un temps dans le Circuit d'art épatant...

 

www.chateaudeverchaus.com

 

 

 

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Le cri du silence

Photographies © Antoine Agoudjian

 

 

 

« Le cri du silence »

Photographies d'Antoinne Agoudjian

Du 11 mai au 7 juin 2015
Le centre d'art - Espace Chabrillan
127 rue Pierre Julien
26200 Montélimar

Vernissage le lundi 11 mai à 19h

À l'occasion du centenaire de la commémoration du génocide arménien (24 avril 1915-2015) le travail photographique d'Antoine Agoudjian, qui depuis près de trente années s'attache à faire vivre la mémoire des arméniens,sera présenté au Bleu du Ciel en même temps que la publication d'un livre aux Éditions Flammarion. Son oeuvre, unique du fait de son étendue dans le temps est aussi représentative d'une époque dense en bouleversements qui associe une introspection artistique à un témoignage vivant et pionnier sur la cause arménienne.

 

www.agoudjian.com

 

 

 

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Extrême indien

© Valérie Gaillard

 

 

 

« Extrême indien »

Photographies de Valérie Gaillard

Du 6 au 31 mai 2015
Alter Art
75 rue Saint Laurent
38000 Grenoble

Vernissage le 7 mai à 18h
Du mercredi au dimanche de 15h à 19h
Présence de l'artiste le vendredi 8 mai, tous les samedi et dimanche (sauf le 9)

Valérie Gaillard expose des photographies argentiques couleur, au format carré, prises lors de ses séjours en Inde et au Népal.

Loin du reportage ou du souvenir touristique, ces images nous montrent des lieux de la vie quotidienne, empreints de leur spiritualité.

Dans le détail, l'existence s'affirme, hors des stéréotypes, au plus près de la sensation immédiate, et pourtant intemporelle, comme un espace qui respire et ouvre à la méditation.

Parfois quelques visages anonymes nous font face ; en toute dignité, ils nous observent.

En fine coloriste, Valérie Gaillard capte la lumière qui adoucit les couleurs : gris, rouille, vert d'eau, bleu pâle... Elle rend sensible le moindre objet, dessine l'aplat des matières, la fresque d'un mur, ou la jetée qui se profile à l'infini avec point d'horizon plein centre.

Chaque image est une rencontre qui décale notre regard : rencontre avec cet ailleurs qui interroge notre rapport au monde, comme si se renouvelait l'émotion de la photographe au moment du déclic.

Quelques photographies barytées noir et blanc cadrent des végétaux ; saisies dans leur mouvement ; les feuilles ou leurs reflets dans l'eau tremblent ; on sent le vent, son souffle qui brouille les lignes, l'instant suspendu au coeur des éléments.

Au sein même de la matière, ici aussi, la vie rythme l'image de ce voyage intérieur.

Janine Desmazières

 

www.valeriegaillard.com
www.alterart.org

 

 

 

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Evanescent

© Denis Dubesset

 

 

 

« Evanescent »

Photographies de Denis Dubesset

Du 5 mai au 5 juin 2015
la Fontaine Obscure - Espace Photographique Galerie,
24 av. Henri Poncet,
13090 Aix-en-Provence

Du mardi au vendredi
de 14H à 18H (octobre-mars)
de 15H à 19H (avril-septembre)

Cette exposition est le fruit d'une réflexion artistique sur la temporalité. Le constat de départ est que chaque photographie est une représentation factuelle, mais interprétée, du temps présent. Les images présentées sont le fruit d'une longue recherche esthétique. L'idée est de suggérer une ambiance, une atmosphère poétique. L'évanescent décrit ce qui « disparaît au fur et à mesure », ce qui se transforme. Chaque cliché a un sens et existe pour lui même, mais il est aussi associés aux autres photographies.

 

www.fontaine-obscure.com

 

 

 

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Traces

© Dolorès Marat

 

 

 

« Traces »

Photographies de Dolorès Marat et Gilles Verneret

Du 30 avril au 2 juin 2015
GALERIE FRANCOISE BESSON
10, rue de Crimée
69001 Lyon

Pour célébrer le retour de la lumière, à la fin de ce mois d'avril 2015, Françoise Besson convie deux personnalités de la photographie : Dolorès Marat et Gilles Verneret, qu'elle réunit sous le thème des TRACES, avec en sous-titre "la Route du paradis" pour Dolorès Marat, et "sur les Traces des grands Demeurants" pour Gilles Verneret.

De ces deux artistes créateurs, c'est le Grand Oeuvre, celui de toute une vie, de l'engagement constant, confirmant la ligne des dernières expositions de la Galerie en citant Huysmans, "faire de sa vie une oeuvre d'art", ou , actuellement, "Emois" de Jacques Migayrou : "ne jamais perdre le fil." Deux rencontres fortes donc, dans le droit fil de la Galerie appliqué à la photographie : l'importance de la main, avec le tirage Fresson, de la portée poétique et du parti pris, de la représentation mythique et du signe quotidien.

Dolorès Marat nous livre les traces de ses différents voyages et errances, à la fois dans les grandes capitales, Paris ou New York des années 90, où elle offre une vision poétique de la réalité, se perdant dans ces villes peuplées de fantômes et de solitudes ; mais aussi les traces de son périple autour du bassin méditerranéen amorcé dans les années 2000 et qu'elle poursuit inlassablement, domptant peu { peu la lumière vive du sud qui lui était si peu familière. C'est l'atelier Fresson qui, depuis le premier cliché, en 1983, tire ses négatifs et fait partie intégrante de son univers. La technique du tirage au charbon donne une douceur veloutée aux photographies et perd un peu le spectateur qui ne sait s'il voit une peinture, un pastel ou une photographie. Ainsi, Dolorès Marat nous révèle ses moments suspendus, ses couleurs à la fois pénétrantes et fugaces, son inspiration en clair-obscur, entre rêve et réalité.

Gilles Verneret a choisi d'aller sur les traces des grands Demeurants ou d'événements connus qui abordent les rapports du réel et de l'imaginaire. En 2008, Françoise Besson écrivait déjà : « Gilles Verneret dit faire un travail très primitif, dans lequel l'image naît de l'affleurement d'un paysage aimé, de l'intensité de l'affect suscité par le corps à corps avec les choses, infiniment désiré, toujours refusé. Garder trace de cet élan, prendre l'empreinte de cet en-avant du désir et de ce qui l'entrave, tel est l'enjeu. (.../...) Cette photo, il l'entend comme trace de traces, témoignage humain de ce que l'homme fait au monde. »

Ce désir de traces s'est inscrit dans une série de voyages, de chapitres. Son voyage en terre sainte lui a déclenché le premier chapitre qui a donné lieu à une sublime série d'images montrées dans une exposition à la bibliothèque de la Part-Dieu, le silence et l'oubli, sur les traces de Jésus. En spécialiste d'une prose visuelle, il part à la rencontre de Jésus, d'Hermann Hesse, de Nietzsche, de Proust, Dostoievki ou encore de Cézanne...

Ces deux expositions illustrent fragmentairement trente ans d'images et autant d'engagement, et feront chacune l'objet d'une monographie complète : pour Dolorès Marat, le Voyage autour de la Méditerranée qui se terminera par la Turquie et l'Algérie, et, pour Gilles Verneret, avec Beethoven et quelques autres grands Demeurants comme, puisque il nous revient de Grèce, Ulysse.

 

www.doloresmarat.fr
www.francoisebesson.com

 

 

 

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Exposition Marcos Avila Forero

© Marcos Avila Forero

 

 

 

« Exposition Marcos Avila Forero »

Du 04 avril au 07 juin
Château des Adhémar
Centre d'art contemporain
24 rue du château
26200 Montélimar

visites > visites commentées de l'exposition les mercredis et les dimanches à 11h et 15h (sauf les 15 et 22 avril). Vernissage > Samedi 4 avril à12h Rencontre avec l'artiste à 11h

Marcos Avila Forero est un artiste d'origine franco-colombienne fasciné par les déplacements des peuples, des idées et des cultures. Il explore les territoires : le contexte politique et social, les récits des individus sont la base de son travail, explorant l'imaginaire du voyage et de la mémoire. Utilisant des matériaux locaux, pauvres, symboliques de la Colombie, très importants pour le commerce et la survie des populations (toile de jute, palettes, barques, etc.), il s'exprime dans des fresques murales, vidéos, travaux collectifs et mises à l'épreuve...

« Comment faire l'anthropologie d'un lieu archéologique ? Une question a priori dénuée de sens, ou plutôt, à contresens : il s'agit de deux sciences qu'on pourrait définir d'antonymes :l'une étudie ce qui existe encore, l'autre, ce qui n'existe plus. ...Pourtant elles ont toutes le deux le même objectif premier, très précis : étudier l'être humain ». (M. Avila Forero)Dans le cadre du projet aux Adhémar, Marcos Avila Forero propose un projet inédit composé de productions nouvelles liées au « mythe de la caverne », et d'autres récentes qui visitent des traditions. A l'exemple de « L'Atrato », une vidéo installation d'envergure durant laquelle des riverains récupèrent leurs coutumes et font du fleuve un instrument, une « violence accoutumée » se transforme en musique. C'est un projet qui a servi postérieurement comme expérience pilote dans un programme de récupération du patrimoine mené par des organismes gouvernementaux et indépendants locaux ; ou des « Palenqueros » : tambours transformés par leur interprétation en un voyage..« Les oeuvres de Marcos portent l'empreinte d'une rencontre, d'un récit ou d'un parcours. Ce sont des micro-fictions faites de bric et de broc, qui cherchent moins à démontrer ou documenter qu'à confronter des temps et des lieux qui n'auraient pas dû se rencontrer ». (D. De Beauvais).

 

www.galeriedohyanglee.com/marcos-avila-forero
www.chateaux.ladrome.fr/chateau-des-adhemar/le-centre-dart-contemporain/exposition-marcos-avila-forero

 

 

 

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Galerie Artenostrum

Bernadette Tintaud © Horizons 120x91 cm

 

 

 

« Galerie Artenostrum »

Photographies de Bernadette Tintaud

Du 28 mars au 7 juin 2015
Galerie Artenostrum
Leparol - allée des promenades
26220 Dieulefit

Ouvert de 11 h a 12 h et de 14 h 30 a 18 h 30 du vendredi au lundi inclus et tous les jours lors des vacances scolaires ou sur rv 33 (0)4 75 46 83 30
Vernissage le samedi 28 mars a partir de 15 h

« Il y a dans l'œuvre photographique de Bernadette Tintaud, cette présence toujours imprévisible du sursaut, d'une ressaisie imperceptible du sujet qui ne voit rien venir mais semble en pressentir l'imminence. Quelque chose qui viendrait se placer au revers des choses vues. Ce revers ? Une lutte de plans, un vertige plat, des nuances de bruns ou de bleus... La photographie serait alors le dévers de cette nouvelle matière, de ces plans singuliers et plus menacés que menaçants qui viennent doubler le pas du temps. » Daniel Dobbels

« Saturations de lumières, éblouissements de blancs, noces élémentaires et dispersées du ciel et de la terre. Il est difficile de ne pas bouger dans un tel monde, il est difficile de ne pas se sentir courir déjà, plonger vers ces horizons de ciel incertains et nécessaires, vers ces lointains discrètement ouverts et déposés, vers ces blancs. » Jean-Marc Besse

Mes photographies qu'elles soient réalisées en argentique ou en numérique, arrivent dans le temps d'un processus. Celui-ci est un double mouvement : aller vers la profondeur de la matière photographiée et en faire revenir des éclats pour créer des formes ouvertes, poreuses à la lumière.

Les logiciels de retouche sont le prolongement de la chimie argentique ; comme elle, ils sont les outils de la déconstruction afin de mettre le médium photographique à distance et ainsi le questionner. Les premières prises de vue contenaient en germe cette image-palimpseste qui ne cesse de se déplier et par le mouvement elle tente d'avoir accès au devenir des formes et non seulement à leur représentation.

 

www.bernadettetintaud.com
www.artenostrum.com

 

 

 

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Les bains de mer - Expolaroid 2015

© Gérard Staron

 

 

 

« Les bains de mer - Expolaroid 2015 »

Photographies de Gérard Staron

Du 10 au 12 mai 2015
Le Quai
17 Boulevard du Fust
26200 Montélimar

Du mardi au samedi de 14h30 à 19h30
Vernissage vendredi 10 avril à 18 h

Cette série témoigne d'un temps lointain où la mer devenait à peine accessible et faisait rêver, un littoral encore relativement vierge, un bord de mer décrit en lumière et reflets par les impressionnistes.

 

www.gerard-staron.com
www.lequaideco.overblog.com

 

 

 

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Le cri du silence

Photographies © Antoine Agoudjian

 

 

 

« Le cri du silence »

Photographies d'Antoinne Agoudjian

Du 3 avril au 23 mai 2015 Vernissage jeudi 2 avril - à partir de 18h30
Le Bleu du Ciel
12, rue des fantasques
69001 Lyon

Ouvert du mercredi au samedi de 14h30 à 19h

À l'occasion du centenaire de la commémoration du génocide arménien (24 avril 1915-2015) le travail photographique d'Antoine Agoudjian, qui depuis près de trente années s'attache à faire vivre la mémoire des arméniens,sera présenté au Bleu du Ciel en même temps que la publication d'un livre aux Éditions Flammarion. Son oeuvre, unique du fait de son étendue dans le temps est aussi représentative d'une époque dense en bouleversements qui associe une introspection artistique à un témoignage vivant et pionnier sur la cause arménienne.

 

www.agoudjian.com
www.lebleuduciel.net

 

 

 

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Les Preuves du temps

© Denis Roche

 

 

 

« Les Preuves du temps »

Photographies de Denis Roche : 1971-2005

Exposition du 25 mars au 9 mai
Artothèque de Grenoble
202 Grand Place
38100 Grenoble

Vernissage le mardi 24 mars à 18h30

La photographie est pour Denis Roche un art silencieux qui lui permet d'explorer les figures du temps.

Ecrivain et éditeur, il photographie depuis les années 1970. Nourri par une longue fréquentation de la peinture abstraite, guidé par la recherche de la beauté, il photographie sans mise en scène des états et des formes au gré de ce qu'il voit, usant de thèmes visuels forts tels que le reflet, le double ou la démultiplication. Directeur avec Catherine Dérioz de la galerie Le Réverbère, à Lyon, avec laquelle l'artothèque a préparé cette exposition, Jacques Damez évoquera lors d'une conférence sur le travail photographique et critique de Denis Roche. Il développera le lien essentiel qu'entretient la photographie avec le temps, et explicitera les différentes formes mises en œuvre par le photographe pour faire converser le temps.

vernissage mardi 24 mars à 18h30

conférence « Les temps du photographe » vendredi 27 mars à 18h

 

www.galerielereverbere.com
www.bm-grenoble.fr

 

 

 

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Lords Of The Ring

© Eric Espinosa

 

 

 

« Lords Of The Ring »

Photographies d'Eric Espinosa

Du 31 mars au 30 avril 2015
Fontaine Obscure
Espace photographique
24 Avenue Poncet
13090 Aix en Provence

Vernissage le mercredi 1er avril à 18h30

Eric Espinosa est ingénieur en chimie, né à Marseille et réside à Bruxelles. Passionné depuis son plus jeune âge par la photographie , il est remarqué par son talent au cours de ces workshops, David Al an Harvey est devenu son mentor. Son travail a été sélectionné parmi les 10 meilleurs talents et projeté à Charlotte Ville (USA). Il a été publié dans BURN magazine, New York Times "LENS" et également été exposé au Festival "LOOK3" en Virginie aux Etats-Unis.

Lords Of The Ring

Lords of the ring montre son infiltration dans le monde de la boxe à Cincinnati, une ville du middle west americain, qui a vu naitre de grands boxeurs. Eric Espinosa a voulu saisir l'âme de ces jeunes boxeurs noirs, oublié par leur concitoyens, élevés dans les mauvais quartiers, sans famille stable autour d'eux, sans perspective d'emploi, dans la violence de la rue où la drogue est le seul moyen de faire de l'argent et où la simple survie semble déjà un exploit en soi. Armés uniquement de leurs poings et leur esprit, enchaînant les combats pour se fai re respecter, les boxeurs qu'il a rencontrés dans the « Queen - City » se sont avérés être des jeunes exceptionnels. Ils sont à ses yeux, les vrais "Seigneurs du ring". Cette exposition est dédié au jeune boxeur, James Perkins, abattu il y a quelques mois dans le guetto Over - the - Rhine...neuf balles...un assassinat insensé. « J'espère que les quelques photos que j'ai prise de James en faisant ce qu'il aimait le plus, la boxe, va aider à nous rappeler sa vie stoppée trop rapidement, avant même qu'il ait eu le temps de prendre son envol... »

Passionné depuis son plus jeune âge par la photographie, Eric Espinosa a participé à deux workshops photographiques sous la direction du grand photographe David Alan Harvey de l'agence Magnum, le 1er à Rome , le second en Sicile. Muté à Cincinnati (USA), Eric Espinosa y a séjourné plusieurs années. David Alan Harvey lui a conseillé de faire un travail construit sur son lieu de résidence. Ville reine de la boxe ayant produit nombre de champions renommés, il a décidé de traiter ce sujet. A force de patience et de tact, il a pu pénétrer ce milieu si particulier, gagner la confiance des boxeurs et comprendre leurs aspirations et leurs rêves.

 

www.fontaine-obscure.com

 

 

 

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Expolaroid Montélimar

 

 

 

« Expolaroid Montélimar »

Projection de portfolio et exposition

Mois d'avril 2015
Cinéma les Templiers
Place du Temple
26200 Montélimar

Expolaroid Montélimar, c'est des projections de portfolios avant chaque séance tout le mois d'avril et une journée spéciale 100% gratuite et 100% Polaroid le 25 avril avec la diffusion de tous les portfolios, films, animations portrait à la chambre 4x5 ... Repartez avec votre Polaroid en main !

C'est également 2 expositions 100% polaroid à la Galerie Le Quai !

Du 10/04 au 30/04 retrouvez tous les photographes dont les portfolios sont diffusés sur Grand Ecran au Cinéma Les Templiers + une exposition complémentaire avec la série "Les Bains de Mer" de Gérard Staron.

Vernissage des 2 expositions le vendredi 10 avril à 18h !

 

www.facebook.com/events/414546805372347
www.facebook.com/pages/Cin%C3%A9ma-Les-Templiers/458604924275844
www.lequaideco.overblog.com

 

 

 

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Régénérations

© Jessica Buczek

 

 

 

« Régénérations »

Photographies de Simon Bugnon et Jessica Buczek

Du 10 au 26 avril 2015
Maison de l'Artisanat d'Art
70 rue de la République
42740 Saint-Paul-en-Jarez

Vernissage le 10 avril à 18h30.
Ouverture mercredi, samedi, dimanche de 10h à 19h. Jeudi et vendredi de 16h à 19h.
Entrée libre.

Qu'il s'agisse de gorges, de tourbières ou de montagnes, il est des lieux qui semblent hors du temps, hors de portée des désastres humains, des sanctuaires sauvages où l'on ne peut se sentir accepté qu'avec le respect qui s'impose, où l'on craindrait de rompre l'enchantement en déplaçant un caillou ou en écartant une ronce. On se fait alors le confident des éléments, le témoin émerveillé des splendeurs du vivant, l'élève du réel devant les cycles de vie et de mort....

Pour cette exposition, Jessica Buczek et Simon Bugnon ont associé leurs images, glanées autour de chez eux, dans le Pilat et en Ardèche, mais aussi lors d'excursions dans le Vercors, le Jura, le Verdon et les Hautes-Alpes.

Une cinquantaine de tirages d'art à découvrir à la Maison de l'Artisanat d'Art à Saint-Paul-en-Jarez.

 

www.simonbugnon.com
www.jessicabuczek.com

 

 

 

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Lauréats 2015 du prix HSBC pour la Photographie

 

 

 

« Lauréats 2015 du prix HSBC pour la Photographie »

Maia Flore & Guillaume Martial

Du 2 avril au 2 mai 2015
Galerie Le Réverbère
38 rue Burdeau
69001 LYON

Du mercredi au samedi de 14 h à 19 h
et sur rendez-vous en dehors de ces horaires
Vernissage jeudi 2 avril, de 18h à 21h

La galerie Le Réverbère vous invite à la première présentation de l'exposition des lauréats 2015 du prix HSBC pour la Photographie, Maia FLORE et Guillaume MARTIAL, qui ont été élus 20èmes lauréats du Prix HSBC pour la Photographie.

Maia Flore

« Maia Flore croit aux vertus d'une photographie enfin débarrassée de la réalité crue. Le réel n'a d'intérêt que transfiguré. Avec sa personne comme modèle, ou plutôt comme sujet agissant, elle s'amuse à mettre en scène d'improbables situations poétiques et métaphoriques. Cette photographie relève de la poésie élisabéthaine ! Le travail est fortement imprégné des caractéristiques de son anatomie, ces longs cheveux roux, cette peau si blanche, tout en retenue et rejetant l'exhibition. Ce corps est un pont, un arbre, un objet. Il fusionne avec le monde, il a une respiration, comme une langue qui divague. »

Guillaume Martial

« L'espace est une expérience corporelle. C'est ainsi qu'on le remplit, qu'on l'occupe ou le subit. Dans la tradition des avant-gardes des années 1970, Guillaume Martial fait de sa plastique d'ancien sportif de haut-niveau, un marqueur sémantique. Il pose les bases d'un alphabet personnel, coloré et jubilatoire. Ce Tati photographe se plaît à inscrire son corps/signe dans le cadre d'une géométrie obligatoirement contraignante. Cette nouvelle grammaire n'a d'autre visée que d'introduire du désordre et de l'absurdité dans la volonté d'ordonnancement du monde. »

Textes de François Cheval

 

www.galerielereverbere.com

 

 

 

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Rendez-vous Image 2015

Vincent MULLER © Lauréat 2015

 

 

 

« Rendez-vous Image 2015 »

Les Lauréats exposent à la Maison de la Région Alsace à Strasbourg

Du 7 au 30 avril 2015
Maison de la Région Alsace
1 place Adrien Zeller
67070 Strasbourg

Ouvert du lundi au vendredi, de 8h à 18h. Entrée gratuite

La Maison de la Région Alsace à Strasbourg accueille les lauréats de Rendez-vous - Image pour une exposition photographique du 7 au 30 avril 2015.

Les 4 lauréats de Denis Rouvre, directeur artistique de l'exposition photo, livre, vidéo Rendez-vous Image ainsi que la lauréate du prix des professionnels de l'image, sont invités à exposer leurs œuvres à la Maison de la Région à Strasbourg. Chacun des cinq photographes expose une série de 15 à 20 images traitant d'un thème choisi par l'artiste.

Liste des photographes exposants : Vincent MULLER, Lise DUA, Dominique PICHARD, Oualid BEN SALEM, Sophie DUPRESSOIR.

 

www.rdvi.fr

 

 

 

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<span style=font-size:1.2em>Je veux des quartiers</span> - le troisième chantier et la chevauchée du collectif 500

Couverture du livre

 

 

 

« Je veux des quartiers - le troisième chantier et la chevauchée du collectif 500 »

par Max Jacot, Adèle Jacot, en collaboration avec le collectif 500
Photogaphies de Max Jacot

Lancement du livre et exposition des photographies

du 26 mars au 26 avril 2015
la fête de lancement aura lieu
le 26 mars dès 17h30
Au Pavillon bleu, à l'arrière de la gare Cornavin, rue des Amis

exposition urbaine, en intérieur et extérieur, vin et fromage, accordéon et chant
durant cette soirée, vente du livre au prix de lancement de 30 chf


Max Jacot vit depuis plus de vingt ans dans le quartier des Grottes à Genève, un quartier populaire situé à l'arrière de la gare Cornavin. C'est un quartier à forte cohésion sociale, qui accueille depuis des centaines d'années artisans, ouvriers, commerçants « historiques » ou squatters. Il est célébré à Genève pour ses fêtes publiques et sa résistance aux projets qui ont souvent tenté de le rendre plus luxueux.

La série « Terriens » a son origine première dans les relations du photographe avec son quartier au long de toutes ces années. Mais elle s'est amplifiée et radicalement transformée avec la dernière tentative de gentrification de ce lieu de vie historique : une extension de la gare Cornavin prévoyait de rayer de la carte une grande partie de ses immeubles, au nom d'un projet de peu de qualité ferroviaire. Depuis plus de trois ans, les habitants ont réagi en proposant une version plus futuriste d'extension de la gare, en souterrain, et à travers l'utilisation des outils d'initiative populaire disponibles en politique suisse, ils ont fini par réunir une très grande adhésion de la population et la quasi unanimité des politiques derrière leur contre-proposition.

Les photographies du livre furent présentes durant toute la récolte de signatures, elles ont fait monter sur les murs de la ville et dans les yeux des passants une réalité tangible de ce qui risquait d'être détruit. Elles ont certainement contribué à l'enthousiasme qui a peu à peu gagné la population.

Le livre « Je veux des quartiers » retrace de l'intérieur les ambiances, les personnages et la force populaire du quartier, il célèbre par l'image et par des textes courts et parfois sauvages les colères et les joies de ces années de lutte.

Mais ce livre témoigne surtout des relations profondes et complexes qui lient l'aventure photographique avec la vie d'une population véritablement ancrée dans un lieu, donnant et recevant l'une de l'autre ce qui les fait exister, un contexte et une signification pour l'aventure photograhpique, et une amplification de la visibilité et de la cohésion symbolique pour le quartier.


Le portrait est une fiction

Le portrait n'enregistre pas la réalité d'un corps, il lui ouvre des espaces possibles, lui trace des boulevards vers des horizons ou lui offre des ruelles secrètes et intimes.

Le portrait crée de la fiction.

Le quartier lui aussi, comme le portrait, se nourrit de fiction et crée de la fiction. Il reçoit son énergie du foisonnement de ses rues, des personnages marqués dans ses murs, des récits de son histoire, de ses mythes, de ses fêtes et de chacun de ses habitants.

Je ne trouve pas de plaisir à capturer les corps et les visages sans raison, simplement parce que la lumière serait belle, ou parce que l'autre aurait une belle gueule. Mais si je vois que mes images peuvent servir à construire quelque chose d'utilisable, qu'elles vont fournir de la matière au chantier des images et des mots, dans mon quartier ou dans un lieu d'ailleurs, alors mon énergie s'éveille et s'en va prendre part aux chantiers qui m'entourent.

J'essaie de nourrir comme je peux les fictions de la ville.

Le chantier de l'image travaille avec les visages et les corps, le trafic et la pollution, la lumière, les couleurs, le bruit, le rire, l'obscénité, le soleil dans la cour et la colère. Sans le miroir des mots et des images, l'esprit du quartier ne se montrera pas, il n'y aura pas de proximité, pas d'appartenance, pas d'action, pas de politique !

Et sans la puissance du quartier, sans son histoire et son esprit, sans ses mythes, sans sa capacité d'action, ma photographie n'existera pas.

Max Jacot

 

www.voir.maxjacot.com
www.collectif500.ch
www.quartiers.org

 

 

 

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Comme par une cheminée qui débouche en plein ciel

 

 

 

 

« Comme par une cheminée qui débouche en plein ciel »

Une exposition du collectif Les Climats

Exposition du 17 janvier au 22 mars 2015
Château des Adhémar
Centre d'art contemporain
24 rue du château
26200 Montélimar

Le collectif Les Climats - Gilles Gerbaud, Marine Lanier, Aude Lavenant, Antoine Picard, Myriam Voreppe - expose depuis le 17 janvier au Château des Adhémar, Centre d’Art Contemporain de Montélimar, Comme par une cheminée qui débouche en plein ciel.
Les photographies qui y sont présentées traitent du territoire et du lien qu’entretiennent avec lui les artistes. Il y est question de gestes, d’usages et d’aménagements, de quotidienneté et de souvenirs. Parfois, le paysage devient le support de fantasmes fictionnels.

A l’occasion de cette exposition, le Château des Adhémar organise les Apartés, un temps de rencontre entres artistes et professionnels. Les membres du collectif Les Climats dialogueront avec le géographe Laurent Gagnol, Maître de conférence à l’université d’Artois, et la galeriste Françoise Paviot, installée à Paris et spécialiste de la photographie contemporaine depuis 1995.

Il s’agira de mettre en lumière les croisements possibles entre les disciplines, d’identifier les questions que soulèvent les oeuvres proposées et qui peuvent intéresser le monde de l’art contemporain et la géographie.
Quels usages sont faits aujourd’hui de la photographie ? Comment la photographie qui illustre, témoigne, est-elle de plus en plus utilisée dans une démarche sensible ? Il sera question des rapprochements qui s’opèrent entre la photographie et le monde scientifique, entre la photographie et les institutions commanditaires d’images. Qu’est ce précisément qu’une commande photographique ?
La réflexion portera également sur la notion de trace qui intéresse la géographie et dont il est question en photographie depuis l’invention du médium. La trace est au sens propre une empreinte, l’impression d’un objet qui se matérialise en négatif sur un support. C’est un indice de quelque chose qui existe à une échelle plus grande. C’est aussi ce qu’on laisse, ce qui est passé ou qui a disparu et dont on témoigne.

La rencontre aura lieu samedi 21 mars.
Elle débutera à 15H par une visite de l’exposition, pour se terminer à 17H.
L’entrée est libre.

Pour information, l’exposition se clôturera le 22 mars.
Une bonne occasion donc de vous y rendre si vous n’avez pu jusque-là !

 

www.chateaux.ladrome.fr

 

 

 

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Voyages imaginaires

© Anne Joudiou

 

 

 

« Voyages imaginaires »

Photographies de Anne Joudiou

3 mars 2015 au 13 mars 2015
Mairie du 5éme
21, place du Panthéon
75005 Paris

du lundi au vendredi de 11h00 à 18h00
le jeudi de 11h00 à 19h30
le samedi de 10h00 à 13h00
Entrée libre

Dessins ou photographies ? À bien regarder ces vues de Venise ou d'Amsterdam, l'oeil doute. S'emparant, dans ses derniers travaux, de vues prises dans ces villes de tous les clichés, Anne Joudiou les met à nu, travaille ses épreuves numériques en superposant des filtres, corrige la colorimétrie, contraste les couleurs, brouille les lignes. Les photographies sont ensuite tirées par ses soins, de un à vingt exemplaires, sur un papier dessin de très grande qualité (Fine Art Hahnemühler), ce qui renforce l'impression de contempler une oeuvre gravée ou dessinée, un décor de théâtre dont a surgi une nouvelle poésie. De son père, Philippe Joudiou, dessinateur et photographe, Anne Joudiou a hérité de cette double passion qu'elle a fait sienne en construisant son propre parcours, influencée par les artistes de la Renaissance italienne, la peinture flamande, Dürer... mais aussi les photographes humanistes (Riboud, Ronis, Salgado...) et poussée par l'envie de faire rêver, de suggérer le réel plutôt que de l'imposer.

Une grande sensibilité et un goût pour faire naître des images sous-tend également la série des Photographismes, des clichés traditionnels en noir et blanc qui eux privilégient non pas les architectures, mais le vivant, les personnages féminins et les oiseaux de manière récurrente.

Des photographies auxquelles Anne Joudiou applique là aussi diverses transformations graphiques, livrant in fine des formes épurées, minimalistes, poétiques, qui laissent libre cours à l'imaginaire du spectateur. Un travail que plusieurs expositions à Paris lui ont permis de faire connaître et qui a été très remarqué par le Département des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque nationale de France qui a acquis plusieurs de ses Photographismes pour enrichir ses collections. C'est encore le même esprit que l'on retrouve dans la collection d'images consacrées à la mer, dans lesquelles la photographe joue avec les ombres et les reflets selon les caprices du temps et des vents. Véritable source d'inspiration, Belle-Ile en Mer réunit tous les paysages à la fois : tantôt crique des Seychelles, tantôt tempête au Cap Horn, elle se pare d'écume, d'embruns et de lumière et se transforme ainsi au gré des saisons. Dans ces clichés, la couleur nous sert de guide à travers la nature sauvage. L'association des teintes autorise le rapprochement d'un champ de blé et d'une mer de sable, d'une volée d'oiseaux et d'herbes folles balancées par le vent.

ANNE JOUDIOU

Anne Joudiou a commencé sa carrière comme photographe d'illustration et de reportage, travaillant pour la presse, les magazines, les maisons d'éditions et diverses institutions. Au fil des années, elle a ainsi constitué une photothèque de plus de 60 000 clichés, dont une partie est en dépôt dans plusieurs agences, et qui couvre des thèmes aussi variés que l'architecture, la sculpture, les paysages naturels et urbains, la vie quotidienne. Elle a travaillé également pour des particuliers pour lesquels elle a réalisé des portraits ou des reproductions de tableaux. Progressivement, elle a consacrée une part croissante de son travail à la photographie artistique, à laquelle elle se consacre exclusivement depuis dix ans.

 

www.anne.joudiou.fre.fr
www.mairie5.paris.fr

 

 

 

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Circus !

© Pascal Preti

 

 

 

« Circus ! »

Photographies de Pascal Preti

Du 26 février au 20 mars 2015
Mairie de Guilherand-Granges
1 place des cinqs continents
07500 Guilherand

Entrée libre

Circus !

Il y a quelques années, j'ai débuté une série de diptyques-portraits pour pouvoir travailler plusieurs facettes du portrait photographique.

Le mélange de deux types d'images opposées par le cadrage (horizontal et vertical), par le spectre chromatique (couleur et le noir et blanc), par le portrait (d'ambiance et « close up »), abouti à la réalisation de deux photographies qui se suffisent à elles-mêmes, mais qui une fois réunies apportent une vision plus complète des personnages.

J'ai toujours été fasciné par la féerie du cirque, ses mystères, ses lumières, ses personnages mythiques et éblouissants, par leur courage et leur habilité, leur force et leur poésie. Alors, lorsque j'ai aperçu le chapiteau rouge et jaune, j'ai tout de suite eu l'envie de rencontrer ces artistes, de les photographier pour réaliser une série de diptyques sur le cirque.

Le cirque Caplot est un cirque traditionnel et familial.Trois générations sont représentées sous ce chapiteau. Camille le directeur et Lucienne son épouse veillent sur le bon fonctionnement de cette mini entreprise. Ils ont laissé la piste à leur fils Rodh, Gipsy (son épouse ), Maélis (leur petite fille de 7 ans) et à leurs trois autres fils, Wesley, Logan et Floyd, sans oublier Florian le Monsieur Loyal, ami de très longue date et faisant partie intégrante de la famille.

Ce sont tous des « enfants de la balle » qui ont tout appris de leurs aînés.

Ils ont de nombreux talents : Rodh est dresseur de fauves, jongleur, musicien et clown blanc sous le nom de Rico. Miss Gipsy et Maélis excellent dans leurs numéros de trapéze. Floyd, équilibriste, dirige la cavalerie et les animaux exotiques. Logan, l'Ange Blanc, se dévoile à travers son numéro de sangle aérienne, il est le clown Georgio avec les Caploletti et cascadeur avec Wesley dans le numéro de la roue de la mort. Wesley étant lui-même le clown Kékino et également jongleur.

Je vous présente le cirque Caplot : poésie, émotions et sensations fortes sont au rendez-vous.

Pascal Preti

 

www.pascalpreti.com

 

 

 

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Poésie d'Alain Borne

 

 

 

« Poésie d'Alain Borne »

Restitution du concours photographique

du 03 au 29 mars 2015
Office du tourisme
Espace St Martin
26200 Montélimar

Du lundi au vendredi de 10h à 12h30 et de 14h à 18h.
Le samedi de 10h à 12h30 et de 14h à 17h30.

Dans le cadre d'Itinérance[s] et en lien avec les célébrations du centenaire de la naissance d'Alain Borne, la médiathèque a organisé son concours photos annuel sur le thème de la poésie du poète montilien. Les candidats devaient proposer une image s'inspirant de l'un des recueils suivants : "L'amour brûle le circuit", "La nuit me parle de toi", "Cicatrices de songes".

Le jury de professionnels, partenaires et personnalités, réuni le 17 février à la médiathèque intercommunale, a sélectionné les 12 meilleures photos qui constituent cette exposition.

Lors du vernissage et du lancement officiel d'Itinérance[s] le vendredi 13 mars prochain à 18h, le nom du lauréat 2015 sera annoncé. Il recevra un bon d'achat de services photographiques chez notre partenaire La Fabrique de l'Image, et des recueils de poésie d'Alain Borne.

Exposition à découvrir jusqu'au 29 mars.

 

www.mediatheque.montelimar-agglo.fr
www.montelimar-tourisme.com

 

 

 

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Rencontres photographie & littérature

Photo d'Alix Cléo Roubaud
© Jacques Roubaud/Hélène Giannecchini

 

 

 

« Rencontres photographie & littérature »

Café Photo, lecture de portfolio et rencontre avec Hélène Giannecchini pour "Une image peut-être vraie. Alix Cléo Roubaud"

28 mars 2015
Château de Lauris, Cour des créateurs
84360 LAURIS

9h30 à 12h et de 14h30 à 19h

Programme :

09h30 / 12h : Rendez-vous mensuel du Café Photo Marseille ouvert à tous.

14h30 / 16h30 : Lecture de portfolio "Le photographe est son modèle, autoportrait et récit de soi".

Les experts : Hélène Giannecchini, historienne de la photographie et écrivain, Roxane Daumas, enseignante dans le cadre des ateliers ouverts de l'école supérieure d'art d'Aix en Provence, Alain Giraud, photographe indépendant,vice-­président de l'association «Café Photo Marseille»

14h30 / 19h : Projection de la série "Si quelque chose noir", photographies d'Alix Cléo Roubaud

17h / 19h : Hélène Giannecchini, avec la complicité de Maya Michalon, évoque son livre "Une Image peut-être vraie - Alix Cléo Roubaud", essai consacré à la photographe précocement disparue, paru aux éditions du Seuil en 2014.

Entrée libre

 

www.facebook.com/rencontresdu28mars2015
www.lesnouvelleshybrides.com

 

 

 

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Ne se charger que d'amour

© François-Xavier PRÉVOT

 

 

 

« Ne se charger que d'amour »

Photographies de François-Xavier PRÉVOT

Du jeudi 12 au jeudi 26 mars 2015
Médiathèque André Malraux
17, rue Jacques Coeur
91600 Savigny sur Orge
01 69 56 54 60

Projection Diaporama et Récits de Voyages le samedi 21 mars 2015 à 14h30

Exposition de Photos sur le thème du Départ et de la Migration.
Photos de 8 Pays : Tibet, Mali, Mauritanie, Roumanie, Tunisie, Algérie, Japon et France.

"Partir en Quête d'Inconnu, d'apparemment Impossible.
S'ouvrir.
Tout lâcher et tout recevoir.
De la Terre et du Ciel, on emmène avec soi ce que l'on donne, on laisse ici ce que l'on retient.
Tout laisser.
N'emporter que le Feu.
Ne se charger que d'Amour."

 

www.photographe-marseille.eu
www.biblio.savigny.org
www.photographe-marseille.info/location-exposition-photo

 

 

 

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Le clair obscur

© Elisabeth Brainos

 

 

 

« Le clair obscur »

Photographies d'Elisabeth Brainos

Du 3 au 28 mars 2015
Galerie Fontaine obscure
24 av Henri Poncet
13090 Aix-en-Provence

Du mardi au vendredi
de 14H à 18H (octobre-mars)
de 15H à 19H (avril-septembre)

Dans ce monde internationalement bavard, j'ai eu besoin de faire des photos de silence.

J'ai ainsi éliminé l'anecdotique et l'aspect descriptif tant de l'environnement que du sujet photographié. Tous les personnages sont réels, mais transfigurés lors de la prise vue par des éléments picturaux. Le résultat est que les traits précis ont “fondu? , parfois remplacés par d'autres, que l'essentiel est dans la connotation; il est suggéré, il est dans le non-dit, dans cette frontière non définie entre le jour et la nuit, le clair et l'obscur qui cohabitent en nous, le réel et l'irréel, dans cette touche d'?Unheimlich? (étrange familiarité) dont parle Antoine Raybaud . Dès lors on reconnaît chez un personnage un état d'âme, un sentiment, sans discerner son identité réelle, dans le silence. Ce serait comme “une mémoire sans souvenir précis? que chacun pourrait avoir.

 

www.elisabethbrainos.com
www.fontaine-obscure.com

 

 

 

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On dirait que...

© Jean Pierre Revel

 

 

 

« On dirait que... »

Photographie de Jean Pierre Revel

Du 1é février au 28 mars 2015
Fotografika
10 rue du Borgeaud
CH 1196 Gland

Ouvert du lundi au samedi de 9h à 12h et de 14h à 18h30. Fermé mardi matin et samedi après-midi

On dirait que... je suis grand comme toi!
On dirait que... j'irai toujours à l'école avec mes amies.
On dirait que... c'est moi qui a attrapé le poisson.
On dirait que... je vole avec mon cerf-volant.
On dirait que... c'est à moi l'avion.
On dirait que... ma Kalach' tire des vraies balles, pour tuer.
On dirait que... je veux rester un petit enfant, toujours.
On dirait que... la bombe n'est pas tombée et la terre n'a pas tremblé.
On dirait que... on serait des pirates et des infirmières!
On dirait que... je suis gros comme un éléphant et toi fin comme un papillon.
On dirait que... on va prendre le train avec toi.
On dirait que... je suis une princesse et toi, le roi.
On dirait que... maman n'est pas morte.
On dirait que...

Mots d'enfants, paroles d'enfance, à propos de leur monde. Un monde qui n'existe que dans leurs jeux et dans leurs rêves. On dirait que... On sait que ce n'est pas vrai, mais on fait comme si c'était vrai, pour un moment ou pour une fois. C'est tellement agréable de rester encore un moment dans son rêve... Après, on verra. Il n'y aura peut-être pas d'après.

Il y a quarante ans, thèse de doctorat en poche, je suis parti. J'ai voyagé. Un tour du monde. On dirait que... je ne voulais pas être un médecin tout à fait comme les autres. Des années plus tard, j'avais choisi la pratique qui me convenait alors qu'on en parlait à peine: médecin en situations d'urgence.

Là, j'ai beaucoup observé les enfants dans leurs activités quotidiennes.

Même dans le dénuement le plus complet, ils préservent une aptitude essentielle: jouer sérieusement, inventer des jeux, avec tout, avec rien. Quand ils ne jouent plus, il faut s'inquiéter: la situation est vraiment très grave.

Par passion autant que par nécessité, j'avais un appareil photo dans mon sac. Quand je pouvais, j'ai donc pris des photos dans certains de ces contextes. A la longue, cela a fait beaucoup de photos. Très peu ont été tirées immédiatement; les négatifs sont restés archivés, bien à l'abri, pendant des années. Faute de temps et de moyens, c'était tout ce que je pouvais faire. Maintenant, quand une occasion se présente, je les sors, je les montre, comme ici. Certaines peuvent être intéressantes, on dirait que... Toutes ont une histoire et même plus, la leur, la vraie, celle que je crois avoir perçue, et celles que, en les regardant, vous leur inventerez.

On dira que...

 

www.fotografika-gallery.com

 

 

 

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Nuits photographiques de Pierrevert 2015

 

 

 

« Nuits photographiques de Pierrevert 2015 »

Appel à canditature

Date limite le 31 mars 2015

Appel à candidature pour les projections du festival Pierrevert - Nuits Photographiques

Le festival Pierrevert - Nuits Photographiques se caractérise en deux mots : « Qualité, Convivialité ». Qualité par l'exigence de sa sélection, Convivialité par l'accueil des pierreverdants.

Il offre l'opportunité à des auteurs-photographes encore peu reconnus de projeter leur travail au côté de grands noms de la photographie.

La 7ème édition du festival se déroulera durant 3 jours du 31 juillet au 2 août 2015.

Chaque soir a lieu le vernissage d'une exposition, suivi à la tombée de la nuit d'une projection en plein air d'une quinzaine de photographes devant un large public.

Chaque photographe sélectionné est invité à Pierrevert, accueilli bénévolement chez les villageois pendant toute la durée du festival.

Dossier de candidature pour les projections :

Un projet photographique cohérent de 15 à 25 photos ou d'une durée de projection n'excédant pas 3 minutes avec un bref texte explicatif (5 lignes).

Aucune thématique n'est imposée mais la série présentée doit en cohérence avec la démarche de l'auteur. En cas de sélection, vous aurez la possibilité de monter la vidéo de projection suivant nos directives techniques, sinon nous vous aiderons à la réaliser. De même, si vous pouvez créer une bande sonore originale afin d'accompagner votre projection c'est un plus.

Date limite de l'envoi de dossier : 31 mars 2015

 

www.pierrevert-nuitsphotographiques.com
Appel à canditature

 

 

 

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La double vie des images

© Elsa Leydier, Esgotados (Épuisés), 2014

 

 

 

« La double vie des images »

Artistes : Pauline Bastard, Lionel Fourneaux, Emmanuelle Fructus, Elsa Leydier, Loriot-Mélia, William Nefussi, Philippe Pétremant, Joachim Schmid

du 30 janvier 2015 au 28 mars 2015 vernissage le 29 janvier à 18h
Galerie le Réverbère
38 rue Burdeau
69001 Lyon

Du mercredi au samedi de 14h à 19h

Cette exposition interroge l'importance de l'anonyme et du vernaculaire dans la production photographique. Les auteurs travaillent ici par prélèvement, par sauvegarde, ils ne trouvent pas de nécessité à produire de nouvelles images au vu du nombre laissé pour compte. Ils se mettent alors en quête de la double vie des images. Par la sélection, le découpage, le montage, l'oblitération, ils desquament le sens.

artistes : Pauline Bastard, Lionel Fourneaux, Emmanuelle Fructus, Elsa Leydier, Loriot-Mélia, William Nefussi, Philippe Pétremant, Joachim Schmid

 

www.galerielereverbere.com

 

 

 

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Appel à Candidature<br />
Marché photo à Castries (34)

© Fabienne Forel

 

 

 

« Appel à Candidature
Marché photo à Castries (34) »

date de limite > 21 février 2015

8, 9 et 10 mai 2015
Château de Castries (34)

participation > 100 € pour 3 jours.

Bonjour,

La 5ème édition du Marché Photo pose ses valises au superbe Château de Castries (Hérault) les 8, 9 et 10 mai 2015.

Organisé par une équipe sympathique Delphine et Marie de La Barak, Fabienne Forel de la Chambre Jaune, Arnaud Laroche de Grain d'image et Claude Corbier, le Marché Photographique est ouvert à une sélection de photographes,de collectifs et de galeries, il est dédié à la vente de tirages photographiques signés, d'auteurs contemporains.

Vous trouverez en pièce jointe le dossier d'inscription avec le règlement.

DATE LIMITE : 21 Février 2015 !

marche-photo@gmail.com - Tel : 04 66 88 46 80 / 04 67 86 98 21

 

www.le-marche-photographique.fr
www.facebook.com/lemarchephoto

 

 

 

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Comme par une cheminée qui débouche en plein ciel

© Marine Lanier

 

 

 

« Comme par une cheminée qui débouche en plein ciel »

Une exposition du collectif Les Climats

Exposition du 17 janvier au 22 mars 2015
Château des Adhémar
Centre d'art contemporain
24 rue du château
26200 Montélimar

Tous les jours de 10h à 12h30 et de 14h à 18h sauf le mardi de novembre à mars inclus.
Vernissage le 17 janvier à partir de 10h

Le château des Adhémar ouvre la saison 2015 avec la présentation du travail de cinq photographes (Gilles Gerbaud, Marine Lanier, Aude Lavenant, Antoine Picard, Myriam Voreppe) établis en Drôme. Ce collectif, nommé Les Climats, développe un propos lié à cette localisation et dont ressort la singularité d'une réflexion établie d'une part, autour de l'image et de sa construction et d'autre part, autour de leur sujet de prédilection : le paysage environnant.
« La majorité des photographies ont été réalisées dans la Drôme, soulignant la place que prennent ces paysages dans nos vies et dans nos travaux. Nous en sommes marqués intérieurement, ils sont des échos de ce qui nous constitue. Ils nous façonnent comme nous participons à les façonner. » (Les Climats).
Le territoire dans tous ses états : son façonnage sous l'angle typologique mais aussi ethnologique, avec ses usages et ses gestes, ainsi que son aspect mémoriel sont le cœur de leur projet. L'architecture et ses rythmes, la danse et les postures du corps, la littérature et la mise en image du verbe, autant de disciplines touchées du doigt par leurs pratiques et révélées dans des formats singuliers, dans des mises en espace réfléchies isolément et collégialement, dans un propos où équilibre et sens sont privilégiés.
L'exposition est intitulée Comme par une cheminée qui débouche en plein ciel, ils l'expliquent ainsi : « En prenant pour titre un extrait du poème Le paysage de Francis Ponge, nous réalisons une photographie, nous cadrons un fragment dans un ensemble, fragment qui participe à l'élaboration d'un montage, que nous affirmons d'emblée comme poétique. Dans cet écrit, un élément architectural devient la métaphore d'un corps qui digère le paysage : la cheminée, boyau de transition entre le dedans et le dehors, le dessous et le dessus, le caché et le visible. Elle évoque le foyer, la maison, le quotidien, mais aussi l'aspect sculptural des conduits industriels qui se dressent jusqu'au ciel. »

La démarche est collective, l'exposition facilite la révélation de cinq microcosmes dotés de références, de projections et d'interprétations singulières. Tous ramènent non pas à la banalité de paysages familiers mais à la redécouverte de ce qui constitue celui-ci. La scénographie a été réfléchie à cinq afin d'offrir des propositions qui, chacune, ouvrent une fenêtre sur leur paysage, leur regard personnel. « Par la photographie et nos marches buissonnières, défaire les espaces, réinventer les contours, faire se dilater le temps et les frontières. Ici le rêve et la réalité se mêlent. Le tangible, le brut côtoient l'utopie, en usant de la superposition des espaces. Les perturbations climatiques sont comme le reflet de l'effritement des jours. » (Manifeste, Les Climats)

 

www.chateaux.ladrome.fr

 

 

 

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Paysages intimes

© Magali Ballet

 

 

 

« Paysages intimes »

Magali BALLET / Marc DENEYER / François LABOUREIX

Du 16 janvier au 29 mars 2015
Galerie HorsChamp
place de l'église
77115 SIVRY-COURTRY

vendredi, samedi et dimanche de 14h à 19h et sur rendez-vous

Un bruissement,
Quelque part dans la profondeur d'un paysage.
Une question en suspens
En attente d'une disparition lente, dissolue, immuable.
Un reflet ;
Les ombres s'y fondent, les végétaux s'y unissent ;
La forêt se révèle
En transparence, elle s'extrait, se détache ou se fond.
Suspendues à des fils invisibles,
Les couleurs de l'automne
Effleurent les éclats d'une lumière
Qui s'invite au creux des sous-bois.
Ailleurs, une autre clarté,
Un état de grâce, figé comme un souvenir sensible,
Comme une réalité devenue spirituelle.
En fleurs, un pommier hors d'atteinte,
Si proche,
Une main tendue qui se rétracte,
Atmosphère nébuleuse.
Et puis, improbable,
La rencontre du ciel et de la terre.
?L'absence, le silence, et une certaine douleur
Qui ne cesse de s'éloigner
Et de se rapprocher,
Dans l'obscurité
Qui nous atteint déjà.
Fin du jour,
Des silhouettes se détachent.
Arbres feuillus
Arbres effeuillés
Fondus de gris
Noir sur blanc.
Quelque part dans la profondeur d'un paysage,
Une intimité
Douce et entière
Se dessine.

Céline Letournel - novembre 2014

 

www.galerie-horschamp.fr

 

 

 

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Mange tes légumes!

© Judith Fourny

 

 

 

« Mange tes légumes! »

Photographies de Judith Fourny

De Janvier au 31 mars 2015
Galerie CRAFT
50 rue du bourg
26220 Dieulefit

Ouvert vendredi au dimanche hors vacances 10h30-12h30 / 16h00-19h00

Judith Fourny est une artiste née à Paris.

Elle vit à Broocklyn, état de New York, depuis plus d'une decennie, où elle y pratique la photographie ainsi que la dorure. Elle nous présente sa dernière série de photos "Eat Your veggies" "Mange tes légumes!" où son regard se penche sur ce besion essentiel : L'alimentation.

Elle a crée cette série dans son atelier de la Navy Yard à Brooklyn.

C'est à travers les affiches des supérettes qu'elle traite ce thème: elle a donc recolté celles ci en contactant l'Associated Supermarket on Myrtle Avenue. Aux Etats Unis, la supérette est un espace commun où tout le monde se rend... peut importe le statut socio-economique ou les différences de culture, nous nous y retrouvons tous.

Judith a toujours été inspirée par la beauté des relations humaines, elle nous en révèle une facette.

Deux autres artiste exposent dans la galerie Craft :

- Elia : Collage et peinture

- Françoise Spiess : Collage

 

www.judithfourny.com
www.craftespace.com

 

 

 

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L'image comme lieu

© Marine Lanier

 

 

 

« L'image comme lieu »

Pascal Amoyel - Olivier Cablat - François Deladerrière - Marina Gadonneix - Louis Gary - Isabelle Giovacchini - Nicolas Giraud- Marine Lanier - Marie Queau- Bertrand Stofleth

Du 24 janvier au 21 mars 2015
Galerie Michèle Chomette
24 rue Beaubourg
75003 Paris

Vernissage le 24 janvier de 16h à 21h

Outil privilégié d'une prise à partie du réel, la photographie est victime d'une crise de croissance. Dans l'emballement sans précédent de son entreprise de représentation, elle finit par se heurter à elle-même : l'omniprésence des systèmes d'enregistrement et des dispositifs de diffusion, modèle désormais, entre le réel et l'image, un territoire intermédiaire, véritable paysage-écran. Ce paysage échappe paradoxalement à l'image en ce qu'il a cessé d'être un simple territoire du regard et s'impose d'abord comme interface.

Mise en crise, la photographie ne peut plus ni se réfugier dans le fantasme d'une transparence documentaire, ni s'enfoncer plus avant dans une hystérie scopique. Seule subsiste la nécessité de travailler sur ce paysage-écran, sur le terrain même où se fabrique l'image.

Employant la photographie comme un outil d'arpentage et de convocation du réel, les dix artistes réunis à la galerie michèle chomette tracent les contours d'un territoire hanté par l'image et saturé par les gestes de représentation. En s'attachant à des lieux hybrides - laboratoires de modélisation scientifique et terrains d'aménagement du paysage, mises en scène médiatiques et zones de spectacle commercial, sites sauvages autant que domestiqués - tous ces artistes ont en commun de circonscrire le lieu même où les images s'élaborent et infiltrent le réel.

Dans ce paysage d'après l'image, les oeuvres qui se construisent avec rigueur et lucidité embrassent le photographique comme un outil critique irremplaçable. Sous les apparences d'un classicisme trompeur, chacun joue avec le langage de la photographie, chacun dépasse l'image du lieu pour établir l'image comme lieu, aucun cependant n'est dupe de l'outil qu'il emploie.

Glenn Maher

 

 

 

 

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Ma Vie là

Christine Smilovici ©

 

 

 

« Ma Vie là »

Edition livre - Photos de Christine Smilovici

Sortie décembre 2014
Editions Flux Tendu

Format portrait, 22x26cm.
Edition enrichie (30 photographies)
Papier de qualité supérieure (148 gr), 56 pages, couverture rigide.
Vendu assorti d'un tirage 17x24cm signé et numéroté, sur papier Epson légèrement satiné, à choisir dans la série.

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Janvier 2014. Mon oncle est à un tournant de sa vie. Il reprend son souffle. Il a acheté une maison de village et vient d'y emménager. Tout est à refaire, et c'est bien.

Mais il décède brutalement.

De son dessein n'est resté que l'élan. Sa vie s'est projetée dans un lieu, sans avoir eu le temps de s'y inscrire.

Quelque temps après, deux de ses anciens appareils photo sont retrouvés dans des cartons et me sont donnés. Alors, avec ce matériel, je décide de faire l'inventaire photographique du lieu désiré et non investi.

 

www.chsmiloc.wix.com
www.edition-fluxtendu.fr/ma-vie-la.html

 

 

 

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Voyages imaginaires

© Anne Joudiou

 

 

 

« Voyages imaginaires »

Photographies de Anne Joudiou

3 mars 2015 au 13 mars 2015
Mairie du 5éme
21, place du Panthéon
75005 Paris

du lundi au vendredi de 11h00 à 18h00
le jeudi de 11h00 à 19h30
le samedi de 10h00 à 13h00
Entrée libre

Dessins ou photographies ? À bien regarder ces vues de Venise ou d'Amsterdam, l'oeil doute. S'emparant, dans ses derniers travaux, de vues prises dans ces villes de tous les clichés, Anne Joudiou les met à nu, travaille ses épreuves numériques en superposant des filtres, corrige la colorimétrie, contraste les couleurs, brouille les lignes. Les photographies sont ensuite tirées par ses soins, de un à vingt exemplaires, sur un papier dessin de très grande qualité (Fine Art Hahnemühler), ce qui renforce l'impression de contempler une oeuvre gravée ou dessinée, un décor de théâtre dont a surgi une nouvelle poésie. De son père, Philippe Joudiou, dessinateur et photographe, Anne Joudiou a hérité de cette double passion qu'elle a fait sienne en construisant son propre parcours, influencée par les artistes de la Renaissance italienne, la peinture flamande, Dürer... mais aussi les photographes humanistes (Riboud, Ronis, Salgado...) et poussée par l'envie de faire rêver, de suggérer le réel plutôt que de l'imposer.

Une grande sensibilité et un goût pour faire naître des images sous-tend également la série des Photographismes, des clichés traditionnels en noir et blanc qui eux privilégient non pas les architectures, mais le vivant, les personnages féminins et les oiseaux de manière récurrente.

Des photographies auxquelles Anne Joudiou applique là aussi diverses transformations graphiques, livrant in fine des formes épurées, minimalistes, poétiques, qui laissent libre cours à l'imaginaire du spectateur. Un travail que plusieurs expositions à Paris lui ont permis de faire connaître et qui a été très remarqué par le Département des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque nationale de France qui a acquis plusieurs de ses Photographismes pour enrichir ses collections. C'est encore le même esprit que l'on retrouve dans la collection d'images consacrées à la mer, dans lesquelles la photographe joue avec les ombres et les reflets selon les caprices du temps et des vents. Véritable source d'inspiration, Belle-Ile en Mer réunit tous les paysages à la fois : tantôt crique des Seychelles, tantôt tempête au Cap Horn, elle se pare d'écume, d'embruns et de lumière et se transforme ainsi au gré des saisons. Dans ces clichés, la couleur nous sert de guide à travers la nature sauvage. L'association des teintes autorise le rapprochement d'un champ de blé et d'une mer de sable, d'une volée d'oiseaux et d'herbes folles balancées par le vent.

ANNE JOUDIOU

Anne Joudiou a commencé sa carrière comme photographe d'illustration et de reportage, travaillant pour la presse, les magazines, les maisons d'éditions et diverses institutions. Au fil des années, elle a ainsi constitué une photothèque de plus de 60 000 clichés, dont une partie est en dépôt dans plusieurs agences, et qui couvre des thèmes aussi variés que l'architecture, la sculpture, les paysages naturels et urbains, la vie quotidienne. Elle a travaillé également pour des particuliers pour lesquels elle a réalisé des portraits ou des reproductions de tableaux. Progressivement, elle a consacrée une part croissante de son travail à la photographie artistique, à laquelle elle se consacre exclusivement depuis dix ans.

 

www.anne.joudiou.fre.fr
www.mairie5.paris.fr

 

 

 

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Nuit de la Photo - La Chaux-de-Fonds, Suisse

© Steeve Iuncker

 

 

 

« Nuit de la Photo - La Chaux-de-Fonds, Suisse »

4e édition

Le 14 février 2015

Arpenter la ville de La Chaux-de-Fonds, passer de lieu en lieu et découvrir sur grand écran les œuvres de photographes prestigieux ou moins connus, telle est l'expérience à laquelle convie chaque année, depuis 2012, la Nuit de la Photo. Le programme de cette 4e réunit une trentaine de séries issues des courants les plus divers de la photographie contemporaine, avec une prédilection pour les travaux abordant des sujets d'actualité sensibles, des thématiques sociales ou des problématiques identitaires.

 

www.nuitdelaphoto.ch

 

 

 

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Retour des projections

© Hans Sylvester

 

 

 

« Retour des projections »

Pierrevert 2014

Du 13 au 15 février 2014
Cinéma les Varietés
37 rue vincent scotto,
13001 Marseille

Pour bien commencer l'année, les nuits photographique de Pierrevert organise un retour des projections 2014 à la galerie La Jetée à Marseille du 13 au 15 février.

Le vendredi 13 février à 18h aura lieu le vernissage de l'évènement. Ce sera l'occasion pour le public de (re)découvrir les travaux et d'annoncer le futur parrain du festival, Hans Silvester.

 

www.pierrevert-nuitsphotographiques.com
www.facebook.com/LA.JETEE

 

 

 

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Rêves Amazoniens

© Guache

 

 

 

« Rêves Amazoniens »

Peinture de l'école d'art Nyi (Pérou)

Du 6 au 28 février
Office du tourisme
Espace St Martin
26200 Montélimar

L'exposition présente les œuvres des élèves et enseignants de l'école d'art Nyi au Pérou : Casilda Pinche Sanchez, Samy Padla Ruiz Macuyama, Luis Beltran, Nelvis Manuel, Jaiver Cabreraet Steve Melendez.

À travers leur regard, nous vous invitons à découvrir une autre culture, une autre vision de la Nature et de l'Homme, celle des indiens Cocama, peuples du fleuve Yarapa et de la Forêt (« Selva ») au Pérou. Une Nature

animée de conscience et peuplée d'Esprits avec lesquels les guérisseurs se connectent pour apprendre et guérir, une vision de l'Homme où les rêves et la création sont des éléments essentiels de la connaissance de Soi.

Rêver, créer et guérir, tels sont les fils de l'exposition, ou, plus exactement, rêver, puis, créer, pour guérir. Car c'est à partir de leurs rêves que les élèves de l'école Nyi peignent et, ce faisant, recontactent des savoirs oubliés, leur mémoire,leg de leurs ancêtres. En réinterrogeant leur culture, leur identité, les Cocama retrouvent la conscience et la fierté d'appartenir aux Peuples de la Forêt. Ils se relient à ce qu'ils sont. La création artistique devient alors guérison. L'art qui fleurit dans la nature et chez l'enfant soigne.

 

www.streetartamazonia.com

 

 

 

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Une briqueterie - Bhaktapur

© Stéphane Lecaille

 

 

 

« Une briqueterie - Bhaktapur »

Photographies de Stéphane Lecaille et Alain Gualina

Du 3 au 19 février 2015
Université Lyon 3 - Jean Moulin
Salle d'exposition - Bibliothèque de la Manu
6, rue Rollet – Lyon 8ème

Horaire de la Bibliothèque

Stéphane Lecaille et Alain Gualina, photographes, rendent hommage aux hommes et à leurs ressources ; ils restituent la fragilité des êtres et des lieux où ils vivent ; et par la beauté de leurs images ils témoignent de la dignité native du travail humain et de sa nécessité mystérieuse.

L'exposition présente des photographies réalisées dans une briqueterie à Bhaktapur, Népal, en mars 2011. La plupart des employés de cette briqueterie font un travail harassant, pour tout juste un à deux dollars par jour.

 

www.stephanelecaille.fr
www.alaingualina.fr

 

 

 

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Souscription livre

© Fabien Pio

 

 

 

« Souscription livre "En écho de lumière" »

Photographies de Fabien Pio

Jusqu'au 23 février 2015
GLC Editions

35 euros

C'est avec un immense plaisir que Fabien Pio vous annonce la parution de son livre "En écho de lumière" aux éditions GLC.

Le livre reprend l'ensemble de son travail en photographie noir et blanc mené depuis 2008, et est composé de 67 photographies. Les images sont accompagnées de dix poèmes inédits de Salah Al Hamdani, écrits à l'occasion d'une collaboration autour de mes images.

Une souscription permettra au livre de voir le jour. Pendant la celle-ci les frais de port (5e) sont offerts. Règlement possible par Paypal ou par chèque.

Détails sur le livre :

24x16,5 cm, 96 pages, 67 photographies en bichromie, couverture cartonnée, relié cousu.

300 exemplaires - 20 en édition limité avec tirage. Livre seul : 35 €

Édition limitée à 15 ex. avec un tirage numéroté & signé par l'auteur 13x18cm : 90 €

Poème extrait :

"Âme mystérieuse enneigée de la forêt
Je deviens soudain frémissement sous un ciel décomposé
Basculer dans le rêve
Trahir les yeux de l'hiver
et la liberté comme un corps en équilibre au bord du vide
Longtemps, l'attente a effacé les lignes
et les mots et les paysages creusent dans la chair de l'imaginaire"

 

www.fabienpio.com
souscription

 

 

 

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Mineurs, ici.

© Farida.hamak

 

 

 

« Mineurs, ici. »

Photographies de Farida Hamak

Exposition du 23 janvier au 28 février 2015
Galerie des douches du Grand Lavabo de Couriot.
Parc-Musée de la Mine?3,
bd Franchet d'Esperey,
42000 Saint-Etienne

Parc-musée de la mine, Saint-Etienne en partenariat avec la galerie Regard Sud

Ce projet veut faire entendre des voix. Celles de familles d'origine française, espagnole, italienne, polonaise, grecque, algérienne, installées dans cette région pour vivre, travailler et mourir.

Dans les entretiens, l'importance du groupe, du corps, du collectif, efface celle de l'individu.

Avec ces portraits, ce ne sont plus les gueules noires anonymes qui remontent au jour, mais des femmes et des hommes qui se laissent photographier par Farida Hamak – une femme dont la famille a connu, elle aussi, l'exil – chez eux, dans leur intimité.

C'est en suivant la première ligne de chemin de fer français construite dès 1826 pour relier les sites miniers et industriels du bassin stéphanois, qui dessert les gares de Rive-de-Gier, de Saint-Chamond, de Saint-Etienne, de La Ricamarie, du Chambon-Feugerolles et de Firminy, que la photographe va à la rencontre de vieux mineurs et sidérurgistes, de leurs femmes, filles et fils. Autant de stations qui rythment cette exposition où sont rassemblés vingt-quatre témoins, sur trois générations.

Avec une sobriété et un cadrage précis, elle propose de restaurer une vision “dépaysée? du paysage contemporain, vision ni idyllique, ni trop crue, peut-être tout simplement réaliste. Pour cela, elle choisit un point de vue frontal où le motif minéral occupe largement le cadre. Si le sujet reste identifiable, il peut aussi se présenter comme une abstraction, une forme chargée d'intensité dont la fonction est de ranimer la mémoire. Les plans larges ne sont là que pour attester que l'on n'y voit rien ou presque rien. Seul un mineur peut dire : ici se tenait droit le chevale-ment, ici le puits des Combes et, là, le remblai, etc. Dans le flux des représentations de la mine tout au long de son histoire, où se situe le lieu de la mémoire ? La chose photographiée, placée devant l'objectif “a été là?. Oui. Et, Roland Barthes d'ajouter : “Les photos sont des signes qui ne prennent pas bien, qui tournent comme du lait. Quoi qu'elle donne à voir et quelle que soit sa manière, une photo est toujours invisible : ce n'est pas elle que l'on voit.?

(Extrait de l'ouvrage Mineurs, ici, édition Ville de Saint-Etienne 2014). Texte de Frédérique Chapuis.

 

www.facebook.com/farida.hamak
www.saint-etienne.fr/culture/puits-couriot-parc-musee-mine

 

 

 

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Passé composé

© Michael Michlmayr

 

 

 

« Passé composé »

Photographies de Michael Michlmayr

Jusqu'au 21 février 2015
GALERIE VRAIS R�VES
6 RUE DUMENGE
69004 - LYON (France)

Texte de Rémy MATHIEU extrait de la plaquette "Passé composé"

Au premier regard, si celui-ci est un peu distrait, les photographies de Michael Michlmayr peuvent paraître plutôt « ordinaires ». Mais si l'on s'attarde un peu, une multitude de petits indices viennent titiller notre rétine, comme pour nous rappeler que si la photographie est liée au réel, elle n'en est pas une représentation absolue mais bien une interprétation, comme pour nous rappeler aussi que la photographie est liée au temps, celui de l'auteur et celui du spectateur.??Sur ce qui nous apparaît comme une façade d'immeuble, on constate d'étranges similitudes, des détails récurrents qui reviennent comme des motifs de papier peint, comme si le réel était pris en flagrant délit de soubresauts. En fait, le travail de Michael Michlmayr est fortement lié à la notion de séquence photographique, ensemble d'images généralement narratif. Mais au lieu de présenter ses images de façon linéaire et distincte comme a pu le faire Duane Michals par exemple dans les années '70, Michael, lui, les rassemble en une seule. Ainsi, l'image de la façade d'immeuble composée de plusieurs fenêtres présente en fait plusieurs fois la même fenêtre vue à des moments différents, et accolées les unes à coté des autres afin de créer l'illusion d'une façade d'immeuble. Michael agit donc comme un bâtisseur en empilant soigneusement ses images, comme le maçon empile des briques pour former un mur. Pour cela il utilise les outils que l'évolution du médium permet aujourd'hui plus aisément.??La série des « fenêtres » est basée sur la frontalité, sans doute pour des raisons pratiques. Et cette frontalité rapproche ce travail, d'un point de vue formel, de celui de « l'école de Düsseldorf ». Mais, petit à petit, il s'en éloigne de ce nouveau réalisme allemand . Tout en conservant la même procédure, il insère des éléments de perspective improbable, insidieusement dans la série des escaliers et escalators, mais de façon plus affirmée dans les séries « Skyline » et dans les paysages nocturnes. ??Le travail de Michael Michlmayr n'a donc pas la rigidité de l'objectivité que l'on pourrait lui prêter. C'est aussi un travail plein de nuances et de subjectivité dans lequel l'auteur s'implique physiquement de plus en plus souvent, donnant ainsi une dimension auto biographique ou plutôt auto fictionnelle. Il se met lui-même en scène, discrètement, comme Alfred Hitchcock dans ses films, en se fondant dans une foule ou en apparaissant simplement à une fenêtre, apportant ainsi un peu plus d'humanité.??En constante évolution, dans une recherche de nouvelles visions, de nouvelles interprétations du réel, par petites touches, Michael Michlmayr chemine et évolue dans sa création, dans une contemporanéité réelle et assumée.

 

www.michaelmichlmayr.at
www.vraisreves.preprod.aceituna.fr

 

 

 

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Un moment si doux

© Raymond Depardon

 

 

 

« Un moment si doux »

Photographies de Raymond Depardon

Du 29 octobre 2014 au 02 mars 2015
MUCEM
7 Promenade Robert Laffont
13002 Marseille

Ouvert tous les jours sauf le mardi, le 25/12 et le 1/05.
Horaires d'hiver : 11h-18h (1er novembre - 30 avril)
Tarif plein 8 € | Tarif réduit 5 €

La couleur apparaît dans l'œuvre de Raymond Depardon dès les premières images. Il a alors 16 ans. Depuis, elle l'accompagne dans tous les moments forts : les années de découverte de la photographie, les premiers voyages en Afrique, les grands reportages, puis plus récemment "un moment si doux" qui donne à l'exposition son titre. L'exposition présente 137 photographies en couleur. 40 ont été spécialement réalisées pour l'exposition au MuCEM, dont 23 prises à Marseille. Avec la couleur comme fil conducteur, elle invite à une déambulation dans l'œuvre et la vie de l'artiste depuis la fin des années 50 jusqu'à aujourd'hui.

 

www.magnumphotos.com
www.mucem.org

 

 

 

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Pétrole Éditions

© Marine Lanier

 

 

 

« Pétrole Éditions »

En tournée à travers la France

- Le vendredi 09/01/15 au FRAC Lorraine, Metz, de 18h à 21h
- Du 17/01/15 au 28/02/15 au centre de documentation du FRAC PACA, Marseille, avec un vernissage le vendredi 16/01/15 à 18h
- Le mercredi 25/02/15 au HUIT, Paris 10ème, de 18h à 22h

Nous y présenterons trois éditions parues en 2014 :

- TABLETTE, de l'artiste Joséphine Kaeppelin

- OBJETS INTÉRIEURS, MÉCANISMES EXTÉRIEURS, édition collective

- TALWEG 02, avec Benoît Billotte, Mathilde Gintz, Carine Klonowski, Marine Lanier, Laurent Odelain, Marie Quéau, Mickaël Roy, Ursula Schachenhofer, Baptiste Schmitt & la poétesse américaine Susan Howe.

Ainsi que TALWEG 01 (publication : novembre 2013) avec Élise Alloin, Mickaël Gamio, Maud Guerche, Anne Heyvaert, Marine Lanier, Aurélie Mourier, Yannis Pérez & l'anthropologue anglais Tim Ingold.

Basée à Strasbourg, Pétrole Éditions conçoit, produit, édite, expose et diffuse des livres s'apparentant aux « livres d'artistes » dans le domaine de l'art contemporain.

 

www.petrole-editions.com

 

 

 

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Douceur

© Jean-Luc Meysonnier

 

 

 

« Douceur »

Photographies de Jean-Luc Meyssonier

Du 5 janvier au 7 février
Médiathèque de Chaspuzac
Le bourg
43320 Chaspuzac

La médiathèque de Chaspuzac propose de découvrir l'univers photographique de Jean-Luc Meyssonnier et plus particulièrement les clichés qui ont inspiré le poète Jacques Estager pour son recueil Douceur, édité chez Lanskine.

Les photographies de l'artiste ardéchois ne laissent pas indifférent... Tout est visage et tout est pierre chez Jean-Luc Meyssonnier. Tout est désert et absence. Des surfaces sensibles naissent et disparaissent, les formes et contours se dilatent pour faire apparaître des images, des visages, comme une présence, celle de Douceur, douceur du ciel et de l'eau, de la terre et du vent qui caressent les branches... Les formes silencieuses évoquent une sensualité étrangement glaciale dans une dialectique entre ombres et lumière. Entre le noir le plus profond et le blanc le plus pur, entre les deux, les dégradés sont subtils et visent à définir non l'immédiat de l'objet représenté mais la projection de nos doutes et de nos fantasmes.

 

www.meyssonnier.com

 

 

 

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Le patrimoine de la Drôme des Collines

© Johanna Quillet

 

 

 

« Le patrimoine de la Drôme des Collines »

Exposition collective photographiques

Du 6 au 31 janvier 2015
5 avenue Eugène Buissonnet
26 240 SAINT-VALLIER

Mardi de 13h à 18h30
Mercredi 10h-12h30 / 13h30 -18h
Vendredi 13h-18h30
Samedi 10h-12h30 / 13h30-18h
Vernissage le 17 janvier 2015 à 15h

En partenariat avec la Conservation départementale du Patrimoine

A l'occasion de la publication « Les patrimoines de la Drôme des Collines » l'exposition présente 12 photographes qui témoignent de la singularité de ce territoire, de ses paysages et de son architecture.

 

www.mediatheque.ladrome.fr

 

 

 

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Concours photo : la poésie d'Alain Borne

Alain Borne

 

 

 

« Concours photo : la poésie d'Alain Borne »

Concours ouvert à tous

Du 1er décembre 2014 au 1er février 2015
Médiathèque intercommunale de Montélimar

Gratuit.

La médiathèque intercommunale organise, dans le cadre des célébrations du centenaire de la naissance du poète montilien Alain Borne, un concours de photographies gratuit ouvert à tous jusqu'au 1er février 2015 inclus.

Les candidats devront s'inspirer librement de l'un ou l'autre des titres des recueils de poèmes d'Alain Borne suivants :

"L'amour brûle le circuit"

"La nuit me parle encore de toi"

"Cicatrices de songes"

Les 15 photographies sélectionnées seront exposées au mois de mars à l'Office de Tourisme de Montélimar. le lauréat recevra un bon d'achat pour La fabrique de l'Image.

Règlement complet et bulletin de participation sur le site de la médiathèque.

 

www.mediatheque.montelimar-agglo.fr

 

 

 

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Un pont c'est tout

© Tristan Zilberman

 

 

 

« Un pont c'est tout »

Photographie de Tristan Zilberman

Du 17 décembre au 1er février 2015
Centre d'art André Auclair
Avenue Marcel Cachin
07350 Cruas

Du mercredi au dimanche de 15h à 18h sauf jours fériés
Vernissage le 19 décembre à partir de 18h

Cette série de photographies est issue d'un reportage photo réalisé à l'occasion de la réhabilitation d'un ancien pont sur le Rhône dans la commune de Rochemaure en Ardèche.Le vieux pont suspendu de Rochemaure, hors d'usage depuis des années, a été transformé en passerelle himalayenne et se trouvera sur le parcours de la Viarhona, la piste cyclable qui relie le Lac Léman à la Méditerranée. Le suivi photographique effectué sur 6 mois, a vu toutes les phases de la transformation de l'ouvrage et les étapes du chantier qui s'est parfois déroulé dans des conditions extrêmes.

 

www.tristanzilberman.com
www.ardeche-guide.com

 

 

 

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La raison des formes

© Martine-Emilie Jolly

 

 

 

« La raison des formes »

Photographies de Martine-Emilie Jolly

Exposition du 11 décembre 2014 au 20 janvier 2015 Fermeture du 21 décembre au 5 janvier Vernissage festif le jeudi 11 décembre dès 18h30, précédé d'une visite accompagnée à 18h Conférence en présence des artistes le lundi 15 décembre à 18h
Rencontres 4
Martine-Emilie Jolly et Dominique Torrente
Le Polaris
5, av de Corbetta
69960 Corbas

L'essentiel de mon oeuvre concerne la relation de l'homme à l'espace du paysage, tantôt naturel, tantôt architectural. Je recherche la lumière qui permet à la photographie de rendre une qualité picturale. Le littoral, de la Normandie à la Norvège, en passant par la Scanie suédoise, m'offre son matériau de prédilection : la lumière transparente. L'approche du paysage s'effectue tantôt par la contemplation, tantôt par la rencontre de fragments de réalité qui font appel à ma propre histoire.

Dans la série European vision, le port du Havre fut le point de départ d'une suite de paysages qui s'étale jusqu'à l'extrême nord de l'Europe. Originaire de la Côte d'Opale, je traverse des paysages similaires en faisant le constat d'une unification géographique, et même d'une unité dans le mode de vie des habitants. Le Havre, c'est aussi Malmö ou les alentours de Copenhague... L'identité de l'Europe se présente à moi comme une impression de déjà-vu, le mot « étranger » n'est déjà plus dans ma mémoire. Les photographies se présentent seules ou en séquences, contenant des moments fugitifs de vie parmi la sérénité de ces lieux.

 

www lepolaris org

 

 

 

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Regard du monde sur l'homme

© Jacques Pion

 

 

 

« Regard du monde sur l'homme »

Dalam, une nouvelle agence à découvrir


Pour contacter Dalam :
Kristina D'Agostin - Agent
Par mail : contact@dalamimages.com
Par téléphone : +33 (0)6 89 04 79 40

L'art du reportage peut se venter d'accueillir une nouvelle agence de photographes.

Dalamimages.com a fait son apparition sur la toile et nous confronte à de poignants témoignages par l'image.

Réunissant sept photographes cooptés par leur thématique de travail et non par un maillage territorial, Dalam se lance un pari audacieux - celui de se faire une place dans le milieu de la photographie.

L'occasion d'offrir le regard aiguisé de ces photographes sur la société dans laquelle nous vivons ou sur le monde qui nous entoure.

L'éthique qui réunit les sept aventuriers est simple, placer l'humain au centre des préoccupations.

Un œil neuf qui prend son temps, qui respecte autrui, qui scrute pour aller plus loin et qui nous propose un regard libre qui fait exploser les stéréotypes.

L'occasion pour eux de magnifiques rencontres pour nouer des liens forts avec la situation contemporaine et les acteurs de notre monde.

Les sept photographes qui expriment chaque histoire au travers de leurs voix individuelles sont : Sylvain Demange, Sébastien Duijndam, Julien Ermine, Loïc Mazalrey, Jacques Pion, Alison McCauley et Isabelle Serro.

 

www.dalamimages.com
www.facebook.com/DalamImages
twitter.com/Dalam_Images

 

 

 

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Benidorm

© Manuel Hyunh

 

 

 

« Benidorm »

Photographies de Manuel Huynh

Du 14 novembre au 15 janvier
Le Quai
17 Bd du Fust,
26200 Montélimar

Du lundi au samedi de 14h30 à 18h30

S'étirant entre la mer et la sierra, une enchevêtrement sans grâce de tours de béton griffe le ciel, enlaidissant le paysage alentour.

Bienvenu à Bénidorm.

Venus des quatre coins de l''Europe, des milliers de touristes y affluent chaque été, colonisant le moindre centimètre carré de plage libre.

Ville de bruit et d'agitation, Benidorm est le symbole du tourisme de masse dans ce qu'il a de pire, surpopulation et surconsommation en étant les maîtres mots.

J'ai été fasciné par ce spectacle d'une marée humaine entassée dans ce lieu artificiel, exiguë et sans charme et je continue de m'interroger sur les raisons pouvant pousser des individus à franchir autant de kilomètres pour se retrouver agglutinés dans un tel endroit.

L'auteur : Photographe français diplômé de l'École photographique de Vevey (CH), Manuel Huynh a exposé son travail dans plusieurs festivals photographiques et magazines

Les portraits, la nature ainsi que le rapport de l'homme à son environement constituent ses sujets de prédilection.

Vit et travaille à Toulouse.

 

www.manuelhuynh.com
www.equaideco.overblog.com

 

 

 

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Trophées subjectifs

© Pierre Abensur

 

 

 

« Trophées subjectifs »

Photographies de Pierre Abensur

Du 14 novembre 2014 au 17 janvier 2015
La Fabrique de l'image
2, rue de l'Oratoire
07400 Meysse

Ouverture du mercredi au samedi de 16 à 19h

Le trophée de chasse symbolise l'évolution sportive d'une pratique ancestrale et vitale. La série intitulée « Trophées subjectifs » réunit les trois éléments essentiels de la dramaturgie passée, le prédateur, la proie et le lieu de leur mortelle rencontre.

Exposition en partenariat avec le festival de la photographie d'auteur Présence(s) photographie

 

www.pierreabensur.com
www.fabrique-image.fr
www.presences-photographie.fr

 

 

 

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Sacré(s)

©Cendres, La Bégude de Mazenc, Marine Lanier, 2007

 

 

 

« Sacré(s) »

Exposition collective de photographies

Du 28 novembre 2014 au 31 janvier 2015
La(b) Galerie Artyfact
9 rue Forest
75018 Paris

Ouvert du lundi au vendredi de 12h à 19h, le samedi de 14h à 19h

Photographes invités : Amaury da Cunha, Pierre Hugues Galien, Tilby vattard, Philippe Bernard, Gilles Roudière, Cédric Friggerie, Marie Paule Berges, Lucie Jean, Francois Kenesi, Marine Lanier

La représentation du sacré a traversé toute l'histoire de l'art depuis les grottes de Lascaux jusqu'au œuvres contemporaines de Serrano.
On peux se demander comment la photographie, dont la représentation visuelle est déterminée par l'empreinte d'un « ici-et-maintenant », peut-elle signifier quelque chose au-delà de ce qui se rend disponible devant l'objectif ? Comment peut-elle révéler quelque chose qui n'est pas directement capté par l'objectif, quelque chose qui appartient à un domaine séparé, inviolable, privilégié par son contact avec la divinité et inspirant crainte et respect ?
La photographie plasticienne apparaît comme un lieu intéressant de mise en question de la relation que le monde contemporain entretient avec le sacré et le religieux malgré les vives critiques de Walter Benjamin sur la perte d'aura.
La photographie parvient-elle à rendre visible l'invisible, à faire venir à elle le lointain "auratique"? Peut-elle donc signifier autre chose que ce qui se rend immédiatement disponible sous l'objectif ?
A la question la photographie peut-elle révéler le sacré, l'exposition "sacré(s)" nous interroge sur sa présence et est capable de pénétrer dans les dimensions de l'introspection et de l'intimité, de représenter les présences au delà des formes reconnaissables, en exploitant, du point de vue figural, des effets « auratiques » comme le flou jusqu'à des représentations qui construisent une configuration du sacré au-delà de la thématique du religieux.
Par la même, la photographie est capable de signifier bien davantage que ce qu'elle représente.
Ce sont les témoignages subjectifs des photographes qu'ils nous livrent aujourd'hui un certain regard qu'ils posent sur le monde ; un regard à la recherche permanente du mystère qui le traverse faits de bruits et de lumière, d'intimité et de mystère, et un même rapport particulier à l'image qui pourrait se rapprocher de "l'icône".
Le sacré est envisagé ici comme une dimension de soi, une relation à l'autre et à soi.
Cette position de recul que défendent ces photographes permet d'embrasser la globalité que constituent les relations entre les choses et qui témoigne de l'unité de notre monde.
Elle va bien au delà de la question spirituelle. Le monde contemporain aura à trouver, au-delà de la disparition des formes anciennes ou présentes du sacré, de nouvelles formes, plus spontanées, plus universelles et plus concrètes, mieux adaptées à son expérience et à son langage.

Gaëlle Abravanel

 

www.abgalerieartyfact.tumblr.com

 

 

 

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L'Attaque de la montagne

© Delphine Gigoux-Martin

 

 

 

« L'Attaque de la montagne »

Installation de Delphine Gigoux-Martin

Du 22 novembre 2014 au 31 janvier 2015
Galerie d'exposition
Rue de la Recluse
07000 Privas

Entrée libre du mercredi au samedi de 15h à 18h
et les soirs de spectacle. Sur réservation pour les groupes scolaires
Renseignements : 09 70 65 01 15

Vernissage Vendredi 21 novembre 18h30 en présence de l'artiste

À partir de la taxidermie animale et de matériaux naturels, Delphine Gigoux-Martin réalise des installations sculpturales où viennent souvent s'ajouter toutes sortes de motifs réactivés de la grotte rupestre, une projection de dessins d'animation représentant des animaux s'agitant dans leur cadre spatial. Si les animaux naturalisés ramènent objectivement à la réalité d'espèces domestiques ou sauvages, l'artiste les soulève de terre et les confronte par le haut, parfois brutalement, à l'espace d'exposition, mur ou verrière, où ils viennent frontalement buter sur la réalité d'une clôture architecturale.

« Delphine Gigoux-Martin conçoit ses œuvres et ses expositions sur le modèle de l'espace-temps du rêve qu'elle reconduit dans l'espace réel : c'est-à-dire une structure alogique qui est faite d'une superposition d'instants et d'images sans cohérence préétablie ou évidente. La seule cohérence qui en découle se fait a posteriori, dans la tentative de donner un sens à l'absurde dans le ré-enchaînement des images et la reconstitution d'un récit. Qui n'a pas fait cette expérience au réveil quand on tente de réarticuler les sensations fugaces et les représentations qui nous sont apparues pendant le sommeil ?

Le spectateur de l'œuvre de Delphine Gigoux-Martin revit ce genre d'expérience mais dans la réalité fantasmée de l'exposition. C'est pourquoi la mise en œuvre de ses installations et de ses œuvres repose sur les principes du décadrage et du hors-champ. Décadrage de l'image vidéo par exemple, avec les projections directes sur l'architecture du lieu réceptacle plutôt que dans le cadre conventionnel de l'écran. »

Pascal Pique, extrait du catalogue de l'exposition Delphine Gigoux-Martin, Château de Taurines.

Née en 1972, Delphine Gigoux-Martin vit et travaille en Auvergne.

 

www.delphinegigouxmartin.fr
www.theatredeprivas.com

 

 

 

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Suzanne Hetzel

Bas de torero" © hetzel, 2014

 

 

 

« Suzanne Hetzel »

Photographies, vidéo et objets

11 décembre 2014 au 14 janvier 2015
Espace pour l'art
5 rue Réattu,
13200 Arles

jeudi - samedi de 14h - 18 h et
sur rendez-vous au 04 90 97 23 95

"Suzanne Hetzel prend des photographies pour parler d'un monde à découvrir, et tout un monde qui se joue, qui vit, qui avance dans le temps et retient sa mémoire.

Elle fait émerger de l'image fixe, très subtilement des relations entre les êtres, les choses et le temps. Par ses compositions, sa photographie se positionne plutôt dans la continuité comme celle dont parle Héraclite : "tout bouge?, donc tout se modifie, à chaque instant sous nos yeux et c'est ce mouvement là dû à l'interaction d'une chose avec l'autre d'un être avec l'autre que Suzanne saisit pour une histoire, pour un instant d'exposition." L.T.

 

www.documentsdartistes.org/hetzel
www.espacepourlart.com

 

 

 

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Rendez-vous Image

© Denis Rouvre

 

 

 

« Rendez-vous Image »

Salon photo - livre - vidéo

Du 23/01/2015 au 25/01/2015
Palais de la Musique et des Congrès de Strasbourg
Place de Bordeaux
67082 Strasbourg Cedex

Vendredi 23 janvier : 18h - 21h
Samedi 24 janvier : 10h - 21h
Dimanche 25 janvier : 10h - 19h
Tarif normal : 5 €
Tarif réduit : 3 €

Rendez-vous Image est une manifestation annuelle visant à promouvoir l'image fixe et animée par la rencontre entre les photographes, leurs travaux et le public. 500 photographies, 50 auteurs, 30 livres photos et 20 vidéos sont exposés du 23 au 25 janvier 2015 au Palais des Congrès de Strasbourg. De nombreuses animations seront proposées : un studio photo, un atelier d'analyse des vidéos, un atelier de transfert de polaroid, un jeu de piste photo pour les enfants. Les partenaires exposants seront présents pour vous faire découvrir du matériel de photo/vidéo et d'impression. Denis Rouvre, le directeur artistique de la 5e édition de Rendez-vous Image sera également présent sur le salon le dimanche 25 janvier pour commenter les séries et échanger avec les passionnés de photographie. De nombreux stages photos et vidéos de tous niveaux sont proposés durant le week-end (portrait, lumière, nu, architecture, reportage).

 

www.rdvi.fr

 

 

 

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5 éléments

© Virginie Provence

 

 

 

« 5 éléments »

Photographies de Virginie Provence

Du 6 au 21 janvier à l'office du tourisme et les 24 et 25 janvier au centre Culturel
Office de tourisme d'Etoile sur Rhône (drôme), centre culturel les Clévos d'Etoile sur Rhône

OT : du mardi au vendredi 9h12h et 14h17h30
les Clévos :9h20h, 9h18h

«Le monde entier est soumis à la loi des 5 éléments » Ling Shu, ch. 64

Durant la période de la haute antiquité, les savants chinois définissent 5 mouvements, 5 phases, 5 moments évolutifs ou étapes de transformation cyclique ( Wu Xing ) qui régissent les lois de la vie.

Ces 5 énergies sont définies par ce que l'on appelle communément en Europe 5 éléments : La terre, l'air ( ou métal), l'eau, le bois, le feu.

Chacun de ces emblêmes est caractérisé par une dynamique, une direction, une saison, un moment de la journée, une couleur, une forme, un sentiment ... Ils sont de plus interdépendants les uns des autres, suivant un cycle d'engendrement et de contrôle.

La Terre, placée au centre, est définie par l'action de transformation, la fin de l'été, l'après midi, les couleurs jaune et ocre, la forme carrée, la nostalgie.

L'Air ( Métal), à l'Ouest, correspond à la qualité de collecter et trancher, à l'automne, la fin de journée, le blanc/gris, la forme ronde/ovale, le sentiment de tristesse.

L'Eau, au Nord, circule et conserve; elle est reliée à l'hiver, la nuit, les couleurs bleu et noir, la forme ondulée, le sentiment de peur.

Le Bois, à l'Est, est caractérisé par la croissance et la souplesse, le printemps, l'aube, les couleurs verte et marron, la forme cylindrique, le sentiment de colère.

Le Feu, au sud, produit un mouvement ascendant, représente l'été et le moment de midi, les couleurs rouge et orange, la forme pointue, le sentiment de joie.

Attentive à la nature que je parcours au gré du cycle des saisons, je vais illustrer avec ma sensibilité ce thème millénaire, en choisissant des images qui représentent soit directement, soit de façon symbolique, un ou plusieurs de ces éléments représentés dans notre environnement proche.

L'artiste Photographe : Virginie Provence, née en 1971, est attirée par le monde artistique et celui du vivant depuis son plus jeune âge : à la fois musicienne, danseuse, photographe, mais aussi pédagogue, formée aux thérapies énergétiques ancestrales et aux sciences naturelles, elle vit ses différentes passions avec son coeur, dans l'esprit du partage et de la connaissance des émotions humaines.

 

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www.letoiledubienetre.fr

 

 

 

 
"LA FABRIQUE DE l'IMAGE" est une activité de Pollen Scop - siret : 439 076 563 000 48

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